Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur l’amour - Page 50 sur 54
Notre rencontre
Dès le premier jour
de notre rencontre
j’ai su que tu étais unique
j’ai su que je voulais
mieux te connaître
et j’ai su que mes sentiments
étaient ébranlés.
Dès le jour où l’amour m’est apparu
j’ai su que je voulais tout te dire
sur moi
j’ai su que j’allais commencer
à m’épanouir.
Dès le jour où nous pourrons compter
Qu’un plus un fait plus que deux
Notre couple sera exceptionnel...
L’Amour nous donnera des ailes
Je sais dès lors que mon corps et mon âme
Seront enflammés à jamais
je voudrais que notre amour
Soit un sentiment unique et parfait
Si nous ne nous étions pas rencontrés
je chercherais toujours le bonheur
et je penserais encore que
l’amour n’est qu’un mirage.
C’est pourquoi je veux te remercier
pour ce jour où
nous nous sommes rencontrés
Emerveillée, sous un ciel étoilé.
de notre rencontre
j’ai su que tu étais unique
j’ai su que je voulais
mieux te connaître
et j’ai su que mes sentiments
étaient ébranlés.
Dès le jour où l’amour m’est apparu
j’ai su que je voulais tout te dire
sur moi
j’ai su que j’allais commencer
à m’épanouir.
Dès le jour où nous pourrons compter
Qu’un plus un fait plus que deux
Notre couple sera exceptionnel...
L’Amour nous donnera des ailes
Je sais dès lors que mon corps et mon âme
Seront enflammés à jamais
je voudrais que notre amour
Soit un sentiment unique et parfait
Si nous ne nous étions pas rencontrés
je chercherais toujours le bonheur
et je penserais encore que
l’amour n’est qu’un mirage.
C’est pourquoi je veux te remercier
pour ce jour où
nous nous sommes rencontrés
Emerveillée, sous un ciel étoilé.
Mar 20 Avril 2004, 08:01 par
Mout sur L'amour en vrac
Nuit de Décembre d'Alfred de Musset
Il est trés long mais prenez le temps de le decouvrir , il me fait toujours autant d’effet à chacune de mes lectures.
Je n’ai rien à ajouter : tout est dit ...
LE POÈTE
Du temps que j’étais écolier,
Je restais un soir à veiller
Dans notre salle solitaire.
Devant ma table vint s’asseoir
Un pauvre enfant vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Son visage était triste et beau :
A la lueur de mon flambeau,
Dans mon livre ouvert il vint lire.
Il pencha son front sur sa main,
Et resta jusqu’au lendemain,
Pensif, avec un doux sourire.
Comme j’allais avoir quinze ans
Je marchais un jour, à pas lents,
Dans un bois, sur une bruyère.
Au pied d’un arbre vint s’asseoir
Un jeune homme vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Je lui demandai mon chemin ;
Il tenait un luth d’une main,
De l’autre un bouquet d’églantine.
Il me fit un salut d’ami,
Et, se détournant à demi,
Me montra du doigt la colline.
A l’âge où l’on croit à l’amour,
J’étais seul dans ma chambre un jour,
Pleurant ma première misère.
Au coin de mon feu vint s’asseoir
Un étranger vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Il était morne et soucieux ;
D’une main il montrait les cieux,
Et de l’autre il tenait un glaive.
De ma peine il semblait souffrir,
Mais il ne poussa qu’un soupir,
Et s’évanouit comme un rêve.
A l’âge où l’on est libertin,
Pour boire un toast en un festin,
Un jour je soulevais mon verre.
En face de moi vint s’asseoir
Un convive vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Il secouait sous son manteau
Un haillon de pourpre en lambeau,
Sur sa tête un myrte stérile.
Son bras maigre cherchait le mien,
Et mon verre, en touchant le sien,
Se brisa dans ma main débile.
Un an après, il était nuit ;
J’étais à genoux près du lit
Où venait de mourir mon père.
Au chevet du lit vint s’asseoir
Un orphelin vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Ses yeux étaient noyés de pleurs ;
Comme les anges de douleurs,
Il était couronné d’épine ;
Son luth à terre était gisant,
Sa pourpre de couleur de sang,
Et son glaive dans sa poitrine.
Je m’en suis si bien souvenu,
Que je l’ai toujours reconnu
A tous les instants de ma vie.
C’est une étrange vision,
Et cependant, ange ou démon,
J’ai vu partout cette ombre amie.
Lorsque plus tard, las de souffrir,
Pour renaître ou pour en finir,
J’ai voulu m’exiler de France ;
Lorsqu’impatient de marcher,
J’ai voulu partir, et chercher
Les vestiges d’une espérance ;
A Pise, au pied de l’Apennin ;
A Cologne, en face du Rhin ;
A Nice, au penchant des vallées ;
A Florence, au fond des palais ;
A Brigues, dans les vieux chalets ;
Au sein des Alpes désolées ;
A Gênes, sous les citronniers ;
A Vevey, sous les verts pommiers ;
Au Havre, devant l’Atlantique ;
A Venise, à l’affreux Lido,
Où vient sur l’herbe d’un tombeau
Mourir la pâle Adriatique ;
Partout où, sous ces vastes cieux,
J’ai lassé mon coeur et mes yeux,
Saignant d’une éternelle plaie ;
Partout où le boiteux Ennui,
Traînant ma fatigue après lui,
M’a promené sur une claie ;
Partout où, sans cesse altéré
De la soif d’un monde ignoré,
J’ai suivi l’ombre de mes songes ;
Partout où, sans avoir vécu,
J’ai revu ce que j’avais vu,
La face humaine et ses mensonges ;
Partout où, le long des chemins,
J’ai posé mon front dans mes mains,
Et sangloté comme une femme ;
Partout où j’ai, comme un mouton,
Qui laisse sa laine au buisson,
Senti se dénuder mon âme ;
Partout où j’ai voulu dormir,
Partout où j’ai voulu mourir,
Partout où j’ai touché la terre,
Sur ma route est venu s’asseoir
Un malheureux vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Qui donc es-tu, toi que dans cette vie
Je vois toujours sur mon chemin ?
Je ne puis croire, à ta mélancolie,
Que tu sois mon mauvais Destin.
Ton doux sourire a trop de patience,
Tes larmes ont trop de pitié.
En te voyant, j’aime la Providence.
Ta douleur même est soeur de ma souffrance ;
Elle ressemble à l’Amitié.
Qui donc es-tu ? - Tu n’es pas mon bon ange,
Jamais tu ne viens m’avertir.
Tu vois mes maux (c’est une chose étrange !)
Et tu me regardes souffrir.
Depuis vingt ans tu marches dans ma voie,
Et je ne saurais t’appeler.
Qui donc es-tu, si c’est Dieu qui t’envoie ?
Tu me souris sans partager ma joie,
Tu me plains sans me consoler !
Ce soir encor je t’ai vu m’apparaître.
C’était par une triste nuit.
L’aile des vents battait à ma fenêtre ;
J’étais seul, courbé sur mon lit.
J’y regardais une place chérie,
Tiède encor d’un baiser brûlant ;
Et je songeais comme la femme oublie,
Et je sentais un lambeau de ma vie
Qui se déchirait lentement.
Je rassemblais des lettres de la veille,
Des cheveux, des débris d’amour.
Tout ce passé me criait à l’oreille
Ses éternels serments d’un jour.
Je contemplais ces reliques sacrées,
Qui me faisaient trembler la main :
Larmes du coeur par le coeur dévorées,
Et que les yeux qui les avaient pleurées
Ne reconnaîtront plus demain !
J’enveloppais dans un morceau de bure
Ces ruines des jours heureux.
Je me disais qu’ici-bas ce qui dure,
C’est une mèche de cheveux.
Comme un plongeur dans une mer profonde,
Je me perdais dans tant d’oubli.
De tous côtés j’y retournais la sonde,
Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde,
Mon pauvre amour enseveli.
J’allais poser le sceau de cire noire
Sur ce fragile et cher trésor.
J’allais le rendre, et, n’y pouvant pas croire,
En pleurant j’en doutais encor.
Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée,
Malgré toi, tu t’en souviendras !
Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ?
Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée,
Ces sanglots, si tu n’aimais pas ?
Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ;
Mais ta chimère est entre nous.
Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures
Qui me sépareront de vous.
Partez, partez, et dans ce coeur de glace
Emportez l’orgueil satisfait.
Je sens encor le mien jeune et vivace,
Et bien des maux pourront y trouver place
Sur le mal que vous m’avez fait.
Partez, partez ! la Nature immortelle
N’a pas tout voulu vous donner.
Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle,
Et ne savez pas pardonner !
Allez, allez, suivez la destinée ;
Qui vous perd n’a pas tout perdu.
Jetez au vent notre amour consumée ; -
Eternel Dieu ! toi que j’ai tant aimée,
Si tu pars, pourquoi m’aimes-tu ?
Mais tout à coup j’ai vu dans la nuit sombre
Une forme glisser sans bruit.
Sur mon rideau j’ai vu passer une ombre ;
Elle vient s’asseoir sur mon lit.
Qui donc es-tu, morne et pâle visage,
Sombre portrait vêtu de noir ?
Que me veux-tu, triste oiseau de passage ?
Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image
Que j’aperçois dans ce miroir ?
Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse,
Pèlerin que rien n’a lassé ?
Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse
Assis dans l’ombre où j’ai passé.
Qui donc es-tu, visiteur solitaire,
Hôte assidu de mes douleurs ?
Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre ?
Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère,
Qui n’apparais qu’au jour des pleurs ?
LA VISION
- Ami, notre père est le tien.
Je ne suis ni l’ange gardien,
Ni le mauvais destin des hommes.
Ceux que j’aime, je ne sais pas
De quel côté s’en vont leurs pas
Sur ce peu de fange où nous sommes.
Je ne suis ni dieu ni démon,
Et tu m’as nommé par mon nom
Quand tu m’as appelé ton frère ;
Où tu vas, j’y serai toujours,
Jusques au dernier de tes jours,
Où j’irai m’asseoir sur ta pierre.
Le ciel m’a confié ton coeur.
Quand tu seras dans la douleur,
Viens à moi sans inquiétude.
Je te suivrai sur le chemin ;
Mais je ne puis toucher ta main,
Ami, je suis la Solitude.
Je n’ai rien à ajouter : tout est dit ...
LE POÈTE
Du temps que j’étais écolier,
Je restais un soir à veiller
Dans notre salle solitaire.
Devant ma table vint s’asseoir
Un pauvre enfant vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Son visage était triste et beau :
A la lueur de mon flambeau,
Dans mon livre ouvert il vint lire.
Il pencha son front sur sa main,
Et resta jusqu’au lendemain,
Pensif, avec un doux sourire.
Comme j’allais avoir quinze ans
Je marchais un jour, à pas lents,
Dans un bois, sur une bruyère.
Au pied d’un arbre vint s’asseoir
Un jeune homme vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Je lui demandai mon chemin ;
Il tenait un luth d’une main,
De l’autre un bouquet d’églantine.
Il me fit un salut d’ami,
Et, se détournant à demi,
Me montra du doigt la colline.
A l’âge où l’on croit à l’amour,
J’étais seul dans ma chambre un jour,
Pleurant ma première misère.
Au coin de mon feu vint s’asseoir
Un étranger vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Il était morne et soucieux ;
D’une main il montrait les cieux,
Et de l’autre il tenait un glaive.
De ma peine il semblait souffrir,
Mais il ne poussa qu’un soupir,
Et s’évanouit comme un rêve.
A l’âge où l’on est libertin,
Pour boire un toast en un festin,
Un jour je soulevais mon verre.
En face de moi vint s’asseoir
Un convive vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Il secouait sous son manteau
Un haillon de pourpre en lambeau,
Sur sa tête un myrte stérile.
Son bras maigre cherchait le mien,
Et mon verre, en touchant le sien,
Se brisa dans ma main débile.
Un an après, il était nuit ;
J’étais à genoux près du lit
Où venait de mourir mon père.
Au chevet du lit vint s’asseoir
Un orphelin vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Ses yeux étaient noyés de pleurs ;
Comme les anges de douleurs,
Il était couronné d’épine ;
Son luth à terre était gisant,
Sa pourpre de couleur de sang,
Et son glaive dans sa poitrine.
Je m’en suis si bien souvenu,
Que je l’ai toujours reconnu
A tous les instants de ma vie.
C’est une étrange vision,
Et cependant, ange ou démon,
J’ai vu partout cette ombre amie.
Lorsque plus tard, las de souffrir,
Pour renaître ou pour en finir,
J’ai voulu m’exiler de France ;
Lorsqu’impatient de marcher,
J’ai voulu partir, et chercher
Les vestiges d’une espérance ;
A Pise, au pied de l’Apennin ;
A Cologne, en face du Rhin ;
A Nice, au penchant des vallées ;
A Florence, au fond des palais ;
A Brigues, dans les vieux chalets ;
Au sein des Alpes désolées ;
A Gênes, sous les citronniers ;
A Vevey, sous les verts pommiers ;
Au Havre, devant l’Atlantique ;
A Venise, à l’affreux Lido,
Où vient sur l’herbe d’un tombeau
Mourir la pâle Adriatique ;
Partout où, sous ces vastes cieux,
J’ai lassé mon coeur et mes yeux,
Saignant d’une éternelle plaie ;
Partout où le boiteux Ennui,
Traînant ma fatigue après lui,
M’a promené sur une claie ;
Partout où, sans cesse altéré
De la soif d’un monde ignoré,
J’ai suivi l’ombre de mes songes ;
Partout où, sans avoir vécu,
J’ai revu ce que j’avais vu,
La face humaine et ses mensonges ;
Partout où, le long des chemins,
J’ai posé mon front dans mes mains,
Et sangloté comme une femme ;
Partout où j’ai, comme un mouton,
Qui laisse sa laine au buisson,
Senti se dénuder mon âme ;
Partout où j’ai voulu dormir,
Partout où j’ai voulu mourir,
Partout où j’ai touché la terre,
Sur ma route est venu s’asseoir
Un malheureux vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.
Qui donc es-tu, toi que dans cette vie
Je vois toujours sur mon chemin ?
Je ne puis croire, à ta mélancolie,
Que tu sois mon mauvais Destin.
Ton doux sourire a trop de patience,
Tes larmes ont trop de pitié.
En te voyant, j’aime la Providence.
Ta douleur même est soeur de ma souffrance ;
Elle ressemble à l’Amitié.
Qui donc es-tu ? - Tu n’es pas mon bon ange,
Jamais tu ne viens m’avertir.
Tu vois mes maux (c’est une chose étrange !)
Et tu me regardes souffrir.
Depuis vingt ans tu marches dans ma voie,
Et je ne saurais t’appeler.
Qui donc es-tu, si c’est Dieu qui t’envoie ?
Tu me souris sans partager ma joie,
Tu me plains sans me consoler !
Ce soir encor je t’ai vu m’apparaître.
C’était par une triste nuit.
L’aile des vents battait à ma fenêtre ;
J’étais seul, courbé sur mon lit.
J’y regardais une place chérie,
Tiède encor d’un baiser brûlant ;
Et je songeais comme la femme oublie,
Et je sentais un lambeau de ma vie
Qui se déchirait lentement.
Je rassemblais des lettres de la veille,
Des cheveux, des débris d’amour.
Tout ce passé me criait à l’oreille
Ses éternels serments d’un jour.
Je contemplais ces reliques sacrées,
Qui me faisaient trembler la main :
Larmes du coeur par le coeur dévorées,
Et que les yeux qui les avaient pleurées
Ne reconnaîtront plus demain !
J’enveloppais dans un morceau de bure
Ces ruines des jours heureux.
Je me disais qu’ici-bas ce qui dure,
C’est une mèche de cheveux.
Comme un plongeur dans une mer profonde,
Je me perdais dans tant d’oubli.
De tous côtés j’y retournais la sonde,
Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde,
Mon pauvre amour enseveli.
J’allais poser le sceau de cire noire
Sur ce fragile et cher trésor.
J’allais le rendre, et, n’y pouvant pas croire,
En pleurant j’en doutais encor.
Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée,
Malgré toi, tu t’en souviendras !
Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ?
Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée,
Ces sanglots, si tu n’aimais pas ?
Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ;
Mais ta chimère est entre nous.
Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures
Qui me sépareront de vous.
Partez, partez, et dans ce coeur de glace
Emportez l’orgueil satisfait.
Je sens encor le mien jeune et vivace,
Et bien des maux pourront y trouver place
Sur le mal que vous m’avez fait.
Partez, partez ! la Nature immortelle
N’a pas tout voulu vous donner.
Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle,
Et ne savez pas pardonner !
Allez, allez, suivez la destinée ;
Qui vous perd n’a pas tout perdu.
Jetez au vent notre amour consumée ; -
Eternel Dieu ! toi que j’ai tant aimée,
Si tu pars, pourquoi m’aimes-tu ?
Mais tout à coup j’ai vu dans la nuit sombre
Une forme glisser sans bruit.
Sur mon rideau j’ai vu passer une ombre ;
Elle vient s’asseoir sur mon lit.
Qui donc es-tu, morne et pâle visage,
Sombre portrait vêtu de noir ?
Que me veux-tu, triste oiseau de passage ?
Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image
Que j’aperçois dans ce miroir ?
Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse,
Pèlerin que rien n’a lassé ?
Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse
Assis dans l’ombre où j’ai passé.
Qui donc es-tu, visiteur solitaire,
Hôte assidu de mes douleurs ?
Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre ?
Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère,
Qui n’apparais qu’au jour des pleurs ?
LA VISION
- Ami, notre père est le tien.
Je ne suis ni l’ange gardien,
Ni le mauvais destin des hommes.
Ceux que j’aime, je ne sais pas
De quel côté s’en vont leurs pas
Sur ce peu de fange où nous sommes.
Je ne suis ni dieu ni démon,
Et tu m’as nommé par mon nom
Quand tu m’as appelé ton frère ;
Où tu vas, j’y serai toujours,
Jusques au dernier de tes jours,
Où j’irai m’asseoir sur ta pierre.
Le ciel m’a confié ton coeur.
Quand tu seras dans la douleur,
Viens à moi sans inquiétude.
Je te suivrai sur le chemin ;
Mais je ne puis toucher ta main,
Ami, je suis la Solitude.
Carapace oui mais...
Une carapace, Master, oui mais c’est évident que je laisserai toujours une toute petite ouverture possible... Simplement parce que je suis une grande amoureuse de la vie et que je ne conçois pas de vivre sans l’amour d’un homme. Il viendra un jour, je le sais, et pour cette raison je resterai attentive et vigilente en regardant timidement par le petit trou de ma carapace

Lun 19 Avril 2004, 15:47 par
Mout sur Amour internet
C'était en juin....(suite 2)
Mon cœur, de douleur, se met à crier
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Sensation qu’on m’arrache à toi
Pourquoi je pense à toi ?
Tu n’as pas le droit, pas comme ça
Pas maintenant, pas sans toi
Triste et mélancolique
Je refuse cette sortie d’artiste buccolique
Ma tête est éparpillée
Te rends-tu compte, je suis bousillée
Vidée
Anéantie
Je peux attendre mon heure maintenant
Salvatrice et insignifiante,
Soumise je suis pratiquement délirante,
Mon cœur suinte de tristesse, le seul médicament
Tu ne peux plus me le donner
Tu ne peux plus me le donner.
C’est une autre dimension sans toi
Les nuages ne me font plus rêver
Je rentre dans l’ère sans sentiment
Le langage des oiseaux n’est plus du tout gai
Voilà ce qu’il se passe dans ma tête là
Tu tentes de sortir de ma vie violemment
Et je ne veux pas de cette sortie
Aucune sortie
A ma façon te piéger,
Avec mes mots te retrouver
Dans ma tête, dans mon ventre, dans mon âme inconsolée
Le verbe aimer, je jure
Ne jamais prononcer, terminer, cassure
Violence du choix
Cœur allégé pour toi
Situation en osmose avec ce que Toi tu souhaitais
Je dois comprendre, réagir calmement,
Penser encore à toi, lentement,
Meilleurs passages de ma vie rappelés
Les moments rares, beaux, purs, intenses
Que j’ai eu la chance de partager
Avec toi
Tu as choisi… l’instant de séparation
Calculé ? Non
Je ne pense pas
Je n’y crois pas
C’est juste comme ça
Je te quitte et voilà….
Triste surprise de cette décision
C’est la meilleure, tu as raison
Mais merde, combien j’ai mal, souffre, saigne, pleure
Pour quelle raison effacer ce bonheur
La peur d’affronter la réalité ?
La peur au ventre ? C’est ça ? C’est vrai ?
L’Amour, le vrai
Nous l’avons effleuré
Nous avons joué avec, caressé,
Nous le tenions à bout de bras
Narguant tous ceux qui ne le connaissaient pas….
Dim 18 Avril 2004, 23:00 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Aux frustrées et aux mal baisées
Aux frustrées et aux mal baisées,
Qui du haut de leur morale,
Me jugent et me mènent à mal
Ecoutez ces quelques mots
Rougissez, outrez-vous et appelez-moi nympho
Etes-vous plus heureuse le soir quand seules dans votre lit
Les traces de l’âge sur votre corps décati
Vous vous endormez en maudissant ces belles salopes
Qui sans vergogne vous volent vos potes
Quand moi je m’endors dans les bras d’un inconnu
Les cheveux en bataille et le corps repu?
Votre vie est-elle mieux remplie
Quand vous sommeillez auprès de votre ami
L’étouffant dans votre morosité
Et vos habitudes de femmes bien rangées
Quand je rigole, partant à mille lieux
Emportant avec moi mon amant ressuscité sous mes feux?
Vous épanouissez-vous davantage
Quand votre esprit se torture d’être sage
Pour vous consoler me salir
Quand à vos amis vous tentez de médire?
En eux vous n’éveillez que l’envie
D’un jour encore connaître ces folies
Baiser, sauter, sucer vous choque
Habituez-vous encore à mes électrochocs
Courrez prévenir votre cours
Que la marquise se lance dans les grands discours
Amenez-les, je n’attends que ça
Je saurai les convaincre de mon combat
Pas un ne doutera entre mes mains
Que si j’ai choisi ce chemin
Ce n’est pas par dépit ou vengeance
Juste pour fuir ces frustrées de la bienséance
Qui par mesquinerie et jalousie
Oublient simplement qu’on n’a qu’une vie
De l’amour je ne connais que les prémices
Je suis bien décidée à en goûter tous les délices
Aimer une heure ou toute une éternité
Quelle est la différence puisque tous m’auront passionnée
Chacun est unique, ils comblent mes rêves à outrance
A deux nous aurons partagé un morceau de vie intense
Si la légèreté est synonyme de bêtise
Mes paroles ne sont que sottises
Quelques-uns auront souri
Se souvenant de ce temps où rien n’était si pourri
D’autres n’auront rien compris
Et retourneront à leur mépris
Sur ces quelques vers qui vous blessent
Je m’en retourne à ce que vous appelez des faiblesses
Profiter de ces messieurs
Leur proposer mes jeux
Eux déceleront entre mes lignes
Que de leur amour je suis digne
La marquise... torrent de charme...
Qui du haut de leur morale,
Me jugent et me mènent à mal
Ecoutez ces quelques mots
Rougissez, outrez-vous et appelez-moi nympho
Etes-vous plus heureuse le soir quand seules dans votre lit
Les traces de l’âge sur votre corps décati
Vous vous endormez en maudissant ces belles salopes
Qui sans vergogne vous volent vos potes
Quand moi je m’endors dans les bras d’un inconnu
Les cheveux en bataille et le corps repu?
Votre vie est-elle mieux remplie
Quand vous sommeillez auprès de votre ami
L’étouffant dans votre morosité
Et vos habitudes de femmes bien rangées
Quand je rigole, partant à mille lieux
Emportant avec moi mon amant ressuscité sous mes feux?
Vous épanouissez-vous davantage
Quand votre esprit se torture d’être sage
Pour vous consoler me salir
Quand à vos amis vous tentez de médire?
En eux vous n’éveillez que l’envie
D’un jour encore connaître ces folies
Baiser, sauter, sucer vous choque
Habituez-vous encore à mes électrochocs
Courrez prévenir votre cours
Que la marquise se lance dans les grands discours
Amenez-les, je n’attends que ça
Je saurai les convaincre de mon combat
Pas un ne doutera entre mes mains
Que si j’ai choisi ce chemin
Ce n’est pas par dépit ou vengeance
Juste pour fuir ces frustrées de la bienséance
Qui par mesquinerie et jalousie
Oublient simplement qu’on n’a qu’une vie
De l’amour je ne connais que les prémices
Je suis bien décidée à en goûter tous les délices
Aimer une heure ou toute une éternité
Quelle est la différence puisque tous m’auront passionnée
Chacun est unique, ils comblent mes rêves à outrance
A deux nous aurons partagé un morceau de vie intense
Si la légèreté est synonyme de bêtise
Mes paroles ne sont que sottises
Quelques-uns auront souri
Se souvenant de ce temps où rien n’était si pourri
D’autres n’auront rien compris
Et retourneront à leur mépris
Sur ces quelques vers qui vous blessent
Je m’en retourne à ce que vous appelez des faiblesses
Profiter de ces messieurs
Leur proposer mes jeux
Eux déceleront entre mes lignes
Que de leur amour je suis digne
La marquise... torrent de charme...

Mer 14 Avril 2004, 17:48 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Les dix commandements des beaux parents...
PetitPrince a écrit: |
Comme dirait ma compagne, "la vie à deux, c’est chaud !". Outre l’attirance réciproque des amants, il s’avère toujours délicat de régler nos comportements afin que l’aventure formidable ne se transforme pas en fiasco retentissant. |
Encore plus difficile quand la belle famille (ou la famille) se mêle de la relation... Voila donc... Les principaux préceptes pour ne pas gâcher l’amour de votre cher bambin !
- 1. Vous ne vous imposerez pas tous les soirs à table, au téléphone ou à l’apéritif.
2. Vous n’exposerez pas les photos de la période couche culotte, acnée ineffaçable, ou premier mariage sans en demander l’autorisation.
3. Vous ne dévoilerez pas le nom des ancien(nes) compagnons/compagnes ainsi que les joies et les peines en les connaissant.
4. Vous ne serez pas jaloux.
5. Vous fermerez la porte de la salle de bain quand vous aurez besoin de l’emprunter !
6. Vous ne critiquerez pas les ami(e)s, proches ou non, de votre chèr(e) !
7. Vous ne donnerez pas de conseils sur la cuisine, le ménage, l’éducation des enfants, la manière de faire l’amour.
8. Par conséquent, vous ne confierez pas les détails croustillants de votre première nuit.
9. Vous ne direz jamais "De mon temps".
10. Vous ne vous proposerez jamais de les accompagner lors des voyages en amoureux
Et surtout... Vous ne ferez rien pour décrier le conjoint de votre enfant...

Mar 13 Avril 2004, 21:52 par
Rose sur La vie à deux
Souris...
la marquise de sade a écrit: |
Ne pleure pas parce que c’est terminé, souris plutôt pour tout ce qui s’est passé avant" |
Souris ...
En te souvenant quand tu l’as rencontré
A son apparente indifférence que tu avais percé
A sa méfiance qu’il essayait tant bien que mal de montrer
A son sourire qui ne t’avait pas longtemps trompée
Souris...
En te remémorant les heures partagées
A écouter son coeur blessé
A sècher les larmes qui voulaient dissimuler
A écouter ses silences enflammés
Souris ...
En te rapellant les lignes de son corps
A unir vos soupirs dans un même accord
A emprunter pour le ciel le même transport
A faire l’amour jusqu’à l’aurore
Souris ...
En repensant à vos délires
A votre monde unique que vous vouliez construire
A cette vie que vous rêviez d’embellir
A vos douleurs qu’à tout jamais il fallait ensevelir
Souris ...
En revoyant son regard
A cette étincelle qui te faisait oublier tes bagarres
A cette douceur que jamais tu n’effaceras de ta mémoire
A cette lueur que tu avais allumée un soir
Souris...
Parce qu’il restera ton amour le plus violent
Parce qu’une part de ton coeur garde cet affolement
Parce que toujours tu succomberas pour cet indolent
Parce que tu le ressentiras comme ton autre ... éternellement
Souris belle marquise ...
La marquise... nostalgique...
Mar 13 Avril 2004, 12:13 par
la marquise de sade sur Citations
Retour insipide...
Il fallu bien en parler un jour
Se rappeler, se souvenir
De tous ces détours
Illuminés par les rires…
Voilà trois ans,
Pas moins tentant
Que j’aimais…
T’admirais…
Echange de mots,
Echange de rêves,
Assassinat de sots,
Assassinat de trêves…
Il a bien fallu commencer
Un jour, trépasser.
Il aura bien fallu finir
Un jour, tout se dire.
Milles et une nuits
Sur le net à détruire
L’éducation de ma mère
Qu’elle avait mit tant de temps à faire naître…
Des dizaines,
Des centaines,
Des milliers,
De « je t’aime »…
Qu’il n’est pas bon d’être enfant
Qu’il ne vaut pas mieux d’être adulte…
Voilà deux ans,
Pas moins effrayants
Que l’on se regardait...
S’admirait…
Mélange de sens,
Mélange d’envie,
Parfum intense,
Parfum de vie…
Troquer les mots pour les rires,
Dealer les doctes pour frémir,
Vanter l’amour et le sexe
Briser nos tours, et tu te vexes…
Le temps passe,
Les corps s’échauffent
Les caresses se tassent
Et s’effacent…
Et d’une,
Et de deux,
Et de trois,
Encore cette fois…
Qu’il n’est pas bon d’être crédule
Qu’il ne vaut pas mieux d’être certain…
Voilà un an
Qu’il était temps
D’en finir…
De souffrir…
Les chemins se croisent
Nos regards se toisent
Nos mains se serrent
Et nous privent de nos serres…
Elle me raconte encore vos ébats,
Il te raconte toujours mes trépas,
Il a bien fallu tirer un trait
Et garder nos besoins au frais…
Les rêves sont morts,
Nos espoirs ont eu torts…
Que peut-on faire
A part ne plus nous taire ?
06…
03...
4 Allée…
Des adresses effacées…
Qu’il est si agréable de se souvenir
Qu’il est encore plus doux de m’endormir…
On se brise,
On s’excite,
On se mort,
Toujours plus fort…
Parfois on s’aime,
Souvent on se déteste…
Parfois on se sème,
Souvent on teste…
Un jour de mot doux,
Une nuit à se chercher des poux…
Un jour de dispute,
Une nuit à jouer sous nos huttes…
Qu’il est bien bon, de savoir qu’au fond…
Le net a des avantages, que l’on partage…
Qu’il est précieux de comprendre qu’au pieu …
Il faudra quand même mieux se regarder dans les yeux…
Se rappeler, se souvenir
De tous ces détours
Illuminés par les rires…
Voilà trois ans,
Pas moins tentant
Que j’aimais…
T’admirais…
Echange de mots,
Echange de rêves,
Assassinat de sots,
Assassinat de trêves…
Il a bien fallu commencer
Un jour, trépasser.
Il aura bien fallu finir
Un jour, tout se dire.
Milles et une nuits
Sur le net à détruire
L’éducation de ma mère
Qu’elle avait mit tant de temps à faire naître…
Des dizaines,
Des centaines,
Des milliers,
De « je t’aime »…
Qu’il n’est pas bon d’être enfant
Qu’il ne vaut pas mieux d’être adulte…
Voilà deux ans,
Pas moins effrayants
Que l’on se regardait...
S’admirait…
Mélange de sens,
Mélange d’envie,
Parfum intense,
Parfum de vie…
Troquer les mots pour les rires,
Dealer les doctes pour frémir,
Vanter l’amour et le sexe
Briser nos tours, et tu te vexes…
Le temps passe,
Les corps s’échauffent
Les caresses se tassent
Et s’effacent…
Et d’une,
Et de deux,
Et de trois,
Encore cette fois…
Qu’il n’est pas bon d’être crédule
Qu’il ne vaut pas mieux d’être certain…
Voilà un an
Qu’il était temps
D’en finir…
De souffrir…
Les chemins se croisent
Nos regards se toisent
Nos mains se serrent
Et nous privent de nos serres…
Elle me raconte encore vos ébats,
Il te raconte toujours mes trépas,
Il a bien fallu tirer un trait
Et garder nos besoins au frais…
Les rêves sont morts,
Nos espoirs ont eu torts…
Que peut-on faire
A part ne plus nous taire ?
06…
03...
4 Allée…
Des adresses effacées…
Qu’il est si agréable de se souvenir
Qu’il est encore plus doux de m’endormir…
On se brise,
On s’excite,
On se mort,
Toujours plus fort…
Parfois on s’aime,
Souvent on se déteste…
Parfois on se sème,
Souvent on teste…
Un jour de mot doux,
Une nuit à se chercher des poux…
Un jour de dispute,
Une nuit à jouer sous nos huttes…
Qu’il est bien bon, de savoir qu’au fond…
Le net a des avantages, que l’on partage…
Qu’il est précieux de comprendre qu’au pieu …
Il faudra quand même mieux se regarder dans les yeux…
Mar 13 Avril 2004, 12:06 par
Rose sur Amour internet
De la terre au ciel...
Tristan Bernard a écrit: |
Ce qui ressemble à l’amour est toujours de l’amour. |
Aimer toutes les femmes, ou n’aimer que sa femme... Peu importe tant qu’on l’aime, non ?
La définition du libertin n’est autre qu’une personne qui s’adonne sans retenue aux plaisirs charnels.
L’un dans l’autre... Chacun est libre... Comme l’a si bien dit
Jean-Paul Sartre qui a écrit: |
La liberté ce n’est pas faire ce que l’on veut MAIS vouloir ce que l’on fait. |
... Aimer une femme... Ou les couvrir toutes d’attentions...
Les 10 commandements version Marquise
- 1. La jalousie tu ne laisseras point entrer dans ton couple
2. De mensonge tu ne feras point, sauf pour le (la ) protéger
3. L’écoute et l’attention tu donneras chaque moment
4. La compréhension et le pardon tu accorderas le plus souvent
5. La passion tu entretiendras par de petits gestes et des surprises quotidiennes
6. L’amour tu ne lui feras qu’à lui (ou elle) seul le plus souvent possible, voire plusisurs fois par jour
7. Tes secrets, tes envies, tes reves tu lui confieras
8. Les problèmes quotidiens tu gèreras en couple, laissant à chacun la possibilité de s’affirmer
9. Ses larmes et ses peurs tu apaiseras
10. Jamais tu ne compareras ce que tu donnes et ce que tu reçois.
La marquise ... Moïse des 4 jeudis

Lun 12 Avril 2004, 14:44 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Re: du chinois au libertin
Loyd a écrit: |
Le libertinage permet le libre cour à la fantaisie amoureuse mais permet-elle de toucher le fond du coeur et de l’Amour essentiel? |
Etre libertin ou libertine ne signifie pas ne jamais être amoureux...
Peut-on réellement être un vrai libertin si on n’est pas un perpétuel amoureux qui aime de tout son coeur?

Est-ce l’intensité qui est moindre... ou le temps de l’amour?
N’est-ce pas le plaisir de n’être toujours et qu’uniquement passionné(e) sans jamais souffir des habitudes et de la lassitude que peuvent donner un amour étalé sur toute une vie?
N’est-ce pas vivre à l’infini ce plaisir et ces instants indescriptibles de la séduction et de la découverte de l’autre? Ce moment où nos pensées ne sont tournées que vers une seule personne?
N’est-ce pas justement aimer, et ne jamais attendre que son coeur atteigne le fond, la limite, la fin de l’Amour ...
La marquise... dans la 4ème dimension
Lun 12 Avril 2004, 01:41 par
la marquise de sade sur Citations
Du chinois au libertin
Proverbe chinois:
Le libertinage permet le libre cour à la fantaisie amoureuse mais permet-elle de toucher le fond du coeur et de l’Amour essentiel?
Loyd et les 1000 et 1 questions
Citation: |
On cherche la vertu dans une épouse, la beauté dans une concubine. |
Le libertinage permet le libre cour à la fantaisie amoureuse mais permet-elle de toucher le fond du coeur et de l’Amour essentiel?
Loyd et les 1000 et 1 questions
Libertin
Ariel a écrit: |
Faut-il donc penser, selon les Fables, qu’une relation libertine et vivante a plus de chance de vivre qu’une relation bétonnée par sa structure ? Voila, un point bien ambigu... |
- et
Bertrand Vac, avec Ariel a écrit: |
On a beau blâmer les libertins, ils restent quand même les seuls à avoir employé les moyens de retenir celles qui leur plaisent. |
Le libertinage. La folie de la chasse, la joie de plaire, vivre pour le plaisir, rien que pour le plaisir ... De mémoire , dans le film "Le libertin", Vincent Perez disait que le libertin "c’est celui qui les aime toutes, sans appartenir à aucune". Voilà une bien jolie définition qui redore le blason aux coeurs jugés légers par l’autre camp !
Quand on est libertin, on est peut être aussi amoureux ... de l’amour.
Ven 09 Avril 2004, 19:08 par
PetitPrince sur Citations
Ecrire sur l’amour

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