Mon Homme

Mon Homme,

Quand tu marches près de moi,
Je te vois comme
Un être rare, l’être aimé,
Et je m’abandonne.
que l’on s’arrête,
Nos mains tièdes enlacées,
que tu tournes la tête,
Pour te prendre un baiser.
Mais je me contente de ton profil,
Comme tu es beau en cadence de nos pas,
Et je préfèrerais être tranquille,
Blottie bien au chaud dans tes bras.
Tu penses à mille choses,
Tu ne souffles mot, tu réfléchis,
Je ne pense qu’à une chose,
Aux heures reculées de la nuit
Je me tais, je n’ose parler,
D’imaginer je me contente
Je rougirais de révéler,
Quelles pensées alors me hantent,
Le plus drôle à mes yeux,
Est d’observer les passants
Bien loin de ces fantasmes impétueux,
De ces pensées indécentes,
Car, en effet, qui pourrait croire,
Devant ce tableau si commun,
Que cette demoiselle-là,
A de telles pensées en chemin ?
Comme il est bon de pouvoir penser
Au su de tous et de toutes
De fantasmer, de divaguer,
Sans que personne ne se doute !
Mais revenons à nos moutons
A ce qui dans ma tête gigote,
Je ne parle pas de mes sentiments,
Juste de l’idée d’enlever ma culotte
Mais tu poursuis ta course folle,
Dépêche-toi on va être en retard !
Tu ne veux pas rater l’idole,
Qui joue ce soir un boulevard.


Alexandra
Mer 07 Juin 2006, 14:48 par harmonie sur Parler d'amour

Comme une prière...

Moi, Marie, agenouillée à tes pieds, lève mes yeux vers ton
visage, t’implore du regard où tant y lire
" je t’aime ".
Jeu 25 Mai 2006, 22:46 par Satine sur Parler d'amour

Les mots ( 2 )...

J’aimerais pouvoir m’exprimer avec mes sens.
Les mots sont parfois très handicapants.

Björk
Lun 22 Mai 2006, 10:12 par Satine sur Mille choses

Hommage.

Loin des comédies, certes au goût parfois enjôleur des love stories à l’américaine, il se niche dans un film culte repris récemment, un trésor simple de beauté.

Curieusement, à chaque fois que j’ai pu proposer d’aller voir ce film à des "amies" de circonstance, je m’étais vu répondre, sans grande surprise d’ailleurs, un « non » signifié d’une moue désapprobatrice. Déjà à l’époque mon coeur me disait : "quel dommage, je suis sûr que par là se cache quelque chose de grand". Mais peut être est-il plus facile d’éprouver de la compassion pour un "Quand Harry rencontre Sally" que pour mes idées réputées saugrenues ...

Si ces amies de circonstance ont depuis continué leur route, l’envie de voir ce film ne m’avait pas quitté. Et si je suis en train de vous tenir la jambe à ce moment précis, vous vous doutez bien que je l’ai vu et que j’en suis sur le cul tellement j’ai souri de bonheur.

Je félicite de tout coeur, et remercie Peter Jackson d’avoir su concevoir une telle merveille, d’avoir pris les clichés d’une véritable bête et d’une belle délicieusement femme pour les mettre en scène dans des moments au combien forts et sincères. Je ne me lasse pas de la bataille où la virilité et le courage de cette bête emplie de force de beauté et de fierté sauve la belle, et je ris avec eux lors du manège improvisé sur la glace. Si j’étais une femme, moi aussi un être comme lui. Et si j’étais cet être, oui, je pourrais mourir pour elle.

Regardez ce King Kong, il y a de l’amour dedans, du bon comme on en aime.
Mer 19 Avril 2006, 21:35 par PetitPrince sur Un monde parfait

Oser te dire : Je t'aime...

Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Jamais je n’oserai te dire ces mots là
Pourtant que le printemps lui même,
Accepte ce matin de les conter pour moi.

Pourquoi ne pas oser me dire ces mots là
Ne serait-ce qu’un e mail : virtuel toi et moi
Le printemps est bien là, et la nature explose
Ce matin au jardin s’est ouverte une rose

Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Et cet amour grandit en moi.
Pourtant je souhaite qu’en lisant ce poème
Mes mots se distillent en toi.

Il suffit de les lire ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers le dernier quatrain, à la dernière phrase

Jamais je n’oserai te dire je t’aime,
Taire ces pensées qui naissent en moi
Dans le plus beau des requiems,
Ces mots d’amour flottent vers toi.

Si tu ne peux les dire, ces mots là je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve

Jamais je n’oserai te dire je t’aime
Même si une lueur j’entrevois,.
Tu dois savoir que cette vie de bohème,
Je veux la vivre rien que pour toi.

Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Web cam : ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire

Cette fois j’ose dire que je t’aime
Je te l’écris non sans émoi...
Ces belles paroles que tu essaimes,
Font que mon cœur vibre pour toi

Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…

Eve & Jan hug
Ven 17 Mars 2006, 12:00 par jan goure sur Parler d'amour

Vivre l'amour

Et l’amour alors, c’est si beau dit le lutin à la fée ! L’on en rêve, on l’imagine sans le vivre, on le désire, on le voudrait telle une image que l’on créée parfois et pourtant c’est le hasard qui décide de la rencontre. On sait des choses : on sait ce que l’on ne veut pas, de peur de le revivre, l’on sait aussi ce que l’on espère trouver comme qualité et si l’on est sage, on s’en remet au hasard, au naturel de la vie, à la magie des situations, aux rencontres impromptues. L’on apprend à connaître virtuellement l’autre, ou réellement, enfin si l’on est sage... La sagesse c’est un gage pour vivre un amour qui voguera sur cet océan où l’on voyage au gré du temps qu’il fait en soi, du temps qui passe, du temps qui fuit, de la fuite tout court de peur d’abandonner autre chose qui parfois nous est chère. Mais qui y a-t-il de plus précieux que la personne avec qui l’on a choisi de partager sa vie sur le chemin de l’amour? Il y a quelque chose de plus précieux, c’est une histoire commune et souvent rêvée aussi, je vais vous la conter....

C’est l’histoire de la vie, de deux vies, de vies....

L’amour est comme le soleil, parfois il se couche en nos cœurs éperdus, pour se réveiller et briller de mille feux, il illumine nos visages pour mener à l’épanouissement et nous offrir les joies vivantes dans cette vie qui est tellement belle pour peu qu’on s’en donne la peine.

L’on ne vit qu’une fois, alors autant que ce soit du mieux possible.

Les éléments parfois se déchaînent et déchirent nos cœurs meurtris comme du papier buvard qui a trop absorbé nos désaccords.

Et puis le repos devient alors nécessaire pour se réveiller sous un soleil éblouissant.

Et la vie nous surprend alors et l’amour revient comme le cheval au galop, mais point de maîtrise de cet amour là puisqu’on le vit, on ne décide pas, il vit comme nos cœurs qui ont tant besoin d’amour, aimer c’est ce qu’il y a de plus beau, vivre un amour beau et fort.

Alors on parvient à toucher des instants de bonheur que l’on saisit et qui se gravent en nos mémoires.

Et puis la vie se déroule au jour le jour, la joie émerveille nos yeux ébahis qui brillent à la seule vue de l’autre.

Alors nos cœurs se mettent à battre et l’on transmet notre bonheur en donnant le meilleur de nous-mêmes aux autres, on n’en tire pas de profit puisque tellement heureux de partager notre gaieté, de grands sourires, des mots gentils et la vie devient merveilleuse.

Alors une chose étonnante se produit et notre amour donne naissance à des êtres qui font que notre bonheur nous fait pleurer de joie.

La vie nous réserve tellement de belles choses, il n’y a qu’à tendre la main pour les saisir.

C’est vrai que parfois l’adversité nous met à l’épreuve, il faut alors redoubler d’effort pour affronter des choses parfois insurmontables.

Il existe dans notre cœur des choses insoupçonnables, il faut en prendre conscience pour évoluer vers un certain bonheur...

Je me dis parfois que marcher sur le chemin de la vie et cueillir les plus belles fleurs sur le bas coté, puis arriver au bout de ce chemin qui n’est qu’une impasse, la plus belle des impasses où se trouve la maison du bonheur, avec femme à chérir et jouer avec nos enfants.

Qu’y a t’il de plus beau ? Je pense qu’il n’y a rien d’autre...

Ah si, peut-être regarder en arrière en étant âgé et voir ce que l’on a bâti ensemble, jouer avec nos petits-enfants et se dire que la vie nous a gâté et vivre ce bonheur d’avoir bien vécu au coin du feu et continuer de profiter de la vie.

Et un jour, l’enfant lui demanda.....

Ce jour là, alors il sentit que le moment était privilégié.

Il faisait un temps magnifique, le soleil brillait, c’était une belle journée d’été où le soleil réchauffait les cœurs, le ciel était bleu, les oiseaux gazouillaient, un vent léger caressait le tapis d’herbe folle où ils se promenaient le long de la rivière…

L’enfant demanda à son père : « c’est quoi l’amour Papa ? »

Une question d’enfant simple et vraie que tant de grands ne donnent un sens que si pauvre, un sens qui leur est propre.

- "Tu vois mon fils, l’amour est là tout autour de toi, dans la chaleur du soleil, dans la beauté du ciel, le chant des oiseaux.
L’amour est dans le simple fait de croquer une pomme, de voir une chose qui plaît au regard, de ressentir les sons dans l’écho de son cœur comme si il était une montagne."

- "C‘est chouette l’amour, papa, alors je connais déjà l’amour papa "? !

- "Oh mon fils, l’amour c’est beaucoup d’autres choses.

Tu vois, j’ai beaucoup d’amour pour toi, chaque seconde qui passe, ce que je fais, je le fais aussi pour toi, tu es celui qui prolonge ma vie, tu es ce que j’ai de plus précieux avec ta maman."

- "Et maman tu as de l’amour pour elle aussi alors ?"

- "Oui je l’aime, c’est elle qui a donné un véritable sens à ma vie.

Lorsque j’ai rencontré ta maman, je croyais connaître l’amour, tout l’amour mais je n’en connaissais qu’une partie.

J’ai découvert d’autres parties de l’amour.

Avec celle que tu rencontreras et avec laquelle tu choisiras de fonder une famille, tu auras une part de l’amour qui résonne en toi, qui réchauffe ton cœur comme le soleil nous réchauffe aujourd’hui.
Tu la trouveras belle, plus belle que le ciel bleu et tu aimeras toujours entendre sa voix comme les oiseaux chantent pour chanter la vie.

Alors tu auras envie de partager, de vivre, de profiter de la vie avec elle.
De partager les joies mais aussi les peines, d’être là pour elle. Tu penseras à elle plus qu’à toi, tu auras beaucoup d’espoir de vie avec elle, de croquer cette pomme, de la partager avec elle, de partager tous les plaisirs de la vie, de l’écouter, la chérir, la soutenir si elle en ressent le besoin.

Tu la respecteras aussi en la laissant respirer parce que dans l’amour, il y a aussi besoin de liberté. "

- "C’est drôlement beau l’amour, papa, j’ai envie d’être grand. Mais papa l’amour c’est être libre alors et vouloir partager, c’est difficile, on ne peut pas forcément savoir si l’autre est libre."

- "Oh si, il est libre d’aimer, de partager, de vouloir."

- "Tu sais papa, c’est bizarre, mais tu parles d’amour de liberté de partage et moi au catéchisme, il parle de la même chose, pourtant Monsieur le curé, lui il vit seul, est-ce qu’il connaît l’amour ?"

- "Il a choisi de vivre qu’une part de l’amour, de dire que l’amour est ailleurs et d’aimer les gens à travers des valeurs de liberté, de partage, d’égalité. Ce sont des choses de l’amour dont il parle à travers l’histoire d’un homme qui a vécu il y a longtemps. Il parle aussi de quelqu’un d’autre… Tu te souviens de qui ? "

- "Oui, il parle tout le temps d’un grand homme qu’il appelle Dieu. C’est qui ? Il est où Dieu ? Il dit qu’il est partout, c’est bizarre ! "

- "Oui, il a raison, Dieu est partout autour de nous dans tout ce qui nous entoure, mais il est surtout en un endroit très particulier, tu sais où ? "

- "Dans la pomme peut-être ? ! "

- "Oui il est là aussi, si tu veux, mais il vit avant tout dans un endroit particulier, je te laisse chercher. "

- "Dans le soleil, il est fort le soleil et Dieu il a l’air d’avoir de grands pouvoirs."

- "Oui dans le soleil aussi, mais Dieu n’a pas de pouvoir, il n’y a de pouvoir que dans l’amour. Un pouvoir incontrôlable. Cette envie si belle de partager, de prendre soin, de se lier, de profiter de la vie.

Je vais éclaircir tout ce mystère mon fils…

L’amour est partout mais avant tout en chacun de nous, c’est pour cela que monsieur le curé dit que Dieu est partout et en chacun de nous, en nous, à l’intérieur de notre cœur qui est chaud comme le soleil quand la beauté d’une femme embellit le bleu de notre regard.

Tu as envie de partager, d’être là pour elle, alors tu lui dis tout simplement "je t ‘aime" parce que tu ressens beaucoup d’amour pour elle. Tu dois alors toujours avoir à l’esprit que c’est dans la liberté que vit l’amour, chacun a besoin de respirer, les oiseaux chantent, c’est comme la respiration d’une femme qui a besoin de vivre aussi pour elle.
C’est dans le partage de la vie de deux êtres libres que l’amour est le plus beau. Alors tu découvres le trésor que tu as toujours eu en toi, à l’intérieur de ton cœur. Tu désires alors lui offrir ta vie et partager tout l’amour qui nous entoure, ces pommes dans ce bel arbre, être sous le soleil avec elle, se balader le long de cette rivière. "

- "Mais papa, pourquoi si l’amour est si beau et qu’il est partout, pourquoi les gens crient ? se font tant de mal parfois ? "

- "Beaucoup de gens ont du mal à comprendre cela, je vais te révéler la vérité des Dieux, celle qui dit que Dieu et l’amour est partout.
Je crois que l’amour est partout, même dans les cris, les pleurs, les peines, je crois même qu’il y a de l’amour dans la violence des mots, dans la souffrance que l’on a lorsque l’on pleure parfois.

Je crois que dans tous les mots que l’on dit, il y a de l’amour, le plus grand des amours est dans la beauté de ton cœur d’enfant, tu as une vie d’un enfant qui apprend la vie, qui a beaucoup de joie, qui profite de la vie parce que maman et moi, on veut te donner le meilleur de la vie et de notre amour pour toi.

Tous les enfants n’ont pas cette chance là, leurs parents peut-être ne s’aiment pas vraiment. Est-ce qu’ils ont compris ce que je te livre aujourd’hui ? Est-ce qu’ils ont compris que c’est dans la liberté que l’amour vit ? Si tu prives de liberté l’autre, alors il a moins d’amour pour soi, plus tu lui donnes de liberté, plus il te donne d’amour.

Les grands ont chacun vécu une histoire différente et ils ont tant besoin d’amour, de beaucoup d’amour, c’est le véritable sens de la vie, l’amour.

Ils devraient prendre d’avantage conscience que l’amour est partout, dans la nature, partager des bons moments avec ses amis, dans le travail aussi parfois.
Car pour aimer il faut vivre libre, plus tu es libre, plus l’amour est grand. Et plus l’amour est grand, plus tu seras heureux, heureux de compter pour elle, de partager ses joies, des peines, de l’écouter te parler de ce qu’elle veut.
Alors elle te le rendra mille fois et la vie que tu auras sera riche d’un amour libre. Alors naturellement, tu fonderas, une famille à travers des projets communs, tu apporteras ta pierre comme l’on construit sa vie pierre après pierre.

Tu vois, là on parle, on se promène au bord la rivière, tu construis déjà ta vie, d’enfant, jour après jour tu empiles des briques comme lorsque tu faisais une maison en légo. Lorsque tu vas à l’école tu empiles d’autres briques, si tu as des amis fidèles et vrais, tu empiles d’autres briques et avec nous tu construis ta vie dans tout l’amour que l’on te donne en s’occupant bien de toi. On prend soin de toi, que tu ne manques de rien, que tu travailles bien à l’école, on t’apprend les choses de l’amour, le partage dans les repas que l’on prend tous les jours, la liberté dont tu as besoin lorsque tu veux regarder tranquillement un dessin animé, les sentiments d’amour ne s’apprennent pas, ils sont naturels. Il faut connaître les valeurs de l’amour pour ressentir de vrais sentiments.

On peut vouloir aimer quelqu’un mais on ne peut pas choisir d’avoir de vrais sentiments, de vouloir partager avec lui parce que tout simplement, on a pas les mêmes valeurs ou que les même envies.

On peut aussi aimer éperdument un être qui brille dans son cœur et que l’on voit plus beau que le ciel bleu azur, à qui l’on a envie d’apporter tout son amour, tout son trésor à l’intérieur de son cœur, de lui vouer sa vie et de faire des projets ensemble.

Mais alors là, c’est drôlement beau l’amour.
Pas forcément, l’amour entre un homme et une femme doit être partagé et si tu ne prends pas garde de préserver la liberté de l’autre alors son amour petit à petit diminue pour toi."

- "Mais papa pourquoi tu dis que l’amour est dans tous les mots que l’on prononce ? Je comprends pas papa… "

- "C’est difficile à expliquer mais je vais essayer…. Si j’arrive à t’expliquer et que petit à petit, tu comprends cela alors tu auras la chance de comprendre ce que les autres disent tout le temps…. De les comprendre lorsqu’eux ne se comprennent pas.

Les gens ont besoin d’amour et sans le savoir, ils en parlent tout le temps. Ils croient qu’ils parlent de banalité ou parfois de chose plus difficiles, parfois, ils se disputent.

C’est dans les mots que l’on dit, que l’on dit que l’on a besoin d’amour, de partager, de vivre, de désirer avoir du plaisir, dans le fait de posséder pour remplacer un manque, avoir le sentiment d’exister parfois aux yeux des autres à travers ce que les autres voient.
Ce que l’on possède comme objets n’est que le moyen d’avoir une vie plus agréable, de voir aussi le fruit des efforts de son travail. Il ne faut pas se flouer en croyant exister dans les objets que l’on possède.
Les objets peuvent être utiles, permettre d’avoir un certain plaisir aussi, mais on n’existe pas à travers les objets.
C’est dans l’amour de son cœur que l’on existe et ce que l’on est capable de partager.

Parfois deux personnes ne sont pas d’accord pour partager, et pourtant l’un d’elle le veut alors elles se disputent pour prendre cet amour dont elle a besoin, alors elle prend aussi la liberté de l’autre et l’amour n’est plus.

Le partage, l’amour, les sentiments, il faut être deux et pour être deux il faut être libres.

C’est pareil entre un homme et une femme et entre deux personnes qui ont moins de lien.

Celle qui crie, elle crie son amour, son manque, son vide d’amour, elle parle d’amour à travers des mots parfois violent.

La liberté voilà la chose la plus importante mon fils.

Tu es libre de me poser des questions et je suis libre d’y répondre.
Tu es libre de vouloir me serrer dans tes bras pour me montrer ton amour et là c’est aussi ma liberté de te serrer dans mes bras parce que peut-être qu’un jour, j’aurais besoin d’être libre, tu auras du mal à comprendre alors peut-être que tu te souviendras de notre discussion au bord de cette rivière par cette journée pleine d’amour sous ce ciel bleu sous ce soleil qui fait briller nos yeux lorsque l’on se regarde.

Tu te souviendras que les gens parlent d’amour sans cesse, chacun trouve de l’amour là où il peut, le plus grand des amours sera toujours entre un homme et une femme qui partagent leur vie dans la liberté et les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.

Si tu empiles jour après jour des briques, tu construiras ta vie mais sans cet amour là, ta vie ne sera pas pleine de tout ce qui fait vivre ce trésor que l’on a chacun en nous et que l’on pourrait nommer Dieu, car en chacun de nous vit un Dieu, le Dieu de l’amour.

Il y a autant d’hommes que de Dieu mais les hommes ne savent pas forcément aimer oubliant que plus il y a d’égalité entre l’amour et la liberté, plus l’amour est grand et plus l’amour est grand, plus la liberté est belle, plus les cœurs sont chauds, plus la vie est merveilleuse.
La liberté existe dans tout l’amour qui nous entoure et la liberté de laisser vivre ce que chacun de nous souhaite : une passion, une activité, son travail, la nature, le voyage, un livre, la musique, un fruit.

Tu auras alors envie de donner et de prendre soin des personnes qui font ta vie comme moi je prends soin de ta maman et de toi.

Voilà, mon fils, je t’ai dis beaucoup de chose sur l’amour, une chose encore, l’amour a besoin de sincérité car c’est dans la sincérité qu’existe la liberté des sentiments d’amour, alors sois vrai avec les autres, sois toi-même, ne leur mens pas ni sur toi, ni sur ce que tu leur dis, alors tu te sentiras bien avec toi-même et tu préserveras ce que l’on a de plus précieux, le trésor de l’amour à l’intérieur de ton cœur. Ainsi tu pourras aimer librement."
Mer 15 Mars 2006, 00:10 par Dauphinor sur Parler d'amour

Nous deux

Amour déchiré triste2
Mes larmes n’appèsent plus ma souffrance.
Souffrance qui ne partira que lorsque j’aurais fait mon deuil
Deuil que éviter car je t’aime
et je me souviendrais toujours de toi comme quelqu’un qui a su m’envouter.
M’envouter, me charmer mais ensuite repartir sans aucun mot, aucune parole.
Parole que j’aurais tant voulue entendre,
Car un coeur brisé est triste mais celui qu’on arrache est perdu à jamais.
Jamais je ne te reverrai, pour comprendre pourquoi tu es parti.
Parti avec tous mes biens les plus précieux.
Précieux comme mon coeur, mon âme et mes pensées
Pensées heureuses, pensées tristes et ton image qui à chaque fois revient me déchirer.
Déchirée comme celle qu’on jette après l’avoir utilisée.
Utilisée comme tu as fait avec moi.
Moi j’espère ne plus jamais te revoir...
Mar 14 Mars 2006, 18:11 par dorémi sur Parler d'amour

Toi, qui m'attires

Toi, qui m’attires.
Toi, qui par un sourire,
M’as plu dès la première fois,
Et m’as fait espèrer, qu’il y aurait d’autres fois.

J’aimerais te dire que tu me plais.
Te faire savoir que je suis moi,
Dès que je suis près de toi.
Et que que tu restes là.
Lun 27 Fév 2006, 22:13 par Satine sur Parler d'amour

mots d'une nuit d'été...

J’aimerais t’écrire du « léger », de « l’aérien » qui irait, selon tes humeurs te caresser, te consoler ou t’apaiser.
J’aimerais être sourires et émotionnellement toujours au sommet, sans états d’âme et sans trente-sixième dessous.
Par pudeur, je broderais autour de la Lune et de l’Ange, leur amour, leurs aspirations communes, leurs ambitions respectives…la réalité qui les rattrape de toute façon et qu’elles évoquent de loin en loin…parce que…
Le tout sur un fond de musique d’opérette : «…poussez, poussez l’escarpolette…»…pourquoi pas ? Dédramatisons, dé-dra-ma-ti-sons!
J’oserais poser les mots qu’elles ne veulent pas lire ou dire, les mots qui auraient pu leur donner envie d’avancer, peut-être…
Leur amour fut tendresse avant tout, jusqu’au bout…leur amour est encore, malgré tout; il n’en finit pas de les occuper… « ..Oui, tu m’occupes, oui…et que ça continue! Oui…je veux…et si je te dis le contraire, ne me crois pas! »
Leur histoire s’est déclinée au présent ; le futur est un temps qui ne leur convenait pas, sans doute…allez savoir…
Toutes deux se sont données les moyens de faire l’impasse sur leur bonheur! Elles n’ont pas su ou pas voulu faire de leur amour un avantage…elles se sont éparpillées, perdues en considérations plus importantes…prioritaires, parait-il. L’une aurait bien voulu, je crois, faire de l’autre une de ses priorités…l’autre n’était pas disponible pour envisager cette possibilité…
Une nuit de pleine lune : le décor. Le temps d’une nuit, leur dernière nuit certainement, les écouter défaire leur amour, s’en prendre aux autres, invectiver la société, en vouloir au monde entier …brasser beaucoup d’air pour pas grand-chose…. «…un peu comme ce qu’il restera de nous, presque rien…je ne le veux pas ! je veux des mots comme : beaucoup, plein, immodéré aussi, excessif également…et si je te dis le contraire, ne me crois pas…»
La Lune dit à l’Ange :
« J’ai envie d’un amour à partager…nous échangeons parfois nos pensées et nos mots, nous partageons des nuits et des jours contrariés par nos séparations, nous ne savons pas quand nous allons nous revoir...à ce rythme notre relation va devenir platonique et ça risque de me chagriner…mais nous n’en parlons pas et d’ailleurs de quoi parlons nous ? De toi, là-bas ; de moi, ici ; de tout sauf de nous ensemble…il faut croire que nous deux, ça nous fait peur…à ce rythme je vais oublier qu’un jour nous avons connu des instants bénis, ensemble, quand il m’arrivait de te dire : « bonjour amour… » avant de déposer un baiser sur ton épaule, avant de t’aimer…nous ne disons rien, nous faisons comme si…toujours…nous entretenons l’illusion...
Tu voudrais partager…j’aime t’offrir des mots tendres, insouciants qui bercent, te baignent, t’enveloppent de douceur. Mais, partager c’est aussi pouvoir exprimer ses angoisses, ses appréhensions, ses désirs, tous ses désirs, ses besoins de l’autre souvent et n’importe quand; dans notre histoire d’amour, il y a une partie de moi qui est en trop, je la cache: elle est sentimentalement incorrecte…alors monange, j’ai besoin de toi, et si je te dis le contraire… »
L’Ange ne dit rien; ses yeux n’ont pas quitté la Lune,
la Lune qui n’en finit pas d’éclairer l’Ange…
la Lune qui cette nuit est « dans l’eau ».
Sam 29 Oct 2005, 06:09 par danslalune sur La vie à deux

L'amour est vie...

L’amour est comme le soleil, parfois il se couche en nos cœurs éperdus, pour se réveiller et briller de mille feux, il illumine nos visages pour mener à l’épanouissement et nous offrir les joies vivantes dans cette vie qui est tellement belle pour peu qu’on s’en donne la peine.

L’on ne vit qu’une fois, alors autant que ce soit du mieux possible.

Les éléments parfois se déchaînent et déchirent nos cœurs meurtris comme du papier buvard qui a trop absorbé nos désaccords.

Et puis le repos devient alors nécessaire pour se réveiller sous un soleil éblouissant.

Et la vie nous surprend alors et l’amour revient comme le cheval au galop, mais point de maîtrise de cet amour là puisqu’on le vit, on ne décide pas, il vit comme nos cœurs qui ont tant besoin d’amour, aimer c’est ce qu’il y a de plus beau, vivre un amour beau et fort.

Alors on parvient à toucher des instants de bonheur que l’on saisit et qui se gravent en nos mémoires.

Et puis la vie se déroule au jour le jour, la joie émerveille nos yeux ébahis qui brillent à la seule vue de l’autre.

Alors nos cœurs se mettent à battre et l’on transmet notre bonheur en donnant le meilleur de nous même aux autres, on en tire pas de profit puisque tellement heureux de partager notre gaieté, des grands sourires, des mots gentils et la vie devient merveilleuse.

Alors une chose étonnante se produit et notre amour donne naissance à des êtres qui font que notre bonheur nous fait pleurer de joie.

La vie nous réserve tellement de belles choses, il n’y a qu’à tendre la main pour les saisir.

C’est vrai que parfois l’adversité nous met à l’épreuve, il faut alors redoubler d’effort pour affronter des choses parfois insurmontables.

Il existe dans notre cœur des choses insoupçonnables, il faut en prendre conscience pour évoluer vers un certain bonheur...

Je me dis parfois que marcher sur le chemin de la vie et cueillir les plus belles fleurs sur le bas coté, puis arriver au bout de ce chemin qui n’est qu’une impasse, la plus belle des impasses où se trouve la maison du bonheur, avec femme à chérir et jouer avec nos enfants.

Qu’y a t’il de plus beau, je pense qu’il n’y a rien d’autre...

Ah si, peut-être regarder en arrière en étant âgé et voir ce que l’on a bâti ensemble, jouer avec nos petits enfants et se dire que la vie nous a gâtés et vivre ce bonheur d’avoir bien vécu au coin du feu et continuer de profiter de la vie.
Sam 02 Juil 2005, 08:51 par Dauphinor sur Parler d'amour

Maman , si tu savais...

Maman
Si tu savais...

Comme
Tant pouvoir
Le dire
Encore ce mot

Maman
Si tu savais...
Dim 29 Mai 2005, 10:26 par Satine sur Mille choses

C'est la vie...

Il y a ces moment si forts et si doux que nous partageons....puis il y a cette sensation de vide qui s’installe quand nous nous quittons; ce n’est pas douloureux, un peu perturbant, c’est tout....et voilà, nous vivons chacune de notre côté d’autres moments autrement forts, autrement doux...différents; certains d’entre eux, les vivre avec toi...oui, c’est ça.
Ven 20 Mai 2005, 12:59 par danslalune sur Histoires d'amour

Sensualité

voilà des mots que j’aurais aimé savoir écrire..mais le mérite en revient à Axelle Red

Jamais je n’aurais pensé ...
"Tant besoin de lui"
Je me sens si envoutée
Que ma maman me dit : ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour

J’aime j’aime
Tes yeux, j’aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Oh stop un instant
J’aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d’années
Ta sensualité

Il paraît qu’après quelques temps
La passion s’affaiblie
Pas toujours apparemment
Et maman m’avait dit : ralentis
Désir et amour
Tu le sauras un jour

J’aime j’aime

Je te demande simplement
Ne fais pas semblant
Je t’aimerai encore
Et encore

Désir ou Amour
Lun 16 Mai 2005, 14:11 par Satine sur Parler d'amour

L'amour, encore.

J’aimerais vous parler du tout autre cette essence dont j’ai parlé au départ, l’élan vers cette inaccessible étoile qui se trouve en chacun de nous, au coeur de chacun de nous, et vers laquelle, de façon consciente ou inconsciente, tout notre être aspire. Je mets l’accent sur l’inaccessibilité, sur la distance, sur le tout autre, parce que dans cette relation-là, la véritable unité ne peut se réaliser que dans la conscience d’une transcendance. Ecoutons, par exemple Rûmi, le saint de Konya, parler de ce passage de la dualité à l’unité. L’Amour s’exprime vraiment lorsque l’Amant, l’Aimé et l’Amour lui-même ne font plus qu’un : « Quand l’homme et la femme deviennent un, tu es cet un. Quand les unités sont effacées, tu es cette unité. Tu as façonné ce "je" et ce "nous" afin de pouvoir jouer au jeu de l’adoration avec toi-même, afin que tous les "je", les "tu" deviennent une seule âme, et soient à la fin submergés dans le Bien-Aimé ». Cet amour-là est déraison, cet amour-là est folie, cet amour-là va à l’encontre de tous les critères habituels par lesquels notre être individuel reconstitue autour de lui un univers, un environnement. Il s’inscrit en opposition ou en contrepoint, ou à contre-courant de ce qu’on appelle habituellement amour - et ce qui n’est en fait que l’une des multiples façons de s’aimer soi-même. On aime ceux qu’on aime parce que généralement, ils nous renvoient une image de notre propre amour pour nous-mêmes. C’est par exemple l’amour pour les proches, pour les enfants qui nous perpétuent, tout ce qui nous renvoie à cet univers que nous avons tissé et qui nous fait exister. C’est là un amour raisonnable. Quant à l’amour de déraison, c’est un amour pour quelque chose qui ne renvoie plus à nous-mêmes, mais qui, de plus, nous révèle dans le miroir des autres, le miroir de l’altérité, une présence, une essence spirituelle.

Ecoutons cet autre poème de Rûmi : « Si je cherche mon coeur, je le trouve dans ton quartier. Si je cherche mon âme, je la trouve dans tes cheveux. Lorsque, assoiffé, je bois de l’eau, dans l’eau je vois l’image de ton visage ». Pour ne plus retrouver dans l’amour de l’autre le reflet de sa propre image, mais retrouver l’image de son essence spirituelle, il faut qu’il y ait cette distance, cette inaccessibilité. Il faut qu’il y ait cette soif, cette nostalgie. Il faut qu’il y ait cette maladie d’amour, cette douleur d’amour, ce désir intense qui devient ce qui nous nourrit. Il faut qu’il y ait ce que dans toutes les poésies amoureuses du monde, on appelle le chagrin d’amour. Ce chagrin dont aucun amoureux ne souhaiterait, pour tout l’or du monde, être délivré. Dans le Cantique des Cantiques, j’ai relevé ces quelques vers : « Je vous en conjure, filles de Jérusalem, si vous trouvez mon bien-aimé, que lui déclarerez-vous ? Que je suis malade d’amour. » Il faut que s’allume dans notre coeur cette flamme sacrée. Il faut s’embraser, comme d’ailleurs Rûmi le dit lui-même de son cheminement, de toute sa vie. Il dit que cela se résume en trois choses : « J’ai été vert, j’ai été ensuite cuit, et maintenant je suis consumé »

C’est l’asservissement à cet amour, l’asservissement à ce mystère qui s’est exprimé dans des multiples poésies sur cet esclavage, sur ces malheurs de l’amour. Un poète dit : « Si le malheur doit être le prix de mon amour, je suis prêt à l’accepter. Eprouve-moi, éprouve-moi de toutes façons, que tu saches que je t’aime de toutes les façons ».

Voici cet homme, au faîte de sa réalisation, considéré de son vivant comme l’un des plus grands maîtres du soufisme pour certains, qui parle de cette femme en des termes absolument extraordinaires et brûlants d’amour. Il écrira d’ailleurs à son propos un recueil de poèmes magnifique, intitulé « L’interprète des désirs », où il parle de Nizhâm en des termes qui font à la fois l’éloge de sa beauté et de sa spiritualité. Ibn ’Arabi, devant le scandale suscité par ces textes, dut commenter ces poèmes, ce qui d’ailleurs ne résolut rien, le commentaire portant l’ambiguïté à son _expression ultime.

Il faut dire cependant que l’inaccessibilité, en l’occurrence, ne signifie pas irréalité, car ce qui est en jeu, ce qui s’exprime à travers cette dimension de l’amour, c’est le fait que même si nos relations sont les plus proches possible, même s’il s’agit de relations de proximité directe, il y a en chaque être avec lequel nous sommes en relation dans cette dimension-là, une dimension du mystère, une dimension de l’inaccessible divin qui constitue le secret qui nous lie à lui. La proximité extérieure la plus grande possible ne doit en aucune façon épuiser cette part d’inaccessibilité, cette part de secret divin qu’il y a en l’autre. D’où cette tradition qui s’est traduite par l’amour de la "dame de la tour", dans la culture occidentale, et par toutes les formes de la poésie courtoise spirituelle, dans la culture orientale. Dans cette tradition, l’Amant est soumis à des épreuves qui établissent clairement que ce qu’il aime chez l’autre, ce n’est pas simplement un reflet de lui-même, mais son essence spirituelle qui l’attire au-delà de lui-même. Ecoutons ce poème de ricko:«
J’ai atteint l’ivresse et nul de mes amis n’a perçu par quel vin je les ai distancés ? Mon ivresse n’était fruit d’aucun nectar Seules les vertus de l’Aimé m’enivrent le saviez-vous ? S’il en est qui au soir s’abreuvent de vin vieux, Je m’abreuve moi de vos attraits radieux. Ainsi les voyez-vous s’émouvoir un instant, Là où je m’émeus moi à longueur de temps. Lorsque le cri de l’âme, exprime en vers, rythmé et accordé, la poésie se fait chant. Et lorsque ce cri, élan nostalgique de l’âme, est accompagné par des instruments, on parle alors de musique. Vous êtes une invitation à cette écoute. C’est à travers le cœur que l’audition intérieure s’opère et c’est par la pratique du " Toi " et du " Moi " afin que tous les "Je", les "Tu" deviennent une seule âme, et que mon moi-même réalise que tout dans l’univers n’est que vous. Car n’est-il pas dit dans vos mots, que votre beauté d’âme chante les louanges du Bien Aimée ? »

Lorsque l’Amour s’adresse d’une façon spécifique, profonde, à celui qui la reçoit. Et il ne peut pas y avoir là de subterfuge. Tout se sait, tout se sent. Qu’importent les actes extérieurs, ce qui importe se sont les actes intérieurs et leur signification. Et c’est cette signification-là qui guide comme un souffle de sincérité nos pensées, nos sentiments et nos actes.
Mer 19 Jan 2005, 10:05 par ricko sur Parler d'amour

Il y a ...

Il y a l’amour qu’on veut, celui qu’on arrive à définir, et puis il y a l’amour, celui qu’on vit. La femme idéale, l’homme idéal et l’homme de ma vie, la femme de ma vie en somme. Il y a des femmes sur lesquelles je me retourne, celles que bien etreindre, celles dont je serais fier d’être aimé. Il y les femmes auxquelles je m’interresse, parce que j’ai envie de les aimer. Il y les femmes que j’ai aimées, et je ne l’ai su qu’aprés. Il y a les femmes qui voudraient que je les aime, et auxquelles je prete attention, des fois oui, des fois non.

Et vous, il y en a aussi qui vous feraient parler d’amour ?
Dim 07 Nov 2004, 20:57 par PetitPrince sur Parler d'amour
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Ecrire sur j’aimerais

Ecrire sur j’aimerais Mon Homme, Comme une prière..., Les mots ( 2 )..., Hommage., Oser te dire : Je t'aime..., Vivre l'amour, Nous deux, Toi, qui m'attires, mots d'une nuit d'été..., L'amour est vie..., Maman , si tu savais..., C'est la vie..., Sensualité, L'amour, encore., Il y a ...,
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Bonne lecture !

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L'amour est comme la rougeole, plus on l'attrape tard, plus le mal est sérieux.

D.W. Jerrold.

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