Re toi...

Re toi

Te revoir m’a donner envie de te refaire ... encore une fois... encore une fois....une dernière fois...

De tes baisers...
Mouillés,
Sucrés,
Enflammés...

De ton regard...
Posé sur moi...
Qui me transperce
Et me traverse

De ton odeur...
Mêlé de sueur
Juste après
Et jusqu’au petit jour...

J’en ai encore envie...

J’ai envie

De ces instant
Toujours présent

De ces moments
Insouciant

De cette extase
Qui m’embrase

Elle m’emporte
M’emprisonne...

Reviens moi !
Une dernière fois...

J’ai une envie...
Une envie de re toi !
Lun 17 Août 2009, 19:37 par Caprice sur Les liaisons sulfureuses

J'ai une envie....

Toi .... moi

J’ai eu envie d’écrire mes fantasmes.
J’ai eu envie de les coucher sur papier avant de les coucher dans mon lit.

J’ai eu envie de les partager avec vous avant de les partager peut être avec l’un ou l’une d’entre vous.

J’ai eu envie...
J’ai une envie...

Une chaleur remonte de mon bas ventre,
Une douceur ennivre tout mon esprit,
Un frisson parcours mon corps,
Une moiteur apparait sur mes mains.

J’ai une envie...

De mourir de désir,
De m’évanouir,
De pleurer de plaisir,
De m’épanouir.

De te sentir en moi,
Fusionner avec toi,
De me donner à toi,
De te faire jour et nuit.

De sexe,
De pénis,
De baise,
De clitoris.

De sentir ta jouissance,
Comme une délivrance,
De te donner un orgasme,
Presque un fantasme.

J’ai une envie...

Une envie de toi,
Une envie de nous,
Une envie d’amour,
Une envie tout court...
Lun 17 Août 2009, 19:06 par Caprice sur Les liaisons sulfureuses

Bien aimé !

Oh, bien aimé!

Combien de lettres dois-je encore t’écrire ?
Combien de mots dois-je encore te dire ? Pour que tu saches que je te porte encore et encore dans mon cœur ? Tu saches que je t’aime ?

Ces phrases ne te suffisent-elles pas ? Oui, on s’est fait tu mal,
J’ai été la première et je le regrette encore, toi aussi tu as versé des larmes sur ma joue, toi qui disais ne jamais vouloir une seule larme sur ma joue.

Oui, on s’est fait du mal,

Mais ne peut-on pas repartir d’une nouvelle voie, un nouveau chemin à deux?

Est-ce trop tard pour toi ? Dis-le moi, ne veux-tu pas qu’on soit enfin heureux ? Certes, tu en doutes encore ! Aucun de mes mots ne pourront plus te convaincre car j’ai trahi ce qui était cher à tes yeux : ta confiance.

Les mots, encore les mots, ne crois tu pas que j’ai muri ? Je préfère les actes plutôt que les mots, je te l’ai dit déjà, ces mots qui t’ont blessé et auxquels tu accordais une grande importance, j’en suis désolée. Mais c’est aussi ca, se faire du mal sans le vouloir et s’aimer à en perdre la tête.

Tu as choisi le silence et je le respecte, mais moi je ne suis pas comme toi, je cris cet amour que j’ai pour toi, ici, le seul endroit où je peux encore t’écrire sans me dire : est ce qu’il lira ma lettre ?!

Bien aimé, s’il te reste encore de dans ton cœur pour moi alors viens, viens et abreuvons nous de ce qu’on appelle le bonheur, on en a bavé toi et moi,
Aujourd’hui, on n’a plus vingt ans, on est des adultes et chacun a muri.

Bien aimé, je ferme les yeux en attendant que tu m’écrives, que je te lise, car ton visage me poursuit tous les jours.

Connais-tu ma prière ? Être de nouveau avec toi !

Cher bien aimé, la fatigue me gagne et bientôt je devrais fermer cette porte qui t’es dédiée, sache, je t’aurai attendu, je t’aurai espéré, je t’aurai aimé d’un amour pur et tendre.

Je suis comme ces fleurs de cerisier que tu aimes tant, bientôt la fin du printemps, bientôt je n’existerai plus, bientôt je tomberai et fanerai, et cette porte se fermera.
Sam 30 Mai 2009, 23:01 par coeur perdu sur La déclaration d'amour

Plus je pense à toi - fiori

Merveilleuses paroles pour ceux et celles qu’elles font rêver, pour faire le plein de douceur dans un monde de... bah, la suite vous la connaissez !

Pour les jours silencieux, où j’écoute tomber la pluie,
Et les matins frileux qui me font regretter nos nuits.
Pour toutes ces différences qui créent l’indifférence, depuis,
Pour les heures passées à regarder tourner l’ennui.

Et les trésors cachés qu’on enterre à jamais sans vie,
Pour tous les souvenirs qui s’ennuient à mourir, et puis,
Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.
Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m’aperçois que tu manques à l’espace.

Pour cacher mes erreurs que je commets par cœur, et si,
Au profit du bonheur, j’échangeais la douleur sans bruit.
Pour ces sommeils qui dansent, comme des récompenses enfuies,
Comme le bleu des nuances devient gris de souffrance, aussi.

Pour les soleils violets que tu dissimulais meurtrie,
Et les rires empruntés qui te raccrochaient à la vie.
Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.

Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m’aperçois que tu manques à l’espace.
Laisse-moi respirer, juste une heure encore,
Cette fleur fânée, puisque la mort ennemie a pris d’une vie.

Plus je pense à toi et plus encore je m’aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.
Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m’aperçois, que tu manques à l’espace.

Laisse-moi respirer, juste une heure encore
Cette fleur fânée puisque la mort ennemie a pris d’une vie.
Pour les jours silencieux, où j’écoute tomber la pluie,
Et les matins de Dieu je te regrette chaque nuit.
Sam 30 Mai 2009, 18:10 par dolce vita sur Citations

Arrêtons!

Oh ! Oui, qu’il n’est guère de charme en ces lignes, ni de parfum sur les pétales de roses de ces lettres. Non rien de tout cela, juste un cœur qui fond au bout de mes doigts, une larme surprise par la flamme timide d’une bougie.
Désespoir, tristesse et amertume ; voici l’héritage que j’ai reçu pour avoir répondu aux vibrations ou plutôt aux pulsions de mon cœur. Mon Dieu, je n’ai pas demandé à me réveiller au milieu de la nuit parce que le sommeil que mes yeux cherchent, je le retrouve sur ses lèvres, au milieu de la nuit, assis sur mon lit. Non, je ne l’ai pas demandé je crois. Je me suis juste surpris d’être vide de moi et trop plein de toi. Je ne retrouve plus qui je suis, ni ce que j’ai toujours été ; c’est comme si j’étais né juste au moment où je t’ai rencontrée, car toutes les années de ma vie se résument à cette courte période, où tu m’as fait du mal et où je t’ai faite pleurer. A nos dépends, on l’a appris ; apprendre que n’est pas un recueil de belles phrases et de pensées que l’on n’a ni dites ni pensées. Comme il est "lui et elle", il a été "toi et moi", mais on était bien trop superficiels, bien trop faux pour ne l’avoir pas remarqué. Je crois que j’ai trop rêvé à ce que tu n’es pas et trop espéré en ce que tu pourrais être et que tu te refusais d’être. Si le simple fait de vouloir nous donne une minime chance de pouvoir, alors c’est que toi et moi on n’a pas su la saisir. C’est surement qu’on ne l’a pas assez voulu. Mais chaque instant de ma vie, chaque moment où mes narines ont volé de l’air à la vie, j’ai volé un jour de plus auprès de toi et un désir nouveau avec toi, même si je demeurais bien conscient que tu n’étais pas là. Pourquoi nous sommes-nous mentis ? Pourquoi avons-nous aussi longtemps fait semblant d’être ce qu’on n’était pas et ce qu’on ne devrait pas être ? Pourquoi m’as-tu laissé suivre chaque trace de ton sourire ? Pourquoi ne m’as-tu pas fait retrouver mon chemin quand je me suis perdu sur le chemin de tes yeux ? On a tellement voulu imiter les autres, ceux qu’on faisait semblant d’être, sauf qu’eux étaient réels.
Jeu 28 Mai 2009, 17:43 par jarel sur Parler d'amour

E.t. ?!

Extraterrestre. Je ne sais pas mentir. Ou plutôt, je ne veux pas mentir ni à l’autre ni à moi-même et je ne veux pas de mensonges aussi beaux soient-ils. Or, nous sommes dans une société où, me semble-t-il (comme je voudrais me tromper !), le paraître prime sur la vérité de l’être (je me répète, je crois…). J’aime les personnes, les hommes, qui ont assez de force, de courage et d’amour propre pour paraître ce qu’ils sont sans se soucier de plaire ou de déplaire à autrui, qui sont cohérents dans leurs actions, leurs pensées, qui assument leurs choix et qui ne jouent pas au yoyo avec leurs sentiments – leur vie – et par suite, avec des tiers. « What you see is what you get ». Mais est-ce que ce genre d’homme existe encore ?! Quel est l’homme qui se donne le droit à l’erreur, qui ne cherche pas à en imposer, à subjuguer, à séduire au sens premier du terme, en un mot qui s’assume ? ! Qui ne compose pas avec sa conscience pour se livrer au gré de ses pulsions à toutes sortes de turpitudes qu’il désavoue l’instant d’après ? Cela me fait me souvenir de ce qu’une amie japonaise m’avait raconté à propos des hommes d’affaire de son pays. Le jour, ces hommes avec qui elle travaillait (elle avait le droit d’exercer une activité professionnelle n’étant pas mariée) étaient très sérieux, le visage froid, une politesse experte dissimulait tout de leur vie intérieure, mais la nuit !!! Ah, la nuit ! Mister Hide revenait au galop ! Ils s’enivraient, vomissaient sans retenue dans les rues endormies et hurlaient leur débauche à la face du monde ! Au matin, il ne restait plus rien sur les visages glabres des débordements nocturnes…
L’attitude qui consiste à se composer un personnage est destructrice, celui qui cherche à se forger une image dans le regard de l’autre ne sait-il pas dès le départ que ce ne sera pas lui qui sera aimé (s’il y a de ) mais ce personnage de carton-pâte, ce masque de carnaval ?! Et quel masque ! Il faudrait les prévenir des dangers qu’ils encourent ! En effet, nous sommes loin de la Commedia dell’arte et l’acteur pour bon qu’il puisse être dans son interprétation et pour longue que dure la romance, sera fatalement sa propre dupe… Le jour où l’autre finira par ouvrir les yeux. Alors, je vous le demande, à quoi cela peut-il servir ? A quelles fins ? A quel bien ?

doute
Mar 26 Mai 2009, 18:36 par dolce vita sur L'amour en vrac

Les rois du monde - roméo et juliette

Les rois du monde vivent au sommet
Ils ont la plus belle vue mais y’a un mais
Ils ne savent pas ce qu’on pense d’eux en bas
Ils ne savent pas qu’ici c’est nous les rois

Les rois du monde font tout ce qu’ils veulent
Ils ont du monde autour d’eux mais ils sont seuls
Dans leurs châteaux là-haut, ils s’ennuient
Pendant qu’en bas nous on danse toute la nuit

{Refrain:}
Nous on fait on vit la vie
Jour après jour nuit après nuit
A quoi ça sert d’être sur la terre
Si c’est pour faire nos vies à genoux
On sait que le temps c’est comme le vent
De vivre y’a que ça d’important
On se fout pas mal de la morale
On sait bien qu’on fait pas de mal

Les rois du monde ont peur de tout
C’est qu’ils confondent les chiens et les loups
Ils font des pièges où ils tomberont un jour
Ils se protègent de tout même de

Les rois du monde se battent entre eux
C’est qu’y a de la place, mais pour un pas pour deux
Et nous en bas leur guerre on la fera pas
On sait même pas pourquoi tout ça c’est jeux de rois

Nous on fait on vit la vie
Jour après jour nuit après nuit
A quoi ça sert d’être sur la terre
Si c’est pour faire nos vies à genoux
On sait que le temps c’est comme le vent
De vivre y’a que ça d’important
On se fout pas mal de la morale
On sait bien qu’on fait pas de mal
Mer 20 Mai 2009, 10:58 par dolce vita sur Citations

Elles sont rares les journées normales ...

Elles sont rares les journées normales dans la vie d’un homme. Les jours où il sort de sa cage d’humanité… pour devenir un oiseau.

Une journée… ou une demi-journée… peut-être… dans toute sa vie où il sort de sa rivière étroite, pour pratiquer sa liberté, pour dire ce qu’il veut… pour faire ce qu’il veut… pour aimer qui il veut quand il le veut.

Il est rare qu’un homme arrive au top de sa liberté, qu’il sorte du coffre fermé à clef qui représente, en réalité, la monotonie de sa vie régulière combinée aux relations sociétaires qu’il entretient pour… pour aimer tout simplement.

L’homme est plein de liberté, mais il n’est pas aussi libre qu’il le pense. Il n’est même pas libre dans sa prière avec ses mains, ses lèvres, ses vêtements, ses paroles et ses discussions régulières.

Si je t’écris à propos de ce jour anormal c’est que je ne sens pas que je me suis libéré, en ce jour, de mon encre et de mon sang… que je me suis évadé du coffre de la société et de la tanière du passé pour vivre ma liberté comme la vit n’importe quel oiseau sauvage dans la nature.

J’aimerais monter avec toi, même pour une seule fois, le train de la folie… Un train qui oublie ses quais, ses rails et les noms de ses passagers.

Quand je t’écris je me sens libre… je me sens léger comme un oiseau mythique qui n’aurait pas de poids… Quand je t’écris je me sépare du temps… je me sépare de l’attraction terrestre et je m’envole… je m’envole et je gravite comme un astre dans la galaxie, dans l’univers de tes yeux.

De l’espace, l’homme perçoit ses sentiments d’une autre manière. Les sentiments se libèrent de la poussière de la terre, de sa gravité, de ses lois… L’amour devient une balle de coton sans masse.

Ah ! L’amour, quel sentiment étrange. Ce papillon incroyablement beau qui s’installe sur nos épaules, ce poisson doré qui sort de la mer, cette étoile toute bleue qui nous tend les bras.

Avant de te parler j’étais daltonien, mais maintenant je commence à distinguer les couleurs de la vie. Mes sentiments sont arrivés à un point de non retour. Je suis en train de brûler vif, tu m’as crucifié avec ton regard, tu m’as pendu avec ton sourire...

Excuse ma franchise mais je ne peux plus garder ces mots à l’intérieur de mon cœur, mon pauvre cœur qui n’arrête pas de battre exclusivement pour toi.

Tu me demandes ce que j’ai fais dans ton absence, mais tu n’as jamais été absente, tu n’as jamais quitter mon esprit et mon cœur.

Te téléphoner est devenu le seul plaisir que je m’accorde dans ma vie si monotone et si pleine de tristesse, mais te voir, alors là, c’est l’orgasme total.

Je suis parti parler de toi, de mon amour pour toi, à la mer qui, pour la première fois de ma vie, est restée muette comme si elle était jalouse de toi.

J’aimerais avoir des pouvoirs magiques pour figer les courts instants pendant lesquels on se rencontre, pendant lesquels on discute, pendant lesquels je me sens vivant…

Les anges doivent se prosterner devant toi, même l’ange de la mort a peur de croiser ton regard brûlant, ce regard qui a brûlé les veines de mon corps sur le bûché de .

Je sais qu’on ne se connaît que depuis peu mais cette complicité m’étonne. On dirait que le destin nous a réservé cette rencontre pour rappeler, à chacun de nous que la vie vaut la peine d’être vécue.

Pour moi t’es un ange du destin qui a croisé ma route pour sauver mon âme.
Lun 18 Mai 2009, 12:16 par AsmodeE sur Parler d'amour

Qu'il doit être doux...

Qu’il doit être doux d’aimer
Lorsqu’on se sait aimé,
De pouvoir partager
Les moments d’innocence ;
Quand plane la confiance.
Que l’on se sent léger
Lorsque l’on aime
Et que l’on est aimé !
Et tout ce que l’on fait
Prend de nouveaux attraits :
Le ciel est bien plus bleu,
La terre, le vent, la pluie,
Tout se pare soudain
de tendre poésie !
Savoir que nos caresses,
Nos pensées, nos sourires
Et toutes les actions
Que notre coeur inspire
Auront un réceptacle
Et aucun interdit,
Puisqu’un autre
Les espère
Et puisqu’ils lui sourient.
Quand l’autre vient à vous
Sans fard et sans mentir,
Avec ses douleurs, avec son passé,
Les plus grands des bonheurs
Et ses rêves avortés.
Sans vouloir dominer,
Sans être votre esclave,
Sans chercher à juger
Ni à rendre minable
Ce qui reste secret.
Main dans la main
Avancer sans entrave
Pour devancer demain
Rien qu’en aimant et en étant aimé.
Vraiment, qu’il doit être doux, ,
Lorsque à deux il peut se conjuguer.
Dim 17 Mai 2009, 15:53 par dolce vita sur L'amour en vrac

L'amour cet ennemi

Pourquoi craindre et le considérer
Comme un danger, un traître, un gueux ou un félon ?
Pourquoi donc résister et ne plus lâcher prise ?
On a été trahi : tout espoir est-il mort, sommes-nous morts aussi ?

Et pourquoi renoncer à la douceur de vivre
A qu’on étouffe au plus doux de son sein ?
Notre armure nous oppresse ne sentons-nous plus rien
Pas même la douleur arrivant bien à sourdre ?!

Pourquoi notre énergie éteint-elle la flamme
Qui ferait notre joie et grandir notre force ?
Dès lors, ne cultivant plus notre espérance mais ce qui nous détruit
Pour le plaisir de ceux qui veulent nous réduire...

Devons-nous oublier ce à quoi l’on aspire
Et l’élan qui de nous demandait à jaillir ?
Par quel renoncement on tue la vie en nous
Et ... qu’elle inspire ?!

Et parce que j’ai souffert et que je souffre encore
Vais-je donc sacrifier le plus cher des trésors ?
Et si mon coeur est las parce qu’il est malmené
Je ne peux pourtant pas renoncer à t’aimer...

Qu’importe si je suis seule à chérir cet amour
Qu’importe si jamais il n’y aura de retour
Si jamais plus mes yeux ne verront ton image
Si tes pas à jamais bouderont mon rivage

Tant qu’il voudra de moi moi je l’abriterai
Et toute ma douceur je lui dispenserai
Le protégeant des rires et autres colibets
Cet amour est en moi et le respecterai.
Ven 15 Mai 2009, 21:36 par dolce vita sur Mille choses

Badinage

On n’imagine pas avec
Sam 02 Mai 2009, 12:22 par dolce vita sur Citations

Siete anos de soledad - ce n'est plus de la littérature

7 ans. Le père de mes enfants, mon époux est parti voilà officiellement sept ans (en fait, huit si on y regarde de plus près). Situation on ne peut plus trouble où tout en ayant clairement (!) mené une double vie, avec d’autres femme et enfants, il continue de faire durer les choses en longueur et... le divorce n’est toujours pas prononcé : le terme en est repoussé encore et encore. Dès lors, il faut reconnaître que je n’ai guère de choix :
1. Rêver comme je le fais ici pour ne pas creuver comme un chien galeux. Me donner l’illusion de vivre moi-aussi, d’avoir le droit à . Moi aussi.
2. Etre hors la loi à sa suite. Faire ce que tout le monde me dit : pourquoi tu ne fais pas comme lui ? Alors, c’est ça, je vais devoir me cacher pour aimer.
Et je ne peux pas. Pas d’amour sans liberté. Sans vérité. Et qu’on ne me dise pas que je garde mon prêche pour l’église. Mon église c’est mon coeur.
De plus, pour aimer il faut être deux. Moi je ne sais qu’attirer les mirages et ceux-là, s’ils ont des ailes, c’est pour me blesser encore davantage pas pour faire connaître les cieux. Je suis une femme dangeureuse, il paraît (on me l’avait déjà fait savoir dans un autre contexte : gnôti seôton)... Ben, voyons, on n’est pas à une étiquette près ! Je suis une femme dangeureuse, ça saute aux yeux !
A quoi cela sert-il d’aimer quand on est seul ? Quand personne ne répond à cet amour ? A quoi de bon cela peut-il servir ?
Oh, je ne me leurre pas, je sais fort bien que personne ne répondra à mes questions et tant bien même, est-ce que cela changerait ma vie ? Vous pouvez vous moquez, vous, les nantis de , vous qui faites la fine bouche et me montrez du doigt. Oui, je sais, je sais, je sais. L’idée d’une faute rassure : rajoutons-en encore un peu sur le dos de celui qui marche déjà courbé. Il est là, il faut un coupable, ce sera lui. Oui, bien sûr. Tout est de ma faute, on vient récemment de me le dire (exit les remises en question, le dialogue, la femme est coupable par nature, c’est un truisme. Cela confère à l’homme une impunité totale). Je sais. Responsable et coupable. Coupable d’aimer. Coupable de vouloir être aimée. Aimer, aimer, aimer, je n’ai que ce mot à la bouche. Je suis insupportable, c’est vrai. J’assume.
Les chiens ont droit à . Moi pas.
Un jour, j’arriverai à arracher ce putain de coeur qui ne sert à rien d’autre qu’à me faire souffrir (ce dernier devrait être livré en kit avec l’anneau nuptial ; la perte de l’un entraînant de droit la dissolution de l’autre). Je ne veux plus aimer. Jamais.
Mer 22 Avril 2009, 07:27 par dolce vita sur L'amour en vrac

Des princes et des charmants encore

Merci TitPrince et Soleil : je vous adore !!
Vous êtes de véritables princes et princesses...
J’ai ri de tout coeur à la lecture de notre très cher hôte...

Dolce la provoc !!
(un rien désabusée par le consumérisme de ...)
Ven 17 Avril 2009, 18:20 par dolce vita sur Citations

Ca reste là

On oublie les adresses
Comme les gens qui nous blessent
On oublie sans cesse
Les jours d’anniversaire et nos clefs, les repères, on les perd
On oubliera les chaînes de nos vies qui se traînent
On oublie quand même
Mais il est une chose à laquelle nous resterons fidèles

Les yeux, la voix, les mains, les mots d’amour ça reste là
Le jour et l’heure, la peau, l’odeur, ça reste là
C’est fort encore
C’est mort d’accord
Mais ça ne s’oublie pas
Ne s’oublie pas, ça
On oublie pas

J’oublierai ce mois d’août où j’ai dû faire la route sans toi
Sans doute
J’oublierai ma défaite et le rêve qui s’arrête
J’oublierai peut-être
Mais j’y pense encore quelques fois et ça ne s’explique pas
S’explique pas

Tes yeux, ta voix, tes mains sur moi toujours ça reste là
Le jour et l’heure, ta peau, l’odeur, ça reste là
C’est fort encore
C’est mort d’accord
Mais ça ne s’oublies pas
Ne s’oublie pas, ça
Lun 30 Mars 2009, 23:31 par Loyd sur Citations

Dire ou ne pas dire...

Une femme peut-elle dire à un homme :

Simplement :

-" Fais-moi ".

Spontanée :

- " Et si tu me faisais "?

Réservée :

- Tu... veux... me...

Confidente :

- "J’ai envie que tu me fasses ".

Ou, implorante :

- "De grâce, fais-moi ".

Polie :

- "Auriez-vous l’obligeance d’unir votre corps au mien ?"

ou encore :

- "S’il te plaît, fais-moi ".

[...]
Jeu 26 Mars 2009, 19:12 par dolce vita sur La déclaration d'amour
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La citation d'amour

Quel ravage un être peut causer par la seule force de sa séduction.

Sacha Guitry.

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