L'île du Levant la bien nommée...

L’île du Levant


Comme disait Devos : « J’ai voulu voir la mer… » L’arrivée a eu lieu, en fin septembre au Lavandou. Occupation des lieux de location : Il faisait beau, il faisait chaud…la mer était belle, la vie serait plus belle aussi pendant ces trois semaines ! J’en oubliais ces vers de G. de Nerval qui me taraudent l’esprit trop souvent :
« L’Homme a un pied dans la tombe quand l’Espoir ne le soutient plus… »
En cette fin de samedi, organisation et installation habituelles, mais le dimanche matin, dés sept heures, sortie à la marche : Après quelques centaines de mètres, j’ai atteint le boulevard front de mer. J’ai repris rituellement mon périple habituel en direction du Port du Lavandou. Ce boulevard est plat, vivant car déjà parcouru par les Touristes, et surtout il jouxte les Plages et…la mer !
*
Dans le ‘beau-de-l’air’, j’ai retrouvé mes réminiscences habituelles :
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… »
Et le ‘rein-beau’ :
« Elle est retrouvée – Quoi ? – l’Eternité – C’est la mer mêlée au soleil »
Et quand ça chatouille ‘vers-l’aine’ :
« Je ne sais pourquoi – mon esprit amer – d’une aile inquiète vole sur la mer…
mouette à l’essor mélancolique- Qui suit la vague et ma pensée… »
*
Ma promenade habituelle se prolonge après le port vers les rochers de saint Clair la crique d’Aiguebelle et retour. Ma sortie de l’après midi, à l’inverse m’amène vers le Port de Bormes les mimosas, puis la grande Plage, les premiers rochers du Cap Bénat et retour. Deux fois sept kilomètres par jour. Monotone ? Jamais… « La mer toujours renouvelée » les vagues, les bateaux, les touristes, les baigneurs, les…chiens et les oiseaux marins !
Matin et soir, en fin de parcours, je prends un petit bain de 15 à 20 minutes dans une eau à 24° de moyenne, avant de rentrer…
Au large, en direction du sud, il y a les Iles d’Or : l’Ile du Levant et celle de Port Cros paraissant bien prés ( Porquerolles elle, est cachée par le cap Bénat ) Cela m’a donné des idées, d’autant qu’à chacun de mes passages côté Port du Lavandou, sur la jetée, je côtoyais les vedettes qui assurent le service de ces Iles. Par curiosité, j’ai regardé le tableau d’affichage et les horaires des différentes rotations. Cela a conforté mes idées : D’abord l’Ile du Levant, avec un départ à 14h,arrivée à 14h30, et rembarquement à 18h30…4h à passer sur l’Ile que je connaissais déjà, c’était bien suffisant !

*

Et dés le mercredi, j’ai embarqué sur l’une de ces vedettes, chargée à ras bord de moutons bêlants…pardon de touristes bruyants ! Passant à l’avant, j’ai pu heureusement me retrouver assis sur un capot, sous le cockpit face à la proue. Les bancs devant moi étaient pleins et retentissaient de : « Ya, ya, ya » Allemands et peut-être en partie Hollandais ? Sur une mer calme, pailletée d’or, le ronron des gros moteurs diesels était presque une hérésie. Mais nous sommes vite arrivés au port d’Héliopolis quasiment désert à cette heure là…
A peine débarqués, j’ai pris le sentier de gauche qui amène côté nord, face à la côte. J’étais en short, tee-shirt, petit sac dans le dos, chaussures de course à pied et casquette blanche, vissée sur la tête, à cause du grand soleil.
Première rencontre, une grande pancarte : « Partie de l’Ile exclusivement réservée aux Naturistes » et pour mieux illustrer cette injonction, une énorme statue de pierre.
Pas de tête, ni de membres ; un dos normal, mais plus bas, une énorme paire de fesses, plus prés de la Vénus Hottentote que de la Callipyge !
Ce sentier, bien qu’étroit et caillouteux, épousant la forme des rochers, donc montant et descendant dans une garrigue fournie, ne soit pas désagréable à qui est entraîné à la marche à pied. De temps en temps, un petit embranchement donne accès vers la mer : des criques rocheuses uniquement, et allongés ou assis sur ces roches plus ou moins lisses, des grands singes nus…oh ! Pardon, des Naturistes, dont j’ai plaint les ventres et les postérieurs, reposant sur des surfaces aussi peu engageantes et brûlantes en sus !
Moi, j’attendais d’arriver à la grande crique de l’Avis pour me baigner un petit moment avant de reprendre mon périple autour de l’Ile, dans sa partie Civile, les trois quarts de sa surface étant occupée par la Marine Nationale …à un moment, je suis arrivé sur une partie pentue, des pierres plates y tenaient lieu d’escaliers, et…en haut, j’ai vu une paire de fesses en gros ( !) plan, bien réelles, celles-là : Des tongs sous les pieds, les fesses précitées qui tressautaient à chaque pas, un dos brûlé de soleil, et au-dessus du tout, un grand chapeau de paille d’Italie ou d’ailleurs…
Ah ! J’oubliais, elle tenait une grande serviette à la main. Entendant mes pas précipités, elle s’est tournée, fesses côté verdure pour me laisser passer, et…j’ai vu le côté pile : Lourds seins pendants, ventre ptosé, touffe coupée ras, naturisme oblige ! J’étais déjà à sa hauteur, et elle a dit :
- Passez donc Monsieur ! Courez vers votre Destin…
Elle avait de l’humour, cette Dame visiblement sexagénaire ( Comme…moi !) mais avec des rides plus visibles, puisque blanches sur un visage tanné, éclairé par un sourire mi-moqueur, mi-pincé…J’ai dit au passage :
- Pardon ! Je vais un peu vite…je veux me baigner à l’Avis, avant de continuer le sentier jusqu’au Port…
Elle m’a coupé la parole :
- Vous savez que c’est strictement Naturiste dans cette partie de l’Ile ? D’ailleurs vous auriez moins chaud…
A mon tour, déjà loin, j’ai crié :
- ‘A poils’, quand je cours ou quand je nage, çà me les coince !
D’encore plus loin, j’ai entendu nettement :
- ‘Pôvre con’ !
Arrivé à la crique de l’Avis, sur les grandes plaques de ciment lisse, il y avait déjà toute une brochette de Naturistes que j’ai contournés, ignorant de nombreux regards réprobateurs…un peu plus loin, je savais trouver une crique plus petite, et chance : il n’y avait personne. Pierres et rochers, il fallait faire avec. Je me suis ‘dépoilé’, puis j’ai souffert des pieds sur ces petits rochers pointus, avant de trouver une eau assez profonde pour nager. J’étais bien, j’avais eu si chaud…
J’ai nagé longtemps et c’est d’un peu loin que j’ai vu arriver un groupe familial : Grand-Père, Grand-Mère, Fille et Petite Fille, sans doute ?
Tous ‘à poils’ bien sûr, sauf la petite qui n’en avait pas encore ! Grand-Papa, à peu prés de mon âge, mais ventripotent, l’air réjoui, m’a rejoint en nageant, vite disert et bavard :
- ‘Elle’ est bonne, hein ! Depuis vingt cinq ans nous venons ici en famille. Notre petite maisonnette est à peine à cinq cent mètres d’ici…
Et patati, et patata !
Quand je me suis rapproché du bord, ces Dames pas gênées, jouaient avec la Petite, lui cherchant des galets ronds et plats pour lancer en ricochets. J’arrivais en nageant jusqu’au plus prés du bord à cause des pointes de rochers sous l’eau.
Elles me tournaient le dos, se baissant et se relevant, tour à tour. Comment mes yeux ne se seraient pas appesantis sur le spectacle : Grand-Maman, ‘moule’ à l’ancienne…et ma pensée a été
- Bof !
Mais pour ce qui était de la jeune Femme, la quarantaine, peut-être ? Il n’en a pas été de même…Sa ‘fourrure’ bien taillée, laissait visible, une ‘fente’ appétissante, qui m’a fait saliver…
En bon ‘Pied-noir’, j’ai pensé :
- Bon sang ! Dans cette position, je lui en mettrai bien une ‘giclée’…et même deux, sans sortir…depuis le temps que Popaul n’a pas été à pareille fête !
Mais ma pensée suivante a été :
- Arrêtes de fantasmer…ce n’est pas du ‘millet’ pour ton ‘canari’ !

Furtivement, j’ai vu aussi le petit ‘minou’ fendu et dénudé de la gamine. Gêné, mes yeux se sont alors fixés, volontairement, au centre…sur la Maman ! Mains en appui sur le fond, je suis arrivé presque sous son ‘poster’…en me disant :
- ‘Putain’ ! C’est beau quand même…
Elle s’est tournée vers moi : le soleil dorait ses cheveux châtains, et son visage était aussi bronzé que…le ‘reste’ ! Sa bouche pulpeuse s’ouvrait sur des dents très blanches : elle me souriait !
Comme le Papy précédemment, la Mamy m’a dit, elle aussi :
- Elle est bonne, hein !
Et j’ai répondu, faisant un lapsus involontaire :
-Oui, elle est ‘magnifique’ !

J’allais sortir de l’eau, quand j’ai réalisé que j’étais en érection … Que faire ?
Je me suis éloigné un peu, l’air faussement intéressé, par la recherche d’une rive plus accueillante…Assez vite la honte aidant, j’ai retrouvé un appendice caudal, presque normal, et je suis sorti, me rhabillant très vite sous les yeux réprobateurs de ces Dames et de Grand-Papa qui m’avait suivi…Aussi, j’ai vite filé sans demander mon reste !

*

A nouveau le sentier : qui monte et serpente, jouxtant assez vite le grillage de séparation avec la partie militaire de l’Ile. Les arbousiers qui bordaient les côtés regorgeaient de baies bien mûres : Je me suis régalé de fruits, encore plus de souvenirs ( Arbousiers d’Algérie – Et Yoyo, ma tendre amie !) Je suis vite arrivé au village, peu occupé à cette période de l’année. Maisons, hôtels, commerces, tous nichés dans la verdure, mais les volets fermés…

Aux terrasses des deux cafés ouverts, qui se font face, des Touristes. De belles Gretchens reconnues aux classiques : « Ya, ya, ya » le torse nu comme il se doit, et la plupart en strings !
Les serveurs étaient habillés, eux, et çà c’était nouveau ! En tout cas, le spectacle m’a fait adopter un ton égrillard pour l’envoi de mes cartes postales…

Ensuite je suis redescendu vers le Port, et j’ai croisé un ‘Spectre’ : une vieille Dame décatie, flageolante dans la montée, mais bien dans la lignée et l’esprit naturiste … Pitié ! Je n’en dirai pas plus !
Sur le Port, côté sud, il y a une grille ouverte une partie de l’année, et cette pancarte :
« Domaine Maritime. Plage ouverte de juin jusqu’en septembre. Non surveillée. Naturisme toléré » et côté Nord, celui du « Naturisme only »
J’ai repéré une longue jetée non occupée par les bateaux, mais par trois Grâces qui s’y étaient alignées sur leurs serviettes, nez vers la mer et fesses en l’air, côté Port…Je m’y suis bien sûr dirigé !

Il me restait moins d’une heure avant le rembarquement, j’avais chaud et je voulais me retremper…Du Port, il m’a fallu monter quelques marches. J’ai soudain émergé en perspective arrière sur ces grâces qui étaient plutôt des grasses…
Pour celle du milieu dont les fesses n’avaient rien à envier à la statue de pierre, symbole de l’entrée au Zoo, ma pensée a été :
- Oh ! ‘Calcutta’…
Ses jambes étaient très écartées, sans doute à cause des plis et replis entourant une ‘bouche’ édentée, aux lèvres africaines qui ont semblé sourire à ma pensée :
- Berk !
Mais déjà mes yeux, tels ceux des caméléons, biglaient entre les fesses de gauche et celles de droite. Blonde à gauche, Brune à droite : ‘barbus’ bien taillés, ‘tire-lire’ apparentes… Ma pensée vagabondait toujours à pleine vitesse :
- Am-stram-gram, pic et pic, et colle gram…
Et comme disait Nerval : « Sois Brune ou Blonde – le Dieu du Monde –C’est le plaisir … »

Je les dépassais déjà, mais mon ‘Brigadier’, qui lui, aurait bien frappé les trois coups d’une pièce de théâtre, ancienne comme le Monde ou Adam et Eve jouaient les premiers rôles. Ouais ! Ce n’est pas avec une pomme qu’elle l’a séduit l’Adam, mais bien avec ce que je venais de voir !
Mon ‘bâton de feu’, donc, a mis du temps pour reprendre une forme décente. Heureusement que j’étais habillé, moi !

La Blonde de gauche, à mon passage, s’est soulevée sur les avant-bras, redonnant forme à ses grosses ‘doudounes’ et elle m’a jeté un regard furtif, sans aménité. Une fraction de seconde nos yeux se sont croisés : Elle a fixé mon visage buriné, et s’est instantanément détournée, dédaigneusement !

J’ai avancé encore de quelques mètres. J’avais repéré des rochers lisses, propices à un plongeon sans problème dans la mer. J’étais côté Naturiste : Je me suis donc à nouveau dépoilé. Je sentais sur moi, les yeux furtifs et hypocrites de ces trois Gorgones qui devaient penser :
-Encore un ‘Q’…blanc de touriste !
Pour plonger, j’ai du me tourner vers elles, en partie…et comme l’a chanté Brassens :
« La Bandaison, Papa, çà ne se commande pas ! »

Mes idées folles au vu du spectacle précité avaient gonflé un certain corps caverneux, et j’ai vu nettement leurs yeux loucher sur cette flèche aux dimensions surfaites pour un. Vieil ‘Eros déplumé’ ?
L’une des trois, la Blonde je crois, a dit, je ne sais quoi, à voix haute, et elles se sont esclaffées bruyamment toutes les trois !

Vexé, furieux, j’ai plongé et nagé vigoureusement, pensant :
- Pauvres ‘conasses’…il fut un temps ou vous ne m’auriez pas fait tant d’effet !
J’ai pensé ensuite à la chanson de Brel :
« Chez ces gens là, Monsieur – On ne se regarde pas Monsieur… »
Peut-être, mais en tout cas : On s’épie… les anatomies !
Ce second bain, je l’ai apprécié encore plus que le premier. En nageant, je me suis approché des rochers Nord, encore garnis de ‘singes nus’, et… j’ai levé le nez quasiment sous un couple, debout sur un rocher. L’espace blanc des maillots manquants prouvait que c’était des touristes de passage, tout comme moi.

Mes yeux se sont vrillés sur la Dame : une Blonde Walkyrie aux formes harmonieuses, du type Vénus de Milo, auxquelles je suis plus sensible qu’au genre des trois précédentes, du type Odalisques de harems, à posters plantureux, comme ces « Femmes d’Alger » peintes par Delacroix…
J’ai envié le Tristan de cette Iseut, revoyant en fulgurance la Blonde Ophélie de ma jeunesse, et plus récemment, ma ‘Poupée Barbie’ de Pampelone et autres lieux…Me disant que pour ces spectacles là, j’étais désormais bien ‘Mal armé’, en me remémorant Brise Marine :
« La chair est triste, hélas ! »

Même, si moi, je n’ai pas lu tous les livres…

« Fuir ! La bas, fuir… »

Vers ces oiseaux, ivres d’espace et de liberté…

De retour vers le môle de départ ou gisaient ma serviette et mes habits, je me suis hissé sur le quai : Les trois Bronzées, auréolées par le soleil couchant levaient le camp. Les observant à mon tour, je me suis dit à voix basse :
- Quel dommage, Mesdames, que votre ami Phoebus vous donne cette belle couleur sans pour autant fondre votre cellulite, comme le beurre dans une poêle à frire !
Mon regard s’est-il fait par trop insistant sur votre pubis, Madame la Blonde ? Vous avez eu un petit sourire satisfait et moqueur…J’ai deviné votre pensée :
- çà te fait saliver, hein ! Vieux Schnock, mais tu peux toujours aller te rhabiller…
Ce que j’ai d’ailleurs fait, illico !

Un peu plus tard, quand le bateau virant sur son aire a quitté le Port, mes pensées étaient plus à un Adieu qu’à un au revoir pour ce berceau du Naturisme, qui n’est bien sûr pas Cythère, mais est très frustrant pour un vieux mâle solitaire…
Je n’ai rien contre cette pratique, et cette Ile peut être un Paradis pour un Couple en parfaite harmonie !

F I N
Ven 31 Août 2007, 13:57 par jan goure sur Un monde parfait

Des années de vie à deux solitaires !

6 ans...
Bientôt 6 ans pour finalement se rendre compte que l’autre n’y trouve pas son compte. Que l’autre n’en fait toujours qu’à sa tête, ne partagent toujours pas vos plaisirs, préfèrent de ses amis que le vôtre, préfère sortir en solo en bordure d’une solitude de mal-être, ne prends pas la main tendue, n’accepte aucune concession…
6 ans et 2 mots d’excuse pour outrages à l’Amour.
6 ans et ses caprices passés sous chantage, sinon...

Aujourd’hui, je ne sais plus.
Peut-on rester ensemble 6 ans dans l’erreur de l’Autre si inconstant ?
N’est-ce-qu’une phase? Comment avancer quand j’ai l’impression qu’en 6 ans RIEN n’a évolué, ou tellement peu, ou trop lentement..
Pour la première fois, j’imagine refaire ma vie avec quelqu’un d’Autre. Je m’imagine vivre autrement, être enfin écouté, entendu, compris.

"On ne peut pas changer l’Autre", mais si l’Autre est destructeur, ou tout simplement paumé dans son être solitaire qui ne sait pas, ne sait plus. N’est-ce-pas nécessaire de s’accrocher, de sauver l’Autre ? Ma moitié.
Ou n’est-ce que 6 ans de rèves et d’illusions, c’est tout.
Jeu 06 Mai 2004, 18:22 par Albator sur La vie à deux

Re: helen rowland

soleye a écrit:
Citation:
"Une femme n’a besoin de connaitre qu’un seul homme pour les comprendre tous;
Alors qu’un homme peut connaitre toutes les femmes sans en comprendre une seule"


On pourra pas me traiter de macho bete

J’aimerais connaitre de ma marquise preferée à ce sujet timide


Etant la seule sur ce forum à signer mes messages sous le nom de la marquise, je présume que c’est de moi dont il est question dans ta derniere phrase petit soleye de ma journée timide

Que dire de celà ...

Si j’étais Isabelle Alonso, je te répondrais qu’effectivement, les hommes n’ont jamais rien compris aux femmes, que vous êtes tous les mêmes , irrémediables adolescents ingrats et immatures ! colere

Si j’étais Pierre Desproges, je dirais que la femme est assez proche de l’Homme comme l’épagneul breton. A ce détail près qu’il ne manque à l’epagneul breton que la parole alors qu’il ne manque à la femme que de se taire. Dépourvue d’âme, la femme est dans l’incapacité de s’élever vers dieu. En revanche, elle est en general pourvue d’un escabeau qui lui permet de s’elever vers le plafond pour faire les carreaux ... cool

Hélas, (ou heureusement huh ) je ne suis ni l’une ni l’autre, donc je te dirai que ....

" Une femme n’a besoin de connaitre qu’un seul homme pour les comprendre tous..."
cling Grand dieu , non!! Sinon, j’aurais cesser d’aimer les hommes à ma première mauvaise expérience !! Les hommes sont tous différents entre eux... (et pas toujours si eloignés de nous chut )

"un homme peut connaitre toutes les femmes sans en comprendre une seule"
Beaucoup pensent en effet que les hommes sont incapables de nous comprendre, je le pense même moi-même régulièrement ouin mais au final, je crois qu’ils arrivent à nous comprendre partiellement, en tout cas, ils essayent lol et on peut déjà les en remercier pour ça !!

Mais est-ce vraiment indispensable de comprendre et de connaitre l’autre totalement pour pouvoir l’aimer?

je te retourne ma question Soleye... confiant ainsi qu’aux autres



La marquise ... à la recherche de cobayes pour ses etudes sur le fonctionnement de l’homme...

PS : mais je savais déjà que tu n’étais pas un macho timide
Lun 16 Fév 2004, 11:05 par la marquise de sade sur Citations

helen rowland

Citation:
"Une femme n’a besoin de connaitre qu’un seul homme pour les comprendre tous;
Alors qu’un homme peut connaitre toutes les femmes sans en comprendre une seule"


On pourra pas me traiter de macho bete

J’aimerais connaitre de ma marquise preferée à ce sujet timide
Dim 15 Fév 2004, 22:07 par soleye sur Citations

De quoi donc?

Grande question qui ne pourra être résolue par l’intervention que d’une seule et unique personne, mais qui peut effectivement ouvrir un débat avec que chacun, chacune, pourra donner sur le sujet.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.

Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!

    • Qui ouvre le contact en premier, tout d’abord ?
    • Comment le contact se fait il ?
    • Dans quelles circonstances le contact a-t-il lieu?

Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?

Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
    • en boîte de nuit
    • sur un tchate
    • lors d’une soirée chez des amis

Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.

Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
    • Tout d’abord la lassitude des messages que l’on peut dire "BATEAU"
    • le "zapping" incontournable de ces dames
    • quels sont les premiers mots à ne pas avoir

Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.

Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
    • "tu fais quoi dans la vie?"
    • "t’es mariée?"
    • "ASV"
    • "un scenario?"
    • "tu baises?"
    • "etc...?"

Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Jeu 15 Jan 2004, 01:41 par Ri1kedesBêtises sur Le grimoire d'amour

J’ai toujours été fidèle

houlala,

J’ai toujours été fidèle bien que la cause d’un adultère. Je m’en suis voulu. Faire a un autre ce qu’on ne voudrais pas qu’on nous fasse.

Imaginer qu’on pourrais avoir la place du cocu, l’avoir déjà tenu et se dire qu’on joue le rôle de celui par qui on a souffert.

C’est de bonne guerre, apparemment... Cet adultère a été pour moi le début de 3 années de couple, le cocu avait un pot trop cassé.

De toute facon, de l’extérieur c un adultère, de l’intérieur c’est une histoire d’amour. A moins que ce soit juste physique.

Mais quelles que soient les raisons d’une relation plus ou moins longue, il n’y a pas de hasard ou de destin. Les choses viennent d’un choix, d’un consentement, et meme si l’action parait instantanée elle peut etre stoppée a tout moment.

Si on ne demande pas au(à la) cocu(e), les adultérins (sortis tout droit du col de l’adultérus) ont toujours le choix.

De toute façon, quand on fait cocu quelqu’un, ce n’est pas au cocu qu’on pense, lui il existe pas, on le voit pas, on sait meme pas s’il existe en vrai.


En tout cas ya pas de honte a être cocu. Ya pas de fierté a faire cocu.

Puis je crois pas que ce soit une question d’intelligence, c’est une question de rencontre. La fidélité c’est aussi une forme d’intelligence.

L’intelligence consiste peut etre à gérer de facon à ne pas blesser.
Dim 16 Nov 2003, 01:00 par Calimero,Steph & Cie sur Citations

Sans chercher les choses arrivent

parfois tu sais, sans chercher les choses arrivent,
un regard, un mot, l’inconnu alors attise le manque, et lorsque l’on ne cherche pas, parfois ca fait des dégâts.....
l’adultèrien, ou rienne d’ailleurs, ne chosit pas forcement de l’etre, ni avec qui l’etre, il y a encore de la magie au dehors, meme si l’on est déjà en couple, et parfois la vie fait les choses sans demander des concernés.
Jeu 06 Nov 2003, 18:55 par Ri1kedesBêtises sur Citations
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