Greatest Love Of All

I believe that children are our future
Teach them well and let them lead the way
Show them all the beauty they possess inside
Give them a sense of pride to make it easier
Let the children’s laughter remind us how we used to be

Everybody’s searching for a hero
People need someone to look up to
I never found anyone who fulfilled my needs
A lonely place to be
And so I learned to depend on me

I decided ago, never to walk in anyone’s shadows
If I fail, if I succeed
At least I lived as I believe
No matter what they take from me
They can’t take away my dignity
Because the greatest love of all
Is happening to me
I found the greatest love of all
Inside of me
The greatest love of all
Is easy to achieve
Learning to love yourself
It is the greatest love of all

And if by chance, that special place
That you’ve been dreaming of
Leads you to a lonely place
Find your strength in love

Whitney Houston
Dim 17 Déc 2006, 19:35 par dolce vita sur Citations

Les larmes d’une rose...

Elle l’aimait tant et tant... Il avait vécu. Comme d’autres. Il avait souffert. Il avait décidé de se taire... Savait-il ce qu’il faisait ? Ce qu’il lui faisait ? La souffrance dans son cœur ? Savait-il bien ? Ecris-moi tout ce que tu veux, tous tes mots d’amour, disait-il... La rose puisait dans sa sève, elle se mourait de lui... Mais silencieuses comme la glace les lèvres restaient serrées... Le silence répondait seul à ses mots d’amour.
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
Sam 16 Déc 2006, 16:55 par dolce vita sur L'amour en vrac

Petite histoire

J’étais appuyée contre la porte du bahut. Il avait plus d’une demi-heure de retard. Je soupirai. C’était habituel… Puis je le vis arriver. Toujours l’air décontracté, comme avant… Les larmes me montèrent aux yeux. Mon cœur se noua. Ma gorge se noua. Je me sentis oppressée. Je voulus lui sourire, je grimaçao. Je voulus lui faire signe mais mon bras ne bougea pas, comme si une force extérieure lui avait interdit. Que m’arrivait-il ? Je baissai la tête. Il s’avança vers moi et voulut me faire la bise. Je me laissai embrasser sans rien faire et lui demandai où il comptait m’emmener.. « Où ? Eh bien, où tu veux… ». Comment lui expliquer ? Comment lui dire que tous les endroits me conviendrait, s’il m’aimait comme je l’aimait ? Il souriait. Il avait l’air heureux… Comme s’il avait oublié ce qui s’était passé. Il me prit par la main, me souria et me demanda si j’allais bien, comme deux amoureux… Que nous étions. Je fis un petit sourire et lui parlai. Il m’emmena au jardin du sacré cœur. Comme la première fois. On s’assit au même endroit… Je retrouva le A+J entouré d’un cœur que j’avais tracé pendant qu’il était allé me chercher une glace. Il me demanda si j’avais rencontré quelqu’un. Je mis du temps à répondre. Il aurait rencontré quelqu’un ? Non… Je ne le croyais pas. Et puis… Pourquoi n’aurait-il pas d’autres aventures désormais ? J’avais l’insouciance d’une gamine… Et le cœur donné à un garçon qui ne s’en rendait pas compte. Je lui répondis par la négative et lui retournai la question. J’avais peur de la réponse. Il me répondit tranquillement, comme s’il m’eut raconté son dernier rêve… « Eh bien… Oui. » Il rougit légèrement et poursuivit. « Une fille… ». Comme si je ne m’en doutais pas ! Eh puis quoi encore ? Un dinosaure ? « Elle est dans ma classe et… ça va plutôt bien. ». Je n’en peux plus. Les larmes montèrent aux yeux. Je baissai la tête en signe de désespoir. Des larmes coulèrent sur mes yeux. Je les laissai couler. Je ne cherchai plus à les essuyer. C’était inutile. Il mit sa main sur mon épaule. Il me demanda gentiment quel était le problème. Je le regardais et émis un faible sourire. Il ne comprenait pas que c’était lui le problème… Il voulait comprendre. Je lui expliquai… « Je t’aime. ». Ce n’était pas bien comme explication. Trois mots… Mais ces trois mots sont les plus difficiles à prononcer. Il fit une drôle de tête. Son visage devint blême. Il s’écarta un peu et me regarda bizarrement.
- Vraiment ? demanda-t-il.
Je ne répondis même pas. Il comprit.
-désolée, Alicia…
Il rouvrit la bouche pour parler mais je lui mit la main devant. « Inutile. Vas–t-en. ».
Il ne contesta pas comme à son habitude et s’en alla. Je le regardais partir, ses cheveux bruns au vent… Il se retourna. Ses yeux noisettes croisèrent les miens. J’eu l’impression que mon âme était reliée à la sienne, l’espace d’un instant. J’eu l’impression qu’un jet de lumières invisibles reliait nos regards. Puis il cligna des yeux et tout s’arrêta. Je baissais la tête. Je ne pouvais continuer à le voir. Il partit du jardin… Et de mon cœur en même temps. Mon amour pour lui partit au fur et à mesure qu’il s’éloignait... Ce fut comme s’il avait prit tout ce que j’avais de lui en moi…
Il m’avait dit qu’il m’aimait. Je lui avait dit que je l’aimais. Et puis un jour il m‘a quittée…Je n’ai pas compris pourquoi. Et je ne comprendrai sans soute jamais. Il m’avait dit qu’on resterait amis. J’avais approuvé. Mais j’espérais au fond de moi que tout redevienne comme avant. Puis il est parti du collège… Il était revenu me voir. Et maintenant il est parti de ma vie. Pour toujours.
Quelle est cette force que l’on appelle l’amour ? Quelle est cette chose mystérieuse qu’aucun de nos cinq sens ne peut interpréter ? Elle nous remplit de joie aussi vite qu’elle nous remplit de haine. Elle nous trouve… Et ne nous quitte plus. Elle nous harcèle jusqu’à qu’on perde tout ce qui nous faisait vivre. Elle peut nous démoraliser lors de nos jours les plus heureux comme nous faire vivre les jours où on pense que tout est fini.
Mer 29 Nov 2006, 17:11 par Gabouloo sur Mille choses

Seul dans cette chambre sans chaleur

Après ma douche,
Seul je me couche,
Dans ce grand lit,
Qui n’est pas miens,
Sans chaleur et odeur,
Il est minuit.

A une heure,
Je pense à toi,
Toi, qui chavire mon cœur,
D’un seul son de ta voix,
D’un seul sourire,
Mes rêves se brouillent,
Mes yeux se mouillent.

Deux heures déjà!
Je n’arrive pas,
A m’endormir,
Tu es toujours là,
Tes bras me manque,
Dans mon esprits,
Mon moi te réclame,
Présent comme jamais,
Et je soupire.

Trois heure moins le quart !
J’ai le cafard,
Dans le noir de cette chambre,
Vide de vie,
Vide de toi,
Vide de tout sentiments,
J’écris ces mots.

Quatre heures,
Il serait temps,
De dormir,
Et d’oublier,
Mais cela est impossible !
Sans toi je suis vide.

Cinq heures,
Le temps est ,
L’heure tourne,
L’esprit toujours a toi.

Six heures,
L’heure du réveil,
Mais il est inutile,
Je suis toujours éveillé,
A penser a toi.

Enfin sept heures !
L’heure du café,
Des croissants beurre
Je suis crevée !
Et tu es toujours pas la !
Pour me prendre dans tes bras,
Savourer juste ce moment,
De tendresse et de réconfort,
Pour faire face a mes démons.
Ven 13 Oct 2006, 23:20 par joullia sur L'amour en vrac

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’ale. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’ale à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis temps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’ale à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

La chambre d' enfant à jamais rénovée

La commode

La commode en noyer, dans ma chambre d’enfant.

Ma chambre d’enfant.

Une grande pièce dans la maison des champs, la fenêtre sur RU qui file le du chemin, la baignoire que Pa Steph a posée et cueillie avant tout dans un champ,

… la commode qui m’a limite cassé le nez de par un impact d’une gifle énorme, précise, faisant cogner mon visage contre mon meuble de chambre.

…. Le résultat, instant T est que j’ai mal, que je me sais petite, que le sang coule de mes narines, et que mon Père n’est pas là pour me protéger.

Si vous saviez à quel point il a fait des efforts, à Gueuler sur ma mère en lui disant « laisse les se réveiller en douceur » plutôt que de leur bêler «  DEBOUT ! », Non ! mouton de panurge !

Et je le dis à Toi, j’ai après le choc, et mon sentir du sang qui coulait de mes narines regardé ma mère droit dans les yeux, avenir.

hmpf
Dim 08 Oct 2006, 20:12 par Chogokinette sur Mille choses

Ils se sont trouvés

Il était extraverti, fou et sensible.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...

Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.

Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.

Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.

Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,

Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !

Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.

Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.

Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.

A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.

La force de leur amour
Nécessiterait de trop discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Lun 18 Sep 2006, 00:44 par joullia sur Parler d'amour

Aimer la vie

Si vous aimez la vie, elle vous aimera en retour.


Arthur Rubinstein


La vie est un chemin
Parsemé d’embûches.
Si nous avons la rage de vivre
Alors nous vainquerons
Nos difficultés.
Chacun d’entre nous nourit sa vie
De ses souhaits.
La vie nous rend ce qu’on lui donne...

Marie rose
Ven 15 Sep 2006, 11:58 par Satine sur Citations

Je prendrai le temps

Ton prénom est là,
il frôle mes lèvres
et je le retiens...
il voudrait m’échapper,
m’obliger à le prononcer
mais non, je le garde là,
je le retiens,
rien ne presse...
Pour toi, j’aurai
la patience de l’amour,
les mots de la nuit
qui savent repousser le jour,
les gestes de l’amante
fragiles, lents,
je serai troublante,
rien ne presse...
J’accrocherai
des sourires croissants de lune
de mon aube hésitante
à nos matins baignés de lumière,
j’ouvrirai
ces chemins de traverse
oubliés de tous
perdus au cœur de mon amour,
tu me trouveras.
Je tracerai
une ligne de toi à moi
pleine et déliée
jusqu’à nous
sans pointillés,
je mêlerai
le bleu délavé
de l’encre de mes mots
au bleu de ton ciel
éclatant de soleil,
j’apprendrai
ton sommeil loin de moi,
tes rêves chahutés
le front perlé de sueur,
ton réveil corps tiède.
Je saurai
fermer les yeux
pour ne voir que toi,
refermer mes bras
autour de toi,
te tenir,
te laisser partir.
Je regarderai
ta vie,
je toucherai
ton cœur,
je dirai
ton prénom
dans un souffle,
le d’un soupir
là, sur tes lèvres...
je prendrai le temps
rien ne presse...
Dim 03 Sep 2006, 09:21 par danslalune sur La vie à deux

L'ouragan change toute la donne

Ce que tu dis n’est pas faux,
mais quand l’ouragan souffle,
il éloigne le grain de poussière que je suis,
le conduit là où je ne veux pas être,
là où la vie est sombre,
loin des autres grains,
loin d’une vie simple et belle,
loin des plaisirs simples,
comme une promenade le d’un fleuve,
admirer la beauté de la nature,
sentir la brise du petit matin,
les milles odeurs de la vie,
regarder un enfant jouer
croiser une femme enceinte
tout ça m’est interdit ou difficile,
alors la vie est peut être belle, mais pas pour tout le monde....


Merci, tes paroles sont douces et sages.
Mer 23 Août 2006, 23:53 par joullia sur Histoires d'amour

Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur

A travers cet hymne où mes mots te seront exprimés,
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.

Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.

Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.

Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.

Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...

J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.

Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.

Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.

S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.

Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.

Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.

Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.

S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.

Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.

Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.

Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.

Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.

Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.

Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...

Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.

Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une ue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.

Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.

Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.

Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.

Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
Mer 23 Août 2006, 01:24 par joullia sur Parler d'amour

J'ai marché

J’ai marché dans le sable blanc ce week end
Les cheveux virevoltant au gré du vent.
Je me sens coupable
De pleurer si souvent.
Mes yeux bleux dans le vague
Les écumes lointaines
Sont pour moi larmes et dague
Mon coeur submergé de haine
Trop de monde cruel
Autour de moi navigue
Dans un si duel
Sur le front de la digue.

Trouverais-je le remède
Aux souffrances de ma vie ?
Devrais-je demander aide
Tous les jours et les nuits ?
Personne ne s’évade
De ce monde infernal.
Lun 21 Août 2006, 00:18 par joullia sur Mille choses

Un demi-tour fatal aux rêves doux

J’ai fait un demi-tour fatal aux rêves doux
Mes pas se sont perdus sur le chemin dificile des doutes
Nos secrets endormis au fond de mes yeux clairs
Aveuglés par la peur qui assiégait ma route
Cette route tortueuse qui n’en finit pas

J’ai déchiré ton coeur, froissée aussi le mien
Gorgé tes yeux de pleurs et rougi mes paupières,
Abimé le bonheur en délaçant les liens,
Versé des tonnes d’eau sur les braises de mon coeur,
Enterré nos deux coeurs recouverts de poussière
Sans aucun effet sur l’amour qui me tient


J’ai hurlé à genoux ton doux prénom dans le silence,
En espérant que le vent le porte au Tout Puissant,
Invoqué tous les saints, imploré tous les anges de la terre entière,
Allant même jusqu’à imploré les croyances qui ne sont pas mienne
Et j’ai tendu les bras à ton coeur en absence,
Pleuré sur mon amour, récité tes louanges...

Les "je t’aime" lancés aux murmures du vent
Me sont revenus comme un parfum de roses fané,
Sur mon coeur dévasté,
Sur mon coeur endolori,
Seul ton sourire me calmait.

Julia M ouin
Jeu 17 Août 2006, 22:27 par joullia sur Mille choses

A la recherche de soi...

A-t-on assez d’une vie pour partir
" à la recherche de soi-même " ?
Peu importe.
La vie est un chemin initiatique...
Mar 15 Août 2006, 19:30 par Satine sur Mille choses

Mon ange auprés de moi

J’attends ce soir, la venue de mon ange. Il frappera de sa douce main sur le carreau trempé de ma fenêtre. Comme il pleut ce soir, les goûtes perlent. A qui peuvent bien être toutes ses larmes ?
J’allume une bougie pour que mon ange voie la lumière depuis ma fenêtre. La douce flamme le guidera à moi. Comme elle frémit ce soir, je m’inquiète. Est-ce bon ou mauvais signe ?
Comme tous les soirs, mon ange vient et passe ici la nuit. J’embrasse son front humide et le déshabille. Comme l’orage gronde, mon ange est trempé jusqu’au os. Je le fais asseoir prés du feu tandis que j’essore ses beaux cheveux couleur d’or.
Sur la fenêtre, les goûtes dansent et glissent tout le . A qui peuvent être toutes ses larmes ?
Mon ange a froid, on s’ale prés du feu. Comme sa peau est belle à la lueur des flammes, je frémis quand ses doigts frôlent la mienne. Ses lèvres, si chaudes, se posent alors sur les miennes, puis sur mon cou et mes épaules, cette tendre chaleur m’envahit alors, je frissonne.
La flamme, au bord de la fenêtre, chancelle aussi. Les gouttes de pluie frappent à la fenêtre. Elles dégoulinent tout le . A qui peuvent bien être toutes ces larmes ?
Ce sont, m’a dit mon ange, les larmes de tous les autres anges, tristes et jaloux que ton cœur m’ait choisi moi et non eux. Ils frappent aux carreaux de ta fenêtre pour que tu les laisses entrer. Je ferme les yeux, mon ange dort auprès de moi. Son souffle doux sur mon cou. La chaleur du feu sur nos peaux. Cette nuit, sous l’orage mon ange auprès de moi
Mar 15 Août 2006, 15:24 par Lindsey sur Histoires d'amour
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