Que ne ferais-je pour un baiser de vous ?

Chère Diane,

Que ne ferais-je pour un baiser de vous ?
N’avez vous donc jamais lu dans mes regards
Les lueurs vastes et rondes telles au sommet d’un phare ?
Confesserai-je ici mes émois les plus doux
Ou pourrai-je à loisir les couler à vos pieds
De verbes inventés pour mieux les habiller
Sans risquer dissonances auprès de votre cœur ?
Vous tenir dans mes bras, et tout devient lueur
Hélas j’en suis loin, n’en prends aucun chemin
J’évite au quotidien de vous frôler la main.
Quand je vous lis poème, le soir à ma chandelle
le mot est sage, celui d’un cœur épris.
J’ose incliner de vous pourtant, quand se pose ma nuit
Un corps à mes côtés dansant dans la dentelle
Des doigts qui vous pianotent ces mois désespérés
Des vents contraires au temps et pour tout emporter
De nos chairs qui se mêlent à nos sueurs perlées.
Au matin qui dessine votre vide journalier
Je crache mes fumées sur l’astre du lever
Il n’est d’étoile que vous, pour lustrer mes journées,
Le reste n’est que dédain impropre a consommer.
Je dessine au cadran l’esquisse de vos lèvres
Qui rejoindraient les miennes même d’une brève aiguille
Et ainsi le temps passe dans la ferveur des fièvres
Jusqu’à l’heure des bougies dont les flammes vacillent.
Diane, vous dirais-je encore vous êtes caresse des yeux
Quand sur moi en valet vous vous poser un peu
Que cela me suffit, tant que vivra l’espoir
Qu’au bout léger d’une plume me rejoindrez le soir
Qu’il m’est permis dans l’ombre de me couler en vous
Vous écrire des billets les uns aux autres plus fous

Jime
Lun 19 Jan 2015, 16:38 par Jime sur L'amour en vrac

Auteur de mon coeur.

C’est vrai je ne m’attendais pas à toi
je ne m’attendais pas au miracle
je ne m’attendais plus à tomber d’amour pour toi.
Et pourtant un beau JOUR tu es venu avec ta plume sur le dos, comme une robe qui t’enrobe.
Je t’ai trouvé vaillant et courageux, dans ton être que tu portes si bien, je t’ai trouvé drôle et ton imagination a vite pris mon esprit.
Je me laissais glisser entre tes mots, je me sentais devenir tienne appartenant à tes mains d’écrivain.
Tu l’histoire de nos rêves, et tu joues si bien ton rôle, entre drame et comédie.
Le bonheur, c’est quand le drame laisse sa place à notre jouissance.
Tu es le maître de mon cœur en bel entrepreneur.
Tu es le MARI dont j’ai toujours rêvé, et si je te fais à nouveau croire au grand amour c’est tout autant mon cas, sous ton regard.
Tu es beau car ton sourire charmeur est une comète dans mes nuits.
Ce jour je me dis que si je pouvais arrêter le temps je l’aurais arrêté pour nous faire prisonniers de cet instant où l’on s’est aimés.
Je ferai tout pour te garder près de moi, voir ton bonheur, et pour ne jamais nous perdre.
Je n’aurais pas pensé un jour t’aimer autant, et pourtant,
je me vois bien à présent épouser ton corps, dans une vie à deux, où nous serions heureux.
Tu es comme un idéal, l’idéal ACTEUR et AUTEUR de mon cœur.
Ven 29 Nov 2013, 20:36 par inlove sur La vie à deux

La femme parchemin



De ta plume ou du bout de tes doigts
J’aimerais que tu écrives ses lignes sur moi
Qu’un poème sur mes reins tu
Que sur le contour de mes hanches
Des mots en avalanches
Fini la page blanche
Place à ma peau blanche
Entre mes cuisses
C’est facile ta plume glisse
Au creux de mon ventre
Fait attention que je ne te déconcentre!
Il reste de la place sur mon cou
J’y verrais bien de l’encre de couleur acajou
Tu peux même déborder sur ma nuque
Mais ce n’est peut-être pas ton truc
Dessine ma bouche d’un trait de rouge
Dessine bien les contours avant que je ne la bouge
Et je t’ai laissé le meilleur pour écrire la fin
Quoi de mieux que mes seins
La fin devra être sensuelle
N’en oublie surtout pas les voyelles!
Maintenant que tu as fini ton travail
Je te laisse me relire en braille
Sam 09 Juin 2012, 12:41 par Djinn sur La séduction

Caresses...

Tes mains sont douces sur ma peau,
Tes paroles sont douces à mon âme.
Tes caresses s’envolent de toi à moi,
Se posent sur mon corps qu’elles réveillent...
Elles libèrent le désir de ses entraves...
L’amour brille dans nos yeux
Il éclaire nos coeurs
Il envahit nos corps
Et élève nos âmes...
Et tu ris ! ! !
Nos émois...
Ton intelligence et ton charme.
Ta douceur, ta finesse, ton esprit.
Tu es homme.
Lorsque tu pour moi l’amour
Lorsque tu te fais tendre
Lorsque tu deviens humble
Lorsque tu deviens fort
Lorsque je te sens toi
Et que tes yeux se troublent.
Le désir,
Que nous vivons à deux,
Dont nous jouons à deux,
qui nous unit
ici ou là
au gré de notre liberté
de nos fantaisies.
Je suis femme.
Lorsque je te devine
Lorsque je me dessine
Et me laisse explorer
A volonté...
A deux
Jouer et rejouer
sur tous les tempos
Cette symphonie
Qui nous récrée.
Mes ailes me pressent
C’est le départ
Je ne saurais rester
Mais, tes caresses...
Sam 20 Mai 2006, 14:17 par dolce vita sur La vie à deux

Prose poetique

Beaucoup de gens qui pensent à la poésie pensent tout de suite aux alexandrins et ses rimes de merveille comme arrivait à faire Victor Hugo.

Je suis complètement attiré par une autre style de poème : ceux écrits en prose. Je trouve qu’on a beaucoup plus de liberté, l’inspiration vient plus vite, le lecteur peut comprendre un peu mieux ce que l’on veut faire sortir des textes écrits ou inventés.

On peut reprocher la facilité d’un pareil texte, mais on peut la contourner en y mettant plus de vocabulaire recherché, en jouant encore un peu sur les sonorités, on arrive vite a un résultat plus approprié. A savoir que l’on écrit d’abord pour son propre plaisir et que le but n’est pas de montrer que l’on est plus doué qu un autre mais de toucher de sensibiliser ou d’évacuer des stress enfouis en nous mêmes.
Lun 17 Jan 2005, 12:16 par gaizka sur Articles

Je, Tue... Nous

De Moi à Toi,

Tu me sais imprévisible,
Je te dis imperceptible.
Tu me vois enmprunte de contradictions,
Je te connais pour ta consternation.
Tu me ris, amuses, chahutes,
Je te vole, caresse, culbute.
Tu me penses inconsciente,
Je t’admire, vague déferlante.
Tu captives ma vie,
Je te la laisse, c’est ainsi...
Tu m’as contrainte à t’aimer,
Je n’ai pas cherché.
Tu t’étonnes de nos rires complices,
Je te découvre Mille et un délices.
Tu as peur, te protège, hésite,
Je te pousse, la main te tire, te récite.
Tu es prudent, ne parle qu’au présent,
Je te soupire : Regarde droit devant !
Tu exploses de nos mots synchrones,
Je t’annonce : en phase sont nos neurones...
Tu avances, recules, fais un timide pas,
Je t’accompagne, j’attends, j’ai besoin de toi.
Tu cherches, , poussières d’excuses futiles,
Je m’adapte, déguste tes paroles douces et subtiles.
Tu réfléchis ? Perdu au loin, dans ton monde de pensées,
Je t’observe, respecte, puis, désinvolte, te laisse imaginer....

Tu me dis qu’à notre histoire tu y vois une fin,
Je te demande quelle est la raison, ensemble on n’est pas bien ?
Tu m’avances, qu’au loin, un autre, un meilleur, un mieux,
Je hurle de douleur : quel est ce discours insidieux....?
Tu refuses la conclusion toute vérifiée,
Je te tends la lame des mots, bourreau, tu dois m’achever.
Tu t’égares, tu t’agites... pas maintenant,
Je te supplie, rapide, c’est le moment...
Tu balbuties, paniques, perds tes moyens,
Je te regarde t’enfoncer dans les méandres du commun....
Tu reviens à moi, tu reviens à toi,
Je te connais plus que tu le le crois,
Tu rêves, tu imagines, tu espères,
Je virevolte, j’hallucine, qu’est-ce que je peux faire ?

Tu m’attires dans ta toile, lentement,
Je me laisse guider, en toi j’ai confiance, évidemment...
Tu vas prendre le temps de m’émietter,
J’en suis consciente, encore à m’émerveiller,
Tu me dissèques, prudemment,
Je t’offre mon étincelle sagement.
Tu choisis de cacher,
Je préfère abandonner.
Tu ignores quels sont tes désirs,
Je fixe un point : la mire.
Tu ne souhaites pas arrêter,
Je t’encourage à faire cesser.
Tu es triste, saigne ton coeur,
Je me laisse, mais qu’est-ce que j’ai peur...
Tu suffoques, n’arrives plus à respirer,
Je cesse de vivre cette anxiété.
Tu me prends la main,
Je m’en veux, on a l’air malin,
Tu me pleures ta peur, gros sanglots,
Je laisse passer, ces mots, ces flots.
Tu implores, me supplie une chance,
J’accepte malgré tout cette danse...
Tu as peur de me perdre à jamais
J’en suis persuadée, je le sais...
Tu me demandes, exprimes un souhait,
Je t’écoute ? Vas-y, je me remets...

Tue, bouscule d’âme cet état attristé,
Tue, bouge, ronge ces idées galvaudées,
Tuons le silence,
Tuez l’inconstance.....
Jeu 29 Juil 2004, 11:54 par à mon étoile sur L'amour en vrac
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