Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur marquise - Page 3 sur 11
un rayon, une pensée

toi qui pensais visiter, ta marquise préférée
en tout incognito, glisser depuis le haut
et s’être fait répérer un peu plus bas
par de sympatiques messages sublime haut :timide:
mais je te raconterai tout bas...

Sam 22 Mai 2004, 23:37 par
soleye sur L'amour en vrac
re: Bleus ... et gris
Marquise, vos yeux mouillés me font mourir d’amour
Pour un enfant si triste de ne pouvoir partir
Vos yeux mouillés Marquise d’amour me font mourir
Pour ce fiston privé de sa sortie du jour
Le temps qui passe efface, les blessures cicatrisent
L’enfant qui a grandi a sans doute oublié
Les larmes de la Marquise ont fini de couler
D’amour vos yeux séchés me font mourir, Marquise.
Gavroche, pcc Molière
Pour un enfant si triste de ne pouvoir partir
Vos yeux mouillés Marquise d’amour me font mourir
Pour ce fiston privé de sa sortie du jour
Le temps qui passe efface, les blessures cicatrisent
L’enfant qui a grandi a sans doute oublié
Les larmes de la Marquise ont fini de couler
D’amour vos yeux séchés me font mourir, Marquise.
Gavroche, pcc Molière

Jeu 20 Mai 2004, 15:46 par
gavroche sur Un monde parfait
La réponse de Mout
la marquise de sade a écrit: |
euh............... ![]() Voyons voir.... ![]() " Quelle chose la plus incongrue vous a le plus séduit chez une femme/ un homme? " A vos plumes ![]() La marquise .. Julienne Lepers provisoire |
Si c’est vraiment la plus incongrue qui est demandée je dirais....


Pour un inconnu, comme ça, au premier regard, je dirais sa coupe de cheveux. On en apprend pas mal, l’air de rien, sur la façon dont est coiffée une personne...
Pour un intime, ça peut être un grain de beauté non révélé au premier regard et caché


Jeu 13 Mai 2004, 17:15 par
Mout sur La séduction
Le premier.
Qui sera le premier sur qui tu poseras tes grands yeux verts?
A qui offriras-tu tes lèvres charnues et fraîches?
Comment sera celui qui te fera monter le rouge aux joues?
Lequel sera le premier à passer ses doigts dans tes longues boucles noires?
Qui sera l’ami avec qui tu referas le monde allongée dans l’herbe tendre?
Qui sera le premier à s’enivrer de tes "je t’aime" ?
A qui permettras-tu de glisser lentement ses doigts sur ta peau?
Comment sera celui qui t’ouvrira aux délices de la chair?
Lequel saura te prendre dans ses bras et te protéger?
Qui sera le salaud à remplir tes yeux de larmes pour la première fois?
Qui sera le premier avec qui tu franchiras la vie?
A qui donneras-tu ton ventre pour s’arrondir d’un bébé?
Comment sera celui qui te fera rêver toujours comme aux premiers instants?
Lequel verra le temps avancer sur ton corps.
Quelle sera ta vie petite fille assise au fond de ce train?
La marquise ... visionnaire
A qui offriras-tu tes lèvres charnues et fraîches?
Comment sera celui qui te fera monter le rouge aux joues?
Lequel sera le premier à passer ses doigts dans tes longues boucles noires?
Qui sera l’ami avec qui tu referas le monde allongée dans l’herbe tendre?
Qui sera le premier à s’enivrer de tes "je t’aime" ?
A qui permettras-tu de glisser lentement ses doigts sur ta peau?
Comment sera celui qui t’ouvrira aux délices de la chair?
Lequel saura te prendre dans ses bras et te protéger?
Qui sera le salaud à remplir tes yeux de larmes pour la première fois?
Qui sera le premier avec qui tu franchiras la vie?
A qui donneras-tu ton ventre pour s’arrondir d’un bébé?
Comment sera celui qui te fera rêver toujours comme aux premiers instants?
Lequel verra le temps avancer sur ton corps.
Quelle sera ta vie petite fille assise au fond de ce train?
La marquise ... visionnaire

Lun 10 Mai 2004, 10:02 par
la marquise de sade sur La première fois
L'effet texto...
En regardant par la fenêtre, elle pouvait voir la paleur de la lune se meler aux néons de la ville. Les lumières s’éclataient comme un kaléidoscope au travers de la pluie qui ruisselait sur la vitre au-dessus de son lit.
Elle le tenait entre ses bras, passait lentement ses doigts sur lui. Il s’etait endormi juste après lui avoir dit : J’aimerais tant pouvoir rattrapper mes absences. Tes mots, ta voix, tes rires, tes soupirs me manquent...
Elle frissonait, elle attendait qu’à nouveau il vibre, qu’une nouvelle fois, il la fasse fermer les yeux et quitter la réalité. Une fois encore le sentir vibrer contre sa peau nue, le sentir bouger entre ses mains, ressentir toujours cet emoi, monter ce désir.
Son attente l’avait plongé dans ses pensées, elle était ailleurs et ne s’était pas aperçue que les frissons qui parcouraient son corps à cet instant étaient provoqués par la douceur de ses mains glissant sur sa peau. Elle n’avait pas remarqué qu’elle l’avait laissé descendre entre ses seins, jusque sur son ventre. Elle n’avait pas senti que ses doigts caressaient l’intérieur de ses cuisses. Elle ne s’était pas rendue compte qu’insonsciemment sa bouche s’était entrouverte à la recherche d’un baiser. Elle n’avait pas vu son corps se cambrer dans l’attente d’une étreinte.
Elle attendait une nouvelle fois qu’il vibre, à la réception de son texto, que sur son ventre son téléphone descende, comme sa langue l’aurait fait, que les mouvements saccadés de l’appareil la fasse jouir.
Qu’encore une fois, il l’apella.
La marquise... standardiste
Elle le tenait entre ses bras, passait lentement ses doigts sur lui. Il s’etait endormi juste après lui avoir dit : J’aimerais tant pouvoir rattrapper mes absences. Tes mots, ta voix, tes rires, tes soupirs me manquent...
Elle frissonait, elle attendait qu’à nouveau il vibre, qu’une nouvelle fois, il la fasse fermer les yeux et quitter la réalité. Une fois encore le sentir vibrer contre sa peau nue, le sentir bouger entre ses mains, ressentir toujours cet emoi, monter ce désir.
Son attente l’avait plongé dans ses pensées, elle était ailleurs et ne s’était pas aperçue que les frissons qui parcouraient son corps à cet instant étaient provoqués par la douceur de ses mains glissant sur sa peau. Elle n’avait pas remarqué qu’elle l’avait laissé descendre entre ses seins, jusque sur son ventre. Elle n’avait pas senti que ses doigts caressaient l’intérieur de ses cuisses. Elle ne s’était pas rendue compte qu’insonsciemment sa bouche s’était entrouverte à la recherche d’un baiser. Elle n’avait pas vu son corps se cambrer dans l’attente d’une étreinte.
Elle attendait une nouvelle fois qu’il vibre, à la réception de son texto, que sur son ventre son téléphone descende, comme sa langue l’aurait fait, que les mouvements saccadés de l’appareil la fasse jouir.
Qu’encore une fois, il l’apella.
La marquise... standardiste

Lun 10 Mai 2004, 09:39 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Lundi soir, quelque part sur terre...
L’appartement est froid, la pièce est sombre. Un vaisseau de lumière provenant de la rue ouvre un couloir sur le carrelage. Le sapin a perdu ses milles reflets dorés, les lumières se sont tues, la neige plastifiée a gelé la magie de ses rêves de petite fille.
Luna, la petite chatte espiègle, est assise sur le sol chaud. Elle la regarde. Un curieux scintillement glisse le long de sa joue pour mourir dans son cou.
Quel étrange phénomène que ses reflets humides qui jaillissent de ses yeux.
Sa respiration est courte, sa poitrine se soulève bizarrement, secouée de spasmes. Elle s’est recroquevillée sur elle-même, ses mains serrent un petit morceau de papier cotonné...
Ses yeux fixent la fumée frivole d’une cigarette qui se consumme seule dans le cendrier...
Une cigarette qui part en fumée...
Un rêve qui se consumme ...
Son visage est de cire, ses traits sont figés. Où est-elle?
Luna bondit sur le divan, glisse son museau entre ses doigts. Elle ne réagit pas... Elle s’installe sur sa hanche, attendant un mouvement, une caresse, un regard, ...
Sa peau est froide, ses mains inertes, elle est absente ... lui aussi.
Il n’est plus là.
Sa chaise est restée vide au diner. Elle n’a pas allumé la bougie sur la table ce soir. Son assiette est toujours là aussi, vide. Le plat est intact. Un verre de vin blanc porte la trace rosée de ses lèvres.
Il n’est pas là.
Ses joues ressemblent aux fenêtres lorsqu’il pleut ; de petites rivières les parcourent...
Il ne viendra plus.
La marquise... (janvier 2004)
Luna, la petite chatte espiègle, est assise sur le sol chaud. Elle la regarde. Un curieux scintillement glisse le long de sa joue pour mourir dans son cou.
Quel étrange phénomène que ses reflets humides qui jaillissent de ses yeux.
Sa respiration est courte, sa poitrine se soulève bizarrement, secouée de spasmes. Elle s’est recroquevillée sur elle-même, ses mains serrent un petit morceau de papier cotonné...
Ses yeux fixent la fumée frivole d’une cigarette qui se consumme seule dans le cendrier...
Une cigarette qui part en fumée...
Un rêve qui se consumme ...
Son visage est de cire, ses traits sont figés. Où est-elle?
Luna bondit sur le divan, glisse son museau entre ses doigts. Elle ne réagit pas... Elle s’installe sur sa hanche, attendant un mouvement, une caresse, un regard, ...
Sa peau est froide, ses mains inertes, elle est absente ... lui aussi.
Il n’est plus là.
Sa chaise est restée vide au diner. Elle n’a pas allumé la bougie sur la table ce soir. Son assiette est toujours là aussi, vide. Le plat est intact. Un verre de vin blanc porte la trace rosée de ses lèvres.
Il n’est pas là.
Ses joues ressemblent aux fenêtres lorsqu’il pleut ; de petites rivières les parcourent...
Il ne viendra plus.
La marquise... (janvier 2004)
Jeu 06 Mai 2004, 12:05 par
la marquise de sade sur La vie à deux
Les gars de 1974
Pour prendre la suite de la Tulipe et de Petit Prince , mais sur les gars bien entendu
Les gars de 1974
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
Ceux qui s’éclataient avec de Caunes
En attendant le 20h et les problèmes d’ozone
Ceux qui ont vu s’effrondrer le mur
Espérer un nouveau futur
Ceux qui voulaient refaire le monde
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont maquillé leurs yeux
Comme Robert, ébouriffés leurs cheveux
Ceux qui chantaient "Boys don’t cry"
Les poings serrés, le pantalon étroit
Ceux qui, cachés, fumaient un joint
Derrière les chevalets de la classe de dessin
Ceux qui à la sortie du lycée m’attendaient sur leur mob
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont hurlé devant Tiananmen
Quand le droit laissait place à la haine
Ceux qui se sont pris pour Verlaine
Debout sur les tables "ho capitaine, mon capitaine"
Ceux qui disaient "Tu vas bien?"
Sur les Inconnus et leur refrain
Ceux qui s’appelaient
François, Vincent ou bien Tony,
Nicolas, Frédéric, Daniel, Stéphan.
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
La Marquise... fille de 1974

Les gars de 1974
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
Ceux qui s’éclataient avec de Caunes
En attendant le 20h et les problèmes d’ozone
Ceux qui ont vu s’effrondrer le mur
Espérer un nouveau futur
Ceux qui voulaient refaire le monde
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont maquillé leurs yeux
Comme Robert, ébouriffés leurs cheveux
Ceux qui chantaient "Boys don’t cry"
Les poings serrés, le pantalon étroit
Ceux qui, cachés, fumaient un joint
Derrière les chevalets de la classe de dessin
Ceux qui à la sortie du lycée m’attendaient sur leur mob
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui ont hurlé devant Tiananmen
Quand le droit laissait place à la haine
Ceux qui se sont pris pour Verlaine
Debout sur les tables "ho capitaine, mon capitaine"
Ceux qui disaient "Tu vas bien?"
Sur les Inconnus et leur refrain
Ceux qui s’appelaient
François, Vincent ou bien Tony,
Nicolas, Frédéric, Daniel, Stéphan.
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Les gars de 1974 ont trente ans lalala
Ceux qui rêvaient d’apnée en grandes eaux
Ceux qui dansaient sur la bande de Bono
La Marquise... fille de 1974

Sam 01 Mai 2004, 15:48 par
la marquise de sade sur Citations
Idéaliste et optimiste
Sois le bienvenu Gothik,
Le monde est fait d’une multitude de personnalités, d’avis, de qualités et de défauts. C’est pour cela que l’humanité est si fascinante. Je n’ai jamais trouvé TOUS les hommes menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels, ni TOUTES les femmes perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. Certains et certaines ont partiellement ces défauts, consciemment ou inconsciemment, toute leur vie ou simplement à un moment bien précis. Effectivement, je ne peux pas savoir comment je serai dans l’avenir, mais je peux supposer que j’aurai toujours suffisamment d’amour propre pour ne pas me munir de défauts si excécrables que plusieurs de ceux précités.
Quand à mes douleurs amoureuses... je te retournerai ta formule "comment peux-tu te permettre" de me dire ça sans me connaître... Les amours "folies" j’en ai vécus, des plus beaux, des plus intenses aux plus ravageurs, aux plus destructeurs. J’en ai souffert, j’en ai fait souffrir et c’est encore comme cela au présent et le sera sans doute dans le futur. L’amour est un sentiment violent, qui n’est pas toujours partagé ou qui ne peut pas toujours être vécu comme on le souhaiterait. Cela n’est jamais une excuse pour faire mal à l’autre. Je ne suis pas partisante du "je souffre, pas de raison que toi tu t’en tires comme ça". D’ailleurs je te conseille vivement de lire d’autres de mes écrits et tu pourras constater que moi aussi j’ai mes plaies, que moi aussi, j’ai parfois du mal de contenir mes larmes ou ma révolte quand celui qui fait vibrer mon coeur n’est pas à mes côtés et que ma légèreté est aussi un moyen pour ne pas pleurer toute une vie sur un échec...
"Carpe diem" est ma devise. Comme je l’ai déjà dit, une vie, on n’en a qu’une et je suis bien décidée à la vivre intensément de la manière la plus sereine, la plus complète, la plus jolie même si pour y arriver mon coeur doit encore se briser mille fois...
La marquise de Sade.
Le monde est fait d’une multitude de personnalités, d’avis, de qualités et de défauts. C’est pour cela que l’humanité est si fascinante. Je n’ai jamais trouvé TOUS les hommes menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels, ni TOUTES les femmes perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. Certains et certaines ont partiellement ces défauts, consciemment ou inconsciemment, toute leur vie ou simplement à un moment bien précis. Effectivement, je ne peux pas savoir comment je serai dans l’avenir, mais je peux supposer que j’aurai toujours suffisamment d’amour propre pour ne pas me munir de défauts si excécrables que plusieurs de ceux précités.
Quand à mes douleurs amoureuses... je te retournerai ta formule "comment peux-tu te permettre" de me dire ça sans me connaître... Les amours "folies" j’en ai vécus, des plus beaux, des plus intenses aux plus ravageurs, aux plus destructeurs. J’en ai souffert, j’en ai fait souffrir et c’est encore comme cela au présent et le sera sans doute dans le futur. L’amour est un sentiment violent, qui n’est pas toujours partagé ou qui ne peut pas toujours être vécu comme on le souhaiterait. Cela n’est jamais une excuse pour faire mal à l’autre. Je ne suis pas partisante du "je souffre, pas de raison que toi tu t’en tires comme ça". D’ailleurs je te conseille vivement de lire d’autres de mes écrits et tu pourras constater que moi aussi j’ai mes plaies, que moi aussi, j’ai parfois du mal de contenir mes larmes ou ma révolte quand celui qui fait vibrer mon coeur n’est pas à mes côtés et que ma légèreté est aussi un moyen pour ne pas pleurer toute une vie sur un échec...
"Carpe diem" est ma devise. Comme je l’ai déjà dit, une vie, on n’en a qu’une et je suis bien décidée à la vivre intensément de la manière la plus sereine, la plus complète, la plus jolie même si pour y arriver mon coeur doit encore se briser mille fois...
La marquise de Sade.
Jeu 22 Avril 2004, 15:39 par
la marquise de sade sur Citations
Réponse
Bonjour,
Petit Prince, Marquise de Sade, comment pouvez vous vous permettre de tourner en dérision un si beau texte, si vrai !
Vous regardez vous réellement en face pour croire échapper à ces mots qui nous caractérisent tous !
Il est vrai que ce matin peut-être, tu n’es pas superficielle etc...mais demain, quand tu en auras l’occasion, quand un amour de folie frappera à ta porte, quand les larmes de la souffrance de la vie se mettront à couler, comment réagiras-tu ? Feras-tu souffrir quelqu’un ? où n’as-tu jamais fait pleurer quelqu’un qui aurait pu dire que tu es perfide, vaniteuse etc...
Petit Prince, Marquise de Sade, comment pouvez vous vous permettre de tourner en dérision un si beau texte, si vrai !
Vous regardez vous réellement en face pour croire échapper à ces mots qui nous caractérisent tous !
Il est vrai que ce matin peut-être, tu n’es pas superficielle etc...mais demain, quand tu en auras l’occasion, quand un amour de folie frappera à ta porte, quand les larmes de la souffrance de la vie se mettront à couler, comment réagiras-tu ? Feras-tu souffrir quelqu’un ? où n’as-tu jamais fait pleurer quelqu’un qui aurait pu dire que tu es perfide, vaniteuse etc...
Un bouquet de pensées pour ton anniversaire
Au détour d’un délire,
Au coin d’une musique,
Doucement nous avons fait connaissance.
Au milieu de la foule d’un salon,
Au milieu de la fenêtre d’un message privé,
Peu à peu nous nous sommes apprivoisés.
Par mails interposés,
Par coups de téléphone,
Lentement nous nous sommes confiés.
Par poèmes clairement avoués
Par sous-entendus anodins
Immanquablement, nous nous sommes attachés.
Un bouquet de roses pour tes idées moroses,
Un bouquet d’oeillets pour tes jours tristounets,
Un bouquet de coquelicots pour soulager tes sanglots
Un bouquet de bleuets pour quand tu restes muet
Un bouquet de jonquilles pour adoucir tes nuits
Un bouquet de lys parce que ce sont ceux de la marquise
Un bouquet de tulipes...noires pour celui dont les mots m’arrachent les tripes.
Un bouquet de pensées pour ne jamais s’oublier
La marquise... livreuse de fleurs
Au coin d’une musique,
Doucement nous avons fait connaissance.
Au milieu de la foule d’un salon,
Au milieu de la fenêtre d’un message privé,
Peu à peu nous nous sommes apprivoisés.
Par mails interposés,
Par coups de téléphone,
Lentement nous nous sommes confiés.
Par poèmes clairement avoués
Par sous-entendus anodins
Immanquablement, nous nous sommes attachés.
Un bouquet de roses pour tes idées moroses,
Un bouquet d’oeillets pour tes jours tristounets,
Un bouquet de coquelicots pour soulager tes sanglots
Un bouquet de bleuets pour quand tu restes muet
Un bouquet de jonquilles pour adoucir tes nuits
Un bouquet de lys parce que ce sont ceux de la marquise
Un bouquet de tulipes...noires pour celui dont les mots m’arrachent les tripes.
Un bouquet de pensées pour ne jamais s’oublier
La marquise... livreuse de fleurs

Dim 18 Avril 2004, 21:22 par
la marquise de sade sur Un monde parfait
Dans ton ombre
En ce jour si spécial pour toi
Où je sais que tes démons vont frapper
Plus fort encore contre ton coeur blessé
Je reste là, dans l’ombre à tes côtés.
Comment te dire ce que je ressens
Laisser parler mon coeur, donner mes sentiments
Ne pas te mentir, prendre mon temps.
En ce jour si spécial pour toi
Où tes blessures vont surgir une nouvelle fois
Laissant dans ton esprit un gout de trépas
Je reste dans l’ombre, près de toi.
Comment te décrire mon attachement
Trouver les mots justes, peut-être pas ceux que tu attends
Ne pas te blesser, être ton médicament
En ce jour si spécial pour toi
Où ta honte va envahir une nouvelle fois ta vie
Te suggerant d’entrer à tout jamais dans la nuit
Je reste là, dans l’ombre de ton huis.
Comment te faire comprendre que tu es important
Rétablir notre confiance d’antan
Ne pas me fuir, accepter cet envoutement
En ce jour si spécial pour toi
Où ton amertume va laisser mon mail vide
T’ordonnant de ne pas y glisser des soupirs avides
Je reste dans l’ombre de ton coeur aride.
Comment t’ecrire que tu es mon île
Sous ta noirceur et ton air fragile
Ne pas craindre ce jour d’avril
La marquise...
Où je sais que tes démons vont frapper
Plus fort encore contre ton coeur blessé
Je reste là, dans l’ombre à tes côtés.
Comment te dire ce que je ressens
Laisser parler mon coeur, donner mes sentiments
Ne pas te mentir, prendre mon temps.
En ce jour si spécial pour toi
Où tes blessures vont surgir une nouvelle fois
Laissant dans ton esprit un gout de trépas
Je reste dans l’ombre, près de toi.
Comment te décrire mon attachement
Trouver les mots justes, peut-être pas ceux que tu attends
Ne pas te blesser, être ton médicament
En ce jour si spécial pour toi
Où ta honte va envahir une nouvelle fois ta vie
Te suggerant d’entrer à tout jamais dans la nuit
Je reste là, dans l’ombre de ton huis.
Comment te faire comprendre que tu es important
Rétablir notre confiance d’antan
Ne pas me fuir, accepter cet envoutement
En ce jour si spécial pour toi
Où ton amertume va laisser mon mail vide
T’ordonnant de ne pas y glisser des soupirs avides
Je reste dans l’ombre de ton coeur aride.
Comment t’ecrire que tu es mon île
Sous ta noirceur et ton air fragile
Ne pas craindre ce jour d’avril
La marquise...
Dim 18 Avril 2004, 20:02 par
la marquise de sade sur Amour internet
De leur amour je suis digne ...
Il la tient, la retient,
Il s’use et s’abuse,
Il l’aime, la parsème,
Il la tend, entreprend…
…
Elle le traîne et l’emmène,
Elle s’entraîne et le sème,
Elle le guide, le déride,
Elle l’accepte, l’intercepte…
…
Elles la tuent, mettent à nue,
Elles la brûlent et ululent,
Elles la noient et aboient,
Elles la fument, se parfument…
…
Ils se mentent, se défendent,
Ils se tentent, se pourfendent,
Ils s’emportent, se déportent,
Ils se battent, se débattent…
…
Ils vivent au jour le jour,
Se connaissent depuis toujours…
Ils se croisent sur le chemin,
Se délassent un beau matin…
…
On lui en veut
De n’avoir plus de dieux…
On lui en veut
De vivre dans les cieux…
On lui en veut
D’avoir un corps…
On lui en veut
De ne faire d’efforts…
…
Moi je l’admire
Cette Marquise exquise
Qui du haut de son trône
Fait naître mon prône…
Il s’use et s’abuse,
Il l’aime, la parsème,
Il la tend, entreprend…
…
Elle le traîne et l’emmène,
Elle s’entraîne et le sème,
Elle le guide, le déride,
Elle l’accepte, l’intercepte…
…
Elles la tuent, mettent à nue,
Elles la brûlent et ululent,
Elles la noient et aboient,
Elles la fument, se parfument…
…
Ils se mentent, se défendent,
Ils se tentent, se pourfendent,
Ils s’emportent, se déportent,
Ils se battent, se débattent…
…
Ils vivent au jour le jour,
Se connaissent depuis toujours…
Ils se croisent sur le chemin,
Se délassent un beau matin…
…
On lui en veut
De n’avoir plus de dieux…
On lui en veut
De vivre dans les cieux…
On lui en veut
D’avoir un corps…
On lui en veut
De ne faire d’efforts…
…
Moi je l’admire
Cette Marquise exquise
Qui du haut de son trône
Fait naître mon prône…
Jeu 15 Avril 2004, 14:28 par
Rose sur Les liaisons sulfureuses
Aux frustrées et aux mal baisées
Aux frustrées et aux mal baisées,
Qui du haut de leur morale,
Me jugent et me mènent à mal
Ecoutez ces quelques mots
Rougissez, outrez-vous et appelez-moi nympho
Etes-vous plus heureuse le soir quand seules dans votre lit
Les traces de l’âge sur votre corps décati
Vous vous endormez en maudissant ces belles salopes
Qui sans vergogne vous volent vos potes
Quand moi je m’endors dans les bras d’un inconnu
Les cheveux en bataille et le corps repu?
Votre vie est-elle mieux remplie
Quand vous sommeillez auprès de votre ami
L’étouffant dans votre morosité
Et vos habitudes de femmes bien rangées
Quand je rigole, partant à mille lieux
Emportant avec moi mon amant ressuscité sous mes feux?
Vous épanouissez-vous davantage
Quand votre esprit se torture d’être sage
Pour vous consoler me salir
Quand à vos amis vous tentez de médire?
En eux vous n’éveillez que l’envie
D’un jour encore connaître ces folies
Baiser, sauter, sucer vous choque
Habituez-vous encore à mes électrochocs
Courrez prévenir votre cours
Que la marquise se lance dans les grands discours
Amenez-les, je n’attends que ça
Je saurai les convaincre de mon combat
Pas un ne doutera entre mes mains
Que si j’ai choisi ce chemin
Ce n’est pas par dépit ou vengeance
Juste pour fuir ces frustrées de la bienséance
Qui par mesquinerie et jalousie
Oublient simplement qu’on n’a qu’une vie
De l’amour je ne connais que les prémices
Je suis bien décidée à en goûter tous les délices
Aimer une heure ou toute une éternité
Quelle est la différence puisque tous m’auront passionnée
Chacun est unique, ils comblent mes rêves à outrance
A deux nous aurons partagé un morceau de vie intense
Si la légèreté est synonyme de bêtise
Mes paroles ne sont que sottises
Quelques-uns auront souri
Se souvenant de ce temps où rien n’était si pourri
D’autres n’auront rien compris
Et retourneront à leur mépris
Sur ces quelques vers qui vous blessent
Je m’en retourne à ce que vous appelez des faiblesses
Profiter de ces messieurs
Leur proposer mes jeux
Eux déceleront entre mes lignes
Que de leur amour je suis digne
La marquise... torrent de charme...
Qui du haut de leur morale,
Me jugent et me mènent à mal
Ecoutez ces quelques mots
Rougissez, outrez-vous et appelez-moi nympho
Etes-vous plus heureuse le soir quand seules dans votre lit
Les traces de l’âge sur votre corps décati
Vous vous endormez en maudissant ces belles salopes
Qui sans vergogne vous volent vos potes
Quand moi je m’endors dans les bras d’un inconnu
Les cheveux en bataille et le corps repu?
Votre vie est-elle mieux remplie
Quand vous sommeillez auprès de votre ami
L’étouffant dans votre morosité
Et vos habitudes de femmes bien rangées
Quand je rigole, partant à mille lieux
Emportant avec moi mon amant ressuscité sous mes feux?
Vous épanouissez-vous davantage
Quand votre esprit se torture d’être sage
Pour vous consoler me salir
Quand à vos amis vous tentez de médire?
En eux vous n’éveillez que l’envie
D’un jour encore connaître ces folies
Baiser, sauter, sucer vous choque
Habituez-vous encore à mes électrochocs
Courrez prévenir votre cours
Que la marquise se lance dans les grands discours
Amenez-les, je n’attends que ça
Je saurai les convaincre de mon combat
Pas un ne doutera entre mes mains
Que si j’ai choisi ce chemin
Ce n’est pas par dépit ou vengeance
Juste pour fuir ces frustrées de la bienséance
Qui par mesquinerie et jalousie
Oublient simplement qu’on n’a qu’une vie
De l’amour je ne connais que les prémices
Je suis bien décidée à en goûter tous les délices
Aimer une heure ou toute une éternité
Quelle est la différence puisque tous m’auront passionnée
Chacun est unique, ils comblent mes rêves à outrance
A deux nous aurons partagé un morceau de vie intense
Si la légèreté est synonyme de bêtise
Mes paroles ne sont que sottises
Quelques-uns auront souri
Se souvenant de ce temps où rien n’était si pourri
D’autres n’auront rien compris
Et retourneront à leur mépris
Sur ces quelques vers qui vous blessent
Je m’en retourne à ce que vous appelez des faiblesses
Profiter de ces messieurs
Leur proposer mes jeux
Eux déceleront entre mes lignes
Que de leur amour je suis digne
La marquise... torrent de charme...

Mer 14 Avril 2004, 17:48 par
la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses
Coule la vie
La vie est tranquille ces temps-ci, les jolis posts d’Ariel viennent apporter un peu de fraicheur, qui a l’heur de plaire à Loyd puisque lui aussi nous offre ses mots et pensées.
Notre tendre et sulfureuse marquise de sade est toujours fidèle aux posts, révéllée enfin sous son qualificatif le plus seyant : Torrent de Charme.
On est bien, mais alors qu’est ce qu’on est bien !
Notre tendre et sulfureuse marquise de sade est toujours fidèle aux posts, révéllée enfin sous son qualificatif le plus seyant : Torrent de Charme.
On est bien, mais alors qu’est ce qu’on est bien !
Mer 14 Avril 2004, 08:30 par
PetitPrince sur Edito
Je ne pleure pas... je souris
Ariel a écrit: |
le Bonheur, c’est tout ce qui arrive entre deux emmerdes. |
Une de nos connaissances communes m’aidera à te répondre ...
"Le bonheur c est pas grand chose, juste du chagrin qui se repose." (Leo Ferre.)
Mais je pense que le chagrin est une belle chose, qui permet souvent de trouver en soi ce que l’on croyait perdu ou inexistant, qui permet de voir que nous sommes humains.
Et entre ces périodes de lucidité, il y a le bonheur, le moment où l’on perd tout contact avec la réalité, où nos rêves la remplacent, où le monde n’existe plus.
La marquise... hors réalité
Mar 13 Avril 2004, 15:38 par
la marquise de sade sur Citations
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