ANIMALE

il n’y a pas que ton corps
que la fraîcheur de ton sexe odorant
que je voudrais laper d’une insatiable avidité
toi, ma belle animale
mais chacune des solitudes parcellaires de ta chair
chaque moiteur de tes recoins secrets
chaque timidité
instants farouches
plus qu’avec ma bouche insolente
mes mains avides
ou mes yeux incrédules
mais avec l’indiscrétion de tous mes fragments
rendre libre
tous les tiens
Mer 27 Déc 2006, 03:16 par Alex sur Parler d'amour

Hommage (2)

L’écran était noir. Il était au boulot et sentait son sexe se tendre. Les images qu’il avait d’elle ne cessaient de se présenter à sa mémoire et puis, tout ce qu’il ignorait. Son imagination le rendait fou. Le grain de sa peau, sa texture, caresser ses seins durcis par le plaisir. L’humidité de son sexe... Les gestes qu’elle oserait. Elle serait capable de toutes les impertinences. Il le savait.

Il la voyait là devant lui, le défiant du regard. Svelte, ses cheveux flous cachant la moitié du visage, son sourire entendu. Elle le défierait du regard. Il le voyait. Elle resterait immobile juste le temps pour elle de poser ses yeux sur tout le corps de l’homme traçant sur lui de ses yeux clairs le chemin du supplice... Puis, insouciante, elle agirait.

Passant ses doigts sous le gilet fluo. Elle se glisserait entre lui et les étoffes qui lui tenaient lieu de carapace. Du bout de la langue, des lèvres, l’effleurant, elle parcourrait un chemin humide vertical ses tétons qu’elle goûterait, sucerait, lécherait, mordillerait très très doucement, les mains parcourant son dos, suivant la trajectoire de la colone jusqu’aux fesses qu’elle empoignerait. Sans qu’il ne puisse un seul geste de protestation, elle déferrait son pantalon, bouton après bouton, ou fermeture à glissière ouverte de haut en bas, le cas échéant. Là, au risque que quelqu’un vienne, qu’un collègue entre dans le bureau, elle s’avancerait lui, ferait tomber sur ses genoux le bleu de travail aux poches amples, une nouvelle fois, les yeux plantés dans les siens, elle caresserait son boxer, la taille, les cuisses, et puis, les points sensibles : le pénis, son gland, insistant pour le mettre au supplice, les fruits ronds de sa virilité, avec beaucoup de précision, les surlignant, les dessinant de bas en haut et de haut en bas, du bout des doigts et puis, à pleines mains... Elle le pousserait à bout...
Jeu 21 Déc 2006, 19:00 par dolce vita sur Les liaisons sulfureuses

Re: Comment s'en sortir ?

Tout en détruisant l’autre après s’en être repait... Mais surtout ne pas lâcher sa proie qu’elle n’ait donné la dernière goutte de son sang... Recevez, recevez mais repoussez toujours le moment de votre propre don votre jouissance n’en sera que plus grande...
Mais c’est un jeu - pervers - qui se joue à deux pas de bourreau sans victime consentante...
Dim 17 Déc 2006, 08:57 par dolce vita sur Citations

Le roman était noir

Un personnage oublié sorti d’un livre poussiéreux
J’ai lu de toi tes coups de blues tes érections
Jusqu’à tes délectations
Je ne savais pas que je croiserais tes yeux

Me suis enfuie seulement
J’ai crû en tes maux
J’ai bu tes mots
Rêvant tes sentiments

Cigarettes et chocolat au lait
Champagne et country pies
On a tout mélangé
Jusqu’à ce que je dise « aïe »...

Je te faisais rire
Mais trop j’étais
Tu n’étais pas assez
Jusqu’à ce qu’on se déchire

Un personnage qui était devenu réalité
Mais qui restait comme en retrait
Viens, lui dis-je, viens s’te plaît
Un mot de trop et il s’est effacé...

Il ne faut pas confondre
Fiction et réalité
J’ai tendu la main vers ton ombre
Et le livre s’est refermé....
Dim 10 Déc 2006, 15:50 par dolce vita sur Un monde parfait

Petite histoire

J’étais appuyée contre la porte du bahut. Il avait plus d’une demi-heure de retard. Je soupirai. C’était habituel… Puis je le vis arriver. Toujours l’air décontracté, comme avant… Les larmes me montèrent aux yeux. Mon cœur se noua. Ma gorge se noua. Je me sentis oppressée. Je voulus lui sourire, je grimaçao. Je voulus lui faire signe mais mon bras ne bougea pas, comme si une force extérieure lui avait interdit. Que m’arrivait-il ? Je baissai la tête. Il s’avança vers moi et voulut me faire la bise. Je me laissai embrasser sans rien faire et lui demandai où il comptait m’emmener.. « Où ? Eh bien, où tu veux… ». Comment lui expliquer ? Comment lui dire que tous les endroits me conviendrait, s’il m’aimait comme je l’aimait ? Il souriait. Il avait l’air heureux… Comme s’il avait oublié ce qui s’était passé. Il me prit par la main, me souria et me demanda si j’allais bien, comme deux amoureux… Que nous étions. Je fis un petit sourire et lui parlai. Il m’emmena au jardin du sacré cœur. Comme la première fois. On s’assit au même endroit… Je retrouva le A+J entouré d’un cœur que j’avais tracé pendant qu’il était allé me chercher une glace. Il me demanda si j’avais rencontré quelqu’un. Je mis du temps à répondre. Il aurait rencontré quelqu’un ? Non… Je ne le croyais pas. Et puis… Pourquoi n’aurait-il pas d’autres aventures désormais ? J’avais l’insouciance d’une gamine… Et le cœur donné à un garçon qui ne s’en rendait pas compte. Je lui répondis par la négative et lui retournai la question. J’avais peur de la réponse. Il me répondit tranquillement, comme s’il m’eut raconté son dernier rêve… « Eh bien… Oui. » Il rougit légèrement et poursuivit. « Une fille… ». Comme si je ne m’en doutais pas ! Eh puis quoi encore ? Un dinosaure ? « Elle est dans ma classe et… ça va plutôt bien. ». Je n’en peux plus. Les larmes montèrent aux yeux. Je baissai la tête en signe de désespoir. Des larmes coulèrent sur mes yeux. Je les laissai couler. Je ne cherchai plus à les essuyer. C’était inutile. Il mit sa main sur mon épaule. Il me demanda gentiment quel était le problème. Je le regardais et émis un faible sourire. Il ne comprenait pas que c’était lui le problème… Il voulait comprendre. Je lui expliquai… « Je t’aime. ». Ce n’était pas bien long comme explication. Trois mots… Mais ces trois mots sont les plus difficiles à prononcer. Il fit une drôle de tête. Son visage devint blême. Il s’écarta un peu et me regarda bizarrement.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle qu’on perde tout ce qui nous faisait vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
Mer 29 Nov 2006, 17:11 par Gabouloo sur Mille choses

Partager

Tu me parcours, me savoure
me désire et me boies,
tu me meurtrie, me crève,
me soulève et me noie.
Ces ardentes souffrances me font pâlir,
gémir, mourir puis jouir dans tes bras.
Echangés entre toi et moi,
des caresses des baisers,
en horribles et incessants émois.
Ces gestes gravés
Comme l’écriture la plus ancienne
seront répétés à chaque nouvelle fouille
jusqu’a de plus profondes découvertes.

hug Unebabydoll
Ven 10 Nov 2006, 01:22 par unebabydoll sur Parler d'amour

Aimer

Je me fou de leur monde
En regardant dans tes yeux
A la prochaine nuit sombre
Ne seront-ils point heureux?
Bien des choses me font t’aimer toi
Tout ton être
Il me fait frémir,
Vouloir l’impossible, te vouloir toi.
Je ne sais pas comment ...
Je ne veux pas le savoir!!
Rien ne pourra m’éloigner
je suis otage de ton amour
Mais jusqu’a quand?
En fait peu importe
Je t’aime et voilà tout..

aime Unebabydoll
timide
Ven 10 Nov 2006, 00:52 par unebabydoll sur Parler d'amour

I won't give up

Je trouve l’espoir dans la vie même qui ne veut pas se rendre sans combattre
Dans le désir et dans l’amour
En cette volonté farouche de ne pas baisser les bras

Oh, ami, comme je veux me laisser aimer
Mais les paroles mentent si souvent
Néanmoins, ne plus avoir peur d’avoir un coeur
qui bat

Ivresse de l’amour
Force du partage
Joie d’être

Amour, ne plus avoir de force, je te chercherai...
I wont give up.
Mer 08 Nov 2006, 19:40 par dolce vita sur Mille choses

Chut !

Chut...Ne dit plus rien
Ecoute moi attentivement...

Les courbes de ton corps developpe en moi.
Le désir incompreansible de m’élancer contre toi.

Tes lèvres si delicate me donne le goût de t’embrasser,
D’une façon si toride jamais ateinte jusqu’a present.

Tes yeux petillant, d’un Air charmeur me fais chaviré de pulsions.
Je ne peu plus les contrôlés...

Ton doux regard me donne des chaleurs et des envies folles.
Si je pourrai arrêté le temps de la vie, je le ferai,
Pour t’admirer et te cherire comme aucune femme ne la jamais fait.

Dans le nuit noir, même si je suis aveugle...je te sens,
Et je ne peu pas m’empêché de chanté ton prenom.

J’ai teriblement envie de me perdre dans les etoiles de tes yeux.
De sentir la chaleur petillante de ton corps m’envahir toridement.

J’ai envie d’entendre tes tendres soupires dans cette vague de silence.
De sentir ta douce main tremblante me caressé le visage aprés l’extase.

Je pourrais faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit ce que l’aube se lève.

J’ai seulement envie de toi....de t’aimé
Mer 25 Oct 2006, 21:53 par joullia sur Parler d'amour

Si un jour tu crois que tu m'aimes...

Ne crois pas que les souvenirs me gêne... Non ne le crois pas ...



Message personnel

Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t’aime peut-être


Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, cours perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi.

Françoise Hardy ...
Mer 18 Oct 2006, 06:27 par coeur lourd sur L'amour en vrac

Pas d'équivalence

Je n’oublierai jamais
Cette soirée de juin,
Lorsque tu m’as émerveiller
Par ton doux sourire enjôleur et ton regard enchanteur.

Depuis ce jour béni
Mon coeur est emballé,
Tu hantes mon esprit
Et troubles mes pensées.

L’amour que j’ai pour toi
N’a pas d’équivalence,
Je vibre à chaque fois
Que je sens ta présence.

Tes yeux bruns pénétrants
Ébranlent tout mon être,
Et dans mon corps je sens
La chaleur du bien être.

Avec toi rien n’existe
Que la joie et l’amour,
Et mon coeur ne résiste
A espérer qu’un jour,

Nuit et jour tu me donnes
Jusqu’à l’éternité,
Un amour que personne
Ne pourra égaler.

joullia aime
Sam 07 Oct 2006, 09:05 par joullia sur Parler d'amour

Jusqu'à ton arrivée divine

J’étais une âme perdue
A la recherche de l’inconnu,
Que je pourrais aimer,
Par l’amour qui inonde mon coeur,
Jusqu’à ton arrivée divine.

Tu m’as deviné,
Tu m’as ecouté,
Tu m’as guidé,
Me montrant le chemin plus clair,
De ma destinée déchirée,
En me disant que tu étais à mes côtés...

Quand j’étais apeurée,
Tu m’as rassurée,
Et quand je pleure,
Tu me consoles,
Quand je doute,
Tu me dit de belles choses.

Je ne croyais plus au bonheur de l’amour,
Mais maintenant, je le ressens pour toujours;
Je te jure fidélité
Et je t’aimerais pour l’éternité...
Sam 23 Sep 2006, 09:35 par joullia sur Parler d'amour

Cette clé ouvre les portes de l'amour

J’ai la clé du paradis de mon coeur,
Suis-moi doucement, tendrement,
Fait moi voir ton vrai toi,
Ton ame celeste,
Suis moi,c’est par ici...
On va passer une nuit de folie,
Ou on decouvrira nos corps,
Ou nos fleurs et nos reves,
Chanterons une douce melodie à tout jamais,
Pour que la vie nous conduise
Jusqu’à la fin de notre existence...
Suis moi,
On oublie tous nos ennuis...
On balaye tous nos soucis
On rit , on chante sous la pluie...

Cette clé ouvre les portes de l’amour,
Ne la perd pas, elle est unique, je l’ai donner qu’une seul fois,
J’en ai fait un double et tu as la derniere.
Une romance pointe le bout de son nez
Ne la laissons pas passé pour des utilités
C’est juré, que cette douce romance ne s’arretera pas.
Jeu 21 Sep 2006, 20:21 par joullia sur L'amour en vrac

Embrasse moi (2)

La flamme brûlante au fond de tes yeux
Se consume au fil de mes vœux
La chaleur insoutenable
Te rend plus que désirable
N’attend pas plus
Approche avec classe
Sur un rythme endiablé
Je t’ensorcellerais
A pas de loup comme un serpent
Ne pense qu’à l’instant présent
J’arrive je vais mettre le feu
T’entraîner dans mon jeu
Allumer un incendie
Qui durera toute la nuit
Il faut juste m’embraser
Pour tout déclencher

Embrasse-moi
Consume-moi
Jusqu’à la dernière minute
De toute façon je suis une braise ardente
Je ne m’éteindrais
Jamais
Embrase-moi
Sam 16 Sep 2006, 01:08 par joullia sur Parler d'amour

Caresse-moi

Caresse-moi,
Frôle ma bouche de ta si belle et douce main,
Eclaire mon être du bout de tes doigts enchanteur,
Et membres contre membres;
Sauve-moi,
Des peurs paralisantes de ma vie,
Ne pose pas de questions,
La réponse se trouve dans la disparité,
De ce pour quoi nous sommes au monde;
Ne demande pas ce qu’on m’a fait,
Je ne peux pas en parler, c’est trop douloureux,
Prends-moi refais-moi dans la paume de ta main,
Cré de mon néant quelque chose pour un temps,
ce que la nuit t’allège de mon fardeau,
Ven 08 Sep 2006, 16:42 par joullia sur L'amour en vrac
Page 10 sur 19 Aller à la page Précédente  1, 2, 3 ... 9, 10, 11 ... 17, 18, 19  Suivante

Ecrire sur jusqu’à

Ecrire sur jusqu’à ANIMALE, Hommage (2), Re: Comment s'en sortir ?, Le roman était noir, Petite histoire, Partager, Aimer, I won't give up, Chut !, Si un jour tu crois que tu m'aimes..., Pas d'équivalence, Jusqu'à ton arrivée divine, Cette clé ouvre les portes de l'amour, Embrasse moi (2), Caresse-moi,
Il y a 275 textes utilisant le mot jusqu’à. Ces pages présentent les textes correspondant.

Bonne lecture !

Derniers textes

Livres recommandables

Grammaire érotique
Jacques Laurin
La Musardine
Itinéraire d'une scandaleuse
Clara Basteh
Pocket
Infidèles : Nouvelles érotiques
Martin Laliberté
J'ai lu
Journal intime de mon sexe
Anonyme
Pocket
Le carnet de Rose : Suivi Sept nuits et l'exclue
Alina Reyes
Pocket
Le Joyau
Jacques Monfer
Blanche
Des désirs et des hommes
Francoise Simpère
Pocket
Éloge des femmes mûres: Les souvenirs amoureux d'András Vajda
Stephen Vizinczey
Folio
Le Parfum
Patrick Süskind
Le Livre de Poche
Cinquante nuances de Grey
E L James
JC Lattès


Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres

La citation d'amour

L'écriture est une aventure. Au début c'est un jeu, puis c'est une amante, ensuite c'est un maître et ça devient un tyran.

Winston Churchill.

Qui est en ligne ?

  • Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
  • La date/heure actuelle est Mer 22 Oct 2025, 06:35
  • Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
    Nous avons 1234 membres enregistrés
    L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher
  • Il y a en tout 47 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 46 Invités et 1 Bot   [ Administrateur ]   [ Modérateur ]
  • Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 543 le Dim 05 Oct 2025, 19:42
  • Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
    Bots : MSN
  • Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes
  Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Se connecter automatiquement à chaque visite