Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur lumière - Page 9 sur 17
Je prendrai le temps
Ton prénom est là,
il frôle mes lèvres
et je le retiens...
il voudrait m’échapper,
m’obliger à le prononcer
mais non, je le garde là,
je le retiens,
rien ne presse...
Pour toi, j’aurai
la patience de l’amour,
les mots de la nuit
qui savent repousser le jour,
les gestes de l’amante
fragiles, lents,
je serai troublante,
rien ne presse...
J’accrocherai
des sourires croissants de lune
de mon aube hésitante
à nos matins baignés de lumière,
j’ouvrirai
ces chemins de traverse
oubliés de tous
perdus au cœur de mon amour,
tu me trouveras.
Je tracerai
une ligne de toi à moi
pleine et déliée
jusqu’à nous
sans pointillés,
je mêlerai
le bleu délavé
de l’encre de mes mots
au bleu de ton ciel
éclatant de soleil,
j’apprendrai
ton sommeil loin de moi,
tes rêves chahutés
le front perlé de sueur,
ton réveil corps tiède.
Je saurai
fermer les yeux
pour ne voir que toi,
refermer mes bras
autour de toi,
te tenir,
te laisser partir.
Je regarderai
ta vie,
je toucherai
ton cœur,
je dirai
ton prénom
dans un souffle,
le long d’un soupir
là, sur tes lèvres...
je prendrai le temps
rien ne presse...
il frôle mes lèvres
et je le retiens...
il voudrait m’échapper,
m’obliger à le prononcer
mais non, je le garde là,
je le retiens,
rien ne presse...
Pour toi, j’aurai
la patience de l’amour,
les mots de la nuit
qui savent repousser le jour,
les gestes de l’amante
fragiles, lents,
je serai troublante,
rien ne presse...
J’accrocherai
des sourires croissants de lune
de mon aube hésitante
à nos matins baignés de lumière,
j’ouvrirai
ces chemins de traverse
oubliés de tous
perdus au cœur de mon amour,
tu me trouveras.
Je tracerai
une ligne de toi à moi
pleine et déliée
jusqu’à nous
sans pointillés,
je mêlerai
le bleu délavé
de l’encre de mes mots
au bleu de ton ciel
éclatant de soleil,
j’apprendrai
ton sommeil loin de moi,
tes rêves chahutés
le front perlé de sueur,
ton réveil corps tiède.
Je saurai
fermer les yeux
pour ne voir que toi,
refermer mes bras
autour de toi,
te tenir,
te laisser partir.
Je regarderai
ta vie,
je toucherai
ton cœur,
je dirai
ton prénom
dans un souffle,
le long d’un soupir
là, sur tes lèvres...
je prendrai le temps
rien ne presse...
Dim 03 Sep 2006, 09:21 par
danslalune sur La vie à deux
Briser cette coquille qui m'étouffe
Parfois je désire parfois j’ai peur
Je dois dire adieu
A cet amour bercé de milles étoiles
Je lui ai donné mon coeur
Et lui ai promis mon corps
Je veux m’en sortir
Briser cette coquille qui m’étouffe
En attendant je reprends mon souffle
Je dois remonter à la surface
Survivre et me nourrir
Essayer de percevoir
A travers mon regard encore brumeux
Ces quelques lueurs
Dans un ciel au noir insondable
Mes yeux timidement s’ouvrent
Et petit à petit
S’habituent à cette lumière aveuglante
Mon coeur et mon corps
Reprennent goût à la vie,
A ce bonheur que je m’étais interdit
Je le vois renaître de ses cendres
Cet oiseau aux couleurs chatoyantes
M’enveloppant de ses ailes
Encore fragiles et tremblantes
Je dois dire adieu
A cet amour bercé de milles étoiles
Je lui ai donné mon coeur
Et lui ai promis mon corps
Je veux m’en sortir
Briser cette coquille qui m’étouffe
En attendant je reprends mon souffle
Je dois remonter à la surface
Survivre et me nourrir
Essayer de percevoir
A travers mon regard encore brumeux
Ces quelques lueurs
Dans un ciel au noir insondable
Mes yeux timidement s’ouvrent
Et petit à petit
S’habituent à cette lumière aveuglante
Mon coeur et mon corps
Reprennent goût à la vie,
A ce bonheur que je m’étais interdit
Je le vois renaître de ses cendres
Cet oiseau aux couleurs chatoyantes
M’enveloppant de ses ailes
Encore fragiles et tremblantes
Mer 30 Août 2006, 22:52 par
joullia sur Histoires d'amour
Coucher de soleil
Un coucher de soleil dans tes bras,
Un baiser à la lumière rouge de feu
Comme les flammes que tu attises dans mon coeur.
Un coucher de soleil avec toi
Comme si un merveilleux rêve durait toute l’éternité
Un coucher de soleil que l’on regarderait à deux...
Un baiser à la lumière rouge de feu
Comme les flammes que tu attises dans mon coeur.
Un coucher de soleil avec toi
Comme si un merveilleux rêve durait toute l’éternité
Un coucher de soleil que l’on regarderait à deux...
Sam 26 Août 2006, 17:04 par
Satine sur Parler d'amour
Mon coeur n'est que silence
Seul au fil de la course du temps,
Je te perds lucide à mon corps défendant,
Bras de fer ou fuite en avant,
Je cherche une lune dans ton coeur d’infortune,
Je cours après tes ombres anonymes,
De détours en chemins que tu me dessines,
Au secours, ne me laisse pas sans un signe,
Un message de toi, ne m’abandonnes pas.
« C’est une larme un aveu,
qui reste au bord de mes yeux,
mais mon coeur n’est que silence,
l’amour te tire sa révérence,
et je voudrais loin d’ici
oublier ce jour de pluie. »
Evitons nous les offenses,
Qu’il nous reste l’élégance,
Malgré cette douleur tenace
Qui cisaille mon coeur,
Et le vide qui me menace.
Dans le vent qui se réveille
Un à un s’en vont mes espoirs,
Je sens le froid de l’hiver me traverser,
Et je comprends que l’enfer c’est de ne pas être aimeé (e).
Je vois pas toujours venir,
La mort lente du désir,
Et je tends l’autre joue
Face à deux histoires d’amour.
Je tombe à genoux dans ton regard qui s’en fout
Je progresse en ton territoire ennemi,
Mais quand je te regarde, je baisse ma garde,
J’aurais pu par fierté en te voyant partir,
Dans l’urgence cacher mes défauts,
J’aurais pu en vouloir aux puissances divines
De m’avoir fait connaître ta peau,
Emprunter par méfiance des chemins qu’on devine plus facile
Et je tombe à genoux dans ton regard qui s’en fout
Et les larmes à côté de l’amour ne sont rien du tout.
Je suis forcée de croire
Que j’ai perdu du temps à t’aimer vraiment
Je n’ai pas d’excuse pour une fois
Je m’en prends a moi même, je sais pourquoi je t’aime.
« Je voudrais pourtant te dire
Je garde en moi les belles choses
Et rien ne viendra détruire
Nos nuits jonchées de roses. »
Au fond il me manque aussi autre chose que l’amour,
Un ami (e)
Qui me protégera quand viendront les ennuis,
Qui partagera tout, que je pleure ou je rie,
Qui me rappellera ma mémoire si j’oublie,
Qui sera me faire croire quand je fuis,
Qui lèvera son verre avec moi aux galères,
Qui m’empêchera de devenir vieille et amère,
Qui me fera paraître la route de la vie moins longue,
Enfin quelqu’un qui saurait me comprendre,
Quand tout le monde cherche à m’oublier sauf ce corbeau,
Accorde-moi, Karim, encore un peu de ta lumière...
Apres des textes de Léa, Mathieu, Romano, et Moi
Je te perds lucide à mon corps défendant,
Bras de fer ou fuite en avant,
Je cherche une lune dans ton coeur d’infortune,
Je cours après tes ombres anonymes,
De détours en chemins que tu me dessines,
Au secours, ne me laisse pas sans un signe,
Un message de toi, ne m’abandonnes pas.
« C’est une larme un aveu,
qui reste au bord de mes yeux,
mais mon coeur n’est que silence,
l’amour te tire sa révérence,
et je voudrais loin d’ici
oublier ce jour de pluie. »
Evitons nous les offenses,
Qu’il nous reste l’élégance,
Malgré cette douleur tenace
Qui cisaille mon coeur,
Et le vide qui me menace.
Dans le vent qui se réveille
Un à un s’en vont mes espoirs,
Je sens le froid de l’hiver me traverser,
Et je comprends que l’enfer c’est de ne pas être aimeé (e).
Je vois pas toujours venir,
La mort lente du désir,
Et je tends l’autre joue
Face à deux histoires d’amour.
Je tombe à genoux dans ton regard qui s’en fout
Je progresse en ton territoire ennemi,
Mais quand je te regarde, je baisse ma garde,
J’aurais pu par fierté en te voyant partir,
Dans l’urgence cacher mes défauts,
J’aurais pu en vouloir aux puissances divines
De m’avoir fait connaître ta peau,
Emprunter par méfiance des chemins qu’on devine plus facile
Et je tombe à genoux dans ton regard qui s’en fout
Et les larmes à côté de l’amour ne sont rien du tout.
Je suis forcée de croire
Que j’ai perdu du temps à t’aimer vraiment
Je n’ai pas d’excuse pour une fois
Je m’en prends a moi même, je sais pourquoi je t’aime.
« Je voudrais pourtant te dire
Je garde en moi les belles choses
Et rien ne viendra détruire
Nos nuits jonchées de roses. »
Au fond il me manque aussi autre chose que l’amour,
Un ami (e)
Qui me protégera quand viendront les ennuis,
Qui partagera tout, que je pleure ou je rie,
Qui me rappellera ma mémoire si j’oublie,
Qui sera me faire croire quand je fuis,
Qui lèvera son verre avec moi aux galères,
Qui m’empêchera de devenir vieille et amère,
Qui me fera paraître la route de la vie moins longue,
Enfin quelqu’un qui saurait me comprendre,
Quand tout le monde cherche à m’oublier sauf ce corbeau,
Accorde-moi, Karim, encore un peu de ta lumière...
Apres des textes de Léa, Mathieu, Romano, et Moi
Sam 26 Août 2006, 15:26 par
joullia sur L'amour en vrac
Demander un tendre baiser
Avec la peur d’oser affronter l’ouragan
Et les nuages et les vents déchaînés
Avec la peur de traverser l’océan
Sur les ailes de nos rêves
J’irai sur mes larmes
Demander à ton sourire
Un tendre baiser
Avec la peur de me brûler au soleil
Sur le cri d’une flamme aguichante
Avec la peur de voir tomber le ciel
Et d’éteindre à jamais la lumière
Avec la peur de perdre l’amitié
Et l’éclat de tes yeux rêveurs
Avec la peur de me faire pitié
Si je ne t’offre que des pleurs
Demander un tendre baiser
Et les nuages et les vents déchaînés
Avec la peur de traverser l’océan
Sur les ailes de nos rêves
J’irai sur mes larmes
Demander à ton sourire
Un tendre baiser
Avec la peur de me brûler au soleil
Sur le cri d’une flamme aguichante
Avec la peur de voir tomber le ciel
Et d’éteindre à jamais la lumière
Avec la peur de perdre l’amitié
Et l’éclat de tes yeux rêveurs
Avec la peur de me faire pitié
Si je ne t’offre que des pleurs
Demander un tendre baiser
Sam 26 Août 2006, 13:34 par
joullia sur Histoires d'amour
Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur
A travers cet hymne où mes mots te seront exprimés,
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
Mer 23 Août 2006, 01:24 par
joullia sur Parler d'amour
Etats d'âme ( 2 )...
Femme de l’ombre
Je reste dans la pénombre
Souvent je " broie du noir "
Je reste dans le noir
Je voudrais être dans la lumière
Comme une prière....
Marie
Je reste dans la pénombre
Souvent je " broie du noir "
Je reste dans le noir
Je voudrais être dans la lumière
Comme une prière....
Marie
Lun 21 Août 2006, 14:44 par
Satine sur Parler d'amour
L’ardeur de tes flammes crépitantes
Je sens l’ardeur de tes flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia
Et l’envie qui te brûle le bout des doigts,
J’entends aussi le désir que tu chuchotes au plus profond de toi
Et je vois ton corps qui grelotte de désir intense.
Il appelle timidement mes mains pour qu’elles le caressent.
Couine de plaisir et crie de rage.
Les mots de la passion ont un doux visage d’ange
Tes yeux langoureux et profonds !
Les mots du cœur ont une couleur rouge foudroyant
Des baisers tendres et une douce saveur subtile et délicate
D’un mélange de parfums et de sueurs
Où la douceur embrasse la douceur de nos corps.
Mes lèvres qui se penchent sur tes reins.
Je sens l’ardeur des flammes crépitantes
Et l’envie qui te brûle le corps,
Je te veux dans mes petit bras.
Je te veux dans mes draps.
Je te veux poème.
Je te veux poète.
Je te veux une tempête.
Que rien n’arrête.
Je te veux comme tu es.
Qu’on s’embrasse dans la différence, dans l’innocence
Et dans le silence de notre désir.
Qu’on s’embrasse à ne plus en finir,
Que la douce lueur du matin nous dévoile l’un à l’autre
Dans la plus merveilleuse lumière aux mille reflets de couleurs
Et qu’au petit matin nous formions plus qu’un Nous,
Et que ce Nous se transforme en Amour réel,
Celui dont même la mort ne peut défaire.
julia
Lun 21 Août 2006, 11:27 par
joullia sur La séduction
L'espoir était si doux
Qui suis-je pour avoir voulu rêver de toi ?
Je ne suis personne et d’une classe différente...
Fait-on de l’or avec un grain de poussière ?
Non, sinon tout le monde serait riche ...
Fait-on jaillir du vide, clarté et lumière ?
Je ne le pense pas ....
L’espoir était si doux mais bien trop beau pour moi
Qui suis-je pour avoir osé penser que nous
Ensemble nous prenions la même route
J’ai rêvé de tes yeux, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton coeur, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton âme, j’ai oublié sans doute
j’ai rêvé de ton corps, j’ai oublié sans doute
La condition sine qua non :
Il faut être deux pour écrire "Nous"
Qui es-tu Prince ?
Pourquoi as-tu posé ton doux regard sur moi ?
Tes yeux qui n’appartiennent qu’à toi
Qui me restent plantés dans le coeur comme un pieu
Tes lèvres si délicates et envoûtantes
Que mon coeur ne m’écoute plus
Je n’ai pas de rancoeur, juste un peu de regret
De n’être rien sinon ce grain de poussière
Que l’on souffle et qui part loin hors de la lumière
Là où tout est sombre de douleur
Ou le néant reigne
Que sonne le glas de mon
écartelé
Je ne suis personne et d’une classe différente...
Fait-on de l’or avec un grain de poussière ?
Non, sinon tout le monde serait riche ...
Fait-on jaillir du vide, clarté et lumière ?
Je ne le pense pas ....
L’espoir était si doux mais bien trop beau pour moi
Qui suis-je pour avoir osé penser que nous
Ensemble nous prenions la même route
J’ai rêvé de tes yeux, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton coeur, j’ai oublié sans doute
J’ai rêvé de ton âme, j’ai oublié sans doute
j’ai rêvé de ton corps, j’ai oublié sans doute
La condition sine qua non :
Il faut être deux pour écrire "Nous"
Qui es-tu Prince ?
Pourquoi as-tu posé ton doux regard sur moi ?
Tes yeux qui n’appartiennent qu’à toi
Qui me restent plantés dans le coeur comme un pieu
Tes lèvres si délicates et envoûtantes
Que mon coeur ne m’écoute plus
Je n’ai pas de rancoeur, juste un peu de regret
De n’être rien sinon ce grain de poussière
Que l’on souffle et qui part loin hors de la lumière
Là où tout est sombre de douleur
Ou le néant reigne
Que sonne le glas de mon
écartelé
Jeu 17 Août 2006, 23:18 par
joullia sur Histoires d'amour
Mon ange auprés de moi
J’attends ce soir, la venue de mon ange. Il frappera de sa douce main sur le carreau trempé de ma fenêtre. Comme il pleut ce soir, les goûtes perlent. A qui peuvent bien être toutes ses larmes ?
J’allume une bougie pour que mon ange voie la lumière depuis ma fenêtre. La douce flamme le guidera à moi. Comme elle frémit ce soir, je m’inquiète. Est-ce bon ou mauvais signe ?
Comme tous les soirs, mon ange vient et passe ici la nuit. J’embrasse son front humide et le déshabille. Comme l’orage gronde, mon ange est trempé jusqu’au os. Je le fais asseoir prés du feu tandis que j’essore ses beaux cheveux couleur d’or.
Sur la fenêtre, les goûtes dansent et glissent tout le long. A qui peuvent être toutes ses larmes ?
Mon ange a froid, on s’allonge prés du feu. Comme sa peau est belle à la lueur des flammes, je frémis quand ses doigts frôlent la mienne. Ses lèvres, si chaudes, se posent alors sur les miennes, puis sur mon cou et mes épaules, cette tendre chaleur m’envahit alors, je frissonne.
La flamme, au bord de la fenêtre, chancelle aussi. Les gouttes de pluie frappent à la fenêtre. Elles dégoulinent tout le long. A qui peuvent bien être toutes ces larmes ?
Ce sont, m’a dit mon ange, les larmes de tous les autres anges, tristes et jaloux que ton cœur m’ait choisi moi et non eux. Ils frappent aux carreaux de ta fenêtre pour que tu les laisses entrer. Je ferme les yeux, mon ange dort auprès de moi. Son souffle doux sur mon cou. La chaleur du feu sur nos peaux. Cette nuit, sous l’orage mon ange auprès de moi
J’allume une bougie pour que mon ange voie la lumière depuis ma fenêtre. La douce flamme le guidera à moi. Comme elle frémit ce soir, je m’inquiète. Est-ce bon ou mauvais signe ?
Comme tous les soirs, mon ange vient et passe ici la nuit. J’embrasse son front humide et le déshabille. Comme l’orage gronde, mon ange est trempé jusqu’au os. Je le fais asseoir prés du feu tandis que j’essore ses beaux cheveux couleur d’or.
Sur la fenêtre, les goûtes dansent et glissent tout le long. A qui peuvent être toutes ses larmes ?
Mon ange a froid, on s’allonge prés du feu. Comme sa peau est belle à la lueur des flammes, je frémis quand ses doigts frôlent la mienne. Ses lèvres, si chaudes, se posent alors sur les miennes, puis sur mon cou et mes épaules, cette tendre chaleur m’envahit alors, je frissonne.
La flamme, au bord de la fenêtre, chancelle aussi. Les gouttes de pluie frappent à la fenêtre. Elles dégoulinent tout le long. A qui peuvent bien être toutes ces larmes ?
Ce sont, m’a dit mon ange, les larmes de tous les autres anges, tristes et jaloux que ton cœur m’ait choisi moi et non eux. Ils frappent aux carreaux de ta fenêtre pour que tu les laisses entrer. Je ferme les yeux, mon ange dort auprès de moi. Son souffle doux sur mon cou. La chaleur du feu sur nos peaux. Cette nuit, sous l’orage mon ange auprès de moi
Mar 15 Août 2006, 15:24 par
Lindsey sur Histoires d'amour
Le paradoxe
Tu es l’ombre et la lumière de mes jours
Tu es les pleurs et le bonheur en mon âme
Tu es le mirage et l’oasis de mon parcours
Tu es le cauchemar et le rêve de ma flamme
Tu es le noir et la couleur de mes mots
Tu es la douleur et la joie de mon sort
Tu es le poison et le baume de mes maux
Tu es le désert et la source de mon corps
Tu es la faiblesse et la force de mon combat
Tu es la folie et la raison de ma vie
Tu es la prison et la liberté de mes pas
Tu es le froid et le feu de mon envie
Tu es le verrou et la clef de mon amour
Tu es le vide et le plein de mes heures
Tu es l’enfer et le paradis tour à tour
Tu es celui que cherche mon cœur
Tu es mon prince du desert
Et je t’aime comme ca
Tu es les pleurs et le bonheur en mon âme
Tu es le mirage et l’oasis de mon parcours
Tu es le cauchemar et le rêve de ma flamme
Tu es le noir et la couleur de mes mots
Tu es la douleur et la joie de mon sort
Tu es le poison et le baume de mes maux
Tu es le désert et la source de mon corps
Tu es la faiblesse et la force de mon combat
Tu es la folie et la raison de ma vie
Tu es la prison et la liberté de mes pas
Tu es le froid et le feu de mon envie
Tu es le verrou et la clef de mon amour
Tu es le vide et le plein de mes heures
Tu es l’enfer et le paradis tour à tour
Tu es celui que cherche mon cœur
Tu es mon prince du desert
Et je t’aime comme ca
Mer 09 Août 2006, 09:27 par
joullia sur L'amour en vrac
Re: Feu sous la glace
La nuit est un nid de braises qui se nourrit de notre amour, mon amour,
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre, de notre amour, mon amour,
Dans la chambre, sur l’eau, comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes,
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise.
De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre, de notre amour, mon amour,
Dans la chambre, sur l’eau, comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes,
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise.
De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Sam 05 Août 2006, 19:02 par
ricko sur L'amour en vrac
La lumiere
Tu es ma plus belle histoire
Celle auquel chaque moment
Passé avec toi nous a fait grandir
Tu es mon lien
La lumière de mon chemin
Tu ne parles qu’une seule langue
Celle de l’amour
Celle qui a fait de toi un être irremplaçable
Il n’y a rien à comprendre
Et que passe le temps
Qui ne pourra rien entendre
Tu es mon autre
Celui qui me guidera dans ma vie
Ma force mon courage
Je les puiserai à travers toi
Afin que rien ne m’arrête
Au bout de ce chemin
Entre ciel et terre, jamais loin de l’autre
Nous serions désunis
Car tu seras ma dernière seconde
Mon homme, mon amant, mon ami
Laisse moi tes bras ouverts
Afin que je puisse m’y blottir
Le temps d’un espace...le temps d’une seconde
Le temps de la vie.
Celle auquel chaque moment
Passé avec toi nous a fait grandir
Tu es mon lien
La lumière de mon chemin
Tu ne parles qu’une seule langue
Celle de l’amour
Celle qui a fait de toi un être irremplaçable
Il n’y a rien à comprendre
Et que passe le temps
Qui ne pourra rien entendre
Tu es mon autre
Celui qui me guidera dans ma vie
Ma force mon courage
Je les puiserai à travers toi
Afin que rien ne m’arrête
Au bout de ce chemin
Entre ciel et terre, jamais loin de l’autre
Nous serions désunis
Car tu seras ma dernière seconde
Mon homme, mon amant, mon ami
Laisse moi tes bras ouverts
Afin que je puisse m’y blottir
Le temps d’un espace...le temps d’une seconde
Le temps de la vie.
Ven 04 Août 2006, 21:21 par
joullia sur Parler d'amour
Remplie de délice
La terre n’est pas assez grande
L’univers n’est pas assez vaste
Pour te dire tout cet amour
Qui me remplit de délice
Jour après jour
La mer est bien trop petite
Les forêts sont peu nombreuses
Pour contenir tout cet amour
Qui déborde jour après jour
Mon amour
Oui, je t’aime !
Comme on ne t’a jamais aimé
Tu es ma lumière
Tu es mon chemin
Celui qui unira nos coeurs
Pour le même destin
L’univers n’est pas assez vaste
Pour te dire tout cet amour
Qui me remplit de délice
Jour après jour
La mer est bien trop petite
Les forêts sont peu nombreuses
Pour contenir tout cet amour
Qui déborde jour après jour
Mon amour
Oui, je t’aime !
Comme on ne t’a jamais aimé
Tu es ma lumière
Tu es mon chemin
Celui qui unira nos coeurs
Pour le même destin
Ven 04 Août 2006, 21:14 par
joullia sur Histoires d'amour
Le but du couple
Quoi de plus beau
Deux corps enlacés
Sur le sable chaud
Quoi de plus beau
Ce ventre arrondi
De l’amour qui les unit
Quoi de plus beau
Quand l’enfant paraît
Dans la lumière du jour
Quoi de plus beau
Ces trois êtres blottis
Dans l’amour infini
Deux corps enlacés
Sur le sable chaud
Quoi de plus beau
Ce ventre arrondi
De l’amour qui les unit
Quoi de plus beau
Quand l’enfant paraît
Dans la lumière du jour
Quoi de plus beau
Ces trois êtres blottis
Dans l’amour infini
Ven 04 Août 2006, 21:07 par
joullia sur L'amour en vrac
Ecrire sur lumière
Je prendrai le temps, Briser cette coquille qui m'étouffe, Coucher de soleil, Mon coeur n'est que silence, Demander un tendre baiser, Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur, Etats d'âme ( 2 )..., L’ardeur de tes flammes crépitantes, L'espoir était si doux, Mon ange auprés de moi, Le paradoxe, Re: Feu sous la glace, La lumiere, Remplie de délice, Le but du couple, Il y a 246 textes utilisant le mot lumière. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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Madeleine Monette.
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