Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur matin - Page 5 sur 18
Singapore
La première fois où je me suis arrêté à Singapore c’était lors d’un voyage qui me ramenait de France vers l’Australie
J’avais passé en France quelques jours de vacances dans ma famille après avoir fais une expo de photo dans une galerie parisienne.
La moiteur de la ville la décontraction après les vacances, je n’ai pas dis non lorsque le portier de l’hôtel m’a proposé une "escorte"
Il me donnait le choix entre une jeune fille ou un garçon ou les deux a la fois !
Belle jeune malaise de 18 ans environ, soumise, je pouvais la garder à l’heure ou à la nuit. La nuit a suffi, trop soumise, je n’aime pas les déversoirs à sperme.
Le souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle aimait s’inonder de mon parfum, et en asperger mon sexe et le sien.
Lors de mes autres passages à Singapore le fait d’avoir une "escorte" était si facile que je n’en éprouve plus le besoin et que mon plus grand bonheur était de me masturber.
Je me mettais nu dans cette grande chambre climatisée au Xxeme étage de cet hôtel de luxe qui dominait ce morceau de ville pays.
J’ouvrais cet immense lit et je m’allongeais savoureusement sur le drap frais, bras et jambes en croix.
Le seul frottement de mon sexe en érection sur le drap appelait immédiatement le plaisir.
Je coupais la climatisation pour que la chaleur humide monte dans la chambre, un immense whisky d’une main, mon sexe en demi-érection, je m’asseyais sur le bras du fauteuil de mon bureau face à la baie vitrée. Le contact de mon anus sur le bois dur me mettait dans une érection savoureuse mon corps prenait un mouvement de va et vient comme pour me pénétrer de ce sexe improvisé, je déglutissais mon whisky au rythme des légers spasmes que ce plaisir m’apportait.
La corbeille de fruit de bien-venue était bien tentante surtout cet ananas surmonté de cette petite touffe de verdure qui a la rudesse de la pilosité des femmes noires.
C’est dans la partie inférieure du fruit que je perçais un trou du diamètre de mon sexe et de sa longueur, je mangeais les morceaux du fruit, le jus coulait le long de mon torse nu se mêlant à ma transpiration.
Je faisais régulièrement des essayages du trou, jusqu’à ce que je le trouve idéal. Je replaçais sur le trou l’écorce de l’ananas comme un opercule.
Il était vierge en quelque sorte !
Je plaçais précieusement ce fantasme de sexe féminin dans le frigidaire.
Une douche fraîche, une chemise de soie légère un pantalon de toile, découvrit une fois encore cette ville grouillante qui a comme symbole l’orchidée.
Les marchands ambulants vendent entre autres la banane poingeau, fruit vert qui sert à la cuisine chinoise ce fruit à la particularité d’être très dur, sa vue ma remémoré une amie qui en faisait une consommation vaginale importante.
J’ai cédé à la tentation d’en acheter quelques-unes unes, pour comprendre ce poème chinois qui dit :
Ho banane qui réjouissent le cœur de vierges, vous seules parmi les fruits êtes dotées d’un cœur pitoyable, ho consolatrice des veuves et des solitaires.
En entrant dans ma chambre je me précipitais pour couper la climatisation.
Je voulais sentir la chaleur de la nuit, par la fenêtre entre ouverte une odeur d’orchidée mouillée faisait naître en moi un désir trouble.
J’avais dîné dans une petite échoppe de quelques nems et de canard laqué le tout arrosé de la bière du tigre.
Mes vêtements étaient imprégnés de cette odeur sourde, odeur que j’aime, qui imprègne les grands cheveux noirs des asiatiques, odeur un peu sure qui peu gêner le matin au réveil, mais qui met en émoi mes sens si par hasard la rue m’apporte en effluve le souvenir de la nuit.
Les bananes étaient sur la table enroulée dans ce papier journal aux caractères chinois.
Comme une pesanteur se faisait sentir dans mes reins !
La lumière de la chambre éteinte, les rideaux largement ouverts permettaient à des milliers de fenêtres de plonger dans mon lit, que j’avais ouvert largement.
L’atmosphère était idéale pour mon intimité.
Je sortis l’ananas du frigidaire, en le posant sur la table près des bananes devant le miroir celui-ci se couvrit de buée.
J’avais là devant moi les fruits de ma passion d’un soir.
Comme par pudeur je me déshabillais dans la salle de bain !
En voyant mon érection je suis sûr que l’ananas et la banane furent fiers d’eux.
Je m’allonge au travers du lit, prenant entre mes mains le fruit jaune l’amenant vers mon sexe comme on tire la tête d’une femme vers son sexe pour qu’elle l’engloutisse.
Mon gland poussa l’opercule vers le fond de ce vagin parfaitement adapté à mon sexe plus je le pénétrais plus je sentais la fraîcheur du plaisir. La rigidité de mon sexe maintenait le fruit droit comme une tête entre mes jambes.
Doucement je glissais la banane en moi plus elle me pénétrait plus mon sexe gonflait, les spasmes commencèrent à me secouer, la jouissance fut terrible. Mon sperme empli le fruit que mes doigts écrasaient.
C’est la fraîcheur du matin qui me réveilla, le spectacle était un peu triste, mais l’odeur plus forte que l’odeur d’une "escorte".
J’avais passé en France quelques jours de vacances dans ma famille après avoir fais une expo de photo dans une galerie parisienne.
La moiteur de la ville la décontraction après les vacances, je n’ai pas dis non lorsque le portier de l’hôtel m’a proposé une "escorte"
Il me donnait le choix entre une jeune fille ou un garçon ou les deux a la fois !
Belle jeune malaise de 18 ans environ, soumise, je pouvais la garder à l’heure ou à la nuit. La nuit a suffi, trop soumise, je n’aime pas les déversoirs à sperme.
Le souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle aimait s’inonder de mon parfum, et en asperger mon sexe et le sien.
Lors de mes autres passages à Singapore le fait d’avoir une "escorte" était si facile que je n’en éprouve plus le besoin et que mon plus grand bonheur était de me masturber.
Je me mettais nu dans cette grande chambre climatisée au Xxeme étage de cet hôtel de luxe qui dominait ce morceau de ville pays.
J’ouvrais cet immense lit et je m’allongeais savoureusement sur le drap frais, bras et jambes en croix.
Le seul frottement de mon sexe en érection sur le drap appelait immédiatement le plaisir.
Je coupais la climatisation pour que la chaleur humide monte dans la chambre, un immense whisky d’une main, mon sexe en demi-érection, je m’asseyais sur le bras du fauteuil de mon bureau face à la baie vitrée. Le contact de mon anus sur le bois dur me mettait dans une érection savoureuse mon corps prenait un mouvement de va et vient comme pour me pénétrer de ce sexe improvisé, je déglutissais mon whisky au rythme des légers spasmes que ce plaisir m’apportait.
La corbeille de fruit de bien-venue était bien tentante surtout cet ananas surmonté de cette petite touffe de verdure qui a la rudesse de la pilosité des femmes noires.
C’est dans la partie inférieure du fruit que je perçais un trou du diamètre de mon sexe et de sa longueur, je mangeais les morceaux du fruit, le jus coulait le long de mon torse nu se mêlant à ma transpiration.
Je faisais régulièrement des essayages du trou, jusqu’à ce que je le trouve idéal. Je replaçais sur le trou l’écorce de l’ananas comme un opercule.
Il était vierge en quelque sorte !
Je plaçais précieusement ce fantasme de sexe féminin dans le frigidaire.
Une douche fraîche, une chemise de soie légère un pantalon de toile, découvrit une fois encore cette ville grouillante qui a comme symbole l’orchidée.
Les marchands ambulants vendent entre autres la banane poingeau, fruit vert qui sert à la cuisine chinoise ce fruit à la particularité d’être très dur, sa vue ma remémoré une amie qui en faisait une consommation vaginale importante.
J’ai cédé à la tentation d’en acheter quelques-unes unes, pour comprendre ce poème chinois qui dit :
Ho banane qui réjouissent le cœur de vierges, vous seules parmi les fruits êtes dotées d’un cœur pitoyable, ho consolatrice des veuves et des solitaires.
En entrant dans ma chambre je me précipitais pour couper la climatisation.
Je voulais sentir la chaleur de la nuit, par la fenêtre entre ouverte une odeur d’orchidée mouillée faisait naître en moi un désir trouble.
J’avais dîné dans une petite échoppe de quelques nems et de canard laqué le tout arrosé de la bière du tigre.
Mes vêtements étaient imprégnés de cette odeur sourde, odeur que j’aime, qui imprègne les grands cheveux noirs des asiatiques, odeur un peu sure qui peu gêner le matin au réveil, mais qui met en émoi mes sens si par hasard la rue m’apporte en effluve le souvenir de la nuit.
Les bananes étaient sur la table enroulée dans ce papier journal aux caractères chinois.
Comme une pesanteur se faisait sentir dans mes reins !
La lumière de la chambre éteinte, les rideaux largement ouverts permettaient à des milliers de fenêtres de plonger dans mon lit, que j’avais ouvert largement.
L’atmosphère était idéale pour mon intimité.
Je sortis l’ananas du frigidaire, en le posant sur la table près des bananes devant le miroir celui-ci se couvrit de buée.
J’avais là devant moi les fruits de ma passion d’un soir.
Comme par pudeur je me déshabillais dans la salle de bain !
En voyant mon érection je suis sûr que l’ananas et la banane furent fiers d’eux.
Je m’allonge au travers du lit, prenant entre mes mains le fruit jaune l’amenant vers mon sexe comme on tire la tête d’une femme vers son sexe pour qu’elle l’engloutisse.
Mon gland poussa l’opercule vers le fond de ce vagin parfaitement adapté à mon sexe plus je le pénétrais plus je sentais la fraîcheur du plaisir. La rigidité de mon sexe maintenait le fruit droit comme une tête entre mes jambes.
Doucement je glissais la banane en moi plus elle me pénétrait plus mon sexe gonflait, les spasmes commencèrent à me secouer, la jouissance fut terrible. Mon sperme empli le fruit que mes doigts écrasaient.
C’est la fraîcheur du matin qui me réveilla, le spectacle était un peu triste, mais l’odeur plus forte que l’odeur d’une "escorte".
Mar 04 Jan 2011, 00:24 par
antoine sur Les liaisons sulfureuses
L’amour courtois…
Brûlant de désir pour ma Dame
de coeur, je joue au chevalier...
Comme un enfant, je me nourris
de songes et la berce d’illusions.
C’est tellement bon...
C’est mon plaisir sans fin...
Tel un funambule, je retrouve
mes émois d’antan et bizarrement,
Elle fait tenir mon couple en équilibre.
De la faire rêver, j’en rêve encore
puis me dérobe...
Je vibre et suis jaloux, je voudrais
qu’Elle m’appartienne et qu’Elle
me reste inaccessible...
Mais, bientôt, très bientôt,
je sais qu’un beau matin, à force de
l’endormir, c’est un homme
qui viendra la réveiller.
Ce jour-là, Elle réalisera que mes
belles histoires ne sont que des
mirages...
Alors, Elle partira et me dira:
"Cours toi! Cours toujours!
Maintenant, je n’y crois plus!"
Ce jour-là, je me dirai peut-être
que c’est la vie ou que je suis
surtout le Roi des Cons!!!
de coeur, je joue au chevalier...
Comme un enfant, je me nourris
de songes et la berce d’illusions.
C’est tellement bon...
C’est mon plaisir sans fin...
Tel un funambule, je retrouve
mes émois d’antan et bizarrement,
Elle fait tenir mon couple en équilibre.
De la faire rêver, j’en rêve encore
puis me dérobe...
Je vibre et suis jaloux, je voudrais
qu’Elle m’appartienne et qu’Elle
me reste inaccessible...
Mais, bientôt, très bientôt,
je sais qu’un beau matin, à force de
l’endormir, c’est un homme
qui viendra la réveiller.
Ce jour-là, Elle réalisera que mes
belles histoires ne sont que des
mirages...
Alors, Elle partira et me dira:
"Cours toi! Cours toujours!
Maintenant, je n’y crois plus!"
Ce jour-là, je me dirai peut-être
que c’est la vie ou que je suis
surtout le Roi des Cons!!!
Sam 25 Déc 2010, 17:39 par
conte sur La séduction
Là où je ne sais pas...
Les paupières mi-closes,
je pense à Toi et rêve de t’emmener
là où tu ne sais pas…
Là où je ne sais pas…
Depuis Toi, je ne sais plus…
Je n’imaginais plus que la vie
m’offrirait cette surprise.
Mais lorsque je m’éveille,
je me perds ou me trouve
au milieu de mes « peut-être »
qui me font si peur ?!…
Comment quitter la tranquillité
de mon quotidien qui me sécurise
et pourtant me pèse terriblement?
Je voudrais tellement découvrir
le monde sous un nouveau jour,
main dans la main, avec Toi…
Est-il encore temps pour moi ?
Si je te posais la question,
je suppose que tu me dirais
que j’ai la réponse puisque
c’est bien pendant ce temps
que je m’interroge!
De quelle manière pourrais-je
éviter de blesser celle avec laquelle
je m’endors et supporter les
reproches de ceux qui animent
notre vie si monotone?
Mais, quand ceux-là s’envoleront,
à mon tour, leur en voudrais-je
alors de me laisser avec le regret?
Au fond, cela serait-il douloureux
pour eux ou cela leur permettrait-il
de vivre, à nouveau ?
Toutes ces pensées se bousculent…
Un matin, peut-être, je me réveillerai
à tes côtés pour inventer, jour
après jour, nos lendemains…
je pense à Toi et rêve de t’emmener
là où tu ne sais pas…
Là où je ne sais pas…
Depuis Toi, je ne sais plus…
Je n’imaginais plus que la vie
m’offrirait cette surprise.
Mais lorsque je m’éveille,
je me perds ou me trouve
au milieu de mes « peut-être »
qui me font si peur ?!…
Comment quitter la tranquillité
de mon quotidien qui me sécurise
et pourtant me pèse terriblement?
Je voudrais tellement découvrir
le monde sous un nouveau jour,
main dans la main, avec Toi…
Est-il encore temps pour moi ?
Si je te posais la question,
je suppose que tu me dirais
que j’ai la réponse puisque
c’est bien pendant ce temps
que je m’interroge!
De quelle manière pourrais-je
éviter de blesser celle avec laquelle
je m’endors et supporter les
reproches de ceux qui animent
notre vie si monotone?
Mais, quand ceux-là s’envoleront,
à mon tour, leur en voudrais-je
alors de me laisser avec le regret?
Au fond, cela serait-il douloureux
pour eux ou cela leur permettrait-il
de vivre, à nouveau ?
Toutes ces pensées se bousculent…
Un matin, peut-être, je me réveillerai
à tes côtés pour inventer, jour
après jour, nos lendemains…
Sam 16 Oct 2010, 15:53 par
conte sur Histoires d'amour
Plus longtemps...
Petit message pour toi
Chérie chérie
Tu dors tranquillement
Et pourtant j’ai encore envie de te parler
De continuer cette histoire avec toi
Chercher ton sourire
Ou ta chaleur
Selon l’humeur
Envie de te couvrir de caresses
Parcourir ton corps
Encore et encore
Te dévorer des yeux
Que ce soit dans la pénombre du matin
Ou à la lueur d’une bougie
Tu as su créé en moi ces envies
Que je ne croyais plus
Me donner l’envie de te donner
L’envie de plus
Plus que tout
Sentiment bizarre que les mots ne savent traduire
Et qu’une pauvre prose ne rend que...
Maladroitement
Un voeux innocent
D’un petit enfant
Pour plus longtemps
Reste encore un peu plus longtemps...
Chérie chérie
Tu dors tranquillement
Et pourtant j’ai encore envie de te parler
De continuer cette histoire avec toi
Chercher ton sourire
Ou ta chaleur
Selon l’humeur
Envie de te couvrir de caresses
Parcourir ton corps
Encore et encore
Te dévorer des yeux
Que ce soit dans la pénombre du matin
Ou à la lueur d’une bougie
Tu as su créé en moi ces envies
Que je ne croyais plus
Me donner l’envie de te donner
L’envie de plus
Plus que tout
Sentiment bizarre que les mots ne savent traduire
Et qu’une pauvre prose ne rend que...
Maladroitement
Un voeux innocent
D’un petit enfant
Pour plus longtemps
Reste encore un peu plus longtemps...
Jeu 14 Oct 2010, 22:25 par
Loyd sur Histoires d'amour
Petite histoire d'une poupée....
C’est l’histoire d’une poupée.....d’une poupée pas comme les autres....une petite poupée de chiffon.... pas d’une poupée d’aujourd’hui genre " mannequin "....
elle avait un " vrai " coeur qui battait dans son petit corps....un coeur rempli d’amour et de tendresse....elle attendait là dans une boutique de jouets qu’on lui prête attention...le temps passa...rien n’y faisait...personne ne voulait s’appropier cette poupée...son coeur continua de battre longtemps...longtemps...mais un jour son coeur éclata..devenu trop gros de tout cet amour qui laissait indifférent....le sang se mit à dégouliner de l’étagère où elle s’était blottie....les jours passèrent et un matin comme les autres.... un individu pourtant habitué de cette boutique..... la remarqua....la trouva étrange...elle était si jolie... cette poupée...que faisait elle encore dans cette boutique.......qu’est ce que ce petit coeur tâché de sang...elle aurait sûrement fait le bonheur de quelqu’un...trop tard.....la petite poupée est morte....de n’avoir pu aimer...
elle avait un " vrai " coeur qui battait dans son petit corps....un coeur rempli d’amour et de tendresse....elle attendait là dans une boutique de jouets qu’on lui prête attention...le temps passa...rien n’y faisait...personne ne voulait s’appropier cette poupée...son coeur continua de battre longtemps...longtemps...mais un jour son coeur éclata..devenu trop gros de tout cet amour qui laissait indifférent....le sang se mit à dégouliner de l’étagère où elle s’était blottie....les jours passèrent et un matin comme les autres.... un individu pourtant habitué de cette boutique..... la remarqua....la trouva étrange...elle était si jolie... cette poupée...que faisait elle encore dans cette boutique.......qu’est ce que ce petit coeur tâché de sang...elle aurait sûrement fait le bonheur de quelqu’un...trop tard.....la petite poupée est morte....de n’avoir pu aimer...
Mer 01 Sep 2010, 20:49 par
Satine sur La déclaration d'amour
Dans un monde parfait, je t'écrirai maintenant ceci
A cet ange déchu,
Quand nous nous réveillons chaque matin, nous croyons vivre dans nos rêves.
Mon rêve, c’est d’avoir cru que tu étais un ange au point d’avoir oublié que tu étais un homme. Tout simplement.
Peu de temps après ma dernière lettre, je t’ai montrée mes différents visages. Tu n’as pas fui. Je n’ai pas compris. J’ai cru pouvoir t’éloigner de moi, peur que tu t’emmouraches de moi. Face à tant de gestes affectueux de ma part et tant de confidences, tu laissas croître une passion pour moi. Je sentais cette tension, j’ai voulu la disperser mais je ne sus pas m’y prendre. Je me laissai happer par ton rêve. Pourquoi ? Car j’avais envie de vivre une nouvelle vie pour un nouveau départ. Malheureusement, je ne suis pas arrivée à suivre ton rêve. Je ne suis pas arrivée à vivre un rêve avec toi. Pourtant, je le voulais. Quand j’étais dans tes bras, je voulais que ce temps dure. Maintenant, ce temps disparu vit dans mes bribes de rêve. J’avais envie de toi. Je me suis, de tout cœur, délectée de ton parfum enivrant. J’ai aimé tes caresses. Je pense, au final, que j’ai fini par t’aimer. Certes, tu es loin de mes idylles, mais tu semblais si doux, si doux…
Maintenant, que restent de nos amours ? Rien. Juste des amis en commun, trop de connaissances en commun qui finiront par percer à jour mes autres visages. En me laissant aller avec toi, j’ai programmé ma mort. Tu ne veux plus qu’on se voie. Très bien. Mais, je te vois tous les jours à travers le visage de nos nombreuses connaissances communes. Toi, tu continues à fréquenter ce cercle de connaissances. Moi, j’évite toutes les sorties de ce cercle pour ne pas faire éclater l’histoire.
En espérant que cette mort soit douce,
Quand nous nous réveillons chaque matin, nous croyons vivre dans nos rêves.
Mon rêve, c’est d’avoir cru que tu étais un ange au point d’avoir oublié que tu étais un homme. Tout simplement.
Peu de temps après ma dernière lettre, je t’ai montrée mes différents visages. Tu n’as pas fui. Je n’ai pas compris. J’ai cru pouvoir t’éloigner de moi, peur que tu t’emmouraches de moi. Face à tant de gestes affectueux de ma part et tant de confidences, tu laissas croître une passion pour moi. Je sentais cette tension, j’ai voulu la disperser mais je ne sus pas m’y prendre. Je me laissai happer par ton rêve. Pourquoi ? Car j’avais envie de vivre une nouvelle vie pour un nouveau départ. Malheureusement, je ne suis pas arrivée à suivre ton rêve. Je ne suis pas arrivée à vivre un rêve avec toi. Pourtant, je le voulais. Quand j’étais dans tes bras, je voulais que ce temps dure. Maintenant, ce temps disparu vit dans mes bribes de rêve. J’avais envie de toi. Je me suis, de tout cœur, délectée de ton parfum enivrant. J’ai aimé tes caresses. Je pense, au final, que j’ai fini par t’aimer. Certes, tu es loin de mes idylles, mais tu semblais si doux, si doux…
Maintenant, que restent de nos amours ? Rien. Juste des amis en commun, trop de connaissances en commun qui finiront par percer à jour mes autres visages. En me laissant aller avec toi, j’ai programmé ma mort. Tu ne veux plus qu’on se voie. Très bien. Mais, je te vois tous les jours à travers le visage de nos nombreuses connaissances communes. Toi, tu continues à fréquenter ce cercle de connaissances. Moi, j’évite toutes les sorties de ce cercle pour ne pas faire éclater l’histoire.
En espérant que cette mort soit douce,
Jeu 19 Août 2010, 02:09 par
Solina sur Un monde parfait
Je veux...
Je veux...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Tes yeux dans les miens
Ton sourire charmeur
Tes mains sur mon cou
Nos soirées interminables
Nos discussions rêveuses
Et les plus sérieuses aussi
Te voir rire
Te voir danser
Te voir épanouie
Hier et ces doux souvenirs
Là tout de suite pour le plaisir
Et demain aussi
Tes seins sur moi
Ton corps nu au petit matin
Tes mains se crispant sur mon dos
Mais je ne veux pas faire marche arrière...
Un dans un
Un chacun
Un à deux
Tout est à faire
Tout est à créer
Tout est à nous
Si tu le veux aussi...
Mer 11 Août 2010, 22:24 par
Loyd sur La séduction
Une jolie rencontre
Cindy lisait son journal comme tous les matins, et se mis à parcourir,la page des rencontres.Elle cherchait, une personne susceptible de l’accompagner pour une randonnée, qu’elle avait déjà préparé depuis très longtemps, et comme elle était en vacances au moins pour trois semaines,elle se réjouissait ,de partir.Mais seule, cela ne l’enthousiasmai pas du tout, alors elle s’était mise idée en tête de trouver une personne qui aimerait l’accompagner dans cette aventure.On lui avait bien dit aussi qu’elle pourrait consulter des sites de rencontre pour ce genre d’activité.
Deux jours plus tard: LUI
Nous marchions, nos sacs pesant lourds, il était temps, de nous arrêter,car de toute façon la nuit n’allait pas tarder,et les étoiles
scintilleraient bientôt.Un peu de bois ramassé, aux alentours ferait l’affaire, car j’avais l’impression que les nuits étaient fraiches.Un bon feu, et nos sacs de couchage, nous étions épuisés, et ravi en même temps.Le temps de nous faire réchauffer une soupe lyophilisée, un morceau de fromage , et hop au lit!.Nous tacherons de faire meilleur repas demain, car j’avais repéré pas très loin d’ici,une rivière.Nos yeux à peine fermés, nous nous endormions...
Elle,je l’ai rencontré sur un site, bien que j’avais mis une petite annonce sur un quotidien,je cherchais une femme qui aimait la randonnée et camping à la sauvage sans "chichi".Alors nous avions décidé de nous rencontrer, et de partir à l’aventure si tous collait... <elle aimait aussi la randonnée, et elle avait déjà beaucoup voyagé.Nous avions finalement la même passion...
La première fois que je l’ai vu,et la première impression,était qu’elle avait cette joie de vivre,des yeux pétillants.A vrai dire, je ne dirai pas qu’elle était belle, mais elle avait ce charme qui me donnait des frissons.Quand à moi, je ne sais pas comment elle me voyait, mais bon on m’avait dis, que j’étais un homme jovial, et après tout, je ne me trouvai pas si moche que cela.Elle se prénommait Cindy.
" Enchanté moi c’est Gérard".
Nous avons tous de suite sympathisé, et nous étions d’accord sur la destination de notre petit voyage.le lendemain, matin je sentais, un petit froid me gagner le dos, et je me réveillais, le feu éteint,Cindy dormait toujours sa tête enfouie dans son duvet.Je décidais de me lever, et d’aller pécher, pour notre repas.La pêche n’avait pas été si mauvaise et Cindy dormait toujours.Un bon feu, la réveillerai peu-être, et l’odeur du café,et des poissons cuisant tout doucement taquinerait sans doute son odorat.
"MORPHÉE"! laisse la donc se réveiller!
Un étirement, un soupir de bien -être, un sourire et mademoiselle si belle avait faim..
.
Elle fit honneur à ce festin, puis elle décida,d’aller se baigner,et je l’a regardais partir, en me disant que je l’a rejoindrai bien,mais étais-ce convenable?je n’ai pas plus tôt dis cela,qu’elle me proposa de la rejoindre.
"Merde!" voila que je me suis mis à rougir comme un collégien;à l’idée de me baigner avec elle.Elle était à l’aise, et me mettait à l’aise aussi sans arrière pensée.Puis elle sortit de l’eau sans m’avertir, et je piquais un fard, à la vue de son corps aux courbes parfaites, sans paraitre gênée, comme si je n’étais pas la.C’est a ce moment la, que j’ai su que j’étais tombé amoureux d’elle.Un bon coup sur la tête, mon cœur qui chavirait, mais je me demandais surtout si elle ressentait quelque chose pour moi.Enfin,en tous cas ,elle ne laissait rien apparaitre sur son visage.Dans quelle galère je mettais fourré!Il y a fallut que cela me tombe dessus, et maintenant je me demandais "et si elle n’a pas les même sentiments,? je vais en crever"...
On a beaucoup discuté, et nous avions finalement beaucoup à apprendre l’un de l’autre, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours,et je m’attachais de plus en plus à elle.On a continuer, notre ascension péchant se baignant,parcourant des kilomètres campant par-ci par-la ,et elle m’a donné un espoir chargé d’amour et de promesse.
caressedesyeux
Deux jours plus tard: LUI
Nous marchions, nos sacs pesant lourds, il était temps, de nous arrêter,car de toute façon la nuit n’allait pas tarder,et les étoiles
scintilleraient bientôt.Un peu de bois ramassé, aux alentours ferait l’affaire, car j’avais l’impression que les nuits étaient fraiches.Un bon feu, et nos sacs de couchage, nous étions épuisés, et ravi en même temps.Le temps de nous faire réchauffer une soupe lyophilisée, un morceau de fromage , et hop au lit!.Nous tacherons de faire meilleur repas demain, car j’avais repéré pas très loin d’ici,une rivière.Nos yeux à peine fermés, nous nous endormions...
Elle,je l’ai rencontré sur un site, bien que j’avais mis une petite annonce sur un quotidien,je cherchais une femme qui aimait la randonnée et camping à la sauvage sans "chichi".Alors nous avions décidé de nous rencontrer, et de partir à l’aventure si tous collait... <elle aimait aussi la randonnée, et elle avait déjà beaucoup voyagé.Nous avions finalement la même passion...
La première fois que je l’ai vu,et la première impression,était qu’elle avait cette joie de vivre,des yeux pétillants.A vrai dire, je ne dirai pas qu’elle était belle, mais elle avait ce charme qui me donnait des frissons.Quand à moi, je ne sais pas comment elle me voyait, mais bon on m’avait dis, que j’étais un homme jovial, et après tout, je ne me trouvai pas si moche que cela.Elle se prénommait Cindy.
" Enchanté moi c’est Gérard".
Nous avons tous de suite sympathisé, et nous étions d’accord sur la destination de notre petit voyage.le lendemain, matin je sentais, un petit froid me gagner le dos, et je me réveillais, le feu éteint,Cindy dormait toujours sa tête enfouie dans son duvet.Je décidais de me lever, et d’aller pécher, pour notre repas.La pêche n’avait pas été si mauvaise et Cindy dormait toujours.Un bon feu, la réveillerai peu-être, et l’odeur du café,et des poissons cuisant tout doucement taquinerait sans doute son odorat.
"MORPHÉE"! laisse la donc se réveiller!
Un étirement, un soupir de bien -être, un sourire et mademoiselle si belle avait faim..
.
Elle fit honneur à ce festin, puis elle décida,d’aller se baigner,et je l’a regardais partir, en me disant que je l’a rejoindrai bien,mais étais-ce convenable?je n’ai pas plus tôt dis cela,qu’elle me proposa de la rejoindre.
"Merde!" voila que je me suis mis à rougir comme un collégien;à l’idée de me baigner avec elle.Elle était à l’aise, et me mettait à l’aise aussi sans arrière pensée.Puis elle sortit de l’eau sans m’avertir, et je piquais un fard, à la vue de son corps aux courbes parfaites, sans paraitre gênée, comme si je n’étais pas la.C’est a ce moment la, que j’ai su que j’étais tombé amoureux d’elle.Un bon coup sur la tête, mon cœur qui chavirait, mais je me demandais surtout si elle ressentait quelque chose pour moi.Enfin,en tous cas ,elle ne laissait rien apparaitre sur son visage.Dans quelle galère je mettais fourré!Il y a fallut que cela me tombe dessus, et maintenant je me demandais "et si elle n’a pas les même sentiments,? je vais en crever"...
On a beaucoup discuté, et nous avions finalement beaucoup à apprendre l’un de l’autre, c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours,et je m’attachais de plus en plus à elle.On a continuer, notre ascension péchant se baignant,parcourant des kilomètres campant par-ci par-la ,et elle m’a donné un espoir chargé d’amour et de promesse.
caressedesyeux
Mar 10 Août 2010, 10:28 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Une nuit merveilleuse (chapitre deux)
Sept heures du matin, il la regardait dormir, un sourire béat, repensant à leur nuit, dont ils n’étaient pas encore assez rassasiés l’un de l’autre, alors que leurs ébats venaient juste de se terminer. Margaux venait tous juste de s’endormir. Leur soif d’amour était si intense, et leurs jeux si audacieux ...
Philippe, revoyait chaque scène; celle du foulard qu’il, avait posé sur ces yeux, ou sa cravate, autour de ses poignets, les effleurages de sa langue sur chaque parcelle de son corps, et ses caresses incessantes, quand elle arquait de plus en plus son corps contre le sien. La main de Philippe descendant dans son beau jardin, titiller sa fleur, déjà mouillée et gonflée, et dont sa sève coulait...
Les gémissements, qui devenaient de plus en plus intenses, la firent jouir. Un pur moment, pour ses yeux, lui qui se régalait de voir autant de beauté chez elle. Audacieusement Margot décidait à son tour, de prendre les initiatives, elle voulait aussi lui donner du plaisir.
Se délecter, surtout de sa peau de velours, le lécher, et l’emmener au point de non retour. Ses mains, qui le caressaient, voluptueusement, et son doigt, qu’elle salivait, à la rencontre d’un autre trésor. Occupée son autre main le tenait bien en main et en cadence, tantôt vite, tantôt lente, la jouissance n’était pas si loin. Elle approchait sa bouche, en le mouillant, et le happant soudainement. Il se retenait, encore, un peu, pour permettre à Margaux de se retirer. Sa semence était prête à jaillir sur ses seins dressés.
Ven 04 Juin 2010, 16:48 par
caressedesyeux sur Parler d'amour
Haïku du matin ii
Le matin se lève
sur les amants endormis
et leurs draps froissés
Moins haïku dans la technique, mais peut être plus évocateur.
sur les amants endormis
et leurs draps froissés
Moins haïku dans la technique, mais peut être plus évocateur.
Mar 25 Mai 2010, 12:07 par
PetitPrince sur Parler d'amour
La passion, laisse-la pénétrer ton coeur et laisse-la partir
Nous vivons tous de passions. Leur durée ne dépend que de l’usure du coeur. Entretenir un amour est difficile car cela nécessite un effort.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Notre individualité ne nous aide pas à voir la qualité de la flamme de l’Autre car nous sommes trop occupés par nourrir la nôtre. Cet aveuglement temporaire peut créer chez l’Autre cette impression d’abandon. Ne supportant pas la solitude, l’Autre préfère laisser diminuer voire éteindre sa flamme. A chacun d’entre nous de faire l’effort d’ouvrir à temps les yeux pour sauver la flamme de l’Autre pour qu’elle brille comme au premier jour. L’entretenir, c’est regarder la flamme de l’Autre comme si on la découvrait pour la première fois chaque matin.
Si elle se meure, laissez-la mourir. Ne pleurez pas et laissez-vous éblouir par une nouvelle flamme plus vivante.
Quand une bougie arrive à son terme et qu’elle n’éclaire plus, laissez-la s’éteindre. Ouvrez alors vos yeux pour voir de nouvelles bougies vous éclairer la Vie.
Mer 05 Mai 2010, 03:41 par
Solina sur La vie à deux
La croqueuse
On m’appelle "la mangeuse" d’homme
Car je vous fais tomber dans les pommes.
Je suis si douce et si tendre
Que vous voudrez en reprendre.
De cette sensualité exquise,
Digne des plus belles marquises.
Belle déesse
Aux mains qui vous caressent,
Je ferai de vous
Mes doux tabous.
Je me ferai chatte
En te tirant par la cravate
Je te ferai tous tes désirs
Jusqu’à ton doux soupir.
Soupir de satisfaction
Quand on passe à l’action,
Je me ferai "de miel"
Pour ta bouche de dentelle,
Je serai des plus délicate
Jusqu’à ce que "tu éclates"
Ton corps va avoir si chaud
Que tu seras en lambeau.
Je te tiendrai dans mes mains
Jusqu’au petit matin.
Je me ferai "caramel",
Je serai des plus charnelle,
Tu me tiendras par les seins,
Si tu en sens le besoin...
Je serai ton éternel
Qui te porte à ton ciel,
Vers ces septièmes cieux,
Digne des dieux.
Je te couvrirai d’huile
Pour des jeux infantiles,
Je me ferai chaleur,
Jusqu’à ce que tu meurs,
Mon nom tu vas te le rappeler,
Car je suis une douce calamité
Tu reviendras me voir encore
Pour un autre corps à corps.
CARESSEDESYEUX
Car je vous fais tomber dans les pommes.
Je suis si douce et si tendre
Que vous voudrez en reprendre.
De cette sensualité exquise,
Digne des plus belles marquises.
Belle déesse
Aux mains qui vous caressent,
Je ferai de vous
Mes doux tabous.
Je me ferai chatte
En te tirant par la cravate
Je te ferai tous tes désirs
Jusqu’à ton doux soupir.
Soupir de satisfaction
Quand on passe à l’action,
Je me ferai "de miel"
Pour ta bouche de dentelle,
Je serai des plus délicate
Jusqu’à ce que "tu éclates"
Ton corps va avoir si chaud
Que tu seras en lambeau.
Je te tiendrai dans mes mains
Jusqu’au petit matin.
Je me ferai "caramel",
Je serai des plus charnelle,
Tu me tiendras par les seins,
Si tu en sens le besoin...
Je serai ton éternel
Qui te porte à ton ciel,
Vers ces septièmes cieux,
Digne des dieux.
Je te couvrirai d’huile
Pour des jeux infantiles,
Je me ferai chaleur,
Jusqu’à ce que tu meurs,
Mon nom tu vas te le rappeler,
Car je suis une douce calamité
Tu reviendras me voir encore
Pour un autre corps à corps.
CARESSEDESYEUX
Ven 23 Avril 2010, 12:25 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Merci...
Merci...
Je sais que tu n’aimes pas ce mot là
Mais c’est ce que je pensais tout bas
ce matin...
Merci pour ton foutu caractère
Qui me remet à ma place
Merci de me résister
Quand je pars dans ma folie
Merci d’avoir les pieds sur terre
Quand je ne pense qu’à m’envoler
Merci de ta patience
Devant mon agitation
Merci pour ta douceur et tes paroles
Qui me rendent ma confiance
Merci de ta force
Dans ces moments difficiles
Merci de m’être revenue...
Je sais que tu n’aimes pas ce mot là
Mais c’est ce que je pensais tout bas
ce matin...
Merci pour ton foutu caractère
Qui me remet à ma place
Merci de me résister
Quand je pars dans ma folie
Merci d’avoir les pieds sur terre
Quand je ne pense qu’à m’envoler
Merci de ta patience
Devant mon agitation
Merci pour ta douceur et tes paroles
Qui me rendent ma confiance
Merci de ta force
Dans ces moments difficiles
Merci de m’être revenue...
Mer 21 Avril 2010, 09:42 par
Loyd sur L'amour en vrac
Dans un monde parfait, je t'écrirai ceci ...
A cet être simple et innoncent,
Quand nous nous regardons chaque matin devant notre miroir, nous croyons nous connaître, nous croyons en nos illusions de gloire, de réussite et de beauté. Mais qui sommes-nous donc ?
Dans nos cœurs, nous croyons dans des illusions. Dans ses illusions, nous sommes les empereurs de la luxure, de la gourmandise et de divers autres péchés. Pourquoi ? Notre être, au fil du temps, crée ses propres monstres, excès de nos personnalités déséquilibrées. Nos tentatives d’équilibres se soldent par des échecs. Pourquoi ? Ces équilibres sont factices, artificiels. Ce trompe-cœur ne leurre pas notre être fondamental. Voilà pourquoi le docteur Jeckyll ne parvient jamais à détruire Mr. Hyde sans se tuer lui-même. Il fait partie de sa personnalité. La religion qui nous fait croire en un être divin essaye de nous équilibrer par la passion destructrice qui nous anime. Il utilise cette passion destructrice en passion salvatrice. Mais quel combat vain ! Combien de pécheurs ont continué leur excès dans la folie des guerres religieuses ! Une fois que nos cœurs sont souillés, les pleurs ne peuvent effacer les crimes que nous commettons ! Les plaies peuvent se cicatriser mais marquent à jamais la peau. Ainsi, devons-nous vivre sous des masques de théâtre pour jouer notre vie en société !
Toi, mon bel ange, crois-tu me connaître ? Tu es ébloui par la blancheur de mes ailes, par mon sourire angélique, mes mains bienfaisantes. Mais sais-tu que cela n’est qu’un habit de carnaval ? Cet habit me démange, il ne me correspond pas. Serais-tu capable de me voir en monstre ? Non. Personne ne montre son vrai visage pour ne pas connaître le haro. Personne n’aime vivre au ban de la société car l’homme ne survit qu’en société. Mes ailes cachent mes épines ensanglantés de crimes qui j’ai commis pour le plaisir du corps. J’aime les corps. J’aime les sentir près de moi. J’ai bafoué un amour sincère qui me louait comme une sainte immaculée. Il continue à m’aimer malgré les nombreuses flagellations que je lui inflige. Je livre mon corps aisément à l’ivresse de l’instant. Je me cache de tout le monde. Je fais vivre mes apparences pour survivre en société. Je vis dans la crainte de la destruction de ses apparences. Je prends soin de ne pas les fissurer. Combien ai-je fait des faux pas qui me coûtent aujourd’hui une peur vivace ? Chaque fois que je laisse entrer quelqu’un dans mon univers intime, le hasard fait qu’il se trouve aussi dans un environnement que je crois protégé, réservé à une image de société. Est-ce ainsi que Dieu cherche à me punir des crimes que j’ai commis au nom de la Passion des corps déchus ? Est-ce ma malédiction ? Jusqu’à présent, aucun de mes fantômes ne s’est réveillé pour détruire mes mondes. Toutefois, je dois demeurer toujours sur mes gardes. Un volcan qui dort est un volcan actif…
Mon ange, demeure dans ton bel âge où l’innocence te maintient dans la pureté ! Garde-toi de t’approcher de moi ! Je ne veux pas te souiller, mon bel ami.
Quand nous nous regardons chaque matin devant notre miroir, nous croyons nous connaître, nous croyons en nos illusions de gloire, de réussite et de beauté. Mais qui sommes-nous donc ?
Dans nos cœurs, nous croyons dans des illusions. Dans ses illusions, nous sommes les empereurs de la luxure, de la gourmandise et de divers autres péchés. Pourquoi ? Notre être, au fil du temps, crée ses propres monstres, excès de nos personnalités déséquilibrées. Nos tentatives d’équilibres se soldent par des échecs. Pourquoi ? Ces équilibres sont factices, artificiels. Ce trompe-cœur ne leurre pas notre être fondamental. Voilà pourquoi le docteur Jeckyll ne parvient jamais à détruire Mr. Hyde sans se tuer lui-même. Il fait partie de sa personnalité. La religion qui nous fait croire en un être divin essaye de nous équilibrer par la passion destructrice qui nous anime. Il utilise cette passion destructrice en passion salvatrice. Mais quel combat vain ! Combien de pécheurs ont continué leur excès dans la folie des guerres religieuses ! Une fois que nos cœurs sont souillés, les pleurs ne peuvent effacer les crimes que nous commettons ! Les plaies peuvent se cicatriser mais marquent à jamais la peau. Ainsi, devons-nous vivre sous des masques de théâtre pour jouer notre vie en société !
Toi, mon bel ange, crois-tu me connaître ? Tu es ébloui par la blancheur de mes ailes, par mon sourire angélique, mes mains bienfaisantes. Mais sais-tu que cela n’est qu’un habit de carnaval ? Cet habit me démange, il ne me correspond pas. Serais-tu capable de me voir en monstre ? Non. Personne ne montre son vrai visage pour ne pas connaître le haro. Personne n’aime vivre au ban de la société car l’homme ne survit qu’en société. Mes ailes cachent mes épines ensanglantés de crimes qui j’ai commis pour le plaisir du corps. J’aime les corps. J’aime les sentir près de moi. J’ai bafoué un amour sincère qui me louait comme une sainte immaculée. Il continue à m’aimer malgré les nombreuses flagellations que je lui inflige. Je livre mon corps aisément à l’ivresse de l’instant. Je me cache de tout le monde. Je fais vivre mes apparences pour survivre en société. Je vis dans la crainte de la destruction de ses apparences. Je prends soin de ne pas les fissurer. Combien ai-je fait des faux pas qui me coûtent aujourd’hui une peur vivace ? Chaque fois que je laisse entrer quelqu’un dans mon univers intime, le hasard fait qu’il se trouve aussi dans un environnement que je crois protégé, réservé à une image de société. Est-ce ainsi que Dieu cherche à me punir des crimes que j’ai commis au nom de la Passion des corps déchus ? Est-ce ma malédiction ? Jusqu’à présent, aucun de mes fantômes ne s’est réveillé pour détruire mes mondes. Toutefois, je dois demeurer toujours sur mes gardes. Un volcan qui dort est un volcan actif…
Mon ange, demeure dans ton bel âge où l’innocence te maintient dans la pureté ! Garde-toi de t’approcher de moi ! Je ne veux pas te souiller, mon bel ami.
Ven 16 Avril 2010, 02:04 par
Solina sur Un monde parfait
La couseuse
De ses doigts si fins,
Elle passe de fil en aiguille
Pour finir "son" chef-d’œuvre.
Et compte bien le terminer ce soir.
Habile et surtout minutieuse
Elle est envieuse de cette étole à qui la portera.
Elle se "régale" à chaque nouvelle création
S’imagine dedans , et nous invente des scénarios à l’eau de rose.
Elle aime particulièrement les dentelles, les perles, et la belle soie.
Ferait une belle Scarlett o’ Hara .
Ou une si jolie impératrice sissi.
Elle offre sa main pour un baise-main
Accepte d’un mouvement de sa tête cette danse qu’est la valse;
Et ne s’en lasserait jamais..........................
"Virevolte" toute la nuit et jusqu’au petit matin.
caressedesyeux
Dim 28 Fév 2010, 11:20 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ecrire sur matin
Singapore, L’amour courtois…, Là où je ne sais pas..., Plus longtemps..., Petite histoire d'une poupée...., Dans un monde parfait, je t'écrirai maintenant ceci, Je veux..., Une jolie rencontre, Une nuit merveilleuse (chapitre deux), Haïku du matin ii, La passion, laisse-la pénétrer ton coeur et laisse-la partir, La croqueuse, Merci..., Dans un monde parfait, je t'écrirai ceci ..., La couseuse, Il y a 265 textes utilisant le mot matin. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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