Dans l'armoire

Dans l’armoire

Tu ouvres les portes de ton armoire
Comme on ouvre un livre ancien
Et ton regard s’attarde sur cette mémoire
Sans dire un mot, tu te souviens
De cette belle anatomie de femme
de ses jolies courbes de sa peau veloutée
De ce corps au doux toucher ferme
Qu’on dirait une belle pêche sucrée

Cette belle robe tendre, chaude et blanche
Si douce que tu mordrais si bien dedans
L’envie de sentir tes mains sur ses hanches
Sur lesquelles tu t’accrocherais le temps,
D’imprégner ses formes dans ta mémoire,
Afin que, rien qu’en fermant les yeux ,
Tu revoies les détails de ce tableau délicieux
Que tu gardes en rêve dans cette armoire
Et dont le souvenir reste si entier
Dans cet écrin de bois de rose
Que tues capable de la coucher sur papier
Tant tu te souviens de si belles choses.

Mais il te faut la refermer à présent
Car une vraie femme est la qui t’attend
Qui, de part de sa bonté,et de sa générosité,
De part cette envie de t’aimer, et d’être aimée.
De part toute sa douceur et de sa tendresse
Par des tendres caresses et des doux baisers
De son amour effacerait cette tristesse
Rendant ton esprit et ton cœur plus légers.
Peux tu faire une place dans ta pensée
Aux tendres souhaits d’un si bel ange?
Un parfum de patchouli qui trainerait dans ton linge
Qui prendrait la place de lavande desséchée

Petit , discret, rangé dans son petit sachet,
Comme cette femme qui t’aime tellement
Et dont tu respireras l’effluve si intensivement
Que tu gouteras au bonheur parfait
Cette flagrance qui te rappellera
Que je suis ta nouvelle histoire
Que je serai toujours la pour toi
Que tu peux refermer l’armoire
Sur ta bouche, je poserai mon doigt,
Savourons ce nouvel émoi
Te sourirai, je te comprends si bien....
Chut! ne dis plus rien
Ven 17 Jan 2014, 21:26 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Notre amour est t-il un crime ?

Bon eh bien bonjour à tous :) me voici avec une longue histoire sur Zane et Giulia, deux jeunes femmes que j’admire énormément.


Chapitre 1 - Révélation et demande

Point de vue narrateur.

Le soir … Le voilà tombé sur la capitale italienne, par ce soir d’hiver, un soir décembre, nous nous retrouvons devant un lycée qui à cet heure si tardive fut encore ouvert. Ce soir cet établisement était en fête, il y avait le bal de noël, et pour cette occasion tout le monde y avait était convier parents et professeurs.

Non loin du gymnase là ou se déroule la fête, cacher derrière un mur à l’abrit des regards, deux jeunes femmes s’échangent leur amour avec bonheur. Zane une jeune brune aux cheveux mi-long se trouve contre le mur tenant sa petite amie par la taille, et cette dernière qui répond au nom de Giulia qui a une chevelure chocolat et de jolie yeux azur, a ses bras allongés sur les épaules de la jeune brune.

Ses deux jeunes demoiselles partagent leur vies depuis deux ans maintenant. Leurs cœur se sont uni un soir de printemps, lors de l’anniversaire de Giulia qui ce jour là avait reçu le plus beau des cadeaux.

Cette dernière, s’approche de sa douce et approfondit leur baiser, bougeant légèrement sa tête pour ainsi mieux savourer ce moment de tendresse. Zane elle ne cesser de la serrer contre elle, mêlant sa langue à la sienne pour ainsi rendre ce baiser encore doux et brûlent.

En manque d’air, elles se détachent, et leurs yeux se noient l’un dans l’autre. Giulia caresse son front avec le sien, et lui sourit tendrement. La jolie brune emmène sa main à sa joue et lui éffleur doucement, jouant avec son nez. Le vent souffle et fait virevolter leur cheveux, leurs robes qui son toutes les deux noire se plisse avec le vent.

Elles n’avaient pas besoin de parler, chacune d’elles se comprend par un simple regard. Giulia pose sa main gauche sur celle de sa femme et emmêle ses doigts avec les siens. Laissant son cœur se marié au sien.

Giulia – je t’aime ma chérie.
Zane – moi aussi, et plus que tout !
Giulia – Zane …
Zane – chuut …


La jeune brune descend sa main et pose son doigt sur les lèvres de son amour qu’elle caresse doucement, Giulia lui sourit, et vint lover sa tête au creux de son cou côté gauche, et descend ses mains à son dos, lui offrant de douce caresses. Zane se met à sourire, elle commence un geste doux et régulier sur le dos de sa bien aimée, et monte sa main droite à sa chevelure caramel, ou elle prit soin de lui masser tendrement lui déposant un baiser sur sa tempe.

Zane – dis moi … Qu’aimerais tu que l’ont face durant les vacances ?
Giulia – tu sais … L’endroit m’importe peut tant que je suis avec toi.


La jolie brune se met à sourire, et berce tendrement son ange contre elle, son cœur ne cesse de s’emporter, et son ventre la démange, comme si des millions, de papillons caresser son bas-ventre.

Giulia – Ah … Si tu savait à quel point je suis heureuse avec toi, deux ans de bonheur et d’amour.
Zane – oui moi aussi, et j’espère de tout mon cœur que sa durera, car avec toi … Je suis la plus heureuse et comblée des femmes.
Giulia – c’est la plus belle chose que tu m’est dit Zane, je l’espère aussi … Même si il y a quelques tension avec notre groupe, je souhaite rester à tes côtés mon amour.
Zane – et si … On leur disaient ?
Giulia – si tu te sent prête alors je te suis jolie brune !
Zane – hm toi alors … Quand arrêteras tu de me rendre ainsi !
Giulia – comment ça « ainsi » vous m’intriguer mademoiselle Kazama !


Zane élargie son sourire, son bonheur était au summum auprès de la femme qu’elle aime et désir plus que quiconque. Elle lui caresse la joue, et s’approche de son visage.

Zane – de me rendre si amoureuse voyons mademoiselle Celest.
Giulia – dans ce cas, jamais !


Elles s’échangent un tendre sourire, et vinrent de nouveau unir leur cœur dans un long et doux baiser. Giulia colle son corps contre celui de sa douce, et pose ses mains sur ses joues qu’elle caresse. Zane qui ne savait plus ou se donner de la tête, tant son bonheur l’ennivre ressere leur étreinte, et lui caresse son dos, allant sauvagement attaquer sa langue.

Personne n’était là pour briser leur moment de bonheur ou chacune se sentaient de plus en plus ennivrer par leurs émotions les plus profonde, leur désir prit leur cœurs en otage, et leur langues s’enflamment à chaque coup. Un baiser amoureux et langoureux à la fois, une étreinte douce et protectrice, des caresses agréable, et quelques petits son se mariant avec l’atmosphère envoûtante et chaude à la fois.

Point de vue Zane.

Quel bonheur, je n’arrive pas à me défaire de ce sentiment qui me brûle le cœur, elle est si douce, Giulia … Ma tendre Giulia je t’aime tellement fort, deux ans à ses côtés, un véritable bonheur, bien que certaine jalousie me meurtri le cœur je l’aime profondément et en aucun cas je la laisserais filais dans les bras d’une autre. En ce soir de vingt quatre décembre j’avais l’intention de lui demander sa main, et pour sa, avec l’aide de Clément qui est mon frère j’allais passer sur scène et ainsi lui dévoiler une seconde fois mon cœur.

On se détachent doucement, et je lui caresse la joue allant écarter quelques mèches de ses yeux, je lui fait un petit clin d’oeil, et lui embrasse le front.

Moi – aller viens, j’aimerais pouvoir danser un slow avec toi mon amour !
Giulia – avec plaisir ma jolie brune … Je t’aime.
Moi – je t’aime bien plus encore !


Nos lèvres se claquent tendrement entres elles, et c’est le cœur léger et amoureux que nous nous dirigions vers l’entrée du gymnase. Et comme nous allions enfin dévoiler notre relation, je ne compte pas lui lâcher la main que je caresse doucement. Arrivé devant les deux grandes portes, ont s’arrêtent et nos yeux se caressent pendant de longues minutes.

Moi – tu est prête ?
Giulia – avec toi, je serait prête à tout.


Je lui sourit, lui tapote le nez, et enfin entra à l’intérieur. On commencent à s’avancer, et certains nous regardent, mais je m’en fiche, car je suis se que je suis et je ne changerais pas pour voir des sourires de satisfactions. Nos parents étaient aussi là assit sur des bancs à discuter entre eux.

Une fois avoir repérer Shiwa Dolce et Emilie, on se dirige vers le groupe, et Shiwa se jeta sur nous.

Shiwa – enfin … Mais où es ce que vous étiez passé toutes les deux !
Giulia – ah ah, ta curiosité ne te quittera jamais !
Dolce – tu devrais le savoir depuis le temps … Oh mais vous … Vous êtes ensemble ?
Moi – oui !
Giulia – nous sommes ensemble.
Shiwa – j’ai bien entendu, zizou et guigui sont ensemble mais c’est supère !!
Moi/Giulia – arrête de nous appeler comme sa !!!
Dolce – toutes mes félicitation les filles, vous mérité amplement ce bonheur, soyez heureuse ensemble !
Giulia – mais … Nous sommes déjà …
Moi – très heureuse ensemble.
Emilie – et depuis combien de temps ?


Je voie qu’elle est heureuse sa fait plaisir, pff c’est dépriment, toujours à nous parler sur ce ton, le pire c’est que ce n’est cas nous qu’elle fait sa. J’ignore donc sa question, mais il semblerais que ma douce n’est pas aimé ce ton puisqu’elle se met à répliquer :

Giulia – euh … La gentillesse tu connais ?
Emilie – toi je ne t’ai pas parler, Zane mais … Mais comment fais tu ?
Shiwa – eh Emilie tu calme ta jalousie ok, elles ont le droit d’être ensemble !
Moi – et en aucune façon ma vie privé ne te regarde.


Ses bras enroulent mon dos, et sa tête se love dans mon cou. Je sourit, et vint l’enlacer moi aussi contre moi, lui caressant doucement sa nuque de mes pouces. Je lui pose un délicat baiser sur sa tempe, et la berce tendrement.

Dolce – oh … Vous êtes trop mignonne, mais depuis combien de temps ?
Giulia – depuis deux ans maintenant !
Shiwa – deux …
Dolce – ans, mais pourquoi ne pas l’avoir dit ?
Moi – nous voulions juste le garder pour nous, et puis avec ce qui c’est passé il y a deux mois !
Shiwa – c’est sur ! Mais en tout cas félicitation.
Dolce – on vous soutien les filles.
Giulia – merci.


Je lui relève le visage, et lui caresse sa joue, lui offrant un doux sourire, et d’un petit clin d’oeil. Sa main se pose sur la mienne, et ses doigts me caressent.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi, … Ma douce et jolie Giulia, tu est le centre de mon univers.


Elle me sourit, et ses lèvres s’unir aux miennes. Je lui caresse la joue, et répond délicatement à sa douceur. Ses mains se mettent sur mon dos, et ses doigts me caressent alors que j’allonge mon bras gauche sur ses épaules et l’autre continue de jouer sur sa paumette, nos lèvres se claquent et se goûtent. Mon cœur bat si fort, je l’aime c’est fou à quel point je peut l’aimer.

Point de vue narrateur.

Alors que les deux jeunes filles continue de s’échanger leur amour, Shiwa et Dolce se mirent à sourire et ne purent s’empêcher de les prendre en photo. Plus loin quatre adultes observé la scène avec un sourire aux lèvres.

? - elles se l’ont enfin dit ! S’exclame une jeune femme blonde
? - je suis heureuse pour elles. Rétorque une seconde jeune femme à la chevelure brune


Les deux hommes qui n’étaient autre que les pères de Giulia et Zane, ne cessaient de regarder leurs filles s’embrasser, chacun surpris de voir une tel union entre les deux jeunes filles, mais quelques part dans leurs cœur il en étaient heureux.

Après ce doux baiser, Zane lui sourit, continuant tendrement son geste sur la joue de sa jolie brune qui lui offrait son plus beau sourire. La jeune brune lui embrasse le nez, et se tourne vers les filles qui à dire vrai, avaient le sourire jusqu’au joues.

Zane – Shiwa, je pourrais te demander quelques chose ?
Shiwa – oui biern sûr, qui y ’a t’il ?
Zane – serait t’il possible que tu film ?
Shiwa – euh oui … Mais filmer quoi ?
Dolce – qu’es ce que tu as en tête Zane ?
Zane – vous verraient bien.


La jeune fille se tourne vers son ange, qui la regarde avec un regard surpris elle aussi, mais cela n’a pas d’importance, elle lui caresse le dos, et lui sourit amoureusement. Zane lui fait un petit clin d’oeil, et la serre dans ses bras. Puis un garçon au cheveux brun et au costume noir et blanc se dirige vers le groupe.

Clément – Zane, c’est bon tu peux y aller !
Zane – ok j’y vais !
Giulia – mais … Tu vas où ?
Zane – ne t’inquiète pas ma belle, je reviens vite !


Elle lui dépose un léger baiser, et vint se séparer de sa petite amie qui se posé bien des questions. Devant tout l’assembler, Zane saisit le micro, Shiwa avait allumé sa caméra, et commence à filmer, se demandant bien se que sa meilleure amie avait en tête.

Clément – Giulia, si j’étais toi, je la regarderais, c’est pour toi qu’elle fait sa !
Giulia – comment ça ?
Clément – regarde la, et écoute attentivement ce qu’elle va te dire.


Giulia de plus en plus surprise regarde sa bien aimée qui la dévisage avec tendresse, lui envoyant un tendre baiser avec ses lèvres. Geste que la jolie brune aprécia, et lui rendit par un clin d’oeil.

Zane – bonsoir à tous, j’aimerais avoir quelques minutes d’attention s’il vous plais, j’aimerais faire une déclaration pour une personne qui m’est cher.

Tous se tue, et Giulia sourit, son cœur ne put s’empêcher de battre, Clément entoure les épaules de la jeune fille, et sourit à sa sœur aînée qui lui rend son sourire.

Zane – voilà maintenant huit ans que je les rencontré, huit longue années à épprouver de fort sentiments à son égard. Pour mon plus grand bonheur, nous avons uni nos cœurs, et voilà deux ans que je vis un véritable bonheur à ses côtés. Elle est tout se qu’un homme puisse rêver d’avoir, elle est … Le centre de mon univers, mon rayon de soleil et la femme de ma vie, mais elle est avant tout … Ma plus belle histoire d’amour, alors en ce soir de vingt quatre décembre, j’aimerais lui demander quelque chose qui me tiens à cœur … Giulia !

Cette dernière avait les yeux qui pétillés, elle était prête à pleurer, Shiwa et Clément la pousse doucement, et c’est le cœur prêt à frôler la crise cardiaque qu’elle se dirige vers l’estrade là ou sa douce l’attendait. Les parents des deux jeunes filles, émue par la déclaration de Zane, se demandé bien se que la jeune brune allait demander à Giulia qui était au bord des larmes.

Cette dernière une fois prêt de la jeune brune, la regarde, alors que Zane s’avance et lui caresse la joue pour finir par prendre sa main.

Zane – Giulia mon amour sa fait deux ans que j’ai uni mon cœur au tiens, et je ne le regrette pas, je t’aime d’un amour sincère et véritable, et peut importe se qui arrivera, je serait toujours là pour toi … Alors j’aimerais te demander quelque chose d’important !

Clément se dirige vers la scène et tend à sa sœur un petit écrin bleu nuit en velours, Giulia ne savait pas se qui allait se passer, son cœur bat tellement vite. La jeune brune, se tourne vers sa femme, et s’exclame en posant un genou à terre, et en prenant la main de sa douce qui allait finir par pleurer pour de bon.

Zane – ma chérie, je suis profondément amoureuse de toi, et je n’aurais jamais crue être aussi heureuse, alors moi Zane Kazama te demande avec sincérité … Giulia Celest veux tu devenir ma femme ?

Le cœur prêt à bondir hors de sa poitrine, Zane ouvre l’écrin révélant une bague en argent avec un petit diamant. Giulia avait fini par verser ses larmes de bonheur, sa main plaqué sur sa bouche, elle était vraiment heureuse, elle ne s’y attendait pas du tout, et c’est plus heureuse que jamais qu’elle s’exclame :

Giulia – oui … Oui je le veux !

Zane sourit, heureuse laisse échapper une petite larme et se lève pour ainsi glisser l’anneau à l’annulaire gauche de son amour.

Zane – je t’aime, c’est avec toi que je veux construire mon futur.
Giulia – oh Zane, si … Si tu savait à quel point je suis heureuse, mon amour, ma femme !


La jolie brune sourit de plus belle, et devant tout l’assembler qui ne disait plus rien elles s’embrassèrent amoureusement. Des larmes de joie dévalent les joues des deux jeunes filles qui était à présent au delà du bonheur. Dolce et Shiwa étaient ému et n’avaient pue retenir leurs larmes de joie.

Un clapotement se fait entendre, puis un second un troisième, jusqu’à que ses clapotements se transforment en applaudissement. Zane et Giulia continuent de s’embrasser avec tendresse, heureuse de voir que leur histoire devenait sincère et véritable.

Doucement elles se détachent, et leurs yeux qui sont embué de larmes se caressent, Zane porte sa main à sa joue et lui caresse, elle était vraiment heureuse d’avoir eu le courage de faire sa demande alors qu’elle a une trouille monstre dès qu’elle monte sur scène. Giulia quant a elle, n’arrivait pas à croire à se qui venait de se passer, elle était vraiment heureuse. Elle s’approche de sa fiancée, et lui caresse la joue, repoussant quelques mèches de ses yeux, ne retenant pas une petite larme.

Giulia – tu viens … De combler mon bonheur, je suis tellement heureuse, Zane … Je t’aime, et je ne veux plus être loin de toi … La mia donna.

Zane se met à sourire, elle lui embrasse sa main, et lui murmure :

Zane – je t’aime aussi très fort ma belle, et en aucun cas, tu sera séparé de moi et mon cœur.

Elles se sourirent, et heureuse, elles descende de l’estrade main dans la main plus uni et amoureuse que jamais. Shiwa et Dolce se dirigent avec rapidité vers les deux jeune filles. Et hurlèrent de joie.

Dolce – mais c’est génial, oh les filles, je suis si heureuse, toutes mes félicitations et bravo à toi Zane c’était magnifique !
Shiwa – vraiment, je ne sais pas quoi dire, je suis si heureuse, tout mes voeux de bonheur à vous deux, et que votre histoire dure éternellement.
Zane – je ne compte pas la laisser filer !
Giulia – et je ne suis pas prête à quitter ses bras.


Point de vue Giulia.

Ce soir, elle ma comblé de bonheur, j’étais vraiment heureuse … Heureuse que nos cœurs se soit définitivement enlacés. Je lui embrasse le cou, et caresse ce derner de mon pouce, le cœur prêt à frôler la crise cardiaque.

Puis un slow commença, et Zane c’est tourné vers moi et me demande :

Zane – m’accorderais tu cette danse ?
Moi – avec plaisir mon amour.


On se sourit, et alla se mélanger à la foule qui à dire vrai nous observé, mais je n’ai que faire, je l’aime éperdument, et je ne suis pas prête à la laisser partir pour de simple sourires. J’allonge mes bras sur ses épaules, colle mon corps contre le sien et la dévisage avec amour. Ses bras s’aventurent à mon dos, elle me serre contre elle, et on commencent à danser, suivant le rythm de la musique.

Moi – tu m’as offert, le plus beau des cadeaux Zane, je suis si heureuse, nous allons pouvoir construire un futur ensemble, rien que, toi et moi, ti amo ti amo ti amo.

Elle me sourit, et me serre dans ses bras, et doucement elle se mit à chanter les parole de la chanson qui était de Nevio uns de mes chanteurs favoris, et le titre de cette chanson était Giulia comme moi.

Zane -

cammineró senza di te
hai confini dell ricordo
e troveró la strada che
ho perduto in un momento

ameró la solitudine
empiroglio chi mi nuvole
e cominceró riprendermi
il futuro che non c’é

Refrain:
giulia giulia
io non so dove sei ma ti sento arrivare
giulia giulia
sei una favola che non doveva finire
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica
oh giulia

nasconderó dentro di me
la paura di cadere
ritroveró la libertá
la mia voglia di volare

e dispetero fra gli alberi
tutti i miei pensieri fragili
che mi inseguono non sanno
dove andare senza te

Refrain:
giulia giulia
tu ritorni da me con il vento d’estate
giulia giulia
sei la mia meno di con parole sbagliante
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sei la mia musica

anche senza di te io vivró respirando á ti
e ti sento ancora li
chiudi gli occhi e rivedo nel vento gli imagini
che non voglia andare via
solo un attimo d’amore dentro me ooh

Refrain:
giulia giulia(giulia giulia)
aahh giulia (giulia giulia)
sei l’azzurro dell cielo quando é primavera
giulia giulia
sei una voce che arriva improvisa leggera
giulia giulia
sei la voglia di vivere perché sara la mia musica
ohh giulia


une larme roule sur sa joue, je lui sourit, et vint lui retirer la petite larme par un baiser. Je colle mon front contre le sien, et lui murmure tendrement :

Moi – tu ne te rend pas compte à quel point tu viens de me rendre heureuse, ne pleur pas, tu est merveilleuse ma chérie, et j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir.
Zane – je t’aime, si tu savais à quel point je peux t’aimer Giulia !
Moi – moi aussi je t’aime Zane, je t’aime énormément, tu est à ce jour la mia più bella storia del amor !


Elle me sourit, et vint m’embrasser resserant notre étreinte, je l’aime c’est fou comme je l’aime. Je ferme mes yeux et répond tendrement à son baiser. C’est ainsi que notre soirée s’achève, par une dernière embrassade avant de rentrer chez nous. Sa a était la plus belle soirée de ma vie et … Je ne suis pas prête à l’oublier.

Point de vue narrateur.

Quelques heures plus tard, le bal venais de prendre fin, et tous le monde commencent à gagner la sortie du lycée pour ainsi rentrer chez soie. Dans une rue italienne, ou le vent souffler et les réverbères enlumine la rue Zane et Giulia main dans la main marche vers la deumeur des Celest.

Juste derrière les jeunes filles se trouve leurs parents qui les regardent n’en revenant toujours pas de la révélation que leur filles leur avaient offert. Giulia pose sa tête sur l’épaule droite de sa douce qui se met à caresser sa main, lui offrant un doux baiser.

Arrivé devant chez Giulia, cette dernière toujours enlacé dans les bras de Zane se tourne, et les adultes comment à parler.

Mère de Giulia – bon et bien, merci pour la soirée !
Père de Zane – ce fut un plaisir.
Mère de Zane – dites, vue que les vacances sont commencé, Giulia sa te dit de dormir à la maison ?
Giulia – oui pourquoi pas.
Mère de Zane – tu en pense quoi Zane !
Père de Zane – tu te doute bien que cela ne va pas la déranger.


La jeune brune sourit, elle relève doucement le menton de sa douce et lui caresse la joue, lui offrant un tendre sourire.

Zane – je serait même heureuse de passer ma soirée avec elle !
Giulia – moi aussi.


Elles s’échangent un sourire, et s’embrassent amoureusement. Les quatre adultes se mettent à sourire, en voyant leurs enfants si uni. Après ce doux baiser, la jolie blonde se serre contre sa bien aimée qui se met à caresser sa chevelure.

Père de Giulia – je n’aurais jamais cru les voir si proche !

Giulia pose sa main sur la joue de Zane et la caresse, cette dernière ne pue s’empêcher de sourire, elle ne pouvais croire à tout sa … Un véritable compte de fée, son bonheur était enfin au complet.

Zane – je t’aime.
Giulia – moi aussi mon amour !


Elles se sourirent, se posent un délicat baiser, et la jolie blonde vint se séparer de sa bien aimée, pour regagner sa maison afin d’aller préparer son sac. Avec le sourire, la jeune fille sous les yeux doux de ses parents monte à toute vitesse les escaliers, et regagne sa chambre. Sa mère se poste au coin de la porte, les bras croiser sur sa poitrine, et elle regarde sa fille, qui venais de se mettre à siffloter de bonheur.

Giulia – oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor.

La jeune blonde fini de mettre ses affaires de toilette dans son sac, n’oubliant pas de prendre le cadeau pour son amour. La mère de famille, était vraiment heureuse de voir sa fille si épanouie.

Giulia se tourne, et sursaute en voyant sa mère qui souriait depuis tout à l’heure. La jeune fille commence à sortir de sa cha mbre, et sa mère ferme la porte.

Mère de Giulia – si tu savais à quel je suis heureuse de te voir comme sa.
Giulia – je suis vraiment amoureuse maman !
Mère de Giulia – je le voie bien.


Mère et fille s’échangent un sourire, et finissent par descendre ainsi rejoindre les autres qui se trouvaient toujours dehors. Giulia embrasse ses parents, et se dirige vers l’amour de sa vie qui l’accueillit avec un doux câlin.

Mère de Giulia – Zane ?
Zane – oui ?
Mère de Giulia – je ne sais pas se que tu as fait à ma fille, mais je t’en remercie.


Zane se met à rire, un rire délicieux aux oreilles de Giulia qui vint l’embrasser sur la joue, et fini par lui prendre la main. Elles s’échangent un doux regard, Zane lui fait un clin d’oeil et lui tapotte le nez, et c’est heureuse qu’elles partir direction la demeurre des Kazama.

Zane – cas tu dis pour que Annette me dise sa ?
Giulia – sa t’intéresse ?
Zane – tout se qui te touche m’intéresse.


Giulia se met à sourire, elle cale sa tête au creux de son cou, et lui dépose un léger baiser. Zane se met à sourire, elle ressere leur étreinte, et elles continuent de marcher toutes les deux plus heureuse que jamais. Quelques minutes après, les deux jeunes fille arrivent devant la maison des Kazama, et Lidie la mère de Zane se dirige vers le petit péron pour ainsi ouvrir la porte. Tous rentrent, et les filles embrassent les deux adultes et montent en suivant dans la chambre de la jolie brune.

Celle-ci ferme la porte, et se dirige vers Giulia qu’elle enlace par la taille posant ses mains sur son ventre, et lui dépose un baiser dans son cou.

Zane – alors, tu vas me dire se que tu as dit ?
Giulia – mais qu’elle curieuse on dirait Shiwa.


Zane se met à rire … La jolie blonde cale son dos contre la poitrine de sa douce et murmure tendrement en prenant ses mains dans les siennes.

Giulia - oh mon amour, ma chérie … Si tu savais à quel point je t’aime, et dire que je suis enfin avec elle, je suis tellement heureuse. Je suis sa fiancée que du bonheur, ma femme tu est tout se que j’ai de plus précieux au monde et je n’échangerais pour rien au monde ton si beau sourire pour le plaisir d’autruie. Que je t’aime la mia amor … Voila se que j’ai dit.

La jolie brune se met à sourire, elle dépose ses lèvres sur la joue de sa bien aimée, et ferme ses yeux, savourant les paroles que Giulia avait prononcé à son égard. Son cœur bat tellement vite, elle lui caresse son ventre, et fait durer le plaisir, pressant sa bouche un peut plus sur la joue de sa femme qui sourit, et se laisse envahir par le bonheur.

Giulia – je t’aime Zane !

Cette dernière ne répond pas, mais sourit et prolonge son baiser le rendant plus doux et long. Elle se sentait si bien là comme sa, son cœur ne cesse de la rappeller à l’ordre, mais la jeune Kazama refuse de coopérer tant le bonheur est grand.

Zane * je t’aime bien plus que sa encore mon amour *

pense t’elle, en la berçant tendrement contre elle. Elle se décolle doucement et la serre plus fort contre elle.

Zane – joyeux noël ma chérie !
Giulia – joyeux noël à toi aussi mon amour.


La jolie blonde prend son sac et en sort le cadeau de sa bien aimée, et lui offrrit avec le sourire.

Giulia – quand je l’ai vue j’ai pensé à toi.

Zane sourit et saisit le petit sac. Elle apercut une feuille plié en deux, et un petit écrin, elle saisit le petit écrin, et l’ouvre devant les yeux amoureux de sa fiancée. Son cœur se met à cogner, et son regard s’adouci en voyant le contenue de l’écrin. A l’intérieur de cette dernière se trouve une gourmette en argent, et sur la petite plaque métalique il y avait écrit « Ti amo » Giulia saisit le bijou, le détache, et le passe autour du poignet gauche de sa bien aimée, qui finit par l’enlacer lui caressant le dos.

Zane – merci mon ange, elle est magnifique.
Giulia – de rien, et joyeux noël !
Zane – à toi aussi Giulia, j’espère de tout mon cœur que notre histoire ira loin, il n’y a qu’avec toi que je veux construir mon futur, et sa au creux de tes bras.
Giulia – le sentiment est partager, moi aussi je l’espère de tout mon cœur, rester au creux de tes bras encore longtemps !


Leur regard se croisent et se caressent, Zane allonge ses bras sur ses épaules, et toutes deux ferment leurs yeux pour ainsi unir leur cœur. Un doux baiser commence alors entres les deux jeunes filles qui se rapprochent de plus en plus, Giulia enroule ses bras au dos de Zane et caresse se dernier, penchant légèrement sa tête sur la droite, mêlant sa langue à la sienne. Zane plaque ses main à sa nuque et la caresse, montant sa main gauche à sa cheveulure, lui retire son élastique et mêle ses doigts dans ses cheveux lui massant agréablement. Leur corps ne cesse de se rapprocher, ils se pressent et se caressent.

Chacune intensifi leur baiser en se serrant l’une contre l’autre. Tout était parfait maintenant, elles étaiennt heureuse et éperdument amoureuse l’une de l’autre et ne cesser de se le montrer par des geste d’affections.

Leur lèvres se claquent et se goûttent, et leurs regards se dévisagent se parlent longuement et amoureusement.

Zane – oh Giulia …

Elle emmène sa main à sa joue et lui caresse. Toutes deux s’échangent un sourire, et finissent par s’enlacer tendrement. Giulia pose sa tête sur l’épaule gauche de sa bien aimée et lui caresse le dos, lui offrant un délicat baiser. Zane ne bouge pas, juste à sourire et répondre à son étreinte.

Giulia – dis mon amour …
Zane – oui ?
Giulia – et si … Pendant les vacances on allaient à Venise ? Rien que toutes les deux en tête à tête.


La jolie brune sourit, elle lui soulève son menton, et lui murmure en la dévisageant avec tendresse.

Zane – avec toi, j’irais n’importe où !
Giulia – je t’aime.
Zane – je t’aime aussi ma jolie brune !


Elles se sourirent, Zane lui fait un clin d’oeil, et dépose sees lèvres sur les siennes pour un doux baiser. Non décidement tout leur souriait elles étaient heureuse et combler de bonheur ensemble.

Quelques petites minutes après Giulia était parti prendre sa douche, alors que Zane qui c’était déjà raffraîchit se trouve assise sur son lit, muni d’un short blanc et d’un débardeur noir, ses cheveux mouillés lui touchant la poitrine lisait le petit mot que sa jolie blonde lui avait laisser.

Zane * ma chérie, il est vrai que depuis que nous sommes ensemble, je suis la plus heureuse des femmes, tu me comble de bonheur et ne cesse jamais de me faire sourire, tu est l’amour de ma vie … Ma jolie brune, toi qui enflamme et réchauffe mon cœur, tu a sue atiser la flamme, et je suis vraiment éperdument amoureuse de toi, tu est la femme de ma vie mon amour, mon ange, mon cœur, mon rayon de soleil, tu est la cerise sur mon gâteau, la crème de mon cappushino, et je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, et peut être un jour fonder notre famille toutes les deux, je t’aime et te serait à jamais fidèle, Ti amo la mia donna. *

les yeux de la jeune brune se mettent à pétiller, elle caresse le bout de papier et regarde la petite gourmette à son poignet. Sa main droite se pose sur un pendantif en argent que Giulia lui avait offert pour leur toute première Saint Valentin, sur ce petit cœur il y avait le mot ’ Je t’aime ’ et Zane serre le bijou dans sa main, ne retenant pas une petite larme de bonheur.

Elle était si heureuse d’avoir une tel place dans la vie de la seule femme qu’elle aime et désir ardement. Sa main monte à sa bouche et ses doigts caressent ses lèvres, ses yeux se ferment et elle se remémore toute son histoire avec la jolie blonde, elle repense à tout ses moment de joie d’amour et de bonheur, même si quelques fois elles se sont prit la tête, se n’étais rien de méchant puisqu’à chaque fois leur amour grandissait et devenait plus fort.

Elle prend son téléphone, met ses écouteurs et se met une chanson qu’elle aimé tout particulièrement une de Nevio ’ Amore Per Sempre ’ sa tête se pose sur le mur et serrant le bout de papier elle se laisse envahir par la musique.

Zane * Giulia je suis vraiment heureuse avec toi, tu fait tout mon bonheur. *

« It’s only three words
amore per sempre
’cause living this life is all I can do
It’s only three words
amore per sempre
and you always get what’s coming to you
It’s only three words
amore per sempre! »


fredonne doucement Zane en souriant, laissant son cœur s’épanouir. Quelques larmes roulent sur ses joues, c’est la première fois qu’elle était dans cet état, le bonheur avait prit son cœur en otage, et même si elle est de caractère un peu garçon manqué, elle n’en reste pas moins une jeune femme avec ses rêves, ses désirs, et ses sentiments, elle se révèle être une jeune femme sensible et très sentimentale.

Zane – T.I A.M.O.

Elle sourit de nouveau et se laisse bercer par la mélodie. Quelques second après Giulia sort de la salle de bain fraichement lavé, elle porte un petit short noir et un débardeur blanc. Elle se met à sourire en voyant sa bien aimée ainsi, elle s’approche et remarque qu’une larme roule la joue de Zane, inquiète, la jolie blonde s’approche d’elle et s’exclame :

Giulia – ma chérie ça va ?
Zane – viens.


Sans se faire prier, Giulia alla se lover dans les bras de son amour, et entour son dos, et pose sa tête sur son épaule gauche. Zane allonge ses bras sur ses épaules et ses doigts partent caresser sa nuque, lovant sa tête dans son cou, lui offrant un tendre baiser.

Zane – moi aussi … Je souhaite pouvoir bâtir quelque chose de fort avec toi, laisser le temps se faire et qui sait peut être à fonder notre famille, ma Giulia je t’aime plus que tout, et ferais tout pour te garder auprès de moi mon amour.

La jeune blonde se met à sourire, elle se serre contre sa femme, et lui embrasse le cou. Se laissant bercer par le câlin de la jolie brune qui commencer peut à peut à s’endormir. Giulia lui caresse sa chevelure et la câline, elle vint la regarder et un tendre sourire apparu sur ses lèvres en voyant sa douce dormir. La soirée avait était riche en émotion pour les deux, et chacune avaient besoin de repos pour être en forme et pouvoir commencer leur vacances.

Giulia se lève, et alla fermer la lumière, elle se dirige vers le lit, grimpe dessus, et vint retirer les écouteurs des oreilles de Zane qui c’était profondément endormie. La jolie blonde, retire la couverture et couvre sa fiancée, ramenant la couette sur elles, pose sa tête sur son épaule et lui murmure avant de s’endormir à son tour.

Giulia – bonne nuit mon amour.

Elle lui embrasse le cou, et ferme ses yeux, le sourire aux lèvres, elle pose sa main sur le bras droit de la jeune brune, et fini par s’endormir heureuse de sa soirée qui avait était l’une des plus belle.


Chapitre 2 – Tout pour elle.


Point de vue narrateur.

Au alentours de neuf heure, la jolie blonde se réveille, et emet un long baillement. Elle se tourne, et remarque que sa bien aimée n’était pas la, donc elle se redresse et s’étire longuement avant de quitter ses draps et d’enfiler une robe de chambre bleu, qu’elle ferme avec une longue liane. Elle s’attache les cheveux en une queue de cheval, et prend son téléphone qu’elle prit soin d’allumer.

Quand ce dernier s’allume, Giulia remarque qu’elle a reçu des messages, et elle fut surprise du nombre, en effet elle avait reçu quarante messages en une nuit. Elle appui sur message et lorsqu’elle vis qui lui avait envoyé tout ses messages elle referme son téléphone et sort de la chambre pour se rendre dans la cuisine. Le destinataire de ses messages était Emilie, et connaissant cette dernière la jolie blonde ne prend pas le risque de répondre car à tout les coup se sont insultes.

Point de vue Zane.

Alors que je porte mon bol à ma bouche, deux bras s’enroulent autour de mon cou, et des mains se mirent à caresser ma peau. Je me tourne et sourit en voyant que c’était ma douce qui venais de se lever et qui à mon avis n’est pas tout à fait réveillé. Je porte mes lèvres à sa joue et lui embrasse avec douceur prenant doucement sa main dans la mienne.

Moi – bonjour belle au bois dormant, bien dormit ?!
Giulia – oui, très bien.


Elle me sourit et m’embrasse, je sourit et la serre contre moi. Doucement, notre étreinte se desserre, et elle parti se faire son déjeuner. Son portable se met à sonner, et je l’entend râler.

Giulia – pff … Elle peut pas me laisser tranquille.
Moi – c’est qui ?
Giulia – à ton avis ? C’est EmilIe, j’ai reçu quarante sms d’elle pendant la nuit.
Moi – elle deviens lourde avec sa.
Giulia – oui et elle commence sérieusement à m’énerver.


Vraiment, elle commence a être chiante, je n’arrive pas à la supporter, et j’ai horreur de l’opignon qu’elle porte sur les gens, qui est tout bonnement grotesque.

Giulia – va falloir faire quelques chose sa peut pas continuer comme sa !
Moi – oui lui mettre les points sur les i serait une bonne idée, car moi même je ne la supporte pas.
Giulia – on est deux !


Elle se tourne, et me sourit, je lui fait un petit clin d’oeil, et elle vint prendre place à ma droite. Alors qu’elle verse du chocolat dans sa tasse, je lui écarte une mèche de ses yeux, et lui offre un baiser.

Giulia – je t’aime.
Moi – moi aussi ma belle !


On se sourirent, s’embrassent avec douceur, et c’est avec le sourire que je reprend mon déjeuner. Son portable se met de nouveau à sonner, et cela eu pour effet de m’irriter.

Giulia – bon, tu peux voir se qu’elle veux !
Moi – dack.


Je prend doucement le téléphone, et lorsque ce dernier s’allume un doux sourire apparue sur mes lèvres en voyant son fond d’écran de vérouillage qui était une photo de moi avec les cheveux attacher, et juste en bas il y avait un cœur avec les deux première lettre de notre prénom et entre eux un petit plus prenait place, mon cœur se met à cogner fortement … Ah, ma Giulia, que je t’aime, je fait glisser mon pouce et plusieurs cercles apparue, je lui demande :

Moi – c’est quoi ton code mon ange ?
Giulia – la première lettre de ton prénom.


Je sourit, et reproduit le z avec mon pouce. Un autre battement fugace frappe ma poitrine en voyant son fond d’écran d’accueil qui était une photo de nous en train de nous embrasser et juste en bas il y avait écrit ’ la mia donna ti amo ’ je sourit, caresse doucement l’écran, et me dirige vers ses messages.

En effet, c’était bien Emilie qui lui avait envoyé tout ses messages, j’appui sur son prénom, et une fois que je fut sur la page, je remonte mon pouvce afin de tout lire.

Moi * comment as tu osé te l’accaparer ? Tu n’est qu’une salope Giulia, Zane ne te mérite pas, elle mérite quelqu’un de mieux comme moi *

non mais elle croix trop au père noël celle-là, faut vraiment qu’elle arrête son délire, je descend et les second messages eu pour effet de me faire mal au cœur.

Moi * elle a de très belle formes, une généreuse poitrine, de belles cuisses, elle est délicieuse, j’espère que tu ne goûtera jamais à son pêcher qui n’appartiens cas moi, elle est tellement belle, et franchement une femme comme elle ne veux pas passer son temps à faire juste des câlins et se contenter de simple baiser, non une femme comme elle désir beaucoup plus, que l’ont la prenne et la goûte tout doucement *

encore une … Qui me prend pour un objet sexuelle, mon cœur me fait mal, et je sent les larmes me monter aux yeux, ce sujet, j’y était très sensible, ayant subi de nombreuse moquerie là dessus et j’en reçoit encore aujourd’hui. C’est pour sa, que je me suis forgé ce caractère de garçon manqué car avec lui je peut surmonter cet obstacle car en dehors de sa, je suis très sensible, et je peux me mettre facilement à pleurer, seule Giulia connais ce côté là de moi.

Je ferme le téléphone, le pose sur la table et me lève, pour aller prendre un morceau de sopalin et m’essuie les yeux, j’ai horreur que les gens me voie ainsi et me prenne comme bon leur semble.

Giulia – ma chérie ça va ?

Je l’entend se lever, et ses bras entour ma taille, ses mains se posent sur mon ventre, et ses doigts me caressent. Je ne retiens plus mes larmes qui se mettent à rouler sur mes joues.

Moi – j’en est plus qu’assez que tout le monde me prenne ainsi, comme un objet sexuelle, j’en est marre de ceux qui ne pense cas sa, en me voyant, j’en est assez d’être une bête de foire à leur yeux, ils prétend que je suis une femme qui attend bien plus que sa, alors que … Que c’est faux, tout ce que je veux, c’est être aimé, et que l’on prenne soin de moi. Quand es que ce menssonge prendra fin !!!!!

je n’y arrive plus c’est vraiment trop dure, je tape violemment mon point contre le plan de travail et font littéralement en larmes. Je me sent tourné, et mes yeux qui sont rouge croisent ceux de ma douce, qui s’approche et pose ses mains sur mes joue, et repousse mes larmes.

Giulia – chuut … Ne te met pas dans cet état ma chérie, tu n’est pas une bête de foire ou un objet sexuelle, si les gens apprenait à mieux te connaître, ils remarquerons que tu est une femme extraordinaire, une femme qui possède un cœur en or, une femme magnifique avec ses défauts et ses qualités, tu vaut bien plus que sa. Quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi, pour t’épauler, te soutenir et t’aimer, t’aimer du plus profond de mon cœur, car pour moi Zane Kazama, tu est bien plus que sa, tu vaut bien plus que tout ses gens qui te critique, tu est ma femme, l’amour de ma vie … Et même si d’autre te dirons des chose malsaine, dit toi une chose mon cœur … C’est que q’importe la situation les gens qui t’aime vraiment serons ici dans ton cœur, Eric, Lidie, Shishi Dolce, Clément mes parents, et moi même seront toujours la pour toi, et nous t’aiderons du mieux que l’on peut car pour nous tu est importante, et pour moi, tu vaut tout l’or du monde !

Giulia … Je pose ma main sur la sienne, et ferme les yeux. Ses paroles danse dans ma tête et réchauffe mon cœur, je m’avance et me love dans ses bras. Posant mes mains sur son dos et lovant ma tête au creux de son cou côté gauche et pleur doucement en la serrant contre moi.

Moi – merci … D’être toujours là, je … Je ne veux pas te perdre Giulia, tu est tout se que j’ai de plus cher en ce monde.
Giulia – tu ne me perdra jamais mon amour, parce ce que … L’amour que je ressent à ton égard est bien plus fort que ses stupide critiques.


Elle ma soulevée le menton, et me regarde. J’allonge mes bras sur ses épaules, et m’approche d’elle, une larme roule sur sa joue, et sa voix que j’aime tant resonne :

Giulia – tu vaut bien plus que sa, je ne pourrais jamais t’abandonner Zane je t’aime beaucoup trop pour sa.

Ma chérie … Je lui sourit doucement, emmène ma main gauche à sa joue, et lui essui cette dernière avant de poser mes lèvres sur les siennes. Mon dos se colle contre le plan de travaille, et je vint lui caresser sa nuque alors que ses bras caresse mon dos. Sa tête se penche légèrement sur la gauche, et je laisse ma langue allait câliner la sienne, la serrant aussi fort que je le pouvait contre moi.

Je refuse de la perdre, pour cette peste … Je m’y refuse, elle est la seule qui me comprenne et sais me fait sourire et apaiser mon chagrin comme la. Elle est tout … Se que j’ai de plus cher au monde.

Je continue de l’embrasser avec tout l’amour que je ressent pour elle, elle est la femme que j’ai toujours attendue. Et c’est ensemble que l’on surmontera tout. On se décollent doucement, et je lui caresse la joue, elle est tellement belle … Je lui embrasse le bout du nez, et vint la serrer dans mes bras.

Giulia – quoiqu’il arrive, je serait toujours là pour toi !
Moi – moi aussi, tu pourras toujours compter sur moi mon amour, je t’aime.
Giulia – je t’aime bien plus que sa encore !


Ses lèvres caressent mon cou, et ses bras resserent notre étreinte. Au bout de quelques minutes, je me trouver dans la cuisine avec ma mère, Giulia était parti se doucher.

Mère de Zane – tu sais … Tu m’as beaucoup impressionner hier.
Moi – ah bon !
Mère de Zane – oui, toi qui a un trac monstre quand tu montes sur scène, tu m’as impressionner, et puis … C’est tellement beau se que tu as fait et dit.
Moi – c’était sincère maman, je … Je ne montre peut être pas mes sentiments mais je l’aime profondément, et ne souhaite que son bonheur.
Mère de Zane – j’espère que vous serait heureuse ensemble !
Moi – nous sommes déjà très heureuse, tu n’as pas à t’inquiéter la dessus.


On se sourit, et quelques petite minutes après ma douce fit son apparition, elle est vraiment belle, elle porte une robe en jean noir se fermant avec des boutons, des colant noir prend place sur ses jambes, et ses cheveux son retenue par un mini chignon, laissant ses deux longues et fine mèches caresser ses épaules.

Moi – tu est magnifique !
Giulia – merci.


Elle me sourit et se dirige vers nous. Ma mère eu la même impression que moi, je recule avec ma chaise, et vint la prendre dans mes bras. J’entoure sa taille, et lui caresse le dos, alors que ses bras s’allongent sur mes épaules.

Mère de Zane – tu est vraiment très jolie comme sa Giulia !
Giulia – merci Lidie.


Je lui émbrasse sa joue et la câline tendrement. Soudain son téléphone se met à sonner, elle le prend et je remarque que c’est Annette, son dos se pose contre ma potrine, et elle vint répondre à l’apel.

Giulia – oui allo ?
Annette – bonjour ma chérie, comment vas tu ?
Giulia – bonjour maman, ça va très bien et toi ?
Annette – tout vas pour le mieux, dis moi Lidie serait là ?
Giulia – oui , elle est en face de moi.
Annette – pourrais tu me la passer ?
Giulia – oui. Lidie ma mère veux te parler !
Mère de Zane – ok.


Ma mère prend son téléphone, le porte à son oreille, et commence à parler. Je prend doucement sa main gauche, et lui caresse, posant ma tête sur son épaule droite. Je voie ma mère faire un énorme sourire, je me demande bien se que Annette a pue lui dire.

Giulia – au faite mon ange !
Moi – oui qui y a t’il ?
Giulia – Shishi m’a appellé, elle et Dolce veullent nous parler, et il faut qu’ont les rejoingne au parc, sa te dis ?
Moi – tant que je suis avec toi, sa me va.
Giulia – tes vraiment adorable !


Je lui sourit, et lui dépose un léger baiser. La serrant contre moi, et laissant mon cœur s’emporter.

Mère de Zane – bon eh bien, c’est parfait je lui dit, et toutes mes félicitations !

Et c’est avec le sourire que ma mère coupe leur communication rendant le portable à mon amour, que je prit soin de câliner.

Mère de Zane – alors Giulia j’ai deux grandes nouvelles à t’annoncer !
Giulia – ah … Et qu’es ce que c’est ?
Mère de Zane – alors la première Annette et Pierre s’en vont à New York ce soir !
Giulia – quoi ?? mais … Mais pourquoi ?
Mère de Zane - détend toi, ils s’en vont à New York pour la simple raison que Pierre à fait une seconde demande en mariage à ta mère, et ils on décidés de se re marier aux Etats Unis, et la seconde, tu vas être grande sœur !
Moi – mais c’est génial !!


c’est supère, je regarde ma douce qui était encore sous le choc, elle se met à sourire, et tout en mêlant ses doigts aux miens elle s’exclame :

Giulia – mais c’est génial !!! oh mon dieu, moi qui est toujours rêvé d’être grande sœur … Mais si ils partent à New York, je doute qu’ils veulent de leur fille se qui est logique, je vais aller où alors ?
Mère de Zane – ici !
Giulia – comment ça ici ?
Mère de Zane – Annette ma demander si on pouvais te garder pendant quelques mois, et j’ai dis oui !
Moi – et tu ne dérange pas, ici, tu est la bienvenue.
Giulia – comment tu sais que j’allais dire sa ?!
Moi – n’oublie pas que sa fait deux ans que nous somme ensemble et que plus les jours passe et mieux j’apprend à te connaître ma chérie.
Giula – toi alors …


Elle me sourit et dépose ses lèvres sur mon nez. Je sourit, ferme les yeux et me laisse envahir par le bien être et le plaisir. Après sa, je suis aller m’habiller … J’enfile un slime noir, un débardeur noir surmonter d’un tee-shirt blanc avec des strasse formant une tête de mort, une ceinture grise avec le sigle de Dloce & Cabana.

Je me dirige vers la salle de bain qui est incorporé dans ma chambre, et me rend jusqu’au lavabo, ou je prit une brosse et commence à me coiffer. Pendant de longues minutes je me regarde, j’aimerais tant que tout ses dire cesse, parce ce que même si je suis de caractère un peux garçon manqué, je suis très sensible, et cela faisait longtemps que je n’avais plus pleuré comme ce matin.

J’esquive un sourire, continue de me coiffer, et pense à ma douce, j’ai vraiment beaucoup de chance de l’avoir à mes côtés, elle est celle qui réchauffe et enflamme mon cœur, je l’aime d’un amour sincère et véritable et n’espéré qu’une chose, celle de la garder à jamais auprès de moi et mon cœur.

Je pose la brosse, prend mon laïner, et commence à tracer une fine ligne noir au dessus de mes paupières. Je rebouche le stylo, le pose et retourne dans ma chambre, afin de me chausser. Je prend des bote noir à talon pas très haut, et les enfile, pour après mettre des petites mitaine à mes mains, me parfume légèrement, et une fois prête, prend mon téléphone, sort de ma chambre, et descend les escaliers.

Arrivé en bas, je remarque que ma mère avait Giulia dans ses bras, et cela eu pour effet de me faire sourire. Je me cale à côté du mur et écoute. Elle lui soulève le menton et s’exclame :

Mère de Zane – je ne sais pas se que tu as fait pour que ma fille soit dans cet état, mais je t’en remercie du fond du cœur Giulia, tu sais, Zane n’a pas souvent le sourire du à tout se qui se passe, et je suis sûr qu’elle avait une bonne raison de nous cacher votre relation, tu sais elle ma beaucoup impressionné hier, elle qui a un trac fou dès qu’elle monte sur scène, à croire que l’amour a réussi à la changer ! Tout se que j’espère c’est que tu la rendra heureuse tout au long de sa vie que tu puisse la faire sourire, rire … Car elle a beau avoir un caractère de dur, elle reste une jeune femme très sensible et sentimentale. Je te confit ma fille Giulia, prend en grand soin.
Giulia – tu sais Lidie … J’aime Zane profondément, pour moi, elle est tout ce que j’ai de plus cher au monde, elle est … Ma moitié, mon rayon de soleil, ma femme mais elle est avant tout ma plus belle histoire d’amour, j’en suis éperdument amoureuse, et je suis vraiment la plus heureuse, car Zane est tout se qu’un homme ou une femme puisse rêver d’avoir, elle est douce, adorable aimante, câline fofolle, mais c’est pour toute ses chose qui font d’elle la femme que j’aime et désir plus que quiconque sur cette terre, alors aussi longtemps que je serait sur cette terre, je ferais tout pour la rendre heureuse, parce ce que pour moi elle est la plus belle des mélodies !


Mon cœur se met à cogner fortement contre ma poitrine, mes yeux se ferment et un sourire heureux naquis mes lèvres, Giulia … Mon amour, si tu savait à quel point tes mots me font du bien, je ne regrette pas notre union, et suis fière d’avoir une petite amie telle que toi.

Je me dirige vers elle, et une fois à sa hauteur, je vint l’enlacer posant mes mains sur son ventre et ma tête sur son épaule droite et posa mes lèvres sur sa joue, fermant mes yeux, la berçant tendrement contre moi.

Moi – je t’aime !
Giulia – moi aussi ma chérie.


Ses mains se mêlent aux miennes, et ses doigts me caressent. Je me sent exésivement bien comme sa avec la femme dont je suis follement amoureuse.

Mère de Zane – tu voies Giulia, je ne sais pas se que tu lui a fait mais je suis heureuse de la voir ainsi !
Moi – ce qu’elle ma fait … Elle me rend éperdument heureuse, et ma permise de faire confiance en l’amour, elle est … La femme parfaite à mes yeux, et pour rien au monde … Je ne veux la perdre pour de stupide sourires de satisfactions, elle est … L’amour de ma vie, ma Giulia !


Elle me sourit, et m’embrasse la joue. Oh ma Giulia que je t’aime, mais dieu que je t’aime. Ma mère a le sourire aux lèvres, et je lui dit en posant ma tête sur son épaule :

Moi – dit toi que … Ta fille est vraiment la plus heureuse et que jamais elle ne perdra ce sourire.
Mère de Zane – Zane …
Moi – et sa … Grâce à elle !
Giulia – mon amour je …
Moi – chuut …


Et sans la laisser finir je dépose mes lèvres sur les siennes, lui offrant mon cœur, je suis vraiment heureuse, et espère de tout mon cœur l’être encore pendant longtemps.

Quelques minutes après, Giulia et moi étions parti direction le parc, main dans la main, un panier à la main puisque nous allions finalement pique niquer au parc avec les filles, et chacune de nous n’avaient pas oublier le cadeau pour Shishi et Dolce.

Arrivé à l’entrée du parc, je m’arrête en voyant qu’elle était la. Je ne voulais pas la voir, sinon sa allait mal se terminer, et je n’avait aucune envie de gâcher ma journée avec Giulia.

Giulia – ça va mon cœur ?
Moi – oui, bon eh bien retiens moi si je dois commettre un meurtre.


Elle tourne sa tête, et cette dernière se défigure envoyant cette peste. Je serre sa main, et commence à m’avancer. Je fut stopper, et au moment de me tourner ma jolie blonde me dépose un baiser. Je sourit, et lui rendit avec tendresse. Nos lèvres se claquent et se caressent, jusqu’à se qu’elles se séparent, et je vint lui offrir un doux sourire.

Giulia – ne t’inquiète pas, moi je suis là !
Moi – je le sais oui, et c’est bien sa qui me rend heureuse.


On se sourit, et on poursuit notre chemin vers les filles. Arrivé prêt d’elles, Shishi nous sauta au cou, et Dolce nous fit la bise.

Dolce – vous êtes vraiment très belle les filles.
Giulia/Moi – merci !!


on leur sourit, et je parti m’asseoir prêt d’un arbre, et Giulia vint se lover dans mes bras. J’entoure sa taille et pose mes mains sur son ventre, alors que ses doigts se mêlent au miens, sa tête se pose sur mon épaule droite, et alors que son dos se colle contre moi je pose ma tête sur son épaules gauche.

Shiwa – alors qu’es ce que vous nous avez fait de bon à manger ?
Giulia – espèce de petit goinffre, tu pense déjà à manger.
Dolce – en même temps …
Moi – c’est Shishi.
Shiwa – eh … C’est pas drôle !!


je me suis mise à rire doucement, et lui est posé un doux baiser sur sa joue, la serrant contre moi. Elle est vraiment belle habillé ainsi, ce n’est pas souvent que nous pouvons la voir en robe.

Shiwa – eh mais, c’est que Giulia c’est mise en robe !
Dolce – oh oui, c’est rare de te voir comme sa.
Emilie – un sac poubelle lui aurait mieux convenue !
Moi – eh … Baisse d’un ton, et je ne te permet pas de l’insulter.
Emilie – oh la pauvre, c’est qu’elle a besoin de se faire protéger !


Je vais lui en coller une, je le sent fort. Giulia se défait de notre étreinte, et sous mes yeux intérogateur je la suit. Elle se baisse se mettant face à Emilie et dit d’un ton très calme :

Giulia – c’est bon, tu as fini ? Car j’en est tout à ton honneur !
Emilie – non ce n’est pas fini, si tu savait à quel point je te haie, tu n’est bonne cas apporter le malheur … Non franchement Zane mérite beaucoup mieux que sa.
Giulia – Emilie ?
Emilie – quoi ?
Giulia – et si tu fermer ta bouche pour une fois ? Qu’en dit tu ?


C’est incroyable comment elle peut rester calme avec ce que cette peste lui dit, se qui m’énerve encore plus, on les suit du regard, et toute deux se lève, toujours face à face.

Emilie – et tu croix que je vais t’écouter ? Sans rire, arrête avec tes bonne manières !
Giulia – je peux savoir pourquoi tu me déteste ? Car à preuve du contraire je ne t’ai jamais insulter ou quoi que se soit d’autre.
Emilie – ce que tu m’as fais ? Tu oses me le demander ? Je vais donc être gentille et te raffraîchir la mémoire … Depuis que tes arrivé dans ce bahu, tu tes accaparé tout le monde, tu as même réussi à te mettre dans la poche la fille que j’aime le plus au monde, et sa … En faisant rien, juste à sourire, tu me dégoûte Giulia, comment oses tu être avec elle, elle mérite beaucoup mieux que sa, quand on la voie, on voie bien que c’est une femme qui veux plus qu’un simple baiser ou câli …


Elle venait de tomber sur le sol, sa main sur sa joue, Giulia venais de la giffler, et je suis vraiment fière.

Giulia – comment oses tu parlait d’elle de cette manière, tu ne la connais même pas, c’est toi qui me dégoûte, tu est puéril ma pauvre Emilie, Zane est loin d’être un objet de désir pour autrui, c’est avant ou une jeune femme avec ses sentiments, son amour propre, ses défauts et ses qualités, toi tu ne l’aime juste parce qu’elle est belle et qu’elle a de jolie forme, alors que moi, moi je l’aime pour ce qu’elle est, je la prend tel qu’elle est avec ses défauts et ses qualités, tu dis la connaître mieux que moi, mais en vérité tout se que tu cherche à faire c’est lui faire du mal, as tu pensé une seule fois à ce qu’elle pouvais ressentir, tu sais pourquoi je te déteste tant ? Tu as osé la faire pleurer, la faire souffrir, elle la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle qui est tout se que j’ai de plus cher au monde, tu croix sincèrement que je suis avec elle uniquement pour sa ? Mais si c’était le cas je serait déjà parti, bordel Emilie c’est de Zane que l’ont parle, elle a toujours était là pour toi, et toi comment tu la remercie en la salissant, et en la faisant pleurer ? Mais sache une chose, tu auras beau monter tout le monde contre moi, dit toi bien que je ne la laisserais jamais partir, je ne suis pas stupide au point de croire à des rumeurs car je la connais suffisament pour savoir de quoi elle est capable, alors qu’elle, tout se qu’elle demande, c’est que qu’importe les moments les situations c’est que l’ont puisse l’accepter tel qu’elle est sans lui porter de préjuger, alors si je te voie ne serrait-ce une seule fois toucher un seul de ses cheveux Emilie, tu auras faire à moi, je peux supporter beaucoup de choses, que l’ont m’insulte, me tire les cheveux, mais que l’ont touche à ma femme, c’est une chose que j’insupporte, ta compris !
Emilie – bon j’ai plus rien à faire ici j’me barre.
Giulia – c’est sa, dégage, et ne reviens plus !


Et elle est parti rouge de honte. Je regarde Giulia qui est toujours dos à moi, et je ne pue m’empêcher de sourire, se qu’elle a dit à mon propos me touche beaucoup, je l’aime … Sans qu’elle ne s’en rende compte, elle viens de me prouver qu’elle est celle que j’ai toujours attendue, et que je ne regrette pas de lui avoir confier mon cœur.

Shiwa – alors la … Chapeau, tu as tout mon respect Giulia, tu as réussi à lui cloué le bec une bonne fois pour toute, et surtout … Tu as sauvé l’honneur de notre meilleure amie !
Dolce – et pour nous c’est une très belle preuve d’amitié !
Moi – tu viens de m’offrir la plus belle preuve d’amour Giulia, merci.


Elle c’est tournée vers moi, ses yeux brillées, je sourit, et lui tend mes bras, pour qu’elle vienne s’y lover. J’entour son dos, et de ma main gauche, je vint mêler mes doigts dans sa chevelure.

Moi – merci beaucoup pour ce que tu as fait, tu m’as prouver à part b que tu est celle que j’attendais, merci mon amour !
Giuilia – si je les fait, c’est parce que je t’aime éperdument, et que pour moi tu est la femme de ma vie jolie brune !
Moi – Giulia …


Je lui caresse la joue, et lui offrit mes lèvres pour un long et doux baiser. Je ne sais vraiment plus ou me donner de la tête, c’est une très belle preuve d’amour qu’elle viens de me faire … Et j’en suis vraiment heureuse. Ah ma Giulia.

Shiwa – oh … Que c’est mignon, elles vont vraiment bien ensemble !
Dolce – maintenant que l’ont sais qu’elles sont ensemble, c’est très dure de les voir l’une sans l’autre.


Je sourit, et doucement notre baiser prit fin et laisser place à un câlin. Je lui caresse son ventre, alors que ses mains caressent les miennes.

Giulia – bon alors, à vous deux maintenant, c’est quoi cette chose importante que vous vouliez nous dire !
Dolce – on vous dit merci, car c’est grâce à vous !
Moi – comment sa ?
Shiwa – nous sommes ensemble !
Giulia - quoi ? C’est vrai ? Mais enfin c’est supère !!!
Moi – toute mes félicitations les filles, mais pourquoi c’est grâce à nous ?
Dolce – hier quand tu as fait ta déclaration et ta demande, sa ma ouvert les yeux, quand je vous ai vue vous embrassez devant tout le monde j’ai sourit et je me suis dit, qu’enfin de compte l’amour entre femmes était possible, et je me suis lancé et je lui est dit se que je ressent.
Shiwa – merci les filles !
Moi – bin, ravie de vous avoir aidé.
Giulia – tu as vue, on fait de l’excellent travail.


Je me met à rire en l’entendant dire sa, et mon rire fut suivit bien vite. Shiwa c’est rapproché de nous et nous a passé deux paquets cadeaux que l’ont prit. Ont leur donne nos cadeaux, et chacune commencent à ouvrir son paquet. Pour ma par j’eu droit à quelques bijoux tel qu’un bracelet noir avec des pic, ou bien un collier noir avec des diamant dessus.

Ma douce reçu une chemise de nuit bleu avec un chat avec un bonnet sur la tête, et en haut il y avait son prénom.

Giulia – j’adore, merci beaucoup les filles, et joyeux noël !
Shiwa – merci à vous, et très bon noël.
Dolce – merci !
Moi – de rien.


On se sourit, et les filles mettent se que nous leur avons offert qui était des boucles pour Shiwa et un colier avec une plume pour Dolce. Après et pour le plus grand bonheur de Shiwa nous avons commencé à manger. Des sandwishs au jambon des ships, et une canette de coca pour chacune.

Shiwa – oh c’est très jolie, c’est Giulia qui te l’a offert ?
Moi – oui !
Dolce – c’est supère mignon, et une question les filles, maintenant que vous l’êtes officiellement, vous compté le faire où votre mariage ?


Je sourit, et la serre contre moi, je porte ma canette à la bouche et boie une gorgé de mon coca.

Giulia – peut importe l’endroit ou même l’heure, le plus important c’est que nos cœurs soient uni !

Je sourit, lui embrasse la joue, et la serre d’avantage dans mes bras.

Moi – hm … Et peut importe le lieu, du moment que nous sommes ensemble, c’est le principale !
Giulia – oui, uni à tout jamais !
Moi – pour la vie.


Lui murmurais-je à l’oreille, allant embrasser sa tampe. Ses yeux croisent les miens, et je lui sourit caresse sa joue, et lui offre un clin d’oeil.

Dolce – dis Giulia pourquoi ta autant le sourire ?
Shiwa – c’est vrai sa !
Moi – ah oui, c’est vrai qu’il lui est arrivé de bonne chose ce matin !
Dolce – ah, tu est allé chez elle ?
Giulia – j’y ai dormi.
Shiwa – wath the fuck, allait qu’es ce qui t’arrive ?
Giulia – ah non mais je vous jure celle-ci … En faite, mes parents compte se re marier, ils partent à New York ce soir, et je vais être grande sœur.
Dolce – mais c’est supère sa, mais du coup tu vas dormir où ?
Giulia – avec ma femme.
Shiwa – pourquoi je suis pas étonné ?


Je sourit, et ferme les yeux quelques minutes posant ma tête contre le tronc, laissant le vent caresser ma chevelure, et pense à tout se qui c’est produit durant ses deux ans.

Dolce – oh, Zane tu dors ?

C’est vrai qu’en y repensant, je n’aurais jamais crue avoir assez de courage de lui avouer ce que je ressent … Je n’arrive pas à croire que l’amour, son amour est pue me changer à ce point, savoir qu’elle est ma femme, me rend forte et fière, j’ai envie de soulever des montagnes, de tout faire pour rester avec elle, car il est vrai qu’avec tout se qui se passe il me suffit que je pense à elle et à notre couple pour que mon cœur s’appaise.

Shiwa – ou ou, Zane … C’est plus l’heure de dormir.

Je sent une main sur ma joue, sûrement la sienne. Je la prend délicatement, et colle ma joue gauche contre. Mes lèvres lui embrassent le creux de sa main, et ses doigts me caressent la joue. Son souffle chaud caresse ma peau, et sa voix que j’aime temps résonne au creux de mon oreille.

Giulia – je t’aime ma chérie !

Ses lèvres se collent à ma joue droite, et m’embrassent. Je sourit, et me laisse envahire par ce bonheur. Je tourne doucement ma tête, et alors que ses yeux s’ouvrent, ma bouche caresse la sienne. On se regardent longuement et je lui sourit pour finir par l’embrasser. Sa main caresse ma joue, et la mienne se mêle dans sa chevelure chocolat, elle se rapproche de moi, et aprofondit notre baiser qui se fit plus doux et amoureux.

Nos lèvres se claquent se caressent, et nos yeux s’ouvrent pour ainsi se dévisager.

Moi – moi aussi mon amour.

On se sourit, et avec tendresse, je vint lui faire un câlin qu’elle me rend avec bonheur. Shiwa et Dolce nous regardent avec un sourire accroché aux lèvres.

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Sam 28 Déc 2013, 17:40 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

L'amour est-il un crime ? chapitre 3

Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.

Chapitre 3 : Attirance et amour

Point de vue Narrateur.

Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.

Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?

Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.

Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?

Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :

Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !

La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :

Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !

Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.

Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!

Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.

La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.


En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.

Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !

Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :

Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.

Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.

Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.

Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.

PDV Michiru.

Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.

C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :


« Fais attention quand tu rentres »

je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.

Je décide donc de lui répondre.

« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »

et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.

Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.

Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.

Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?

À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.

Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.

À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?

Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.

Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :

Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!

on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.

Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.

Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.

En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.

En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.

Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.


Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.

Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.

Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde s’éloigner et mes yeux la détail de plus prêt.

Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?

Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.

Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !

Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.

Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.

Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.

Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !

Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?

Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.

Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.

Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !

Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.

Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.

Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.


Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.

Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.


Haruka – Je t’aime Michiru.

Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.

Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.


Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^

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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Les sables amouvants de jime

un texte poignant, fort beau tout en emotion;;le temps qui defile vite et qui nous rapelle des souvenirs d’antan mais gravé a jamais dans notre mémoire...merci jime j’ai aimé votre texte amicalement caressedesyeux
Mar 02 Avril 2013, 17:21 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

La lettre de romeo

Juliette, ma tendre, ma très chère et adorée
Enfin voyons, comment de toi, de nos souvenirs
Ma mémoire d’une coupable perte pourrait effacer
Les moindres traces et signes que de nous je respire ?
Même si cette longue et forcée entracte à Londres
A ce de douloureux, d’attiser ton vide à m’y morfondre
Dans de tristes et pâles évanescences qui s’effondrent
Un peu, sur chacun des mots choisis pour te répondre
J’exhale à foison les visions à chaque instant de ma vie
De nos longues et belles promenades en ces après-midi,
Ces précieux instants aux soleils où nous nous offrions,
A la lecture rythmée et symétrique de communs horizons.
J’ai d’une rare portée, dans les moindres de mes pensées
Les grâces sibyllines des ciels cléments qui nous drapaient,
Les clairvoyances transparentes des eaux où tu te baignais
Emprunts des reflets bleutés sur ta peau nymphée de déesse.
Je veille les plus petites gouttes de nos rires feutrés d’ivresse
Des parfums inhalés jusqu’à tard dans le lent déclin du jour.
Ne doute pas enfin que je renferme en moi tes doux et tendres
Gémissement accordé de plaisir que parfois je crois entendre
Ici, dans ce lieu de solitude, où tout de torture me brûle de toi.

JIME
Mar 05 Mars 2013, 16:14 par Jime sur L'amour en vrac

D'un soir

Le silence cotonneux un soir à cet étage
Vide des gens du jour déjà rentrés chez eux
Nos présences tardives avec pour seul bagage
De hautes envies d’ébats se lisant dans nos yeux
Comme une récompense d’être resté si tard
Pour extraire le sensuel, l’excitant exutoire.
Elle, une chance vêtue en si court de sa grâce
Me souffle un long bonsoir auquel je ne fais face
Je la retiens par la main, cela fait si longtemps
Qu’elle vit recluse dans mon convoitement.
Elle se laisse faire lascive comme à une évidence
Et déjà sans un mot elle se dit consentante.
De cet accord tacite quelques approches lentes
Au rythme de nos corps qui sans bruit se balancent.
De frêles carrés de peau sous des bouches gourmandes
Puis les armes intimes comme ultimes offrandes.
Elle m’interpelle doucement de ses doigts cavaliers
M’agite quelques instants avant de m’avaler.
Les minutes se figent, mon sang me coule averse
Une explosion des sens tout en moi me traverse ;
D’une invitante posture s’enroule autour de moi
Liane serpent, qui me pousse en elle, à jaillir dans l’étroit.
Dès lors tout n’est plus que saccades, soubresauts et soupirs
Envolées frénétiques dans cet intense plaisir.
Cramponnés l’un à l’autre nous nous abandonnons
Dans l’estocade ravageuse portée au plus profond.
Je me parsème en elle dans son beau regard bleu.
De guerre lasse, le repos, allongés tous les deux
Nos corps encore frissons des braises de ce feu
Se séparent enfin marqués de la mémoire
D’avoir troublé à cet étage le silence cotonneux de ce soir.
Puis chacun se laisse filer sur la route de sa nuit
Demain un autre jour, surement d’autres envies

Jime
Mar 26 Fév 2013, 10:48 par Jime sur Les liaisons sulfureuses

Amour au clair de lune.

J’étais partie pour une croisière ; destination : L’ÉGYPTE
Ce soir-là était une soirée spéciale pour nous souhaiter la bienvenue. La musique, les gens, l’excitation du voyage, cela faisait beaucoup de bruit et d’effervescence. L’atmosphère, l’agitation, la fatigue me décidèrent à quitter la salle rapidement.
Accoudée à la balustrade du bateau, j’eus droit à un spectacle naturel de toute beauté. Au pittoresque paysage vanté par un chant des cigales s’était jointe une agréable brise légère sur fond de magnifique clair de lune. L’astre nocturne resplendissait dans sa plénitude juste entachée par un nuage à forme de loup. Pourquoi un loup ? Pourquoi pas après tout. Mon imagination cavalait sans doute sur les ailes du souvenir d’une ancienne lecture. J’en étais à fouiller ma mémoire lorsque, soudain, surgit à côté de moi un homme. L’individu, d’une carrure impressionnante, aux cheveux d’ébène et au regard de braise, tenait dans ses mains deux coupes à champagne. Il m’en tendit une sans dire un mot.
Puis, dans la foulée, comme s’il continuait une conversation brièvement interrompue, il me raconta une très belle histoire. J’étais à la fois intriguée par sa présence, fascinée par sa prestance et hypnotisée par sa voix douce et chaude...
C’est tout ce dont je me souviens et la suite me reste un mystère car tout ce que je sais c’est que je me retrouvai confortablement installée dans une cabine sur un moelleux canapé. Dans la pièce il n’y avait personne, et je commençais à me sentir mal à l’aise. Quelque chose, ou quelqu’un, entra dans la chambre. Je ne distinguais pas bien dans cette obscurité, mais je sentais nettement une présence. Un animal vint se coucher à mes pieds. J’aurais été incapable de dire à quelle race il appartenait. Un frisson me parcouru l’échine en me rendant compte de la précarité de ma situation.
J’en étais à envisager les différentes solutions pour me sortir de ce pétrin lorsqu’une porte s’ouvrit et qu’un homme entra. Le même individu que toute à l’heure ! Celui-là même qui m’avait tendu une coupe de champagne et à qui je devais, probablement, de me trouver dans cette salle avec un énorme chien-loup à mes pieds. Indifférent à mon angoisse, ou était-ce pour me mettre encore plus mal à l’aise, il me parla de son animal et enchaîna nonchalamment sur toutes ces histoires de transformations qui ont lieu, paraît-il, lors de la pleine lune. Mi-effrayée, mi-perplexe, je restais néanmoins sceptique sur son argumentation n’ayant jamais vraiment cru à ces histoires. J’avais, bien sûr comme la plupart, lu des romans de fiction sur le phénomène mais je n’en étais pas vraiment convaincue.
Nous en étions à débattre de la possible réalité de cette singularité lorsque son chien-loup se rappela brusquement à mon esprit en se levant subitement et en disparaissant par la porte de derrière.

Soudain plus détendue, je lui demandai comment j’étais arrivée là et ce qu’il voulait de moi. Sans un mot, il mit sa main sur la mienne, l’air calme et serein, et je me sentis aussitôt en confiance. Je savourais ce moment de bienheureuse quiétude lorsqu’un autre homme fit irruption par la même porte que le loup avait empruntée. Je remarquai à l’instant où mes yeux se posèrent sur lui l’étonnante ressemblance avec le gentleman qui me tenait la main. Il devait s’agir, à coup sûr, de frères jumeaux ! Sans quitter ma main et me fixant tendrement, il me déclara sa flamme. Puis, il me raconta son histoire. Déconcertée, je ne savais plus où j’en étais. Je flottais en pleine fantasmagorie ! Certes, il me plaisait, et j’étais très attirée par lui. Son physique, sa prestance faisaient que je le désirais, mais étais-ce de l’amour ou juste une attirance animale ? Il s’approcha et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Son baiser fut si léger que je crus l’avoir rêvé. Devant mon consentement, il recommença. Mais cette fois il était plein de fougue et d’intense passion. Mon cœur se mit à battre à grands coup de tambour...

La pleine lune se dévoila soudainement, et il empoigna mon visage de ses mains continuant de me dévorer de baisers. Bien malgré moi, j’avais cette peur au ventre qu’il ne morde mon cou. C’était fou car je l’aimais mais ne voulais pas devenir comme lui. Mes inquiétudes étaient infondées car rien de ce que je redoutais ne se passa. J’étais bel et bien amoureuse et je ne désirais plus le quitter. Mon avenir était dorénavant avec lui.
Dim 23 Déc 2012, 15:04 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

L'ascenseur

Elle était d’un commun qui semblait du banal
Dans son grand manteau brun et sa p’tite queue de cheval
Pourtant à bien y regarder, elle avait quelque chose
Qui faisait d’elle comme un attrait, charme dont parfois on dispose.
On venait d’embarquer dans le même ascenseur
Cette cabine métallique qui à moi me fait peur.
Pour occuper le temps de notre élévation
Je fredonnais mollement un air d’une chanson.
Par quelques courtes œillades je zyeutais cette femme
Qui l’instant d’un trajet avait rejoint mon âme.
Je la surpris maintes fois faisant de même pour moi
Si bien que du hasard il n’y avait de quoi.
En revanche que penser quand la boite s’arrêta
Dans un bruit de ferraille qui vraiment m’affola.
Voilà des circonstances qui tombaient plutôt bien
Pour qui voudrait trouver comment lui faire du grain.
Seulement mon cœur me tournait mal en point
M’empêchant par le fait de saisir le destin.
Me voyant défaillir elle me saisit la main
En m’disant des « monsieur calmez-vous tout va bien »
Puis elle plaqua ma paume sur l’un de ses deux seins
« Sentez mon cœur » dit-elle, « de la peur il n’est rien »
« Par contre » susurra t-elle « j’aurais quelques regrets
Si de cette occasion nous ne pouvions profiter
Personnellement je ne suis pas pressée
Les secours ont le temps avant d’être alertés »
Elle ouvrit son manteau qui me la révéla
Entièrement nue dessous, juste une paire de bas.
La fille était pas mal et joliment bien faite
Je sentis dans le bas que la chose était prête.
« Oui bien sûr » soufflais-je pateusement
« Sachez que sur ce point je vous rejoins pleinement »
Sa bouche se jeta sur la mienne
Puis je sentis sa main sur ma région pubienne.
Moi-même, je ne restais sans rien faire
Lui caressant du mieux, son ferme et doux derrière
Mon pantalon tomba, suivi de mon caleçon
Parachevant ainsi, ma vive excitation.
Tout en se retournant elle ôta son manteau
Vint se coller à moi en me tournant le dos.
« Venez en moi, plantez moi votre engin ».
De quelques doigts agiles je cernais le terrain,
Une grotte bien huilée dans laquelle je glissais.
En rythme soutenu j’allais et je venais
La sentant se cabrer à chaque de mes piquées
Elle se mit à gémir du bien que ça lui faisait
S’agitant le fessier pour je rentre mieux
En quelques déhanchements ce fut le délicieux
J’explosais mon tout moi, l’entendis jouir aussi.
Haletants du combat, nous restâmes ainsi
Accolés l’un à l’autre pour reprendre nos esprits.
Nous entendîmes du bruit dans la cage d’escalier
L’ascenseur s’ébroua, se remit à marcher
Des gens ont dû prévenir le voilà réparé
En prestes mouvements nous fumes rhabillés
Les portes coulissèrent nous étions arrivés.
Dans un demi-sourire et des yeux malicieux
Elle me dit je ne sais, vous dire merci monsieur
De ces frissonnements qui me furent merveilleux
Sachez pour la mémoire que je m’appelle Elise
Elle se hissa vers moi et me claqua la bise,
Puis d’un pas sur et leste elle fila de ma sphère.
Voilà qui me réconcilie avec cette boite en fer
Pensais-je en moi qui n’étais pas peu fier
Ah de ce bon coup-là dont je me souviendrais
Comme d’un encouragement à plus prendre l’escalier.
Jime
Lun 12 Nov 2012, 13:34 par Jime sur Les liaisons sulfureuses

Passage à l'acte

Une heure du matin.
Dans cette rue sordide.
Des femmes alignées comme des réverbères, le long de la rue.
A leur manière d’ailleurs, elles éclairent.
Elles aussi.
La vie de certaines âmes. En peine.
Comme la tienne ce soir un peu.
Une heure du matin, et toi tu es là.
A trainer, à épier, à atermoyer –j’y vais, j’y vais pas.
Tu te sens encore emprisonné dans une sage attitude de circonstance.
A peine naturelle.
L’envie de braver l’interdit. Pourtant.
Flirter temporairement avec le mauvais genre.
On devient vite n’importe quoi….
Une du matin, liberté providentielle.
Une heure du matin, tu es dans cette rue blafarde.
Mal éclairé, parmi une faune où tu ne te reconnais pas
L’envie qui te tiraille dans le bas ventre t’attire inexorablement,
Lentement, inéluctablement, vers la bassesse. La chose coupable.
Une heure du matin, elle est là comme les autres.
Mais elle t’attire plus. Pourquoi ?
C’est elle. Ce sera elle.
Sa posture incitatrice, son déhanché furtif
Ont raison de tes derniers renoncements, si faibles.
Tu t’approches.
Sa silhouette fluette, sa chevelure sauvage, son air d’à peine 20 ans…
Ses deux grands yeux noirs te fixent, un sourire lui échappe.
Ton embarras de la situation.
Tu n’oses plus la regarder.
Comme par peur de regretter ton choix, regretter tout court, t’enfuir,
Faire demi-tour, pleurer, te maudire, te vomir.
Tes yeux couards cloués dans le sol.
Ils captent cependant ses fines jambes habillées de bas résilles
Plantées dans des chaussures à talons aiguilles
Qui attisent un peu plus ton excitation.
Devenue désormais irrémédiable.
Elle ouvre sa grande bouche
Qui a déjà dû malgré son jeune âge apparent
Accueillir bon gré mal gré des centaines d’hommes de tous horizons….
Un « Bonsoir vous montez ? » claque dans ta sphère
Surpris par le vouvoiement. Comme un respect.
Du coup tu restes silencieux, comme mortifié.
Elle relance, professionnelle
Le prix pour une fellation, le prix pour l’amour.
Quel amour ?
Tu ne te souviens pas de ta réponse exacte.
Ni du portillon franchi à la hâte.
En revanche, tu revois l’escalier dans lequel
Milles pensées défilent à la vitesse de l’éclair,
Où chaque marche gravie te fait osciller entre
L’amertume du regret et le stimulus de la scène qui se joue.
L’appartement. L’odeur d’un parfum fort, enivrant.
Une lumière tamisée qui t’inspire la honte.
Tu payes. Glauque.
Elle se déshabille.
Tu la regardes, un peu statufié. Exitation latente. L’attente.
Elle te dit d’en faire autant.
Exécution machinale, de manière saccadée.
Lentement comme pour retarder le moment. Paradoxal
Dialogue minimum.
Tu te sens comme un petit garçon en train de faire une bêtise.
« Tu viens ? »
Elle est allongée, nue, offerte, jambes écartées,
Et tu t’attardes un instant sur ce sexe qui t’attend.
Rasé. Béant. Suintant le passage des autres.
"Viens"
Tes yeux te piquent, tes mains sont moites, ta bouche pâteuse.
Tu t’allonges à ton tour, coiffé d’une gêne palpable.
Et d’un préservatif.
Où est donc passé ce mâle que tu croyais être ?
Si sûr de lui, si dominant, fort comme Dieu.
Sur ce lit d’infortune, tu ne le vois pas.
Il n’y a que toi, vide de ce que tu es,
Mais plein de honte.
Mais le sexe déjà raide.
Qui s’enfonce en elle. Façon vaseline.
Passage à l’acte.
Tu as quitté cette pièce façon dérobade, sans gloriole.
Tu as essayé de remettre à leur place l’ordre des choses
Marchant des heures vers nulle part.
5 heures du matin, tu es rentré chez toi.
Pas sommeil.
Tu as fait le tour de la maison vide,
Pour t’assurer que le silence qu’il y régnait
Etait bien celui auquel tu aspirais à ce moment-là.
Oui, personne pour te surprendre.
Digérer seul ton écart.
Tu n’oses pas aller t’étendre sur le lit. Conjugal.
Comme si tu pensais ne plus y avoir ta place.
Assis dans ton fauteuil.
Tu te repasses en boucle certaines images
Elles semblent vouloir s’incruster de force et violer ta mémoire.
Te punir. Peut-être.
Jime
Jeu 12 Juil 2012, 15:29 par Jime sur L'amour en vrac

Viens...

Certaines nuits, ça lui revenait en mémoire comme une obsession.
Elle était sur lui et le rythme était doux. Il avait ses mains sur ses hanches, elles accompagnaient les mouvements onduleux de la belle que le plaisir berçait, guidé par les reins de son homme. Tout leur désir de l’autre en émoi.
Il lui disait « viens » dans son souffle.
Ca l’emmenait haut ce mot, très haut. C’était donc si haut le septième ciel ?...
... et elle se sentait venir... s’engourdir, accélérer la cadence mais à peine, puis relâcher le contrôle pour s’abandonner à l’orgasme imminent.
Impossible de s’arrêter, rien n’y pouvait plus rien. Elle a gémi. Doucement, sans trop de bruit, sans violence. Elle a joui seule puisqu’on lui offrait.
La belle a senti monter la substance, l’envahir et la prendre entièrement. Son corps ne lui appartenait plus, il était ailleurs ; quelque part au-dessus. Il se contractait, se relâchait, s’extasiait pour enfin, essoufflé.... se discipliner et la laisser entre deux sursauts, discrètement le ré-habiter.
La folie de ses sens vaincue, elle entendit à nouveau. Elle sentait à nouveau les mains de son homme glissaient sur elle avant de l’enlacer pour la presser tendrement contre l’autre corps chaud et mouillé par la sueur de leurs ardeurs.
Vidée de toute réalité extérieure, allongée sur lui pour perpétuer le bien-être. Sentir son odeur qui l’espace d’un orgasme lui avait échappée. Savourer sa chaleur et admettre que leurs respirations s’accordaient parfaitement... elles aussi.
Contre lui, indiciblement bien... attendre sans bouger pour figer l’instant... le garder encore en elle, préserver le mélange, se nourrir de toute sa tendresse et déjà se souvenir de ce précieux
« Viens »
Pour par la suite en y pensant les yeux fermés, ressentir encore un infime goût de ce moment. Une parcelle de son abandon.
Jeu 12 Avril 2012, 18:29 par ungraindesand sur Les liaisons sulfureuses

Je n'ai pas su te dire

J’aime tes cheveux en bataille, le matin au réveil.
J’aime ton regard de rainette quand tu viens de pleurer.
J’aime tes longs cils, qui battent tels des éventails dissimulant tes yeux quand tu te sens gênée.
J’aime la chaleur de ton cœur qui bat contre le mien quand tu es fiévreuse.
J’aime la petite fille qui dessine les fleurs qu’elle n’a pu offrir à sa maman.
J’aime la silhouette fluide que dessine ta longue robe blanche tachée de roses.
J’aime entendre ta voix la nuit dans la solitude de tes appels.
J’aime le souvenir de tes pas quand le long de la rivière tu as pris la main de ta sœur.
J’aime tes éclats de rire le dimanche, quand tu sais que les vacances ne font que commencer.
J’aime la rêverie des fumées de ta cigarette quand le soir nous n’avons plus besoin de parler.
J’aime la délicatesse de tes gestes et tes sourires amusés.
J’aime nos rendez-vous clandestins quand tu crois que ta mère ignore que nous nous retrouvons.
J’aime la sérénité de nos promenades en forêt quand l’hiver est si bleu.
J’aime quand tu me demandes de te servir du vin pour me faire comprendre que tu n’es plus une enfant.
J’aime les rides qui éclairent ton front quand tu lis Flaubert.
J’aime tes paroles adolescentes quand tu découvres la révolte.
J’aime le désordre de ta chambre, tes vêtements éparpillés que tu ne porteras pas ce soir.
J’aime ta précipitation affolée quand tu sais que tu es encore en retard.
J’aime regarder le chat qui s’endort au creux de ton ventre.
J’aime cette musique que tu écoutes, que je ne comprends plus.
J’aime te savoir heureuse quand tu es loin de moi.
J’aime quand tu descends du train, me cherchant sur le quai.
J’aime quand feignant l’indifférence, tu fais semblant de ne pas être fière de la copie que tu as laissée trainer sur la table de la cuisine.
J’aime quand tu me manques, je sais que ce soir nous dinerons ensemble.


Je n’aime pas les magazines que tu lis.
Je n’aime pas la longueur de tes silences.
Je n’aime pas ces photographies que je n’ai pas su prendre de toi.
Je n’aime pas la couleur rouge de l’ambulance.
Je n’aime pas ce téléphone qui a oublié le son de ta voix.
Je n’aime pas ces fleurs que tu soignais, qui renaissent éternellement.
Je n’aime pas ce chat que l’on n’a plus revu quand il a compris que tu ne reviendrais pas.
Je n’aime pas cette maison qu’ habitent d’autres bonheurs à présent.
Je n’aime pas le temps qui est passé dans l’ombre des années perdues.
Je n’aime pas entendre la tristesse de ta sœur.
Je n’aime pas les paroles que tu as enfouies, quand tu les pensais inutiles.
Je n’aime pas que tes rêves ne soient restés ceux de l’enfance.
Je n’aime pas le désespoir dont tu as vêtu tes nuits d’errance
Je n’aime pas ce corps que ta douleur a effacé.
Je n’aime pas les mots que je n’ai pas su te dire.
Je n’aime pas que de ma mémoire tu t’estompes chaque jour un peu plus.
Je n’aime pas ne plus savoir pleurer.
Je n’aime pas la force que j’ai eue sans toi.
Je n’aime pas cette femme qui ne t’a jamais connue.
Je n’aime pas ses yeux dans lesquels tu t’es sentie femme.
Je n’aime pas le chant des oiseaux insolents au printemps retrouvé dans ce jardin où tu es désormais en paix.
Jeu 15 Mars 2012, 00:04 par francisco varga sur La déclaration d'amour

Album photos

Redécouvrant ces images oubliées depuis si longtemps je m’abandonne à leur contemplation attentive, faisant renaitre celui que j’étais à vingt ans.

Premiers mots, dans le train

Ça, c’est dans le train qui nous conduisait à Marseille. Nous ne nous connaissions pas encore. J’avais remarqué cette fille qui sur le quai m’observait. C’est elle qui m’a adressé la parole en premier. Sa tête me disait bien quelque chose, mais je ne la remettais pas. Je ne me souviens plus des premiers mots que nous avons échangés. Le train était bondé et nous n’avions pas trouvé de places où nous assoir. Debout sur la plateforme, nous nous sommes racontés ; elle souriait tout le temps, faisant comme si elle me trouvait passionnant ; moi, je faisais la roue....Elle a voulu me montrer , un petit reflex argentique autofocus, que son père lui avait offert pour son anniversaire et dont elle était très fière, en le manipulant elle a photographié la porte des toilettes. Le flash s’est déclenché automatiquement..... L’image est remarquablement nette.

Quand à Vienne, le Wagon a commencé à se vider, nous nous sommes installés, côte à côte....Elle me parlait, de sa vie, de ses parents, de ses études....Nous fréquentions la même école. Elle entamait sa première année, moi ma troisième. Je me souviens juste de ses yeux qui brillaient et des reflets roux qui courraient sur le Rhône ce matin de décembre entre neige et soleil.

* * *

Neige de février la nuit.

Ça, c’est une drôle de photo toute floue. La neige tombait à gros flocons. C’était la nuit. Nous avions fait l’amour pendant des heures, probablement plusieurs fois de suite.
C’est elle qui m’a réveillé pour que je voie tomber la neige. Je me souviens m’être dit que c’était un peu idiot... La neige à Lyon en février, ça ne me semblait pas un spectacle inhabituel.
Toute nue, elle regardait la neige qui recouvrait le jardin en contrebas en me disant c’est beau non ? Moi j’étais derrière son dos, et je regardais ses petites fesses qui reflétaient la lumière jaune des lampadaires de la rue. J’ai saisi l’appareil posé sur la table du salon. C’est à cet instant qu’elle s’est retournée pour me sourire. Je n’ai pas interrompu mon geste, et j’ai pris la neige à travers la fenêtre. Elle s’est mise à genoux pour me prendre dans sa bouche. Elle n’avait jamais fait cela. Elle voulait me faire plaisir, elle s’y prenait plutôt mal. Nous avons encore une fois fait l’amour....
La photo est ratée et le labo ne nous l’a pas facturée, si l’on regarde attentivement, encore faut-il le savoir, on distingue vaguement le reflet de son dos..

* * *

Premières vacances à Biarritz

Celle-ci c’est mon frère qui l’a prise. On est au début de l’été sur la promenade qui longe la plage de Biarritz. Le ciel est bleu lumineux. Je me souviens de l’odeur des frites et de l’ambre solaire qui évoquait le temps des vacances. Les couleurs de la photo sont chaudes et saturées.
Le vent rabat ses cheveux vers l’avant, couvrant une partie de son visage. Elle ne pose pas et rit de toutes ses dents.
Nous nous étions baignés, l’eau était encore un peu fraiche. Elle porte une jupe rouge légère qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Prétextant que l’eau était très salée et qu’elle avait oublié emporter de quoi se changer, elle était restée nue sous ses vêtements.
Par jeu ou par défi, et sans que je le lui demande, elle est restée toute la journée dans la même tenue.
C’est la semaine ou elle a voulu emprunter avec moi de nouvelles voies sensuelles.


* * *

Le collier de perles

C’est l’hiver, toujours à Biarritz. Le regard buté et la lèvre tremblante, elle ne veut pas me parler.
Mes parents nous ont invités au restaurant. À la fin du repas, ma mère remarque qu’elle porte le collier en perles que je lui ai offert deux mois plus tôt. C’est à cet instant qu’elle découvre mon mensonge... le premier... en le lui offrant, je lui avais fait croire que je l’avais acheté lors d’une vente aux enchères. Ma mère lui apprend qu’il s’agit du collier de ma grand-mère. Ma mère parle toujours trop. J’aurais voulu qu’elle se taise. J’aurais voulu être ailleurs. Le choc est d’autant plus rude que le cadeau l’avait surprise.
Elle apprendra un an plus tard que ce n’était même pas de vraies perles.
C’est ce soir, je crois qu’elle à appris à ne plus m’aimer autant.

* * *

Festival d’Avignon

Photo de groupe, quelques mois plus tard. Un stage de théâtre à Avignon. Nous assistions à une ou deux représentations par jour et avions droit à l’explication de texte détaillée de l’artiste. Nous ne nous connaissions pas auparavant et ne sommes jamais revus depuis. Je ne parviens pas à mettre un nom ou un prénom sur le moindre visage.
Le cliché a été pris à la terrasse d’un café proche du palais des papes. Nous sommes côte à côte, sans tout à fait me tourner le dos, elle ne semble pas me prêter attention. Elle a sympathisé avec un garçon qui ressemble à un moniteur de ski ou de planche à voile. Il est grand, blond, les yeux clairs, l’allure assurée des hommes que les femmes recherchent ; j’ai l’air d’un môme à ses côtés.
Elle lui propose de venir nous voir à Lyon et insiste pour qu’il note le numéro de téléphone. Je sais que si elle le revoit, ce ne sera pas pour parler théâtre... Nous n’avons jamais évoqué cet épisode par la suite. Je ne suis pas certain qu’elle aurait souhaité m’associer à la réalisation de son fantasme.

* * *

Nouvel An dans le Jura

Sur celle-ci, on la voit, en train de danser. Nous sommes dans un gite dans le Jura et fêtons le Nouvel An avec un groupe d’étudiants que nous connaissons depuis quelques semaines seulement et ne reverrons jamais.
La musique est forte... tout le monde a déjà beaucoup bu. La pièce est enfumée, nous ne pouvons pas ouvrir les fenêtres, dehors il fait -20° ou moins encore.
Je la savais opposée à toute consommation de stupéfiant, mais ce soir-là, elle s’est servi une énorme part de space cake et peut être un cachet d’ectazy également.
Elle est devenue très câline, m’a attiré dans un coin un peu à l’écart, m’a pris la main, dégrafant elle-même un bouton de son jean pour dégager sa taille et m’a demandé de la caresser jusqu’à l’orgasme. Elle me regardait droit dans les yeux, tandis que ma main s’activait... je l’ai sentie se détendre comme un ressort cassé. Elle venait de jouir. Après cela, elle est partie danser, puis je l’ai perdue de vue pendant une heure ou deux jusqu’au moment où elle est venue me chercher, pour que je lui fasse l’amour sous la douche. Son sexe était humide au point que je me demande encore si je n’ai pas confondu son excitation intime avec le sperme d’un autre.
Un mois plus tard, nous étions séparés. Il me semble que c’est à cette occasion que nous avons fait l’amour pour la dernière fois.

* * *

Nuit de féria à Nîmes

Là, c’est moi de nuit, le crâne rasé, l’œil sombre, marchant dans les rues de Nîmes en pleine feria. Je suis militaire, à l’époque on disait bidasse.
Nous sommes séparés depuis plusieurs mois. Nous n’avons plus que quelques rares contacts téléphoniques.
Je sais qu’elle vit à présent dans cette ville.
J’ai l’air préoccupé et sérieux..., je me souviens que j’étais en fait à la fois triste que notre histoire soit terminée et inquiet de la rencontrer accompagnée d’un autre, qui serait forcément plus grand et plus beau que moi.
Mon ami, qui m’a invité se moque de moi.... La rue est en fête. Tout le monde rit et danse autour de nous, tandis que nous marchons en parlant du sens de la vie.

* * *

En revenant de Nîmes, un matin.....

Dans cette photo, prise d’un radar routier, à l’entrée de Nîmes, on me voit seul au volant de ma voiture. Je suis pressé d’arriver à destination.
Elle m’avait invité à venir lui rendre visite dans son deux pièces à Nîmes, pour diner.
Je n’étais plus militaire et nous ne nous étions pas revus depuis une année.
Elle m’attendait chez elle. Je suis venu les mains dans les poches, sans une bouteille ni même un bouquet de fleurs. Elle semblait heureuse de me revoir, me gratifiant de son sourire magnifique.
Tous deux assis à même le tapis de son salon, je l’écoutais me parler de son travail, de sa vie, de sa mère. Le téléphone a sonné. Elle a décroché, j’ai compris qu’elle parlait à son nouvel amoureux. Adossée à un mur, ses talons posés à plat, elle lissait sa jupe et la rajustait en me regardant sans cesser de parler. Elle a légèrement entrouvert ses genoux d’un geste faussement involontaire, me dévoilant un court instant une tache blanche entre ses cuisses.
Après qu’elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable. Elle s’est levée d’un geste nerveux, me déclarant que son string la grattait et lui rentrait dans les fesses, l’a retiré rapidement en me tournant le dos. Sagement installée sur son canapé en toile, elle est nue sous sa jupe. Elle joue, prenant garde à ce que je n’interprète aucune de ses attitudes comme un signal érotique.
J’aurais dû l’embrasser, me jeter sur elle, la prendre, sans même la déshabiller, ramper sous elle pour la dévorer. Mais ce soir, je suis resté assis sur son tapis carré... j’ai continué à parler et à boire ; à parler encore et à boire aussi.
Nous avons dormi ensemble. Je n’étais de toute façon pas en état de reprendre la route. Allongée, dos contre mon ventre dans son lit, elle était nue. J’étais saoul et m’en voulais de ne pas avoir su réfréner ma pulsion alcoolique. Comprenant qu’il ne pouvait désormais plus y avoir que de la tendresse entre nous, elle s’est saisi de ma main droite afin de couvrir son sein gauche et s’est rapidement endormie.

* * *

Photo sur le net


Je ne l’ai plus jamais croisée. Récemment, en tapant son nom sur un moteur de recherche, j’ai vu son visage apparaitre sur une photo qui semblait avoir été scannée à partir d’une pièce d’identité.
Près de trente ans plus tard, elle n’a pas changé. Elle est toujours aussi souriante et ne fait pas son âge.
En revoyant cette image, me revenaient en mémoire les deux années que nous avions passées ensemble. Elle était toujours célibataire et vivait encore dans le sud. Je me suis demandé ce qu’il serait passé si je ne lui avais pas menti à propos du collier de perles. Peut-être aurions-nous prolongé notre histoire. Nous aurions certainement eu des enfants et la séparation n’en aurait été que plus douloureuse. Nous n’étions pas destinés à rester ensemble toute notre vie.
J’ai quelques remords, mais aucun regret. Je conserve un souvenir attendri de ma première histoire d’amour.

* * *

Elle n’a pas tout oublié

Ma mère est passée à la maison hier soir. Après quinze ans de célibat, elle a enfin décidé de refaire sa vie dans une autre ville avec son nouveau compagnon. C’est fou ce que l’on peut jeter quand on déménage. Je lui avais dit que je ne voulais pas qu’elle se débarrasse de quoi que ce soit qui m’appartient sans me le dire. Elle a tenu parole et m’a rapporté hier, une malle pleine de vêtements d’enfants et une surprise. La surprise c’est cette boite en carton qui déborde de vieux souvenirs que je suis en train d’effeuiller, seule, sur la table de mon salon.
Au fond de la boite, une enveloppe rose. Dans l’enveloppe, quelques photos de moi, encore adolescente. Mes sœurs et moi fêtant mes dix-huit ans, mon chat, mes premiers et derniers essais de photographie artistique. Puis retournée, parmi d’autres ; je suis sûr qu’elle a ouvert l’enveloppe, un cliché, ou je m’adonne au plaisir naturiste au bord d’une rivière par une claire journée d’été. Je suis debout, bien sûr toute nue, et la photo a été prise de surplomb. Mon corps est un peu déformé par la perspective plongeante. Je suis bronzée des pieds à la tête, sans la moindre marque de maillot de bain. J’avais encore mes petits seins, qui me complexaient tant, que je me suis fait refaire pour mes trente ans.
J’avais oublié l’existence de cette image, mais je me souviens de cette journée. Je ferme les yeux et elle revit en moi.
Nous avions décidé de nous baigner dans le Gardon. Ma sœur avait voulu nous accompagner avec son petit ami iranien. Lui nous conduisait, dans sa 504 décapotable rouge.
Il faisait très chaud, et nous voulions nous baigner. Il ne supportait pas la promiscuité et refusait toutes les plages que nous lui proposions, nous avons roulé, puis marché longtemps pour trouver un endroit qui ne soit pas envahi de familles.
Il était beau ce jour-là, très brun, ses cheveux bouclés flottaient au vent. Ses lunettes de soleil lui donnaient un air absent. J’avais envie de le toucher, de gouter sa peau que je devinais salée. Lui, conduisait, sans dire un mot le regard fixé sur la route.
C’est moi qui après notre baignade ai pris l’initiative de me débarrasser de mon slip de bain, pour bronzer toute nue. Il ne s’est pas fait prier longtemps et s’est lui aussi complètement dévêtu. Ma sœur était dans l’eau en compagnie de son invité. Visiblement gênés, ils n’osaient plus nous rejoindre.
Allongée sur le ventre, je somnolais, goutant l’odeur des pins, la douceur du soleil et le chant des cigales. Je me sentais bien dans mon corps, j’ai senti sa main huilée d’abord se poser sur mon épaule puis investir le reste de mon corps. J’avais envie qu’il continue sa caresse, qu’il l’a précise et de ses doigts me fasse jouir maintenant.
Je me suis levée et d’un geste de la tête l’ai invitée à me suivre. Sous un arbre, je me suis assise face à lui, tournant le dos à la rivière. Écartant légèrement les genoux, je n’ai pas eu besoin de dire pour qu’il comprenne ce que je désirais. Je voulais me sentir fouillée, caressée, excitée... Je n’ai jamais retrouvé un homme qui sache aussi bien me faire jouir de ces doigts. Il m’a caressée, longuement, lentement, avec la précision et la douceur d’une femme. Je le regardais dans les yeux et sentait son trouble alors que le plaisir rapidement montait de mon ventre d’abord par vagues, puis comme un flot continu. C’est à ce moment que sans cesser sa caresse, il s’est penché vers moi, me soufflant une parole obscène et souriante. J’ai senti mon sexe inondé de plaisir. Un petit cri m’a échappé... Je ne l’ai pas touché. Il n’a pas insisté. Il n’a jamais compris que j’attendais qu’il prenne sans attendre mon autorisation
C’est avec lui que je me suis peu à peu affranchie de mes inhibitions et du poids du regard de ma mère. Un soir, j’ai eu l’impression que je faisais l’amour avec mon frère. Je n’ai plus supporté de voir son visage face à moi. Je me suis retournée, et m’imaginant avec un autre je me suis faite jouir sans attention pour son plaisir. Je savais que notre histoire était finie. Je n’avais plus envie de lui. Il me fallait d’autres corps, d’autres odeurs, ressentir les émotions du début.
Nous nous sommes quittés sans qu’il insiste pour me retenir. Il avait l’air triste des amants révoqués. Je ne l’admirais plus.
Nous nous sommes revus peu après notre séparation. Je voulais qu’il me prenne, qu’il me maltraite et me baise.... mais, il n’a rien compris et a passé toute la soirée à boire et à parler.
Je ne sais plus où il vit. Il a dû vieillir et perdre sa brune beauté juvénile. Peut-être ses cheveux ont-ils blanchi. Peut-être a-t-il pris du ventre ou perdu l’éclat de son regard. Je voudrais ne jamais le recroiser. Et puis que lui dire à présent ?
Lun 12 Mars 2012, 22:57 par francisco varga sur Histoires d'amour

Lasse, je t'aimais.

Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.

Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par maisonverte sur Parler d'amour

Le ruban (duo caressedesyeux/inconnu)

Il glisse en épousant harmonieusement ses courbes
Descend lentement de l’épaule entre les seins
Se colle au ventre et d’un mouvement superbe
Amoureusement enroulé tel un serpentin
Il se fait douce caresse sur sa belle hanche
Et embrasse de toute l’étendue de sa surface
Cette merveilleuse et adorée peau si blanche
Oh, qu’est-ce que j’aimerai être à sa place

Ruban de laine, ruban de satin, ruban de soie
Suscitant, sur son parcours, l’amour, le désir et l’émoi
Longue pièce de tissu s’accrochant aux gouttes de sueur
Flânant délicatement sur le grain de la peau
Comptant, méthodique, chaque tâche de rousseur
Le ruban esquisse de son corps le tableau
Et glisse sur celui-ci léger et vaporeux
Tel un nuage sillonnant les cieux...

Son périple dans ce sublime décor enchanteur
Qui n’a désormais plus rien à cacher à nos yeux
Révèle au regard ébloui l’ineffable splendeur
De son corps dénudé, spectacle merveilleux
À l’indéniable beauté subliminale
Que ma mémoire gardera dans ses annales
Mais bien qu’on s’efforce, par tous les moyens, de le défaire
Le joli nœud malgré tout résiste et se retrouve finalement par terre
Sam 14 Jan 2012, 21:17 par caressedesyeux sur Mille choses

La mémoire des yeux

[size=18]La mémoire des yeux


Il suffit que je ferme les yeux,
Que mon esprit vagabonde
Et aussitôt, dans la seconde,
Je me retrouve à mille lieues
Étendue à l’ombre d’un grand pin
Je te revois me dévisager longuement
Détailler mon corps minutieusement
D’un air malicieux et très coquin
Pour attraper ce bel iris
À la couleur des terres sombres
Où je caresserais ton ombre.
J’y plongerais bien ma main.
Le vent nous asperge de senteurs marines
Souffle, ébouriffant tes tempes blanches,
Je me souviens de ta caresse sur mes hanches
Et du mélange, épicé de tes belles origines,
Qui, en ce mois de Juillet, a su me charmer .
Me rendant irrésistiblement belle et désirable à tes yeux,
Dans ce magnifique cadre naturel, calme et silencieux
Que seuls troublent des moineaux qui s’égosillent à chuchoter
Le soleil, la mer, moi, tu n’as su résister
Lentement, comme pour demander la permission
Tu t’es penché déposer un baiser plein d’émotion
Ce contact délicieux a fait, mon âme s’envoler
Les cieux se sont ouverts d’une grâce festive
Cette fougue entre nous est devenue explosive
En un furieux corps-à-corps à s’aimer
Amoureuse, je contrôle difficilement mon corps
Et maintenant mon cœur est atteint à tout jamais
Mémoire qui me rappelle tous les jours, désormais
Que tu fais toujours partie de mon décor
Lun 19 Déc 2011, 12:25 par caressedesyeux sur L'amour en vrac
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