Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur mesdames
Sentir les printemps
Sentir le printemps
Il arrive bientôt celui qu’on attend
Depuis déjà un bon moment,
Son air a changé aussi,
Le temps est un peu moins gris
Un peu plus doux, un peu plus fleuri
Parfois on le sent jusque dans notre lit.
Lorsqu’on laisse la fenêtre ouverte
Et qu’il s’invite d’un pas alerte
Chargé d’effluves de parfum
Surtout au petit matin.
Quand quelques timides rayons de soleil
Viennent hardiment nous dire bonjour,
Que même la grisaille n’est plus pareille
Car la nature chante l’amour
Les premières fleurs pointent le bout du nez
On a envie de les respirer
Et de mélanger leurs belles couleurs chatoyantes
Avec ces bonnes odeurs enivrantes.
Dans mon jardin , un peu sauvage
Le Printemps laisse un sillage
Il y a déjà des crocus qui se hissent,
Des perce-neige qui persistent
Puis ,quelques narcisses et des primevères,
Égayent des coins un peu sévères.
Et dans leurs mauves éclatants,
Les violettes, que j’aime tant
Et les timides pâquerettes
Qui semblent vouloir faire la quête...
Un peu, beaucoup, pas du tout
Les amoureux leur tordront le cou.
Quant aux jolis coquelicots, Mesdames
C’est encore un peu trop tôt, Messieurs
Mais admirez, de ceux -ci, la belle âme
Ils seront bientôt là , sous vos yeux.
caressedesyeux
Il arrive bientôt celui qu’on attend
Depuis déjà un bon moment,
Son air a changé aussi,
Le temps est un peu moins gris
Un peu plus doux, un peu plus fleuri
Parfois on le sent jusque dans notre lit.
Lorsqu’on laisse la fenêtre ouverte
Et qu’il s’invite d’un pas alerte
Chargé d’effluves de parfum
Surtout au petit matin.
Quand quelques timides rayons de soleil
Viennent hardiment nous dire bonjour,
Que même la grisaille n’est plus pareille
Car la nature chante l’amour
Les premières fleurs pointent le bout du nez
On a envie de les respirer
Et de mélanger leurs belles couleurs chatoyantes
Avec ces bonnes odeurs enivrantes.
Dans mon jardin , un peu sauvage
Le Printemps laisse un sillage
Il y a déjà des crocus qui se hissent,
Des perce-neige qui persistent
Puis ,quelques narcisses et des primevères,
Égayent des coins un peu sévères.
Et dans leurs mauves éclatants,
Les violettes, que j’aime tant
Et les timides pâquerettes
Qui semblent vouloir faire la quête...
Un peu, beaucoup, pas du tout
Les amoureux leur tordront le cou.
Quant aux jolis coquelicots, Mesdames
C’est encore un peu trop tôt, Messieurs
Mais admirez, de ceux -ci, la belle âme
Ils seront bientôt là , sous vos yeux.
caressedesyeux
Mar 17 Mars 2020, 13:45 par
caressedesyeux sur Mille choses
L'amour est-il un crime ? chapitre 8
coucou, voici pour vous le chapitre 8, en espérant de ne pas avoir fait de fautes ^^ bonne lecture :
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Chapitre 8 : Révélation et rencontre
Point de vue Narrateur.
Au cour de l’après midi nous retrouvons notre petit couple au centre commercial faisant leur courses et cadeaux pour noël. Haruka fidèle à elle même avait opter pour un pantalon noir, un chemisier blanc qui pour une fois n’était pas rentré dans son bas. Une veste noir surmonter sa chemise. Elle attiré beaucoup de regard sur elles que se soit femme ou homme. Michiru bien que le froid était présent c’était habillé d’une robe bleu à manche longue. Ses cheveux tiré vers la gauche, elle portée des petite chaussure noir à fin talon, et un petit cache cœur bleu écume reposé sur ses épaules.
Toutes deux discuté de chose et d’autre et se lancé des petits sourires amoureux de tant à autre. Au bout de quelques minutes Haruka emmène sa douce à l’intérieur d’une bijouterie, mettant son cadi sur le côté, un homme se dirige vers les deux jeune femmes.
Bijoutier – bonjour monsieur, mademoiselle, que puis-je pour vous ?
La jeune blonde se met à sourire apparemment son charme masculin refesait surface.
Haruka – bonjour monsieur, nous sommes à la recherche d’une bague de fiancaille.
L’homme ce met à sourire, il regarde le couple qu’il trouvait bien assortie et mignon. Il se dirige vers une vitrine et à l’aide d’une petite clés ouvre l’une d’elle sortant une petite plate forme ou disposé plusieurs bagues en argent dédié à cet effet. Il se dirige de nouveau vers les deux jeunes femmes et dis :
Bijoutier – voici un assortiment de bague prévue pour ce genre d’évènement, puis-je vous demader pour qui c’est ?
Haruka – c’est pour cette petite demoiselle.
La jeune blonde met ses mains sur les épaule de Michiru et dit en s’approchant de son oreille.
Haruka – alors … Laquel te plairait.
Michiru sentait son cœur battre à tout rompre, devenant soudainement timide, elle s’exclame d’une voix douce :
Michiru – celle là, elle est vraiment très jolie.
Dit elle en montrant une bague argenter surmonté d’un petit diamant argenter aussi. Haruka se met à sourire et demande à l’homme si il est possible de l’essayer, ce que ce dernier accepta de bon cœur. Haruka prend la petite bague, saisit tendrement la main de sa cher et tendre, et vint lui glisser l’anneau à son annulaire gauche. Les deux jeunes femmes se sourirent amoureusement, Haruka lui caresse la main et demande :
Haruka – elle te plais ?
Michiru – oui … Elle est vraiment magnifique.
Dis la jeune fille en admirant le bijou à son doigt.
Haruka – dans ce cas … Nous allons prendre celle-ci.
Bijoutier – c’est un très bon choix.
Michiru, retire la bague et la passe au bijoutier qui parti remettre la plate forme dans la vitrine. Il ferme cette dernière, et se dirige vers la caisse. Haruka et Michiru se prirent la main, et se dirigent à leur tour vers l’homme qui rangé soigneusement le bijou dans un écrin bleu nuit. Il vint tendre cette dernière à Haruka qui la rangea soigneusement dans son sac et sortie par la suite son porte feuille.
Bijoutier – voilà sera vous fera un totale de 189 € monsieur.
Michiru avait envie de rire, le bijoutier prenait réellement sa femme pour un homme. La jeune blonde souriait elle aussi, et elle vint payer se qu’il fallait.
Bijoutier – je vous remercie, et tout mes vœux de bonheur !
Haruka – merci !
Puis les deux jeunes femmes sortirent et devant les yeux tendre de l’homme Michiru vint étreindre sa bien aimée.
Michiru – merci ma chérie.
Haruka – tout le plaisir était pour moi trésor.
Elles se sourirent et se posent un délicat baiser avant de continuer leurs petites affaires. L’homme ayant suivit la conversation fut surpris de constater que c’était en fin de compte deux femmes, et se senti honteux en pensant qu’il avait confondue la jeune femme blonde pour un homme.
Point de vue Michiru.
Mon cœur bat tellement vite, et dire que j’ai essayer ma bague pour notre future union, j’étais vraiment très hereuse, j’étais accroché à son bras, lorsque je vis le directeur devant une boutique de fleurs. Haru aussi l’avait remarqué. On se sourit, et voulant surmonter notre peur on s’approche de l’homme.
Moi – bonjour monsieur !
Directeur – tiens Michiru, Haruka, quel bonne surprise, comment allez vous ?
Haruka – bien ety vous ?
Directeur – tout vas bien oui !
Ils nous serre la main, et me demande :
Directeur - alors Michiru comment c’est passé ton stage ?
Moi – eh bien il c’est très bien passé, c’était une expérience très enrichissante.
Directeur – dans ce cas, c’est parfait … Mais dites moi Haruka, vous … Vous êtes fiancée ?
Demande t-il en voyant la bague à son doigt. Haru se met à sourire, elle me regarde tendrement avec un petit sourire. Je lui rendit avec douceur, et d’un simple regard on se mit d’accord pour enfin révéler la vérité au directeur.
Haruka – oui, effectivement je suis fiancée.
Directeur – mais enfin c’est une très bonne nouvelle sa … Et qui es ?
Allé Michi assume et prend ton courage à deux mains. Je me serre contre elle et m’exclame le cœur prêt à bondir :
Moi – c’est moi monsieur !
Ce dernier fut surpris de mes parole, il affichait une mine décomposé, qu’allai t-il nous dire ?
Directeur – je vous demande pardon ?
Haruka – oui effectivement je suis fiancée avec Michiru !
Directeur – mais enfin, vous êtes son professeur ?
Haruka – certes, mais …
Moi – en dehors de l’enseignement nous sommes deux citoyennes tout se qu’il y a de plus normal.
Directeur – je suis tout à fait d’accord avec sa, mais depuis quand ?
Haruka – cela va faire un peut plus de 4 mois que nous sommes ensemble !
Moi – bien entendu, nous avons sue nous montrer discrète quand nous étions au lycée !
Directeur – eh bien je … Je ne sais pas quoi dire, mais pourrais t-on aller en parler dans un endroit plus calme ?
Haruka – bien entendu monsieur.
Et ainsi nous suivons le directeur qui se diriger vers un restaurant.
Moi – dis ma chérie, et si on allait d’abord ranger nos courses dans la voiture ?
Haruka – ok !
Elle me tapote le nez, préviens le directeur, et nous nous dirigeâmes vers le parking.
Haruka – je pense qu’au bout d’un moment il devait le savoir !
Moi – oui, et malgré se qui va se suivre, je ne compte pas démordre, et assumerais.
Haruka – dans ce cas … Nous sommes deux.
Je t’aime … Si tu savais comme je t’aime, je continue de la suivre jusqu’à la voiture, et une fois prêt de cette dernière, Haru déverrouille l’alarme, et j’ouvre le coffre.
Je prend des sac vide, les ouvrent, et commence à ranger se que nous avions acheter. Mettant en premier le sapin au font de la malle. C’est quand je me voie faire des chose comme sa avec elle, que je me voie réellement être une vrai famille, un vrai couple et sa me rendait si heureuse.
Quand ont eu terminé, Haru alla remettre le cadi, j’enclenche l’alarme, et une fois qu’elle fut prêt de moi, on se posent un petit baiser, elle me fit un clin d’oeil, et main dans la main on se dirige vers le restaurant ou se trouvais le directeur.
On entre à l’intérieur de ce dernier, et une fois avoir trouvé le petit homme, on allai s’asseoir. Je prend place à la droite de ma petite femme, et un serveur se dirige vers nous.
Serveur – mesdames monsieur, que puis-je pour vous ?
Ah … Enfin un sur cette terre qui remarque que Haru est une femme pas trop tôt.
Directeur – je prendrais un thé glacé.
Haruka – pour moi se sera un café s’il vous plais !
Moi – et moi j’aimerais un chocolat chaud s’il vous plais.
Serveur – très bien, je vous apporte sa dans quelques minutes.
Et le serveur parti. Le directeur nous regarde toutes les deux comme si il était choqué de la nouvelle. Es parce ce que nous sommes élève/professeur ou bien deux femmes ?
Directeur – bon, alors si j’ai bien suivit, vous êtes ensemble, qui plus est fiancées depuis 4 mois !
Moi – nous sommes ensemble depuis 4 mois oui, mais cela ne fait que quelques semaines que nous sommes fiancée.
Directeur – et … Qui a fait la demande ?
Moi – c’est moi monsieur.
Haruka – vous savez, je ne vais pas vous mentir, mais sa a commencé depuis son accident, lorsque vous m’aviez demander d’aller la voire. Par la suite, lorsque Michiru est venue s’installer chez moi, j’ai trouvais la vie beaucoup plus sereine et agréable, durant ses 4 mois j’ai appris à la connaître et à l’aimer, nous nous sommes aidée à plusieurs reprise, moi pour se qui est de son passé et elle à me faire oublier que la vie elle même est dur et cruelle. Mais monsieur le directeur bien que vous soyez mon supérieur, et que je soit son professeur j’éprouve de très fort sentiments à son égard, et ferait tout mon possible pour pouvoir la rendre heureuse.
Haruka … Si … Si tu savais comme tes mots son doux à mes oreilles, moi aussi je t’aime, et suis éperdument amoureuse de toi.
Moi – monsieur le directeur, rappelez vous se que vous m’aviez demander lorsque vous m’aviez convoquer ?
Directeur – euh … Je … Oui, oui je m’en rappelle, je t’aie demander se que tu souhaite pour te voir heureuse.
Moi – maintenant je peut vous répondre …
Je prend les mains de l’homme et dis en le regardant :
Moi – monsieur, sachez que je suis profondément épris pour Haruka, je l’aime vraiment plus que tout, plus que quiconque sur cette terre. A plusieurs reprise, elle ma aidée à me sentir mieux, elle ma permis de savoir la vérité sur mon passé, et même si je suis encore perdu, je l’aime et ne souhaite que la voir heureuse, la voir sourire et mon seul bonheur. Alors s’il vous plais laissez moi être avec elle, même si notre statue nous éloignent, nous somme avant tout deux femmes tout se qu’il y a de plus normal, alors laissez moi être avec elle, je vous en conjure, je ne veux pas être séparer d’elle parce ce que …
Je me tourne vers ma jolie blonde, qui me sourit tendrement, je lui prit ses mains et dis sincèrement :
Moi – parce ce que malgré mon jeune âge, je souhaite plus que tout bâtir un futur dans ses bras, elle est … La femme de ma vie, elle est … Ma plus belle histoire d’amour.
Haruka – et de tout mon cœur je ne souhaite que la rendre heureuse, car pour moi … Elle est tout, elle est, la femme dont je suis éperdument amoureuse, elle est … Mon rayon de soleil.
Je lui sourit, prend doucement ses joues et lui déposa un tendre et long baiser. Avec bonheur elle y répondit, en allant tendrement caresser ma joue, alors que moi, je lui caresser les paumettes de mes pouces.
On se détachent doucement, et nos regards se croisent se caressent.
Moi – je t’aime ma jolie blonde !
Haruka – moi aussi trésor je t’aime et plus que tout.
On se sourit, je lui écarte quelques mèches de ses yeux, et caresse sa joue. Quelques minutes après le serveur nous apporte à chacun notre collation, et c’est Haru qui paya … Encore une fois.
Directeur – je ne sais pas quoi dire, je n’aurais jamais crue que cela puisse arriver, mais … Es vraiment se que vous voulais ? Car si c’est oui, je vais devoir modifier certaine choses dans vos dossiers.
Moi – car … Vous … Vous n’êtes pas fâché ?
Directeur – pourquoi le serait-je ? Après tout vous êtes avant tout des êtres humains, alors non, je suis même pour, pour que vous puissiez être ensemble, il va juste falloir que je face des modifications dans vos dossier à chacune.
Haruka – merci infiniment monsieur le directeur, je suis tellement heureuse.
Moi – merci, merci beaucoup monsieur !
Je me tourne vers elle, et heureuse je l’embrassa avec toute ma tendresse. Après sa, nous avons quitté le directeur en le remerciant, et nous avons continuer nos courses plus heureuse que jamais. Quelques heures plus tard, après avoir quitté le directeur, je me retrouvé à la maison avec ma jolie blonde en train de faire le sapin.
Moi – c’est la première fois que j’en fait un !
Haruka – moi aussi.
Puis doucement elle ma soulevé afin que j’accroche l’étoile tout en haut. Doucement Haru me pose sur le sol et je vint enrouler son cou, m’approchant un peu plus d’elle et son cœur. Ses mains s’aventurent dans mon dos, et je laisse mes yeux caresser les siens.
Moi – je suis si heureuse d’avoir eu le courage d’avoir fait face au directeur. Nous allons enfin pouvoir être réellement ensemble que se soit au lycée ou à la maison.
Haruka – oui moi aussi, je suis fière de toi mon cœur, et à partir de maintenant, je ne te laisserais plus filer … Car c’est avec bonheur que je t’offre mon cœur.
Moi – alors j’y prendrais grand soin et le chérirrais le plus tendrement possible tout comme sa propriétaire à qui je promet de l’aimer et la rendre éperdument heureuse !
Haruka – oh Michi … Deviens mienne, à tout jamais.
Moi – à tout jamais mon amour. Je t’aime !
Haruka – moi aussi et plus que tout ma petite femme à moi.
Moi – et toi la mienne !
On se sourit, et nos lèvres s’unirent dans un long et délicieux baiser. Je suis vraiment la plus heureuse, je vais enfin pouvoir être librement dans ses bras. Oh Haruka, ma si jolie blonde je t’aime je t’aime je t’aime et je t’aime, toi seule fais mon bonheur dans ce monde noir et sans couleurs.
Point de vue Haruka.
Que demander de plus ? Mon bonheur est enfin complet, je vais enfin pouvoir être avec elle en toute liberté, je vint la serrer tendrement dans mes bras, allant caresser sauvagement sa langue avec la mienne. La serrant amoureusement dans mes bras, et laissant mon cœur s’exprimer le plus tendrement qu’il soit.
voila la fin de ce chapitre, j’espère qu’il vous a plus :) un peut court mais toujours autant de douceur entre Michi et Haru
Mer 23 Oct 2013, 17:42 par
HaruxMichi sur Histoires d'amour
Un bon saint...
Finie la fête de beaux nénés, il est bientôt l’heure de voir ce que les seins valent en teint. Aucun jeu de maux ce jour-ci il ne faudra faire, pas plus que de jeux de mot laids, avec des gens bêtes.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Je préconise plutôt les jeux de mollets, avec des jambettes ! Et vos cris, mesdames, vos soupirs de plaisir dans cette nuit aux cloisons de papier.
Dim 31 Jan 2010, 19:44 par
PetitPrince sur Edito
Peur : sondage
Est-ce que l’Amour vous fait peur ?
Si oui :
De quoi avez-vous peur, messieurs ?
Mesdames ?
Anecdotes à partager ?
Merci de répondre sous post restant.
Dolce
Si oui :
De quoi avez-vous peur, messieurs ?
Mesdames ?
Anecdotes à partager ?
Merci de répondre sous post restant.
Dolce
Ven 02 Oct 2009, 19:36 par
dolce vita sur L'amour en vrac
L'île du Levant la bien nommée...
L’île du Levant
Comme disait Devos : « J’ai voulu voir la mer… » L’arrivée a eu lieu, en fin septembre au Lavandou. Occupation des lieux de location : Il faisait beau, il faisait chaud…la mer était belle, la vie serait plus belle aussi pendant ces trois semaines ! J’en oubliais ces vers de G. de Nerval qui me taraudent l’esprit trop souvent :
« L’Homme a un pied dans la tombe quand l’Espoir ne le soutient plus… »
En cette fin de samedi, organisation et installation habituelles, mais le dimanche matin, dés sept heures, sortie à la marche : Après quelques centaines de mètres, j’ai atteint le boulevard front de mer. J’ai repris rituellement mon périple habituel en direction du Port du Lavandou. Ce boulevard est plat, vivant car déjà parcouru par les Touristes, et surtout il jouxte les Plages et…la mer !
*
Dans le ‘beau-de-l’air’, j’ai retrouvé mes réminiscences habituelles :
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… »
Et le ‘rein-beau’ :
« Elle est retrouvée – Quoi ? – l’Eternité – C’est la mer mêlée au soleil »
Et quand ça chatouille ‘vers-l’aine’ :
« Je ne sais pourquoi – mon esprit amer – d’une aile inquiète vole sur la mer…
mouette à l’essor mélancolique- Qui suit la vague et ma pensée… »
*
Ma promenade habituelle se prolonge après le port vers les rochers de saint Clair la crique d’Aiguebelle et retour. Ma sortie de l’après midi, à l’inverse m’amène vers le Port de Bormes les mimosas, puis la grande Plage, les premiers rochers du Cap Bénat et retour. Deux fois sept kilomètres par jour. Monotone ? Jamais… « La mer toujours renouvelée » les vagues, les bateaux, les touristes, les baigneurs, les…chiens et les oiseaux marins !
Matin et soir, en fin de parcours, je prends un petit bain de 15 à 20 minutes dans une eau à 24° de moyenne, avant de rentrer…
Au large, en direction du sud, il y a les Iles d’Or : l’Ile du Levant et celle de Port Cros paraissant bien prés ( Porquerolles elle, est cachée par le cap Bénat ) Cela m’a donné des idées, d’autant qu’à chacun de mes passages côté Port du Lavandou, sur la jetée, je côtoyais les vedettes qui assurent le service de ces Iles. Par curiosité, j’ai regardé le tableau d’affichage et les horaires des différentes rotations. Cela a conforté mes idées : D’abord l’Ile du Levant, avec un départ à 14h,arrivée à 14h30, et rembarquement à 18h30…4h à passer sur l’Ile que je connaissais déjà, c’était bien suffisant !
*
Et dés le mercredi, j’ai embarqué sur l’une de ces vedettes, chargée à ras bord de moutons bêlants…pardon de touristes bruyants ! Passant à l’avant, j’ai pu heureusement me retrouver assis sur un capot, sous le cockpit face à la proue. Les bancs devant moi étaient pleins et retentissaient de : « Ya, ya, ya » Allemands et peut-être en partie Hollandais ? Sur une mer calme, pailletée d’or, le ronron des gros moteurs diesels était presque une hérésie. Mais nous sommes vite arrivés au port d’Héliopolis quasiment désert à cette heure là…
A peine débarqués, j’ai pris le sentier de gauche qui amène côté nord, face à la côte. J’étais en short, tee-shirt, petit sac dans le dos, chaussures de course à pied et casquette blanche, vissée sur la tête, à cause du grand soleil.
Première rencontre, une grande pancarte : « Partie de l’Ile exclusivement réservée aux Naturistes » et pour mieux illustrer cette injonction, une énorme statue de pierre.
Pas de tête, ni de membres ; un dos normal, mais plus bas, une énorme paire de fesses, plus prés de la Vénus Hottentote que de la Callipyge !
Ce sentier, bien qu’étroit et caillouteux, épousant la forme des rochers, donc montant et descendant dans une garrigue fournie, ne soit pas désagréable à qui est entraîné à la marche à pied. De temps en temps, un petit embranchement donne accès vers la mer : des criques rocheuses uniquement, et allongés ou assis sur ces roches plus ou moins lisses, des grands singes nus…oh ! Pardon, des Naturistes, dont j’ai plaint les ventres et les postérieurs, reposant sur des surfaces aussi peu engageantes et brûlantes en sus !
Moi, j’attendais d’arriver à la grande crique de l’Avis pour me baigner un petit moment avant de reprendre mon périple autour de l’Ile, dans sa partie Civile, les trois quarts de sa surface étant occupée par la Marine Nationale …à un moment, je suis arrivé sur une partie pentue, des pierres plates y tenaient lieu d’escaliers, et…en haut, j’ai vu une paire de fesses en gros ( !) plan, bien réelles, celles-là : Des tongs sous les pieds, les fesses précitées qui tressautaient à chaque pas, un dos brûlé de soleil, et au-dessus du tout, un grand chapeau de paille d’Italie ou d’ailleurs…
Ah ! J’oubliais, elle tenait une grande serviette à la main. Entendant mes pas précipités, elle s’est tournée, fesses côté verdure pour me laisser passer, et…j’ai vu le côté pile : Lourds seins pendants, ventre ptosé, touffe coupée ras, naturisme oblige ! J’étais déjà à sa hauteur, et elle a dit :
- Passez donc Monsieur ! Courez vers votre Destin…
Elle avait de l’humour, cette Dame visiblement sexagénaire ( Comme…moi !) mais avec des rides plus visibles, puisque blanches sur un visage tanné, éclairé par un sourire mi-moqueur, mi-pincé…J’ai dit au passage :
- Pardon ! Je vais un peu vite…je veux me baigner à l’Avis, avant de continuer le sentier jusqu’au Port…
Elle m’a coupé la parole :
- Vous savez que c’est strictement Naturiste dans cette partie de l’Ile ? D’ailleurs vous auriez moins chaud…
A mon tour, déjà loin, j’ai crié :
- ‘A poils’, quand je cours ou quand je nage, çà me les coince !
D’encore plus loin, j’ai entendu nettement :
- ‘Pôvre con’ !
Arrivé à la crique de l’Avis, sur les grandes plaques de ciment lisse, il y avait déjà toute une brochette de Naturistes que j’ai contournés, ignorant de nombreux regards réprobateurs…un peu plus loin, je savais trouver une crique plus petite, et chance : il n’y avait personne. Pierres et rochers, il fallait faire avec. Je me suis ‘dépoilé’, puis j’ai souffert des pieds sur ces petits rochers pointus, avant de trouver une eau assez profonde pour nager. J’étais bien, j’avais eu si chaud…
J’ai nagé longtemps et c’est d’un peu loin que j’ai vu arriver un groupe familial : Grand-Père, Grand-Mère, Fille et Petite Fille, sans doute ?
Tous ‘à poils’ bien sûr, sauf la petite qui n’en avait pas encore ! Grand-Papa, à peu prés de mon âge, mais ventripotent, l’air réjoui, m’a rejoint en nageant, vite disert et bavard :
- ‘Elle’ est bonne, hein ! Depuis vingt cinq ans nous venons ici en famille. Notre petite maisonnette est à peine à cinq cent mètres d’ici…
Et patati, et patata !
Quand je me suis rapproché du bord, ces Dames pas gênées, jouaient avec la Petite, lui cherchant des galets ronds et plats pour lancer en ricochets. J’arrivais en nageant jusqu’au plus prés du bord à cause des pointes de rochers sous l’eau.
Elles me tournaient le dos, se baissant et se relevant, tour à tour. Comment mes yeux ne se seraient pas appesantis sur le spectacle : Grand-Maman, ‘moule’ à l’ancienne…et ma pensée a été
- Bof !
Mais pour ce qui était de la jeune Femme, la quarantaine, peut-être ? Il n’en a pas été de même…Sa ‘fourrure’ bien taillée, laissait visible, une ‘fente’ appétissante, qui m’a fait saliver…
En bon ‘Pied-noir’, j’ai pensé :
- Bon sang ! Dans cette position, je lui en mettrai bien une ‘giclée’…et même deux, sans sortir…depuis le temps que Popaul n’a pas été à pareille fête !
Mais ma pensée suivante a été :
- Arrêtes de fantasmer…ce n’est pas du ‘millet’ pour ton ‘canari’ !
Furtivement, j’ai vu aussi le petit ‘minou’ fendu et dénudé de la gamine. Gêné, mes yeux se sont alors fixés, volontairement, au centre…sur la Maman ! Mains en appui sur le fond, je suis arrivé presque sous son ‘poster’…en me disant :
- ‘Putain’ ! C’est beau quand même…
Elle s’est tournée vers moi : le soleil dorait ses cheveux châtains, et son visage était aussi bronzé que…le ‘reste’ ! Sa bouche pulpeuse s’ouvrait sur des dents très blanches : elle me souriait !
Comme le Papy précédemment, la Mamy m’a dit, elle aussi :
- Elle est bonne, hein !
Et j’ai répondu, faisant un lapsus involontaire :
-Oui, elle est ‘magnifique’ !
J’allais sortir de l’eau, quand j’ai réalisé que j’étais en érection … Que faire ?
Je me suis éloigné un peu, l’air faussement intéressé, par la recherche d’une rive plus accueillante…Assez vite la honte aidant, j’ai retrouvé un appendice caudal, presque normal, et je suis sorti, me rhabillant très vite sous les yeux réprobateurs de ces Dames et de Grand-Papa qui m’avait suivi…Aussi, j’ai vite filé sans demander mon reste !
*
A nouveau le sentier : qui monte et serpente, jouxtant assez vite le grillage de séparation avec la partie militaire de l’Ile. Les arbousiers qui bordaient les côtés regorgeaient de baies bien mûres : Je me suis régalé de fruits, encore plus de souvenirs ( Arbousiers d’Algérie – Et Yoyo, ma tendre amie !) Je suis vite arrivé au village, peu occupé à cette période de l’année. Maisons, hôtels, commerces, tous nichés dans la verdure, mais les volets fermés…
Aux terrasses des deux cafés ouverts, qui se font face, des Touristes. De belles Gretchens reconnues aux classiques : « Ya, ya, ya » le torse nu comme il se doit, et la plupart en strings !
Les serveurs étaient habillés, eux, et çà c’était nouveau ! En tout cas, le spectacle m’a fait adopter un ton égrillard pour l’envoi de mes cartes postales…
Ensuite je suis redescendu vers le Port, et j’ai croisé un ‘Spectre’ : une vieille Dame décatie, flageolante dans la montée, mais bien dans la lignée et l’esprit naturiste … Pitié ! Je n’en dirai pas plus !
Sur le Port, côté sud, il y a une grille ouverte une partie de l’année, et cette pancarte :
« Domaine Maritime. Plage ouverte de juin jusqu’en septembre. Non surveillée. Naturisme toléré » et côté Nord, celui du « Naturisme only »
J’ai repéré une longue jetée non occupée par les bateaux, mais par trois Grâces qui s’y étaient alignées sur leurs serviettes, nez vers la mer et fesses en l’air, côté Port…Je m’y suis bien sûr dirigé !
Il me restait moins d’une heure avant le rembarquement, j’avais chaud et je voulais me retremper…Du Port, il m’a fallu monter quelques marches. J’ai soudain émergé en perspective arrière sur ces grâces qui étaient plutôt des grasses…
Pour celle du milieu dont les fesses n’avaient rien à envier à la statue de pierre, symbole de l’entrée au Zoo, ma pensée a été :
- Oh ! ‘Calcutta’…
Ses jambes étaient très écartées, sans doute à cause des plis et replis entourant une ‘bouche’ édentée, aux lèvres africaines qui ont semblé sourire à ma pensée :
- Berk !
Mais déjà mes yeux, tels ceux des caméléons, biglaient entre les fesses de gauche et celles de droite. Blonde à gauche, Brune à droite : ‘barbus’ bien taillés, ‘tire-lire’ apparentes… Ma pensée vagabondait toujours à pleine vitesse :
- Am-stram-gram, pic et pic, et colle gram…
Et comme disait Nerval : « Sois Brune ou Blonde – le Dieu du Monde –C’est le plaisir … »
Je les dépassais déjà, mais mon ‘Brigadier’, qui lui, aurait bien frappé les trois coups d’une pièce de théâtre, ancienne comme le Monde ou Adam et Eve jouaient les premiers rôles. Ouais ! Ce n’est pas avec une pomme qu’elle l’a séduit l’Adam, mais bien avec ce que je venais de voir !
Mon ‘bâton de feu’, donc, a mis du temps pour reprendre une forme décente. Heureusement que j’étais habillé, moi !
La Blonde de gauche, à mon passage, s’est soulevée sur les avant-bras, redonnant forme à ses grosses ‘doudounes’ et elle m’a jeté un regard furtif, sans aménité. Une fraction de seconde nos yeux se sont croisés : Elle a fixé mon visage buriné, et s’est instantanément détournée, dédaigneusement !
J’ai avancé encore de quelques mètres. J’avais repéré des rochers lisses, propices à un plongeon sans problème dans la mer. J’étais côté Naturiste : Je me suis donc à nouveau dépoilé. Je sentais sur moi, les yeux furtifs et hypocrites de ces trois Gorgones qui devaient penser :
-Encore un ‘Q’…blanc de touriste !
Pour plonger, j’ai du me tourner vers elles, en partie…et comme l’a chanté Brassens :
« La Bandaison, Papa, çà ne se commande pas ! »
Mes idées folles au vu du spectacle précité avaient gonflé un certain corps caverneux, et j’ai vu nettement leurs yeux loucher sur cette flèche aux dimensions surfaites pour un. Vieil ‘Eros déplumé’ ?
L’une des trois, la Blonde je crois, a dit, je ne sais quoi, à voix haute, et elles se sont esclaffées bruyamment toutes les trois !
Vexé, furieux, j’ai plongé et nagé vigoureusement, pensant :
- Pauvres ‘conasses’…il fut un temps ou vous ne m’auriez pas fait tant d’effet !
J’ai pensé ensuite à la chanson de Brel :
« Chez ces gens là, Monsieur – On ne se regarde pas Monsieur… »
Peut-être, mais en tout cas : On s’épie… les anatomies !
Ce second bain, je l’ai apprécié encore plus que le premier. En nageant, je me suis approché des rochers Nord, encore garnis de ‘singes nus’, et… j’ai levé le nez quasiment sous un couple, debout sur un rocher. L’espace blanc des maillots manquants prouvait que c’était des touristes de passage, tout comme moi.
Mes yeux se sont vrillés sur la Dame : une Blonde Walkyrie aux formes harmonieuses, du type Vénus de Milo, auxquelles je suis plus sensible qu’au genre des trois précédentes, du type Odalisques de harems, à posters plantureux, comme ces « Femmes d’Alger » peintes par Delacroix…
J’ai envié le Tristan de cette Iseut, revoyant en fulgurance la Blonde Ophélie de ma jeunesse, et plus récemment, ma ‘Poupée Barbie’ de Pampelone et autres lieux…Me disant que pour ces spectacles là, j’étais désormais bien ‘Mal armé’, en me remémorant Brise Marine :
« La chair est triste, hélas ! »
Même, si moi, je n’ai pas lu tous les livres…
« Fuir ! La bas, fuir… »
Vers ces oiseaux, ivres d’espace et de liberté…
De retour vers le môle de départ ou gisaient ma serviette et mes habits, je me suis hissé sur le quai : Les trois Bronzées, auréolées par le soleil couchant levaient le camp. Les observant à mon tour, je me suis dit à voix basse :
- Quel dommage, Mesdames, que votre ami Phoebus vous donne cette belle couleur sans pour autant fondre votre cellulite, comme le beurre dans une poêle à frire !
Mon regard s’est-il fait par trop insistant sur votre pubis, Madame la Blonde ? Vous avez eu un petit sourire satisfait et moqueur…J’ai deviné votre pensée :
- çà te fait saliver, hein ! Vieux Schnock, mais tu peux toujours aller te rhabiller…
Ce que j’ai d’ailleurs fait, illico !
Un peu plus tard, quand le bateau virant sur son aire a quitté le Port, mes pensées étaient plus à un Adieu qu’à un au revoir pour ce berceau du Naturisme, qui n’est bien sûr pas Cythère, mais est très frustrant pour un vieux mâle solitaire…
Je n’ai rien contre cette pratique, et cette Ile peut être un Paradis pour un Couple en parfaite harmonie !
F I N
Comme disait Devos : « J’ai voulu voir la mer… » L’arrivée a eu lieu, en fin septembre au Lavandou. Occupation des lieux de location : Il faisait beau, il faisait chaud…la mer était belle, la vie serait plus belle aussi pendant ces trois semaines ! J’en oubliais ces vers de G. de Nerval qui me taraudent l’esprit trop souvent :
« L’Homme a un pied dans la tombe quand l’Espoir ne le soutient plus… »
En cette fin de samedi, organisation et installation habituelles, mais le dimanche matin, dés sept heures, sortie à la marche : Après quelques centaines de mètres, j’ai atteint le boulevard front de mer. J’ai repris rituellement mon périple habituel en direction du Port du Lavandou. Ce boulevard est plat, vivant car déjà parcouru par les Touristes, et surtout il jouxte les Plages et…la mer !
*
Dans le ‘beau-de-l’air’, j’ai retrouvé mes réminiscences habituelles :
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… »
Et le ‘rein-beau’ :
« Elle est retrouvée – Quoi ? – l’Eternité – C’est la mer mêlée au soleil »
Et quand ça chatouille ‘vers-l’aine’ :
« Je ne sais pourquoi – mon esprit amer – d’une aile inquiète vole sur la mer…
mouette à l’essor mélancolique- Qui suit la vague et ma pensée… »
*
Ma promenade habituelle se prolonge après le port vers les rochers de saint Clair la crique d’Aiguebelle et retour. Ma sortie de l’après midi, à l’inverse m’amène vers le Port de Bormes les mimosas, puis la grande Plage, les premiers rochers du Cap Bénat et retour. Deux fois sept kilomètres par jour. Monotone ? Jamais… « La mer toujours renouvelée » les vagues, les bateaux, les touristes, les baigneurs, les…chiens et les oiseaux marins !
Matin et soir, en fin de parcours, je prends un petit bain de 15 à 20 minutes dans une eau à 24° de moyenne, avant de rentrer…
Au large, en direction du sud, il y a les Iles d’Or : l’Ile du Levant et celle de Port Cros paraissant bien prés ( Porquerolles elle, est cachée par le cap Bénat ) Cela m’a donné des idées, d’autant qu’à chacun de mes passages côté Port du Lavandou, sur la jetée, je côtoyais les vedettes qui assurent le service de ces Iles. Par curiosité, j’ai regardé le tableau d’affichage et les horaires des différentes rotations. Cela a conforté mes idées : D’abord l’Ile du Levant, avec un départ à 14h,arrivée à 14h30, et rembarquement à 18h30…4h à passer sur l’Ile que je connaissais déjà, c’était bien suffisant !
*
Et dés le mercredi, j’ai embarqué sur l’une de ces vedettes, chargée à ras bord de moutons bêlants…pardon de touristes bruyants ! Passant à l’avant, j’ai pu heureusement me retrouver assis sur un capot, sous le cockpit face à la proue. Les bancs devant moi étaient pleins et retentissaient de : « Ya, ya, ya » Allemands et peut-être en partie Hollandais ? Sur une mer calme, pailletée d’or, le ronron des gros moteurs diesels était presque une hérésie. Mais nous sommes vite arrivés au port d’Héliopolis quasiment désert à cette heure là…
A peine débarqués, j’ai pris le sentier de gauche qui amène côté nord, face à la côte. J’étais en short, tee-shirt, petit sac dans le dos, chaussures de course à pied et casquette blanche, vissée sur la tête, à cause du grand soleil.
Première rencontre, une grande pancarte : « Partie de l’Ile exclusivement réservée aux Naturistes » et pour mieux illustrer cette injonction, une énorme statue de pierre.
Pas de tête, ni de membres ; un dos normal, mais plus bas, une énorme paire de fesses, plus prés de la Vénus Hottentote que de la Callipyge !
Ce sentier, bien qu’étroit et caillouteux, épousant la forme des rochers, donc montant et descendant dans une garrigue fournie, ne soit pas désagréable à qui est entraîné à la marche à pied. De temps en temps, un petit embranchement donne accès vers la mer : des criques rocheuses uniquement, et allongés ou assis sur ces roches plus ou moins lisses, des grands singes nus…oh ! Pardon, des Naturistes, dont j’ai plaint les ventres et les postérieurs, reposant sur des surfaces aussi peu engageantes et brûlantes en sus !
Moi, j’attendais d’arriver à la grande crique de l’Avis pour me baigner un petit moment avant de reprendre mon périple autour de l’Ile, dans sa partie Civile, les trois quarts de sa surface étant occupée par la Marine Nationale …à un moment, je suis arrivé sur une partie pentue, des pierres plates y tenaient lieu d’escaliers, et…en haut, j’ai vu une paire de fesses en gros ( !) plan, bien réelles, celles-là : Des tongs sous les pieds, les fesses précitées qui tressautaient à chaque pas, un dos brûlé de soleil, et au-dessus du tout, un grand chapeau de paille d’Italie ou d’ailleurs…
Ah ! J’oubliais, elle tenait une grande serviette à la main. Entendant mes pas précipités, elle s’est tournée, fesses côté verdure pour me laisser passer, et…j’ai vu le côté pile : Lourds seins pendants, ventre ptosé, touffe coupée ras, naturisme oblige ! J’étais déjà à sa hauteur, et elle a dit :
- Passez donc Monsieur ! Courez vers votre Destin…
Elle avait de l’humour, cette Dame visiblement sexagénaire ( Comme…moi !) mais avec des rides plus visibles, puisque blanches sur un visage tanné, éclairé par un sourire mi-moqueur, mi-pincé…J’ai dit au passage :
- Pardon ! Je vais un peu vite…je veux me baigner à l’Avis, avant de continuer le sentier jusqu’au Port…
Elle m’a coupé la parole :
- Vous savez que c’est strictement Naturiste dans cette partie de l’Ile ? D’ailleurs vous auriez moins chaud…
A mon tour, déjà loin, j’ai crié :
- ‘A poils’, quand je cours ou quand je nage, çà me les coince !
D’encore plus loin, j’ai entendu nettement :
- ‘Pôvre con’ !
Arrivé à la crique de l’Avis, sur les grandes plaques de ciment lisse, il y avait déjà toute une brochette de Naturistes que j’ai contournés, ignorant de nombreux regards réprobateurs…un peu plus loin, je savais trouver une crique plus petite, et chance : il n’y avait personne. Pierres et rochers, il fallait faire avec. Je me suis ‘dépoilé’, puis j’ai souffert des pieds sur ces petits rochers pointus, avant de trouver une eau assez profonde pour nager. J’étais bien, j’avais eu si chaud…
J’ai nagé longtemps et c’est d’un peu loin que j’ai vu arriver un groupe familial : Grand-Père, Grand-Mère, Fille et Petite Fille, sans doute ?
Tous ‘à poils’ bien sûr, sauf la petite qui n’en avait pas encore ! Grand-Papa, à peu prés de mon âge, mais ventripotent, l’air réjoui, m’a rejoint en nageant, vite disert et bavard :
- ‘Elle’ est bonne, hein ! Depuis vingt cinq ans nous venons ici en famille. Notre petite maisonnette est à peine à cinq cent mètres d’ici…
Et patati, et patata !
Quand je me suis rapproché du bord, ces Dames pas gênées, jouaient avec la Petite, lui cherchant des galets ronds et plats pour lancer en ricochets. J’arrivais en nageant jusqu’au plus prés du bord à cause des pointes de rochers sous l’eau.
Elles me tournaient le dos, se baissant et se relevant, tour à tour. Comment mes yeux ne se seraient pas appesantis sur le spectacle : Grand-Maman, ‘moule’ à l’ancienne…et ma pensée a été
- Bof !
Mais pour ce qui était de la jeune Femme, la quarantaine, peut-être ? Il n’en a pas été de même…Sa ‘fourrure’ bien taillée, laissait visible, une ‘fente’ appétissante, qui m’a fait saliver…
En bon ‘Pied-noir’, j’ai pensé :
- Bon sang ! Dans cette position, je lui en mettrai bien une ‘giclée’…et même deux, sans sortir…depuis le temps que Popaul n’a pas été à pareille fête !
Mais ma pensée suivante a été :
- Arrêtes de fantasmer…ce n’est pas du ‘millet’ pour ton ‘canari’ !
Furtivement, j’ai vu aussi le petit ‘minou’ fendu et dénudé de la gamine. Gêné, mes yeux se sont alors fixés, volontairement, au centre…sur la Maman ! Mains en appui sur le fond, je suis arrivé presque sous son ‘poster’…en me disant :
- ‘Putain’ ! C’est beau quand même…
Elle s’est tournée vers moi : le soleil dorait ses cheveux châtains, et son visage était aussi bronzé que…le ‘reste’ ! Sa bouche pulpeuse s’ouvrait sur des dents très blanches : elle me souriait !
Comme le Papy précédemment, la Mamy m’a dit, elle aussi :
- Elle est bonne, hein !
Et j’ai répondu, faisant un lapsus involontaire :
-Oui, elle est ‘magnifique’ !
J’allais sortir de l’eau, quand j’ai réalisé que j’étais en érection … Que faire ?
Je me suis éloigné un peu, l’air faussement intéressé, par la recherche d’une rive plus accueillante…Assez vite la honte aidant, j’ai retrouvé un appendice caudal, presque normal, et je suis sorti, me rhabillant très vite sous les yeux réprobateurs de ces Dames et de Grand-Papa qui m’avait suivi…Aussi, j’ai vite filé sans demander mon reste !
*
A nouveau le sentier : qui monte et serpente, jouxtant assez vite le grillage de séparation avec la partie militaire de l’Ile. Les arbousiers qui bordaient les côtés regorgeaient de baies bien mûres : Je me suis régalé de fruits, encore plus de souvenirs ( Arbousiers d’Algérie – Et Yoyo, ma tendre amie !) Je suis vite arrivé au village, peu occupé à cette période de l’année. Maisons, hôtels, commerces, tous nichés dans la verdure, mais les volets fermés…
Aux terrasses des deux cafés ouverts, qui se font face, des Touristes. De belles Gretchens reconnues aux classiques : « Ya, ya, ya » le torse nu comme il se doit, et la plupart en strings !
Les serveurs étaient habillés, eux, et çà c’était nouveau ! En tout cas, le spectacle m’a fait adopter un ton égrillard pour l’envoi de mes cartes postales…
Ensuite je suis redescendu vers le Port, et j’ai croisé un ‘Spectre’ : une vieille Dame décatie, flageolante dans la montée, mais bien dans la lignée et l’esprit naturiste … Pitié ! Je n’en dirai pas plus !
Sur le Port, côté sud, il y a une grille ouverte une partie de l’année, et cette pancarte :
« Domaine Maritime. Plage ouverte de juin jusqu’en septembre. Non surveillée. Naturisme toléré » et côté Nord, celui du « Naturisme only »
J’ai repéré une longue jetée non occupée par les bateaux, mais par trois Grâces qui s’y étaient alignées sur leurs serviettes, nez vers la mer et fesses en l’air, côté Port…Je m’y suis bien sûr dirigé !
Il me restait moins d’une heure avant le rembarquement, j’avais chaud et je voulais me retremper…Du Port, il m’a fallu monter quelques marches. J’ai soudain émergé en perspective arrière sur ces grâces qui étaient plutôt des grasses…
Pour celle du milieu dont les fesses n’avaient rien à envier à la statue de pierre, symbole de l’entrée au Zoo, ma pensée a été :
- Oh ! ‘Calcutta’…
Ses jambes étaient très écartées, sans doute à cause des plis et replis entourant une ‘bouche’ édentée, aux lèvres africaines qui ont semblé sourire à ma pensée :
- Berk !
Mais déjà mes yeux, tels ceux des caméléons, biglaient entre les fesses de gauche et celles de droite. Blonde à gauche, Brune à droite : ‘barbus’ bien taillés, ‘tire-lire’ apparentes… Ma pensée vagabondait toujours à pleine vitesse :
- Am-stram-gram, pic et pic, et colle gram…
Et comme disait Nerval : « Sois Brune ou Blonde – le Dieu du Monde –C’est le plaisir … »
Je les dépassais déjà, mais mon ‘Brigadier’, qui lui, aurait bien frappé les trois coups d’une pièce de théâtre, ancienne comme le Monde ou Adam et Eve jouaient les premiers rôles. Ouais ! Ce n’est pas avec une pomme qu’elle l’a séduit l’Adam, mais bien avec ce que je venais de voir !
Mon ‘bâton de feu’, donc, a mis du temps pour reprendre une forme décente. Heureusement que j’étais habillé, moi !
La Blonde de gauche, à mon passage, s’est soulevée sur les avant-bras, redonnant forme à ses grosses ‘doudounes’ et elle m’a jeté un regard furtif, sans aménité. Une fraction de seconde nos yeux se sont croisés : Elle a fixé mon visage buriné, et s’est instantanément détournée, dédaigneusement !
J’ai avancé encore de quelques mètres. J’avais repéré des rochers lisses, propices à un plongeon sans problème dans la mer. J’étais côté Naturiste : Je me suis donc à nouveau dépoilé. Je sentais sur moi, les yeux furtifs et hypocrites de ces trois Gorgones qui devaient penser :
-Encore un ‘Q’…blanc de touriste !
Pour plonger, j’ai du me tourner vers elles, en partie…et comme l’a chanté Brassens :
« La Bandaison, Papa, çà ne se commande pas ! »
Mes idées folles au vu du spectacle précité avaient gonflé un certain corps caverneux, et j’ai vu nettement leurs yeux loucher sur cette flèche aux dimensions surfaites pour un. Vieil ‘Eros déplumé’ ?
L’une des trois, la Blonde je crois, a dit, je ne sais quoi, à voix haute, et elles se sont esclaffées bruyamment toutes les trois !
Vexé, furieux, j’ai plongé et nagé vigoureusement, pensant :
- Pauvres ‘conasses’…il fut un temps ou vous ne m’auriez pas fait tant d’effet !
J’ai pensé ensuite à la chanson de Brel :
« Chez ces gens là, Monsieur – On ne se regarde pas Monsieur… »
Peut-être, mais en tout cas : On s’épie… les anatomies !
Ce second bain, je l’ai apprécié encore plus que le premier. En nageant, je me suis approché des rochers Nord, encore garnis de ‘singes nus’, et… j’ai levé le nez quasiment sous un couple, debout sur un rocher. L’espace blanc des maillots manquants prouvait que c’était des touristes de passage, tout comme moi.
Mes yeux se sont vrillés sur la Dame : une Blonde Walkyrie aux formes harmonieuses, du type Vénus de Milo, auxquelles je suis plus sensible qu’au genre des trois précédentes, du type Odalisques de harems, à posters plantureux, comme ces « Femmes d’Alger » peintes par Delacroix…
J’ai envié le Tristan de cette Iseut, revoyant en fulgurance la Blonde Ophélie de ma jeunesse, et plus récemment, ma ‘Poupée Barbie’ de Pampelone et autres lieux…Me disant que pour ces spectacles là, j’étais désormais bien ‘Mal armé’, en me remémorant Brise Marine :
« La chair est triste, hélas ! »
Même, si moi, je n’ai pas lu tous les livres…
« Fuir ! La bas, fuir… »
Vers ces oiseaux, ivres d’espace et de liberté…
De retour vers le môle de départ ou gisaient ma serviette et mes habits, je me suis hissé sur le quai : Les trois Bronzées, auréolées par le soleil couchant levaient le camp. Les observant à mon tour, je me suis dit à voix basse :
- Quel dommage, Mesdames, que votre ami Phoebus vous donne cette belle couleur sans pour autant fondre votre cellulite, comme le beurre dans une poêle à frire !
Mon regard s’est-il fait par trop insistant sur votre pubis, Madame la Blonde ? Vous avez eu un petit sourire satisfait et moqueur…J’ai deviné votre pensée :
- çà te fait saliver, hein ! Vieux Schnock, mais tu peux toujours aller te rhabiller…
Ce que j’ai d’ailleurs fait, illico !
Un peu plus tard, quand le bateau virant sur son aire a quitté le Port, mes pensées étaient plus à un Adieu qu’à un au revoir pour ce berceau du Naturisme, qui n’est bien sûr pas Cythère, mais est très frustrant pour un vieux mâle solitaire…
Je n’ai rien contre cette pratique, et cette Ile peut être un Paradis pour un Couple en parfaite harmonie !
F I N
Ven 31 Août 2007, 13:57 par
jan goure sur Un monde parfait
Femme emancipee...
Femme emancipée
Aujourd’hui tu veux tout de nous
Pauvres hommes
Rien ne peut etre gris
Soit Blanc soit noir
Il nous faut choisir et bien
Alors que vous ne faites
Que naviguer entre les deux
Mais qu en est il de nous
Avons nous encore des droits
Vous nous choississez
Posez votre devolu sur nous
Il nous faut etre l’homme
Celui qui peut etre force
Mais qui doit avoir sa douceur
Ou son point faible
Que vous seule connaissez
Nous devons etre le protecteur
Juste suffisement pour bien paraitre
Pour vous rassurer
Mais surtout pas trop
Pour ne pas courrir le risque
De devenir envahissant
Ou d etre etiquette jaloux
A la moindre reflexion
Alors sur quel pied devons nous alors danser?
Nous sommes hommes
Eleves dans ce role qui se perd
A cause de votre tailleur femme d affaires
Nous voulons vous seduire
Donner l impression d etre utile
Payer l’adition ou vous tenir la porte
Et jouer le beau rôle du gentleman
Pouvoir vous jouer le grand jeu
De l’amour ou du macho
Suivant notre humeur
De l’amant transit ou de la bete fauve
Car au final nous ne vivons que pour vous mesdames...
Alors laissez nous juste l’impression que l’idée venait de nous!
Aujourd’hui tu veux tout de nous
Pauvres hommes
Rien ne peut etre gris
Soit Blanc soit noir
Il nous faut choisir et bien
Alors que vous ne faites
Que naviguer entre les deux
Mais qu en est il de nous
Avons nous encore des droits
Vous nous choississez
Posez votre devolu sur nous
Il nous faut etre l’homme
Celui qui peut etre force
Mais qui doit avoir sa douceur
Ou son point faible
Que vous seule connaissez
Nous devons etre le protecteur
Juste suffisement pour bien paraitre
Pour vous rassurer
Mais surtout pas trop
Pour ne pas courrir le risque
De devenir envahissant
Ou d etre etiquette jaloux
A la moindre reflexion
Alors sur quel pied devons nous alors danser?
Nous sommes hommes
Eleves dans ce role qui se perd
A cause de votre tailleur femme d affaires
Nous voulons vous seduire
Donner l impression d etre utile
Payer l’adition ou vous tenir la porte
Et jouer le beau rôle du gentleman
Pouvoir vous jouer le grand jeu
De l’amour ou du macho
Suivant notre humeur
De l’amant transit ou de la bete fauve
Car au final nous ne vivons que pour vous mesdames...
Alors laissez nous juste l’impression que l’idée venait de nous!
Enfin la parité pour les hommes !
Enfin la parité…pour les hommes !
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Mon ami de 30 ans et de 30 ans mon aîné, me répondit sans ambages
à ma question : qu’est-ce ce qui a le plus changé pour vous ? : "les femmes" !
Elles sont devenues impossibles !
Elles veulent le beurre, l’argent du beurre et les enfants du crémier.
Elles amassent tout, se chargent comme un baudet et ne veulent rien partager.
Elles sont en conquête de pouvoir et considèrent l’homme comme un rival nécessaire.
Le travail de la femme est devenu une assurance divorce.
Elles raisonnent en groupe, en caste et nul n’ose s’aventurer à les contredire.
Elles sont femmes et doivent donc tout savoir mieux que quiconque puisque affublées
de la fameuse "intuition féminine" et de "l’instinct maternel" qui nous font bien rigoler.
Tous les psychologues savent bien qu’il s’agit d’une pure invention sociale, mais rien n’y fait,
c’est leur credo, leur confiteor.
Essayez de les soulager en prenant en charge les courses, la cuisine, les enfants, le ménage…
Il ne se passera pas 1 mois avant quelles ne reprennent leurs prérogatives car ce sera
mieux fait par elles. Il s’agit du syndrome des avantages acquis avec celui très caractéristique :
le droit de se plaindre parce que je fais tout dans cette maison.
Apporte-moi un statut, de la sécurité et ton argent, je ferais le reste qui s’appelle : tout décider.
Essayez d’entrer dans la parité homme quant aux emplois dits féminins : secrétaire, sages-femmes,
standardiste, infirmière…et vous verrez leur courroux.
Finalement, tous les progrès technologiques du XX° siècle ne sont que peu de choses
comparé à l’hégémonie de la femme qui avait déjà beaucoup de pouvoirs mais qui les veut
tous et exclusifs et jusqu’à s’en inventer.
La femme de notre Président, qui n’a aucun statut, sinon celui, non écrit, de réception, déclare :
"A l’avenir, il y aura de plus en plus de femmes pour commander les hommes".*
Vous remarquerez qu’il n’est pas dit : des femmes aux commandes des entreprises ou de la politique.
Il s’agit bien de "commander" les hommes". Voilà la véritable conquête de la femme.
L’homme a été plus respectueux envers le cheval, la plus noble conquête de l’homme.
Aux Ayatollahs, Talibans extrémistes correspond la femme qui "commande" aux hommes.
Nous voilà dans de beaux draps, dirait la mère Denis.
Si, maintenant, c’est la femme d’un Président qui le dit, les bornes sont franchies.
Que nous reste-t-il, à nous les hommes ? Le choix de la couleur de la voiture ? Même pas.
Faudra-t-il songer à cloner la Terre pour que nous ayons un espace de liberté ?
Mesdames, vous êtes-vous rendu compte de la situation qui va bientôt vous échapper ?
La parité que vous réclamez tant vous fera abandonner le restaurant et le cinéma offerts,
la portière ouverte ainsi que toutes ces petites déférences que vous savez apprécier.
Votre vie est un combat, le notre va commencer.
Qui gagnera ? Combien de pertes ?
Réfléchissons tous ensemble, si vous le voulez bien.
*Madame Chirac, le Parisien du 21 février 06 et cité dans Marianne du 25 février 06.
Dim 22 Juil 2007, 15:26 par
Xavier Huon sur Citations
La deuxième main courante...
Pas des moindres, le quartier est Ebay
La vendeuse, honnête, et c’est pas un laideron...
Le client a trente ans, Parigot jusqu’aux dents, la menace de mort.
Car il était mal poli et la Belle n’a pas voulu qu’il se foute de sa jolie Frimousse, donc, pas de gazinière.
Est allée, retournée, au commissariat central Place du Marché.
À TEL POINT QUE :
Maintenant, comme on sait que je suis au chômedu et que je ne veux pas perçevoir les Assédic, les Mesdames et Messieurs du QG me demandent, étonnés avec le sourire :
Mais, à tout hasard, vous n’auriez pas envie de travailler pour Nous?
En pensées :
Si tu crois que j’ai refusé d’être aiguilleur du ciel à 19 ans, c’est pas pour me prendre une balle à trente cinq.
Sourires.
La vendeuse, honnête, et c’est pas un laideron...
Le client a trente ans, Parigot jusqu’aux dents, la menace de mort.
Car il était mal poli et la Belle n’a pas voulu qu’il se foute de sa jolie Frimousse, donc, pas de gazinière.
Est allée, retournée, au commissariat central Place du Marché.
À TEL POINT QUE :
Maintenant, comme on sait que je suis au chômedu et que je ne veux pas perçevoir les Assédic, les Mesdames et Messieurs du QG me demandent, étonnés avec le sourire :
Mais, à tout hasard, vous n’auriez pas envie de travailler pour Nous?
En pensées :
Si tu crois que j’ai refusé d’être aiguilleur du ciel à 19 ans, c’est pas pour me prendre une balle à trente cinq.
Sourires.
Dim 22 Oct 2006, 02:41 par
Chogokinette sur Mille choses
Hommage à un amoureux des mots
Raymond Devos disparu ce jour
Funambule des mots, il aimait détourner les mots de leur sens, pour nous emmener vers l’absurde.
Parler pour ne rien dire
Mesdames et messieurs ... je vous signale tout de suite que je vais
parler pour ne rien dire.
Oh! je sais!
Vous pensez:
<<S’il n’a rien à dire ... il ferait mieux de se taire!>>
Evidemment! Mais c´est trop facile! ... C´est trop facile!
Vous voudriez que je fasse comme tout ceux qui n´ont rien à
dire et qui le gardent pour eux?
Eh bien, non! Mesdames et messieurs, moi, lorsque je n´ai rien à dire,
je veux qu´on le sache!
Je veux en faire profiter les autres!
Et si, vous-mêmes, mesdames et messieurs, vous n´avez rien à dire,
eh bien, on en parle, on en discute!
Je ne suis pas ennemi du colloque.
Mais, me direz-vous, si on en parle pour ne rien dire, de quoi
allons-nous parler?
Eh bien, de rien! De rien!
Car rien ... ce n´est pas rien
La preuve c´est qu´on peut le soustraire.
Exemple:
Rien moins rien = moins que rien!
Si l´on peut trouver moins que rien c´est que rien vaut déjà
quelque chose!
On peut acheter quelque chose avec rien!
En le multipliant
Un fois rien ... c´est rien
Deux fois rien ... ce n´est pas beaucoup!
Mais trois fois rien! ... Pour trois fois rien, on peut déjà acheter
quelque chose ... et pour pas cher!
Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien:
Rien multiplié par rien = rien.
Trois multiplié par trois = neuf.
Cela fait rien de neuf!
Oui ... Ce n´est pas la peine d´en parler!
Bon! Parlons d´autres choses! Parlons de la situation, tenez !
Sans préciser laquelle!
Si vous le permettez, je vais faire brièvement l´historique de la
situation, quelle qu´elle soit!
Il y a quelques mois, souvenez-vous la situation pour n´être pas
pire que celle d´aujourd´hui n´en était pas meilleure non plus!
Déjà, nous allions vers la catastrophe et nous le savions ...
Nous en étions conscients!
Car il ne faudrait pas croire que les responsables d´hier étaient
plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d´aujourd´hui!
Oui! La catastrophe, nous le pensions, était pour demain!
C´est-à-dire qu´en fait elle devait être pour aujourd´hui!
Si mes calculs sont justes!
Or, que voyons-nous aujourd´hui?
Qu´elle est toujours pour demain!
Alors, je vous pose la question, mesdames et messieurs:
Est-ce en remettant toujours au lendemain la castastrophe que nous
pourrions faire le jour même que nos l´éviterons?
D´ailleurs je, vous signale entre parenthèses
que si le gouvernement actuel n´est pas capable d´assurer la catastrophe,
il est possible que l´opposition s´en empare!
Raymond Devos
Caen
J’avais dit: "pendant les vacances, je ne fais rien !... Rien ! Je ne vais rien faire ".
Je ne savais pas où aller.
Comme j’avais entendu dire : "A quand les vacances?... A quand les vacances?..."
Je me dis: " Bon !... Je vais aller à Caen... " Et puis Caen !... ça tombait bien, je n’avais rien à y faire.
Je boucle la valise... je vais pour prendre le car... Je demande à l’employé :
- Pour Caen, quelle heure ?
- Pour où?
- Pour Caen !
- Comment voulez-vous que je vous dise quand, si je ne sais pas où?
- Comment? Vous ne savez pas où est Caen?
- Si vous ne me le dites pas !
- Mais je vous ai dit Caen !
- Oui !... mais vous ne m’avez pas dit où !
- Monsieur... je vous demande une petite minute d’attention !
Je voudrais que vous me donniez l’heure des départs des cars qui partent pour Caen !
- ! !...
- Enfin !... Caen !... dans le Calvados !...
- C’est vague !
- ...En Normandie !...
- Ma parole ! Vous débarquez !
- Ah !... là où a eu lieu le débarquement !... En Normandie !
- A Caen...
- Là !
- Prenez le car.
- Il part quand?
- Il part au quart.
- ! !... Mais (regardant sa montre)... le quart est passé !
- Ah ! Si le car est passé, vous l’avez raté.
- ! !... Alors... et le prochain?
- Il part à Sète.
- Mais il va à Caen?
- Non il va à Sète.
- Mais, moi, je ne veux pas aller à Sète... Je veux aller à Caen !
- D’abord, qu’est-ce que vous allez faire à Caen ?
- Rien !... rien !... Je n’ai rien à y faire !
- Alors, si vous n’avez rien à faire à Caen, allez à Sète.
- ! !... Qu’est-ce que vous voulez que j’aille faire à Sète?
- Prendre le car !
- Pour où?
- Pour Caen.
- Comment voulez-vous que je vous dise quand, si je ne sais pas où !...
- Comment !... Vous ne savez pas où est Caen?
- Mais si, je sais où est Caen !... Ça fait une demi-heure que je vous dis que c’est dans le Calvados !...
Que c’est là où je veux passer mes vacances, parce que je n’ai rien à y faire !
- Ne criez pas !... Ne criez pas !... On va s’occuper de vous.
Il a téléphoné au Dépot.
Mon vieux !... (regardant sa montre) :
A vingt-deux, le car était là.
Les flics m’ont embarqué à sept...
Et je suis arrivé au quart.
Où j’ai passé la nuit !
Raymond Devos.
Monsieur Devos, vous nous manquez déjà.
Marie, amoureuse des mots.
Funambule des mots, il aimait détourner les mots de leur sens, pour nous emmener vers l’absurde.
Parler pour ne rien dire
Mesdames et messieurs ... je vous signale tout de suite que je vais
parler pour ne rien dire.
Oh! je sais!
Vous pensez:
<<S’il n’a rien à dire ... il ferait mieux de se taire!>>
Evidemment! Mais c´est trop facile! ... C´est trop facile!
Vous voudriez que je fasse comme tout ceux qui n´ont rien à
dire et qui le gardent pour eux?
Eh bien, non! Mesdames et messieurs, moi, lorsque je n´ai rien à dire,
je veux qu´on le sache!
Je veux en faire profiter les autres!
Et si, vous-mêmes, mesdames et messieurs, vous n´avez rien à dire,
eh bien, on en parle, on en discute!
Je ne suis pas ennemi du colloque.
Mais, me direz-vous, si on en parle pour ne rien dire, de quoi
allons-nous parler?
Eh bien, de rien! De rien!
Car rien ... ce n´est pas rien
La preuve c´est qu´on peut le soustraire.
Exemple:
Rien moins rien = moins que rien!
Si l´on peut trouver moins que rien c´est que rien vaut déjà
quelque chose!
On peut acheter quelque chose avec rien!
En le multipliant
Un fois rien ... c´est rien
Deux fois rien ... ce n´est pas beaucoup!
Mais trois fois rien! ... Pour trois fois rien, on peut déjà acheter
quelque chose ... et pour pas cher!
Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien:
Rien multiplié par rien = rien.
Trois multiplié par trois = neuf.
Cela fait rien de neuf!
Oui ... Ce n´est pas la peine d´en parler!
Bon! Parlons d´autres choses! Parlons de la situation, tenez !
Sans préciser laquelle!
Si vous le permettez, je vais faire brièvement l´historique de la
situation, quelle qu´elle soit!
Il y a quelques mois, souvenez-vous la situation pour n´être pas
pire que celle d´aujourd´hui n´en était pas meilleure non plus!
Déjà, nous allions vers la catastrophe et nous le savions ...
Nous en étions conscients!
Car il ne faudrait pas croire que les responsables d´hier étaient
plus ignorants de la situation que ne le sont ceux d´aujourd´hui!
Oui! La catastrophe, nous le pensions, était pour demain!
C´est-à-dire qu´en fait elle devait être pour aujourd´hui!
Si mes calculs sont justes!
Or, que voyons-nous aujourd´hui?
Qu´elle est toujours pour demain!
Alors, je vous pose la question, mesdames et messieurs:
Est-ce en remettant toujours au lendemain la castastrophe que nous
pourrions faire le jour même que nos l´éviterons?
D´ailleurs je, vous signale entre parenthèses
que si le gouvernement actuel n´est pas capable d´assurer la catastrophe,
il est possible que l´opposition s´en empare!
Raymond Devos
Caen
J’avais dit: "pendant les vacances, je ne fais rien !... Rien ! Je ne vais rien faire ".
Je ne savais pas où aller.
Comme j’avais entendu dire : "A quand les vacances?... A quand les vacances?..."
Je me dis: " Bon !... Je vais aller à Caen... " Et puis Caen !... ça tombait bien, je n’avais rien à y faire.
Je boucle la valise... je vais pour prendre le car... Je demande à l’employé :
- Pour Caen, quelle heure ?
- Pour où?
- Pour Caen !
- Comment voulez-vous que je vous dise quand, si je ne sais pas où?
- Comment? Vous ne savez pas où est Caen?
- Si vous ne me le dites pas !
- Mais je vous ai dit Caen !
- Oui !... mais vous ne m’avez pas dit où !
- Monsieur... je vous demande une petite minute d’attention !
Je voudrais que vous me donniez l’heure des départs des cars qui partent pour Caen !
- ! !...
- Enfin !... Caen !... dans le Calvados !...
- C’est vague !
- ...En Normandie !...
- Ma parole ! Vous débarquez !
- Ah !... là où a eu lieu le débarquement !... En Normandie !
- A Caen...
- Là !
- Prenez le car.
- Il part quand?
- Il part au quart.
- ! !... Mais (regardant sa montre)... le quart est passé !
- Ah ! Si le car est passé, vous l’avez raté.
- ! !... Alors... et le prochain?
- Il part à Sète.
- Mais il va à Caen?
- Non il va à Sète.
- Mais, moi, je ne veux pas aller à Sète... Je veux aller à Caen !
- D’abord, qu’est-ce que vous allez faire à Caen ?
- Rien !... rien !... Je n’ai rien à y faire !
- Alors, si vous n’avez rien à faire à Caen, allez à Sète.
- ! !... Qu’est-ce que vous voulez que j’aille faire à Sète?
- Prendre le car !
- Pour où?
- Pour Caen.
- Comment voulez-vous que je vous dise quand, si je ne sais pas où !...
- Comment !... Vous ne savez pas où est Caen?
- Mais si, je sais où est Caen !... Ça fait une demi-heure que je vous dis que c’est dans le Calvados !...
Que c’est là où je veux passer mes vacances, parce que je n’ai rien à y faire !
- Ne criez pas !... Ne criez pas !... On va s’occuper de vous.
Il a téléphoné au Dépot.
Mon vieux !... (regardant sa montre) :
A vingt-deux, le car était là.
Les flics m’ont embarqué à sept...
Et je suis arrivé au quart.
Où j’ai passé la nuit !
Raymond Devos.
Monsieur Devos, vous nous manquez déjà.
Marie, amoureuse des mots.
Jeu 15 Juin 2006, 19:35 par
Satine sur Mille choses
Journal télévisé
Mesdames et Messieurs, bonsoir. Fait divers, la princesse de Marigo est surprise dans sa chambre avec deux hommes par les services de sécurité du palace Gotzi.
Les services de sécurité mandatés par l’autorité royale, ont investi la résidence princière, suite à une plainte d’une femme de chambre. Celle-ci s’était alarmée par une conversation téléphonique honteuse qu’elle aurait surprise entre la princesse et un interlocuteur inconnu. Les hommes de la sécurité ont découvert dans la chambre de la princesse, deux hommes nus, dont un ronflant comme un sonneur.
La princesse aurait déclaré que son amant s’étant endormi, elle avait fait appel à un ami pour combler ses désirs jusqu’alors insatisfait!
Les services de sécurité mandatés par l’autorité royale, ont investi la résidence princière, suite à une plainte d’une femme de chambre. Celle-ci s’était alarmée par une conversation téléphonique honteuse qu’elle aurait surprise entre la princesse et un interlocuteur inconnu. Les hommes de la sécurité ont découvert dans la chambre de la princesse, deux hommes nus, dont un ronflant comme un sonneur.
La princesse aurait déclaré que son amant s’étant endormi, elle avait fait appel à un ami pour combler ses désirs jusqu’alors insatisfait!
Mer 25 Août 2004, 13:41 par
PetitPrince sur Exercices de style
Il est là !
Ca y est, Il est là, avec toute ces promesses, ses envies et ses caresses. On l’attendait, on savait qu’il viendrait, et dans un enorme fracas, il a fait son entrée. Et curieusement, ca nous a un peu ... fatigué.
Les femmes courent pour perdre leurs petit ventre qu’elles ont tendrement entretenu parce que leur corps n’avait pas besoin tant de se montrer trop nu. Et bientot, elles porteront les robes légères qu’on porte dans sud, dévoilant d’insupportables charmes au teint doré.
Les hommes courent aussi, pour fabriquer des belles tablettes d’abdominaux, des cuisses profilées et des épaules rassurantes. Certains commencent même déja à s’offrir aux rayons du soleil pour gagner ce hâle qui vous fera craquer, vous mesdames.
La nature dévoile ses chairs tendres, avec ses petits bourgeons timides, nous faisant redécouvrir l’incomparable et ennivrante delicatesse des parfums qu’elle a choisi pour nous séduire.
Ca y est, le printemps est là.
Les femmes courent pour perdre leurs petit ventre qu’elles ont tendrement entretenu parce que leur corps n’avait pas besoin tant de se montrer trop nu. Et bientot, elles porteront les robes légères qu’on porte dans sud, dévoilant d’insupportables charmes au teint doré.
Les hommes courent aussi, pour fabriquer des belles tablettes d’abdominaux, des cuisses profilées et des épaules rassurantes. Certains commencent même déja à s’offrir aux rayons du soleil pour gagner ce hâle qui vous fera craquer, vous mesdames.
La nature dévoile ses chairs tendres, avec ses petits bourgeons timides, nous faisant redécouvrir l’incomparable et ennivrante delicatesse des parfums qu’elle a choisi pour nous séduire.
Ca y est, le printemps est là.
Mar 27 Avril 2004, 07:47 par
PetitPrince sur Edito
le grand cirque
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Bienvenue au spectacle dont vous êtes les acteurs !...
Acrobate, passer les obstacles en souplesse
En toute occasion faire preuve d’adresse
En contorsions de l’esprit, dépasser ses faiblesses
Plier ses malheurs en 4, se pencher vers la tendresse
Troubadour, avoir dans son sac suffisamment de tours
Pour se jouer de la vie comme d’un mauvais public
Jongler avec des coeurs épris, aimer sans détours
Sentir dans sa main que viendra bientôt le déclic
Clown , sourire rayonnant sur la piste aux étoiles
Seul dans les coulisses, la souffrance se dévoile
Derrière un nez rouge cacher aux autres son intérieur
Ce monde dont ils ne soupçonnent pas la lourdeur
Dompteur, de pensées agressives, d’envies carnassières
Maîtriser ses passions, résister à la folie meurtrière
Dominer sa peur et cet instinct de tueur
Pour ne voir dans ces yeux qu’une douce lueur
Trapéziste de l’amour, s’envoyer en l’air, s’effleurer
S’envoler, se lacher pour mieux se rattraper
Se faire peur en défiant le vide ...ô misère !
Parfois se rater...s’écraser, chagrin contre terre
Equilibriste des sentiments, jouant sur la corde raide
Maudire son âme, à son coeur demander de l’aide
Aux vertiges des sens, opposer les lois de la gravité
Mais nous finirons plus bas que nous avons commencé...
La tulipe noire ...9 juin 2003
Dim 29 Fév 2004, 14:22 par
la_tulipe_noire sur L'amour en vrac
Re: un regard,un sourire,une expression...
| soleye a écrit: |
| Mais j’oubliais l’essentiel, elle parle et là! Merveille ou déconvenue... Mais à être trop sélectif, voire trop difficile, peut-être ne devrais-je pas être étonné d’être toujours célibataire ... Euh! n’allez pas croire Mesdames que je livre mon coeur à vos appétits voraces, quoique... :content: A vous lire. Je vous adresse un immensse sourire, Gente Féminine Soleye |
Mais biensûr qu’elle parle
et heureusement ! Depuis longtemps d’ailleurs...Nous sommes nombreuses à avoir le don de la parole et je le reconnais, il n’est malheureusement pas toujours utilisé à bon escient, tout comme chez tes congénères soleye
Combien de jolies femmes séduisent par leur physique mais font fuir une fois la bouche ouverte ( n’y voyez aucune allusion sexuelle! pffffffff
) ou restent dans le tableau de chasse pour parader et frimer devant les copains... il en est de même pour nous, soyons honnêtes, il est toujours plus avantageux de se promener au bras d’un joli garçon stupide mais beau, que d’un affreux intelligent! Par contre, les soirées en tête à tête deviennent vite mornes et tristes avec un bellâtre ou un top model sans conversation! Je ne sais pas si c’est se montrer difficile que de chercher celle ou celui qui peut vous apporter des choses ... ou alors je dois être très difficile aussi...
Quoique .. ????
On est ptete fait l’un pour l’autre Soleye La marquise ... meuuuu si je peux aligner deux mots sans faire de faute!
Lun 02 Fév 2004, 01:47 par
la marquise de sade sur La séduction
Se refuser pour mieux se donner...
Entrez. Prenez place… un peu de silence siouplé !!
Allons, allons messieurs, calmez-vous que le cours puisse commencer !
Puisque certains d’entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d’aujourd’hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s’offrir »
… ( le petit prince là bas, près du radiateur, avancez au premier banc et arrêtez de rire bêtement ! )
Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n’engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d’avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s’offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu’il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j’ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu’un sous la main !
) et un sujet homme … vous là, à gauche, oui, oui, vous avec vos cheveux foncés, et votre sweat vert, approchez … Votre nom ?
Tulipe … Allongez vous sur ce lit… (tu vas voir les aventures trépiDANTES
)
1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,
je parlais d’un bas « nylon » ! ) , un ruban, un foulard, un morceau de dentelle, … ( évitez mesdames le fil barbelé et les élastiques qui rendraient le jeu beaucoup moins sensuel ! ) Vous noterez le regard intrigué de la Tulipe, qui commence déjà à se faire un scénario de la mort !
2) Déshabillez-le, en n’oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l’effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l’excitation montera, grandira, euh… enfin..
mieux c’est, quoi !! Les ongles passés délicatement, quelques morsures légères, les cheveux qui chatouillent, etc, n’agrémenteront que plus le supplice votre partenaire !
3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »
… asseyez-vous sur lui, laisser la chaleur de votre corps se diffuser sur le sien, imbibez-vous de son odeur, de ses frémissements, de ses formes. Penchez vous vers lui… regardez-le tendre les lèvres, prêt à dévorer votre bouche… refusez-lui ! Ne lui accordez pas ce baiser, ne le laissez pas partager votre langue, mais passez-la sur sa joue, frôlez son oreille, avant de revenir près de ses lèvres pour les caresser à peine de votre langue… Regardez-le tenter de relever la tête pour se rapprocher de vous, tenter de desserrer un peu ses liens pour que son corps soit plus libre ! Reculez un peu, juste assez pour que votre bouche arrive à quelques millimètres de la sienne…
4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu’il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu’il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu’il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n’hésitez pas à frôler cet endroit qu’il n’aurait pas hésité à caresser s’il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …
) glissez votre main entre vos cuisses, osez vous caresser devant lui, osez lui donner ce que chaque homme aime regarder. Laissez-le s’imprégner de vos effluves, laisse-le espérer goûter votre sexe, laisse-le vous désirer, envier vos mains, laisse-le..
et ne lui donnez rien… pas encore… Approchez-vous suffisamment de sa bouche pour que sa langue puisse toucher la dentelle de vos dessous, laissez-le espérer avant de vous reculez, de redescendre sur son corps, de vous caresser avec sa peau, avec ses muscles, avec son sexe, de le frôler, le caresser, le lécher, le griffer, le mordre,.. Faites-le tressaillir, gémir, frissonner, agoniser de ne pas encore avoir pu goûter une seule parcelle de vous, utilisez votre bouche, votre langue, vos mains pour que son excitation devienne insupportable puis…
7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d’abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu’il se repaisse. Profitez du plaisir qu’il vous offre et de celui qu’il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..
Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu’à la fin…
Voilà… il est l’heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres
et interro au prochain cours… !!
La marquise … pro fesseuse …
Allons, allons messieurs, calmez-vous que le cours puisse commencer !
Puisque certains d’entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d’aujourd’hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s’offrir »
Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n’engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d’avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).
Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s’offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu’il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j’ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.
Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu’un sous la main !
) et un sujet homme … vous là, à gauche, oui, oui, vous avec vos cheveux foncés, et votre sweat vert, approchez … Votre nom ?
Tulipe … Allongez vous sur ce lit… (tu vas voir les aventures trépiDANTES
) 1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette,
je parlais d’un bas « nylon » ! ) , un ruban, un foulard, un morceau de dentelle, … ( évitez mesdames le fil barbelé et les élastiques qui rendraient le jeu beaucoup moins sensuel ! ) Vous noterez le regard intrigué de la Tulipe, qui commence déjà à se faire un scénario de la mort !
2) Déshabillez-le, en n’oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l’effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l’excitation montera, grandira, euh… enfin..
mieux c’est, quoi !! Les ongles passés délicatement, quelques morsures légères, les cheveux qui chatouillent, etc, n’agrémenteront que plus le supplice votre partenaire !3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet »
… asseyez-vous sur lui, laisser la chaleur de votre corps se diffuser sur le sien, imbibez-vous de son odeur, de ses frémissements, de ses formes. Penchez vous vers lui… regardez-le tendre les lèvres, prêt à dévorer votre bouche… refusez-lui ! Ne lui accordez pas ce baiser, ne le laissez pas partager votre langue, mais passez-la sur sa joue, frôlez son oreille, avant de revenir près de ses lèvres pour les caresser à peine de votre langue… Regardez-le tenter de relever la tête pour se rapprocher de vous, tenter de desserrer un peu ses liens pour que son corps soit plus libre ! Reculez un peu, juste assez pour que votre bouche arrive à quelques millimètres de la sienne…4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu’il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu’il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la recherche de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu’il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n’hésitez pas à frôler cet endroit qu’il n’aurait pas hésité à caresser s’il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là …
) glissez votre main entre vos cuisses, osez vous caresser devant lui, osez lui donner ce que chaque homme aime regarder. Laissez-le s’imprégner de vos effluves, laisse-le espérer goûter votre sexe, laisse-le vous désirer, envier vos mains, laisse-le..
et ne lui donnez rien… pas encore… Approchez-vous suffisamment de sa bouche pour que sa langue puisse toucher la dentelle de vos dessous, laissez-le espérer avant de vous reculez, de redescendre sur son corps, de vous caresser avec sa peau, avec ses muscles, avec son sexe, de le frôler, le caresser, le lécher, le griffer, le mordre,.. Faites-le tressaillir, gémir, frissonner, agoniser de ne pas encore avoir pu goûter une seule parcelle de vous, utilisez votre bouche, votre langue, vos mains pour que son excitation devienne insupportable puis…7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d’abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu’il se repaisse. Profitez du plaisir qu’il vous offre et de celui qu’il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer..
Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu’à la fin…
Voilà… il est l’heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres
et interro au prochain cours… !!La marquise … pro fesseuse …
Mer 21 Jan 2004, 15:21 par
la marquise de sade sur Le grimoire d'amour
De quoi les filles veulent-elles qu'on parle ?
| dench a écrit: |
| J’aimerais savoir quels sont les sujets que les filles aiment aborder quand on les rencontre pour la première fois.
Est-ce que vous préférez un mec qui se livre ou plutot -comme moi- un peu mystérieux. J’en ai marre des "kestufaitdanslavie?", des eventuels "blancs" dans la discussion. Ca peut gacher une belle rencontre. J’ai plein de choses à raconter mais j’ai peur d’ennuyer mon interlocutrice. |
Arf, que voila une question d’ordre pratique, mais néanmoins non dénuée d’intérêt. N’étant pas une fille, je ne saurais dire si il y a ou il n’y a pas de sujet magique, ou d’attitude prête à porter qui permet de te garantir le succès. Mon petit doigt me dit néanmoins qu’il n’y en a pas
.
En tant que mâle, je peux toutefois te donner mon avis, nous verrons comment les dames de ce salon le compléteront. Peu importe le sujet, du moment qu’en parlant, tu sois plaisant à ses yeux. Je suis plus partisan de croire que si tu plais à ton interlocutrice, ça se sait, ça se sent. Et ça ne dépend pas de ton excellente faculté à choisir un sujet. Question d’émotions.
Disons qu’un sujet léger, sans avoir besoin d’être érudit dans un domaine quelconque peut permettre d’abord d’engager la conversation et surtout de deviner un peu quel style de personne tu as en face de toi. La discussion allant, à mon avis, tu sentiras bien l’opportunité de glisser sur un de tes sujets de prédilection. Et si ça l’ennuie, et bien, tu en changeras. Un homme écclectique en parole, l’est peut-être bien aussi sous la couette, ce qui ne devrait pas déplaire ...
Mesdames, à vous la paroles, Messieurs, ne vous privez pas non plus
!
Mer 14 Jan 2004, 16:41 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Ecrire sur mesdames
Sentir les printemps, L'amour est-il un crime ? chapitre 8, Un bon saint..., Peur : sondage, L'île du Levant la bien nommée..., Femme emancipee..., Enfin la parité pour les hommes !, La deuxième main courante..., Hommage à un amoureux des mots, Journal télévisé, Il est là !, le grand cirque, Re: un regard,un sourire,une expression..., Se refuser pour mieux se donner..., De quoi les filles veulent-elles qu'on parle ?, Il y a 17 textes utilisant le mot mesdames. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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