Désirs...

Désirs
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.

Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.

Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.

Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.

Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….

Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était conscient,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….

Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.

J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
Mar 20 Avril 2004, 14:33 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Bien vu

Bien vu Melkaena, j’avais tronqué effectivement cette formidable leçon de vie afin de voir quelle polémique les membres du forum auraient été tenté d’exploiter. Ma foi, tu le constates comme moi, la polémique en question n’a pas été bien loin.

Il y a une idée chère à mon coeur qui est ici énnoncée: se retourner quand le moment sera venu de quitter cette vie.

J’y crois.

Je pense que cet instant arrive, en théorie vers la fin de notre vie, et que à ce moment là il faut pouvoir se dire :

" J’ai été bien, et j’ai fait le bien, toujours, en mon âme et conscience. Certes j’ai aimé des femmes que je n’aurais jamais du aimer, et pourtant je suis content de l’avoir fait. Certes j’aurais pu en aimer d’autres, ou alors les aimer mieux, mais mon amour a toujours été sincère et aucunement dénaturé par les conventions des hommes. Milles oceans ne sauraient contenir toutes les que j’ai payé pour ces amours, mais je ne regrette rien, et je suis fier comme un homme d’avoir vécu tout ses moments qui m’ont faconnés."

Ce moment viendra, et me trouvera en train de sourire comme le plus grand des rois.
Lun 19 Avril 2004, 22:45 par PetitPrince sur Citations

Nuit de Décembre d'Alfred de Musset

Il est trés long mais prenez le temps de le decouvrir , il me fait toujours autant d’effet à chacune de mes lectures.
Je n’ai rien à ajouter : tout est dit ...


LE POÈTE

Du temps que j’étais écolier,
Je restais un soir à veiller
Dans notre salle solitaire.
Devant ma table vint s’asseoir
Un pauvre enfant vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Son visage était triste et beau :
A la lueur de mon flambeau,
Dans mon livre ouvert il vint lire.
Il pencha son front sur sa main,
Et resta jusqu’au lendemain,
Pensif, avec un doux sourire.

Comme j’allais avoir quinze ans
Je marchais un jour, à pas lents,
Dans un bois, sur une bruyère.
Au pied d’un arbre vint s’asseoir
Un jeune homme vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Je lui demandai mon chemin ;
Il tenait un luth d’une main,
De l’autre un bouquet d’églantine.
Il me fit un salut d’ami,
Et, se détournant à demi,
Me montra du doigt la colline.

A l’âge où l’on croit à l’amour,
J’étais seul dans ma chambre un jour,
Pleurant ma première misère.
Au coin de mon feu vint s’asseoir
Un étranger vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Il était morne et soucieux ;
D’une main il montrait les cieux,
Et de l’autre il tenait un glaive.
De ma peine il semblait souffrir,
Mais il ne poussa qu’un soupir,
Et s’évanouit comme un rêve.

A l’âge où l’on est libertin,
Pour boire un toast en un festin,
Un jour je soulevais mon verre.
En face de moi vint s’asseoir
Un convive vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Il secouait sous son manteau
Un haillon de pourpre en lambeau,
Sur sa tête un myrte stérile.
Son bras maigre cherchait le mien,
Et mon verre, en touchant le sien,
Se brisa dans ma main débile.

Un an après, il était nuit ;
J’étais à genoux près du lit
Où venait de mourir mon père.
Au chevet du lit vint s’asseoir
Un orphelin vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Ses yeux étaient noyés de pleurs ;
Comme les anges de douleurs,
Il était couronné d’épine ;
Son luth à terre était gisant,
Sa pourpre de couleur de sang,
Et son glaive dans sa poitrine.

Je m’en suis si bien souvenu,
Que je l’ai toujours reconnu
A tous les instants de ma vie.
C’est une étrange vision,
Et cependant, ange ou démon,
J’ai vu partout cette ombre amie.

Lorsque plus tard, las de souffrir,
Pour renaître ou pour en finir,
J’ai voulu m’exiler de France ;
Lorsqu’impatient de marcher,
J’ai voulu partir, et chercher
Les vestiges d’une espérance ;

A Pise, au pied de l’Apennin ;
A Cologne, en face du Rhin ;
A Nice, au penchant des vallées ;
A Florence, au fond des palais ;
A Brigues, dans les vieux chalets ;
Au sein des Alpes désolées ;

A Gênes, sous les citronniers ;
A Vevey, sous les verts pommiers ;
Au Havre, devant l’Atlantique ;
A Venise, à l’affreux Lido,
Où vient sur l’herbe d’un tombeau
Mourir la pâle Adriatique ;

Partout où, sous ces vastes cieux,
J’ai lassé mon coeur et mes yeux,
Saignant d’une éternelle plaie ;
Partout où le boiteux Ennui,
Traînant ma fatigue après lui,
M’a promené sur une claie ;

Partout où, sans cesse altéré
De la soif d’un monde ignoré,
J’ai suivi l’ombre de mes songes ;
Partout où, sans avoir vécu,
J’ai revu ce que j’avais vu,
La face humaine et ses mensonges ;

Partout où, le long des chemins,
J’ai posé mon front dans mes mains,
Et sangloté comme une femme ;
Partout où j’ai, comme un mouton,
Qui laisse sa laine au buisson,
Senti se dénuder mon âme ;

Partout où j’ai voulu dormir,
Partout où j’ai voulu mourir,
Partout où j’ai touché la terre,
Sur ma route est venu s’asseoir
Un malheureux vêtu de noir,
Qui me ressemblait comme un frère.

Qui donc es-tu, toi que dans cette vie
Je vois toujours sur mon chemin ?
Je ne puis croire, à ta mélancolie,
Que tu sois mon mauvais Destin.
Ton doux sourire a trop de patience,
Tes ont trop de pitié.
En te voyant, j’aime la Providence.
Ta douleur même est soeur de ma souffrance ;
Elle ressemble à l’Amitié.

Qui donc es-tu ? - Tu n’es pas mon bon ange,
Jamais tu ne viens m’avertir.
Tu vois mes maux (c’est une chose étrange !)
Et tu me regardes souffrir.
Depuis vingt ans tu marches dans ma voie,
Et je ne saurais t’appeler.
Qui donc es-tu, si c’est Dieu qui t’envoie ?
Tu me souris sans partager ma joie,
Tu me plains sans me consoler !

Ce soir encor je t’ai vu m’apparaître.
C’était par une triste nuit.
L’aile des vents battait à ma fenêtre ;
J’étais seul, courbé sur mon lit.
J’y regardais une place chérie,
Tiède encor d’un baiser brûlant ;
Et je songeais comme la femme oublie,
Et je sentais un lambeau de ma vie
Qui se déchirait lentement.

Je rassemblais des lettres de la veille,
Des cheveux, des débris d’amour.
Tout ce passé me criait à l’oreille
Ses éternels serments d’un jour.
Je contemplais ces reliques sacrées,
Qui me faisaient trembler la main :
du coeur par le coeur dévorées,
Et que les yeux qui les avaient pleurées
Ne reconnaîtront plus demain !

J’enveloppais dans un morceau de bure
Ces ruines des jours heureux.
Je me disais qu’ici-bas ce qui dure,
C’est une mèche de cheveux.
Comme un plongeur dans une mer profonde,
Je me perdais dans tant d’oubli.
De tous côtés j’y retournais la sonde,
Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde,
Mon pauvre amour enseveli.

J’allais poser le sceau de cire noire
Sur ce fragile et cher trésor.
J’allais le rendre, et, n’y pouvant pas croire,
En pleurant j’en doutais encor.
Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée,
Malgré toi, tu t’en souviendras !
Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ?
Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée,
Ces sanglots, si tu n’aimais pas ?

Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ;
Mais ta chimère est entre nous.
Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures
Qui me sépareront de vous.
Partez, partez, et dans ce coeur de glace
Emportez l’orgueil satisfait.
Je sens encor le mien jeune et vivace,
Et bien des maux pourront y trouver place
Sur le mal que vous m’avez fait.

Partez, partez ! la Nature immortelle
N’a pas tout voulu vous donner.
Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle,
Et ne savez pas pardonner !
Allez, allez, suivez la destinée ;
Qui vous perd n’a pas tout perdu.
Jetez au vent notre amour consumée ; -
Eternel Dieu ! toi que j’ai tant aimée,
Si tu pars, pourquoi m’aimes-tu ?

Mais tout à coup j’ai vu dans la nuit sombre
Une forme glisser sans bruit.
Sur mon rideau j’ai vu passer une ombre ;
Elle vient s’asseoir sur mon lit.
Qui donc es-tu, morne et pâle visage,
Sombre portrait vêtu de noir ?
Que me veux-tu, triste oiseau de passage ?
Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image
Que j’aperçois dans ce miroir ?

Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse,
Pèlerin que rien n’a lassé ?
Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse
Assis dans l’ombre où j’ai passé.
Qui donc es-tu, visiteur solitaire,
Hôte assidu de mes douleurs ?
Qu’as-tu donc fait pour me suivre sur terre ?
Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère,
Qui n’apparais qu’au jour des pleurs ?

LA VISION

- Ami, notre père est le tien.
Je ne suis ni l’ange gardien,
Ni le mauvais destin des hommes.
Ceux que j’aime, je ne sais pas
De quel côté s’en vont leurs pas
Sur ce peu de fange où nous sommes.

Je ne suis ni dieu ni démon,
Et tu m’as nommé par mon nom
Quand tu m’as appelé ton frère ;
Où tu vas, j’y serai toujours,
Jusques au dernier de tes jours,
Où j’irai m’asseoir sur ta pierre.

Le ciel m’a confié ton coeur.
Quand tu seras dans la douleur,
Viens à moi sans inquiétude.
Je te suivrai sur le chemin ;
Mais je ne puis toucher ta main,
Ami, je suis la Solitude.
Lun 19 Avril 2004, 20:21 par MelKaena sur Citations

C'était en juin....(suite)

Voilà
T’es parti et je suis là
Connais-tu le cri de l’arbre qui a perdu son ombre ?
Sais-tu ce qu’est ma vie dans le sombre ?
Imagines-tu un instant la sensation de vide incontrôlée,
Entends-tu cette souffrance immodérée ?
Pleures-tu aussi dans ton cœur ?
Est-ce que les images de ce court bonheur
Te remontent dans la tête intensément ?
Je suis un nuage sans ciel
Une étoile perdue, oubliée,
Un vent sans arbre sur qui se poser,
Une abeille triste dégoûtée du miel.

Demain le jour ne se lèvera plus
Des oiseaux, leur gazouillis je n entendrai plus
Plus rien autour de moi
Ne réveillera aucun émoi

T’oublier, tourner la page, recommencer,
Vivre, se battre, ne pas tomber,
Retenir en terme de sentiments
Mes mots, mes pensées, et paradoxalement,
D’être honnête, continuer….
Cette hémorragie du cœur arrêter….

T’oublier, ce mot n’évoque rien
T’oublier, ce n est pas rien
T’oublier, zapper, ne pas se rappeler
T’oublier, que dans ma vie tu es passé
T’oublier et que de toi je suis dépendante….
T’oublier et que de moi, je suis défaillante….
T’oublier et que de nous savoir que nous existons
T’oublier et que des adultes nous ne serons….
C’est au dessus de mes forces, je suis épuisée
Il m’est insupportable l’idée que cela cesse
Torturée au plus haut point de ma faiblesse
Putain, pourquoi ça a commencé….

C’est au dessus de mes forces, je t en prie
Faut pas qu’on s abandonne
Y’a eut maldonne
J’ai certainement pas compris

J’ai jamais voulu de cette vie là
Jamais pensé que ça m arriverait comme ça
Jamais imaginé que tu me laisserais là
Jamais souhaité avoir autant besoin de toi

Je pleure des de vent
J’insulte les vivants
Je hais cette vie sans toi
Ma place n’est plus ici : errance dans le désarroi
À la recherche de cette raison, à toi
C’est impossible, je n y crois pas
Refus de la réalité
C’est trop difficile
Je ne peux accepter
Tu as visé dans le mile
En plein dedans, pas à côté
Dim 18 Avril 2004, 22:59 par à mon étoile sur L'amour en vrac

Petite prune tombée de l'arbre...

Elle se bat pour les âmes perdues, doit combattre contre les sages obtus.
Elle se démène dans la boue vivante, les emmène se retirer sous la tente.

Ses cheveux elle attache, pour mieux s’adonner à la tâche.

Ses mains elle salie,
Dans le sang,
Dans les ,
Dans les armes,
Dans le temps,
Sans but précis.

Je la vois cacher ses faiblesses, elle me repousse de sa tristesse.
Elle m’éloigne d’un geste, et sans prendre le temps que cela cesse,
Elle repart au front, bataillant sous les ponts.

Je voudrais l’aider, ce petit bout de chou
Mais me voilà bien faible face à ce tout…

Mon enfant, on ne prend des aînés que la douceur et non les peurs.
Ma petite fille, n’écoute pas mes histoires noires.
Ma princesse, n’accepte de moi mes erreurs.
Ma déesse, on ne doit idolâtrer ce genre d’idées, ni même y croire…

Petite sœur… Viens… Pose ta tête sur mon cœur… Pour te rappeler que celui-ci sera toujours tien…
Ven 16 Avril 2004, 09:41 par Rose sur Un monde parfait

une é_toile perdue

Où es-tu mon ami, mon secret?
Dans quel désert t’es-tu égaré?
Dans quel enfer te laisses-tu consummer?
Dans quelle mer t’es-tu immergé?

Où es-tu mon ami, mon secret?
Quand leur étendue vide me fait honte
Quand leur feu démoniaque me démonte
Quand des vagues de m’inondent

Où es-tu mon ami, mon secret ?
Dans quelle grotte t’es-tu réfugié?
Dans quelle mélasse t’es-tu embourbé?
Dans quelle tristesse es-tu plongé?

Où es-tu mon ami, mon secret?
Quand la froideur de leur coeur de pierre m’atteint
Quand leur complot poisseux blêmit mon teint
Quand leur danse funèbre m’éteint

Où es-tu mon ami, mon secret
Dans quelle nuit t’es-tu perdu?
Dans quel cercueil t’es-tu étendu?
Dans quel moule t’es-tu fondu?

Où es-tu mon ami, mon secret?
Quand le soleil détourne sa face
Quand leur mort m’embrasse
Quand leur spectacle me glace

Où es-tu mon ami, mon amour?
Où sont tes mots qui me consolent?
Où sont tes silences qui otent les bémols?
Où sont tes mains qui m’e_frolent...



... TESMA...
Jeu 15 Avril 2004, 03:12 par la marquise de sade sur Amour internet

Souris...

la marquise de sade a écrit:
Ne pleure pas parce que c’est terminé, souris plutôt pour tout ce qui s’est passé avant"


Souris ...

En te souvenant quand tu l’as rencontré
A son apparente indifférence que tu avais percé
A sa méfiance qu’il essayait tant bien que mal de montrer
A son sourire qui ne t’avait pas longtemps trompée

Souris...

En te remémorant les heures partagées
A écouter son coeur blessé
A sècher les qui voulaient dissimuler
A écouter ses silences enflammés

Souris ...

En te rapellant les lignes de son corps
A unir vos soupirs dans un même accord
A emprunter pour le ciel le même transport
A faire l’amour jusqu’à l’aurore

Souris ...

En repensant à vos délires
A votre monde unique que vous vouliez construire
A cette vie que vous rêviez d’embellir
A vos douleurs qu’à tout jamais il fallait ensevelir

Souris ...

En revoyant son regard
A cette étincelle qui te faisait oublier tes bagarres
A cette douceur que jamais tu n’effaceras de ta mémoire
A cette lueur que tu avais allumée un soir

Souris...

Parce qu’il restera ton amour le plus violent
Parce qu’une part de ton coeur garde cet affolement
Parce que toujours tu succomberas pour cet indolent
Parce que tu le ressentiras comme ton autre ... éternellement

Souris belle marquise ...

La marquise... nostalgique...
Mar 13 Avril 2004, 12:13 par la marquise de sade sur Citations

Les dix commandements ( version moins officielle ... )

Si dans la vie d’un couple, il est important d’établir tacitement certains comportements ou attitudes à avoir, ou au contraire à ne pas avoir si l’on veut éviter le fiasco ( dixit notre cher administrateur bien aimé ), il y a toute une série de petits gestes que nous posons tous les jours et qui peuvent très vite se transformer en LA goutte qui fait déborder le vase si nous n’y prenons pas garde.

Les 10 commandements secondaires version IL :

1.Ton évier tu rinceras après t’être rasé, coiffé, lavé et brossé les dents. colere
2. Tes blagues sexistes sur les femmes au volant tu oublieras chut
3. Les diners imprévus avec tes amis tu eviteras les jours où ta douce t’a téléphoné pour te demander une soirée en amoureux ouin
4. Tes vêtements sales tu porteras chaque jour au panier de linge sale doute
5. De tes exploits sexuels avec tes ex à tes amis tu ne te vanteras pas devant ta compagne menteur
6. La porte des WC tu fermeras malade
7. Les tâches ménageres tu accompliras avec ta douce ahmoui
8. Les poubelles tu descendras spontanément au bout d’un maximum de 3 rappels tsur
9. Des qu’elle verse devant les téléfilms américains tu ne te moqueras pas snif
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras aime

Les 10 commandements secondaires version ELLE :

1. Tes produits de beauté tu rangeras dans leur trousse après utilisation rolleyes
2. Les ragots de tes amies tu ne diffuseras à la maison parle
3. Ta mère tu n’inviteras pas systématiquement à venir déjeuner les dimanches à la maison confuse
4. Tes protections hygiéniques tu ne laisseras pas trainer dans la salle de bain malade
5. Les exploits sexuels de ton tendre tu ne divulgueras point à tes meilleures amies chut
6. La porte de la douche tu ouvriras timide
7. Les tâches ménagères mal faites sans cesse tu ne reprocheras à ton tendre huh
8. De lui acheter son magasine sportif tu n’oublieras volontairement d’acheter pas plus d’une fois par mois grin
9. Des cris sauvages qu’il pousse devant les émissions sportives tu ne t’offusqueras point baille
10. De petits cadeaux de temps en temps tu lui offriras :aime:



La marquise... celibataire de plus en plus endurcie lol
Mar 13 Avril 2004, 02:16 par la marquise de sade sur La vie à deux

Les 10 commandements version Marquise

    1. La jalousie tu ne laisseras point entrer dans ton couple
    2. De mensonge tu ne feras point, sauf pour le (la ) protéger
    3. L’écoute et l’attention tu donneras chaque moment
    4. La compréhension et le pardon tu accorderas le plus souvent
    5. La passion tu entretiendras par de petits gestes et des surprises quotidiennes
    6. L’amour tu ne lui feras qu’à lui (ou elle) seul le plus souvent possible, voire plusisurs fois par jour
    7. Tes secrets, tes envies, tes reves tu lui confieras
    8. Les problèmes quotidiens tu gèreras en couple, laissant à chacun la possibilité de s’affirmer
    9. Ses et ses peurs tu apaiseras
    10. Jamais tu ne compareras ce que tu donnes et ce que tu reçois.


La marquise ... Moïse des 4 jeudis grin
Lun 12 Avril 2004, 14:44 par la marquise de sade sur La vie à deux

le jour de mes nuits

Elle m’appelle souvent la nuit
Raconte des histoires, des blasphèmes
Des romances de gens qui s’aiment
Si elle savait ce qu’elle sème
En m’avouant ses envies de tandem

J’en oublierais presque mes problèmes
Quand jusqu’au petit matin blème
Au fond de mon lit, je lui écris des poèmes

Je l’écoute au milieu de la nuit
Quand dans son coeur les sont pluies,
Elle cherche une âme et une épaule pour appui
Me veut exorciste de ses démons de minuit,
Optimiste que l’amour n’est pas encore cuit

Elle n’entend pas dans ma poitrine ce bruit
Qui me donne envie de fermer le huis
Et même me jeter au fond du puits

"le jour s’est levé
plein de perplexité
si ce n’était pas un rêve..."
Sam 27 Mars 2004, 18:29 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac

Une envie de festin...

Envie de savourer tes silences quand mes je t’aime te paralysent
Envie de déguster tes mots quand tu me parles de toi
Envie de dévorer tes lèvres quand tes mains me révisent
Envie de me repaître des saveurs de ta peau quand tu t’allonges près de moi

Envie de croquer le fruit défendu quand ta langue provoque mes soupirs
Envie de me sustenter de ton corps quand je me laisse tenter à te ...
Envie d’engloutir la vie avec toi quand nos rêves nous font sourire
Envie d’absorber la mort quand sur ta joue tes ont coulé

Envie de grignoter l’espace entre nous quand la distance devient insupportable
Envie de me régaler du temps quand nos minutes sont si précieuses
Envie d’avaler le passé quand nos blessures sont inexplicables
Envie de goûter à l’avenir quand tes promesses sont si savoureuses

Envie de gober ta peine quand l’angoisse te submerge
Envie de consommer tes joies quand nos pensées se trouvent
Toutes ces envies comble-les, quand tu m’entraines sur de nouvelles berges
Toutes ces faims, rassasie-les quand mon amour je te prouve ...


La marquise ... trop gourmande
Sam 13 Mars 2004, 13:41 par la marquise de sade sur L'amour en vrac

à bien vite mon éternel

Mon cher et tendre partenaire,

Encore une fois tu m’as trompée, encore une fois tes mains ont caressé d’autres contours que les miens, tes yeux ont croisé un regard différent du mien, tes mots ont fait rêver une autre que moi, ton corps a submergé un autre espace que le nôtre...

Nous nous sommes jurés une fidélité éternelle, indestructible, toi le salaud, moi la maîtresse de tant d’autres sales cons. Tu me délaisses? J’irai t’oublier dans d’autres âmes, dans d’autres corps, dans d’autres coeurs, aussi fragiles et purs que le tien.

Je m’endormirai sans toi, je me réveillerai aussi sans toi, j’entendrai ton rire à travers les leurs, leurs seront les tiennes, ils regretteront de ne pas m’avoir quittée dès les premières heures, de ne pas m’avoir fui avant que je ne les possède tout entiers, pour eux demain sera moi, je serai leur quotidien, leur avenir perdu, leurs rêves, leurs espoirs, leurs fantasmes, la maîtresse parfaite, idéale, discrète, l’amie, la confidente, la mère et l’épouse, le frère et l’enfant. Je comblerai chez eux aussi tout ce que ces femmes de pacotille ne peuvent comprendre, tous ces vides qu’elles veulent envahir, sans même en connaitre le contenu.. C’est plein de choses le vide...
Tu te souviens de nos transes? De ce vide que nous remplissions jusqu’à le faire déborder de jouissance? De ces planètes rien qu’à nous, où la nuit était éternelle ? De ces mondes de mystère que nous percions à grands coups de rires, de paroles, de cris, de soupirs? De ces heures où nos esprits se muaient en un seul et même avenir? Te souviens-tu de tout cela?
Oui, tu t’en souviens... Tu me critiques, me maudits, me détestes, mais tu m’aimes, m’envies, me désires, m’espères.

Va mon petit prince... Va explorer d’autres contrées, d’autres soupirs, d’autres compagnes...
Va te repaître d’autres corps, jouir d’autres plaisirs, rêver d’autres avenirs...
Va... Et reviens moi vite, à moi, ta compagne la plus aimée de toutes, moi ton âme soeur, moi ton demain, moi ta souffrance, moi ta magnifique, moi ton monde, moi ta Solitude...
Sam 28 Fév 2004, 14:32 par la marquise de sade sur La vie à deux

Mes premieres fois

Premier bisou: pendant les vacances d’été (quand j’y repense ouin ), jeune, enfin 15 ans, bon j’avoue j’avais déjà un peu de retard dans ce domaine. Donc pendant les vacances d’été aux sables d Olonne sous un lampadaire dans une petite rue mal éclairée, ce superbe blond aux yeux bleus m’a complètement fait chavirer. Il m a pris dans ses bras, mon coeur allait à 250, j’ai cru qu’il allait lâcher au moment crucial! Sa tête s’est rapprochée, ses yeux se sont fermés (pour ne pas faire trop novice j’ai fermé les miens, mais j’avoue que j’étais curieuse, et ne pas voir ce qui allait se passer me stressait un peu) et j’ai senti ses lèvres se poser sur les miennes (c’était beau ouin ), quand la bande de copain qu’on avait distancée a crié "Tony?!" (prénom de mon beau blond). Enfin... ce fut court mais intense et comme je partais chez moi le lendemain… bah notre belle histoire s’est arrêtée là content

Premier kissing sérieux cool : bon il m a bien fallu un an pour me remettre de mon premier bisou lol Donc à 17 ans, j ai rencontre Stéphane hummm Stéphane, Stéphane, Stéphane, un brun aux yeux bleus une bombeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!! On était à la patinoire avec tout un groupe d’amis et Stéphane m’a prise par la main et nous sommes sortis de la patinoire. Là, il m’a regardé et m’a embrassé. Ce fut un moment trop agréable. Si je pouvais le revivre tous les jours ça serait un vrai bonheur. Mais malheureusement, c’était le cousin d’une copine qui vivait à 500km. (Stéphane si tu lis le message, j attend ton mail lol )

Le premier câlin poussé : avec un petit copain vers 17 ans et demi. Bah en fait je ne l’aimais pas vraiment donc je ne voulais pas aller plus loin. En plus je l’ai trompé avec son meilleur ami donc j’étais pas très fière.

Premiere grand calin : là, quand j’y repense, je suis morte de rire! J’avais 18 ans et quelques mois, ça faisait 2 mois qu’on était ensemble et un soir j’ai décidé de me lancer! Pétée de rire, 3 minutes chrono lol Bah oui, je suis curieuse, donc j’avais regardé l’heure avant que ce jeune homme s’invite en moi et quand ce fut terminé, il était ravi depuis le temps qu’il attendait et moi je me disais :" si c’est ça l amour j’ai rien senti... c’est pas aussi génial qu’on le dit lol "
Donc j’en garde pas un mauvais souvenir ni un bon mais quand j’y repense maintenant, je suis morte de rire.

Et pour finir je voudrais quand même remercier ma maman pour avoir essuyé les , pour avoir endurer mes coups de gueule, pour m’avoir attendu jusqu’à 4 heures dans ma chambre quand je faisais le mur, mais surtout pour m’avoir expliqué que la personne de mon premier grand câlin était un éjaculateur précoce et que le problème ne venait pas de moi lol
Mar 10 Fév 2004, 21:48 par pyjama sur La première fois

Amer est l'amour

Qu’il est douloureux d’aimer sans retour.

Cela fait trois mois que je fréquente une douce compagne, dont je suis vraisemblablement tombé amoureux. Bien que notre démarrage dans cette histoire fut d’une indélicatesse presque violente, il me semblait possible et espiègle de reporter l’étape de séduction après confirmation de notre attirance. Nos rapports avaient d’ailleurs l’ air de progresser dans ce sens durant les premières semaines de notre union. Jusqu’à un samedi matin, où pour ma part résolu à laisser le temps s’écouler selon nos désirs, elle s’est brusquement braquée, a repris ses clics et ses clacs pour retrouver le confort douillet de son petit appartement. Il était question dans la journée même de se faire un cinéma en compagnie d’une de ses copines, à qui je dois finalement le plaisir de notre rencontre, pour ensuite prendre notre dîner dans un fameux petit restaurant. Et bien entendu, il était question de dormir dans mon lit et l’idée d’une folle nuit d’amour me semblait tout-à-fait à propos après ce petit restaurant. J’ai dormi tout seul, savourant les de ma déception jusqu’alors contenues sur les lignes de métro.

Il est légitime, je pense, de rester interrogatif sur ce comportement, qui s’il caractérise un manque de respect peut néanmoins trouver une explication dans une raison sensée. Il est tout aussi légitime d’envisager que la raison sensée a de fortes chances d’être laide à mon cœur, en se caractérisant par un manque de sentiment, voire la présence d’un rival…

La simple idée d’une duperie ne me rend pas agressif, mais simplement plus méfiant qu’un troupeau de lionnes protégeant leurs lionceaux. L’observation attentive de tout ce qui est dit, ou non dit d’ailleurs, fait ou non fait est mis en regard de ma suspicion. L’objectif étant bien entendu de trouver l’incohérence réfutant toute l’abracadabrante théorie, sâchant que ce qui ne réfute pas alimente.

Et aujourd’hui, je ne suis pas plus avancé. Suite à ce regrettable incident, son travail la solicita intensément. Durant cette période nos échanges furent purement téléphoniques, ayant décidé d’un commun accord qu’il était préférable de la laisser tranquille durant cette phase délicate. J’espérais en silence que cette douloureuse concession se verrait récompensée dans de tendres et chaleureuses retrouvailles. Peut-être n’a-t-elle jamais compris à quel point sa présence me manquait en ce début d’aventure. Néanmoins, son attitude était des plus sympathique, car malgré une difficulté certaine à exprimer ses sentiments, elle me gratifiait souvent d’un coup de téléphone en fin de journée. Etant moi même sollicité dans la soirée, je retrouvai ses messages maladroits et notai ce que je supposai être un effort constructif avec un optimisme grandissant. Je reconnais ici une erreur probable de ma part, en ayant volontairement omis de la rappeler à la suite d’un message complètement désinvolte, prononcé avec une lassitude extrême, et en mâchant un bonbon ! Ce deuxième manque de respect devait être désapprouvé sur le champs. Mon absence de réponse fut bien entendu expliqué le lendemain même.

Fuyant une soirée à laquelle je n’étais pas autorisé à prendre son bras et à laquelle elle ne désirait pas aller non plus, je pris quelques jours de vacances à Rennes, chez mes amis qui m’ont donné l’affection dont j’avais tant besoin. Je concoctai cependant des retrouvailles à la gare, romantique moment s’il en est, quand on désire le vivre. Quand arrivé au bout du quai, je ne la vis pas, je pensais avec tristesse que cette histoire partait complètement a vollo. Elle était juste en retard et semblait complètement contrariée d’être là. Bon. Elle me confirma que la soirée était nulle, mais qu’elle s’était quand même bien amusée, et qu’elle avait dansé. Pour quelqu’un qui n’avait pas envie d’y aller, je trouvais ce revirement d’opinion des plus suspects. Etait-ce de la manipulation, de l’inconscience, du mensonge ? Le doute en amour est plus cruel qu’un enfant.

Sur la fin de cette période, alors que nous ne nous étions toujours pas revu, je me pris de lui donner mon point de vue sur une affaire qui la préoccupait, empiétant en fait sur la zone ô combien sacrée de son expérience et de sa compétence. Ce désir d’aide de ma part, associé à ce profond paternalisme qui me caractérise, se vit rejeté avec une violence inouïe lors d’une conversation téléphonique. Il s’en suivit une semaine de silence radio. D’un coté, j’en avais assez d’attendre et de me faire toujours envoyer paître, et d’un autre je me disais qu’il valait mieux laisser couler un peu d’eau sur cette histoire. Et depuis les rapports se dégradent, l’incompréhension s’est installée, le doute grossit, fait mal.
Mer 04 Fév 2004, 13:06 par PetitPrince sur L'amour en vrac

La première fois (et la dernière) ....

... que je lui ais dit que je l’aimais.

"Coeur de papier"


Les mots satins, les mots velours
Ceux qui vous touchent
Et ceux qu’on ose à peine toucher
De peur qu’ils en disent trop

Même à demi-mot,
Parfois à contre temps
L’encre sauvage dicte sa loi en noir,
La blancheur éblouit
Sans commentaire,
Mais qui peut ignorer les nuances ?

Aux portes de l’intimité, l’encre vacille
Le papier accueille autant la lumière
Que l’ombre des sentiments

Et ces mots qui se plient dans l’amertume des pensées
Eux seuls savent qu’ils peuvent dire autre chose

Mais le saura-t-elle ?

Une feuille qui se remplit
et mon âme qui se vide
de cet amour qui m’a planté là, pétrifié
moi qui croyait qu’aimer c’était voler

Je lui écris ...
au bout de mes doigts une plume à l’encre noire
ou mon coeur aux rouge sang
qui pleure sur un océan blanc ?

Noir, blanc, rouge
les couleurs de l’amour
un étendard porté avec fierté
avant une bataille perdue d’avance
Elle ne veut pas se battre avec moi
Nous ferions de si beaux ennemis

Et j’écris encore...
Je souille cette surface immaculée
de ma noirceur intérieure
je voudrais que mes mots
au fer rouge marque son derme
sa douce fleur de peau

Mais le sait-elle ?

Un bout de papier plié en quatre,
Quelle ironie,
tant de sentiments ainsi cloitrés !
Une lettre jetée vers un aller sans retour
avec l’envie d’ainsi se débarasser
d’un bout de sa chair laissé aux vautours
d’un bout de sa vie perdue de trop aimer

Ce n’est pas une déclaration,
plutôt un exorcisme
les pensées égarées, les souffrances endurées
ce temps passé à cet amour endiablé
à regret , il fallait que je l’enterre,
d’un coup d’épistolaire ...

Mais le savait-elle ?

La tulipe noire ....noire
Dim 07 Déc 2003, 10:56 par la_tulipe_noire sur La première fois
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Ecrire sur larmes Désirs..., Bien vu, Nuit de Décembre d'Alfred de Musset, C'était en juin....(suite), Petite prune tombée de l'arbre..., une é_toile perdue, Souris..., Les dix commandements ( version moins officielle ... ), Les 10 commandements version Marquise, le jour de mes nuits, Une envie de festin..., à bien vite mon éternel, Mes premieres fois, Amer est l'amour, La première fois (et la dernière) ....,
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Il y a autant de douleurs dans l'amour que de coquillages sur la rive.

Ovide.

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