Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur jours - Page 5 sur 24
Dans un monde parfait, je t'écrirai maintenant ceci
A cet ange déchu,
Quand nous nous réveillons chaque matin, nous croyons vivre dans nos rêves.
Mon rêve, c’est d’avoir cru que tu étais un ange au point d’avoir oublié que tu étais un homme. Tout simplement.
Peu de temps après ma dernière lettre, je t’ai montrée mes différents visages. Tu n’as pas fui. Je n’ai pas compris. J’ai cru pouvoir t’éloigner de moi, peur que tu t’emmouraches de moi. Face à tant de gestes affectueux de ma part et tant de confidences, tu laissas croître une passion pour moi. Je sentais cette tension, j’ai voulu la disperser mais je ne sus pas m’y prendre. Je me laissai happer par ton rêve. Pourquoi ? Car j’avais envie de vivre une nouvelle vie pour un nouveau départ. Malheureusement, je ne suis pas arrivée à suivre ton rêve. Je ne suis pas arrivée à vivre un rêve avec toi. Pourtant, je le voulais. Quand j’étais dans tes bras, je voulais que ce temps dure. Maintenant, ce temps disparu vit dans mes bribes de rêve. J’avais envie de toi. Je me suis, de tout cœur, délectée de ton parfum enivrant. J’ai aimé tes caresses. Je pense, au final, que j’ai fini par t’aimer. Certes, tu es loin de mes idylles, mais tu semblais si doux, si doux…
Maintenant, que restent de nos amours ? Rien. Juste des amis en commun, trop de connaissances en commun qui finiront par percer à jour mes autres visages. En me laissant aller avec toi, j’ai programmé ma mort. Tu ne veux plus qu’on se voie. Très bien. Mais, je te vois tous les jours à travers le visage de nos nombreuses connaissances communes. Toi, tu continues à fréquenter ce cercle de connaissances. Moi, j’évite toutes les sorties de ce cercle pour ne pas faire éclater l’histoire.
En espérant que cette mort soit douce,
Quand nous nous réveillons chaque matin, nous croyons vivre dans nos rêves.
Mon rêve, c’est d’avoir cru que tu étais un ange au point d’avoir oublié que tu étais un homme. Tout simplement.
Peu de temps après ma dernière lettre, je t’ai montrée mes différents visages. Tu n’as pas fui. Je n’ai pas compris. J’ai cru pouvoir t’éloigner de moi, peur que tu t’emmouraches de moi. Face à tant de gestes affectueux de ma part et tant de confidences, tu laissas croître une passion pour moi. Je sentais cette tension, j’ai voulu la disperser mais je ne sus pas m’y prendre. Je me laissai happer par ton rêve. Pourquoi ? Car j’avais envie de vivre une nouvelle vie pour un nouveau départ. Malheureusement, je ne suis pas arrivée à suivre ton rêve. Je ne suis pas arrivée à vivre un rêve avec toi. Pourtant, je le voulais. Quand j’étais dans tes bras, je voulais que ce temps dure. Maintenant, ce temps disparu vit dans mes bribes de rêve. J’avais envie de toi. Je me suis, de tout cœur, délectée de ton parfum enivrant. J’ai aimé tes caresses. Je pense, au final, que j’ai fini par t’aimer. Certes, tu es loin de mes idylles, mais tu semblais si doux, si doux…
Maintenant, que restent de nos amours ? Rien. Juste des amis en commun, trop de connaissances en commun qui finiront par percer à jour mes autres visages. En me laissant aller avec toi, j’ai programmé ma mort. Tu ne veux plus qu’on se voie. Très bien. Mais, je te vois tous les jours à travers le visage de nos nombreuses connaissances communes. Toi, tu continues à fréquenter ce cercle de connaissances. Moi, j’évite toutes les sorties de ce cercle pour ne pas faire éclater l’histoire.
En espérant que cette mort soit douce,
Jeu 19 Août 2010, 02:09 par
Solina sur Un monde parfait
Une jolie rencontre
Cindy lisait son journal comme tous les matins, et se mis à parcourir,la page des rencontres.Elle cherchait, une personne susceptible de l’accompagner pour une randonnée, qu’elle avait déjà préparé depuis très longtemps, et comme elle était en vacances au moins pour trois semaines,elle se réjouissait ,de partir.Mais seule, cela ne l’enthousiasmai pas du tout, alors elle s’était mise idée en tête de trouver une personne qui aimerait l’accompagner dans cette aventure.On lui avait bien dit aussi qu’elle pourrait consulter des sites de rencontre pour ce genre d’activité.
Deux jours plus tard: LUI
Nous marchions, nos sacs pesant lourds, il était temps, de nous arrêter,car de toute façon la nuit n’allait pas tarder,et les étoiles
scintilleraient bientôt.Un peu de bois ramassé, aux alentours ferait l’affaire, car j’avais l’impression que les nuits étaient fraiches.Un bon feu, et nos sacs de couchage, nous étions épuisés, et ravi en même temps.Le temps de nous faire réchauffer une soupe lyophilisée, un morceau de fromage , et hop au lit!.Nous tacherons de faire meilleur repas demain, car j’avais repéré pas très loin d’ici,une rivière.Nos yeux à peine fermés, nous nous endormions...
Elle,je l’ai rencontré sur un site, bien que j’avais mis une petite annonce sur un quotidien,je cherchais une femme qui aimait la randonnée et camping à la sauvage sans "chichi".Alors nous avions décidé de nous rencontrer, et de partir à l’aventure si tous collait... <elle aimait aussi la randonnée, et elle avait déjà beaucoup voyagé.Nous avions finalement la même passion...
La première fois que je l’ai vu,et la première impression,était qu’elle avait cette joie de vivre,des yeux pétillants.A vrai dire, je ne dirai pas qu’elle était belle, mais elle avait ce charme qui me donnait des frissons.Quand à moi, je ne sais pas comment elle me voyait, mais bon on m’avait dis, que j’étais un homme jovial, et après tout, je ne me trouvai pas si moche que cela.Elle se prénommait Cindy.
" Enchanté moi c’est Gérard".
Nous avons tous de suite sympathisé, et nous étions d’accord sur la destination de notre petit voyage.le lendemain, matin je sentais, un petit froid me gagner le dos, et je me réveillais, le feu éteint,Cindy dormait toujours sa tête enfouie dans son duvet.Je décidais de me lever, et d’aller pécher, pour notre repas.La pêche n’avait pas été si mauvaise et Cindy dormait toujours.Un bon feu, la réveillerai peu-être, et l’odeur du café,et des poissons cuisant tout doucement taquinerait sans doute son odorat.
"MORPHÉE"! laisse la donc se réveiller!
Un étirement, un soupir de bien -être, un sourire et mademoiselle si belle avait faim..
.
Elle fit honneur à ce festin, puis elle décida,d’aller se baigner,et je l’a regardais partir, en me disant que je l’a rejoindrai bien,mais étais-ce convenable?je n’ai pas plus tôt dis cela,qu’elle me proposa de la rejoindre.
"Merde!" voila que je me suis mis à rougir comme un collégien;à l’idée de me baigner avec elle.Elle était à l’aise, et me mettait à l’aise aussi sans arrière pensée.Puis elle sortit de l’eau sans m’avertir, et je piquais un fard, à la vue de son corps aux courbes parfaites, sans paraitre gênée, comme si je n’étais pas la.C’est a ce moment la, que j’ai su que j’étais tombé amoureux d’elle.Un bon coup sur la tête, mon cœur qui chavirait, mais je me demandais surtout si elle ressentait quelque chose pour moi.Enfin,en tous cas ,elle ne laissait rien apparaitre sur son visage.Dans quelle galère je mettais fourré!Il y a fallut que cela me tombe dessus, et maintenant je me demandais "et si elle n’a pas les même sentiments,? je vais en crever"...
On a beaucoup discuté, et nous avions finalement beaucoup à apprendre l’un de l’autre, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours,et je m’attachais de plus en plus à elle.On a continuer, notre ascension péchant se baignant,parcourant des kilomètres campant par-ci par-la ,et elle m’a donné un espoir chargé d’amour et de promesse.
caressedesyeux
Deux jours plus tard: LUI
Nous marchions, nos sacs pesant lourds, il était temps, de nous arrêter,car de toute façon la nuit n’allait pas tarder,et les étoiles
scintilleraient bientôt.Un peu de bois ramassé, aux alentours ferait l’affaire, car j’avais l’impression que les nuits étaient fraiches.Un bon feu, et nos sacs de couchage, nous étions épuisés, et ravi en même temps.Le temps de nous faire réchauffer une soupe lyophilisée, un morceau de fromage , et hop au lit!.Nous tacherons de faire meilleur repas demain, car j’avais repéré pas très loin d’ici,une rivière.Nos yeux à peine fermés, nous nous endormions...
Elle,je l’ai rencontré sur un site, bien que j’avais mis une petite annonce sur un quotidien,je cherchais une femme qui aimait la randonnée et camping à la sauvage sans "chichi".Alors nous avions décidé de nous rencontrer, et de partir à l’aventure si tous collait... <elle aimait aussi la randonnée, et elle avait déjà beaucoup voyagé.Nous avions finalement la même passion...
La première fois que je l’ai vu,et la première impression,était qu’elle avait cette joie de vivre,des yeux pétillants.A vrai dire, je ne dirai pas qu’elle était belle, mais elle avait ce charme qui me donnait des frissons.Quand à moi, je ne sais pas comment elle me voyait, mais bon on m’avait dis, que j’étais un homme jovial, et après tout, je ne me trouvai pas si moche que cela.Elle se prénommait Cindy.
" Enchanté moi c’est Gérard".
Nous avons tous de suite sympathisé, et nous étions d’accord sur la destination de notre petit voyage.le lendemain, matin je sentais, un petit froid me gagner le dos, et je me réveillais, le feu éteint,Cindy dormait toujours sa tête enfouie dans son duvet.Je décidais de me lever, et d’aller pécher, pour notre repas.La pêche n’avait pas été si mauvaise et Cindy dormait toujours.Un bon feu, la réveillerai peu-être, et l’odeur du café,et des poissons cuisant tout doucement taquinerait sans doute son odorat.
"MORPHÉE"! laisse la donc se réveiller!
Un étirement, un soupir de bien -être, un sourire et mademoiselle si belle avait faim..
.
Elle fit honneur à ce festin, puis elle décida,d’aller se baigner,et je l’a regardais partir, en me disant que je l’a rejoindrai bien,mais étais-ce convenable?je n’ai pas plus tôt dis cela,qu’elle me proposa de la rejoindre.
"Merde!" voila que je me suis mis à rougir comme un collégien;à l’idée de me baigner avec elle.Elle était à l’aise, et me mettait à l’aise aussi sans arrière pensée.Puis elle sortit de l’eau sans m’avertir, et je piquais un fard, à la vue de son corps aux courbes parfaites, sans paraitre gênée, comme si je n’étais pas la.C’est a ce moment la, que j’ai su que j’étais tombé amoureux d’elle.Un bon coup sur la tête, mon cœur qui chavirait, mais je me demandais surtout si elle ressentait quelque chose pour moi.Enfin,en tous cas ,elle ne laissait rien apparaitre sur son visage.Dans quelle galère je mettais fourré!Il y a fallut que cela me tombe dessus, et maintenant je me demandais "et si elle n’a pas les même sentiments,? je vais en crever"...
On a beaucoup discuté, et nous avions finalement beaucoup à apprendre l’un de l’autre, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours,et je m’attachais de plus en plus à elle.On a continuer, notre ascension péchant se baignant,parcourant des kilomètres campant par-ci par-la ,et elle m’a donné un espoir chargé d’amour et de promesse.
caressedesyeux
Mar 10 Août 2010, 10:28 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Est ce que je prends trop soin de toi?
C est une question que je me suis déjà posée
C’est une affirmation déjà exprimée
Moi prendre soin de toi, tu aimes cela
Mais seulement dans certaines mesures
Des mesures que je ne connais pas
Moi qui suis dans la démesure
Qui dépendent de ce que tu vis toi
Et de ce que tu penses toi
Choses sur lesquelles je n ai aucune prise
Je sais qu’il te faut des moment où je suis tranquille
Pour qu’à ton tour tu prennes soin de moi
Je ne sais pas deviner ces moments
Je souhaiterais que tu n’aies pas à les chercher
Mais seulement sans te questionner
Quelque soit l’instant, tu le fasses
Ne te méprend pas, je suis heureux
De ces tendres instants que nous vivons
Ces jours présents, partagés
Juste parfois anxieux de te donner l’occasion
De pouvoir en nous te réaliser complètement
Sans attendre un instant particulier
Et ainsi atteindre ensemble
Des sommets inimaginés....
Loyd, songe d’une nuit d’été...
C’est une affirmation déjà exprimée
Moi prendre soin de toi, tu aimes cela
Mais seulement dans certaines mesures
Des mesures que je ne connais pas
Moi qui suis dans la démesure
Qui dépendent de ce que tu vis toi
Et de ce que tu penses toi
Choses sur lesquelles je n ai aucune prise
Je sais qu’il te faut des moment où je suis tranquille
Pour qu’à ton tour tu prennes soin de moi
Je ne sais pas deviner ces moments
Je souhaiterais que tu n’aies pas à les chercher
Mais seulement sans te questionner
Quelque soit l’instant, tu le fasses
Ne te méprend pas, je suis heureux
De ces tendres instants que nous vivons
Ces jours présents, partagés
Juste parfois anxieux de te donner l’occasion
De pouvoir en nous te réaliser complètement
Sans attendre un instant particulier
Et ainsi atteindre ensemble
Des sommets inimaginés....
Loyd, songe d’une nuit d’été...
Lun 12 Juil 2010, 23:03 par
Loyd sur La vie à deux
Addiction.
Un premier contact, un premier échange de regards, une rencontre...
Un soir d’été, une chaleur enhivrante, une effluve d’alcool dans l’air
Ses yeux si bleus, la fleur rose..
Une première soirée bien arrosée, des premiers mots et complicité.
(...)
Quelque chose de si fort, de si intense...
Et s’emplifiant au fil du temps et des jours, des soirées passées..
Un soir d’été, une chaleur enhivrante, une effluve d’alcool dans l’air
Ses yeux si bleus, la fleur rose..
Une première soirée bien arrosée, des premiers mots et complicité.
(...)
Quelque chose de si fort, de si intense...
Et s’emplifiant au fil du temps et des jours, des soirées passées..
Mer 07 Juil 2010, 23:21 par
Fleur_deschamps sur Les liaisons sulfureuses
Je suis partie, tu ne m'as pas retenu...
- ...Personne ne me retient.
Jamais.
Mais toi tu aurais pu.
Tu aurais dut.
Tu aurais dut me dire de rester avec toi, car je t’ai accepté. Tu étais, parfait, respectueux, charmant, intimidant, je t’aies cru. Tu m’as trahi. Mais j’ai pardonné. Je regrette de t’avoir rencontré. Tu m’as fait du mal, au point qu’en l’écrivant, je ressente toujours cette intense souffrance. Je n’ai plus confiance en moi, ni en personne. Tu ne vois pas ma souffrance car tu n’es plus là...
Je n’ose plus te parler, je ne veux plus te parler, tout ce que tu fais c’est me raconter ta vie, tes passions, montrer que tu es plus heureuse que moi. Maintenant que tu as une vie, que tu as un fiancé, je n’existe plus, alors que je t’ai tant aimé. Et toi, tu n’as fait que me briser.
J’ai parlé, puis pleuré, puis hurlé jusqu’à ce que mon coeur se casse, que ce vide et ce froid l’emplisse. Je n’ai plus jamais aimé après toi. Après 3 ans. Je n’ai plus aimé. Depuis 3 ans, je n’aime plus. La blessure se rouvre, je n’en peux plus... Je suis faible, tu m’as rendu faible. Je n’y arrive plus. Depuis ton mensonge, je ne peux plus y croire. Idéalisation > remise en question.
Malgré tout, je n’arrive pas à te détester, au contraire. Je te pardonne. Mais je souffre encore. Je souffre car tu m’ignores. J’aimerais pouvoir tout effacer, mais mon passé est toujours là, je m’attarde sur ces choses car elles ont de la valeur, car à cette époque je pensais que tu étais celui que j’attendais. L’ange qui veillait sur moi.
Mais j’avais tort. Les anges existent-ils ? Suis-je encore capable d’y croire ? Je n’en sais rien, je sais par contre, que tu n’en es pas un. Que sur terre, les anges n’existent pas, car nous sommes humains. Je voudrais un ange, je le voudrais tellement...
J’en avais un autre, mais lui aussi s’en est allé.
Et tu ne m’as même pas aidé.
Quand mon père est parti, tu n’as fait que m’enfoncer. J’avais besoin de toi, j’avais besoin de vous. Mais il n’y avait personne. J’ai lutté. Seule...
Alors je ne fais plus confiance, pas seulement avec toi.
Tu n’es pas la seule.
Les autres aussi.
Les autres ne me retiennent pas.
Je m’en vais.
Je suis triste.
Pourquoi c’est toujours moi qui pleure ?
Pourquoi c’est toujours moi qui souffre ?
Je sais que la vie est injuste.
Mais le restera t-elle pour moi jusqu’à la fin de mes jours ?
Pourquoi était-elle juste pour toi ?
Et pas pour moi ?
Qu’ais-je fait ?
Je n’ai rien fait.
Pour les gens qui ne font rien, la vie est injuste...
Ou bien c’est ma perception de la vie qui l’est.
Toi tu dois trouver ça juste. Si tu trouves ça juste, c’est que la justice est propre à chaque personne, je ma définition de la justice n’est pas la même que la tienne.
Ce n’est pas la vie qui est injuste.
Ce n’est pas moi qui suis injuste.
Ce n’est pas toi qui est injuste.
C’est ma vision de la justice qui est injuste.
Mais qu’est-ce que la justice ?
La bonne fortune ?
Le destin ?
Je voudrais être la justice.
Si j’étais la justice, tu serais seule.
Si j’étais la justice, je te ferais endurer la même souffrance.
Car tu savais que je souffrirais en apprennant la vérité.
Tu avais fini de joué, tu as pris ton pieds et tu m’as enterré.
Je devrais VRAIMENT te détester.
Mais je ne ressens plus rien.
Depuis que mon père est parti, je ne ressens plus rien.
Je me suis protégé. Je n’ai plus voulu souffrir.
Je ne ressens ni haine, ni joie, ni une réelle tristesse...
Je ne sais plus ce qu’est être joyeuse, ni être malheureuse...
Parce que ma définition de la justice veut que les autres souffrent autant que je souffre. Parce qu’elle veut que je puisse avoir ce qu’ils ont... Parce qu’elle veut que je sois heureuse plus que tu ne l’aies.
Mais la roue tourne.
Un jour, je serais heureuse.
Et je te cracherais mon bonheur à la figure, te faisant comprendre que tu n’es plus rien pour moi, que tu n’es que le passé et que mon présent est plus important que mon passé.
Je vis dans le passé.
Il faut aller de l’avant.
Mais je ne peux pas.
Comment faire ?
Je l’ignore.
Dim 04 Juil 2010, 20:41 par
Nothing sur Amour internet
Une passion... c'est quoi?
Une guêpe m’a piqué d’amour,
je suis couverte de toi, depuis ton bonjour.
Et j’ai eu beau gratter ma peau, tous les jours de bas en haut
ça n’y fais rien...
Comme la piqure ne désenfle pas, je m’suis mise à avoir peur,
peur de toi et moi...
Mais l’amour est fait ainsi, on a beau désinfecter, ça n’y fait rien...
Zaza que partage Loyd
je suis couverte de toi, depuis ton bonjour.
Et j’ai eu beau gratter ma peau, tous les jours de bas en haut
ça n’y fais rien...
Comme la piqure ne désenfle pas, je m’suis mise à avoir peur,
peur de toi et moi...
Mais l’amour est fait ainsi, on a beau désinfecter, ça n’y fait rien...
Zaza que partage Loyd
Sam 29 Mai 2010, 00:27 par
Loyd sur La vie à deux
A toi...
Mon Amour, mon désir pour toi ne sont en rien
comparables avec de simples besoins ou envie.
Pourquoi ai-je si peur de te l’avouer?
Parce que je souhaiterais plus qu’une banale
relation...
Parce que je ne sais pas ce que cette relation
signifierait pour toi.
Parce que je ne supporterais pas de te partager.
Parce que je t’aime malgré tes travers.
Parce que ton regard, ton sourire, ta voix,
tes mots me font vaciller...
Parce que ta sensibilité m’émeut.
Parce que je te connais depuis des milliers de jours,
je tremble encore lorsque je te parle.
Parce que je ne sais pas si tu t’en aperçois...
comparables avec de simples besoins ou envie.
Pourquoi ai-je si peur de te l’avouer?
Parce que je souhaiterais plus qu’une banale
relation...
Parce que je ne sais pas ce que cette relation
signifierait pour toi.
Parce que je ne supporterais pas de te partager.
Parce que je t’aime malgré tes travers.
Parce que ton regard, ton sourire, ta voix,
tes mots me font vaciller...
Parce que ta sensibilité m’émeut.
Parce que je te connais depuis des milliers de jours,
je tremble encore lorsque je te parle.
Parce que je ne sais pas si tu t’en aperçois...
Mer 12 Mai 2010, 21:39 par
évènement sur La déclaration d'amour
Plus qu'une envie de toi ...
Voilà plusieurs jours que je pense à toi.
Nous nous sommes croisés deux fois chez des amis. Toujours gênée, je te regarde timidement. A mes yeux, tu es un bel inconnu. Ton visage allongé et ton petit sourire timide me font de l’effet. Je reste cordiale de peur de te choquer. Avec certains de mes amis, je me montre plus affectueuse qu’avec toi. Même si j’ai envie qu’on échange plus que des regards timides, je n’ose te brusquer. Lors de notre deuxième rencontre, je te découvre toujours aussi timide, assez silencieux. Bien que la pièce ne fût pas grande et le nombre d’invités assez restreint, je te sens un peu mal à l’aise entouré de tous les fumeurs que nous sommes. Pas facile d’être non-fumeur à une soirée fumeur. Tu suis les conversations qui passent ; et moi, je fais la même chose. Nous parlons avec tout le monde et échangeons de temps à autre ensemble. Au fur et à mesure de la soirée, on commence à avoir des contacts. Un coup de genou, un coup dans la chaussure, une chamaillerie pour un oreiller qui a bien duré cinq à dix minutes ... Peut-être qu’il nous fallait ces gamineries pour se toucher ... Les jeux qu’on a eu m’ont amusé. Nous avons discuté à la fin de notre soirée. Je t’ai senti préoccupé par ma situation amoureuse. Je t’ai répondu assez cordialement, un peu fatiguée de notre soirée fini dans la matinée. Pourquoi tant de cordialité ? Je suis gênée de l’avouer. Je crois de suis entrain de tomber amoureuse de toi. Cela dépasse le simple désir charnel. J’ai déjà connu cela plus d’une fois. Non, je peux te l’avouer que je serai capable de tout abandonner pour toi. Pourquoi ? Je ne connais rien de toi à part le fait que tu sois fraîchement avec une fille. Je ne sais pas pourquoi je me sens attirée par toi. Voilà un beau mystère Je ne sais pas quelle folie me traverse de tout quitter pour toi si tu me le demandais. Est-ce la passion qui me ronge ? Est-ce raisonnable ? Non, rien n’est raisonnable. De ce que je ressens, je pense que cela restera sur ces pages. J’espère que cette folie passera… si elle ne passe pas, on verra …
Nous nous sommes croisés deux fois chez des amis. Toujours gênée, je te regarde timidement. A mes yeux, tu es un bel inconnu. Ton visage allongé et ton petit sourire timide me font de l’effet. Je reste cordiale de peur de te choquer. Avec certains de mes amis, je me montre plus affectueuse qu’avec toi. Même si j’ai envie qu’on échange plus que des regards timides, je n’ose te brusquer. Lors de notre deuxième rencontre, je te découvre toujours aussi timide, assez silencieux. Bien que la pièce ne fût pas grande et le nombre d’invités assez restreint, je te sens un peu mal à l’aise entouré de tous les fumeurs que nous sommes. Pas facile d’être non-fumeur à une soirée fumeur. Tu suis les conversations qui passent ; et moi, je fais la même chose. Nous parlons avec tout le monde et échangeons de temps à autre ensemble. Au fur et à mesure de la soirée, on commence à avoir des contacts. Un coup de genou, un coup dans la chaussure, une chamaillerie pour un oreiller qui a bien duré cinq à dix minutes ... Peut-être qu’il nous fallait ces gamineries pour se toucher ... Les jeux qu’on a eu m’ont amusé. Nous avons discuté à la fin de notre soirée. Je t’ai senti préoccupé par ma situation amoureuse. Je t’ai répondu assez cordialement, un peu fatiguée de notre soirée fini dans la matinée. Pourquoi tant de cordialité ? Je suis gênée de l’avouer. Je crois de suis entrain de tomber amoureuse de toi. Cela dépasse le simple désir charnel. J’ai déjà connu cela plus d’une fois. Non, je peux te l’avouer que je serai capable de tout abandonner pour toi. Pourquoi ? Je ne connais rien de toi à part le fait que tu sois fraîchement avec une fille. Je ne sais pas pourquoi je me sens attirée par toi. Voilà un beau mystère Je ne sais pas quelle folie me traverse de tout quitter pour toi si tu me le demandais. Est-ce la passion qui me ronge ? Est-ce raisonnable ? Non, rien n’est raisonnable. De ce que je ressens, je pense que cela restera sur ces pages. J’espère que cette folie passera… si elle ne passe pas, on verra …
Mer 05 Mai 2010, 04:12 par
Solina sur La séduction
Une croisiere
Une croisière sur notre voilier
Sur les cotes de la méditerranée
Nous sommes enfin seuls.
J’ai attendu des semaines
Pour t’emmener.
Et nous voila tous les deux
Et très amoureux.
Plus les jours passent , plus je m’attache.
TU es mon encre bien attachée à mon coeur
Toi qui à tant de douceur.
je me sens pousser des ailes
Et je décrocherai pour toi le soleil.
Si ,il le fallait
De ces rayons qui bruleraient, nos peaux
Et de nos cœurs battant à l’unisson.
caressedesyeux
Dim 18 Avril 2010, 20:15 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Les opposés
De part ses flammes,
Signe du feu
IL l’inonde de sa chaleur, en l’abrasant.
De par ses entrailles,
Signe de la terre,
Elle le nourrit, et le protège
En faisant un rempart tout autour de lui,
Et en le veillant, afin que ses jours soient plus sereins.
Elle aime
Sa sagesse qu’il projette et dont ses bienfaits tant inattendus
Et qu’elle apprécie à sa juste valeur.
De sa folie à elle si explosive
Et dont il a cette sècheresse du cœur, le rend beaucoup plus humain.
Elle "petit rat" dont son cœur déborde de tendresse et d’amour
Lui "grand fauve" , brillant de par son esprit , et sa sensibilité
Ne peut que la faire craquer.
Grandeur et petitesse sont différents , s’opposent également, Mais se complètent gentiment..............
CARESSEDESYEUX
Mar 30 Mars 2010, 15:14 par
caressedesyeux sur Mille choses
Votes concours interforum vers à lyre n°8
Bonjour à tous,
Ce concours "arc-en-ciel" a donné lieu à 3 participations. A vous de jouer, lisez ces mots, imprégnez vous de leurs teintes et votez pour ceux qui vous auront le plus touché !
Modalités :
Le règlement est toujours à votre disposition si vous le désirez.
PS :
Texte 1
Texte 2
Texte 3
L’artificier
Ce concours "arc-en-ciel" a donné lieu à 3 participations. A vous de jouer, lisez ces mots, imprégnez vous de leurs teintes et votez pour ceux qui vous auront le plus touché !
Modalités :
- Pour voter, postez à la suite de mon message « je vote pour le texte n° ## ».
- Vous avez jusqu’au 15 avril 2010 pour donner votre avis.
- Si jamais vous souhaitez changer votre vote, cela reste possible jusqu’à cette même date en m’envoyant un MP ou en éditant votre message sur le forum.
Le règlement est toujours à votre disposition si vous le désirez.
PS :
- [size=85]Pour les membres de l’équipe Vers à Lyre pensez que vous ne votez QUE sur le forum du magazine ;)[/size]
- Si vous avez écrit un texte d’un autre genre que la citation sur le thème Couleur, vous pouvez le proposer à notre appel à texte jusqu’au 31 mars (plus que 4 jours !)
- S’il y a aussi des artistes sur le forum, pour les photos, dessins, créations sur le thème Couleur, il n’est pas trop tard non plus (fin de l’appel le 31 mars aussi) et dans ce cas, rendez-vous à l’appel à image
Texte 1
| Citation: |
| J’écris à l’encre verte, mon envie de nature,
mon envie de m’allonger dans les herbes hautes. Rester allongée,ressentir l’herbe à mes moindres mouvements. Regarder le ciel et comptempler les nuages et leurs voluptes J’écris à l’encre blanche,les hivers enneigés. J’écris le gel, la froideur humaine. Je décris ces couloirs longs et blancs sans fin. J’ecris la maladie incurable, l’écume, la page immaculée J’écris à l’encre bleue,l’été, les calanques. J’écris mes abysses si profondes.Je décris tes yeux et mes bleux de mon ame. J’écris à l’encre jaune, le soleil,l’espoir, le renouveau. J’ecris mon combat. Je décris ma force vive |
Texte 2
| Citation: |
| J’aime le blanc… Le blanc pur d’un ange déchu, le blanc intouché d’une vierge, le blanc d’une jeune mariée frémissante. J’aime le blanc de ta peau qui se hérisse sous mes caresses.
J’aime le noir… Le noir ténébreux des démons, le noir inquiétant des ruelles désertes, le noir impénétrable de la nuit. J’aime le noir de tes cheveux que j’empoigne violemment. J’aime le vert… Le vert enivrant de l’absinthe, le vert mortel du poison, le vert des espoirs déçus. J’aime le vert de tes yeux effrayés. J’aime le rose… Le rose innocent des petites filles égarées, le rose honteux aux joues des prudes effarouchées, le rose odorant des fleurs du mal. J’aime le rose de tes lèvres tremblantes. Mais par-dessus tout, mon ange, j’aime le rouge de ton sang qui ne coule que pour moi. |
Texte 3
L’artificier
| Citation: |
| La nuit légende l’or des étoiles mourantes
Dans le bain marine de ses voiles obscurs. Les lunes sont blanches sur les nues qui s’éventent Aux marées stellaires colorant nos futurs. Quand fleurissent soudain des jardins éphémères Éclaboussant les sens de leurs effets visuels. Des fleurs éclatantes s’approprient les jachères Des champs du ciel ravis de ces bouquets pluriels. Des coquelicots s’étalent dans l’explosion Du camaïeu des bleu vociférant l’espace Le temps d’un soupir où s’imprime l’éclosion Des boutons d’or et des violettes fugaces. Et l’on voit jaillir des fontaines d’Arlequin Ruisselant de soleils déclinant les agrumes Dans l’enluminure d’étranges fruits carmins Dévorés par les flammes de dragons à plumes. L’artificier lâche ses salves de pigments Peignant sur la voûte des tableaux si fragiles Qu’ils fardent nos iris de pétales géants Dans la rémanence d’un rêve versatile... |
Brune ou blonde
Laquelle choisis-tu?
Brune plus inaccessible, et naturelle
Blonde,plus vicieuse et dangereuse
j’encrasse,je m’insère en toi
Je fais souffrir,je détruis
je provoque,j’assouvis des plaisirs.
consolation jours et nuits,a toute heure.
quand tu veux, ou tu veux
par envie,par nécessité,par compréhension.
ça brule!
savoir me prendre par le bon bout
je suis a vous.
me placer délicatement entre tes lèvres,
sans être tente de me craquer.
délire toi des rêves, des images
mais soit sage.
brune ou blonde qui oserait me résister?
mais prenez garde! je suis un danger.
que je sois grande ou petite
mince ou ronde
quelle importance !
on m’apprécie sur le moment
on m’oublie facilement.
m’aime t’ont ?
pour celui qui m’essaye et qui me goute.
je ne fais que passer
refume moi
tu as besoin de moi
caressedesyeux (la cigarette)
Mar 23 Mars 2010, 15:21 par
caressedesyeux sur Mille choses
Être de ceux
" Être de ces gens qui ne vous diront jamais qu’ils vont mal, qui vous diront qu’ils savent qui ils sont, ce qu’ils font et où ils vont, qu’ils n’ont pas besoin d’un panneau d’indication pour choisir la bonne route, pas besoin d’un parachute pour sauter du haut d’une falaise, pas besoin d’un antiseptique pour panser les plaies, pas besoin de faire attention pour éviter l’accident, pas besoin de voir la mort en face pour se sentir mourir. Être de ces gens qui ont un passé plus épais que des piles de casier judiciaire, ceux qui n’ont pas besoin d’une balle dans l’abdomen pour saigner, pas besoin de regarder un film à l’eau de rose pour pleurer, ceux que vous auriez tort d’appeler rebelles, ceux qui n’ont pas besoin de drogue pour mourir d’une overdose parce que leur taux de réalisme est beaucoup trop élevé, ceux qui pourraient mourir d’un accès trop fréquent à la mélancolie, ceux qui ne tendent pas la main alors que leur bonheur fait la manche, ceux qui sont en dessous du seuil de la pauvreté mais en plongeant la tête dans leur esprit vous pourriez remarquer qu’ils ont touché la suprématie spirituelle. Ceux qui sont sans être pour autant, les dépravés, les névrosés, les partisans de la débauche, les échecs de Cupidon, ceux qui n’ont pas de haine et qui lui crachent dessus à chaque entrevu avec elle. Appartenir à la classe de ceux qui diront que des mots comme cela ne pourront jamais panser des maux comme ceux-ci, les arrogants, un peu trop sûr d’eux, ceux qu’on regarde dans les yeux pour savoir qui on est, ceux qui ont l’histoire de leur vie ancrée dans le regard, l’histoire d’une souffrance injustifiée et injustifiable.Ceux qu’on aime tous les deux jours parce que le premier ils n’ont pas besoin de nous et que le deuxième nous avons besoin d’eux. Faire partie de ceux qui ont un sourire mal accroché au bout des lèvres, qui font preuve d’une éloquence sans nom. Être le reflet de la vie, le cœur impitoyable de l’Homme, le regard du dictateur, être la question sans réponse, la phrase sans point... "
Mar 02 Mars 2010, 15:20 par
Playdead sur Mille choses
D'elle à lui...
Plaisir toujours en moi, je n’en ai pas l’oubli
Après nos apartés, chaque fois reparti
Pour aller rejoindre celle qui est ta femme
Mère de tes enfants, même si plus de flamme
C’était l’enchantement quand nous nous retrouvions
Pour un instant trop court et un embrasement
A tous autres fermée, pour toi épanouie
De notre nirvana je fus longtemps ravie
Je le savais déjà, tu n’avais pas menti :
« Ma famille avant tout, et c’est pour mes petits
Je ne veux surtout pas perturber leurs études… »
De cet amour total nous restions aux préludes
Je me croyais ‘froide’, de toi j’ai tout appris
Désormais toute à toi, je l’avais bien compris
Dés lors ont commencé tous ces moments d’attente
Pour moi très agités de fièvre récurrente
Le temps passait si vite, moi aussi je voulais
Avoir une famille, des enfants à aimer
Je t’en avais parlé, par toi encouragée
Ce fut sans mariage, par un ‘ami’ aimée
Je crois l’avoir chéri, de toi différemment
Mais punition divine, je n’ai pas eu d’enfant
Ça ne lui manquait pas ; je m’y suis résignée
Les années écoulées : pour moi pas de lignée !
Vilaine maladie, il fut longtemps soigné
Je ne pensais qu’à lui. Dieu peut en témoigner
Il ne pouvait guérir ; avec la peur au ventre
De ces jours de malheur, il était bien le centre… »
Quand à nouveau bien seule, à toi seul je pouvais
Parler de mes souffrances, et seul tu comprenais
Torturée de chagrin, ce fut sur ton épaule
Que j’ai pu m’épancher : tu as repris ton rôle
Mais tu as bien compris qu’il y avait danger
Avec mon gros chagrin comment me résister
De nouveau Pygmalion, années non oubliées
Retrouvant nos élans, passion multipliée
Et rares sont les jours sans être réunis
Retrouvant chaque fois notre ancien Paradis
Le temps passe à nouveau, l’habitude est reprise
Tu es toujours marié, je suis toujours éprise…
J.R...
Lun 01 Mars 2010, 15:35 par
j.r.garou sur Amour internet
Une starlette
Bip, Bip,Bip,
Elle a oublié de raccrocher le téléphone
car elle n’en revient toujours pas.
On vient de lui proposer
Un rôle, dont elle sera l’interprète principale
Dans une comédie musicale
mais pas n’importe laquelle.
Le rôle de Marilyn Monroe
Dans un de ses film.
Elle s’est préparée a celui-ci
Depuis des semaines, jours et nuits,
A répéter sans cesse
Et voila qu’elle se voit déjà et se projette...............
CLIC-CLAC! MOTEUR! ÇÀ TOURNE!
CARESSEDESYEUX
Dim 28 Fév 2010, 11:12 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ecrire sur jours
Dans un monde parfait, je t'écrirai maintenant ceci, Une jolie rencontre, Est ce que je prends trop soin de toi?, Addiction., Je suis partie, tu ne m'as pas retenu..., Une passion... c'est quoi?, A toi..., Plus qu'une envie de toi ..., Une croisiere, Les opposés, Votes concours interforum vers à lyre n°8, Brune ou blonde, Être de ceux, D'elle à lui..., Une starlette, Il y a 350 textes utilisant le mot jours. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Emmanuelle Beart.
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