Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur malgré - Page 6 sur 15
Une lettre d'amour particulière à un ami particulier
Cher ******,
Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.
As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.
Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.
Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.
As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le mien est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.
Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.
Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par
Solina sur La déclaration d'amour
Une brume
Je marche sans but et sans me retourner
En me demandant si je vais m’arrêter.
Mes jambes me portent,
Et perdent le contrôle.
Mon cœur souffre
Mais mon esprit est toujours la.
Je m’enfonce dans cette brume
Qui m’enveloppe
Comme un cocon si doux
Ou malgré tous
Mon amertume est bien la...
Je sens cette humidité écrasante sur mes épaules
Comme un fardeau que je dois porter.
J’accepte cette douleur qui ne veut plus me quitter
Aussi fidèle qu’une bien aimée.
caressesdesyeux
Sam 08 Mai 2010, 12:33 par
caressedesyeux sur Mille choses
Dans un monde parfait, je t'écrirai ceci ...
A cet être simple et innoncent,
Quand nous nous regardons chaque matin devant notre miroir, nous croyons nous connaître, nous croyons en nos illusions de gloire, de réussite et de beauté. Mais qui sommes-nous donc ?
Dans nos cœurs, nous croyons dans des illusions. Dans ses illusions, nous sommes les empereurs de la luxure, de la gourmandise et de divers autres péchés. Pourquoi ? Notre être, au fil du temps, crée ses propres monstres, excès de nos personnalités déséquilibrées. Nos tentatives d’équilibres se soldent par des échecs. Pourquoi ? Ces équilibres sont factices, artificiels. Ce trompe-cœur ne leurre pas notre être fondamental. Voilà pourquoi le docteur Jeckyll ne parvient jamais à détruire Mr. Hyde sans se tuer lui-même. Il fait partie de sa personnalité. La religion qui nous fait croire en un être divin essaye de nous équilibrer par la passion destructrice qui nous anime. Il utilise cette passion destructrice en passion salvatrice. Mais quel combat vain ! Combien de pécheurs ont continué leur excès dans la folie des guerres religieuses ! Une fois que nos cœurs sont souillés, les pleurs ne peuvent effacer les crimes que nous commettons ! Les plaies peuvent se cicatriser mais marquent à jamais la peau. Ainsi, devons-nous vivre sous des masques de théâtre pour jouer notre vie en société !
Toi, mon bel ange, crois-tu me connaître ? Tu es ébloui par la blancheur de mes ailes, par mon sourire angélique, mes mains bienfaisantes. Mais sais-tu que cela n’est qu’un habit de carnaval ? Cet habit me démange, il ne me correspond pas. Serais-tu capable de me voir en monstre ? Non. Personne ne montre son vrai visage pour ne pas connaître le haro. Personne n’aime vivre au ban de la société car l’homme ne survit qu’en société. Mes ailes cachent mes épines ensanglantés de crimes qui j’ai commis pour le plaisir du corps. J’aime les corps. J’aime les sentir près de moi. J’ai bafoué un amour sincère qui me louait comme une sainte immaculée. Il continue à m’aimer malgré les nombreuses flagellations que je lui inflige. Je livre mon corps aisément à l’ivresse de l’instant. Je me cache de tout le monde. Je fais vivre mes apparences pour survivre en société. Je vis dans la crainte de la destruction de ses apparences. Je prends soin de ne pas les fissurer. Combien ai-je fait des faux pas qui me coûtent aujourd’hui une peur vivace ? Chaque fois que je laisse entrer quelqu’un dans mon univers intime, le hasard fait qu’il se trouve aussi dans un environnement que je crois protégé, réservé à une image de société. Est-ce ainsi que Dieu cherche à me punir des crimes que j’ai commis au nom de la Passion des corps déchus ? Est-ce ma malédiction ? Jusqu’à présent, aucun de mes fantômes ne s’est réveillé pour détruire mes mondes. Toutefois, je dois demeurer toujours sur mes gardes. Un volcan qui dort est un volcan actif…
Mon ange, demeure dans ton bel âge où l’innocence te maintient dans la pureté ! Garde-toi de t’approcher de moi ! Je ne veux pas te souiller, mon bel ami.
Quand nous nous regardons chaque matin devant notre miroir, nous croyons nous connaître, nous croyons en nos illusions de gloire, de réussite et de beauté. Mais qui sommes-nous donc ?
Dans nos cœurs, nous croyons dans des illusions. Dans ses illusions, nous sommes les empereurs de la luxure, de la gourmandise et de divers autres péchés. Pourquoi ? Notre être, au fil du temps, crée ses propres monstres, excès de nos personnalités déséquilibrées. Nos tentatives d’équilibres se soldent par des échecs. Pourquoi ? Ces équilibres sont factices, artificiels. Ce trompe-cœur ne leurre pas notre être fondamental. Voilà pourquoi le docteur Jeckyll ne parvient jamais à détruire Mr. Hyde sans se tuer lui-même. Il fait partie de sa personnalité. La religion qui nous fait croire en un être divin essaye de nous équilibrer par la passion destructrice qui nous anime. Il utilise cette passion destructrice en passion salvatrice. Mais quel combat vain ! Combien de pécheurs ont continué leur excès dans la folie des guerres religieuses ! Une fois que nos cœurs sont souillés, les pleurs ne peuvent effacer les crimes que nous commettons ! Les plaies peuvent se cicatriser mais marquent à jamais la peau. Ainsi, devons-nous vivre sous des masques de théâtre pour jouer notre vie en société !
Toi, mon bel ange, crois-tu me connaître ? Tu es ébloui par la blancheur de mes ailes, par mon sourire angélique, mes mains bienfaisantes. Mais sais-tu que cela n’est qu’un habit de carnaval ? Cet habit me démange, il ne me correspond pas. Serais-tu capable de me voir en monstre ? Non. Personne ne montre son vrai visage pour ne pas connaître le haro. Personne n’aime vivre au ban de la société car l’homme ne survit qu’en société. Mes ailes cachent mes épines ensanglantés de crimes qui j’ai commis pour le plaisir du corps. J’aime les corps. J’aime les sentir près de moi. J’ai bafoué un amour sincère qui me louait comme une sainte immaculée. Il continue à m’aimer malgré les nombreuses flagellations que je lui inflige. Je livre mon corps aisément à l’ivresse de l’instant. Je me cache de tout le monde. Je fais vivre mes apparences pour survivre en société. Je vis dans la crainte de la destruction de ses apparences. Je prends soin de ne pas les fissurer. Combien ai-je fait des faux pas qui me coûtent aujourd’hui une peur vivace ? Chaque fois que je laisse entrer quelqu’un dans mon univers intime, le hasard fait qu’il se trouve aussi dans un environnement que je crois protégé, réservé à une image de société. Est-ce ainsi que Dieu cherche à me punir des crimes que j’ai commis au nom de la Passion des corps déchus ? Est-ce ma malédiction ? Jusqu’à présent, aucun de mes fantômes ne s’est réveillé pour détruire mes mondes. Toutefois, je dois demeurer toujours sur mes gardes. Un volcan qui dort est un volcan actif…
Mon ange, demeure dans ton bel âge où l’innocence te maintient dans la pureté ! Garde-toi de t’approcher de moi ! Je ne veux pas te souiller, mon bel ami.
Ven 16 Avril 2010, 02:04 par
Solina sur Un monde parfait
L'attention
J’ai tant besoin de ta tendresse,
Une main, un doigt sur mon visage ,comme une caresse,
Des bras qui m’encercle la taille
Des "bisous" spontanés" au creux du cou
Des petits rien qui font finalement tout.
Sentir que j’existe ...............
M ’accueillir à peine rentrée, à t’en "jeter" dans mes bras en m’embrassant fougueusement.
Voir tes yeux qui pétillent me regarder.
Et qui signifie que tu as encore envie de moi.
Se retrouver rien que nous deux
Pour de petits moments enrichissants.
Des petits mots
Que toi tu trouves idiot , mais qui te font sourire, malgré tout.
Une envie tout simplement d’attention
Et beaucoup de passion............
caressedesyeux
Jeu 01 Avril 2010, 14:27 par
caressedesyeux sur La déclaration d'amour
Le vide
Tu m’as choisie ?!
Il te faut tout de moi :
Toute ma féminité,
Que tu aspires goulûment,
Année après année.
A l’instant où je crois en sortir tu reviens à la charge.
Avec plus de rébellion j’essaie de t’échapper... encore.
C’est un combat pipé
A bout de souffle, je lutte et espère
Sortir des serres du rapace
Avec quelle arme ?
Et que n’approche aucun homme
Puisque visiblement tout n’est qu’illusion
Ce sont toujours des situations impossibles
Pour un amour inconsistant,
Une illusion,
Et qu’on ne me parle plus de mérite.
C’est la chance, rien que la chance qui unit
Pour la désunion, nous n’avons besoin de personne...
Fatalité ?
Vide
Immense
Trop présent
Regards
Illusions
Désirs
Cette solitude qui s’installe pourtant malgré moi
Qu’y faire ?
Mais espérer quand même
Et, par delà les questions, les frustrations et le manque de l’Autre, Vivre.
Il te faut tout de moi :
Toute ma féminité,
Que tu aspires goulûment,
Année après année.
A l’instant où je crois en sortir tu reviens à la charge.
Avec plus de rébellion j’essaie de t’échapper... encore.
C’est un combat pipé
A bout de souffle, je lutte et espère
Sortir des serres du rapace
Avec quelle arme ?
Et que n’approche aucun homme
Puisque visiblement tout n’est qu’illusion
Ce sont toujours des situations impossibles
Pour un amour inconsistant,
Une illusion,
Et qu’on ne me parle plus de mérite.
C’est la chance, rien que la chance qui unit
Pour la désunion, nous n’avons besoin de personne...
Fatalité ?
Vide
Immense
Trop présent
Regards
Illusions
Désirs
Cette solitude qui s’installe pourtant malgré moi
Qu’y faire ?
Mais espérer quand même
Et, par delà les questions, les frustrations et le manque de l’Autre, Vivre.
Mer 31 Mars 2010, 15:11 par
dolce vita sur La déclaration d'amour
Un peché
Belle Eve ne croquera pas la pomme
Car Adam ,s’émerveillera de sa beauté
Jusque dans son décolleté
Avant de la déguster
Croquer la belle pomme
Et de s’en lécher les lèvres
De son jus parfumé
Il l’a trouve si belle
Un péché mignon
Qui lui en fait perdre la raison
Il a le choix
Mais je ne le vous dirai pas
Il s’imagine malgré tout
Poser sa tête , entre ses seins
Et respirer ses effluves au gout divin
CARESSEDESYEUX
[URL=http://img695.imageshack.us/i/27662417081.jpg/]
[/URL
Car Adam ,s’émerveillera de sa beauté
Jusque dans son décolleté
Avant de la déguster
Croquer la belle pomme
Et de s’en lécher les lèvres
De son jus parfumé
Il l’a trouve si belle
Un péché mignon
Qui lui en fait perdre la raison
Il a le choix
Mais je ne le vous dirai pas
Il s’imagine malgré tout
Poser sa tête , entre ses seins
Et respirer ses effluves au gout divin
CARESSEDESYEUX
[URL=http://img695.imageshack.us/i/27662417081.jpg/]

Mer 31 Mars 2010, 14:19 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le ruban
Il se fait doux, caresse sur ses hanches,
Et moi j’aimerai être à sa place
Ruban de satin,
Ruban de soie
Qui glisse sur celles -ci en s’évaporant...............
De cette peau si blanche
Et qui n’a plus rien à cacher
Telle une beauté subliminale
A marquer dans les annales de ma mémoire
Le nœud malgré tout résiste et se retrouve par terre
De quoi a-t-il l’air?
Le voila seul et abandonné................
Mes doigts fouillent a taton
Sa belle toison
Et de ce ruban, je lui en couvre les yeux
Pour lui donner des sensations................
caressedesyeux

Mar 30 Mars 2010, 15:05 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une envie
Au bord de l’eau mon amour,
J’aimerai être avec toi
T’ écouter me raconter tant de choses;
Je "boirai" tes paroles si douces,
Aussi douce que du miel
Aussi douce qu’une mélodie
Qui m’engourdirait l’esprit
Qui m’engourdirait le cœur
En posant mes lèvres sur les tiennes
Et en les effleurant,
Juste pour gouter à la saveur de celle -ci.
Te caresser de mes yeux
En plongeant mon regard dans le tien
Nous serions si bien.
Ta main descend doucement à la base de mes reins
Et nous sommes si bien.
Cette façon de vouloir te protéger
En te serrant dans mes bras
Te donner de la tendresse
Malgré ma maladresse
Car je t’apprécie telle que tu es
CARESSEDESYEUX
J’aimerai être avec toi
T’ écouter me raconter tant de choses;
Je "boirai" tes paroles si douces,
Aussi douce que du miel
Aussi douce qu’une mélodie
Qui m’engourdirait l’esprit
Qui m’engourdirait le cœur
En posant mes lèvres sur les tiennes
Et en les effleurant,
Juste pour gouter à la saveur de celle -ci.
Te caresser de mes yeux
En plongeant mon regard dans le tien
Nous serions si bien.
Ta main descend doucement à la base de mes reins
Et nous sommes si bien.
Cette façon de vouloir te protéger
En te serrant dans mes bras
Te donner de la tendresse
Malgré ma maladresse
Car je t’apprécie telle que tu es
CARESSEDESYEUX

Sam 27 Mars 2010, 18:13 par
caressedesyeux sur Mille choses
Elle
Elle cache joliment son visage,
De peur de rougir de plus belle
Car il lui fait part de sa beauté
De toute son immensité à être une magnifique femme
Et dont il aime tant ses formes.
De ces douces rondeurs,
Où il aimerait y déposer son visage et respirer ses effluves vanillées.
Il l’a trouve sublime de son esprit vif
Et sa fragilité le bouleverse
Déclaration de mots si beaux prononcés,
Qui l’atteint malgré tout
Et dont son cœur en est touché
Elle y croit , elle se sent revivre, désirable,
Et ne veut partager cela qu’avec lui...
CARESSEDESYEUX
De peur de rougir de plus belle
Car il lui fait part de sa beauté
De toute son immensité à être une magnifique femme
Et dont il aime tant ses formes.
De ces douces rondeurs,
Où il aimerait y déposer son visage et respirer ses effluves vanillées.
Il l’a trouve sublime de son esprit vif
Et sa fragilité le bouleverse
Déclaration de mots si beaux prononcés,
Qui l’atteint malgré tout
Et dont son cœur en est touché
Elle y croit , elle se sent revivre, désirable,
Et ne veut partager cela qu’avec lui...
CARESSEDESYEUX

Mar 23 Mars 2010, 15:38 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une folle envie
Soirée, qui se termine tard,
je rentre me coucher,
Et j’enlève mes talons sans faire de bruit.
Malgré ce parquet qui se met à grincer sous mes pieds.
Mon homme dort paisiblement sur le ventre.
Le drap de satin blanc, ne laissant qu’entrevoir ses magnifiques cuisses musclées
J’ai envie de lui, subitement;
Alors je m’approche de lui tout doucement.
Il se retourne, et il me fait son plus beau sourire,
Pour un court instant je suis son réveil douceur.............
Je l’embrasse fougueusement sur les lèvres,
Il me déshabille rapidement,
Et je met mes mains autour de son cou.
Je sens son désir "se tendre" et il m’enlace, en m’empoignant les hanches
Et de sa main experte, il descend m’effleurer mon bouton nacré....
caressedesyeux

Dim 21 Mars 2010, 16:02 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ils ne sont plus
... des adolescents. Loin s’en faut. Pourtant, quelle différence lorsque la chaleur s’installe en elle avec insistance dès qu’ils se frôlent et ce, depuis ce jour inattendu. Ils se disent "bonjour", comme le font tous les collègues, ni plus ni moins. Mais pourquoi le temps semble s’arrêter lorsque les deux visages se rapprochent ?! Une fois. Deux. Pourquoi cet automatisme a perdu de son métallique ?
Il a pris l’initiative du tutoiement de même que celle de la bise occasionnelle, lorsque, si rarement, ils se croisent.
Il est tout près. Elle le voit prendre le temps de respirer comme s’il voulait aspirer tout ce qu’elle est, ne rien en perdre. Il ferme les yeux. Ce léger parfum de violette, bonbon léger. Parisienne. Elle l’est devenue un peu sans doute malgré elle. Paris est resté accroché à sa mémoire. A sa peau. Si peu.
Il la regarde. Leurs visages à vingt centimètres l’un de l’autre. La bouche entrouverte, haletant à peine, au ralenti. Traveling. Quel chemin prendra ses lèvres ? Zoom avant. Il. Elle fait un effort de maîtrise pour ne pas commettre l’irréparable. Se laisser aller.
[…] Qu’avait-il dit ? Les machines, c’était pas son truc. Elle l’avait taquiné, lui suggérant qu’il aurait préféré qu’elle fasse aussi le café ! Non, lui avait-il répondu, sur un ton désinvolte. Le café, il n’en prenait pas. Il s’en fichait. Il préférait ce qui était fait par l’humain. Hum, alors, avait-elle conclu, en souriant, juste pour le plaisir d’un sous-entendu complice, j’ai le droit d’imaginer ce que je veux. « Absolument ». Et puis, alors qu’elle lui expliquait le fonctionnement de l’engin, à deux pas de lui, il avait poussé le trait. Elle lui avait murmuré : « que cherches-tu ? ». Il n’avait rien dit. Elle se sentait troublée par sa présence, plus que troublée. Irrésistiblement attirée par lui.
Il a pris l’initiative du tutoiement de même que celle de la bise occasionnelle, lorsque, si rarement, ils se croisent.
Il est tout près. Elle le voit prendre le temps de respirer comme s’il voulait aspirer tout ce qu’elle est, ne rien en perdre. Il ferme les yeux. Ce léger parfum de violette, bonbon léger. Parisienne. Elle l’est devenue un peu sans doute malgré elle. Paris est resté accroché à sa mémoire. A sa peau. Si peu.
Il la regarde. Leurs visages à vingt centimètres l’un de l’autre. La bouche entrouverte, haletant à peine, au ralenti. Traveling. Quel chemin prendra ses lèvres ? Zoom avant. Il. Elle fait un effort de maîtrise pour ne pas commettre l’irréparable. Se laisser aller.
[…] Qu’avait-il dit ? Les machines, c’était pas son truc. Elle l’avait taquiné, lui suggérant qu’il aurait préféré qu’elle fasse aussi le café ! Non, lui avait-il répondu, sur un ton désinvolte. Le café, il n’en prenait pas. Il s’en fichait. Il préférait ce qui était fait par l’humain. Hum, alors, avait-elle conclu, en souriant, juste pour le plaisir d’un sous-entendu complice, j’ai le droit d’imaginer ce que je veux. « Absolument ». Et puis, alors qu’elle lui expliquait le fonctionnement de l’engin, à deux pas de lui, il avait poussé le trait. Elle lui avait murmuré : « que cherches-tu ? ». Il n’avait rien dit. Elle se sentait troublée par sa présence, plus que troublée. Irrésistiblement attirée par lui.
Sam 20 Mars 2010, 19:31 par
dolce vita sur La première fois
Une violette, l'oiseau et moi
Sur ma bécane que j’enfourchais, une ballade se faisait sentir ; dans mon vieux jean élimé et troué en certains endroits, les bras nus dans un " Marcel", mes lunettes de soleil, je roulais, je roulais sans savoir ou j’allais. Le vent me fouettait le visage et j’aperçus au loin un point, un peu flou, à peine une tache. Mais je l’apercevais malgré tout et plus je me rapprochais d’elle plus elle se rapprochait. Une auto-stoppeuse avait décidé de se mettre en travers de ma route m’obligeant à m’arrêter subitement sinon mes pneus allaient être sérieusement endommagées. Une jolie brune aux taches de rousseur, petit nez retroussé, un brin sexy dans son petit haut rikiki, à damner un saint et dont le treillis taille basse laissait entrevoir un tatouage minuscule représentant une violette. Pour compléter le tout, elle était pieds nus, tenant dans sa main une paire de rangers...
Elle m’expliquait... J’écoutais attentivement et je me disais : "Je ne comprendrai jamais pourquoi ces "nanas" mettent de pareilles chaussures, machines à torture qui provoquent des ampoules". Puis elle me demanda si je pouvais l’emmener à la station la plus proche faisant office de snack-bar, boutique. Sa paire de rangers autour du cou, son petit ballot. Elle monta derrière moi. Je sentais ses bras me serrer si fort la taille que j’en avais la respiration coupée. J’avais l’impression qu’elle n’était jamais montée sur une moto, tellement elle s’accrochait. La station ne devait pas être bien loin et je la distinguais, grâce à tous ces poids lourds qui envahissaient le parking poussiéreux. Elle descendit et me proposa de boire un verre, je ne refusai pas, car je commençais à m’assécher comme le désert de l’Arizona. Gentleman, à mes heures, je lui ouvris la porte. Le grincement fit lever les yeux des chauffeurs devant leur bière, d’où pouvait s’expliquer la proéminence de leur bedaine. Elle commanda un solide petit-déjeuner et un demi pour moi. J’étais très surpris de la voir "se goinfrer", car dans mes souvenirs passés, les femmes avec qui je sortais, faisaient attention à leur ligne, mais en la regardant discrètement elle pouvait se le permettre. Une taille fine, bien proportionnée, avec de magnifiques courbes. Elle avait l’air d’une gamine, même si j’étais incapable de lui donner un âge. Pas d’alliance non plus.
Je n’avais pas besoin de lui poser de questions, car je savais déjà son prénom, le job qu’elle exerçait. Elle me fascinait et cela ne mettait pas arrivé, enfin, depuis le collège ! J’étais sur un petit nuage. Elle s’en aperçut car elle piqua un fard et scruta mes yeux, elle pouvait lire ce que je ressentais pour elle. Elle me déclara de but en blanc qu’elle avait envie de moi. Je restais perplexe et je me demandais où cela nous mènerait. Il n’y avait pas de chambre, mais je savais qu’elle avait sa petite idée, et cela m’excitait plus…
Elle me prit la main sans un mot, m’entraîna dehors, et me fit comprendre qu’il fallait reprendre la route. Nous traversâmes des champs de coquelicots et des étendues de sapin à ne plus en finir. Nous arrivâmes près d’un lac, où tout était calme, elle prit ma main dans la sienne et m’invita à nous baigner. Déjà nue. Elle n’avait pas perdu de temps. Quant à moi, j’avais gardé mon boxer, euh, un zeste de pudeur. L’eau était fraiche.
Elle commença à m’embrasser goulument sur la bouche. Puis elle descendit plus bas pour me taquiner le nombril. Je sentais dans le bas du ventre des picotements fort agréables. Puis, elle se frotta à moi et enserra ses jambes autour de ma taille. Puis soudainement elle disparut sous l’eau et passa entre mes jambes, pour s’amuser, en m’attrapant les pieds et en immergeant mon corps jusqu’au fond. Je remontai à la surface de l’eau, et ne la voyant pas, je retournais sous l’eau, j’eus beau chercher, chercher encore elle avait disparu.
Est ce que j’avais rêvé ?! Au dessus de moi, un bel oiseau au plumage violet me frôla soudainement, sans avoir peur, comme s’il me connaissait. Cette réalité était bien un rêve, un merveilleux rêve...
caressedesyeux
Elle m’expliquait... J’écoutais attentivement et je me disais : "Je ne comprendrai jamais pourquoi ces "nanas" mettent de pareilles chaussures, machines à torture qui provoquent des ampoules". Puis elle me demanda si je pouvais l’emmener à la station la plus proche faisant office de snack-bar, boutique. Sa paire de rangers autour du cou, son petit ballot. Elle monta derrière moi. Je sentais ses bras me serrer si fort la taille que j’en avais la respiration coupée. J’avais l’impression qu’elle n’était jamais montée sur une moto, tellement elle s’accrochait. La station ne devait pas être bien loin et je la distinguais, grâce à tous ces poids lourds qui envahissaient le parking poussiéreux. Elle descendit et me proposa de boire un verre, je ne refusai pas, car je commençais à m’assécher comme le désert de l’Arizona. Gentleman, à mes heures, je lui ouvris la porte. Le grincement fit lever les yeux des chauffeurs devant leur bière, d’où pouvait s’expliquer la proéminence de leur bedaine. Elle commanda un solide petit-déjeuner et un demi pour moi. J’étais très surpris de la voir "se goinfrer", car dans mes souvenirs passés, les femmes avec qui je sortais, faisaient attention à leur ligne, mais en la regardant discrètement elle pouvait se le permettre. Une taille fine, bien proportionnée, avec de magnifiques courbes. Elle avait l’air d’une gamine, même si j’étais incapable de lui donner un âge. Pas d’alliance non plus.
Je n’avais pas besoin de lui poser de questions, car je savais déjà son prénom, le job qu’elle exerçait. Elle me fascinait et cela ne mettait pas arrivé, enfin, depuis le collège ! J’étais sur un petit nuage. Elle s’en aperçut car elle piqua un fard et scruta mes yeux, elle pouvait lire ce que je ressentais pour elle. Elle me déclara de but en blanc qu’elle avait envie de moi. Je restais perplexe et je me demandais où cela nous mènerait. Il n’y avait pas de chambre, mais je savais qu’elle avait sa petite idée, et cela m’excitait plus…
Elle me prit la main sans un mot, m’entraîna dehors, et me fit comprendre qu’il fallait reprendre la route. Nous traversâmes des champs de coquelicots et des étendues de sapin à ne plus en finir. Nous arrivâmes près d’un lac, où tout était calme, elle prit ma main dans la sienne et m’invita à nous baigner. Déjà nue. Elle n’avait pas perdu de temps. Quant à moi, j’avais gardé mon boxer, euh, un zeste de pudeur. L’eau était fraiche.
Elle commença à m’embrasser goulument sur la bouche. Puis elle descendit plus bas pour me taquiner le nombril. Je sentais dans le bas du ventre des picotements fort agréables. Puis, elle se frotta à moi et enserra ses jambes autour de ma taille. Puis soudainement elle disparut sous l’eau et passa entre mes jambes, pour s’amuser, en m’attrapant les pieds et en immergeant mon corps jusqu’au fond. Je remontai à la surface de l’eau, et ne la voyant pas, je retournais sous l’eau, j’eus beau chercher, chercher encore elle avait disparu.
Est ce que j’avais rêvé ?! Au dessus de moi, un bel oiseau au plumage violet me frôla soudainement, sans avoir peur, comme s’il me connaissait. Cette réalité était bien un rêve, un merveilleux rêve...
caressedesyeux

Dim 14 Mars 2010, 15:02 par
caressedesyeux sur Parler d'amour
Réponses
Tu sais Coupdecoeur il y a des hommes bien plus agés qui ne changent pas pourtant de psychologie... Du reste, tu ne sais pas qui est décrit ici et je me permets de souhaiter qu’il ne s’agit pas d’un autoportrait malgré la signature... Les hommes décrits ici ne font montre d’aucune compassion, ils détruisent pour assouvir leurs pulsions, désirs, envie, en ne pensant qu’à leur intérêt propre, exclusivement, et la souffrance qu’ils engendrent ne provoque chez eux que jubilation malsaine, encore une fois, pas une once de compassion.
Jeu 04 Mars 2010, 06:45 par
dolce vita sur Mille choses
La jalousie
Elle s’insère en moi
Comme un poison, dans mon sang.
Elle est pleine de colère, de peur... ;
peur de te perdre
Et de sentir que tu vas m’échapper.
Mais je ferai tout ce que je peux pour te garder près de moi,
Sans t’étouffer.
Malgré touts ces hommes qui te convoitent.
Chaque jour, je lutte sans cesse
de voir ce bonheur si fragile se briser.
Et chaque jour, je te prouverai que je t’aime et t’aimerai toujours.
Car tu es une fleur "naïve"
Qu’il faut prendre soin.
Et profiter, à chaque moment, de nos vies
caressedesyeux

Dim 28 Fév 2010, 18:02 par
caressedesyeux sur Mille choses
Te seduire

L’encre de mes yeux sont si joliment cachés
Pour les deviner
Mais tu peux te retourner
Car un voile les recouvre.
Une envie de te séduire
De part une danse du ventre , j’apprendrai
Un fond de musique orientale
Tu te régales................
Je me "trémousse" comme je peux
Et tu n’as que yeux pour moi.
Sérieuse, et appliquée
J’ai très envie de "rigoler"
Mais tu es séduit malgré tout
Et même si je ne te suis pas "tienne"
Tu aimerais que je le devienne.
Sur les paumes de mes mains tatouées
Tu me fais des baisers
Sans aller plus loin.
Repue d’avoir dansé
Tu m’offres un thé à la menthe
Que tu sais si bien préparer
De délices pâtisseries accompagnent
D’un breuvage si mentholé
Et quelques carrés de douceur chocolatées
Vont nous accompagner
Car je sais que tu les aime
Merveilleuse complicité
S’est instaurer entre nous
caressedesyeux
Sam 27 Fév 2010, 16:39 par
caressedesyeux sur La séduction
Ecrire sur malgré

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