Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur nuit - Page 14 sur 30
Bohémienne
Danse danse sur les flammes d’un feu de camp
Feu de joie
Brille brille dans la nuit sans effroi
Brûlent tes yeux de braise
Demain le soleil encore se lèvera
Danse danse et conjure le mal
Qui a peur de ta joie
Qui veut te briser les reins
Et t’étreint
Enroule-toi et tourne tourne
Frappe le sol de ton talon lève les bras vers le Ciel
Danse danse
Il tourne sur lui-même et s’étend foudroyé
Le feu crépite et chante pour toi
Danse danse et puis, délivrée,
Endors-toi dans les bras de l’aurore
Feu de joie
Brille brille dans la nuit sans effroi
Brûlent tes yeux de braise
Demain le soleil encore se lèvera
Danse danse et conjure le mal
Qui a peur de ta joie
Qui veut te briser les reins
Et t’étreint
Enroule-toi et tourne tourne
Frappe le sol de ton talon lève les bras vers le Ciel
Danse danse
Il tourne sur lui-même et s’étend foudroyé
Le feu crépite et chante pour toi
Danse danse et puis, délivrée,
Endors-toi dans les bras de l’aurore
Mer 03 Jan 2007, 19:33 par
dolce vita sur La séduction
Marquise de la chaussée Lunaire
Marquise de la Chaussée-Lunaire,
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Mer 03 Jan 2007, 17:09 par
Fille du peuple sur Mille choses
Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Une vie
Quelques mots échangés et l’histoire a commencé. Belle. Enfin un début. Pourtant dehors il pleuvait, pourtant dehors personne ne traînait. Quelques mots chiffonnées à la hâte ont suffit pour que de grandes phrases toutes belles s’écrivent jusqu’à tard dans la nuit. Et puis, on se raconte. Les vies. Nos vies. Des éclats de rire, des larmes tout vient. Quelques mots qui font une histoire. Des rêves pleins la tête, ont s’imagine. On se confie. Planqué derrière notre ordinateur, fil de survie, ont existent. On se raconte. Encore. On se trouve des points communs, on a peur du lendemain. On s’invente des excuses à notre vie. On se fait beaux dans nos discours. Quelques mots échangés et nous voilà engagés. Plus de saisons, ont s’en fou. On est en automne, on n’avait pas vu, pas le temps. On veut tout le temps pour nous. On oublie tout ce qu’il y a autour. Juste nous. On a peur. De nos émotions. On a peur, mais on échange encore trois mots. On s’imagine. On se dévoile. On attend avec impatience le message de l’autre. Il répond, je souris. Elle répond peut-être sourit-il. Deux enfants perdus dans le monde étrange des sentiments. Les confidences sont échangées. Les chagrins sont oubliés. On s’invente un monde à nous. On oublie tout. Plus de place pour rien. De toute façon, on n’avait rien. On se touche par des mots. On s’affole de nos émotions. On s’en fous. On est bien. Que du rêve dans notre vie. Mais on rit seul. On mange seul. On dort seul. Chacun de son côté. Les mots de l’autre nous harponnent dés le petit jour. On s’y retrouve. Les mots de l’autre nous séduisent. Entre nous un câble, rien de romantique. Entre nous un écran rien de dramatique. Des paroles qui nous laissent pas indifférents. Coquin-coquine on se révèle. Taquin-taquine on se livre. On échange des phrases séduisantes à rêver. On oublie la réalité. On s’enferme dans notre nouveau monde. Quelques mots de douceur, quelques sucreries, ont les prends avide de tendresse. Plus que nous. Rien que nous. On se fou du temps qui s’écoule on se raconte. Plus le temps pour rien. On transpire à se découvrir. Promesse d’un coup de fil. Bientôt quand on aura grandi. Belle histoire qui fait du bien, belle histoire qui dit que tout va bien. Belle histoire qui dit que j’existe. On oublie que le blanc et le noir existent. Nous, on a la couleur. Et les parfums. Sans véritable odeur. On reste figeait sur l’écran prêt à s’épanouir. La phrase tant attendue arrive, attise nos sens endormis. Pas de visage. Juste quelques détails pour percevoir une forme flou. Pas de promesse. Juste un amusement qui déroute par moment. Garder le mystère pour s’inventer. Les mots s’allongent les uns à côtés des autres. Pas de fausse pudeur entre nous, tout nous sépare. On se baigne dans des phrases pleins de vie. Les mots charnels nous font croire que derrière notre écran une vie peut jaillir.
fille du peuple.
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 15:22 par
Fille du peuple sur Histoires d'amour
Aguichante opale brune
Un miroir sibylin m’a présenté l’existence d’un chaleureux regard doré, bordé de rivages lointains, au centre de l’éblouissement d’une nuit qui irradiait parmi les astéries.
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à l’endroit de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le souffle de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours
joullia
Je n’ose qu’effleurer d’envies, ce consept,
cette réalité subliminale, cette aphorisme idyllique,
pour préserver cette incandescence moirée à l’endroit de mon horizon.
Ses yeux inondent le ciel de mes facultés,
m’enferment dans le désir d’une union insécable.
Aucune image ne saurait décrire la déchirure que provoque
l’étincelle du firmament au paysage de ses pensés.
Je ferai en sorte que le souffle de mes mots vienne troubler ses idées.
Chaque passage de lune est un poème qui n’a d’autre raison d’exister
que d’être, le matin, déposé à ses pieds.
Mon humble existence est caressée par les moments, troublants, de ta présence.
Je voudrais te confier mon âme cachée dans l’étendue de ce miroir langoureux
Mais serai-je suffisamment forte pour rendre heureux, ce prince, cet homme qui en demande tant ?
Mes émois s’illuminent au contact de son sourire.
La raison n’est plus en moi, je ne dors plus du tout, il est mon rêve éveillé...
L’insondable puit de la mélancolie est rempli de joie,
depuis qu’il a croisé mes pas.
Il incarne le mot " amour" pour toujours.
Il est l’essence de la vie,
il n’est que pour moi.
Et maintenant, je l’ai perdu, pour toujours
joullia
Sam 30 Déc 2006, 22:29 par
joullia sur Parler d'amour
Je me suis fait du mal!
Je me suis fait du mal
Bien plus que tu n’aurais pu m’en faire
Je me suis mis des chaînes
Que n’aurait pas forgé ta haine
Je me suis ouvert les veines
Sur le fil de ton silence
J’en ai mis partout...
J’étais bien plus fou que ce que tu croyais
Mais bien moins de combien tu en avais peur
Pour un regard je me suis crevé un œil
Arraché les dents pour un sourire
J’ai écartelé ma voix pour un mot de toi
Pour un mot de toi...
J’ai laissé pousser ce houx dans mon cœur
Où se sont empalées tant de jolies fleurs
J’ai creusé ce gouffre dans ma poitrine
Où sont tombées tant de victimes
J’ai massacré mes amis
Ouvert la porte à mes ennemis
Et j’ai fait du bien à des vilains
Qui m’ont tous chié dans la main
J’ai pénétré la bataille
Avec juste ma bite et mon couteau
Mais je n’ai rien gagné
A ne pas vouloir tout perdre, ooh...
Et je marche dans cette nuit
Et je porte trop bien mon nom
Comme un chien migrateur
J’ai usé mes semelles
Et les cordes de ma guitare
Je me suis fait du mal
Bien plus que tu n’aurais pu m’en faire
Je me suis mis des chaînes
Que n’auraient pas forgé ta haine
Je me suis fait du mal
Je me suis mis des chaînes...
Frere misere
Bien plus que tu n’aurais pu m’en faire
Je me suis mis des chaînes
Que n’aurait pas forgé ta haine
Je me suis ouvert les veines
Sur le fil de ton silence
J’en ai mis partout...
J’étais bien plus fou que ce que tu croyais
Mais bien moins de combien tu en avais peur
Pour un regard je me suis crevé un œil
Arraché les dents pour un sourire
J’ai écartelé ma voix pour un mot de toi
Pour un mot de toi...
J’ai laissé pousser ce houx dans mon cœur
Où se sont empalées tant de jolies fleurs
J’ai creusé ce gouffre dans ma poitrine
Où sont tombées tant de victimes
J’ai massacré mes amis
Ouvert la porte à mes ennemis
Et j’ai fait du bien à des vilains
Qui m’ont tous chié dans la main
J’ai pénétré la bataille
Avec juste ma bite et mon couteau
Mais je n’ai rien gagné
A ne pas vouloir tout perdre, ooh...
Et je marche dans cette nuit
Et je porte trop bien mon nom
Comme un chien migrateur
J’ai usé mes semelles
Et les cordes de ma guitare
Je me suis fait du mal
Bien plus que tu n’aurais pu m’en faire
Je me suis mis des chaînes
Que n’auraient pas forgé ta haine
Je me suis fait du mal
Je me suis mis des chaînes...
Frere misere
Sam 30 Déc 2006, 13:01 par
Loyd sur Parler d'amour
Elle et Lui
Il est silence
Elle est faconde
Il est noir
Elle est blanche
Il est nuit
Elle est jour
Il est la glace
Elle la lave
Il est distant
Elle est proche
Elle est venue
Il est départ
Elle est "oui"
Il est "non"
Elle est action
Il est contemplation
Elle est don
Il est rejet
Elle est folie
Il est raison
Elle est montée
Il est descente
Elle est infini
Il est limite
Elle.
Lui.
Elle est faconde
Il est noir
Elle est blanche
Il est nuit
Elle est jour
Il est la glace
Elle la lave
Il est distant
Elle est proche
Elle est venue
Il est départ
Elle est "oui"
Il est "non"
Elle est action
Il est contemplation
Elle est don
Il est rejet
Elle est folie
Il est raison
Elle est montée
Il est descente
Elle est infini
Il est limite
Elle.
Lui.
Jeu 21 Déc 2006, 12:53 par
dolce vita sur La vie à deux
Les larmes d’une rose...
Elle l’aimait tant et tant... Il avait vécu. Comme d’autres. Il avait souffert. Il avait décidé de se taire... Savait-il ce qu’il faisait ? Ce qu’il lui faisait ? La souffrance dans son cœur ? Savait-il bien ? Ecris-moi tout ce que tu veux, tous tes mots d’amour, disait-il... La rose puisait dans sa sève, elle se mourait de lui... Mais silencieuses comme la glace les lèvres restaient serrées... Le silence répondait seul à ses mots d’amour.
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
But you don’t really care for roses do you ?
Le temps semblait si long à la rose, elle manquait de la lumière de son regard, de la chaleur de son être, de l’eau de son amour... Elle s’épuisait... J’ai mal, lui disait-elle.. Mais l’entendait-il ? Pourquoi ? Et des larmes de rosée perlaient à ses pétales... Il humait son parfum. Les regards ailleurs...
But you don’t really care for roses do you?
Ecris-moi disait-il... Et pour ne pas mourir du manque qu’elle ressentait elle écrivait, elle écrivait... Elle chantait comme chantent les roses dans le souffle du vent. Elle chantait comme on vit. Elle tournait ses regards vers lui mais il ne la voyait pas...
But you don’t really care for roses do you ?
Le vent a emporté les derniers pétales de la rose. Il marchait dans la rue, le vent lui jeta sur la poitrine ce frêle trophet. Il les porta à ses regards, puis quand il comprit de quoi il s’agissait, les froissa et les lança à la nuit qui tombait. Il épousseta son pardessus. Il passa son chemin...
But you don’t really care for roses do you ?
Sam 16 Déc 2006, 16:55 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Dernier appel
Dernier appel et derniers mots
Que tous deux on a échangé
J’ai composé le numéro
Sachant que tu décrocherais
J’aurais voulu que tu m’ retiennes
Que tu ne me laisses pas m’éloigner
Mon coeur devant toi pleure et saigne
Et le tien tu veux l’étouffer
Tu n’as pas envie de m’aimer
Après avoir goûté mes rêves
Tu me laisses loin de tes pensées
Qui ne connaîtront pas de trêve
Puisque tu viens me hanter
A rechercher notre écriture
Nous allons bientôt nous cacher
Pour ne pas montrer nos blessures
Comme si on cessait de respirer
Et on va caresser nos noms
Sur des écrans beaucoup trop durs
A l’amour et ses rejetons
Dans la nuit nos pauvres tourments
Apparaîtront comme une injure.
Un maître on n’aura seulement
Comme le disent les livres anciens
L’amour ou l’argent et le tien
Ne laisse pas de place aux sentiments
Que tous deux on a échangé
J’ai composé le numéro
Sachant que tu décrocherais
J’aurais voulu que tu m’ retiennes
Que tu ne me laisses pas m’éloigner
Mon coeur devant toi pleure et saigne
Et le tien tu veux l’étouffer
Tu n’as pas envie de m’aimer
Après avoir goûté mes rêves
Tu me laisses loin de tes pensées
Qui ne connaîtront pas de trêve
Puisque tu viens me hanter
A rechercher notre écriture
Nous allons bientôt nous cacher
Pour ne pas montrer nos blessures
Comme si on cessait de respirer
Et on va caresser nos noms
Sur des écrans beaucoup trop durs
A l’amour et ses rejetons
Dans la nuit nos pauvres tourments
Apparaîtront comme une injure.
Un maître on n’aura seulement
Comme le disent les livres anciens
L’amour ou l’argent et le tien
Ne laisse pas de place aux sentiments
Mer 13 Déc 2006, 20:26 par
dolce vita sur L'amour en vrac
De toutes mes forces
Je finirai par vaincre le charme
Qui fait tourner mes regards vers ton absence
Je me répéterai que dans ton cœur
Il n’y a pas de place pour moi
Je me dirai que les cris de plaisir
Que tu m’as faite pousser n’étaient qu’un jeu pour toi
Je me rappellerai que mes appels
Te dérangeaient au lieu de te réjouir
Je reconnaîtrai que tu es noir
Comme je suis blanche
Je me convaincrai
Que tu absorbes l’amour comme la nuit la lumière
Je ne mépriserai pas toutes les contradictions
Entre tes dires et tes actes, entre tes mots
J’entendrai toute ton ironie
Donner des coups de griffe à celle qui s’offrait.
De toutes mes forces, je t’oublierai...
Qui fait tourner mes regards vers ton absence
Je me répéterai que dans ton cœur
Il n’y a pas de place pour moi
Je me dirai que les cris de plaisir
Que tu m’as faite pousser n’étaient qu’un jeu pour toi
Je me rappellerai que mes appels
Te dérangeaient au lieu de te réjouir
Je reconnaîtrai que tu es noir
Comme je suis blanche
Je me convaincrai
Que tu absorbes l’amour comme la nuit la lumière
Je ne mépriserai pas toutes les contradictions
Entre tes dires et tes actes, entre tes mots
J’entendrai toute ton ironie
Donner des coups de griffe à celle qui s’offrait.
De toutes mes forces, je t’oublierai...
Mar 12 Déc 2006, 20:35 par
dolce vita sur Parler d'amour
Perplexe et amoureux
Le texte qui suit peut paraître disparate et surprenant.
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Il est comme un accent circonflexe sur un temps ...
Un confluent, fluctuant sur le cours de mon moi, existant!
Ma vie, Mon amour, tu me fais peur.
L’amour que j’ai pour toi me fait peur.
Il y a encore tant de choses à venir,
Qui se profile et que tu fais jaillir.
Qu’il est presque inconcevable de vieillir
Sans réponse, sans certitude et sans armures!
Tu es :
Imprudente, écrasante, intelligente, espiègle, torturée, fascinante, charmeuse, attirante, angoissante, sensuelle, excitante, passionnante, affolante, agréable, aguichante, aiguillonnante, alléchante, aphrodisiaque, attrayante, bandante, dopante, électrisante, émoustillante, émouvante, encourageante, engageante, enivrante, érotique, euphorisante, exaltante, galvanisante, grisante, palpitante, piquante, pressante, provocante, provocatrice, réconfortante, séduisante, tentante, touchante, troublante, voluptueuse...
Mais la vie, elle même, n’est elle pas tout cela ?
Cette nuit, je n"ai pas trouvé le sommeil. Il est 6h37 et je pense ou plutôt j’essaie de canaliser mes pensées obscures et lumineuses, claires et brouillées disparates et burlesques , désuètes et pourtant si simples qu’on les avaient , pour un temps oubliées ...
Si l’on pouvait conserver, trier et garder ces milliers d’images minuscules et de si prêt si ridicules, pour les rassembler comme un gigantesque puzzle qui, avec le recul, nous donnerait le sens de notre vie, la direction en une sorte de fresque laissée par notre esprit tortueux comme le faisaient nos ancêtres ...
Qui suis je, je n’ai pas de réponse toute faite ?
Sûrement un mélange aberrant explosif et inoffensif ...
Pantois et plaintif , orgueilleux et craintif
Solitaire et misérable, fort et flexible
Sûrement moins bête qu’il faut l’être et pourtant si têtu !
Facilement complexe, comme tous les êtres et parfois simplement difficile ...
Il est maintenant 7h54 et ce texte restera sans doute inachevé,
ne sera ni relié et ne s’étalera pas sur des pages et des pages
Il est comme ma vie et c’est très bien ainsi ...
Ce texte peut vous décevoir ou vous émouvoir
Sachez qu’il est écrit sur ce grimoire
Sans éloges, ni louanges attendus de votre part ...
Qu’il soit juste gravé, comme une stèle quelque part ...
Pour qu’un petit bout de mon histoire,
Soit gravé en dehors de ma mémoire ...
Mar 21 Nov 2006, 08:47 par
coeur lourd sur Histoires d'amour
Mes maux
Quand après le soir
La nuit arrive
Moirée de noir
Sur mes rives
Mes maux se réveillent
A grand pas chaque nuit
Des bêtes veillent sans bruit
Sur les eaux de mon sommeil
A l’époque dans ma jeunesse
Je m’inquiétais un peu…
La nuit arrive
Moirée de noir
Sur mes rives
Mes maux se réveillent
A grand pas chaque nuit
Des bêtes veillent sans bruit
Sur les eaux de mon sommeil
A l’époque dans ma jeunesse
Je m’inquiétais un peu…
Dim 19 Nov 2006, 10:17 par
melysa sur La première fois
Aimer
Je me fou de leur monde
En regardant dans tes yeux
A la prochaine nuit sombre
Ne seront-ils point heureux?
Bien des choses me font t’aimer toi
Tout ton être
Il me fait frémir,
Vouloir l’impossible, te vouloir toi.
Je ne sais pas comment ...
Je ne veux pas le savoir!!
Rien ne pourra m’éloigner
je suis otage de ton amour
Mais jusqu’a quand?
En fait peu importe
Je t’aime et voilà tout..
Unebabydoll
En regardant dans tes yeux
A la prochaine nuit sombre
Ne seront-ils point heureux?
Bien des choses me font t’aimer toi
Tout ton être
Il me fait frémir,
Vouloir l’impossible, te vouloir toi.
Je ne sais pas comment ...
Je ne veux pas le savoir!!
Rien ne pourra m’éloigner
je suis otage de ton amour
Mais jusqu’a quand?
En fait peu importe
Je t’aime et voilà tout..
Unebabydoll
Ven 10 Nov 2006, 00:52 par
unebabydoll sur Parler d'amour
Ecrire sur nuit
Lumière passagère..., Bohémienne, Marquise de la chaussée Lunaire, Tapis rouge, Une vie, Aguichante opale brune, Je me suis fait du mal!, Elle et Lui, Les larmes d’une rose..., Dernier appel, De toutes mes forces, Mystère..., Perplexe et amoureux, Mes maux, Aimer, Il y a 441 textes utilisant le mot nuit. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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