Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur notes
A chaque virgule
A l’ombre de chaque mot je me posais un peu plus
A l’ordre de chaque virgule je m’opposais un peu plus
J’avais mis sur la feuille ce qu’il restait de l’autre
Que je n’avais vomi durant tout ce temps
Celui qui attendait dans l’encre patiemment,
Qui me faisait du mal, pas sciemment.
J’entrais en majuscule dans l’instant ridicule
Où toutes ces minuscules reflétaient le recul
De acharnement à cacher l’évidence de l’être.
Du mal être. De mes lettres.
Par pile et malhabile je les avais laissées encartonnées
Au gré de mes plumes d’un soir sous la houlette obscure
D’un règlement de compte avec le calendrier.
Je rompais le silence de mes propres questions
Assidûment devant cette évidence
Assis dûment derrière ma pointe noire
Ainsi dû ment sur la feuille blanche.
Mon cœur y gisait là. Décrit plus qu’il ne faut.
Sous toutes les coutures de mes tournures
S’embrasant par endroit, s’étiolant par moment
Selon l’heure de la nuit, le soleil d’un automne
Où la froideur d’un jour.
L’abstrait abscons y côtoyait la clairvoyance
Les certitudes se nattaient dans les doutes
L’échevelé du style y bordait le posé
Moi, résumé ainsi dans sa désinvolture.
Illisible à l’œil nu, la plainte du sang
Celui qui coule en étranger au fond de moi.
L’impression fertile d’avoir des veines en déveines.
Et cette date qui martèle mes tempes
intemporellement, un temps pour elle, et tant pour moi
Combien de fois barrée de ma verve farouche
Combien de fois embuée à la fin d’une ligne.
La poésie de ma peau hésite me disais-je
Et la musique que moi seul fais-je
S’éteint lentement dans la discordance des notes
Jeux des croches. Je me rattrape.
A chaque virgule, expiatrice.
JIME
A l’ordre de chaque virgule je m’opposais un peu plus
J’avais mis sur la feuille ce qu’il restait de l’autre
Que je n’avais vomi durant tout ce temps
Celui qui attendait dans l’encre patiemment,
Qui me faisait du mal, pas sciemment.
J’entrais en majuscule dans l’instant ridicule
Où toutes ces minuscules reflétaient le recul
De acharnement à cacher l’évidence de l’être.
Du mal être. De mes lettres.
Par pile et malhabile je les avais laissées encartonnées
Au gré de mes plumes d’un soir sous la houlette obscure
D’un règlement de compte avec le calendrier.
Je rompais le silence de mes propres questions
Assidûment devant cette évidence
Assis dûment derrière ma pointe noire
Ainsi dû ment sur la feuille blanche.
Mon cœur y gisait là. Décrit plus qu’il ne faut.
Sous toutes les coutures de mes tournures
S’embrasant par endroit, s’étiolant par moment
Selon l’heure de la nuit, le soleil d’un automne
Où la froideur d’un jour.
L’abstrait abscons y côtoyait la clairvoyance
Les certitudes se nattaient dans les doutes
L’échevelé du style y bordait le posé
Moi, résumé ainsi dans sa désinvolture.
Illisible à l’œil nu, la plainte du sang
Celui qui coule en étranger au fond de moi.
L’impression fertile d’avoir des veines en déveines.
Et cette date qui martèle mes tempes
intemporellement, un temps pour elle, et tant pour moi
Combien de fois barrée de ma verve farouche
Combien de fois embuée à la fin d’une ligne.
La poésie de ma peau hésite me disais-je
Et la musique que moi seul fais-je
S’éteint lentement dans la discordance des notes
Jeux des croches. Je me rattrape.
A chaque virgule, expiatrice.
JIME
Jeu 30 Oct 2014, 16:02 par
Jime sur Mille choses
Et sous la voûte marine...
Elle se balade entre les étoiles.
Son pas fait naître
un sillon de poussière,
un trait de braise au crépuscule.
Ses yeux singulièrement polaires
déposent des notes héritées de Vénus
sur la voile d’un vaisseau accosté
à la rive d’un sourire lunaire.
Elle se veut proche, elle est insaisissable.
Ses mots modèlent l’aube d’un possible
qu’elle porte en son cœur,
la vie à venir: son Orient, son Occident.
Son pas fait naître
un sillon de poussière,
un trait de braise au crépuscule.
Ses yeux singulièrement polaires
déposent des notes héritées de Vénus
sur la voile d’un vaisseau accosté
à la rive d’un sourire lunaire.
Elle se veut proche, elle est insaisissable.
Ses mots modèlent l’aube d’un possible
qu’elle porte en son cœur,
la vie à venir: son Orient, son Occident.
Ven 14 Juin 2013, 23:34 par
Lou sur Mille choses
Qualification au final
L’amour est indéfinissable.
L’amour ne peut se dire
ni même s’écrire
ou peut-être seulement dans L’ART...
le réel amour...
l’art dans le réel, l’imaginaire et le symbolique:
l’art comme un langage d’une jouissance mais non absolue,
du corps et de l’inconscient...
le Réel Autre,
alors il est bien cette VOIX.
Il ne faut pas rester sans voie.
Il ne faut pas perdre sa voie,
notre bonne direction.
L’amour est passé
l’amour est présent
l’amour est avenir
L’AMOUR EST à venir...?
L’amour est nôtre si il nous appartient...
en nos corps et âmes...
ou bien disons plutôt il nous appartient si il est Nôtre...
Notre réciproque.
Notes réciproques.
Notes qualifiées au final.
Musique seule en mon Cœur qui est Tien:
étreintes pures mais au-delà du plaisir.
Au-delà du principe de plaisir.
Au-delà même de l’amitié.
Au-delà de LA VIE.
au-delà de la mort.
Au-delà de nos corps...
au-delà de nos âmes...
en plein dans nos cœurs...
Un Instant inoubliable
au-delà du souvenir
au-delà de l’oubli.
Au-delà du Désir, Je T’AIME.
Réalité qui m’écorche parfois, car l’amour pose sa marque,
pose ton nom sur le mien.
Telle une souffrance qui ne s’efface,
mais laisse sa TRACE...
qui enfin se termine sous tes yeux
qui m’aiment.
Un bonheur partagé.
Un bonheur salvateur.
Curateur.
Réparateur et sauveteur en MER.
Nos projets sur le même chemin.
Nos futurs main dans la Main.
Nos lendemains.
Nos nuits éclairées.
Nos jours, ensoleillés,
et ceux avec juste un peu de pluie,
mais ceux d’une pluie qui nourrit
la Terre, notre terre.
Notre TERRAIN.
Ce que je n’ai pas: tu me le donnes Puissance Mille
comme une Bombe Atomique.
Tu réduis l’incomplétude de l’être à Néant.
L’amour ne peut se dire
ni même s’écrire
ou peut-être seulement dans L’ART...
le réel amour...
l’art dans le réel, l’imaginaire et le symbolique:
l’art comme un langage d’une jouissance mais non absolue,
du corps et de l’inconscient...
le Réel Autre,
alors il est bien cette VOIX.
Il ne faut pas rester sans voie.
Il ne faut pas perdre sa voie,
notre bonne direction.
L’amour est passé
l’amour est présent
l’amour est avenir
L’AMOUR EST à venir...?
L’amour est nôtre si il nous appartient...
en nos corps et âmes...
ou bien disons plutôt il nous appartient si il est Nôtre...
Notre réciproque.
Notes réciproques.
Notes qualifiées au final.
Musique seule en mon Cœur qui est Tien:
étreintes pures mais au-delà du plaisir.
Au-delà du principe de plaisir.
Au-delà même de l’amitié.
Au-delà de LA VIE.
au-delà de la mort.
Au-delà de nos corps...
au-delà de nos âmes...
en plein dans nos cœurs...
Un Instant inoubliable
au-delà du souvenir
au-delà de l’oubli.
Au-delà du Désir, Je T’AIME.
Réalité qui m’écorche parfois, car l’amour pose sa marque,
pose ton nom sur le mien.
Telle une souffrance qui ne s’efface,
mais laisse sa TRACE...
qui enfin se termine sous tes yeux
qui m’aiment.
Un bonheur partagé.
Un bonheur salvateur.
Curateur.
Réparateur et sauveteur en MER.
Nos projets sur le même chemin.
Nos futurs main dans la Main.
Nos lendemains.
Nos nuits éclairées.
Nos jours, ensoleillés,
et ceux avec juste un peu de pluie,
mais ceux d’une pluie qui nourrit
la Terre, notre terre.
Notre TERRAIN.
Ce que je n’ai pas: tu me le donnes Puissance Mille
comme une Bombe Atomique.
Tu réduis l’incomplétude de l’être à Néant.
Musique à deux
Musique à deux
Quelques petites notes d’une douce musique,
S’envolent légères et mélodieuses de ton piano,
J’étais assis, effacé derrière ton dos..
j’attendais que tu finisses avec impatience
Que le rideau tombe sur ton concerto
Tu t’es enfin levée et avancée dignement
Puis après une révérence face à la foule
Tu as rejoins rapidement ta loge
Je me suis précipité tel un gamin tout excité
Avec mon bouquet de roses blanches..
Nous avons échangé quelques mots,
Des mots les plus simples mais tellement beaux
Dans ce couloir aux couleurs pastel
Tous cela me semblait bien irréel
Que je pris peur de me réveiller,
Au risque de ne plus te trouver
Mais tu as mis ta main dans la mienne
Et dans ton regard, cette tendresse
J’ai lu tant de promesses
Qui m’ont donné l’espoir
Et la force d’y croire
Quelques petites notes d’une douce musique,
S’envolent légères et mélodieuses de ton piano,
J’étais assis, effacé derrière ton dos..
j’attendais que tu finisses avec impatience
Que le rideau tombe sur ton concerto
Tu t’es enfin levée et avancée dignement
Puis après une révérence face à la foule
Tu as rejoins rapidement ta loge
Je me suis précipité tel un gamin tout excité
Avec mon bouquet de roses blanches..
Nous avons échangé quelques mots,
Des mots les plus simples mais tellement beaux
Dans ce couloir aux couleurs pastel
Tous cela me semblait bien irréel
Que je pris peur de me réveiller,
Au risque de ne plus te trouver
Mais tu as mis ta main dans la mienne
Et dans ton regard, cette tendresse
J’ai lu tant de promesses
Qui m’ont donné l’espoir
Et la force d’y croire
Ven 29 Mars 2013, 19:47 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
De doux souvenirs
Nous nous étions enfin retrouvés face à face
Dans ce restaurant qui ne payait pas de mine
Un comptoir, des tables et une grande glace
Qui nous renvoyait l’image de la vitrine
Un apéritif pour enlever cet embarras
Qui nous figeait telles statues de pierre
Vinrent ensuite les hors-d’œuvre et le repas
Je puisais mon courage dans un verre
On parlait de toi, de moi, de tout, de rien
Et puis, j’ai plongé dans tes yeux foncés
Ressentant comme une envie de m’y noyer
Pour en effacer les ombres noires du destin
Qui faisaient des sombres trainées de brouillard
Dont les gouttes s’accrochaient à tes cils soyeux
L’envie de suivre, ces perles au coin de tes yeux
Pour rendre son éclat à ce merveilleux regard
L’envie d’étendre mon bras et d’un doigt essuyer
Ces larmes qui burinaient ton doux visage
Descendaient lentement mouiller ton corsage
J’en avais le cœur complètement retourné...
Je buvais tes paroles doucement susurrées
Qui étaient comme des bulles éclatantes
Des jolies notes de musique enivrantes
Qui contrastaient avec le noir de tes pensées
Ces mots que dispensait ta bouche fine
Nerveux comme des papillons excités
Légers tels de doux pétales colorés
Formaient dans ma tête une danse argentine
Et je n’avais plus qu’un seul souhait
Qui voyageait hantant mon esprit
Je crois que toi aussi tu avais compris :
Embrasser ces lèvres d’un contour parfait
Ton allure réservée et ton air abattu
Contrastaient avec tes rires explosifs
Balayant de ma vie tous ces poncifs
Et j’ai osé un timide baiser dans le cou
Ce fut comme un merveilleux feu d’artifice
Qui accrocha à tes lèvres un sourire
Qui imprima dans ma vie un souvenir
Tinté de nostalgie et d’un brin de malice...
J’ai aimé te sentir, j’ai aimé te respirer
Ta peau douce comme de la soie
Et je recommençai autant de fois
Que tu me permis de t’embrasser
Il m’arrive encore d’y penser souvent
En passant devant ce restaurant de quartier
Toi, tu as dû certainement déjà l’oublier
Ce magnifique et merveilleux moment
Dont il ne reste, dans un coin de ma tête
La délicieuse odeur de ta peau vanillée,
Le goût mémorable de ta bouche sucrée
Des doux souvenirs qui jamais ne s’arrêtent
Dans ce restaurant qui ne payait pas de mine
Un comptoir, des tables et une grande glace
Qui nous renvoyait l’image de la vitrine
Un apéritif pour enlever cet embarras
Qui nous figeait telles statues de pierre
Vinrent ensuite les hors-d’œuvre et le repas
Je puisais mon courage dans un verre
On parlait de toi, de moi, de tout, de rien
Et puis, j’ai plongé dans tes yeux foncés
Ressentant comme une envie de m’y noyer
Pour en effacer les ombres noires du destin
Qui faisaient des sombres trainées de brouillard
Dont les gouttes s’accrochaient à tes cils soyeux
L’envie de suivre, ces perles au coin de tes yeux
Pour rendre son éclat à ce merveilleux regard
L’envie d’étendre mon bras et d’un doigt essuyer
Ces larmes qui burinaient ton doux visage
Descendaient lentement mouiller ton corsage
J’en avais le cœur complètement retourné...
Je buvais tes paroles doucement susurrées
Qui étaient comme des bulles éclatantes
Des jolies notes de musique enivrantes
Qui contrastaient avec le noir de tes pensées
Ces mots que dispensait ta bouche fine
Nerveux comme des papillons excités
Légers tels de doux pétales colorés
Formaient dans ma tête une danse argentine
Et je n’avais plus qu’un seul souhait
Qui voyageait hantant mon esprit
Je crois que toi aussi tu avais compris :
Embrasser ces lèvres d’un contour parfait
Ton allure réservée et ton air abattu
Contrastaient avec tes rires explosifs
Balayant de ma vie tous ces poncifs
Et j’ai osé un timide baiser dans le cou
Ce fut comme un merveilleux feu d’artifice
Qui accrocha à tes lèvres un sourire
Qui imprima dans ma vie un souvenir
Tinté de nostalgie et d’un brin de malice...
J’ai aimé te sentir, j’ai aimé te respirer
Ta peau douce comme de la soie
Et je recommençai autant de fois
Que tu me permis de t’embrasser
Il m’arrive encore d’y penser souvent
En passant devant ce restaurant de quartier
Toi, tu as dû certainement déjà l’oublier
Ce magnifique et merveilleux moment
Dont il ne reste, dans un coin de ma tête
La délicieuse odeur de ta peau vanillée,
Le goût mémorable de ta bouche sucrée
Des doux souvenirs qui jamais ne s’arrêtent
Jeu 26 Juil 2012, 21:32 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Pour ceux, pour deux
Élaguer jusqu’à prendre racine,
A même la terre, à pleine sève,
Se fondre au minéral jusqu’à l’oubli de cette destinée lourde, voilà le but de ces portées de mots. Élancées. Forgées. Sculptées.
Avec la pérennité de la pierre et la transparence de l’eau.
Ce mélange d’accessibilité et de distance. Lieu écourté entre deux âmes esseulées qui se tiennent la main et ne se perdent pas de vue.
Pour ceux qui ont pris la peine de me lire,
Pour nous deux parce qu’on est moins seul face au chemin de la vie, la pause est moins longue, les triples croches moins agressives,
Une clé à mots avec des tempos cadencés, ceux qui nous bercent, ceux qui nous séparent. Des liens entre deux places : celle des hiers, celle du maintenant.
Demain n’existe pas. C’est l’abstraction même du moderato. Voix parmi tant d’autres que notre sensibilité a élue. Unique. Reine. Despote aussi. Tyrannique, oui. Un pouvoir parmi les autres pouvoirs : celui du langage des arbres, des notes, des poèmes enfouis sous l’âge et le poids des ans.
Une célébration du présent. Sans détriment. Un pour, sans contre. Pas de contrepoint. Rien que de l’embonpoint. Pas une image. Rien que des bons points. De ceux qui rendent heureux d’être enseignés, de ceux qui donnent de l’éclat à l’iris de nos regards hésitants. Que vivent ces petites impressions encrées qui n’ont de sens que par rapport au don. De soi. Aux autres. De toi à moi. Ces petits riens que j’ai avant nommés. Des débuts de tout qui se sont inscrits dans l’écrit du jour. De ce lendemain que ta seule présence fait chanter.
A même la terre, à pleine sève,
Se fondre au minéral jusqu’à l’oubli de cette destinée lourde, voilà le but de ces portées de mots. Élancées. Forgées. Sculptées.
Avec la pérennité de la pierre et la transparence de l’eau.
Ce mélange d’accessibilité et de distance. Lieu écourté entre deux âmes esseulées qui se tiennent la main et ne se perdent pas de vue.
Pour ceux qui ont pris la peine de me lire,
Pour nous deux parce qu’on est moins seul face au chemin de la vie, la pause est moins longue, les triples croches moins agressives,
Une clé à mots avec des tempos cadencés, ceux qui nous bercent, ceux qui nous séparent. Des liens entre deux places : celle des hiers, celle du maintenant.
Demain n’existe pas. C’est l’abstraction même du moderato. Voix parmi tant d’autres que notre sensibilité a élue. Unique. Reine. Despote aussi. Tyrannique, oui. Un pouvoir parmi les autres pouvoirs : celui du langage des arbres, des notes, des poèmes enfouis sous l’âge et le poids des ans.
Une célébration du présent. Sans détriment. Un pour, sans contre. Pas de contrepoint. Rien que de l’embonpoint. Pas une image. Rien que des bons points. De ceux qui rendent heureux d’être enseignés, de ceux qui donnent de l’éclat à l’iris de nos regards hésitants. Que vivent ces petites impressions encrées qui n’ont de sens que par rapport au don. De soi. Aux autres. De toi à moi. Ces petits riens que j’ai avant nommés. Des débuts de tout qui se sont inscrits dans l’écrit du jour. De ce lendemain que ta seule présence fait chanter.
Lun 23 Juil 2012, 21:21 par
Radski sur La vie à deux
Symphonie inachevée

Nous ne jouerons plus dans la même gamme
Voici la mélodie qui libère nos Ames
Pourtant une belle partition
Où nous nous sentions à l’unisson
Tu m’as proposé un duo
Quelques notes en trop ...
Ça devient un quatuor
Et mes notes se brisent sous le poids du remord
Je me suis laissé bercée
Par l’harmonie de tes baisés
Puis d’un air qui a sonné faux
Ça m’a foutu en l’air... rien n’était plus beau
Et voilà notre partition
Devenue symphonie inachevée en perdition
Mon coeur chante d’une mélanco-mélodie
souvenir de nos accord d’harmonie
Petite musique en souvenir de toi
Que je fredonnerai maintenant, loin de tes bras...
Jeu 12 Avril 2012, 21:05 par
Djinn sur L'amour en vrac
Secret d'alcôve
Secret d’Alcôve
Dans cette chambre
À la lumière du jour tamisée
Contre toi je me love
Avant toute autre hostilité
Juste m’allonger, me blottir contre toi
Juste sentir ta chaleur et ton souffle sur moi
Puis doucement trouver le chemin de ta bouche
T’embrasser encore et encore,
Me remplir de ton goût, de ton parfum...
Sentir tes caresses sur moi
Ne jamais en avoir assez
Vouloir que toutes les parties de mon corps te ressentent
Je promène mes mains et ma bouche sur ton corps,
Telle une aveugle de l’amour
Te découvrir en braille
Pour t’imprimer dans ma chaire
Pour me souvenir de cet instant volé, trop rare
Te voilà soudain en moi, apothéose de notre langueur
Ta sueur ce mêle à la mienne pour créer un parfum inédit
Tes va-et-vient me mettent au supplice
Je n’en ai jamais assez de ces délices
Telle une femme serpent, je m’enroule autour de toi
Que chaque partie de moi soit en ton contact
Quelques notes d’amour ... musiquent notre jouissance
Et nous revoilà allongé et comblé
Nos corps assoiffés de l’autre, enfin désaltérés...
Dans cette chambre
À la lumière du jour tamisée
Contre toi je me love
Avant toute autre hostilité
Juste m’allonger, me blottir contre toi
Juste sentir ta chaleur et ton souffle sur moi
Puis doucement trouver le chemin de ta bouche
T’embrasser encore et encore,
Me remplir de ton goût, de ton parfum...
Sentir tes caresses sur moi
Ne jamais en avoir assez
Vouloir que toutes les parties de mon corps te ressentent
Je promène mes mains et ma bouche sur ton corps,
Telle une aveugle de l’amour
Te découvrir en braille
Pour t’imprimer dans ma chaire
Pour me souvenir de cet instant volé, trop rare
Te voilà soudain en moi, apothéose de notre langueur
Ta sueur ce mêle à la mienne pour créer un parfum inédit
Tes va-et-vient me mettent au supplice
Je n’en ai jamais assez de ces délices
Telle une femme serpent, je m’enroule autour de toi
Que chaque partie de moi soit en ton contact
Quelques notes d’amour ... musiquent notre jouissance
Et nous revoilà allongé et comblé
Nos corps assoiffés de l’autre, enfin désaltérés...
Lun 12 Sep 2011, 20:09 par
Djinn sur Les liaisons sulfureuses
Petit traité de vulgairisation scientifesse (fessebook)
J’ouvre ici un petit manuel sur la fesse, tiré d’expérimentations scientifesses.
Je parle de "vulgairisation" car c’est ni de la vulgarisation, ni du vulgaire, c’est entre les deux ! je ne crois pas aux beaux sentiments par des envolées lyriques. Le véritable amour a une explication rationnelle que je vais tenter de vous expliquer en décryptant les mécanismes d’ordres mathématique, physique, chimique, transposés au sujet en question.
D’autre part, j’aimerais asseoir mes connaissances sur la fesse en élargissant mes idées avec les vôtres. Aussi, les commentaires appuyés sur un raisonnement scientifesse seront les bienvenus pour approfondir ensemble notre cul-dure !
Aussi, d’emblée, je rentrerais dans le vif du sujet, en assimilant le "cul" à une jolie plante. Que dis-je une plante, une fleur et si c’est pour parler du mien, je dirais même un chou-fleur ou un "Christ’ en thème". Mais passons et regardons-y de plus près. La fleur est si voluptueuse que deux tiges ne sont pas de trop pour son épanouissement. Les "popotinistes" classent notre jolie plante dans les jambèlifères : plantureuse famille toujours pourvue de deux jambes graciles qui prolongent sa fleur. Quand celle-ci repose, ramassée sur elle-même, il lui arrive d’entremêler ses tiges avec élégance. Elle devient ainsi source d’inspiration pour crucijambistes confirmés (généticiens en herbe ou amateurs de jambes croisées, pétris de case noire). Son pistil dégage alors un parfum entêtant et ô combien caractéristique !...
Mais je m’égare dans des élucubrations poétiques et intéressons-nous plutôt à la "faute aux saintes aises". Rien à voir avec la photosynthèse habituelle, car le mécanisme fonctionne à rebrousse poil. Je m’explique : la "faute aux saintes aises" de la fesse consiste à absorber du "coccyx gènes" en prenant ses saintes aises mais en fautant par rejet du gaz au "quart qu’on lui nique". Or, la photosynthèse est l’effet inverse ; comme chacun sait, son rôle est d’absorber le gaz carbonique et de rejeter l’oxygène. La faute aux saintes aises a donc ici un effet négatif pour l’environnement de notre planète car il accentue le réchauffement climatique en augmentant la couche d’ozone. Ce contre effet pervers est en tout point assimilable à l’amour vache (animal sympathique quand il broute mais pas quand il proute) ! Mais restons dans le raisonnement scientifesse et demandons nous pourquoi seulement le quart du gaz est rejeté : c’est très simple, le gaz est un anesthésiant redoutable et, lors de la pollinisation du pistil de la fleur par " l’ anthière état-pine ", la nature toujours bien faite s’escrime à ce que le tapin (racine de l’état-pine ) ne dure jamais trop longtemps. Ainsi, Le pistil, soucieuse de réitérer son plaisir pris pendant ces merveilleux rapports fusionnels, anesthésierait alors volontairement le sexe fort pour prolonger ses ardeurs sur le long terme. On reconnaît là l’éternelle amoureuse qui comme une héroïne dans un roman de Barbara Cartland susurrerait en son for intérieur :"Pisse-t-il mon coeur ne jamais saigner et filer longtemps le parfait amour !"
Cependant, voilà qu’un autre éminent chercheur du corps scientifesse contrecarra le pouvoir anesthésiant du gaz au "quart qu’on lui nique". il s’agit d’un spécialiste en hydrodynamique dans le secteur de la viscosité et l’écoulement des fluides. Ces proches collaborateurs lui ont qualifié le délicieux sobriquet de "Bébert la nouille" bien que mieux connu sous le nom de "Bernouilli" et de son fameux théorème. Bébert donc orienta ses recherches en observant la cuisson des pâtes (il était italien) et plus spécialement le macaroni. Il constata que la dite pâte plongée dans un liquide à 37 degré produisait une émulsion en surface sous forme d’écume blanche et, 6 minutes après, il observa que la trempe du macaroni ressortait en forme de coquillette (précisons que la cuisson était " al dente "). Aussitôt il fit le rapprochement judicieux avec le fameux gaz anesthésiant, contestant alors son effet en tant que tel, le justifiant seulement d’ordre respiratoire ou d’aérophagie. En rapport au coït, la "faute aux saintes aises" n’implique pas selon lui un dégazage systématique. Ainsi, le pouvoir du gaz anesthésiant serait irrecevable, la crampe du sexe fort se ramollirait et racornirait uniquement par effet de trempe et en un point de fuite du "va-j’y nage". l’expérimentation sur le vivant assermenta son hypothèse: le prépuce sortait bel et bien fripé et blanchit après pénétration.
Enfin pour accentuer un peu plus la différence entre la "faute aux saintes aises" et la photosynthèse, disons que si "la forêt d’amozonie" absorbe une grande partie de "l’impur Co 2". Par ma fesse, "le purin " c’est au dos" qu’ il se rejette quand bien même percerait "une forêt où l’âme à son nid" !
Pour poursuivre dans les sciences des fluides et toujours dans le "va! j’y nage". Un colloque de chercheurs en expérimentation dans un lupanar établirent un calcul savant sur la poussée "d’orgie merde". Ils remarquèrent que tout corps plongé dans le trou noir subissait une poussée de haut en bas égale au poids du volume du liquide déplacé. Mais seulement si le plongeon est au must du coït, c’est à dire que l’accélération du "pesant heurt" s’exerce au point "g", là où il y a du plaisir ! Bien sûr on peut s’interroger sur le pourquoi de la grossièreté pour qualifier cette fameuse poussée. ben ! tout simplement parce qu’ après moult observations force fut de constater que ça ne sentait pas la rose !!!
Dés lors l’un des chercheur, mathématicien qui plus est, s’intéressa aussitôt au bourrin susceptible de cette merveilleuse poussée. Il s’avéra en l’examinant de près qu’il présentait de sérieux avantages sur les parties génitales. Il l’isola alors et mesura mathématiquement "sa rythme et trique" en position de frappe. Aujourd’hui, ce spécimen rare a donné son nom au théorème de "Bite à gore" énoncé comme il suit : "Bien carré l’hyppo t’abuse quand il te somme des deux côtés".
On dit à tout saigneur tout honneur ! Cependant abstinence est de rigueur au mâle en rut quand Madame en couche est contrainte de "l’effet de serre" ou de serrer des fesses. Coûte que coûte elle doit alors s’acclimater à ce non réchauffement clitoridien (pour le torride ça attendra) !
D’autres mathématiciens chevronnés de la fesse définirent sa courbe exponentielle, délimitée entre deux asymptotes : une au point de fuite et l’autre sur la chute de rein. Je vous ferais grâce des formules sur la valse du "x" pour situer le point d’inflexion où la courbe dérive !
En science sismolofesse, des chercheurs tout aussi inspirés ont prospecté le long de la ligne de faille qui partage les fesses en deux. Or, c’est dans cette cassure et en un point névralgique où "l’épice entre" (eh oui ! il suffit parfois d’un petit piment d’espelette pour provoquer un vrai cataclysme avec parfois tsunami à la clé) que le sismographe a enregistré les secousses des plus violentes. Allant jusqu’à 7 sur l’échelle de "Rich’ éther " : échelle mesurée en degré au plaisir). 7 étant la graduation optimum pour parvenir à l’extase quand vous atteignez le septième ciel !
En vulcanofesse, des "porctologues" qui ne sont autres que des proctologues spécialisés, n’ayant pas peur de mettre leur nez là où je pense, ont dénombré différentes éruptions. Il y a l’éruption classique dite bronzaïque (coulée dans le bronze), l’éruption filiforme (en forme de fil), l’éruption constipative( projections crottés à répétition), l’éruption explosive en deux catégories : l’une étant la courante laminaire (coulée liquide et plate) et l’autre la courante "diarré-hic"(pétard de feu d’artifesse constellé d’étoiles).
De physique-scientifesse, on a mesuré aussi l’effet "à coups triques" de l’instrument à vent. Dés lors, quiconque peut s’improviser musicien en soufflant sur les hanches par son embouchure, faisant résonner le muscle pelvien en rondes notes par l’entournure de son col en "ut et ruse".
En physique-mécanicofesse, il est rapporté la formule de l’énergie cinétique sous la forme :
Ec= 1/2 mv2+1/2 jw2
l’addition des deux énergies distribuées (mâle et femelle) se répartie par moitié d’ou le coefficient 1/2 :
- 1/2 mv2 est l’énergie cinétique linéaire de pénétration du sexe mâle proportionnel à sa vitesse "v" au carré et à sa masse "m"
- 1/2 jw2 est l’énergie cinétique radiale donné par le mouvement oscillatoire des fesses sur le sexe mâle pour interagir sur sa puissance. Elle est proportionnelle à la vitesse enculaire "w" au carré et au moment d’inertie "j" qui met en branle le couple en action !
Enfin pour terminer sur une note poétique je parlerais de la fesse en science astronomique. Quoi de mieux alors que la lune pour incarner la fesse et occuper l’espace ? Ainsi, tout prototype "fuseïforme" sorti tout droit de son "hors bite" entrerait en gravitation lunaire avant qu’ icelui subisse la "loi de l’attraction unie vers icelle" . Avec toute proportion gardée sur la rumeur des masses et inversement aux préjugés qui lui recommanderaient de bien se carrer à distance, son vrai désir pour elle n’en serait pas moins de "fesse toi y est" !
Je parle de "vulgairisation" car c’est ni de la vulgarisation, ni du vulgaire, c’est entre les deux ! je ne crois pas aux beaux sentiments par des envolées lyriques. Le véritable amour a une explication rationnelle que je vais tenter de vous expliquer en décryptant les mécanismes d’ordres mathématique, physique, chimique, transposés au sujet en question.
D’autre part, j’aimerais asseoir mes connaissances sur la fesse en élargissant mes idées avec les vôtres. Aussi, les commentaires appuyés sur un raisonnement scientifesse seront les bienvenus pour approfondir ensemble notre cul-dure !
Aussi, d’emblée, je rentrerais dans le vif du sujet, en assimilant le "cul" à une jolie plante. Que dis-je une plante, une fleur et si c’est pour parler du mien, je dirais même un chou-fleur ou un "Christ’ en thème". Mais passons et regardons-y de plus près. La fleur est si voluptueuse que deux tiges ne sont pas de trop pour son épanouissement. Les "popotinistes" classent notre jolie plante dans les jambèlifères : plantureuse famille toujours pourvue de deux jambes graciles qui prolongent sa fleur. Quand celle-ci repose, ramassée sur elle-même, il lui arrive d’entremêler ses tiges avec élégance. Elle devient ainsi source d’inspiration pour crucijambistes confirmés (généticiens en herbe ou amateurs de jambes croisées, pétris de case noire). Son pistil dégage alors un parfum entêtant et ô combien caractéristique !...
Mais je m’égare dans des élucubrations poétiques et intéressons-nous plutôt à la "faute aux saintes aises". Rien à voir avec la photosynthèse habituelle, car le mécanisme fonctionne à rebrousse poil. Je m’explique : la "faute aux saintes aises" de la fesse consiste à absorber du "coccyx gènes" en prenant ses saintes aises mais en fautant par rejet du gaz au "quart qu’on lui nique". Or, la photosynthèse est l’effet inverse ; comme chacun sait, son rôle est d’absorber le gaz carbonique et de rejeter l’oxygène. La faute aux saintes aises a donc ici un effet négatif pour l’environnement de notre planète car il accentue le réchauffement climatique en augmentant la couche d’ozone. Ce contre effet pervers est en tout point assimilable à l’amour vache (animal sympathique quand il broute mais pas quand il proute) ! Mais restons dans le raisonnement scientifesse et demandons nous pourquoi seulement le quart du gaz est rejeté : c’est très simple, le gaz est un anesthésiant redoutable et, lors de la pollinisation du pistil de la fleur par " l’ anthière état-pine ", la nature toujours bien faite s’escrime à ce que le tapin (racine de l’état-pine ) ne dure jamais trop longtemps. Ainsi, Le pistil, soucieuse de réitérer son plaisir pris pendant ces merveilleux rapports fusionnels, anesthésierait alors volontairement le sexe fort pour prolonger ses ardeurs sur le long terme. On reconnaît là l’éternelle amoureuse qui comme une héroïne dans un roman de Barbara Cartland susurrerait en son for intérieur :"Pisse-t-il mon coeur ne jamais saigner et filer longtemps le parfait amour !"
Cependant, voilà qu’un autre éminent chercheur du corps scientifesse contrecarra le pouvoir anesthésiant du gaz au "quart qu’on lui nique". il s’agit d’un spécialiste en hydrodynamique dans le secteur de la viscosité et l’écoulement des fluides. Ces proches collaborateurs lui ont qualifié le délicieux sobriquet de "Bébert la nouille" bien que mieux connu sous le nom de "Bernouilli" et de son fameux théorème. Bébert donc orienta ses recherches en observant la cuisson des pâtes (il était italien) et plus spécialement le macaroni. Il constata que la dite pâte plongée dans un liquide à 37 degré produisait une émulsion en surface sous forme d’écume blanche et, 6 minutes après, il observa que la trempe du macaroni ressortait en forme de coquillette (précisons que la cuisson était " al dente "). Aussitôt il fit le rapprochement judicieux avec le fameux gaz anesthésiant, contestant alors son effet en tant que tel, le justifiant seulement d’ordre respiratoire ou d’aérophagie. En rapport au coït, la "faute aux saintes aises" n’implique pas selon lui un dégazage systématique. Ainsi, le pouvoir du gaz anesthésiant serait irrecevable, la crampe du sexe fort se ramollirait et racornirait uniquement par effet de trempe et en un point de fuite du "va-j’y nage". l’expérimentation sur le vivant assermenta son hypothèse: le prépuce sortait bel et bien fripé et blanchit après pénétration.
Enfin pour accentuer un peu plus la différence entre la "faute aux saintes aises" et la photosynthèse, disons que si "la forêt d’amozonie" absorbe une grande partie de "l’impur Co 2". Par ma fesse, "le purin " c’est au dos" qu’ il se rejette quand bien même percerait "une forêt où l’âme à son nid" !
Pour poursuivre dans les sciences des fluides et toujours dans le "va! j’y nage". Un colloque de chercheurs en expérimentation dans un lupanar établirent un calcul savant sur la poussée "d’orgie merde". Ils remarquèrent que tout corps plongé dans le trou noir subissait une poussée de haut en bas égale au poids du volume du liquide déplacé. Mais seulement si le plongeon est au must du coït, c’est à dire que l’accélération du "pesant heurt" s’exerce au point "g", là où il y a du plaisir ! Bien sûr on peut s’interroger sur le pourquoi de la grossièreté pour qualifier cette fameuse poussée. ben ! tout simplement parce qu’ après moult observations force fut de constater que ça ne sentait pas la rose !!!
Dés lors l’un des chercheur, mathématicien qui plus est, s’intéressa aussitôt au bourrin susceptible de cette merveilleuse poussée. Il s’avéra en l’examinant de près qu’il présentait de sérieux avantages sur les parties génitales. Il l’isola alors et mesura mathématiquement "sa rythme et trique" en position de frappe. Aujourd’hui, ce spécimen rare a donné son nom au théorème de "Bite à gore" énoncé comme il suit : "Bien carré l’hyppo t’abuse quand il te somme des deux côtés".
On dit à tout saigneur tout honneur ! Cependant abstinence est de rigueur au mâle en rut quand Madame en couche est contrainte de "l’effet de serre" ou de serrer des fesses. Coûte que coûte elle doit alors s’acclimater à ce non réchauffement clitoridien (pour le torride ça attendra) !
D’autres mathématiciens chevronnés de la fesse définirent sa courbe exponentielle, délimitée entre deux asymptotes : une au point de fuite et l’autre sur la chute de rein. Je vous ferais grâce des formules sur la valse du "x" pour situer le point d’inflexion où la courbe dérive !
En science sismolofesse, des chercheurs tout aussi inspirés ont prospecté le long de la ligne de faille qui partage les fesses en deux. Or, c’est dans cette cassure et en un point névralgique où "l’épice entre" (eh oui ! il suffit parfois d’un petit piment d’espelette pour provoquer un vrai cataclysme avec parfois tsunami à la clé) que le sismographe a enregistré les secousses des plus violentes. Allant jusqu’à 7 sur l’échelle de "Rich’ éther " : échelle mesurée en degré au plaisir). 7 étant la graduation optimum pour parvenir à l’extase quand vous atteignez le septième ciel !
En vulcanofesse, des "porctologues" qui ne sont autres que des proctologues spécialisés, n’ayant pas peur de mettre leur nez là où je pense, ont dénombré différentes éruptions. Il y a l’éruption classique dite bronzaïque (coulée dans le bronze), l’éruption filiforme (en forme de fil), l’éruption constipative( projections crottés à répétition), l’éruption explosive en deux catégories : l’une étant la courante laminaire (coulée liquide et plate) et l’autre la courante "diarré-hic"(pétard de feu d’artifesse constellé d’étoiles).
De physique-scientifesse, on a mesuré aussi l’effet "à coups triques" de l’instrument à vent. Dés lors, quiconque peut s’improviser musicien en soufflant sur les hanches par son embouchure, faisant résonner le muscle pelvien en rondes notes par l’entournure de son col en "ut et ruse".
En physique-mécanicofesse, il est rapporté la formule de l’énergie cinétique sous la forme :
Ec= 1/2 mv2+1/2 jw2
l’addition des deux énergies distribuées (mâle et femelle) se répartie par moitié d’ou le coefficient 1/2 :
- 1/2 mv2 est l’énergie cinétique linéaire de pénétration du sexe mâle proportionnel à sa vitesse "v" au carré et à sa masse "m"
- 1/2 jw2 est l’énergie cinétique radiale donné par le mouvement oscillatoire des fesses sur le sexe mâle pour interagir sur sa puissance. Elle est proportionnelle à la vitesse enculaire "w" au carré et au moment d’inertie "j" qui met en branle le couple en action !
Enfin pour terminer sur une note poétique je parlerais de la fesse en science astronomique. Quoi de mieux alors que la lune pour incarner la fesse et occuper l’espace ? Ainsi, tout prototype "fuseïforme" sorti tout droit de son "hors bite" entrerait en gravitation lunaire avant qu’ icelui subisse la "loi de l’attraction unie vers icelle" . Avec toute proportion gardée sur la rumeur des masses et inversement aux préjugés qui lui recommanderaient de bien se carrer à distance, son vrai désir pour elle n’en serait pas moins de "fesse toi y est" !

Ven 24 Juin 2011, 13:57 par
Fessue de Naz'arête sur Articles
Même joueur joue encore...
Je dis que le temps passe et que les jours ne se ressemblent pas, les expériences elles, restent toujours les mêmes.
Je me dis que je ne reproduirais pas les mêmes erreurs, que cela servira de leçon pour ne plus m’y faire prendre. Malgré de bonnes résolutions prises en plein cours de l’année, il me semble tout de même qu’il est difficile d’échapper réellement à la malveillance de certains prédateurs.
Sans vouloir dénigrer la gente masculine, ni stigmatiser, le 21ème siècle a vu naître une toute autre forme de relations amoureuses. Peut on d’ailleurs parler d’Amour ? N’est ce pas plutôt une forme d’attachement passionnel menant deux personnes (souvent plusieurs), le temps d’un instant, vers un "nulle part" déconcertant de bétises et ne choquant plus personne.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : le couple des temps modernes n’est plus le fruit d’un réel désir d’être ensemble mais un choix stratégique vécu comme un passe temps, pour combler l’ennui et ce, même avec une personne complètement inintéressante mais néanmois sympathique.
Nous sommes passés maître dans l’art de la manipulation sentimentale, faisant croire à l’autre et ce sans aucune conviction, qu’il est celui que l’on a attendu toute une vie, alors qu’il n’est que le "n" ième sur une liste digne de celle de Schindler.
Ce que j’entends par ces plaintes revendicatives et un brin féministe je vous l’accorde, c’est que nous vivons dans un monde où l’Amour n’a plus sa place.
Aimer n’est plus qu’un mot préhistorique, désuet de sens, que l’on balance à qui veut l’entendre au bout de quelques heures passées ensemble. L’autre, n’est jamais celui que l’on croit, il n’est même pas l’ombre de l’être aimé que l’on désire tant et derrière lequel on court veinement.
Tout le monde se mèle et se démèle, ne faisant plus qu’un, mais non un couple, plutôt un groupe d’ex et de futur.
Parlons maintenant de ce concept utopique nommé fidélité, qui lui non plus, n’est plus présent dans les relations dites amoureuses. Il n’est que poussière jetée aux yeux de l’autre afin de pouvoir mieux l’aveugler. Sombre tragédie que je vous conte aujourd’hui, cependant nul n’est dupe de cette triste réalité. A voir les couples qui vous entourent, se faire et se défaire, vous accorderez sans doute du crédit à ma théorie.
Notre société de consommation à fait de nous des êtres jetables, que l’on évince à la moindre contrariété. Nous sommes devenus des instruments inaccordables, à la mélodie éphémère pleine de fausses notes.
Sans pour autant renoncer à mes rêves de mariage et de maternité, j’envisage avec beaucoup moins de naïveté, une future relation de partage.
Mes déceptions de plus en plus grandes au fil du temps ne m’ont rendues ni aigrie ni frigide, bien au contraire, elles m’ont apportées une force et une perception bien plus lucide et objective du monde qui m’entoure.
J’ai pris conscience de cette dimension humaine si hypocrite, que certains hommes et femmes d’aujourd’hui ont su créer sans aucun scrupule, instaurant des relations fondées sur le mensonge et la tromperie et faisant foi de loi inébranlable.
L’Amour est devenu virtuel et n’est que le paraître de ce que l’on devrait être.
J’écris ce texte sans aucune amertume et le coeur léger afin de tourner une page sur laquelle repose toute ma vie.
Mes malheurs amoureux passés font mon bonheur d’aujourd’hui et m’ont permis de prendre soin de moi, pour mieux prendre soin des autres. S’aimer soi même n’est il pas un début à l’amour de l’autre ? L’autre reste pour l’instant sur le banc de touche, estropié par la tempête d’un coeur qui a cessé d’aimer.
Je me dis que je ne reproduirais pas les mêmes erreurs, que cela servira de leçon pour ne plus m’y faire prendre. Malgré de bonnes résolutions prises en plein cours de l’année, il me semble tout de même qu’il est difficile d’échapper réellement à la malveillance de certains prédateurs.
Sans vouloir dénigrer la gente masculine, ni stigmatiser, le 21ème siècle a vu naître une toute autre forme de relations amoureuses. Peut on d’ailleurs parler d’Amour ? N’est ce pas plutôt une forme d’attachement passionnel menant deux personnes (souvent plusieurs), le temps d’un instant, vers un "nulle part" déconcertant de bétises et ne choquant plus personne.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : le couple des temps modernes n’est plus le fruit d’un réel désir d’être ensemble mais un choix stratégique vécu comme un passe temps, pour combler l’ennui et ce, même avec une personne complètement inintéressante mais néanmois sympathique.
Nous sommes passés maître dans l’art de la manipulation sentimentale, faisant croire à l’autre et ce sans aucune conviction, qu’il est celui que l’on a attendu toute une vie, alors qu’il n’est que le "n" ième sur une liste digne de celle de Schindler.
Ce que j’entends par ces plaintes revendicatives et un brin féministe je vous l’accorde, c’est que nous vivons dans un monde où l’Amour n’a plus sa place.
Aimer n’est plus qu’un mot préhistorique, désuet de sens, que l’on balance à qui veut l’entendre au bout de quelques heures passées ensemble. L’autre, n’est jamais celui que l’on croit, il n’est même pas l’ombre de l’être aimé que l’on désire tant et derrière lequel on court veinement.
Tout le monde se mèle et se démèle, ne faisant plus qu’un, mais non un couple, plutôt un groupe d’ex et de futur.
Parlons maintenant de ce concept utopique nommé fidélité, qui lui non plus, n’est plus présent dans les relations dites amoureuses. Il n’est que poussière jetée aux yeux de l’autre afin de pouvoir mieux l’aveugler. Sombre tragédie que je vous conte aujourd’hui, cependant nul n’est dupe de cette triste réalité. A voir les couples qui vous entourent, se faire et se défaire, vous accorderez sans doute du crédit à ma théorie.
Notre société de consommation à fait de nous des êtres jetables, que l’on évince à la moindre contrariété. Nous sommes devenus des instruments inaccordables, à la mélodie éphémère pleine de fausses notes.
Sans pour autant renoncer à mes rêves de mariage et de maternité, j’envisage avec beaucoup moins de naïveté, une future relation de partage.
Mes déceptions de plus en plus grandes au fil du temps ne m’ont rendues ni aigrie ni frigide, bien au contraire, elles m’ont apportées une force et une perception bien plus lucide et objective du monde qui m’entoure.
J’ai pris conscience de cette dimension humaine si hypocrite, que certains hommes et femmes d’aujourd’hui ont su créer sans aucun scrupule, instaurant des relations fondées sur le mensonge et la tromperie et faisant foi de loi inébranlable.
L’Amour est devenu virtuel et n’est que le paraître de ce que l’on devrait être.
J’écris ce texte sans aucune amertume et le coeur léger afin de tourner une page sur laquelle repose toute ma vie.
Mes malheurs amoureux passés font mon bonheur d’aujourd’hui et m’ont permis de prendre soin de moi, pour mieux prendre soin des autres. S’aimer soi même n’est il pas un début à l’amour de l’autre ? L’autre reste pour l’instant sur le banc de touche, estropié par la tempête d’un coeur qui a cessé d’aimer.
Sam 08 Jan 2011, 23:24 par
Atina sur L'amour en vrac
Valse
Elsa, Elsa, ton petit cul très pâle et ta petit bouche très vive, tes petits saignements de nez et des flaques un peu partout, et ce soleil qui n’est plus rond, une nuit versée dans les bocaux, aux poches trouées, aux rebords des paupières, sur la peau de fruits mûrs, dans tes mains, là on l’on vient se noyer, et des larmes soudain, comme notes de musique fânées, tombées d’ailes de corbeaux qui croissaient au dessus d’un champ immense,
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Dim 13 Juin 2010, 10:12 par
Boris K sur Parler d'amour
La musique des coeurs
Il aimait les silences.
Quand il composait, il prenait soin de les placer avec beaucoup d’attention. Dans son écriture, chaque nouvelle note décrivait un sentiment, une nuance intime d’un coeur en émoi. Rien n’était superflu. Il voulait que ses notes vivent leur vie à travers un instrument. Exigeant, il laissait peu de personnes toucher à ses compositions. Il exigeait un esprit créatif, capable de passion, capable de faire parler ses notes. Il voulait un trio parfait : un instrument ayant du coeur, un musicien entendant son coeur et une partition. Au jeu du musicien, il pouvait déceler la qualité de son coeur. Grâce aux silences. ’ Le langage se réalise en brisant le silence ’. Le respect du silence marque un temps d’arrêt. Il suspend son expression pour réfléchir. Par la qualité de ce silence, il pouvait voir si le musicien comprenait sa musique. Les notes sont des mots qui se respectent. Les silences prolongent leur expression dans leur profondeur. Si ce silence manquait, il sentait ses notes s’affoler, s’asphyxier et finir par mourir sous la main assassine du musicien.
Voilà pourquoi il aimait les silences.
Quand il composait, il prenait soin de les placer avec beaucoup d’attention. Dans son écriture, chaque nouvelle note décrivait un sentiment, une nuance intime d’un coeur en émoi. Rien n’était superflu. Il voulait que ses notes vivent leur vie à travers un instrument. Exigeant, il laissait peu de personnes toucher à ses compositions. Il exigeait un esprit créatif, capable de passion, capable de faire parler ses notes. Il voulait un trio parfait : un instrument ayant du coeur, un musicien entendant son coeur et une partition. Au jeu du musicien, il pouvait déceler la qualité de son coeur. Grâce aux silences. ’ Le langage se réalise en brisant le silence ’. Le respect du silence marque un temps d’arrêt. Il suspend son expression pour réfléchir. Par la qualité de ce silence, il pouvait voir si le musicien comprenait sa musique. Les notes sont des mots qui se respectent. Les silences prolongent leur expression dans leur profondeur. Si ce silence manquait, il sentait ses notes s’affoler, s’asphyxier et finir par mourir sous la main assassine du musicien.
Voilà pourquoi il aimait les silences.
Mar 16 Fév 2010, 04:00 par
Solina sur Histoires d'amour
Pastiche d'un extrait de la comédie humaine de balzac
Je vais vous raconter l’histoire d’un personnage que vous ne pouvez pas imaginer. Il s’agit d’un Maître. Saisirez-vous bien ce visage rayonnant et souriant, à laquelle je me permets de donner le nom de face hors-norme, il ressemblait un œil de tigre truffé? Les cheveux de ce Maître étaient bouclés, aucunement brossés et d’un noir roussi. Les courbes de son visage, sérieux autant que celui d’un révolutionnaire, paraissaient avoir été coulé en cuivre.
Bruns Foncés comme ceux d’une chouette, ses yeux en amande avaient de fins cils et étaient habitués aux différences nuances de la lumière ; mais l’ombre de son béret d’Angleterre le protégeait du soleil. Son nez arrondi était si brillants que vous l’eussiez comparé à une pépite. Il avait les lèvres fines de ces savants arabes et scribes égyptiens sculptés par des chercheurs de vérité. Cet homme articulait extrêmement bien, d’un ton enchanteur et savait relativement gérer le stress.
Son âge était un mystère : on ne pouvait rien deviner s’il était âgé comme patriarche, ou s’il avait toujours vingt ans. Tout était authentique et précieux dans sa chambre, pareille depuis le globe de notre planète sur son bureau jusqu’à la peau de mouton au pied du lit, aux lumineuses clairières de ces vieux bois qui laissent le soleil éclairer la majestueuse végétation. En hiver, le vieux radiateur électrique, allumé seulement le soir, donnait un peu de chaleur suffisante à rejoindre Morphée. Ses activités journalières, depuis l’ouverture de ses yeux jusqu’à ces cônes de marie-jeanne le soir, étaient à la merci du hasard. C’était en quelque sorte un homme heureux que la terre guidait. Si vous souriez à un inconnu cheminant dans la rue, il vous sourit et continue sa route, cet homme souriait toujours à ses semblables et repartait à l’improviste de son instincts, afin de ne jamais trop s’attarder dans un endroit. A l’imitation, d’un guerrier de la lumière, il dégageait une chaleur humaine et avait des pensées positives pour tous ses frères terriens.
Aussi sa vie s’écoulait-elle sans faire plus de remoud qu’un ruisseau de campagne. Souvent ses sujets se repentaient au début, désapprouvaient puis après il se passait un moment unique, comme dans un confessionnal où le curé ordonne le nombre de prières à exécuter. Vers le soir le Maître devenait un philosophe et ses instruments de dressage se métamorphosaient en des pièces de collection. S’il avait bien fait respecter les contrats, il se lavait les mains en laissant apparaître par la bouche ovale de son visage toutes ses dents, car il est difficile d’exprimer autrement le joli sourire de ses lèvres, où se dessinait une sensation comparable au rire joyeux d’un moine tibétain. Enfin, dans ses mauvais jours, sa conversation restait très fluide, et sa contenance était toujours positive. Tel était le voisin que le hasard m’avait donné dans le manoir que j’habitais, rue des Bouchers, quand je n’étais encore qu’un apprenti bibliothécaire et que j’achevais ma dernière années en sciences de l’information documentaire.
Ce manoir, qui a un grand jardin, est sec et lumineux. Les pièces y tirent la lumière de Jean-Rosset. La construction archaïque qui divise le bâtiment en chambre d’inégale grandeur, en ne leur laissant d’autre issue qu’un grand hall polygone éclairé par des bougeoirs à cinq branches, annonce que le manoir a jadis appartenu à une société secrète. A ce joyeux aspect, la peur d’un futur esclave expirait avant qu’il n’entrât chez mon voisin : son manoir et ce qu’il dégageait de lui se ressemblaient. Le seul être avec qui il communiquait, socialement parlant était moi ; il venait me demander des renseignements, m’empruntait un disque, une revue, et me permettait le soir d’entrer dans sa chambre, où nous philosophions quand nous étions dans un état second. Ces marques de confiance étaient le fruit d’un voisinage de quatre années et de ma sage discrétion,. qui faute d’argent me permettait de loger ici. Était-il violent ou calme? Personne n’aurait pu répondre à ses questions. Je ne voyais jamais d’objet de soumission chez lui.
Son artillerie de Maître se trouvait sans doutes dans les catacombes du manoir. Il fabriquait lui-même ses équipements en courant dans Lausanne d’un pas sur comme ceux d’un mujadhins. Un jour par hasard, il transportait un lot d’objet acquis dans une brocante ; une cravache se fit jour, on ne sait comment, à travers son sac à dos militaire , un voisin qui le suivait dans la rue ramassa la cravache et la lui présenta. « Cela ne m’appartient pas, répondit-il avec un geste de surprise. A moi un objet pour dresser les bêtes. Vivrai-je ici si j’avais des chevaux? » Le matin, il préparait son thé noir sur la cuisinière de la salle commune du manoir ; une femme de l’habitation lui apportait à dîner. Une soubrette de l’étage du bas montait à heure fixe pour nettoyer sa chambre.
Enfin, par une idée qui me traverse l’esprit, cet homme se nommait Bambüsbar. Quand plus tard je lisais ses cahiers personnels, j’appris qu’au moment où nous nous connûmes, il avait environ cinquante ans. Il était né vers 1950, dans la campagne vaudoise, d’une espagnole d’origine arabe et d’un allemand de l’est, et se nommait Marco-Severino Von Bambüsbar. Vous savez combien la presse vaudoise s’occupa de l’opération d’un travesti nommé esclave odine? Quand j’en parlais, par hasard à mon ancien voisin, il me dit, dans un air triompheur et très fiers : « C’est ma première soumise. »
Cette parole fut tout ce que lui exprima le travestissement de son premier et fidèle soumis, un panaméen devenu femme. Ses notes m’apprirent qu’esclave odine était en effet une réfugiée qu’il avait recueillie. Lorsque je lui demandais par quelle bizarrerie son premier esclave portait ce nom : « Étant le premier, je l’ai baptisé avec un nom féminin ancien » me répondit-il avec clarté. Ce Maître hors-norme avait toujours baptisé tous ses esclaves afin de leur offrir une nouvelle identité avec laquelle il n’appartenait plus qu’à Maître Bambüsbar. Il fabriquait des esclaves et ne pensait pas que sa domination pût être perfectionnée par d’autres que lui, même après son dressage.
Jeaneck, mars 2008
Bruns Foncés comme ceux d’une chouette, ses yeux en amande avaient de fins cils et étaient habitués aux différences nuances de la lumière ; mais l’ombre de son béret d’Angleterre le protégeait du soleil. Son nez arrondi était si brillants que vous l’eussiez comparé à une pépite. Il avait les lèvres fines de ces savants arabes et scribes égyptiens sculptés par des chercheurs de vérité. Cet homme articulait extrêmement bien, d’un ton enchanteur et savait relativement gérer le stress.
Son âge était un mystère : on ne pouvait rien deviner s’il était âgé comme patriarche, ou s’il avait toujours vingt ans. Tout était authentique et précieux dans sa chambre, pareille depuis le globe de notre planète sur son bureau jusqu’à la peau de mouton au pied du lit, aux lumineuses clairières de ces vieux bois qui laissent le soleil éclairer la majestueuse végétation. En hiver, le vieux radiateur électrique, allumé seulement le soir, donnait un peu de chaleur suffisante à rejoindre Morphée. Ses activités journalières, depuis l’ouverture de ses yeux jusqu’à ces cônes de marie-jeanne le soir, étaient à la merci du hasard. C’était en quelque sorte un homme heureux que la terre guidait. Si vous souriez à un inconnu cheminant dans la rue, il vous sourit et continue sa route, cet homme souriait toujours à ses semblables et repartait à l’improviste de son instincts, afin de ne jamais trop s’attarder dans un endroit. A l’imitation, d’un guerrier de la lumière, il dégageait une chaleur humaine et avait des pensées positives pour tous ses frères terriens.
Aussi sa vie s’écoulait-elle sans faire plus de remoud qu’un ruisseau de campagne. Souvent ses sujets se repentaient au début, désapprouvaient puis après il se passait un moment unique, comme dans un confessionnal où le curé ordonne le nombre de prières à exécuter. Vers le soir le Maître devenait un philosophe et ses instruments de dressage se métamorphosaient en des pièces de collection. S’il avait bien fait respecter les contrats, il se lavait les mains en laissant apparaître par la bouche ovale de son visage toutes ses dents, car il est difficile d’exprimer autrement le joli sourire de ses lèvres, où se dessinait une sensation comparable au rire joyeux d’un moine tibétain. Enfin, dans ses mauvais jours, sa conversation restait très fluide, et sa contenance était toujours positive. Tel était le voisin que le hasard m’avait donné dans le manoir que j’habitais, rue des Bouchers, quand je n’étais encore qu’un apprenti bibliothécaire et que j’achevais ma dernière années en sciences de l’information documentaire.
Ce manoir, qui a un grand jardin, est sec et lumineux. Les pièces y tirent la lumière de Jean-Rosset. La construction archaïque qui divise le bâtiment en chambre d’inégale grandeur, en ne leur laissant d’autre issue qu’un grand hall polygone éclairé par des bougeoirs à cinq branches, annonce que le manoir a jadis appartenu à une société secrète. A ce joyeux aspect, la peur d’un futur esclave expirait avant qu’il n’entrât chez mon voisin : son manoir et ce qu’il dégageait de lui se ressemblaient. Le seul être avec qui il communiquait, socialement parlant était moi ; il venait me demander des renseignements, m’empruntait un disque, une revue, et me permettait le soir d’entrer dans sa chambre, où nous philosophions quand nous étions dans un état second. Ces marques de confiance étaient le fruit d’un voisinage de quatre années et de ma sage discrétion,. qui faute d’argent me permettait de loger ici. Était-il violent ou calme? Personne n’aurait pu répondre à ses questions. Je ne voyais jamais d’objet de soumission chez lui.
Son artillerie de Maître se trouvait sans doutes dans les catacombes du manoir. Il fabriquait lui-même ses équipements en courant dans Lausanne d’un pas sur comme ceux d’un mujadhins. Un jour par hasard, il transportait un lot d’objet acquis dans une brocante ; une cravache se fit jour, on ne sait comment, à travers son sac à dos militaire , un voisin qui le suivait dans la rue ramassa la cravache et la lui présenta. « Cela ne m’appartient pas, répondit-il avec un geste de surprise. A moi un objet pour dresser les bêtes. Vivrai-je ici si j’avais des chevaux? » Le matin, il préparait son thé noir sur la cuisinière de la salle commune du manoir ; une femme de l’habitation lui apportait à dîner. Une soubrette de l’étage du bas montait à heure fixe pour nettoyer sa chambre.
Enfin, par une idée qui me traverse l’esprit, cet homme se nommait Bambüsbar. Quand plus tard je lisais ses cahiers personnels, j’appris qu’au moment où nous nous connûmes, il avait environ cinquante ans. Il était né vers 1950, dans la campagne vaudoise, d’une espagnole d’origine arabe et d’un allemand de l’est, et se nommait Marco-Severino Von Bambüsbar. Vous savez combien la presse vaudoise s’occupa de l’opération d’un travesti nommé esclave odine? Quand j’en parlais, par hasard à mon ancien voisin, il me dit, dans un air triompheur et très fiers : « C’est ma première soumise. »
Cette parole fut tout ce que lui exprima le travestissement de son premier et fidèle soumis, un panaméen devenu femme. Ses notes m’apprirent qu’esclave odine était en effet une réfugiée qu’il avait recueillie. Lorsque je lui demandais par quelle bizarrerie son premier esclave portait ce nom : « Étant le premier, je l’ai baptisé avec un nom féminin ancien » me répondit-il avec clarté. Ce Maître hors-norme avait toujours baptisé tous ses esclaves afin de leur offrir une nouvelle identité avec laquelle il n’appartenait plus qu’à Maître Bambüsbar. Il fabriquait des esclaves et ne pensait pas que sa domination pût être perfectionnée par d’autres que lui, même après son dressage.
Jeaneck, mars 2008
Ven 28 Août 2009, 19:04 par
Jeaneck sur L'amour en vrac
Bulle écarlate
Elle passait légère les jours de jachère, le regard se fascinait du grain usé du pavé il fallait surprendre pour s’illuminer de ce bleu moiré tremblant dans ses prunelles. Vêtue de réglisse elle s’asseyait à la terrasse buvait son café. Elle demandait toujours un verre d’eau. Elle restait ainsi à la même place farfouillait dans sa besace en sortait un calepin écorné triomphante on ne savait pas vraiment pourquoi griffait quelques notes. On s’est aimés.
Elle était chevelure rouge qu’elle suggérait cape d’invisibilité lorsqu’il fallait dissimuler des larmes.
Ou bien c’était un livre front plissé elle s’appliquait contemplative des rêves éternels ; comme curieuse sa concentration vacillait dans les conversations chuintantes des esprits autochtones de l’estaminet elle rangeait alors le secret linéaire dans le ventre boursouflé de sa besace grise.
Les mains sont les tapissières ferventes des horizons possibles. Les siennes potelées étaient nerveuses évasives agrippant la matière pour mieux s’y condenser apposant leur empreinte sur l’écorce éphémère d’un arbre centenaire.
On s’est aimés. Une fille encombrée de tracas éprise de farfelu une fille ectoplasme de l’absurde, souple instinctive avec des humeurs de caméléon.
Elle s’animait étrangement, précipitée éveillée habitée de tendresse lorsqu’elle se prenait d’étonnement pour une couleur de vie , une blessure découverte subrepticement dans le lit crépusculaire d’une rivière, pour une utopie qu’elle pensait consanguine à la mienne.
Elle était Aubépine, l’amicale des embruns, émotive, elle était bulle écarlate au matin orageux, vibrante avec du sel dans la voix.
On s’est aimés. Je dormais blotti dans les mailles suaves de sa peau opaline. Sous mes doigts elle épousait mes désirs ondulait sensuelle offerte à mes baisers.
L’aurais nommé Espérance qui rêvait de Mer, d’étendues infinies qu’il faudrait traverser jusqu’à l’oasis-guérison.
Avec moi, emportés nous serions dans l’encre indocile d’une constellation.
Elle était chevelure rouge qu’elle suggérait cape d’invisibilité lorsqu’il fallait dissimuler des larmes.
Ou bien c’était un livre front plissé elle s’appliquait contemplative des rêves éternels ; comme curieuse sa concentration vacillait dans les conversations chuintantes des esprits autochtones de l’estaminet elle rangeait alors le secret linéaire dans le ventre boursouflé de sa besace grise.
Les mains sont les tapissières ferventes des horizons possibles. Les siennes potelées étaient nerveuses évasives agrippant la matière pour mieux s’y condenser apposant leur empreinte sur l’écorce éphémère d’un arbre centenaire.
On s’est aimés. Une fille encombrée de tracas éprise de farfelu une fille ectoplasme de l’absurde, souple instinctive avec des humeurs de caméléon.
Elle s’animait étrangement, précipitée éveillée habitée de tendresse lorsqu’elle se prenait d’étonnement pour une couleur de vie , une blessure découverte subrepticement dans le lit crépusculaire d’une rivière, pour une utopie qu’elle pensait consanguine à la mienne.
Elle était Aubépine, l’amicale des embruns, émotive, elle était bulle écarlate au matin orageux, vibrante avec du sel dans la voix.
On s’est aimés. Je dormais blotti dans les mailles suaves de sa peau opaline. Sous mes doigts elle épousait mes désirs ondulait sensuelle offerte à mes baisers.
L’aurais nommé Espérance qui rêvait de Mer, d’étendues infinies qu’il faudrait traverser jusqu’à l’oasis-guérison.
Avec moi, emportés nous serions dans l’encre indocile d’une constellation.
Sam 27 Juin 2009, 13:15 par
cirrhus sur Parler d'amour
À la nuit tombante
À la nuit tombante.-
Allumer une loupiote, turne misérable.
Ce pauvre moutard, bouche édentée.
Un sourire désagréable, timidité minable.
Corps loqueteux enfance éprouvée.
Soudainement, un farfadet, triste consolation,
Lutine cette ambiance peu scintillante.
Dehors, des flocons paresseux, l’indécision.
Un froid mensonger, brise sifflante.
Nul sapin émerveillé, l’attente sournoise.
Silence gelé espérant des sourires volés.
Symphonie désaccordée, notes grivoises.
Mélopée lugubre, des regards séchés.
Paupières désespérées, décor d’une grande pâleur.
Agenouillé, l’absence d’amour, froidure.
Des menottes fragiles, esprit rêvasseur.
L’incontinence d’espérer, faible ossature.
La ruelle d’un lit, s’affaisser lourdement.
Dormir pour effacer la magie d’une nativité.
Pleureur calmement, la sagesse d’encens.
Oublier les joies, dénouement rêvé.
André, épervier
http://epervierlepoete.iquebec.com
Allumer une loupiote, turne misérable.
Ce pauvre moutard, bouche édentée.
Un sourire désagréable, timidité minable.
Corps loqueteux enfance éprouvée.
Soudainement, un farfadet, triste consolation,
Lutine cette ambiance peu scintillante.
Dehors, des flocons paresseux, l’indécision.
Un froid mensonger, brise sifflante.
Nul sapin émerveillé, l’attente sournoise.
Silence gelé espérant des sourires volés.
Symphonie désaccordée, notes grivoises.
Mélopée lugubre, des regards séchés.
Paupières désespérées, décor d’une grande pâleur.
Agenouillé, l’absence d’amour, froidure.
Des menottes fragiles, esprit rêvasseur.
L’incontinence d’espérer, faible ossature.
La ruelle d’un lit, s’affaisser lourdement.
Dormir pour effacer la magie d’une nativité.
Pleureur calmement, la sagesse d’encens.
Oublier les joies, dénouement rêvé.
André, épervier
http://epervierlepoete.iquebec.com
Jeu 27 Nov 2008, 23:26 par
epervier sur Mille choses
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