Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur mots - Page 9 sur 48
Chaos
un nouveau lundi se lève, sous le grisou d’octobre ..
y’a du gris dans le ciel, du gris dans la vie, du gris dans les coeurs ..
mais pas du gris pastel, non, un gris acier tout froid.
Et puis on se dit que c’est pas ou plus la peine, que rien n’est assez fiable pour qu’on y croit encore ..
on attend, c’est inexorable, un miracle ou n’importe quoi qui y ressemblerait..
on se pose la question de savoir ce qui est important, et on regarde son relevé bancaire ...
à découvert ? on s’en fout, on est habitué ..
on regarde alors son le contenu du frigidaire : pas grand chose d’appétissant, on s’en fout aussi, il manque justement l’appétit pour le remplir à nouveau ..
et puis on regarde derrière, et on détourne vite le regard, la boite à souvenirs n’est pas encore suffisamment rangée ..
on jette un oeil en avant, et ça fait peur, tout ce vide qui nous attend :
tous ces soirs à s’endormir seuls, ces matins à s’éveiller seuls, ces ptitdèj’ en face en face avec soi-même, cette douche où machinalement on se lave seul, nos pas que personne n’accompagne plus, nos mains qui ne savent plus la douceur d’une autre main, nos pupilles délavées de tant pleurer sur le néant qu’elles sont condamnées à fixer, toutes ces télécommandes de vie qu’on actionne seul, ces bouquins qu’on ne raconte plus, cette musique qu’on finit par écouter dans un casque, en solitaire, ces balades qu’on ne veut plus faire..
et puis la peau qui crie au secours, qui se dessèche, en manque de se frotter à une autre peau ..
et le rire qui s’étrangle de ne pas trouver son écho ..
et la voix qui faiblit de ne plus être écoutée ..
on regarde ce qu’il nous reste ..
le devenu d’une vie, des mots tapés sur un clavier, faute de pouvoir les hurler ou les chuchoter, les maux qui nous crament l’intérieur ..
un seul quelqu’un suffit à abîmer une vie ..
Je voudrais que demain finisse enfin .
y’a du gris dans le ciel, du gris dans la vie, du gris dans les coeurs ..
mais pas du gris pastel, non, un gris acier tout froid.
Et puis on se dit que c’est pas ou plus la peine, que rien n’est assez fiable pour qu’on y croit encore ..
on attend, c’est inexorable, un miracle ou n’importe quoi qui y ressemblerait..
on se pose la question de savoir ce qui est important, et on regarde son relevé bancaire ...
à découvert ? on s’en fout, on est habitué ..
on regarde alors son le contenu du frigidaire : pas grand chose d’appétissant, on s’en fout aussi, il manque justement l’appétit pour le remplir à nouveau ..
et puis on regarde derrière, et on détourne vite le regard, la boite à souvenirs n’est pas encore suffisamment rangée ..
on jette un oeil en avant, et ça fait peur, tout ce vide qui nous attend :
tous ces soirs à s’endormir seuls, ces matins à s’éveiller seuls, ces ptitdèj’ en face en face avec soi-même, cette douche où machinalement on se lave seul, nos pas que personne n’accompagne plus, nos mains qui ne savent plus la douceur d’une autre main, nos pupilles délavées de tant pleurer sur le néant qu’elles sont condamnées à fixer, toutes ces télécommandes de vie qu’on actionne seul, ces bouquins qu’on ne raconte plus, cette musique qu’on finit par écouter dans un casque, en solitaire, ces balades qu’on ne veut plus faire..
et puis la peau qui crie au secours, qui se dessèche, en manque de se frotter à une autre peau ..
et le rire qui s’étrangle de ne pas trouver son écho ..
et la voix qui faiblit de ne plus être écoutée ..
on regarde ce qu’il nous reste ..
le devenu d’une vie, des mots tapés sur un clavier, faute de pouvoir les hurler ou les chuchoter, les maux qui nous crament l’intérieur ..
un seul quelqu’un suffit à abîmer une vie ..
Je voudrais que demain finisse enfin .
Dim 24 Oct 2010, 23:55 par
Luna_Lou sur L'amour en vrac
Fraise au parfum de rose
]Un samedi, comme tant d’autre... Et pourtant ....
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une bouche d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la bouche
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa bouche autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?
il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une bouche d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la bouche
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa bouche autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?
il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Sam 23 Oct 2010, 10:16 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Toussaint : en hommage aux mots morts, sans âme
Un petit pas, deux petits pas, trois petits pas
Puis s’en va…
Tout s’en va, emportés par des mots
Des mots d’amour, des mots lourds
Lourds de silence sans espérance
Des mots perdus, des mots disparus
Des mots volés, envolés, enterrés
Sans larmes, sans âmes
Rêver ? Non, piègé et dégoûté
Puis s’en va…
Tout s’en va, emportés par des mots
Des mots d’amour, des mots lourds
Lourds de silence sans espérance
Des mots perdus, des mots disparus
Des mots volés, envolés, enterrés
Sans larmes, sans âmes
Rêver ? Non, piègé et dégoûté
Jeu 21 Oct 2010, 00:51 par
Solina sur Mille choses
Plus longtemps...
Petit message pour toi
Chérie chérie
Tu dors tranquillement
Et pourtant j’ai encore envie de te parler
De continuer cette histoire avec toi
Chercher ton sourire
Ou ta chaleur
Selon l’humeur
Envie de te couvrir de caresses
Parcourir ton corps
Encore et encore
Te dévorer des yeux
Que ce soit dans la pénombre du matin
Ou à la lueur d’une bougie
Tu as su créé en moi ces envies
Que je ne croyais plus
Me donner l’envie de te donner
L’envie de plus
Plus que tout
Sentiment bizarre que les mots ne savent traduire
Et qu’une pauvre prose ne rend que...
Maladroitement
Un voeux innocent
D’un petit enfant
Pour plus longtemps
Reste encore un peu plus longtemps...
Chérie chérie
Tu dors tranquillement
Et pourtant j’ai encore envie de te parler
De continuer cette histoire avec toi
Chercher ton sourire
Ou ta chaleur
Selon l’humeur
Envie de te couvrir de caresses
Parcourir ton corps
Encore et encore
Te dévorer des yeux
Que ce soit dans la pénombre du matin
Ou à la lueur d’une bougie
Tu as su créé en moi ces envies
Que je ne croyais plus
Me donner l’envie de te donner
L’envie de plus
Plus que tout
Sentiment bizarre que les mots ne savent traduire
Et qu’une pauvre prose ne rend que...
Maladroitement
Un voeux innocent
D’un petit enfant
Pour plus longtemps
Reste encore un peu plus longtemps...
Jeu 14 Oct 2010, 22:25 par
Loyd sur Histoires d'amour
Une formule nouvelle...
Prononcer de doucereux mots d’amour?
Y en a-t-il que tu n’aies pas déjà entendu?
T’appeler par de tendres surnoms?
Qu’y aurait-il de plus fort que ton prénom?
Te dévoiler mes sentiments?
Mais comment, puisque:
"ce qu’on ne peut pas dire, il faut le taire"?
Le vivre, simplement...?
Y en a-t-il que tu n’aies pas déjà entendu?
T’appeler par de tendres surnoms?
Qu’y aurait-il de plus fort que ton prénom?
Te dévoiler mes sentiments?
Mais comment, puisque:
"ce qu’on ne peut pas dire, il faut le taire"?
Le vivre, simplement...?
Jeu 14 Oct 2010, 18:08 par
conte sur Mille choses
Mes pensées sont pour toi..
Lorsque tu me regardes,
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
tu ne dis rien,
mais tu n’as aucun besoin de parler,
tes yeux le font pour toi..
Je te l’ai surement déjà dis mais dans tes yeux,
je peux savoir que tu m’aimes sans pour autant t’entendre prononcer ces 3 mots magiques qui me rendent si heureuse et si fière.
Lorsque tu me prends dans tes bras contre toi et me souris,
je sais tout ce qu’il y a à savoir..tes yeux plongent souvent dans les miens et à cet instant mon cœur bat la chamade...
Est ce le bruit du bonheur?
Je peux certifier que ce bruit et cette sensation est le bruit du bonheur, le bruit de mon amour pour toi.
Avec toi je ne peux que sourire...
Mon amour, mon désir pour toi n’est en rien comparable avec de simple besoins, mais je t’aime tant.
Ton regard, ton sourire, ta voix, tes mots me font vaciller, trembler, rougir et même paniquer. Si je peux ressentir tout ça c’est parce que je voudrais être pour toi la femme parfaite, celle qui fera en sorte d’être la pour toi a chacun de tes besoins.
J’ai besoin de savoir que chaque jour tu es près de moi, que tu peut être là dès que j’ai envie de te voir, je serais si heureuse de savoir que je peux te toucher à tout moment, que je peux appeler ton nom sans attendre ta réponse durant de longues minutes.
Je voudrais sans cesse toucher ta peau et embrasser tes lèvres, goûter à la chaleur de ton étreinte.
Je me sens triste et solitaire lorsque tu n’es pas là, prés de moi.
Je t’aime un peu plus chaque jour, et me sens si mal quand tu t’arrache de mes bras...
Tu ne peux imaginer à quel point j’aimerais être près de toi, me reposer sur ton épaule en écoutant de la musique tout en caressant tes mains.
Tu restes présent en mon cœur comme une douce douleur.
Tu me manques…
Mon cœur te pleure…
mon âme te cherche…
mon corps se meurt…
ma bouche hurle ton prénom...
ma vie te réclame...
Tu as changé mon destin, avec ton amour.
Tu as créé un nouveau monde au fond de moi.
Tu m’apportes le bonheur et la joie, tu m’apportes le calme et la sérénité et surtout tu m’apportes tout ce que j’ai besoin pour être heureuse.
J’ai besoin encore et toujours de ta présence, j’ai besoin de ta tendresse, de tes baisers, de tes caresses, de tes je t’aime, de ton odeur, de ton sourire, de ton regard brulant qui m’envoute...
J’ai besoin de te prendre dans mes bras, pour mieux te sentir et sentir ta chaleur.
Tout simplement,
j’ai besoin de toi mon petit ange tombé du ciel.
Dim 10 Oct 2010, 11:52 par
Léna sur Parler d'amour
Port d'attache
Tu es celui pour qui je parcours,
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter".
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser.
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer
Papier glissé, de mots enflammés.
Pour te dire que je suis bien arrivée
Et que je t’attends toujours .
caressedesyeux
Mon encre, se jette à tes pieds.
Et je "vogue"sans cesse ,pour te retrouver
Et m’arrête la ou tu es passé.
Je m’ imprègne de tes passages si courts...
Mais tu nages vers d’autres rivages
A savoir si un jour tu t’arrêtera de" flotter".
Je te suis malgré tout silencieusement
Sentant comme un parfum ,se diffuser.
Algues marines,épices boisées,
Le dernier flacon, entamé...
Je jette la bouteille à la mer
Papier glissé, de mots enflammés.
Pour te dire que je suis bien arrivée
Et que je t’attends toujours .
caressedesyeux
Sam 02 Oct 2010, 14:24 par
caressedesyeux sur Mille choses
Attendre et te voir
Comme une évidence, cela devait se passer comme cela.
Toi phénix, aux ailes brulantes
Tu te consumes, et renais à chaque fois.
Et pour moi c’est une grande joie
Je veillerai sur toi.
Petite boule de tendresse,
Petit ange , je déposerai mes ailes près de toi,
Et je ne sentirai plus ce grand froid me gagner
Car tu es arrivé...
Je te donnerai tous ces mots , et les partagerai
Au plus profond de mon âme.
Je rêve un jour de quitter mon ciel,
Pour déposer ma caresse des yeux dans les tiens
Pour partager de tendre moment
Pour te protéger délicatement
Comme une amie qui t’aime aussi.
caressedesyeux
Sam 21 Août 2010, 15:53 par
caressedesyeux sur Mille choses
Le silence de mes mots
Tous bas je refoule des choses dans mon esprit.
En les chuchotant si intensément
Et qui les transporte près de toi.
Que mon cœur en a mal,d’en attendre leur retour
Afin qu’ils me parlent d’amour....
Ces mots la qui je sais au fond de moi ne viendront pas.
Alors, je les rêve, et les remanie à ma façon
Pour ne pas perdre la raison.
Pour me dire qu’il y a un encore un espoir d’y croire
Pour faire tous simplement semblant.
Ces mots acheminés , jusque dans mon âme ne me laisse en paix
Comme un poison, qui me tue chaque jour.
M’en remettrais je un jour?
Je ne suis qu’une ombre, qui attend cette lumière afin qu’elle me sorte de ce néant
Mais en attendant, j’essaye , j’essaye de m’en sortir...
caressedesyeux
En les chuchotant si intensément
Et qui les transporte près de toi.
Que mon cœur en a mal,d’en attendre leur retour
Afin qu’ils me parlent d’amour....
Ces mots la qui je sais au fond de moi ne viendront pas.
Alors, je les rêve, et les remanie à ma façon
Pour ne pas perdre la raison.
Pour me dire qu’il y a un encore un espoir d’y croire
Pour faire tous simplement semblant.
Ces mots acheminés , jusque dans mon âme ne me laisse en paix
Comme un poison, qui me tue chaque jour.
M’en remettrais je un jour?
Je ne suis qu’une ombre, qui attend cette lumière afin qu’elle me sorte de ce néant
Mais en attendant, j’essaye , j’essaye de m’en sortir...
caressedesyeux
Mer 18 Août 2010, 20:23 par
caressedesyeux sur Mille choses
Tu m'as renverse
J’ai croisé ton regard, sans jamais penser que cela me tomberait dessus,
Mon cœur s’était mis à palpiter très fort.
Et je n’ai pas voulu te quitter encore.
En prolongeant le temps qui défilait beaucoup trop vite...
Mes jambes devenues toutes cotonneuses
Tremblements de mes mains cachées soudainement
Mon esprit embué,
Mon cœur plus léger.
J’avais senti une belle paire d’aile "me pousser"
Qui me poussait, à te faire la cour ...
Prendre le temps de t’apprivoiser
Et surtout à t’aimer
Nos mots chuchotés, et conjugués seront les plus beaux
Le feu courant dans nos veines, se rejoindra
caressedesyeux
Mon cœur s’était mis à palpiter très fort.
Et je n’ai pas voulu te quitter encore.
En prolongeant le temps qui défilait beaucoup trop vite...
Mes jambes devenues toutes cotonneuses
Tremblements de mes mains cachées soudainement
Mon esprit embué,
Mon cœur plus léger.
J’avais senti une belle paire d’aile "me pousser"
Qui me poussait, à te faire la cour ...
Prendre le temps de t’apprivoiser
Et surtout à t’aimer
Nos mots chuchotés, et conjugués seront les plus beaux
Le feu courant dans nos veines, se rejoindra
caressedesyeux

Jeu 12 Août 2010, 15:00 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Un heureux hasard
Armand avait un rendez-vous important qui n’était pas dans les proches environs. Se décidant à partir, il prit son" GPS’ , sans oublier ses échantillons, sa mallette, de l’argent et ses papiers car il n’avait pas bien sa tête à lui en ce moment. Il s’était une fois de plus disputé avec Anne- Sophie, son épouse. Elle avait bien changé Anne-Sophie, il ne la reconnaissait plus. Cette jeune femme si douce était devenue si amère, si autoritaire. Elle ne voulait pas du tout d’enfant , afin, comme elle disait, de ne pas voir son corps être déformé par les grossesses, et il avait accepté cette condition uniquement par amour pour elle, car à l’époque, il en était fou....
Ils se croisaient souvent, elle faisait partie d’une association caritative, seule occupation valorisante qui lui restait finalement et elle y consacrait tout son temps. Ne parlons plus de leurs rapports...ils faisaient chambre à part: madame avait souvent la migraine ou alors elle rentrait si tard qu’il ne l’attendait même plus.....
Elle n’avait plus ce charme et cette beauté naturelle qu’il aimait jadis, faute à un excès de liftings et de teintures et à une boulimie excessive de vêtements dernière tendance..Ce n’était plus ’sa’ Sophie, mais une inconnue, une femme qui voulait ressembler à certaines stars qui refusent de vieillir....
Il n’avait pas le temps de s’éterniser sur sa vie et déjà son esprit était à la "mission " qu’il devait accomplir.
Il prit les clefs de sa Polo et partit "illico’".
En route, il décida finalement de modifier son trajet, car les bouchons n’étaient pas trop sa tasse de thé. Après tout, il avait de l’avance et se décida à prendre des petites routes de campagne.
Il était au téléphone, quand surgit soudainement devant lui un troupeau de brebis....Il dût braquer prestement pour éviter la collision. Réagir rapidement !...c’était renverser une chèvre ou risquer de cabosser sa belle voiture contre un arbre.
Il freina et évita de justesse le choc. Un peu secoué, il descendit de sa voiture, regarda s’il n’y avait pas trop de dégâts, puis se mit à pester contre ce troupeau; enfin plutot contre le propriétaire et s’en alla lui dire deux mots...
Il entendit un sifflement au loin et décida d’aller au devant de son auteur afin de lui dire sa façon de penser....
’’Mais où est-il passé bon sang? Je n’ai pas de temps à perdre.’’
Une voie cristalline se fit entendre.
Une" Manon’’devant lui apparut... il n’en croyait pas ses yeux : cheveux noirs, le minois parsemé de taches de rousseur. Elle lui fit un grand sourire et il resta muet comme une carpe.
-"Bonjour" lui dit-elle
Désorienté, il ne sût pas quoi lui répondre. Elle tendit de nouveau sa main et en espéra un retour mais aucun son ne sortit de la bouche d’Armand.
-"Bonjour,; je m’appelle Iris..! ".
Armand était sur un petit nuage et voyait même des bulles de champagne autour de lui, à se demander si ce n’était pas ça le paradis. IL y serait bien resté un peu plus longtemps, mais une chèvre le bouscula légèrement et, vite revenu à la réalité,il vit la main d’Iris et lui tendit la sienne.
Il voulait juste lui faire comprendre qu’il allait manquer un rendez vous important à cause de ses" fichues " brebis mais elle lui parlait, et même s’en excusait. Elle l’invita à l’accompagner chez elle pour lui offrir quelque chose à boire afin de se remettre de ses émotions.
Au point où il en était, il n’avait plus rien à perdre, autant passer du temps avec cette "Ève" dont la bouche gourmande était une invitation à y poser la sienne. Il n’avait pourtant pas l’habitude d’avoir de telles pensées, mais il aimait ce qui était en train de lui arriver.
Elle habitait dans un joli hameau, sur une colline, sans voisin, une petite maison bucolique aux belles pierres apparentes dont l’intérieur semblait très douillet, chaleureux de part sa cheminée et de ses poutres rustiques et avec pour décor, des fauteuils en rotin et des coussins brodés dont le motif représentait un agneau...tout cela pouvait paraitre simpliste mais il s’y sentit bien. Elle lui proposa un petit gouter à sa façon, qu’il accepta, mais ne s’imaginait pas qu’elle sortirait autant de victuailles .
Il fit honneur au festin en finissant par du fromage qu’elle faisait elle-même, avec une lichette de confiture de figues maison, et d’un morceau de pain tout chaud qu’elle cuisait dans son propre four. Elle en vivait, et tous les mardi, elle allait vendre ses fromages, du lait, de la confiture, et même du pain. Cela lui procurait un maigre salaire, certes, mais elle paraissait heureuse et avait l’air de se contenter de ce peu. Elle respirait la joie de vivre et avait cette faculté à aimer les autres, de part sa façon de faire, en partageant ce qu’elle avait: généreuse femme pour laquelle le cœur d’Armand n’était pas insensible. L’heure tournait, la nuit était déjà bien avancée et le téléphone sonnait sans arrêt. Son patron qui l’engueulait, puis Anne -Sophie qui hurlait en lui demandant où il était passé, Armand leur raccrocha au nez.
Iris lui proposa gentiment de rester là. Il se mit à piquer un fard car il ne s’attendait pas à cette proposition, proposition honnête et sans arrière-pensée. Elle le rassura en lui montrant une chambre d’ami.
Il décida finalement de rester, quitte à dormir nu, car il n’était pas du genre à se déplacer avec des sous vêtements de rechange dans le coffre de sa voiture.
Cette chambre était petite mais coquette, possédait une salle de bain et des toilettes. Ce qui le surprit?... il pensait partager une salle de bain où des dessous féminins seraient suspendus. -"Arrêtes Armand de fantasmer !!"
Que lui arrivait-il? Cela faisait bien longtemps qu’il ne voyait plus les dessous de Anne-Sophie et sa libido s’était lentement éteinte, et là, elle ressurgissait. Iris lui proposa serviette et gant et le planta là en refermant la porte derrière elle. Ses yeux furetaient partout et il constatait que personne n’avait utilisé encore les produits sur l’étagère recouverte d’une fine pellicule de poussière. Des flacons portaient des noms de douceur tel que lactée-amande ou bien encore miel-acacia, et celui qui le fit sourire était violette des prés. Avait-il une tête à se plonger dans un bain de violette? Après tout pourquoi pas..?. mais finalement il prit douceur lactée, fit couler l’eau et se plongea dedans...
Armand n’avait pas vu l’heure passer car il s’était assoupi. Iris avait frappé la porte assez fortement et son rêve s’était envolé. Un rêve où il imaginait la bouche d’Iris sur la sienne. L’eau était froide. Il lui avait répondu que tout allait bien et n’avait pas très envie de remettre ses sous-vêtement...mais il n’avait pas le choix. Elle avait pensé à tout en lui laissant un peignoir pendu derrière la porte. Il attendit qu’elle s’en aille, ouvrit celle -ci et le récupéra. Des effluves de lavande s’en dégageaient et il aimait cette odeur qui lui rappelait tant de souvenirs.
Pieds nus, il regagna le salon. Iris avait mis un vinyl sur son tourne -disque. Elle ne possédait pas de chaine, de cd et de tout appareil d’usage courant chez la plupart des familles, mais cela ne le gênait pas. Au contraire, une plénitude régnait dans cette maison et il se sentait en osmose avec cela, avec cette vie simple car, inconsciemment , c’est ce dont il rêvait depuis toujours. Elle avait fait un bon feu et lui proposa de s’assoir à coté mais il préféra son tapis de laine, bien épais et visiblement plus doux. Il s’essaya en tailleur, perdu encore dans ses pensées, s’imaginant allongé sur Iris, à l’effeuiller doucement, à se délecter de l’odeur de sa peau, à l’embrasser ...
-"Armand!!!"
-"Oui.."
-"Avez vous faim?"
-"Pas très non..."
Elle apporta sur la table un velouté gratiné aux oignons au fumet appétissant et une compote coing-rhubarbe. Finalement il avait faim...Ils parlèrent tout en mangeant et il comprit qu’elle était seule et qu’elle assumait toutes les taches. Fille unique, ses parents décédés, elle avait ce courage que beaucoup finalement n’avaient pas. Il repensait à son travail, à les entendre toujours râler pour un oui pour un non sur leur condition, se plaignant sans arrêt. Il n’en pouvait plus de cette vie là, de sa triste vie privée aussi d’ailleurs! Il s’était jeté à corps perdu dans le travail afin d’enfouir sa douleur de ne jamais être père. A quoi bon cette vie sans avenir? toujours bosser, pour un meilleur train de vie, mais finalement l’argent ne fait pas le bonheur...
LE LENDEMAIN...
- Lui: ’’Une nuit merveilleuse , je n’avais pas dormi aussi bien depuis des lustres et là, je faisais la grasse matinée, écoutant ricocher la pluie sur la fenêtre...pas envie de me lever. Je sentais la bonne odeur du café bien frais se glisser sous la porte. J’allais sortir de mon lit mais un coup sur le battant se mit à retentir, alors je m’enfonçais bien sous la couette et Iris entra. Un petit déjeuner copieux m’attendait dans un plateau, avec jus d’orange, pain frais , beurre salé et confiture de myrtille qu’elle posa sur mes genoux. Je me mis à rougir car son petit sourire me fit comprendre que je ne lui étais pas indifférent et j’arrivais même à me dire que je ressentais quelque chose de très fort pour elle...visiblement, elle le ressentait aussi tout en ne laissant rien paraitre.
Mais l’incident arriva, si vite...le café brûlant se renversa sur la couette. Iris ne chercha pas à comprendre. De peur que je me brûle, elle enleva la couette, et....
-Elle:’’Il était nu...je devais certainement être rouge et il l’avait vu. J’aurais voulu vite sortir de cette pièce mais Armand m’en empêcha, mon cœur s’affola, ma respiration s’accéléra, j’avais si peur, peur qu’il ne se soit brulé, peur de ce que je pourrais ressentir si l’envie lui prenait de m’embrasser. Il me prit par les épaules et me parla doucement, une main apaisante sur mon visage et l ’autre qui me caressait les cheveux .
-"Chut, Iris, tout va bien, ne t’inquiètes pas..."
Je me sentais bien et je serais bien restée là, dans ses bras, mais j’avais peur. Je ne savais même pas embrasser, je me sentais stupide, gauche. Certes je lisais des livres mais ce n’était certainement pas pareil .
-Lui:’’Elle avait l’air apeurée mais j’avais posé ma main sur son visage et de l’autre, je lui caressais ses cheveux longs et soyeux pour la rassurer. J’en profitais pour enfouir discrètement ma tête dans le creux de son cou et sentir les effluves de son eau de toilette citronnée... j’avais tellement envie de gouter à ses lèvres...
Elle leva la tête et je ne pus m’empêcher de poser ma bouche sur la sienne et là, je me sentis transporté dans un autre monde...c’était tellement exaltant!!
Son baiser était hésitant, timide, alors je pris mon temps. Je la sentais trembler contre moi, je ne voulais pas aller trop vite. Je voulais profiter de ces instants mais mon cœur battait très fort et j’avais envie de la posséder... je ne voulais pas gâcher ce merveilleux moment, alors je l’a repoussais gentiment. Elle ne parut pas comprendre et fronça les sourcils...
Je dus lui expliquer que je " crevais" d’amour pour elle, quitte à me tromper et à en perdre la face, mais elle répondit qu’elle voulait, là, maintenant, sur le lit connaitre l’amour, et m’avoua qu’elle était vierge. Je restais stupéfait...J’avais un peu peur car je n’avais encore jamais fait l’amour à une femme innocente et cela m’intimidait.
Alors, fou de joie d’être le premier à l’initier, à l’amener sur le chemin du plaisir, je voulus que cela soit unique pour elle comme pour moi. Je voulus l’ancrer à jamais dans mon cœur, dans mon esprit, au fond de mon âme...
Elle était là, radieuse à côté de moi. Nous nous regardions dans les yeux et j’osais lui dire:’’ je t’aime’’ Impatient, j’attendais sa réponse qui, hésitante d’abord, puis chuchotée tout près de mon oreille, ne tarda pas... elle me dit a son tour: "je t’aime aussi "
CARESSEDESYEUX
Dim 08 Août 2010, 10:37 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Ton piment, mon aphrodisiaque
Sur une ile paradisiaque,
Tu seras mon aphrodisiaque.
Je " m’enivrerai " chaque jour de tes mots d’amour
Et dont mon cœur " sursautera " à chaque fois.
Je serai ton piment si" fort"
Que tu m’aimeras encore.
Brulante, dans mes bras
De tes odeurs sucrées,
Je te saupoudrerai d’un zeste poivrée
Sur ta peau de "bébé"
De mon corps enfiévré
Que toi seule sera me faire vibrer....
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Tu seras mon aphrodisiaque.
Je " m’enivrerai " chaque jour de tes mots d’amour
Et dont mon cœur " sursautera " à chaque fois.
Je serai ton piment si" fort"
Que tu m’aimeras encore.
Brulante, dans mes bras
De tes odeurs sucrées,
Je te saupoudrerai d’un zeste poivrée
Sur ta peau de "bébé"
De mon corps enfiévré
Que toi seule sera me faire vibrer....

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Ven 06 Août 2010, 17:15 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Sérial lover?
Certains disent qu’ils sont amoureux
des mots. D’autres, peut-être
le sont-ils de la séduction...
mais pas d’un être...
Alors, ils laissent planer l’ambigüité,
et s’arrangent pour tisser des liens
qui n’en sont pas.
Ceux-là se délectent sans doute de
l’image magnifiée que l’autre leur
renvoie, mais nourrissent la "relation"
par le leurre...
Passionnée, je crois que lorsqu’on aime,
on est capable de déplacer des montagnes...
de surmonter des choses qui paraissent
insensées. Et, oui elles le sont, car l’amour
fait perdre le sens et c’est justement ce
qui est si extra-ordinaire.
Je pense également que lorsque cet amour
n’est pas partagé, alors il est préférable d’être
honnête avec son/sa partenaire et de lui
rendre sa liberté. Celle de pouvoir être
disponible pour une nouvelle rencontre,
digne de ce nom.
Prétendre ne pas vouloir le/la blesser est
un prétexte que je trouve fallacieux,
parce que bercer d’illusions sur le long
terme me paraît pire et lâche.
Toutefois, je te remercie pour cette
expérience au long cours...
Sur ce point au moins, je salue ton courage.
des mots. D’autres, peut-être
le sont-ils de la séduction...
mais pas d’un être...
Alors, ils laissent planer l’ambigüité,
et s’arrangent pour tisser des liens
qui n’en sont pas.
Ceux-là se délectent sans doute de
l’image magnifiée que l’autre leur
renvoie, mais nourrissent la "relation"
par le leurre...
Passionnée, je crois que lorsqu’on aime,
on est capable de déplacer des montagnes...
de surmonter des choses qui paraissent
insensées. Et, oui elles le sont, car l’amour
fait perdre le sens et c’est justement ce
qui est si extra-ordinaire.
Je pense également que lorsque cet amour
n’est pas partagé, alors il est préférable d’être
honnête avec son/sa partenaire et de lui
rendre sa liberté. Celle de pouvoir être
disponible pour une nouvelle rencontre,
digne de ce nom.
Prétendre ne pas vouloir le/la blesser est
un prétexte que je trouve fallacieux,
parce que bercer d’illusions sur le long
terme me paraît pire et lâche.
Toutefois, je te remercie pour cette
expérience au long cours...
Sur ce point au moins, je salue ton courage.
Mar 03 Août 2010, 20:56 par
évènement sur L'amour en vrac
Addiction.
Un premier contact, un premier échange de regards, une rencontre...
Un soir d’été, une chaleur enhivrante, une effluve d’alcool dans l’air
Ses yeux si bleus, la fleur rose..
Une première soirée bien arrosée, des premiers mots et complicité.
(...)
Quelque chose de si fort, de si intense...
Et s’emplifiant au fil du temps et des jours, des soirées passées..
Un soir d’été, une chaleur enhivrante, une effluve d’alcool dans l’air
Ses yeux si bleus, la fleur rose..
Une première soirée bien arrosée, des premiers mots et complicité.
(...)
Quelque chose de si fort, de si intense...
Et s’emplifiant au fil du temps et des jours, des soirées passées..
Mer 07 Juil 2010, 23:21 par
Fleur_deschamps sur Les liaisons sulfureuses
Petite lettre ...
A mon bel ange,
J’ai envie de pleurer. Je vois le travail de mes mots sur ta personne. Je pleure de ne pouvoir pas ralentir le processus de ta destruction. Je pleure les blessures que je t’inflige. J’ai envie de te prendre dans mes bras mais ton corps ne veut plus de mon toucher. Que faire ? Désemparée, je te regarde perdre tes ailes et t’enfoncer dans les océans de la colère. Si seulement tu me laissais panser tes blessures pour t’aider à guérir et te voir voler ! Si seulement …
J’ai envie de pleurer. Je vois le travail de mes mots sur ta personne. Je pleure de ne pouvoir pas ralentir le processus de ta destruction. Je pleure les blessures que je t’inflige. J’ai envie de te prendre dans mes bras mais ton corps ne veut plus de mon toucher. Que faire ? Désemparée, je te regarde perdre tes ailes et t’enfoncer dans les océans de la colère. Si seulement tu me laissais panser tes blessures pour t’aider à guérir et te voir voler ! Si seulement …
Mar 06 Juil 2010, 04:13 par
Solina sur Mille choses
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Il y a 706 textes utilisant le mot mots. Ces pages présentent les textes correspondant.
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