Te rejoindre



Je voudrai, que le temps s’arrête
Et que mon corps transplante au dessus de ces nuages si bleus
Pour te rejoindre.
Ou ton soleil ne ressemblerai pas au
Ou je serai si bien,auprès de toi...
Sentir la caresse leste de tes doigts sur ma peau,
Sentir frémir tes battements si intenses de ton cœur contre le .
Sentir ton désir, accroitre au fil des découvertes
Ou ton effeuillage, à mon égard n’en serait que plus beau.
Je voudrai t’ aimer à en perdre la raison
Et ne plus te quitter....
Être dévorée par tes baisers
Ou je me consumerai d’amour pour toi.
Tes yeux brilleraient et n’en seront que plus beaux..
je m’abreuverai, de ton odeur viril
Et n’en laisserai échapper une seule effluve
Et l’enfermant à tous jamais.

caressedesyeux
Jeu 04 Nov 2010, 16:07 par caressedesyeux sur Mille choses

Une lettre d'amour particulière à un ami particulier

Cher ******,

Voilà que je t’écris cette confidence au cœur de cette nuit bien humide. Non loin de moi, mon compagnon, plongé dans un sommeil profond, pleure dans ses rêves. Ses larmes de douleur coulent à cause de moi. Mon cœur est de pierre, dit-il. Pourquoi ne me laisses-tu pas pénétrer dans ton univers ? Pourquoi m’écartes-tu de ton cœur ? Je t’aime et je souffre de ce manque de sentiment de ta part. Tu es bien cruelle. Voilà ce que dit mon compagnon. Hélas, mon cœur maintient cette distance de peur de connaître cette folie qu’est l’amour. J’aime sans aimer. L’homme avec je partage ma couche. Je l’aime pour son affection pour ma part. J’ai cédé sous le poids de son amour sans m’être jamais demandé si je l’aimais du fond de mon cœur. J’aime lui faire des caresses. J’aime sa présence. J’aime avoir des rapports sexuels avec lui. Malgré tous ses signes, il sent une distance entre nous. Je lui parle de compagnes de jeu potentielles. Cela ne l’amuse pas car il ne peut faire partie de ses jeux interdits. Il me traite d’égoïste. Tu ne cherches que ton propre plaisir ! Et moi, que suis-je à tes yeux ? Qu’un simple objet sexuel ! Mon compagnon a bien raison. A mes yeux, c’est un bel objet sexuel. Mais tous les flots de cyprine que je déverse actuellement viennent de divers fantasmes. J’imagine bien d’autres choses. Il le sent qu’il existe une distance entre lui et moi mais il ne sait pas quoi. Maintenant, je vais t’expliquer, mon cher ******, pourquoi je crée cette distance.

As-tu, mon tendre ami, été amoureux ? Moi, je l’ai été une fois au point de vouloir mourir pour cette personne. J’ai été folle amoureuse. Trop prolixe, ma maladresse m’a tuée. Cet amour m’a beaucoup blessée. Mon compagnon actuellement s’est toujours moqué de cet amour de jeunesse. Toutefois, il n’a jamais essayé de comprendre les conséquences de cet amour déçu. Depuis cet amour solitaire, je me suis jurée de ne plus jamais vendre mon cœur à un homme. Si je ressentais quelque affection pour l’un entre eux, mon amour ne serait que partiel. Ce serait un amour raisonné raisonnable. Mon amour actuel est un amour raisonné raisonnable. Il ressent toute la folle passion que peut souhaiter une femme au point de laisser passer tous mes écarts de conduite. C’est pour beaucoup l’home idéal. Justement, c’est ce genre d’homme qui me plaît de faire souffrir. On dit toujours qu’on ne se rend pas compte des merveilles qui nous sous ses yeux. Je veux qu’il trouve quelqu’un qui le mérite. Alors, je le fais souffrir autant que j’ai souffert d’un rêve de six ans. Je veux qu’il me quitte. Je veux le voir heureux avec une femme qui saura lui rester fidèle de corps et de cœur. Le est trop déçu car il n’éprouve plus de passion mais seulement que de la tendresse à son égard.

Pourquoi mets-je des barrières entre toi et moi ? Crois-tu pouvoir me rendre heureuse ? J’ai repoussé tes avances, tes tendres caresses car je ne veux pas que tu vives avec la même douleur que mon compagnon actuel vit. Ton cœur est si fragile qu’il ne supporterait pas le choc. Crois-moi, je suis quelqu’un de trop instable pour toi. Ne confonds pas « amour » et « désir sexuel ». Mon tendre ami, ton pucelage m’excite, je te désire. Depuis que je t’ai vu entreprendre des caresses poussées, je te vois comme un homme plein de désirs. Cela m’amuse mais me fait peur car je ne veux pas que tu tombes dans les pièges de ton cœur. Ces derniers temps, je fantasme beaucoup sur toi. Je rêve que tu me prennes, que tu me susurres de mots doux, que tu me caresses longuement. Toutefois, tout cela demeure du fantasme sexuel plus que de l’amour. Mon homme se doute que tu es présent dans mon esprit. Il sait que tu occupes une place particulière dans mon cœur. Cette place privilégiée, il en est jaloux. D’où vient ce privilège que tu occupes dans mon cœur ? Tendre ami, cette place vient de l’innocence de ton cœur simple.

Mon ami, garde cette innocence pour la plus belle des femmes et non pour une souillon comme moi.
Mar 11 Mai 2010, 03:27 par Solina sur La déclaration d'amour

Une soirée bien arrosée

Le champagne va couler à flot
Sur ta douce peau.
Une soif intense
De tremper mes lèvres.
A la lueur des bougies , je n’ai pas fini.
Je déroule tes bas résilles
Arrache avec mes dents, ton juste-au corps sexy.
Je te prodigue des caresses les plus folles
Les plus audacieuses
Les plus sensuelles
Et je m’émerveille de gouter à tes lèvres
Dont la saveur sucrée affole mes sens
Si douce et si exquise, entre mes bras
Ton corps se plie contre le
Et je creuse un peu plus mes reins
En jouissant, d’une telle intensité
Que j’en suis bouleversé
Je n’ai qu’une hâte
C’est de recommencer.

caressedesyeux
Lun 26 Avril 2010, 12:05 par caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses

Sentir

Sentir ta présence, ta chaleur...
Sentir ton souffle s’accélérer...
Sentir ta peau...
Sentir sous mes mains chaque parcelle de ton corps, chaque aspérité, chaque orifice, te caresser...
Sentir ton plaisir, et le lier au ...
Sentir le temps s’envoler, comme nous...
Sentir tout cela à n’en plus savoir si c’est un rêve...

Dim 18 Avril 2010, 09:21 par Devetu sur Les liaisons sulfureuses

Un reve (pour lui)


Ne me réveille pas encore
Et laisse moi rêver une fois encore;
De mes désirs inavoués,
Dont la pudeur a prit place
Et dont les mots en deviennent timides.
Ce "pouvoir" que tu as sur moi, inconsciemment
Et de m’en faire perdre la raison,
Mais c’est tellement "bon".
Ta bouche sur la mienne,
Ton corps contre le ;
Tes mains, ne se lassant pas de me caresser.
De nos cœurs qui palpitent et qui battent si fort,
Je n’ai plus peur.
Cette envie de "t appartenir"
Et ne jamais repartir;
Être tout simplement dans tes bras
La ou je trouverai ma place
CARESSEDESYEUX




Sam 27 Mars 2010, 18:54 par caressedesyeux sur Mille choses

Oiseaux de feu

Offre-moi ton corps, pour le salut de mon âme, et prends le . Rapprochons-nous. Laissons glisser nos mains… Eclatons nos bulles pour n’être qu’un. Que nos bouches fassent ce qu’elles veulent. Mangeons-nous, buvons-nous, laissons s’exhaler les saveurs…

Mélangeons-nous, emboitons-nous, dans tous les sens, pour le bonheur des sens et sans interdit. Soyons beaux. Soyons fous. Soyons libres… Laissons nos cœurs s’emballer.

Regardons-nous... Aimons-nous au rythme du va-et-vient de la chair, compte-à-rebours de l’extase, faisons-nous trembler.

Abandonne-toi, comme moi je m’abandonne, en un subtil équilibre.

Laissons raisonner notre plaisir, tel une vague venant lécher chaque parcelle de nos corps, chauds, rougis, ruisselants et lisses… Que nos fluides apaisent le feu, pour mieux qu’il brûle encore, avec la même intensité. Vivons dans le péché. Enivrons nous l’un de l’autre, sans retenue.

Consumons-nous, pour mieux renaître de nos cendres, tels deux phœnix à la saison des amours… Deux nids, deux cœurs, deux vies, un destin. On m’a dit que, quel que soit l’espace qui les sépare, ils se retrouvent… Si c’est de la magie, alors c’est vrai.
Lun 22 Fév 2010, 01:30 par Devetu sur Les liaisons sulfureuses

Fragilité

X : "Mais qui êtes-vous pour m’en vouloir ainsi ? Que vous ai-je fait ?"
Y : "Vous en vouloir ? Parfois. Mais, vous aimer, toujours."
X : "La bêtise vous gagne, vous rêvez mon bon homme. Non seulement vous êtes idiot, mais en plus vous aimez à le montrer."
Y : "Mes sentiments ne vous suffisent, alors, donc pas ? Ne suis-je vraiment qu’une simple âme de plus à vos yeux ? Votre refus me condamne. Voyez comme la tristesse me gagne plus que la bêtise !"
X : "Ne soyez pas si cruel, le monde regorge de femmes jeunes, belles et à votre goût. Partez à l’aventure, restez-y et revenez-en accompagné. Je vous le promets."
Y : "Il est tard, et cette promesse me brise comme se brise la houle sur les bords acérés d’un rivage somptueux mais froid. Votre coeur est froid et le peine, ma belle. Oui, belle vous êtes. Mais froide vous restez. Adieu."
Dim 07 Fév 2010, 13:59 par 365.2425 sur Parler d'amour

Un réveil...

Le réveil venait juste de sonner, je l’avais arrêté à tâtons. C’était un de ces petits matins où l’on n’a pas vraiment envie de se lever. On entendait la pluie, on la devinait froide et l’on préférait savourer la tiédeur d’un lit qui nous avait accueillis pour cette nuit de tendresse. L’épaisseur des couettes, la chaleur de nos corps en avaient fait un nid douillet.


Mes mains avaient, tout doucement, frôlé tout ton corps, faisant frissonner ta peau. Je prenais du plaisir à te réveiller ainsi, très doucement, à voir ton corps s’étirer délicieusement. Cette nuit, c’est de mes lèvres que j’avais fait ce parcours sur toute ta peau, et c’était bien plus que des frissons qu’elles y avaient fait naitre ! J’avais encore le gout de ton corps sur ma bouche et m’en délectait.

Puis j’ai pris beaucoup de plaisir à accompagner de tout mon corps les étirements du tien, un peu comme un ballet immobile, comme la pose prise par deux danseurs qui seraient parfaitement à l’unisson.

Nos jambes se sont mélangées, nos torses se sont plaqués l’un contre l’autre. Même dans l’obscurité, je devinais ainsi la pointe de tes seins, tendus contre ma poitrine. Il a fallu bien des baisers dans ton cou pour déclencher ta première parole : « quelle heure est-il ? » De mon côté, j’avais largement dépassé ce stade, en glissant au creux de ton oreille tous les mots doux, ceux que nous avions échangés hier au soir, avant de s’endormir, éreintés…


Ton corps semblait brûlant contre le : était ce le résultat de nos ébats, ou plus simplement celui des deux couettes que tu affectionnais de prendre sur toi ? Mais cette chaleur douce qui émanait de ton corps était un si beau début à cette froide journée de novembre… J’avais l’impression d’y recharger mes batteries, pour une journée qui s’annonçait difficile.

Que s’est il passé alors ? Pourquoi ce réveil, que j’étais sur d’avoir arrêté, reprenait il sa sonnerie qui tranchait autant avec la douceur de ce moment ?


Je l’arrêtais à nouveau, puis me retournai vers toi… Plus rien, ta place vide et froide, le sentiment de vacuité d’un cœur que l’on m’arrache… les esprits me revenaient : bien sûr, je t’avais raccompagnée hier au soir… Je ne savais plus si je devais maudire ce rêve qui se terminait si mal, ou au contraire le bénir pour avoir prolongé un peu cette soirée trop courte pour la grandeur de notre amour.

Alors, mes pensées se sont portées vers une idée bien plus concrète : cette touche « snooze », il fallait que je la rebaptise « bon pour un dernier rêve »…

Et si un fabriquant de réveille-matin me lit, je lui fais cadeau de cette idée... Pour que d’autres amoureux puissent rêver!
Jeu 04 Fév 2010, 22:03 par piertiteuf sur L'amour en vrac

Ma jeunesse

Avant propos d’un de mes projets littéraires.

Enfance troublée par la peur d’un baiser
Ce fut des années sans personne à aimer.
L’amour illusoire me berna…
Mes prétendantes se firent connaître à mes yeux,
Mais toutes repartirent sans un mot de moi.
Même celles dont je rêvais,
Finirent sur l’autel du sacrifice de mes peurs.
Ma jeunesse bascula dans un tourbillon de doutes.
L’age multipliant les expériences,
Sinuant entre les lignes de chances,
Frôla régulièrement celles des regrets.
Des chemins ratés, aux embûches qui se dressèrent à moi,
Chaque jour se construisit avec le passé.

« Il faut savoir faire des erreurs pour être meilleur
J’ai fait tant d’erreurs… »

Face aux troubles de l‘adolescence,
La vie vint marquer en plus mon visage de cratères sans fin.
Les lignes juvéniles périrent sous les assauts des traitements médicaux
Déformant l’attrait de mon visage d’enfant.
Une longue chevelure vint entraver mon regard,
Et me cacher du monde et de moi-même.
Ma vie prit la tournure d’un homme qui se cache pour aimer.

« C’est dans la solitude que les mots les plus tendres prennent naissance »

Replié sur soi même, l’expression prit un autre sens,
Chaque moment était prétexte à l’écriture,
La douceur éclosant de mes mains,
L’attention séduisant la patience.
Tout à fleur de peau, une grande part de féminité s’installa
Bercé du cruel manque d’une moitié à soi.

Les années passèrent, la confusion des « non-sens » regarda naître l’ignorance face aux rêves, avant de succomber aux sombres promesses de l’enfer. Le métal lourd et noir fut la dernière pièce à l’édifice de mes influences. Il faut de tout pour faire un monde.
Le en était bien remplit à présent…

Bienvenue dans un monde où le romantisme prend un nouveau visage.
Poésie et Métaphores s’unissent aux cours d’histoires d’aujourd’hui,
Ré ouvrant le cercle des poètes disparus …
Témoignage de mes relations amoureuses,
Certains écrits sont restés,
D’autres sont romancés
Pour le plaisir des yeux et des mots.


Les histoires d’amour finissent toujours…
Comment !!! La vie nous le dira…
Dim 31 Jan 2010, 17:41 par fantasy-x sur Mille choses

Lettre à magali

à Magali…


Comme à chacun de nos rendez-vous, j’avais reçu ton petit message : « suis à Nation»... Et déjà dans ma tête déjà s’égrenaient les stations qui nous séparaient encore…

Un délicieux compte à rebours pour aller te rejoindre à la sortie du métro. Puis cette attente, guettant, entre les passants pressés, l’élégance de ta silhouette… Qui de nous deux apercevrait l’autre en premier ? Ce soir là, ce fut moi, et j’en étais heureux car j’aimais à voir le changement de ton expression quand tes yeux croisaient les s, comme si chaque fois était une première fois…

Une bise pudique dans cette foule pressée, nos mains qui se rejoignent… Quelques banalités échangées d’abord, comme pour respecter une approche à chaque fois aussi douce de nos sentiments, dont nous savions bien qu’ils iraient crescendo tout au long de cette soirée. La traversée de ce petit parc avant de rejoindre mon appartement me donne à chaque fois la même impression, celle d’un « sas » de décompression, entre le vacarme de la rue et la douceur des quelques heures que nous avions décidé de consacrer l’un à l’autre. Même le temps de cette transition méritait d’être savouré, ce que je fis en entourant tes épaules de mon bras et en glissant un baiser sur la soie de ta chevelure…

Le digicode, puis l’ascenseur… premier moment d’intimité pour te serrer très fort contre moi, sans un mot car certains silences sont si riches d’émotions… Comme pour écouter les battements de nos coeurs, comme pour mieux savourer la douceur de ton cou sous mes lèvres.

Puis un tour de clé et nous voilà enfin dans la chaleur de l’appartement… Juste le temps de te déchausser, et tu contemples déjà le Paris mouillé de pluie qui s’offre sous la fenêtre. Je m’affaire à servir le petit repas que je nous ai préparé, pour bien commencer notre soirée par un tête-à-tête délicieux de douceur.

Tu es encore à la fenêtre, perdue dans tes pensées : je me place derrière toi pour respecter ta contemplation, mais tout près pour bien sentir ton corps contre le , mes bras t’entourent pour éterniser ce moment de tendresse ; mes mains se posent bien à plat sur ton ventre, comme pour en capter toute la douce et chaude féminité qu’il rayonne. J’ai posé ma joue contre la tienne, pour me laisser caresser le visage par tes cheveux, et partager jusqu’au paysage que tu regardes.

Comme à chaque fois, nous jouons à deviner les monuments dont seul le sommet émerge sur l’horizon… Parisienne de toujours, tu me bats à plate couture à ce jeu improvisé. Le jour a baissé, et la Tour Eiffel scintille soudain de ses mille feux pour nous inviter à table...

Le repas est simple, comme toi, comme ton sourire. J’ai essayé de faire en sorte qu’il soit aussi délicieux, mais y parviendrai-je un jour ? Peu importe, s’en délecter ensemble décuple la jouissance de la dégustation… Un peu de vin, juste pour le plaisir d’y mouiller nos lèvres, de sentir sur la langue des arômes sensuels, un peu surprenants. J’aime ce moment exquis où nos regards peuvent se croiser, se comprendre, mais ou la table qui sépare encore nos corps nous oblige à savourer une attente sublimant le désir… Le rite de ce petit repas partagé fait pour moi complètement partie du prélude amoureux…

Tu évoques aussi ta vie quotidienne, et ses soucis ; nous avons pris l’habitude de nous les confier, de les partager, comme pour les exorciser... Et je lis parfois dans tes yeux que tu ne me dis pas tout, mais même mes questions respecteront cette limite que tu t’es fixée…

Te respecter, respecter ta liberté, accepter tes jardins secrets, et même les encourager… Te serrer contre moi sans te «posséder», te tenir entre mes mains comme on le ferait pour un verre de cristal : trop vouloir le serrer conduirait à le briser. Avec toi j’ai appris que le bonheur est ainsi : il faut savoir ne pas craindre de le poser à côté de soi en confiance, car c’est ce désir de possession qui l’étouffe à coup sur. On est ainsi certain de le retrouver sans risquer de le briser…

La soirée s’avance un peu : nous nous sommes allongés côte-à-côte. Jusqu’où irons nous ce soir, que ferons nous ? Chaque soirée est si différente, et même cette incertitude est délicieuse… Je te câline tendrement, en essayant d’être bien à l’écoute de ton corps.

Ne rien brusquer, être bien en phase avec tes désirs… Savoir les détecter, les reconnaître juste au moment où ils naissent…Savoir écouter ton souffle, entrer en communion avec toi, tout doucement… Laisser glisser tes mains sur mon corps : tu connais si bien les chemins qui mènent à mes frissons. Mes lèvres parcourent ta peau, en redécouvrant à chaque fois la douceur. Nos cuisses, nos jambes se mélangent, beau simulacre de lutte. Tu t’es laissée vaincre, sans doute as-tu deviné que j’avais envie de te délivrer un long et tendre massage. J’aime à sentir ton corps s’abandonner sous mes doigts, j’aime à laisser glisser mes mains sur ton dos, leur faire contourner ton cou par-dessus tes épaules, et ressentir dans tout ton corps le frisson que cela déclenche parfois.

J’hésite toujours, pendant que je te masse, à fermer les yeux pour mieux savourer la délicieuse sensation de ce contact, où à les garder ouverts pour contempler ton corps qui s’est maintenant totalement abandonné. J’avoue alterner un peu les deux, comme un gourmet qui, mettant tous ses sens en éveil, ne voudrait manquer aucune sensation… Je crois avoir forcé un peu sur l’huile à l’arnica qui fait luire ton dos ; c’est avec ma poitrine que je vais maintenant m’attacher à résorber cet excédent, en la faisant glisser doucement contre ton épine dorsale...

J’aime cet instant délicieux, où tes fesses rondes et fermes viennent, comme en échange, masser mon torse, mon ventre. Même les yeux clos, tu ne peux maintenant plus rien ignorer de mon excitation… Et puis je ne sais plus exactement ce qui s’est passé, un éblouissement complet… T’es-tu retournée de toi même, t’ai-je guidée en cela ? Peut être ne le sais tu pas non plus, l’union de nos êtres étant devenue soudain si parfaite… Un sentiment d’abandon total à l’autre, si doux...

J’aime aussi ce moment où tu reprends le dessus, et tu sais ce plaisir que j’ai à m’abandonner à toi. Ce n’est en rien de la soumission, c’est plus l’expérience d’une confiance réciproque absolue. Je sais que tu connais mieux que moi les chemins qui mènent au plaisir, alors je te laisse m’y conduire…C’est le bon sens, non ?

Après ce feu d’artifice qui nous laisse inanimés quelques temps, nous nous resserrons à nouveau l’un contre l’autre, enfouis sous la couette, pour communier en tendresse. Mais sans qu’il soit besoin de se le dire, nous savons que c’est un compte à rebours plus cruel qui s’est engagé maintenant, pour que tu rejoignes le métro avant le dernier passage…

L’un comme l’autre essayons de ne pas le montrer, mais tes traits sont si expressifs… Et je devine que tes yeux lisent sans doute aussi ce sentiment dans les s… C’est en général dans ce moment que me revient notre histoire, celle d’une rencontre aussi improbable que fut la notre… Tout aurait dû normalement nous séparer, et voilà que nos différences deviennent des complémentarités admirables.

Nous allons chacun au secours de l’autre dans ses incertitudes, et je suis étonné de voir comment tu as pu faire évoluer ma vision du monde, ma vision des autres. Je me suis enrichi à ton contact, mon coeur s’est agrandi depuis que tu y es entrée. Tu as renouvelé jusqu’au sang qui coule dans mes veines, tu y as mis une nouvelle vie… Tu m’as appris à vivre à fond dans l’instant présent, moi qui ne faisais qu’échafauder des projets, me souciais toujours du lendemain… Tu m’as appris à aimer l’autre pour lui-même et non pour soi, comment pourrai-je un jour t’en être assez reconnaissant ? L’ascenseur, la nuit, le parc à traverser, puis la rue et le métro. Cette fois, nous déroulons ce petit trajet silencieusement, comme une petite épreuve nécessaire à un retour sur terre, nous qui avons passé quelques instants en apesanteur…

Curieuse impression que de dévider à l’envers un fil qui s’était enroulé quelques heures auparavant. Quelques heures de bonheur hors du temps, que toi seule sait rendre aussi belles. A la semaine prochaine, mon coeur, et prends bien soin de toi !
Lun 14 Déc 2009, 11:37 par piertiteuf sur La déclaration d'amour

Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie)

Chapitre 4

Aéroport de Changi, Singapour – Au grand étonnement de Patrick, les formalités de contrôle des passeports furent très rapides et plutôt agréables. « Ca nous change de l’Europe », se dit-il. Cependant que lui et ses quatre élèves marchaient vers les tapis roulants pour récupérer leurs bagages, le petit Victor s’exclama :
- « Regardez ! Mon sac est déjà là !
- Le aussi ! », applaudit Ali.
« Efficace, avec ça ! », pensa Patrick, tout en regardant Victor courir partout, tel un furet. Tendrement, il se remémora sa première rencontre avec ce garçon âgé maintenant de 12 ans. Il y avait cinq ans. Déjà.

Ce jour là, Victor et ses parents pénétrèrent timidement dans l’établissement, juste avant que l’entraînement général ne débute. Patrick, déjà vêtu de son dobok, les accueillit. Il remarqua tout de suite le manque d’assurance des deux adultes qui se reflétait également chez le petit blondinet, agrippé à la main de sa mère, l’air déterminé à ne pas vouloir la lâcher, même en échange de tous les bonbons du monde ! Patrick s’évertua à les mettre à l’aise et chercha à comprendre quelles étaient les motivations des parents. Ceux-ci expliquèrent, hésitants, que leur petit garçon était d’une timidité maladive, qu’il n’osait jamais s’exprimer librement, que ce soit à la maison ou à l’école. De fait, il avait peu ou pas d’amis et il passait le plus clair de son temps, seul, lisant des tonnes de livres de son âge. Un ami leur avait conseillé de l’inscrire à un club d’arts martiaux, quel qu’il soit, afin de lui permettre de développer une certaine confiance en soi qui lui faisait manifestement défaut. Patrick avait déjà eu affaire à ce genre de cas. Il avait su, à force de patience et de psychologie, faire ressortir les points forts de ces enfants et leur démontrer qu’ils ne devaient pas craindre de les mettre en valeur. Ainsi, au cours des années, Victor s’était complètement transformé. Il était devenu un préadolescent sûr de lui et de ses possibilités, n’hésitant plus à exprimer ses émotions. Malgré son jeune âge, il adorait assister les entraîneurs des tout petits et prenait plaisir à l’instruction. Patrick lui avait donné cette responsabilité, sachant pertinemment que cela permettrait à Victor de continuer à s’épanouir. « C’est en enseignant qu’on apprend le mieux. » répétait-il à ses ceintures noires pour les convaincre d’aider les entraîneurs. Et, en effet, Victor avait beaucoup appris. Sur lui-même. La participation au tournoi de jeunes pratiquants comme Victot faisait aussi partie de la stratégie de Patrick. Il s’avéra que l’enfant était naturellement doté des qualités physiques requises par le taekwondo. Le travail technique qu’il avait accumulé au cours de ces années d’entraînement lui permettait de figurer parmi les meilleurs combattants de sa catégorie d’âge. Ses résultats en tournois, accompagnés des félicitations de son mentor ainsi que de l’admiration de ses camarades, n’avaient pas manqué de le convaincre qu’il pouvait réussir dans ce qu’il entreprenait. Mais, le plus étonnant pour Patrick était de constater l’évolution simultanée des parents de Victor. Ceux-ci étaient devenus plus affirmatifs, beaucoup moins timides dans leurs échanges avec lui, moins craintifs en apparence. « Et ils ne pratiquent aucun art martial, eux… Trois transformations pour le prix d’une ! Non seulement Victor a changé mais il a aussi, et sans le savoir, influencé ses propres parents… », s’amusa-t-il intérieurement.

Quant à Ali, le problème avait été tout autre. Ses parents, issus de la troisième génération d’immigrés, avaient réussi à percer ce mur invisible dressé par la société à cause de leurs origines. Ils étaient jeunes, formaient un beau couple et respiraient le bonheur. Lui était cadre dans une compagnie d’assurances et elle dispensait des cours d’informatique pour le compte d’un organisme de formation professionnelle. A la naissance d’Ali, un an après leur mariage, ils furent fous de joie et tous les membres de leurs grandes familles, de Paris à Oran, devinrent hystériques. « Un cadeau d’Allah ! » avait proclamé un oncle d’Oran, toujours volubile. Le grand père d’Ali n’avait pas hésité, déclenchant le courroux de son épouse, à déclarer à son rejeton : « Tu as toujours été ma plus grande fierté, mon enfant. Maintenant, avec la naissance de ton propre fils, je sais que jamais je ne pourrai être plus heureux. Alors, si Dieu veut que je meure maintenant, je suis d’accord ! »

Au fil des mois, puis des années, les géniteurs comblés s’aperçurent que quelque chose clochait chez Ali. Dans son comportement, très agité, souvent impulsif ; à l’école, où il avait énormément de mal à suivre. Ses parents s’en inquiétèrent très vite et consultèrent un généraliste. Celui-ci, après examen de l’enfant, pronostiqua un TDAH (Trouble de Déficit de l’Attention Hyperactivité) et demanda aux parents de voir un spécialiste afin de confirmer la découverte et, surtout d’en définir le degré. Ce qu’ils firent. Et ils apprirent que leur enfant était, en effet, atteint du TDAH, à un degré élevé. Mais le spécialiste se montra rassurant car le problème avait été détecté assez tôt et il proposa un programme spécifique pour Ali, à base d’homéopathie (il était contre les médicaments, qu’il considérait trop invasifs pour un enfant de 6 ans) et d’approche psychosociale. « Mais le plus important pour Ali reste l’amour que vous lui portez et votre soutien sans faille. », avait prévenu le professeur. Justement, de l’amour, pour leur enfant, ils en avaient à revendre ; de même que toute leur famille ! Aussi, loin d’être abattus, soulagés, même, de pouvoir mettre un nom sur le problème, les parents d’Ali étaient plus que déterminés à aider leur fils. Lorsque la maîtresse d’Ali fut mise au courant du trouble de son élève, elle recommanda à sa mère de l’inscrire au club de taekwondo de Patrick Brun, leur assurant que cela pourrait grandement contribuer à l’amélioration de leur fils. Prudents, les parents demandèrent conseil au spécialiste qui ratifia cette suggestion : « Pratiquer un sport, qui plus est un art martial, est une excellente démarche dans le cas du petit Ali. En effet, pour lui, apprendre en étant assis derrière un pupitre est un vrai calvaire. S’il peut apprendre tout en déversant son trop plein d’énergie, il aura moins de difficultés à garder son attention. Un art martial offre, en plus, un cadre très structuré, basé sur des règles et des codes précis que personne ne peut enfreindre, y compris un enfant atteint de TDAH. Aussi, Ali apprendra plus facilement les conséquences de ses débordements éventuels et, inconsciemment, ajustera son comportement en fonction. »

C’est ainsi que Patrick reçut Ali au sein de son club et participa – non sans mal – aux progrès lents mais incontestables de l’enfant. Aujourd’hui, Ali avait 18 ans. Patrick le regardait récupérer son sac et aider Mathilde à en faire autant. Grand, musclé, souple : un corps de félin. Calme, souriant, confiant, patient, toujours à l’écoute : un grand frère à qui on veut confier toutes ses peines ; vers qui on se tourne pour partager ses joies ; quelqu’un dont on veut gagner l’amitié, à jamais. « Où es-tu passé, petit Ali de 6 ans ? », s’interrogea Patrick. « Tu nous as fait souffrir, mes entraîneurs et moi. Tu nous as tournés en bourriques tant de fois. Tu étais insaisissable. Tes camarades d’entraînement te détestaient car tu étais différent. Tu étais incapable de reproduire une poomse correctement… Et, petit à petit, tu as laissé la place à quelqu’un qui est finalement devenu ce jeune homme : un instructeur occasionnel adoré par ses étudiants. Un champion de taekwondo. Et, pour couronner le tout, un brillant étudiant qui finit sa deuxième année de médecine. Alors, c’est avec plaisir que je te dis : « Adieu, petit Ali de 6 ans… Et je suis content que tu aies laissé ta place à cet Ali de 18 ans, promis à un brillant avenir. Le joyau de sa famille, si aimante… » .
Jeu 12 Nov 2009, 12:07 par Arthis sur Mille choses

D'un temps à l'autre...

C’est une île,
un point en équilibre posé à fleur d’eau…
Des parcelles d’amour oubliées
dans le silence bercé par la mer qui érode la pierre.
Tout est si fuyant
tout est si instable sous mon pas…
J’écoute la rumeur paisible
qui accompagne l’obscurité,
elle se taira à l’aube,
se laissera gagner par les bruits du jour.
Je suis attentive à ce souffle familier suspendu à la nuit,
il s’accroche à moi,
m’absorbe doucement,
j’y retrouve le désenlacé du tien.
Mon regard glisse sur la courbe d’un pont
poursuit lentement son chemin
vers une silhouette à l’allure élégante
et l’épouse entièrement
C’est une histoire ouverte sur un autre temps…
Mar 21 Juil 2009, 22:52 par Lou sur La première fois

Et dans le domaine de l'asphixie?

Un sérieux manque d’humour. Logique. Tout ce qui ne regarde pas la joie est sérieux. Ici déjà premières échappées de mots nébuleux me confonds en maladresse.
Puis après pourquoi écrire? Parce qu’en moi les temps soudoient l’orage et celui ci demande le prix fort. Très patient. Le aura les yeux de Vulcain.
Ainsi donc me situe noctambule solitaire c’est ce qui définit au mieux le mec crasseux que je deviens lorsque le concept de séduction a porté trop de préjudices; ce n’est pas que je me fiche d’aimer suis fou éperdu de songes féminins elle frôle ma main baisse les yeux disparaît alors même qu’elle manque déjà à mon Ciel.
Un ami comme ça appelle il dit monsieur Souci évidemment tout un chacun estime ceci préjudiciable pour soi car il fait peur là où l’on sent naître la souffrance et quand bien même on n’en parle pas par soupçon d’être étranger au monde ou appréhension d’être simplement ridicule l’autre le pressent en lui comme une invitation mesquine ouverte sur le précipice.
Ton histoire à quand dis-tu? A quand on cessera de vouloir déterminer l’ambivalence des écritures par rapport à celui qui les conçoit son comportement est-il meilleur ou neutre crie-t-il au blâme à l’orgueil ou bien s’évertue t-il à susurrer "néant" quand il devrait aimer.
Accroche toi.
Tu serais à l’instant même avachi au rang subliminal du cancre ou bien à ton aise dans tes paumes oreillers je te dirai redresse toi on ne dort pas on apprend! Si seulement je daignais le permettre serais cramoisi de honte puisque je ne peux rien ordonner c’est ce qui perd.
D’ailleurs hors propos. Nous ne sommes pas à l’école l’effort dans lequel tu ponctionnes l’écriture la jugeant la mordant coeur ouvert ne me regarde pas.
Alors une nuit chaude estivale. Ne sais plus quoi faire de mes sens ai besoin de sortir oeuvrer au cercle des Téméraires ai bu bien bu puisqu’il n’y a rien d’autre à faire à voir à chérir Dieu ce que je me sens triste issu de ton flanc il n’y a rien de miraculeux où je traîne.
Le dirai constamment lorsqu’on n’a pas d’amour à recevoir en vrai en absolu on est prisonnier de l’insignifiant.
A vau-l’eau ce n’est plus l’insouciance de naguère un jour je saurai dire pourquoi.
En attendant, fais de beaux rêves .
Ven 26 Juin 2009, 23:30 par cirrhus sur L'amour en vrac

Tel épris (est pris) qui croyait prendre...

Une foule, anonyme.

Tes yeux.

Ailleurs, mon regard.

Puis, tes yeux, encore.
Fixes.

Ma gêne.

Tes yeux, amusés.

Tu souris, crapule !
Tu sens le piège se refermer sur moi.

Ton sourire.
Le , timide.

Ton sourire.
Tes lèvres.
Tes yeux.
Tes lèvres...

Mmmm, tes lèvres...

Tu ne souris plus.

Tes yeux.
Sombres.

Qui est alors la proie? Pas sûre que ce soit moi...
Ven 05 Juin 2009, 12:51 par Asma sur La séduction

Dire ou ne pas dire...

Une femme peut-elle dire à un homme :

Simplement :

-" Fais-moi l’amour".

Spontanée :

- " Et si tu me faisais l’amour "?

Réservée :

- Tu... veux... me...

Confidente :

- "J’ai envie que tu me fasses l’amour".

Ou, implorante :

- "De grâce, fais-moi l’amour".

Polie :

- "Auriez-vous l’obligeance d’unir votre corps au ?"

ou encore :

- "S’il te plaît, fais-moi l’amour".

[...]
Jeu 26 Mars 2009, 19:12 par dolce vita sur La déclaration d'amour
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Ecrire sur mien Te rejoindre, Une lettre d'amour particulière à un ami particulier, Une soirée bien arrosée, Sentir, Un reve (pour lui), Oiseaux de feu, Fragilité, Un réveil..., Ma jeunesse, Lettre à magali, Pas de retour. chapitre 4 (premiere partie), D'un temps à l'autre..., Et dans le domaine de l'asphixie?, Tel épris (est pris) qui croyait prendre..., Dire ou ne pas dire...,
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La citation d'amour

L'amour est un ennemi que l'on ne peut vaincre corps à corps, mais par la fuite.

Cervantès.

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