education tendre

? C’est quoi la tendresse?


La tendresse mon fils, c’est quand ton coeur s’enivre à ses mots.
La tendresse mon fils, c’est quand tes mots se libèrent à son contact.
La tendresse mon fils, c’est quand la vie t’apparait comme unique
La tendresse mon fils, c’est quand tu me souris
La tendresse mon fils, c’est quand je t’aime
La tendresse mon fils, c’est quand mes mains nous caressent
La tendresse mon fils, c’est ici, quand mon coeur, mes mots, ma vie, tes sourires, mes je t’aime, mes mains se livrent.
La tendresse mon fils, c’est ici, et c’est partout.



La marquise... une âme tendre
Sam 28 Fév 2004, 15:10 par la marquise de sade sur Un monde parfait

Mes premieres fois

Premier bisou: pendant les vacances d’été (quand j’y repense ouin ), jeune, enfin 15 ans, bon j’avoue j’avais déjà un peu de retard dans ce domaine. Donc pendant les vacances d’été aux sables d Olonne sous un lampadaire dans une petite rue mal éclairée, ce superbe blond aux yeux bleus m’a complètement fait chavirer. Il m a pris dans ses bras, mon coeur allait à 250, j’ai cru qu’il allait lâcher au moment crucial! Sa tête s’est rapprochée, ses yeux se sont fermés (pour ne pas faire trop novice j’ai fermé les miens, mais j’avoue que j’étais curieuse, et ne pas voir ce qui allait se passer me stressait un peu) et j’ai senti ses lèvres se poser sur les miennes (c’était beau ouin ), quand la bande de copain qu’on avait distancée a crié "Tony?!" (prénom de mon beau blond). Enfin... ce fut court mais intense et comme je partais chez moi le lendemain… bah notre belle histoire s’est arrêtée là content

Premier kissing sérieux cool : bon il m a bien fallu un an pour me remettre de mon premier bisou lol Donc à 17 ans, j ai rencontre Stéphane hummm Stéphane, Stéphane, Stéphane, un brun aux yeux bleus une bombeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!! On était à la patinoire avec tout un groupe d’amis et Stéphane m’a prise par la main et nous sommes sortis de la patinoire. Là, il m’a regardé et m’a embrassé. Ce fut un moment trop agréable. Si je pouvais le revivre tous les jours ça serait un vrai bonheur. Mais malheureusement, c’était le cousin d’une copine qui vivait à 500km. (Stéphane si tu lis le message, j attend ton mail lol )

Le premier câlin poussé : avec un petit copain vers 17 ans et demi. Bah en fait je ne l’aimais pas vraiment donc je ne voulais pas aller plus loin. En plus je l’ai trompé avec son meilleur ami donc j’étais pas très fière.

Premiere grand calin : là, quand j’y repense, je suis morte de rire! J’avais 18 ans et quelques mois, ça faisait 2 mois qu’on était ensemble et un soir j’ai décidé de me lancer! Pétée de rire, 3 minutes chrono lol Bah oui, je suis curieuse, donc j’avais regardé l’heure avant que ce jeune homme s’invite en moi et quand ce fut terminé, il était ravi depuis le temps qu’il attendait et moi je me disais :" si c’est ça l amour j’ai rien senti... c’est pas aussi génial qu’on le dit lol "
Donc j’en garde pas un mauvais souvenir ni un bon mais quand j’y repense maintenant, je suis morte de rire.

Et pour finir je voudrais quand même remercier ma pour avoir essuyé les larmes, pour avoir endurer mes coups de gueule, pour m’avoir attendu jusqu’à 4 heures dans ma chambre quand je faisais le mur, mais surtout pour m’avoir expliqué que la personne de mon premier grand câlin était un éjaculateur précoce et que le problème ne venait pas de moi lol
Mar 10 Fév 2004, 21:48 par pyjama sur La première fois

Pizzeria La Roma, bonsoir!

Un soir d’été, nous nous sommes retrouvés entre amis pour sortir. Nous avons entamé la soirée par un apéritif bien arrosé, à rire au bord de la piscine, à danser un peu, à discuter de choses et d’autres.
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, craquante naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.

- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.

Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !

Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?

Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.

Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.

Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.

Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.

Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience quant à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.

Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.

Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
Mar 20 Jan 2004, 23:11 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses

à Christine et Marie ....

en écho à ton message marquise, je voudrais vous transmettre les écrits de mon âme jumelle .... belle histoire, triste fin


=============================
A votre avis, devenir grâce (à cause de?) à internet, vous croyez que ça veut dire qu’internet peut changer une vie ? ;-)

Quand on vit seule dans une ville comme Paris, internet c’est une bénédiction. D’abord, pour mener une vie de débauches (vi, je sais... merci internet), et puis, un jour, suite à une annonce (... sur internet), une rencontre qui ne se passe pas comme les autres, la découverte du grand amour (oué, oué, merci internet), un déménagement à l’étranger (pour vivre avec Lui, bien sûr) et, dans la foulée, un magnifique bébé qui reste en contact étroit avec ses grands-parents grâce à... Internet !

Tout ça, ca vaut bien des milliers d’ASV pour rien, non ?!

;-)

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A la demande générale, je développe mon avis:

En été 2000, mon bureau me mute (bon d’accord, c’était un petit peu à ma demande, pffff) sur Paris où je ne connaissais absolument personne. Ceci dit, Paris quand on a 30 ans et qu’on est célibataire, ce n’est pas ce qu’il y a de pire...

Durant les quelques mois suivant mon arrivée, j’ai donc "meublé" mes soirées grâce à internet: d’abord sur des sites de tchatche et de rencontres, ensuite en organisant de nombreuses soirées avec des personnes rencontrées sur ces sites. Et puis, un jour, au bureau (bah oui, chuis accro, je vous ai dit, je me connectais même au boulot), un jeune homme se connecte sur le site de rencontres sur lequel j’étais inscrite. Par un réflexe habituel, je clique sur son profil... ouaaaaaaaaah, la photo !!!!! Ouaaaaaaah, les beaux yeux bleus ! Enfin, bref, je plonge, je drague (je sais, c po bô pour une fille de faire ça) et le soir de la rencontre fatidique, je suis là, à rougir comme une collégienne, encombrée de mes deux mains (tiens, quand est-ce qu’on m’a mis ça??) J’ose à peine le regarder, mais chaque fois que j’ose un coup d’oeil en coin, son sourire me fait craquer. Merde, c’est pourtant pas du tout mon genre de faire dans la guimauve, keski m’arrive ! Enfin, on commande un verre , on discute un peu (lui surtout, moi je bois ses paroles au détriment de mon verre de vin) et lorsqu’on se quitte sur le quai du métro, je l’enlace et je l’embrasse (ouiiiiiiiiii, j’ai osé faire ça !!!!) Je suis rentrée chez moi des étoiles plein les yeux. "C’est le plus beau, le plus gentil, le plus charmant, le plus sexy, le plus tendre, le plus plus, quoi !!!"
Mar 13 Jan 2004, 14:13 par la_tulipe_noire sur Amour internet

D'accord ?

Je me souviens d’une jeune et de sa petite fille qui marchait devant moi sur ce trottoir etroit et cabossé. La , objet initial de ma curiosité, semblait partagée entre ses pensées et l’attention qu’elle devait accorder à sa petite fille qu’elle tenait par la main.

La petite fille, elle, ne l’entendait pas du tout de cet oreille là, et souhaitait que sa ecoute attentivement ce qu’elle avait à lui dire ! Amusé, je pretais l’oreille à ce que dit alors la petite fille:
-Quand je dis "d’accord", tu dis "d’accord", d’accord ?
Et la de repondre conciliante :
-D’accord ...
Ven 28 Nov 2003, 19:35 par PetitPrince sur Un monde parfait

première fois

La toute première fois ... Ahhhhhhhhhhhh ... Patastrophe !!!!!

Oh c’est pas vraiment la première fois. C’est la première vraie copine ..... Celle qu’on dit papa je vous présente "son nom". timide

Ohhhhh, que de honte surmontée et que de cigarettes fumées (alors que je ne fume pas) pour faire comme si !!!!!! avec des bières en plus. La séduction consisterait-elle à être ce qu’on n’est pas ? Au début peut être.

Un copain qui dit : "vient manger chez nous on te présentera "son nom"", moi qui dit : non non non pas question !!!! Veux pas de ton aide.

On a sa dignité.

Et puis on se retrouve en face à table et on mange sa premiere pizza au fromage alors qu’on déteste çaaaaaa ... On est difficile.

Et puis on se dit, encore une occasion qui me passe sous le nez, mais j’ai l’habitude. On est philosophe.

Et puis on se dit, encore l’autre mariol qui va en profiter à ma place. On est défaitiste.

Et puis... et puis, sais pas pourquoi, c’est tombé sur moi. Ouaaaaaaaaaaahhhhhhh !!!!!!!!!!

Et puis, un jour, on s’est tout fait voler dans la voiture et puis et puis. Ca a finit un matin, au réveil, dans mon lit douillet, plein de bisous et pas plus promis. On couche pas la premiere fois...

Quelle belle petite histoire, plein d’amour et de promesses, la premiere fois qu’une jolie fille pose sa trousse de toilette sur mon bureau d’étudiant et qu’elle vient avec moi dans mon petit lit (c’est un grand en fait).

Ca fait tout chose, je me suis dit "merci, mon dieu" (pardon aux athées et aux agnostiques). Houalalalaaaaaa... Puis on entends parler pour la premiere fois de potions inconnus jusqu’alors, JP Gaulthier, Angel... De bestioles dénommées Dim up...

Ca changeait des espaces vectoriels de dimension finie, des projections canoniques sur des groupes quotient, des isomorphismes classiques des théorèmes de Noether (Cf. Théorie des groupes de Josette Calais)!

Alors ca sents bon jusque dans vos chemises. Ca met du Cosmance partout...

Ca aime pas vos docks marteens, ca aime Georges Clooney...

Je dis "Ca" mais ce n’est pas péjoratif, c’est un style narratif...

Et moi j’aimais pas G.Clooney, j’aimais pas tout ca et si j’aimais bien Bruce Willis c’était pas pour son Q. Je préfèrais encore Beetle Juice et Mr Bean.

Un monde compliqué se révélait a moi. Celui de l’altérité :

triste2 Comment, pas de fusion ? Pas de moi c’est toi et de toi c’est moi ? Pas de nous nous ?

bete Pas de petites étoiles autour de nous lorsqu’on fait crac crac ?

confuse Pas de ressentis identiques ?

cling Pas les memes goûts cinématographiques ?

atteint Pas envie de faire crac-crac au meme moment ?

tsur Pas envie des memes choses ?

furax Beurk, aller bouffer au couic !!!!!!!

snif Comment je suis de la campagne et toi de la ville ? Meuh non ?

ouin Comment je m’habille pas en costume !!!!!!

passur2 Comment ca ??????

chut Comment tu parles de ma bistouquette a tes copines !!!!!!

oh Comment ca tu mattes les mecs !!!!!!

confuse Comment ca, comment ca ???

Et puis on s’interroge, on accepte... Premières incompréhensions, premiers pleurs. Suivi d’un cortèges pas fameux, on est sur le déclin.

Et puis arrive la fin. Un jour lorsque il y a plus d’eau que de gaz ... dans le gaz.

L’amour c’est ce que chacun amène, deux rêves qui se confrontent. Deux visions qui s’affrontent, une bagarre qui séparerait si les deux êtres ne s’aimaient... Et encore faut t-il qu’ils s’aimassent !!!!!

Bon en tout cas après une rupture, on a l’air con a écouter du Cabrel je vous jure grin.

(cf. J’ai croisé le mendiant qui a perdu sa route, dans son manteau de pluie je lui ressemble un peu, et puis j’ai ton image planté dans les yeux etc.)


* Epilogue :

Merci a toi Coco de m’avoir appris ce que les mots "connasse" et "naif" voulais dire !!!!!!!!!!!!!!!

Merci de m’avoir appris que l’acharnement thérapeutique pour sauver une relation ne sert à rien.

Merci de m’avoir appris qu’on ne récolte que ce que l’on sème et qu’on ne supporte des autres que ce qu’on leur laisse nous faire.

Enfin, merci d’être partie.


* Morale de l’histoire :

La haine n’est jamais bien loin de l’amour.


* PS :

Pardon pour cette plainte narcissique, mais ca fait du bien.


* Bibliographie :

Comment rater sa vie en 11 leçons. D.Noguez (2002) chez Manuel Payot.
Mer 19 Nov 2003, 00:45 par Calimero,Steph & Cie sur La première fois

Re: auteur inconnu

odyyyyy a écrit:
Que demander de plus à Dieu qu’un enfant qui soit votre semblable et qui garde à jamais l’empreinte de votre amour



un enfant qui soit mon semblable? Choqué

Tant de parents tentent de faire une copie d’eux-même sur leurs enfants, de leur offrir tout, surtout, tout ce qu’ils n’ont jamais pu avoir.. parfois même si ce n’est pas ce que l’enfant voudrait ... Qu’il soit mon semblable, non, je ne le veux pas, qu’il soit simplement lui-même c’est tellement mieux...

Par contre, j’espère que mon amour lui donnera la force et le plaisir d’accepter ce qu’il est et de le vivre pleinement chaque seconde ...

La marquise.. ..et oui! qui l’eut cru ! siffle
Jeu 06 Nov 2003, 08:36 par la marquise de sade sur Citations
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