T'éveiller

J’aime tout ce que tu es que tu ne perçois pas,
Qui pourrait te surprendre si tu l’apercevais,
J’aime tout ce que tu caches, veux garder en retrait,
Tout ce que tu exprimes lorsque tu n’es pas toi.

Tes doutes indécisions, tes regards pleins d’émoi
Ce contrôle d’illusions, ce semblant d’assurance,
Qui dévoilent à mes yeux ton amer repentance
Tes regrets infondés de ne pas être droit.

Aimer c’est ressentir, être bien malgré tout,
Respirer, être heureuse, sereine malgré le flou,
Imaginer ta vie, désirer la nourrir

Je voulais te toucher, te goûter, te ravir,
M’abandonner discrète, éventuellement mourir,
à cette histoire réelle que tu ne perçois pas.
Ven 13 Avril 2007, 16:29 par jatea sur Parler d'amour

Mon coeur est plein de vous

Oh, mes amis, mes amis,
Dire qu’il existe l’enfermement
De ceux qui, non contents
De fermer leur porte à double tour,
Se calfeutrent le cœur en redoutant l’amour !
Oh, mes amis,
Ma maison est ouverte
Comme est ouvert mon cœur :
Je ne crains pas les pertes
Pas plus que les erreurs !
On en fait tous et c’est la vie !
Oh, mes amis, mes amis,
Et quand on se retrouve
La lumière dans nos yeux
Exprime notre joie
Nous nous sentons heureux
Nous oublions nos poids
Et s’écoulent les heures
Oh, mes amis,
Qui savez être là dans les jours de tristesse
Que à partager avec vous l’allégresse !
C’est vous qui donnez un sens à mes sourires
A ma gaieté, mes jeux et mes éclats de rire !
Et toi qui a envie de partager l’instant,
Tu es le bienvenu, mon ami, mon amant.
Et je regarde ceux qui bientôt ne sont plus
Mais auront-ils aimé et qu’auront-ils connu ?
Ven 26 Jan 2007, 11:58 par dolce vita sur Un monde parfait

Elle se dessine..

Le rideau tiré
entre elle et moi
et rien que ça...
Une silhouette en contre jour
ciselée ombre chinoise
la sienne...
La lumière pour l’embrasser,
un parfum à la traîne
un air de rien
pour ne pas la toucher
le mien...
Je regarde autre part
de part et d’autre
à travers la porte
entrouverte,
je reste appuyée
contre la faïence
lisse et fraîche...
J’aime l’attente,
les émotions
qui me gagnent
les mots
que je perds...
J’imagine
un paysage
grandeur nature
en face de moi
sur le mur,
un point de fuite
qui me mène
à l’illusion
le temps de...
mais le temps
est plus volage
que ma rêverie
et l’illusion s’efface
le mur reprend sa place...
Le rideau tiré
et elle de l’autre côté...
Mer 17 Jan 2007, 21:47 par danslalune sur La séduction

Après.

Il fait beau au dehors mais elle ne le voit pas. Elle a froid. Toujours cette nausée et l’impression que son cœur est tout près à se rompre. Elle voudrait se coucher et dormir. Se coucher et ne plus penser. Se coucher et se relever enfin vers un nouveau soleil, un autre espoir : l’oubli normal, salvateur, réparateur. L’impression si douloureuse d’avoir fait fausse route, d’avoir marché à côté d’un précipice sans en avoir eu conscience... Elle lui avait demandé un peu inquiète : « sauras-tu m’aimer ? » Elle ne se sentait plus la force d’une nouvelle épreuve. Elle avait soif de paix, de partage, de douceur, d’amour, de tendresse, de vie. Elle avait tellement envie de rire aussi pour oublier la peur et les larmes versées !
Il n’avait pas répondu.
Elle cherche la présence de l’amour mais non, il n’y a rien, juste une ombre, grimaçante... Un rictus qui s’éloigne. Une illusion d’amour. Elle réalise doucement peu à peu que la réalité est là : elle a aimé et il reste encore dans son cœur comme une épine qui s’accroche, un leurre, rien d’autre qu’un leurre qui lui lacère le coeur, en silence, sans un mot : il ne l’a pas aimée, il n’a pas ouvert son cœur pour lui faire de la place, pas plus que ses bras ! Il n’y a eu en face d’elle qu’un espoir d’amour, un rêve d’amour... Il ne l’aimait pas. Il ne l’a jamais aimée. Il ne l’aime pas. Il n’y a pas à en démordre, pas de quoi en faire un fromage, c’est la vie.
La nausée lui tord le ventre.
Elle se sent petite et vulnérable, presque honteuse de cet amour dont personne ne veut. Il lui brûle les yeux comme il a fait chanter son cœur. Elle connaissait les risques mais elle avait fait confiance spontanément, elle s’était abandonnée à cette flamme qui l’illuminait de l’intérieur, qui inondait son être. Cette flamme dont elle avait soif ! Sans résistance, elle avait ouvert son coeur tout grand, tout grand : elle avait tant d’amour à donner, tant d’amour à recevoir. Elle riait ! « Viens te réchauffer. Que crains-tu ? Ne reste pas dehors » Elle lui tendait les bras et le sourire inondait son visage ! « J’aime t’aimer » avait-il répondu, plus tard. Et puis, très vite, il s’était éloigné. Il prenait les mots d’amour mais sa bouche restait scellée.
Elle aurait dû comprendre.
Elle aurait dû. Mais son cœur la dirigeait comme il avait réveillé son corps et ouvert si souventes fois sa bouche ! Elle ne redoutait rien et lui parlait simplement, sans fard ! Elle avait fait tomber toutes sortes de conventions, confiante, elle s’était montrée, face à lui, fragile, nue. Elle ne voulait pas le séduire par des mots, mais que voulait-elle au juste ? Etre aimée telle qu’elle se présentait dans l’unicité de l’instant.
Il n’a pas réagi jusqu’à cet appel. Cet appel qui la cueillait au beau milieu de son rêve de femme... "Je ne vais pas te faire plaisir".
Au dehors, il fait si beau et demain, elle verra la couleur du ciel et la lumière qui joue avec les jeunes pouces. Elle verra que, déjà, cette année, les violettes timides poussent le col et exhalent leur parfum secret au jardin... Un chat traversera majestueux le près déserté, d’un pas nonchalant : rien ne le presse, il est chez lui, déjà il est loin, elle le verra, de loin, amusée... Les enfants feront retentir leurs cris et leurs rires, elle les entendra. Un vol d’oiseau striera le ciel en un ballet gracieux ; elle le contemplera. Elle s’éveillera à la vie. Elle aura chaud de toute cette vie qui coule en elle.
Dim 14 Jan 2007, 16:35 par dolce vita sur La vie à deux

Sentiment coupable

Encore une journée d’ennui
Et je me laisse aller à la mélancolie
Pour rien au monde je ne changerais de vie
A croire que sombrer dans la folie.

Les yeux mouillés je suis debout dans les ténèbres
Je me prépare à mon destin funèbre
Mais au loin je vois une apparition, un ange,
Qui seul pourra me sortir de cette fange !

Devant toi, ô sublime créature, je suis à genoux !
Tu ne t’en doutes pas et ne songes pas à nous
Tu me fais accepter la vie, le temps et l’ennui
Reste simplement dans l’ombre et la nuit.

Je me sens coupable de trahison
Mais je t’aime à en perdre la raison !
Sam 06 Jan 2007, 18:55 par obsession sur L'amour en vrac

Re: Sagesse

Tu es sage mon ami mais moi je ne le suis pas plus que l’amour ne peut l’être
Je laisse consumer par la flamme qui brille en mon coeur
Toutes mes peurs
mes désillusions
mes renoncements

Je vis et comme la vie même je suis libre....
J’aime et comme l’amour même je touche à l’infini
Lun 18 Déc 2006, 11:52 par dolce vita sur La séduction

De mots et de moeurs

Je tords tous tes tords qui à tort s’attardent sur mon corps.
Tu me mords et sur mon cou se font alors les traces pourpres de ton amour.
Je m’acharne à fuir tes charmes, mais sur ma chair tu t’incarnes.
J’inspire l’air que tu expires, mais j’attends que tu t’en ailles.
Alors je m’enfuis, trop honteuse de ton mal, mon absence d’amour rejette ta passion malhabile.
Et j’inhale un air plus pur, loin de toi loin de moi, auprès de lui.
Je profite de son cœur innocent, j’accepte se vertueux sentiments tandis que moi, souriante, pour t’oublier je crois que je lui mens.
Je ne sais si ou si je hais, je ne sais si mon cœur sent ou s’il est de pierre.
Toi ou lui. Je ne sais si c’est haine ou amour. Pourrais-je espérer avoir la paix un jour ?
J’ai beau essayer de calmer mon cœur, mes pensées reprennent leur galop incessant dans ma tête.
Entre cette haine mal feinte et cet amour coupable. Où est la morale où est l’entente ?
Où suis-je sinon qu’entre deux cœurs, moi qui n’ai pas de sentiments.
Je le sais, je le sens, je serais la première à en souffrir mais je crois bien que j’en souffre déjà trop. Qui je hais ? Qui ? Qui je mens ?
J’en suis encore à y repenser, alors que je devrais jubiler, au lieu de souffrir d’aimer et d’être aimé.
Jeu 02 Nov 2006, 03:36 par Lindsey sur Parler d'amour

Alivella

La chaleur souffle ici, les muscs d’Alivella
Pieds nus sur la terrasse, vive la dolce vita !
Parcourant la prairie du ciel et ses boutons
De fleurs illuminés dont tu connais les noms...

La douceur est ici elle parcourt nos deux corps
Et nos coeurs à l’envie vibrant dans ce décors.
Tu m’as parlé des arbres et les maisons de pierre
Pour moi ont toutes une âme c’est celle de tes pères...

J’aime le chant de ces voix profondes et habitées
Envoûtantes et vibrantes au coeur des châtaigniers
Des hommes de là-bas, multiples harmonies,

Raconte, raconte encore, là, couchés sous la voûte
Qui portent des échos dont nul être se doute
Si ce n’est les étoiles complices, nos amies...
Sam 28 Oct 2006, 20:27 par dolce vita sur La vie à deux

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que , ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

Cette Terre, cette ïle

Je suis sur une île si petite, mais si ronde !
Pins coloniaux dansent au grès du vent à travers mon regard,
Sable blanc, mais pas fin … !
Pas là pour bronzer, ici pour vibrer.
Montée au champ, avec la tribue…à pied, tranquile,
Vie végétale si sensible à quelques degrés d’altitude qu’elle en est atterrante… c’est le mot… magie de tous les fruits, de toutes les fleurs.
Et le champ est là : c’est un champ, ça ??? Indescriptible !
Forêt vierge, je dis !!!
Y’ a plein d’arbres collés les uns aux autres !
Alors, on me montre les tarots, les ignames de toutes couleurs…
Et je me sens "Gada", avec mes préjugés radis…&…co !
Ce jour là, la tribue m’a baptisée, et a gravé mon nom kanak sur un arbre.
Cet arbre, c’est moi.
Et, le nom, je ne m’en souviens pas…

Mais je m’appelle Briséis, terme qui vient de là bas.
Dim 08 Oct 2006, 13:29 par Chogokinette sur Un monde parfait

Loft à Osaka

Je suis tombée dans les choux et les roses, et là, je me suis assise, pieds au sol, mains au coeur, le jour où je t’ai vu.
Si j’ai à ce point manqué de respect à l’homme dans ma réponse, c’est qu’il me manquait la griffe.
Tu me l’as donnée en retour à mon mail d’ouverture , et me suis dit qu’enfin, un homme savait parler à ma propre mesure.
Cet instant T pour moi est ta photo bureau chemise blanche et ton regard au travers des lunettes,
Et la phrase, dixit l’homme que : savez vous que je n’ai pas peur de Madame sévère...?
Tu valais, oh, grandement une petite femme comme moi.
Lun 02 Oct 2006, 10:50 par Chogokinette sur Un monde parfait

Chercher

Mystère de la vie
Mystère de l’amour
Mystère de la souffrance
La vie coule dans notre être
Nous remplissant ou nous vidant
Sens que l’on cherche
Sens que l’on donne
Rester en éveil
Sans tout comprendre
En faisant confiance
Paix dans la soif
Cet instant est unique
A tous ceux que
Sam 30 Sep 2006, 20:51 par coupdecoeur sur Mille choses

MAMAN

Ses petits bras maigres et son dos voûté n’ont plus rien de beau
Sa peau a vieilli et ses mots ont parfois du mal à sortir
Son visage est parfois fatigué et sa demarche lente
Tout a ralenti en elle et pourtant
Son sourire et ses yeux disent toujours l’amour
Son silence me parle déjà de la beauté de l’éternité
Elle se tient à la porte de la Vie
Et c’est ma maman que

Coupdecoeur
Mer 20 Sep 2006, 21:28 par coupdecoeur sur Parler d'amour

Le gardien de la clef

Les murs d’une prison sont parfois invisibles. Bien entendu il
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.

Vous pensez tous que votre vie vous appartient.
Non, il n’est pas dû à tout le monde d’avoir cette liberté.
Certains s’approprient votre vie, ce sont des " voleurs de vie " .
Et pourtant personne ne les condamne.
Vous avez deux choix, celui de vous soumettre ou celui de
vous battre pour qu’enfin vous " existiez ".
Pourtant , vous ne demandez pas grand chose , juste vivre
en " paix " , refuser les jugements intempestifs, les
réprimandes, les menaces., mais il y en qui préfèrent la "
guerre " , plutôt morte que vivante...
Moi, pacifiste que je suis, je veux juste que l’on me " rende ma
vie " pour la partager avec ceux que et qui m’aiment et me
respectent.
Vous pensiez avoir été aimée et un jour vous comprenez que
l’amour s’en est certainement allé sans forcément que vous y
prêtiez attention.
Vous me direz pourquoi une telle pensée ?
Parce que ce n’est pas " aimer " que de vouloir " s’approprier
la vie " de quelqu’un....

Les murs d’une prison sont parfois invisibles. Bien entendu il
n’y a pas be barreaux et pourtant on se retrouve enfermée.
Par quoi, me direz vous ou plutôt par qui ?
Par celui qui s’est approprié la clef de votre vie.

tant écrire l’amour...
Alors je continuerais à écrire
" l’Amour imaginaire "...

Marie ...Je veux juste vivre...
Lun 04 Sep 2006, 14:28 par Satine sur L'amour en vrac

Mes anges

Ce soir, je suis seule chez moi,
Vous n’êtes plus là, et je pense à vous,
Vous me manquez terriblement,
Toi, mon petit coeur d’amour, toi mon bel ange que tant.
Quand vous m’avez quittée il y a quelques temps,
Je n’ai pas cessé, même encore aujourd’hui, de penser à vous mes étoiles,
Vous étiez indispensables à ma vie,
Vous êtiez ma force, mon énergie, ma raison de vivre, mon souffle.
Ma tête est remplie de votre présence,
Je garde en moi, ces images de bonheur infini,
Mon coeur battait au rythme de vos coeurs,
Je ne peux m’empêcher de penser à vous,
Chaque instant, là, où que je sois, à chaque seconde...
Même si aujourd’hui vous n’êtes que mes anges.
Je vous aime d’un amour éternel.

julia ouin rose
Sam 26 Août 2006, 23:01 par joullia sur Histoires d'amour
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