Suite confidenti-elle...

Comme la vie est jalonnée de coïncidences...
Elle, aussi, retrouve l’une de ses amies.
Cette dernière la questionne, à propos
du contenu de son petit sac en papier glacé.
Elle lui répond qu’il s’agit d’une nouvelle
fragrance, qu’elle déposera délicatement sur sa peau,
lorsqu’elle le rencontrera, prochainement...
Sûrement sage, son amie lui demande jusqu’à quand
elle va l’attendre, tandis qu’il y a tant d’hommes
qui seraient certainement heureux de partager
sa vie, ses soirées, ses week-ends, ses vacances
et même... ses "emmerdes"...
Elle réplique alors que, l’Amour et le désir
s’imposent...
Cependant, elle avoue que ses décisions récentes,
ont la valeur d’actes authentiques et qu’elle attend
qu’il se positionne enfin...
Et, qu’en effet, s’il reste figé,
c’est la réalité qui s’imposera.
Jeu 17 Juin 2010, 20:22 par évènement sur Parler d'amour

Valse

Elsa, Elsa, ton petit cul très pâle et ta petit bouche très vive, tes petits saignements de nez et des flaques un peu partout, et ce soleil qui n’est plus rond, une nuit versée dans les bocaux, aux poches trouées, aux rebords des paupières, sur la peau de fruits mûrs, dans tes mains, là on l’on vient se noyer, et des larmes soudain, comme notes de musique fânées, tombées d’ailes de corbeaux qui croissaient au dessus d’un champ immense,
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.

Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.

On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.

On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Dim 13 Juin 2010, 10:12 par Boris K sur Parler d'amour

Une ballade , tes bisous (chapitre trois)



Margaux se réveille, Philippe lui apporte son café noir, et un croissant, qu’ elle mange avec lui, au lit, tant pis pour les miettes. Ils prennent une douche ensemble, et font "sauvagement"...
Main dans la main, il l’emmène dans un grand parc, il fait beau, il y a foule. Ils se promènent, et n’arrêtent pas de s’embrasser, des bisous par- ci, des bisous par- la. Plus loin , un banc les attend, ils s’embrassent encore, il aime ça , elle aussi, parfaite osmose, qu’ils partagent, avec tendresse... Leurs corps se rapprochent, se plaquent
,elle sent son ardeur, et elle descend discrètement sa main derrière ses reins, l’enlace davantage.
Ils sont seuls au monde, ils se «lâchent", tellement qu’ils entendront les cris d’un enfant raisonner soudainement .Surpris, ils jettent un coup d’œil, ce n’est rien les parents le consolent. Ils se regardent, et rigolent comme des adolescents.
Sam 05 Juin 2010, 16:28 par caressedesyeux sur Parler d'amour

Si tu savais ...

Si tu savais que je te porte,
Si tu savais les projets que je fais,
Pour que toujours nous porte
Au-delà du quotidien et des faits

Si tu savais comme je suis vide sans toi
Si tu savais combien tu es l’avenir pour moi
Pour que trouve son toit
Au-delà du temps et des mois

Je t’aime comme jamais je n’ai aimé
Je t’aime au-delà de ce que tu peux imaginer

Et je murmure une main sur la poignée,
Ressassant ce que j’aimerais t’exprimer
Et je rêve d’être la force à ton poignet
De celle que rien ni personne ne peut réprimer

Et je te jure une main sur le cœur
Sans fierté ni pudeur
Oui je te jure une main sur le cœur
Qu’un jour il n’y aura plus d’heures

Si tu savais mon Amour ce lien
Si tu savais ma vie et mon âme
Pour toi à tout jamais et plus rien
Au-delà des joies et des drames

Si tu savais comme je t’aime
Si tu savais les espoirs et les rêves
Pour que ne soit pas qu’un thème
Au-delà des combats et des trêves

Je t’aime comme jamais je n’ai aimé
Je t’aime au-delà de ce que tu peux imaginer

Mer 02 Juin 2010, 08:36 par jardinsecret sur La vie à deux

La boite au petit trésor

Celle-ci regorge de souvenirs,
Que seule moi peux encore faire revivre.
Point, d’or, ni argent,
Ils sont clinquants, seulement.
Je les regarde chaque jour
Je souris, et me voila transportée dans des histoires.
Des histoires du passé...
En voila un qui m’avait causé bien du chagrin.
Dans un beau velours, il m’attendait, offert en gage d’amour
Mais n’a pas duré
Quelques bagues ternies par les années
Que je ne peux plus passer...
Quelques boucles d’oreille dépareillées,
Que je perdais, régulièrement,
Quelques babioles entortillées,
Et au fond de cette boite,
Un simple caillou,
Mon plus beau bijou,
Qui a été mon plus grand bonheur,
Et qui me donne encore des pleurs...

caressedesyeux
Mer 02 Juin 2010, 05:30 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

A mon amour que je blesse un peu plus chaque jour

Est-ce vraiment un amour que j’ai pour toi ou de la simple affection muée en tendresse ? Moi-même, je ne sais plus ce qu’aimer. Alors, je me contente de te sourire, de te faire et de raisonner mon coeur en me disant chaque jour que je t’aime.

En ce moment, tu crois que celui qui me désire est cet ami-là. Certes, je le désire comme lui me désire. Mais, comme toi, cette envie est une pulsion sexuelle poussée par la tendresse que j’ai pour lui. J’ai envie de le voir sourire, le voir soulagé. Je l’aime mais comme une soeur aime son frère. Je n’arrive pas à m’imaginer avec lui une longue relation.

Celui qui trouble mon coeur, peu de personnes le remarquent. Je t’en parle mais tu ne le sens pas. Ton attention est captivé par l’ autre. Et pourtant, c’est lui qui me fait vibrer et qui m’a poussé à tout te dire. Je ne sais si c’est de mais cet homme-là exerce une magie sur moi. On se parle peu. On se regarde peu. Pourtant, s’il venait me voir et qu’il me disait qu’il m’aimait, je quitterais tout pour lui.

Je suis si désolée de vivre avec toi avec cette vérité que tu connais.
Mar 01 Juin 2010, 09:34 par Solina sur Mille choses

Le silence du coeur

Une tristesse envahit son cœur. Elle ne peut l’exprimer par des mots ou des larmes. Elle demeure silencieuse. Cette souffrance parcourt son être. Son secret demeure scellé. Une porte semble s’entrouvrir à la vue de ce bel inconnu. Mais son cœur apprivoisé à la comédie met un voile de politesse. Cette cordialité freine les passions de ce cœur maladroit.

Dans notre société, la folie amoureuse n’est pas acceptable. Il se doit être raisonnable au point de faire mourir son coeur. La société tolère sage et tendre, et non passionné d’une rencontre hasardeuse pour laquelle on voudrait tout abandonner. Y compris son âme.

Combien d’entre nous faisons cela ?
Mar 01 Juin 2010, 09:08 par Solina sur Les liaisons sulfureuses

Apprivoise- moi


Laisse la cage ouverte
Et je viendrai à toi comme il se doit.
Juste pour que tu m’apprivoises
Laisse moi ,un peu de temps
Pour voler de mes propres ailes
De tes regards brillants
De tes envies d’être près de moi
Fais moi la cour
Une belle parade ode à
Par petite touche...
Je me laisserai approcher
Et serai même tentée d’accepter un de tes baiser.
La tête me tourne
Je me sens si bien avec toi
Tes chants m’envoutent
Il n’y a pas de doute
Roucoulons encore , je n’ai plus peur...

caressedesyeux
Lun 31 Mai 2010, 17:40 par caressedesyeux sur Mille choses

La passion

Il m’a été donné de découvrir une fois dans ma vie, les âffres mortelles de la passion amoureuse. Il a fallu attendre 28 ans, pour qu’un jour sans que je m’y attende, croise ma route et se charge de tout dévaster.

Au bout d’une semaine d’échanges soutenus sur internet, je réalisais avec stupeur que cet inconnu, dont j’ignorais jusqu’à la couleur des yeux et le son de la voix, m’était tout à coup devenu indispensable, indéniablement vital.
La passion s’empara de moi tout entière et je ne pus la freiner, je n’en avais pas même l’envie.

Deux mois s’écoulèrent à se rêver, se plaire, se découvrir au fil des mails. Un jour de novembre 2009, il traversa la France pour me retrouver. C’était comme si nous nous étions toujours connus. Je tombais dans ses bras, d’épuisement et de bonheur mêlés. J’étais vidée, épuisée par la violence de mes sentiments pour cet homme. Et à la fois, mon coeur était léger, il me semblait sentir pousser des ailes, tout prenait la saveur des possibilités.

Je ne m’étais jamais sentie aussi importante aux yeux de quiconque. Je me sentais belle, désirée, aimée, estimée, attrayante. Il me tenait en vie, et me rendait forte.

Cet homme là est sorti de ma vie quelques mois après. J’avais tout quitté pour lui : ma relation d’avant, ma maison, peut-être même mon travail. Son arrivée dans ma vie a eu l’effet d’une bombe à retardement.

Nous nous aimions trop, mais mal .....
Notre amour n’a pris naissance et intensité que dans l’impossibilité de pouvoir nous aimer et nous réunir. Lui était esclave et prisonnier de sa vie. Je ne pouvais rien faire si ce n’est souffrir et l’aimer en silence. J’étais cette femme de l’ombre, cette maitresse interdite.

Il était tout pour moi, et à ce jour mon coeur saigne et ne palpite plus.
Il a fallu se quitter, se taire, sourire et regarder vers l’avant. J’ai préféré qu’il sorte de ma vie, plutôt que de le lire, l’entendre encore sans pouvoir l’aimer et le rejoindre, sans pouvoir avoir une place dans sa vie.

Il me manque. Il me manquera toujours.
Lun 31 Mai 2010, 13:36 par scorpionne38 sur Amour internet

Une passion... c'est quoi?

Une guêpe m’a piqué d’amour,
je suis couverte de toi, depuis ton bonjour.
Et j’ai eu beau gratter ma peau, tous les jours de bas en haut
ça n’y fais rien...
Comme la piqure ne désenfle pas, je m’suis mise à avoir peur,
peur de toi et moi...
Mais est fait ainsi, on a beau désinfecter, ça n’y fait rien...

Zaza que partage Loyd
Sam 29 Mai 2010, 00:27 par Loyd sur La vie à deux

Une lettre d'amour particulière à un ami particulier

Cher ******,

Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est . J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.

As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.

Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de . Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.

Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par Solina sur La déclaration d'amour

Elle


Pres chez moi,
il y a un étang, ou poussent des nénuphars,
Et dont les grenouilles raffolent de se poser dessus.
En coassant la parade de .
Je les entends et cela me fais sourire.
J’étais assis à l’ombre d’un saule pleureur
Des roseaux s’étendaient à perte de vue
Je sirotais un verre.
Un bouquin , posé sur mes genoux
Et je pensais à toi
Qui etait si loin de moi.
Et même lorsque je suis dans ma piscine
Je me sens parfois seul,
Et cela me rend nostalgique...
Car tu es tellement "magnifique"
Et pourtant je ne te connais qu’à travers tes écrits, et nos échanges.
Et bien que j’ai déjà vu ton visage
je pense à toi...
J’aimerai entendre seulement une fois ta voix
J’essaye de l’imaginer.
Douce, et cristalline.
Mais je sais qu’un jour
Cela arrivera.
Et j’attendrai le temps qu’il faudra.

caressedesyeux
Mar 13 Avril 2010, 12:12 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Rien qu'un baiser avec toi

Rien qu’une fois,
J’ai envie de poser mes lèvres sur les tiennes,
Et j’en rêve bien souvent.
Cette effervescence qui coule dans mes veines
Que je ne maîtrise pas
Comme la coulée d’un volcan,
Comme un rez de marré m’emportant...
Mon cœur palpite plus que de raison
Et je la perd
Mélangeant, de doux effleurements,
D’un si beau partage.
D’un goût exquis
Dont la saveur sucrée
Me met en ébullition
Comme une passion dévastatrice...
Fut-elle si tentatrice.
Un acheminement au prélude de .

CARESSEDESYEUX



Mar 30 Mars 2010, 15:09 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La femme au chapeau



Je ne suis qu’une inconnue, pour certain
Mais pas pour d’autre
Je ne suis hélas que de passage
Pour signer encore quelques autographes
Car jadis, j’étais une héroïne
De ces fameux sit-com à l’eau de rose
, et la haine étaient toujours présents.
Depuis je suis devenue sage
Car j’ai rencontré le grand amour
Mais je ne vous oublierai jamais
Car vous m’avez été fidèle.
Et je me sens si belle
Il est temps pour moi de vous quitter
Telle une rose éclose et épanouie.............

CARESSEDESYEUX
Mar 23 Mars 2010, 15:32 par caressedesyeux sur Mille choses

La saison des moissons



C’est l’heure des moissons;
Allons nous rouler dans la paille.
Je relèverai ton jupon,
Et j’enlèverai mon pantalon;
Furtivement nous ferons .
Des petits baisers par-ci par- la
Des petites caresses douces?
Mes mains sur tes hanches
Je te guiderai la ou il faudra;
Hâtons-nous!
Car j’entends du bruit.

caressedesyeux
Dim 21 Mars 2010, 16:06 par caressedesyeux sur Mille choses
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