Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur murmurer
En attendant
En attendant( texte modifié)
En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau
Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge
Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge
D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment
Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.
J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient
Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi
Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine
Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,
Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente
Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,
Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements
La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine
En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine
Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,
Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,
Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,
Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir
Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus
Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure
Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent
Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....
Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...
Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,
Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément
De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi
Avant de me coucher solitaire dans ce grand lit, si triste et si froid
Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
En attendant que tu arrives, juste pour m’aimer de nouveau
Je tourne en rond dans ma chambre et je gamberge
Mes pensées passent la fenêtre et voguent sur la berge
D’une petite rivière pénétrant un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie tombant du ciel détrempe abondamment
Malgré ce temps maussade et si gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder s’agiter au vent qui passe.
J’aime dans ton attente entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot qui me tourmente
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine qui me contient
Et qui s’exprime ainsi tant j’ai en moi cette affreuse absence de toi
Alors il me semble entendre les accents de ta voix si lointaine
Lorsque le vent souffle et vient me murmurer tes paroles si douces,
Tu ne peux savoir l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Et ses souvenirs qui me reviennent troublant mon attente
Où je sens toujours les caresses de tes mains sur mes hanches,
Lorsque l’une remontait mon corps sitôt enfiévré de tressaillements
La sentant se glisser lentement sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre plus avenante se fait moins discrète et si coquine
En gérant l’antre des attentions mutines ou perle la rosée divine
Plus haut tes lèvres s’enhardirent en effleurant ma bouche,
Lors tes bras m’emmenèrent tendrement jusqu’à la couche,
Puis ton corps prit le mien pour m’aimer passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartis comme de coutume sans faire le moindre bruit,
Me laissant ainsi dormir allongée comblée rassasiée de plaisir
Et posée à côté sur la table de chevet, une lettre de plus
Qui s’en fut rejoindre toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette vieille boîte à chaussure
Que j’ouvre tous les jours pour les relire en boucle, et si souvent
Nostalgique d’un temps où en elles s’écoulent tes déclarations enflammées....
Seuls vestiges de cette brève aventure qui ne dura qu’un été...
Avec l’oreiller en prière, où ton odeur restera ancrée à jamais,
Et que je prends chaque nuit le désir de humer intensément
De le serrer très fort contre moi, comme s’il était toi
Avant de me coucher solitaire dans ce grand lit, si triste et si froid
Et dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir un jour, enfin.
Sam 31 Jan 2015, 13:07 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
De lune à l’autre
De lune à l’autre
Ce soir la lune me toque
Tendrement, elle se moque
Elle dispense ses rayons
D’une chevelure nylon
J’entends ses cils battre et
Son cœur murmurer
Ses lèvres sèches ou mouillées
A moi de deviner.
Un silence de soie
Revêt nos corps aux abois.
Nul ne saurait bouger
L’attente perle en secret.
Et l’autre, en qui l’oser
Celui d’escarmouche sage
Tendre élan de passage,
Ou celui gladiateur
Du glaive et de sueur.
A un souffle de la rixe
Nos intérieurs prolixes
Retiennent pour peu de temps
Les courants de ce vent.
Nos murs suintent le désir
Le frêle côtoie le pire.
Au porte du durcir
Mon âme veut s’assouvir
Dans le feu de son antre.
Elle m’incite dans son ventre
De miel et de ferveur.
Primes soubresauts, candeur
Pour s’offrir comme une proie,
Laissent place à l’électrique
Des envolées lyriques.
De deux en un, émois en toi
Le chant des corps que l’on s’octroie,
Me voici m’injectant en fontaine lactée
Dans l’ultime furie de nos corps emmêlés.
Ouverte à cette offrande, banderilles dorsales,
Elle me quitte un instant pour des sphères verticales.
jime
Ce soir la lune me toque
Tendrement, elle se moque
Elle dispense ses rayons
D’une chevelure nylon
J’entends ses cils battre et
Son cœur murmurer
Ses lèvres sèches ou mouillées
A moi de deviner.
Un silence de soie
Revêt nos corps aux abois.
Nul ne saurait bouger
L’attente perle en secret.
Et l’autre, en qui l’oser
Celui d’escarmouche sage
Tendre élan de passage,
Ou celui gladiateur
Du glaive et de sueur.
A un souffle de la rixe
Nos intérieurs prolixes
Retiennent pour peu de temps
Les courants de ce vent.
Nos murs suintent le désir
Le frêle côtoie le pire.
Au porte du durcir
Mon âme veut s’assouvir
Dans le feu de son antre.
Elle m’incite dans son ventre
De miel et de ferveur.
Primes soubresauts, candeur
Pour s’offrir comme une proie,
Laissent place à l’électrique
Des envolées lyriques.
De deux en un, émois en toi
Le chant des corps que l’on s’octroie,
Me voici m’injectant en fontaine lactée
Dans l’ultime furie de nos corps emmêlés.
Ouverte à cette offrande, banderilles dorsales,
Elle me quitte un instant pour des sphères verticales.
jime
Ven 30 Jan 2015, 15:54 par
Jime sur Les liaisons sulfureuses
En attendant... ( les maux d'amour conjugués)
En attendant que tu arrives,
Je tourne en rond et je gamberge
Mes pensées voguent sur la berge
D’un vaste champ de coquelicots
Qu’une fine pluie détrempe abondamment
Malgré ce temps gris, ils sont toujours aussi beaux.
Et je ne me lasse jamais de les regarder.
J’aime entendre ricocher les gouttes sur ma fenêtre,
Elles font telle une petite plainte, un long sanglot
Qu’on dirait que même le ciel semble pleurer la peine
Que j’ai de cette affreuse absence de toi
Le vent qui vient me murmurer tes paroles si douces,
Alors que ta voix est si lointaine
Ne sait l’ampleur du tracas qu’il déclenche
Je ressens encore tes mains sur mes hanches,
Puis l’une glissant sur mon buste et ma poitrine
Quand l’autre se fait discrète et coquine
Tes lèvres effleurant ma bouche,
Tes bras m’emmenant tendrement jusqu’à la couche,
Ton corps m’aimant passionnément jusqu’au matin,
Où tu repartiras sans faire le moindre bruit,
Me laissant un copieux petit déjeuner
Comme tu sais que je les aime,
Et la belle écriture de tes déclarations enflammées.
Dans toutes ces lettres, soigneusement conservées,
Au fond de l’armoire dans cette boîte à chaussure
Que je relis, en boucle, très souvent...
Seuls vestiges de cette brève aventure...
Avec l’oreiller, où ton odeur restera à jamais,
Et que je prendrai la peine de humer intensément
Et de serrer très fort contre moi
Avec ce grand lit, si triste et froid
Dans lequel, en attendant, je rêve, sans fin
Je rêve de pouvoir te revoir, enfin.
Mer 25 Déc 2013, 15:34 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Ma muse (ecrit au masculin)
Je me concentre, de voir ma muse dormir, afin de la dessiner sans la réveiller.
Et j’en profite pour sortir mon "calepin" et mon crayon qui ne quitte jamais ma poche de mon pantalon.
Je l’entends murmurer tout bas, et sa respiration se fait lente, et profonde.
Suis-je dans tes songes Dis moi belle ANAIS?
Elle si pudique, dort nue malgré tout , et j’en ai profité pour enlever ce qui l’a recouvre
Ma belle muse brune, à la toison couleur charbon
Peuple mes rêves, en gambadant main dans la main, à travers cette garrigue
Et dont les cigales se délectent de nos jeux amoureux...
Je gomme, je rectifie, de ses belles courbes qui ne me laisse pas indifférent
En prenant tout mon temps...
Je rêve encore, en finalisant, par de petite touche, de couleur chatoyante
Et en glissant mon pinceau sur sa peau.
Pour en recouvrir son corps complètement...
Mon œuvre est bientôt achevée
Mais je ne me lasse pas de la regarder , et j’en profite encore et encore
Juste pour rêver.
Sam 25 Mai 2013, 09:47 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Duo caressedesyeux/ inconnu
Ces yeux sont posés sur moi, regard de muse,
Mes mains voudraient lui caresser les joues,
Pour que son visage s’illumine et que je l’use,
Le toucher du doigt sur ses lèvres est si doux.
J’entends murmurer comme un appel
un battement de cil, un regard profond
une voix soudain qui m’interpelle
un sourire aussi chaud qu’un brasero
La chaleur de son corps est une flamme,
Cette vision est ma rivière qui coule,
Nous sommes aux antipodes, tu es femme,
Le Ying et le yang assemblées qui s’enroulent...
Une danse,ou les corps se rapprochent,et fusionnent
Sur un air envoutant,d un boléro de Ravel
Les hanches soudées qui tourbillonnent
Une musique "fondante" comme un bonbon caramel
Il aime ce corps sensuel qui se déhanche,
Coller à lui , elle le met en transe,
Cette fusion est pour lui une avalanche,
Une montagne de nouveauté qui le submerge, il danse
Elle pose ses lèvres sur ses paupières fermées
Son souffle caressant le creux de son cou
Elle effleure sa bouche avec légèreté
En lui chuchotant des mots si doux
Il ne demande que son approche si fine,
Elle a une peau si délicate, il s’emmêle,
Dans sa demande en posant mes mains il chemine,
Vers des endroits ou le sucré est couleur miel...
ils sont tellement serrés à ne plus en former qu’un
Tellement proches, presqu’ en osmose des sens
Quand, dans la salle, la musique s’arrête soudain...
Le charme est tombé et ils se séparent en silence
je suis egalement lesmotions
Ven 11 Nov 2011, 18:05 par
caressedesyeux sur Mille choses
En suivant ravel (duo inconnu /lesmotions)
Ces yeux sont posés sur moi, regard de muse,
Mes mains voudraient lui caresser les joues,
Pour que son visage s’illumine et que je l’use,
Le toucher du doigt sur ses lèvres est si doux.
J’entends murmurer comme un appel
un battement de cil, un regard profond
une voix soudain qui m’interpelle
un sourire aussi chaud qu’un brasero
La chaleur de son corps est une flamme,
Cette vision est ma rivière qui coule,
Nous sommes aux antipodes, tu es femme,
Le Ying et le yang assemblées qui s’enroulent...
Une danse,ou les corps se rapprochent,et fusionnent
Sur un air envoutant,d un boléro de Ravel
Les hanches soudées qui tourbillonnent
Une musique "fondante" comme un bonbon caramel
Il aime ce corps sensuel qui se déhanche,
Coller à lui , elle le met en transe,
Cette fusion est pour lui une avalanche,
Une montagne de nouveauté qui le submerge, il danse
Elle pose ses lèvres sur ses paupières fermées
Son souffle caressant le creux de son cou
Elle effleure sa bouche avec légèreté
En lui chuchotant des mots si doux
Il ne demande que son approche si fine,
Elle a une peau si délicate, il s’emmêle,
Dans sa demande en posant mes mains il chemine,
Vers des endroits ou le sucré est couleur miel...
ils sont tellement serrés à ne plus en former qu’un
Tellement proches, presqu’ en osmose des sens
Quand, dans la salle, la musique s’arrête soudain...
Le charme est tombé et ils se séparent en silence
Dim 06 Nov 2011, 20:55 par
caressedesyeux sur Mille choses
Je n'ai plus
Je n’ai plus peur du danger
sans être téméraire
je ne pleure plus à la pitié
depuis qu’on enterre
les regrets
sur cette terre
Je n’ai plus que l’appétit
si il faut je boirais la pluie
pour être digne comme un chêne
mais sans chaîne
depuis que je bois de l’eau
y’a du coca dans le frigo
y’a de l’excitant
et puis du chaud
appétissant
T’es séduisant
ça ne me rend pas volage
ça me rend
tellement trop sage
que j’envisage
ton visage
et nos massages
dans mon paysage
non poétique
non onirique
mais véridique
Dans mon réel,
dans ma réalité non virtuelle
mon amour, mon ami, mon ciel
Quand je te lis
quand tu me lis
on se lie
et moi je voudrais aussi
dormir dans ton lit
avec toi en mari
banalement extraverti
au quotidien
au café du matin
à la routine du lendemain
Je voudrais m’ennuyer
non de toi mais de tes côtés
je voudrais tes défauts, tes qualités
je voudrais tout partager
Je voudrais me lasser,
de te voir me réveiller
chaque jour passé,
je voudrais nous voir se rider
ensemble, vieillir liés
je voudrais te regarder t’endormir
quand tu es fatigué
et puis sur toi veiller
en ravivant tes désirs
Je n’ai plus peur du danger
depuis que je t’ai croisé
depuis que je t’ai rencontré
je n’ai plus la nausée
Mon amour si tu m’aimes
comme tu le dis
viens sur cette plage
où le seul paradis
est dans mon corsage
je t’ai déjà dit oui
pour notre mariage
viens murmurer à mon oreille
ce que mon petit doigt dit
viens caresser mes cheveux
respirer ma peau
embrasser mes lèvres
réaliser tous tes voeux
ce qui te rend si beau
quand tu es fier
Quand tu es fort
et que tu t’accomplis
même dans l’effort
où tu jouis
tu es beau et fier
quand je me laisse faire
quand ton corps m’opère
et me rend fièvre
Ne reste pas fébrile
même en hiver
l’été c’est une idylle
si on manie les vers
si on marie les verres
avec pour seul alcool
nos parfums
et pour seul vin
nos nuits folles
Je n’ai plus peur de rien
quand tu prends ma main
sans être téméraire
je ne pleure plus à la pitié
depuis qu’on enterre
les regrets
sur cette terre
Je n’ai plus que l’appétit
si il faut je boirais la pluie
pour être digne comme un chêne
mais sans chaîne
depuis que je bois de l’eau
y’a du coca dans le frigo
y’a de l’excitant
et puis du chaud
appétissant
T’es séduisant
ça ne me rend pas volage
ça me rend
tellement trop sage
que j’envisage
ton visage
et nos massages
dans mon paysage
non poétique
non onirique
mais véridique
Dans mon réel,
dans ma réalité non virtuelle
mon amour, mon ami, mon ciel
Quand je te lis
quand tu me lis
on se lie
et moi je voudrais aussi
dormir dans ton lit
avec toi en mari
banalement extraverti
au quotidien
au café du matin
à la routine du lendemain
Je voudrais m’ennuyer
non de toi mais de tes côtés
je voudrais tes défauts, tes qualités
je voudrais tout partager
Je voudrais me lasser,
de te voir me réveiller
chaque jour passé,
je voudrais nous voir se rider
ensemble, vieillir liés
je voudrais te regarder t’endormir
quand tu es fatigué
et puis sur toi veiller
en ravivant tes désirs
Je n’ai plus peur du danger
depuis que je t’ai croisé
depuis que je t’ai rencontré
je n’ai plus la nausée
Mon amour si tu m’aimes
comme tu le dis
viens sur cette plage
où le seul paradis
est dans mon corsage
je t’ai déjà dit oui
pour notre mariage
viens murmurer à mon oreille
ce que mon petit doigt dit
viens caresser mes cheveux
respirer ma peau
embrasser mes lèvres
réaliser tous tes voeux
ce qui te rend si beau
quand tu es fier
Quand tu es fort
et que tu t’accomplis
même dans l’effort
où tu jouis
tu es beau et fier
quand je me laisse faire
quand ton corps m’opère
et me rend fièvre
Ne reste pas fébrile
même en hiver
l’été c’est une idylle
si on manie les vers
si on marie les verres
avec pour seul alcool
nos parfums
et pour seul vin
nos nuits folles
Je n’ai plus peur de rien
quand tu prends ma main
Dim 30 Oct 2011, 21:41 par
inlove sur La déclaration d'amour
Un futur antérieur...?
J’aurais aimé te manquer, pour que,
ce soir, tu me retiennes...
J’aurais souhaité que tu saisisses
ma main, pour ne plus la lâcher!
J’aurais désiré que tu poses tes lèvres
sur les miennes et que tu m’offres
un baiser fougueux, puis, langoureux...
J’aurais voulu te couvrir de caresses
et sentir la chaleur de ton corps
tout près du mien, avant de goûter
au plaisir de m’endormir à tes côtés
et de m’éveiller, en t’entendant
murmurer que nous avons fait
de nos rêves, une réalité...
ce soir, tu me retiennes...
J’aurais souhaité que tu saisisses
ma main, pour ne plus la lâcher!
J’aurais désiré que tu poses tes lèvres
sur les miennes et que tu m’offres
un baiser fougueux, puis, langoureux...
J’aurais voulu te couvrir de caresses
et sentir la chaleur de ton corps
tout près du mien, avant de goûter
au plaisir de m’endormir à tes côtés
et de m’éveiller, en t’entendant
murmurer que nous avons fait
de nos rêves, une réalité...
Jeu 17 Fév 2011, 00:24 par
évènement sur Histoires d'amour
Ma muse
Je me concentre, de voir ma muse dormir, afin de la dessiner sans la réveiller.
Et j’en profite pour sortir mon "calepin" et mon crayon qui ne quitte jamais ma poche de mon pantalon.
Je l’entends murmurer tout bas, et sa respiration se fait lente, et profonde.
Suis-je dans tes songes Dis moi belle ANAIS?
Elle si pudique, dort nue malgré tout , et j’en ai profité pour enlever ce qui l’a recouvre
Ma belle muse brune, à la toison couleur charbon
Peuple mes rêves, en gambadant main dans la main, à travers cette garrigue
Et dont les cigales se délectent de nos jeux amoureux...
Je gomme, je rectifie, de ses belles courbes qui ne me laisse pas indifférent
En prenant tout mon temps...
Je rêve encore, en finalisant, par de petite touche, de couleur chatoyante
Et en glissant mon pinceau sur sa peau.
Pour en recouvrir son corps complètement...
Mon œuvre est bientôt achevée
Mais je ne me lasse pas de la regarder , et j’en profite encore et encore
Juste pour rêver.
caressedesyeux
Dim 07 Nov 2010, 14:26 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Danser?
Frémir quand tu me regardes...
Trembler en te sentant près de moi...
Frissonner quand tu frôles ma main...
Vibrer quand nos doigts s’entrelacent...
M’enivrer du parfum de ta peau...
Goûter à la saveur de tes lèvres...
Onduler sous tes caresses...
Tourbillonner dans tes bras...
Palpiter en t’entendant murmurer:
"Dansons encore et encore..."
Trembler en te sentant près de moi...
Frissonner quand tu frôles ma main...
Vibrer quand nos doigts s’entrelacent...
M’enivrer du parfum de ta peau...
Goûter à la saveur de tes lèvres...
Onduler sous tes caresses...
Tourbillonner dans tes bras...
Palpiter en t’entendant murmurer:
"Dansons encore et encore..."
Sam 16 Oct 2010, 19:02 par
évènement sur Parler d'amour
Bérénice ?
Saint Valentin pour Magali, qui saura décoder…
De mon corps engourdi tu fus libératrice,
De tes mains tu fis naître de tendres frissons,
Dans mon regard naquirent de nouveaux horizons,
C’est grâce à toi qui en fus la seule créatrice.
De mon passé, tu apaisas bien des cicatrices
Et dans mes veines mis cette vie nouvelle ;
C’est pour ton sourire que je la voudrais éternelle,
Car de mes jours tu es le sel, de ma vie tu es l’épice.
Et si notre rencontre nous a rendus complices
C’est bien ta généreuse amitié qui l’illumina
Quand, bonne fée, tu posas tes lèvres sur moi
Le crapaud que j’étais se transforma avec délice.
De l’amour, de l’amitié, tu es l’ambassadrice
Je connais ma chance de t’avoir rencontrée
Et voudrais à nouveau bientôt contre moi te serrer
Car il est doux de murmurer ton prénom, Bérénice.
De mon corps engourdi tu fus libératrice,
De tes mains tu fis naître de tendres frissons,
Dans mon regard naquirent de nouveaux horizons,
C’est grâce à toi qui en fus la seule créatrice.
De mon passé, tu apaisas bien des cicatrices
Et dans mes veines mis cette vie nouvelle ;
C’est pour ton sourire que je la voudrais éternelle,
Car de mes jours tu es le sel, de ma vie tu es l’épice.
Et si notre rencontre nous a rendus complices
C’est bien ta généreuse amitié qui l’illumina
Quand, bonne fée, tu posas tes lèvres sur moi
Le crapaud que j’étais se transforma avec délice.
De l’amour, de l’amitié, tu es l’ambassadrice
Je connais ma chance de t’avoir rencontrée
Et voudrais à nouveau bientôt contre moi te serrer
Car il est doux de murmurer ton prénom, Bérénice.
Sam 13 Fév 2010, 20:48 par
piertiteuf sur La déclaration d'amour
Les aveux
Trois mots hors du commun
Pour celle dont tu tiens la main
Aveu timide d’un sentiment
D’un corps désormais vibrant
Promesse d’une autre dimension
Pour se laisser aller a la passion
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te murmurer...
Certains le disent pour te faire plaisir
Quant ils le lisent dans ton désir
Par le passé j’ai vécu cette maladie
Le résultat fut mon cœur meurtri
J’attends aujourd’hui d’être submergé
Pour oser demain te l’avouer
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te lâcher...
Ces mots tabous inexprimés
Dans une autre langue les révéler
Perçois le de mes mains
Et ce jusqu’au petit matin
Si mes yeux pouvaient parler
Ils te l’auraient surement crié
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te crier...
Accepter de tomber la carapace
Il y a souvent des conséquences hélas
Mesdemoiselles vous les prenez
Comme si c’était pour l’éternité
Associé trop vite à des toujours
Sauras tu le prendre juste pour un jour
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à le libérer...
Je...
Je ...............
Pour celle dont tu tiens la main
Aveu timide d’un sentiment
D’un corps désormais vibrant
Promesse d’une autre dimension
Pour se laisser aller a la passion
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te murmurer...
Certains le disent pour te faire plaisir
Quant ils le lisent dans ton désir
Par le passé j’ai vécu cette maladie
Le résultat fut mon cœur meurtri
J’attends aujourd’hui d’être submergé
Pour oser demain te l’avouer
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te lâcher...
Ces mots tabous inexprimés
Dans une autre langue les révéler
Perçois le de mes mains
Et ce jusqu’au petit matin
Si mes yeux pouvaient parler
Ils te l’auraient surement crié
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te crier...
Accepter de tomber la carapace
Il y a souvent des conséquences hélas
Mesdemoiselles vous les prenez
Comme si c’était pour l’éternité
Associé trop vite à des toujours
Sauras tu le prendre juste pour un jour
Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à le libérer...
Je...
Je ...............
Lun 09 Nov 2009, 12:24 par
Loyd sur La déclaration d'amour
Quand j'aime pas l'amour...
Je ne connais que trop bien la douce mélancolie qui survient après l’amour. Cette tristesse qui nous envahit à peine l’autre reparti. Les mêmes doutes aux mêmes heures, quand le lit devient froid sous notre peau. Je ne sais pas vraiment la raison de ces émois inutiles. Je crois simplement que l’on ne se sent pas à la hauteur de ce défi qu’est l’Amour, et que la peur de le perdre nourrit ce sentiment. J’avais mis, depuis longtemps, mes émotions de côté. Toutes les larmes, les joies pathétiques n’étaient pas mes instants préférés. Je ne voulais, au final, que me protéger d’un ressenti inutile, de cette petite musique douloureuse qui anime parfois le bonheur. Je me surprends à l’entendre parfois, et de m’en étonner, à murmurer son refrain. Et puis, engoncé dans des postures qui ne me ressemblent plus, à espérer qu’un jour, il soit tout à moi. Comme tout le monde, j’irai jusqu’au bout. A brûler les quelques années de bonheur qu’il me reste, ce précieux capital que, toute sa vie, on dilapide au gré des humeurs sentimentales.
Je ne crois pas aux romances éternelles, aux histoires qu’on entretient comme un feu de naufragés. Je pense, au contraire, que les personnes que l’on croise ne sont que des partenaires de danse. Pour un temps, sur une musique qui se termine quand on rallume les lumières. C’est peut-être cela finalement, la raison de ma tristesse
Je ne crois pas aux romances éternelles, aux histoires qu’on entretient comme un feu de naufragés. Je pense, au contraire, que les personnes que l’on croise ne sont que des partenaires de danse. Pour un temps, sur une musique qui se termine quand on rallume les lumières. C’est peut-être cela finalement, la raison de ma tristesse
Mer 08 Oct 2008, 17:21 par
ysmael sur Mille choses
En confidence
Je me disais, tantôt, se blottir sous la couette
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Et que les jeux d’Eros provoquent la tempête :
Réchauffant notre sang, allumant notre peau,
Faisant trembler le lit de désir noble et beau !
Que nous fassions s’enfuir l’hiver qui nous étreint,
Qui fait geler nos coeurs et qui glace nos reins ;
Je t’entends murmurer et tu me fais sourire
Dans tes accents chantants c’est l’été qui s’étire...
Merci d’avoir osé, d’avoir su patienter,
Cultivant la confiance quand mes mots tergiversent
J’ai pu, sans le savoir, faire tomber la herse.
Merci d’avoir crû fort qu’on se rencontrerait.
Mon voeu, lors, est ceci et que tu t’en souviennes
Quand tu viendras ici : que le désir nous prenne.
Jeu 25 Jan 2007, 12:03 par
dolce vita sur L'amour en vrac
L'écoute de l'autre
Être bien, se parler. Sentir ton bras contre le mien. Le respirer. Le vivre. Percevoir ton regard chercher le mien, pour entrevoir mon émoi. Se parler. Se raconter. Se livrer. Se murmurer. Être bien, se parler. Être là, ensemble, rien que nous deux. Se découvrir sans se mentir. Poser un doigt sur tes lèvres juste pour en saisir le contour les yeux fermés. Toucher ton bras pour chercher le grain de peau plus sensible aux touchés, celui qui te fera frémir. Te regarder frissonner. Te sourire. Dessiner sur ton visage une sensation de repos, de douceur. Se chuchoter. Avoir besoin de rapprocher nos mains pour entendre des émotions partagées. Goûter l’instant. Avoir soif de ton odeur. Avoir faim de ta voix. Murmures qui obligent à se rapprocher, à se rencontrer. Des cheveux qui se mélangent pour entendre des confidences. Des lèvres qui se cherchent pour déchiffrer des paroles qui restent muettes. Plus que deux dans un monde plein de monde. S’isoler pour parfaire un rêve. Laisser libre les mains. Chiner ton regard, pour saisir un souffle. Se blottir l’un contre l’autre pour cueillir un moment. Figer une lenteur. Prendre le temps de caresser l’instant. Effleurer ton bras pour capter une émotion subtile. Mettre de la couleur à cet instant, sans le barioler, sans le divulguer. Se taire pour mieux s’entendre. Donner. Recevoir. Partager. Un soupir. Faire de cet instant, une épopée. Être là, à côté, être bien. Complices. D’un temps, d’un instant. Laisser nos jambes s’enrouler, se dévoiler, se confondre. Savourer ce duel, cette étreinte sans lendemain. Tendresse charnelle qui réveille des sens endormis, des sentiments égarés. Tendresse charnelle, pour satisfaire des mots posés chaque jour. Tendresse charnelle pour se dire combien notre rencontre est belle, sans promesse. Sentir encore une fraîcheur de désirs sur nos corps. Être là, ensemble, être bien, calée contre toi pour te murmurer un voyage de parfum que l’on touche de sa main... S’oublier...
Fille du peuple.
Fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 15:56 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Ecrire sur murmurer
En attendant, De lune à l’autre, En attendant... ( les maux d'amour conjugués), Ma muse (ecrit au masculin), Duo caressedesyeux/ inconnu, En suivant ravel (duo inconnu /lesmotions), Je n'ai plus, Un futur antérieur...?, Ma muse, Danser?, Bérénice ?, Les aveux, Quand j'aime pas l'amour..., En confidence, L'écoute de l'autre, Il y a 22 textes utilisant le mot murmurer. Ces pages présentent les textes correspondant.
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Pierre Michon.
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