Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur matin - Page 9 sur 18
Avant que le désespoir ne l'emporte...
Un jour elle partira
Quand ?
Elle ne le sait pas
Pourtant elle aime la vie
Un peu trop peut être
Mais ses chagrins lui pèsent
Alors le jour venu
Elle ira rejoindre
Celle qui lui manque
Elle a tant à donner
Mais le monde n’a pas besoin d’elle
Chacun pour soi
Cela, elle l’a compris
Pendant tant d’années
Elle a donné à un homme sans compter
Mais lui n’avait qu’un désir
Qu’elle soit Sa chose
Elle a fini par étouffer
Un matin elle a décidé
De vivre seule
Pour se sentir libre
Sur le chemin de sa vie
Elle a rencontré un homme
Avec lequel elle a partagé
Des moments coquins
Sa seule erreur
C’est de s’être attaché à lui.
Marie
Quand ?
Elle ne le sait pas
Pourtant elle aime la vie
Un peu trop peut être
Mais ses chagrins lui pèsent
Alors le jour venu
Elle ira rejoindre
Celle qui lui manque
Elle a tant à donner
Mais le monde n’a pas besoin d’elle
Chacun pour soi
Cela, elle l’a compris
Pendant tant d’années
Elle a donné à un homme sans compter
Mais lui n’avait qu’un désir
Qu’elle soit Sa chose
Elle a fini par étouffer
Un matin elle a décidé
De vivre seule
Pour se sentir libre
Sur le chemin de sa vie
Elle a rencontré un homme
Avec lequel elle a partagé
Des moments coquins
Sa seule erreur
C’est de s’être attaché à lui.
Marie
Jeu 29 Mars 2007, 17:36 par
Satine sur Parler d'amour
Suite
C’était un très beau coq, Roi de la basse-cour
Mais seules des poules passives se laissaient faire la cour
Ensuite il ergotait sur ces rapports fugaces
Et chantait à tue-tête qu’il était efficace…
Il était un lapin : l’amour dés le matin
Innocent Don Juan, après, c’était la fin !
Finalement tout seul, en risque de famine
Oubliant de manger, obsédé de lapine…
Un ours solitaire, qui vit en vieux garçon
S’il approche une femelle, il la traite sans façon
Dés qu’ayant copulé et sa Belle repartie
Il reprend son chemin, sans problème : c’est sa vie…
C’était un faux-bourdon, la ruche le nourrissait
Lui était en attente de pouvoir convoler
Après le vol nuptial, et une fois fécondée
La Reine partie, il mourait : c’était sa destinée…
..........
Mais seules des poules passives se laissaient faire la cour
Ensuite il ergotait sur ces rapports fugaces
Et chantait à tue-tête qu’il était efficace…
Il était un lapin : l’amour dés le matin
Innocent Don Juan, après, c’était la fin !
Finalement tout seul, en risque de famine
Oubliant de manger, obsédé de lapine…
Un ours solitaire, qui vit en vieux garçon
S’il approche une femelle, il la traite sans façon
Dés qu’ayant copulé et sa Belle repartie
Il reprend son chemin, sans problème : c’est sa vie…
C’était un faux-bourdon, la ruche le nourrissait
Lui était en attente de pouvoir convoler
Après le vol nuptial, et une fois fécondée
La Reine partie, il mourait : c’était sa destinée…
..........
Jeu 08 Fév 2007, 16:07 par
jan goure sur Histoires d'amour
Florentine
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, tu ressemblais à un lys posé dans un vase de porcelaine. Florentine dévêtue de ta courte robe, légère, fleurie d’étoiles tombées du ciel tu me rappelais l’océan plein de rage et d’écume un matin d’automne. Tu me faisais penser à de la guimauve, fondante et délicieuse Florentine.
Souviens-toi, Florentine, de toutes nos nuits où nos rêves étaient peints de frissons d’argent. Souviens-toi, Florentine, où ton nombril recevait une goutte de ce merveilleux vin que je léchais avidement et quand, sous ma langue, tu te libérais d’une fausse pudeur. Souviens-toi, Florentine, de toutes ces nuits où de libertine tu devenais fragile. Je te faisais reine et je devenais ton roi où les draps devenaient notre royaume et notre lit le navire de tous nos désirs.
Ton corps doux comme de la soie s’offrait à mes mains fébriles de délices. Mes doigts ont parcouru ton corps pour découvrir chaque splendeur, chaque secret que tu renfermais. Ton souffle s’affolait, timide d’abord puis il laissait la place à tes fantasmes charnels. Tu te donnais et tu donnais sans misère.
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, je découvrais les dunes et les forêts de ton corps par temps de déluge. A chaque nuit tu redevenais pucelle et lorsque je me glissais en toi, Florentine, c’était toujours comme la première fois un plaisir, une fabuleuse découverte d’émotion, de jouissance. Lorsque je me faufilais en toi, Florentine, tu t‘ouvrais en un souffle dans tes yeux. Et moi, Florentine, je sentais monter en moi des turbulences dans tout mon corps, dans toute ma tête, je devenais fou lorsque je m’enfonçais dans le plus profond de tes merveilles. Florentine, je te revois allongée après les précipices de nos ébats, ta chevelure en bataille, tes jambes entrouvertes libérant notre folie de la nuit. Ton ventre reprenait un rythme normal tandis que ta bouche esquivait un sourire. Seule la lune déposait un voile de lumière sur ton corps. Et toi, Florentine, tu t’abandonnais à cette couverture éphémère sans même laisser échapper un soupir.
Après, Florentine, sans remord, tu te levais pour t’habiller. Ta courte robe fleurie reprenait sa place sur toi, mine de rien. Tes bas, tes talons aiguilles faisaient le reste. Tu n’étais qu’un instant, qu’une comète. Je n’étais qu’une parenthèse dans ta petite vie bien désordonnée. Par le mouvement de ta robe trop courte tu reprenais ce que tu avais donné.
Florentine, j’ai bien vieilli, mes mains tremblent encore lorsque j’évoque ton image. Florentine notre navire a échoué sur une plage, mais a-t-il fini par couler ?
Fille du peuple
Souviens-toi, Florentine, de toutes nos nuits où nos rêves étaient peints de frissons d’argent. Souviens-toi, Florentine, où ton nombril recevait une goutte de ce merveilleux vin que je léchais avidement et quand, sous ma langue, tu te libérais d’une fausse pudeur. Souviens-toi, Florentine, de toutes ces nuits où de libertine tu devenais fragile. Je te faisais reine et je devenais ton roi où les draps devenaient notre royaume et notre lit le navire de tous nos désirs.
Ton corps doux comme de la soie s’offrait à mes mains fébriles de délices. Mes doigts ont parcouru ton corps pour découvrir chaque splendeur, chaque secret que tu renfermais. Ton souffle s’affolait, timide d’abord puis il laissait la place à tes fantasmes charnels. Tu te donnais et tu donnais sans misère.
Florentine, aussi vierge que la pucelle d’Orléans, je découvrais les dunes et les forêts de ton corps par temps de déluge. A chaque nuit tu redevenais pucelle et lorsque je me glissais en toi, Florentine, c’était toujours comme la première fois un plaisir, une fabuleuse découverte d’émotion, de jouissance. Lorsque je me faufilais en toi, Florentine, tu t‘ouvrais en un souffle dans tes yeux. Et moi, Florentine, je sentais monter en moi des turbulences dans tout mon corps, dans toute ma tête, je devenais fou lorsque je m’enfonçais dans le plus profond de tes merveilles. Florentine, je te revois allongée après les précipices de nos ébats, ta chevelure en bataille, tes jambes entrouvertes libérant notre folie de la nuit. Ton ventre reprenait un rythme normal tandis que ta bouche esquivait un sourire. Seule la lune déposait un voile de lumière sur ton corps. Et toi, Florentine, tu t’abandonnais à cette couverture éphémère sans même laisser échapper un soupir.
Après, Florentine, sans remord, tu te levais pour t’habiller. Ta courte robe fleurie reprenait sa place sur toi, mine de rien. Tes bas, tes talons aiguilles faisaient le reste. Tu n’étais qu’un instant, qu’une comète. Je n’étais qu’une parenthèse dans ta petite vie bien désordonnée. Par le mouvement de ta robe trop courte tu reprenais ce que tu avais donné.
Florentine, j’ai bien vieilli, mes mains tremblent encore lorsque j’évoque ton image. Florentine notre navire a échoué sur une plage, mais a-t-il fini par couler ?
Fille du peuple
Jeu 11 Jan 2007, 07:57 par
Fille du peuple sur Mille choses
Ce soir encore je pense a toi
Ce soir encore je pense à toi,
j’ai du mal à m’y résigner,
mais je dois faire ce dur choix,
par amour pour toi.
Comprendras-tu mon choix ?
Je ne le pense pas et je sais....
que tu m’en veux terriblement
d’avoir éveillé ce désir en toi.
Comment pourrais-je vivre ?
Comment pourrais-je me regarder ?
Dans le miroir du matin,
dans le reflet de tes yeux pétillants de ces mille étoiles...
En me culpabilisant de te faire porter mon lourd fardeau !
Laisser chanter mon coeur, mon âme, mon émoi,
écouter la douce raison de mon amour pour toi
serait de la folie amère et égoïste.
Je ne veux pas être responsable de cette douleur,
que tu pourrais ressentir en me voyant,
chaque nuit revivre des flashs back.
Je ne veux pas brider ton amour si merveilleux,
parce que tu mérites vraiment d’être heureux.
Auprès d’une femme qui te comblera de bonheur,
qui saura être ta femme, ton amie, ta maîtresse et la mère de tes enfants.
Comment pourrais-je te faire vivre tout ça ?
Mon coeur, lui, chante les douces mélodies de l’amour,
mais ma raison refuse de te faire souffrir.
Et pour cela, je dois faire en sorte que ton désir passe.
Pourtant, j’aurais aimé être la femme que je décris plus haut,
mais je n’en serais pas capable.
j’ai du mal à m’y résigner,
mais je dois faire ce dur choix,
par amour pour toi.
Comprendras-tu mon choix ?
Je ne le pense pas et je sais....
que tu m’en veux terriblement
d’avoir éveillé ce désir en toi.
Comment pourrais-je vivre ?
Comment pourrais-je me regarder ?
Dans le miroir du matin,
dans le reflet de tes yeux pétillants de ces mille étoiles...
En me culpabilisant de te faire porter mon lourd fardeau !
Laisser chanter mon coeur, mon âme, mon émoi,
écouter la douce raison de mon amour pour toi
serait de la folie amère et égoïste.
Je ne veux pas être responsable de cette douleur,
que tu pourrais ressentir en me voyant,
chaque nuit revivre des flashs back.
Je ne veux pas brider ton amour si merveilleux,
parce que tu mérites vraiment d’être heureux.
Auprès d’une femme qui te comblera de bonheur,
qui saura être ta femme, ton amie, ta maîtresse et la mère de tes enfants.
Comment pourrais-je te faire vivre tout ça ?
Mon coeur, lui, chante les douces mélodies de l’amour,
mais ma raison refuse de te faire souffrir.
Et pour cela, je dois faire en sorte que ton désir passe.
Pourtant, j’aurais aimé être la femme que je décris plus haut,
mais je n’en serais pas capable.
Sam 06 Jan 2007, 23:06 par
joullia sur Parler d'amour
Aguichante opale brune
Un miroir sibylin m’a présenté l’existence d’un chaleureux regard doré, bordé de rivages lointains, au centre de l’éblouissement d’une nuit qui irradiait parmi les astéries.
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à l’endroit de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le souffle de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours
joullia
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à l’endroit de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le souffle de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours
joullia
Sam 30 Déc 2006, 22:29 par
joullia sur Parler d'amour
TESMA
J’y ai crû
Oui, j’ai voulu y croire...
Croire à nous
Malgré tout
Croire
Tu as raison
Comme si je n’avais jamais souffert
Comme si je ne savais pas
Comme une enfant naïve
TESMA
Ces mots qui m’envolaient vers toi
Ces mots comme une voie
Et je suis restée là
Sur le quai de la gare
Et le train de l’amour qui siffle dans le noir
Tout le noir qui t’absorbe
Et ne m’attire pas
Et toujours le silence
Qui répond à ma voix
Un jour la vie réelle
me conduira ailleurs
Et je croirai encore
Mes yeux émerveillés
Souriront à l’amour
Qu’il voudra me donner
Car je veux encore croire
Oui, je veux espérer...
Il y aura un matin
Il y aura un homme
Qui lui voudra m’aimer
J’ai crû que c’était toi
Mais j’ai dû me tromper...
J’ai du mal à y voir
TESMA
Et je suis seule ce soir
Oui, j’ai voulu y croire...
Croire à nous
Malgré tout
Croire
Tu as raison
Comme si je n’avais jamais souffert
Comme si je ne savais pas
Comme une enfant naïve
TESMA
Ces mots qui m’envolaient vers toi
Ces mots comme une voie
Et je suis restée là
Sur le quai de la gare
Et le train de l’amour qui siffle dans le noir
Tout le noir qui t’absorbe
Et ne m’attire pas
Et toujours le silence
Qui répond à ma voix
Un jour la vie réelle
me conduira ailleurs
Et je croirai encore
Mes yeux émerveillés
Souriront à l’amour
Qu’il voudra me donner
Car je veux encore croire
Oui, je veux espérer...
Il y aura un matin
Il y aura un homme
Qui lui voudra m’aimer
J’ai crû que c’était toi
Mais j’ai dû me tromper...
J’ai du mal à y voir
TESMA
Et je suis seule ce soir
Sam 09 Déc 2006, 20:14 par
dolce vita sur Amour internet
Corps désirant
Par mes yeux, par ma voix, le désir se fourvoie
J’imprime une étincelle et reprends mon chemin
Qui se nourrit sans cesse de ce premier matin
Ce jour où je renais à l’idée d’être moi
Et ce feu qui me brûle, autonome et ardent
Fait le lit de mes songes, équilibre mes pas
Je le vis empereur, gouvernant mes émois
Il s’expand en douceur, insécure et prudent
Faudrait-il sceller l’âtre, étouffer la fumée
Garder en souvenir un espoir embrumé
Et s’accorder ailleurs vers de nouveaux délices
Où faudrait-il braver les braises rougeoyantes
Accueillir et guider, l’expression éclatante
Le feu de vie joyeux exultant du supplice
J’imprime une étincelle et reprends mon chemin
Qui se nourrit sans cesse de ce premier matin
Ce jour où je renais à l’idée d’être moi
Et ce feu qui me brûle, autonome et ardent
Fait le lit de mes songes, équilibre mes pas
Je le vis empereur, gouvernant mes émois
Il s’expand en douceur, insécure et prudent
Faudrait-il sceller l’âtre, étouffer la fumée
Garder en souvenir un espoir embrumé
Et s’accorder ailleurs vers de nouveaux délices
Où faudrait-il braver les braises rougeoyantes
Accueillir et guider, l’expression éclatante
Le feu de vie joyeux exultant du supplice
Jeu 16 Nov 2006, 04:22 par
jatea sur La séduction
A mon amie la douce
Quand ta nuit noire se prolonge
Par un matin de brouillard sans fin
Quand la lumière de midi
Se cache derrière les nuages
Amie, où peux-tu trouver l’espoir ?
Regard de lumière
Qui transperce tes souffrances
Chaleur du cœur qui réchauffe
Tes solitudes de désespoir
Amie, laisse-toi aimer
Par un matin de brouillard sans fin
Quand la lumière de midi
Se cache derrière les nuages
Amie, où peux-tu trouver l’espoir ?
Regard de lumière
Qui transperce tes souffrances
Chaleur du cœur qui réchauffe
Tes solitudes de désespoir
Amie, laisse-toi aimer
Mar 07 Nov 2006, 14:36 par
coupdecoeur sur Mille choses
Doux reve
Pouvoir me blottir dans tes bras,
Est un doux rêve que j’espère deviendra,
Un jour, la réalité de ma vie éternelle...
Dans tes beaux yeux bruns, j’aimerais :
Qu’il y ait pour moi une étincelle
Qui me montre que tu me désirerais.
Chaque nuit dans mes rêves tu me rejoins
En m’apportant tout le bonheur désiré.
Mais chaque matin au réveil je suis seul
Mon cœur plonge alors dans un deuil.
J’aimerais que tu me prennes dans tes bras
Et non resté ici solitaire dans mes draps.
Les nuits malheureusement ne sont pas éternelles
Contrairement à mes sentiments et mon amour
Lesquels je t’ai donnés un jour pour toujours...
La douce rosée matinale est pour masquer
Mes larmes qui coulent quand je suis réveillé.
Vivement que dans tes yeux il y ait une étincelle.
Est un doux rêve que j’espère deviendra,
Un jour, la réalité de ma vie éternelle...
Dans tes beaux yeux bruns, j’aimerais :
Qu’il y ait pour moi une étincelle
Qui me montre que tu me désirerais.
Chaque nuit dans mes rêves tu me rejoins
En m’apportant tout le bonheur désiré.
Mais chaque matin au réveil je suis seul
Mon cœur plonge alors dans un deuil.
J’aimerais que tu me prennes dans tes bras
Et non resté ici solitaire dans mes draps.
Les nuits malheureusement ne sont pas éternelles
Contrairement à mes sentiments et mon amour
Lesquels je t’ai donnés un jour pour toujours...
La douce rosée matinale est pour masquer
Mes larmes qui coulent quand je suis réveillé.
Vivement que dans tes yeux il y ait une étincelle.
Mer 25 Oct 2006, 21:55 par
joullia sur Parler d'amour
Premiers flocons
Des nuits à se promettre la neige
Tu as qu’ importe l’ âge envie de voir la neige, et tu as tes parents
Tu veilles, magnifique étincelle, au début de tes rêves
Tu sautille et est fier en annonçant à Papa, Maman
Que la lune étincelle et qu’ ’il n’ y a pas école
Tu fais des nuages, des chaudrons d’ amour à sauter sur le lit
En disant :
Mon Amour... sourires...
On va pas à l’ école, ce matin, on skie.
Des flocons de Tendresse.
Tu as qu’ importe l’ âge envie de voir la neige, et tu as tes parents
Tu veilles, magnifique étincelle, au début de tes rêves
Tu sautille et est fier en annonçant à Papa, Maman
Que la lune étincelle et qu’ ’il n’ y a pas école
Tu fais des nuages, des chaudrons d’ amour à sauter sur le lit
En disant :
Mon Amour... sourires...
On va pas à l’ école, ce matin, on skie.
Des flocons de Tendresse.
Mar 17 Oct 2006, 06:28 par
Chogokinette sur Mille choses
Vérités ou mensonges (c’est pas une question ce sont des dou
La vérité est une lumière
Elle peut éclairer le monde entier
Ou n’éclairer que celui qui veut la voir
La lumière de la vérité n’a pas de taille
Elle peut illuminer votre vie
Etre multicolore et joyeuses
Ou au contraire être pâle et froide.
Mais elle est la vérité et ne permet
Pas aux doutes de vous envahir
A travers cette, éclairage la vie
Est des fois cruelle et douloureuse
Mais elle est authentique et vrai.
Le mensonge, quant à lui
Vous plonges dans l’ombre
Il nous permet le doute
Vous envahi l’esprit d’idées
Vous guide vers des actes désespérés
Il est une réaction en chaîne
Plus on s’enfonce plus on croit
Qu’il sera le salut … plus on mentira
Le mensonge nous permet
Néanmoins d’espérer, de croire
Que demain tout sera oublié
Dans le doute l’espoir devient possible …
Alors moi qui suis dans le noir, ce soir
Je me mets à espérer…
Sans certitudes tout devient plus léger
Et si avec un mensonge on pouvait recommencer
Mais voilà la nuit aura une fin
Le matin viendra et la lueur de ma vie ressurgira
Et avec la lueur de l’aube la vérité des choses reprendra ses droits …
Philippe.
Elle peut éclairer le monde entier
Ou n’éclairer que celui qui veut la voir
La lumière de la vérité n’a pas de taille
Elle peut illuminer votre vie
Etre multicolore et joyeuses
Ou au contraire être pâle et froide.
Mais elle est la vérité et ne permet
Pas aux doutes de vous envahir
A travers cette, éclairage la vie
Est des fois cruelle et douloureuse
Mais elle est authentique et vrai.
Le mensonge, quant à lui
Vous plonges dans l’ombre
Il nous permet le doute
Vous envahi l’esprit d’idées
Vous guide vers des actes désespérés
Il est une réaction en chaîne
Plus on s’enfonce plus on croit
Qu’il sera le salut … plus on mentira
Le mensonge nous permet
Néanmoins d’espérer, de croire
Que demain tout sera oublié
Dans le doute l’espoir devient possible …
Alors moi qui suis dans le noir, ce soir
Je me mets à espérer…
Sans certitudes tout devient plus léger
Et si avec un mensonge on pouvait recommencer
Mais voilà la nuit aura une fin
Le matin viendra et la lueur de ma vie ressurgira
Et avec la lueur de l’aube la vérité des choses reprendra ses droits …
Philippe.
Mar 10 Oct 2006, 00:47 par
coeur lourd sur Mille choses
VOYAGE INITIATIQUE 4
Espoir….. dans la tourmente
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Il lutta toute la nuit car la mer était déchainée
Il faillit tomber plusieurs fois à la mer
Heureusement à chaque fois il sut s’accrocher à une bouée
Qui portait le signe de la Vérité
Il voulait mourir à ses ténèbres
Et renaître à la Lumière
C’est pourquoi il n’abandonna pas la lutte malgré la fatigue.
Au petit matin, la mer se calma et il s’endormit
Quand il se réveilla il se sentit apaisé
Il s’était éloigné d’elle mais se sentait plus proche par la Vérité.
Il voulut s’unir à elle dans la bouée qui portait le signe de la Vérité
Mais il eut peur des vibrations………..
Jeu 14 Sep 2006, 12:25 par
coupdecoeur sur Histoires d'amour
Je cueillerai sur ton corps la délicate fleur du délice
Je sentirai ton âme sous le feu ardent de mon désir le plus profond,
Evoquant en l’instant, cette force de vivre qui m’attire inlassablement vers toi.
Aux plaisirs avoués, d’un feu multicolore de notre amours,
Ame frissonnante, Ame délicieuse, illumine mon emoi.
Apaise le terrible feu de mon coeur, brûlant au supplice,
Je cueillerai sur ton corps la délicate fleur du délice.
Pour embraser nos deux âmes en toute impudeur
Frissonner d’émotions jusqu’aux premières lueurs du matin.
Etreindre ton corps, te prendre à l’univers,
T’emporter comme un astre, au-dessus de la vie,
Sérénité des cieux, à l’écoute de ces vers,
De cet amour tangible, égrène la mélodie
Entraîne moi mon amour aux danses du plaisir extasiant
Mon âme vers les cieux dans un ultime soupir
Ton coeur contre mon coeur bat d’une même voix
De cet élan d’amour je suis toute en émoi.
Ce soir nos cœurs s’envolent, brûlant d’un feu imortel,
Sur l’horizon sublime, de nos corps en fusion,
Agencement furtif, nos esprits en ces lieux,
S’entremêlent tendrement, ultime soumission
Evoquant en l’instant, cette force de vivre qui m’attire inlassablement vers toi.
Aux plaisirs avoués, d’un feu multicolore de notre amours,
Ame frissonnante, Ame délicieuse, illumine mon emoi.
Apaise le terrible feu de mon coeur, brûlant au supplice,
Je cueillerai sur ton corps la délicate fleur du délice.
Pour embraser nos deux âmes en toute impudeur
Frissonner d’émotions jusqu’aux premières lueurs du matin.
Etreindre ton corps, te prendre à l’univers,
T’emporter comme un astre, au-dessus de la vie,
Sérénité des cieux, à l’écoute de ces vers,
De cet amour tangible, égrène la mélodie
Entraîne moi mon amour aux danses du plaisir extasiant
Mon âme vers les cieux dans un ultime soupir
Ton coeur contre mon coeur bat d’une même voix
De cet élan d’amour je suis toute en émoi.
Ce soir nos cœurs s’envolent, brûlant d’un feu imortel,
Sur l’horizon sublime, de nos corps en fusion,
Agencement furtif, nos esprits en ces lieux,
S’entremêlent tendrement, ultime soumission
Mar 12 Sep 2006, 01:05 par
joullia sur Les liaisons sulfureuses
A la lueur d'une flamme
A la lueur d’une flamme
Dans l’obscurité de la nuit
Tel un pétale de fleur
Je viens sans un bruit
Dans un léger espoir
Je dépose un tendre baiser
Sur ta belle nuque décoiffée
Comme je l’aime temps
Où mon désir ose s’exprimée
Ma bouche se promène
Sur la douceur de ta peau
Caressant amoureusement
Les plus intimes parties
De ton corps
L’éclat
Mon regard dans le Tien
Je découvre l’intense plaisir
Qui envahi tout mon être
Puis le tien qui se dévoile
J’enfouie mon visage
Au creux de ton épaule
Me laissant aller a ton amour
Aux caresses subtiles de tes mains
Dans l’étreinte
Nos corps ne font plus qu’un
Que déjà c’est le petit matin
Que nous rêvons déjà de la prochaine.
Dans l’obscurité de la nuit
Tel un pétale de fleur
Je viens sans un bruit
Dans un léger espoir
Je dépose un tendre baiser
Sur ta belle nuque décoiffée
Comme je l’aime temps
Où mon désir ose s’exprimée
Ma bouche se promène
Sur la douceur de ta peau
Caressant amoureusement
Les plus intimes parties
De ton corps
L’éclat
Mon regard dans le Tien
Je découvre l’intense plaisir
Qui envahi tout mon être
Puis le tien qui se dévoile
J’enfouie mon visage
Au creux de ton épaule
Me laissant aller a ton amour
Aux caresses subtiles de tes mains
Dans l’étreinte
Nos corps ne font plus qu’un
Que déjà c’est le petit matin
Que nous rêvons déjà de la prochaine.
Sam 09 Sep 2006, 22:16 par
joullia sur Parler d'amour
Je me laisse porter dans tes bras
Je me laisse porter dans tes bras,
Vers l’Île de Nos Rêves,
Sur ces vagues d’Espoir,
Ces déferlante d’Émotion débordante,
Ces mascarets d’Amour.
Depuis longtemps, tu me protèges,
Des aléas de ma vie tortueuse,
Tu es là depuis déjà si longtemps,
Tu aurais pu prendre peur,
Face aux tourments de ma vie,
Mais non !
Tu es là, toujours présent,
Tu me fais devenir femme,tu me chéris, tu me révèles,
La beauté qu’il y autour de Nous,
Mais surtout toute la beauté intérieure de ton être.
Tout gravé de Toi,
Je me réveille chaque matin,
Entourée d’un doux manteau de velours,
D’une toile chaleureuse faite de tes pensées,
De notre avenir, du jour où notre enfant sera né.
Je sais qu’avec Toi,
Rien n’est impossible,
Car tu es mon refuge, mon âtre de l’amour....
Julia
Vers l’Île de Nos Rêves,
Sur ces vagues d’Espoir,
Ces déferlante d’Émotion débordante,
Ces mascarets d’Amour.
Depuis longtemps, tu me protèges,
Des aléas de ma vie tortueuse,
Tu es là depuis déjà si longtemps,
Tu aurais pu prendre peur,
Face aux tourments de ma vie,
Mais non !
Tu es là, toujours présent,
Tu me fais devenir femme,tu me chéris, tu me révèles,
La beauté qu’il y autour de Nous,
Mais surtout toute la beauté intérieure de ton être.
Tout gravé de Toi,
Je me réveille chaque matin,
Entourée d’un doux manteau de velours,
D’une toile chaleureuse faite de tes pensées,
De notre avenir, du jour où notre enfant sera né.
Je sais qu’avec Toi,
Rien n’est impossible,
Car tu es mon refuge, mon âtre de l’amour....
Julia
Dim 27 Août 2006, 20:45 par
joullia sur Parler d'amour
Ecrire sur matin
Avant que le désespoir ne l'emporte..., Suite, Florentine, Ce soir encore je pense a toi, Aguichante opale brune, TESMA, Corps désirant, A mon amie la douce, Doux reve, Premiers flocons, Vérités ou mensonges (c’est pas une question ce sont des dou, VOYAGE INITIATIQUE 4, Je cueillerai sur ton corps la délicate fleur du délice, A la lueur d'une flamme, Je me laisse porter dans tes bras, Il y a 265 textes utilisant le mot matin. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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