Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur nuit - Page 23 sur 30
D'hier à aujourd'hui.
On ne se connaît pas vraiment,
On s’est croisé il y a longtemps.
Je ne me rappelle pas si on se parlait,
ni si déjà mes yeux te cherchaient.
Mais ce dont je me souviens,
C’est de ton charme sybillin.
Le hasard, le destin, aujourd’hui,
allument une lueur dans ma nuit.
Si hier, tu n’avais envahit mon coeur,
à présent, il s’emballe avec fureur.
Et je déplore mes phrases trop faibles,
pour te dire combien tu m’obsèdes.
Je te désire avec impertinence,
Veux-tu d’un baiser enflammer mes sens?
On s’est croisé il y a longtemps.
Je ne me rappelle pas si on se parlait,
ni si déjà mes yeux te cherchaient.
Mais ce dont je me souviens,
C’est de ton charme sybillin.
Le hasard, le destin, aujourd’hui,
allument une lueur dans ma nuit.
Si hier, tu n’avais envahit mon coeur,
à présent, il s’emballe avec fureur.
Et je déplore mes phrases trop faibles,
pour te dire combien tu m’obsèdes.
Je te désire avec impertinence,
Veux-tu d’un baiser enflammer mes sens?
Ven 12 Août 2005, 21:52 par
syolann sur L'amour en vrac
Tous mes trésors...
...tout ce qui me ramène à toi: un petit coquillage, je le trimballe de jean’s en jean’s...une bougie multicolore, elle est là sous mes yeux...une tasse, ma préférée, celle que tu m’as offerte...des cd audio, tous écoutés, pas tous appréciés...une télévision, l’étrange lucarne qui te fascine...le lit, celui qui fera partie du déménagement.
Mon pull, ton préféré, celui que tu malmènes...mon jean’s taille basse, tes mains plaquées sur sa ceinture.
Une feuille de papier faite en tissu recyclé, écologiquement correct, qui attend près d’une plume...un livre prêté, à peine entamé...un porte-clefs que tu as fabriqué, pour y accrocher le clef de mon appartement.
Des tickets de métro passés à la machine dans la poche de mon 501...des photos dans mon ordinateur, de toi, de tes enfants...des textes, ceux que je dépose sur le site, d’autres encore.
Ce matin, un texte: ta "bonne nuit...." douce et caressante.
La Lune s’est levée, l’Ange l’a embrassée...
L’Ange et la Lune se sont aimés...
La Lune s’est couchée, l’Ange s’est envolé...
Mon pull, ton préféré, celui que tu malmènes...mon jean’s taille basse, tes mains plaquées sur sa ceinture.
Une feuille de papier faite en tissu recyclé, écologiquement correct, qui attend près d’une plume...un livre prêté, à peine entamé...un porte-clefs que tu as fabriqué, pour y accrocher le clef de mon appartement.
Des tickets de métro passés à la machine dans la poche de mon 501...des photos dans mon ordinateur, de toi, de tes enfants...des textes, ceux que je dépose sur le site, d’autres encore.
Ce matin, un texte: ta "bonne nuit...." douce et caressante.
La Lune s’est levée, l’Ange l’a embrassée...
L’Ange et la Lune se sont aimés...
La Lune s’est couchée, l’Ange s’est envolé...
Jeu 04 Août 2005, 20:36 par
danslalune sur Mille choses
La rencontre
Un jour à se découvrir par hasard.
De nuits passées à s’écrire, de journées à penser à ces nuits, de l’écran du pc à l’écran du mobile, du texte à la voix, et de la voix à tes doigts.
Un jour à se voir, à se voir, à se voir.
De tes doigts sur mes doigts qui font battre mon cœur, de mon cœur à mon corps, de mon corps à ma voix qui se noue et ma voix dans ton corps qui fait battre ton cœur.
Et une nuit à se découvrir jusque tard.
De nuits passées à s’écrire, de journées à penser à ces nuits, de l’écran du pc à l’écran du mobile, du texte à la voix, et de la voix à tes doigts.
Un jour à se voir, à se voir, à se voir.
De tes doigts sur mes doigts qui font battre mon cœur, de mon cœur à mon corps, de mon corps à ma voix qui se noue et ma voix dans ton corps qui fait battre ton cœur.
Et une nuit à se découvrir jusque tard.
Mer 22 Juin 2005, 17:47 par
PetitPrince sur Amour internet
Le rêve
Elle s’est endormie à moitié sur le ventre, et de là ou je suis je ne sais pas si ses bras étreignent les draps, ou s’ils les cognent de leurs poings fermés de sommeil.
Elle est blonde, ses cheveux semblent longs et les draps qui la recouvrent sont bleus ciel. Ils révèlent au détour de leurs plis souples un corps gourmand et volontaire, tandis que la nuit s’engouffre avec son cortège d’étoiles dans cette chambre aux grandes baies vitrées. Qui de la nuit où des draps l’enveloppent le mieux me disais-je en souriant.
Je flotte dans un angle de la pièce, hésitant encore à accomplir mon fabuleux devoir. Cela m’arrive quelque fois, d’emprunter au temps ces secondes de contemplation lorsque le calme m’y invite.
Un livre est ouvert, par terre, les feuilles contre terre. Merlin, de Michel Rio. Je me souviens de l’avoir lu, avant. « Je me livrerais à l’étude, la contemplation et la paresse, qui sont les trois vertus du philosophe » est il écrit dans cette aventure de beauté. Magnifique.
Tu ne rêves pas, du moins pas encore. Peut être voudrais tu rêver de courir avec l’insouciance d’un enfant dans ce champs qui s’offre à ta vue devant ta chambre. Non. Demain si tu veux, tu pourras y courir à ta guise. Je vais devoir choisir autre chose.
Ca y est, j’ai trouvé. Je quitte mon plafond lézardé pour m’approcher de toi dans un souffle. Tant d’années ont passées depuis que moi aussi je dormais de ce sommeil d’humain qui t’étreint. Ah, si tu savais.
Du fond des temps, nous veillons sur vous, et ce soir, c’est moi qui veille sur toi. Quelques mots chuchotés dans ton oreille endormie, et ton sommeil se remplira de merveilleuses images de couleur qui libèrent le cœur.
Avant que je n’arrive tu dormais simplement. Rêve à présent, oui, rêve, car toi aussi un jour, tu deviendras un ange.
Elle est blonde, ses cheveux semblent longs et les draps qui la recouvrent sont bleus ciel. Ils révèlent au détour de leurs plis souples un corps gourmand et volontaire, tandis que la nuit s’engouffre avec son cortège d’étoiles dans cette chambre aux grandes baies vitrées. Qui de la nuit où des draps l’enveloppent le mieux me disais-je en souriant.
Je flotte dans un angle de la pièce, hésitant encore à accomplir mon fabuleux devoir. Cela m’arrive quelque fois, d’emprunter au temps ces secondes de contemplation lorsque le calme m’y invite.
Un livre est ouvert, par terre, les feuilles contre terre. Merlin, de Michel Rio. Je me souviens de l’avoir lu, avant. « Je me livrerais à l’étude, la contemplation et la paresse, qui sont les trois vertus du philosophe » est il écrit dans cette aventure de beauté. Magnifique.
Tu ne rêves pas, du moins pas encore. Peut être voudrais tu rêver de courir avec l’insouciance d’un enfant dans ce champs qui s’offre à ta vue devant ta chambre. Non. Demain si tu veux, tu pourras y courir à ta guise. Je vais devoir choisir autre chose.
Ca y est, j’ai trouvé. Je quitte mon plafond lézardé pour m’approcher de toi dans un souffle. Tant d’années ont passées depuis que moi aussi je dormais de ce sommeil d’humain qui t’étreint. Ah, si tu savais.
Du fond des temps, nous veillons sur vous, et ce soir, c’est moi qui veille sur toi. Quelques mots chuchotés dans ton oreille endormie, et ton sommeil se remplira de merveilleuses images de couleur qui libèrent le cœur.
Avant que je n’arrive tu dormais simplement. Rêve à présent, oui, rêve, car toi aussi un jour, tu deviendras un ange.
Ven 20 Mai 2005, 13:13 par
PetitPrince sur Un monde parfait
Drôles d'envies?
Et voilà ton dernier texto du jour: "bonne nuit, à demain mon amour...je t’aime".
Et voilà, comme tous les soirs tu t’endormiras près de lui.
Je reste, j’ai envie d’entendre ta voix...il est un peu tard, je sais, mais mes désirs n’en font qu’à leur tête! Il est trop tard, c’est vrai, alors tu liras demain mes envies de toi.
Désirs de t’avoir "à portée" de regards, même si les miens sont parfois trop insistants...de t’avoir à portée de voix, je ne sais pas crier alors tu dois te coller à moi, à mon pull qui n’attend que toi...de t’avoir à portée de mains, laisse-les se promener...et mieux, à portée de lèvres, les tiennes sur les miennes....lorsque je t’aurai au bout de mes lèvres...devines...
Et voilà, comme tous les soirs tu t’endormiras près de lui.
Je reste, j’ai envie d’entendre ta voix...il est un peu tard, je sais, mais mes désirs n’en font qu’à leur tête! Il est trop tard, c’est vrai, alors tu liras demain mes envies de toi.
Désirs de t’avoir "à portée" de regards, même si les miens sont parfois trop insistants...de t’avoir à portée de voix, je ne sais pas crier alors tu dois te coller à moi, à mon pull qui n’attend que toi...de t’avoir à portée de mains, laisse-les se promener...et mieux, à portée de lèvres, les tiennes sur les miennes....lorsque je t’aurai au bout de mes lèvres...devines...
Mar 17 Mai 2005, 23:00 par
danslalune sur La vie à deux
La vie...BNé...lui...et la Nuit !
...La Nuit s’enduit, sévie, séduit,
S’appuie sur les rêves et les envies,
Qui brille autour d’elle et de lui.
Auprès d’ennuis, après l’oubli
Âpre et réduit, ils se collent, s’accôtent
Pour panser les maudits maux et ôtent,
de leur Nuit, le mot Souci...
S’appuie sur les rêves et les envies,
Qui brille autour d’elle et de lui.
Auprès d’ennuis, après l’oubli
Âpre et réduit, ils se collent, s’accôtent
Pour panser les maudits maux et ôtent,
de leur Nuit, le mot Souci...
Sam 16 Avril 2005, 20:28 par
Vincentblue sur Citations
La lumière du Destin ( 1ere partie)
Ce matin je me réveille,
Une journée ratée,
Bien loin de mes souvenirs de la veille
Car j’ai tout oublié
Mais pas elle, elle est innocente,
J’n’ai plus sommeil, devant la pluie écrasante
Puis elle m’a vu, aurais-je tout perdu?
Un sourire nue, au départ je ne l’ai pas cru
Son regard m’éblouit soudain,
Et ma mémoire s’éclaircit enfin,
Cette nuit-là, tout était parfait,
Oui car cette nuit là, elle m’enlassait.
Ce matin je me lève alors,
Dans ses yeux un si beau matin,
Et puisse en rêver encore,
La lumière du Destin.
Une journée ratée,
Bien loin de mes souvenirs de la veille
Car j’ai tout oublié
Mais pas elle, elle est innocente,
J’n’ai plus sommeil, devant la pluie écrasante
Puis elle m’a vu, aurais-je tout perdu?
Un sourire nue, au départ je ne l’ai pas cru
Son regard m’éblouit soudain,
Et ma mémoire s’éclaircit enfin,
Cette nuit-là, tout était parfait,
Oui car cette nuit là, elle m’enlassait.
Ce matin je me lève alors,
Dans ses yeux un si beau matin,
Et puisse en rêver encore,
La lumière du Destin.
Ven 15 Avril 2005, 09:04 par
âme en état d'âme sur La vie à deux
La fuite d'eau
Il y a une chose qu’une femme seule met en panique, c’est une fuite d’eau dans la salle de bain. Et celle qui venait de se déclarer dans la mienne avait vraiment toutes les raisons de m’inquiéter. Elle avait du commencer au milieu de la nuit, et lorsque je me rendis dans la salle de bain pour prendre ma douche, je pataugeais dans trois bons centimètres d’eau. Je me ruais dans le salon et décrochais le téléphone tout en cherchant fébrilement dans mon carnet le numéro du plombier de l’immeuble.
« J’arrive dans cinq minutes me dit-il, coupez l’arrivée d’eau centrale, le robinet est dans le placard du cabinet »
Je n’avais pas la force de tourner ce fichu robinet, je dus me résoudre à attendre mon sauveur, assise dans l’entrée à fumer une cigarette censée me calmer.
J’entendis le bruit de l’ascenseur s’arrêter, la porte s’ouvrir, et finalement le bruit des talons se rapprocher de ma porte.
Sans attendre que la sonnette retentisse, j’ouvris la porte. Il tenait une lourde caisse à outils dans sa main droite, et dans sa main gauche une rose. Jaune avec un liseré carmin.
« Je l’ai coupée dans mon jardin en partant, ça vous consolera peut-être de votre fuite d’eau» me dit-il en me la tendant gentiment.
Surprise, je le remerciai. Sa rose était splendide, fraîche comme la rosée du matin. Son parfum emplit aussitôt l’entrée, et j’oubliais en un instant tous mes soucis. Cette attention était tellement inattendue, tellement délicate. J’arrêtais de contempler cette fleur pour voir mon plombier sortir des cabinets.
« La vache, il était vraiment dur à tourner ce robinet, mais je l’ai gagné » me dit il en souriant amusé.
Et en plus, ce type était charmant. Non seulement il était délicat, mais il était charmant. Mes yeux s’attardèrent un instant sur son corps, que le travail de force avait rendu puissant tout en restant fin.
Un frisson ma prit sous la nuque, et je sus à ce moment que ma matinée serait foute. Je le précédai pour lui indiquer le chemin de la salle de bain, profitant de ce que je lui tournai le dos pour resserrer le bas de mon peignoir, et entrouvrir le haut. Je sentais ses yeux sur mes hanches, et lorsque je le laissai passer pour contempler le désastre dans la salle de bain, je détournai un instant les yeux afin que les siens plongent sans embarras dans mon décolleté amène.
« Houlà, effectivement ! » s’ecria-t-il.
Il se démena comme un diable pour trouver finalement le joint fautif, entrepris de le changer et écopa l’eau dans la baignoire. Lorsqu’il eut finit, il était trempé, et je lui proposa de faire sécher ses affaires dans mon séchoir électrique, et que si il voulait il pouvait prendre une douche.
« Et vous, vous voulez ? » me demanda t il en me fixant droit dans les yeux.
Alors que je murmurai un « oui » courageux en fermant les yeux, je sentis ses mains faire tomber mon peignoir. Nous fîmes l’amour dans cette salle de bain, passant de la douche sur le séchoir, en faisant une petite incursion dans un énorme tas de serviettes propres.
Je réajustai sans enthousiasme mon peignoir de bain, rencontrant dans la glace mes yeux fatigués. Ce n’était pas raisonnable. Ce n’était pas raisonnable de se laisser aller avec un inconnu, mais c’était bon, oh que c’était bon.
«Tu vois» me dit il en finissant de réajuster son pantalon à présent sec, «tu ressembles à la rose que j’ai cueillie pour toi. Cette rose n’a pas d’épines, tu verras. Tu as son parfum enivrant, sa fraîcheur gourmande, et surtout tu ne te caches pas derrière d’illusoires épines.»
Je restai un peu interloquée, ne sachant pas si je devais prendre ces mots pour de la goujaterie de mauvais dragueur. Mais il s’approcha de moi, et m’embrassa avec tant de tendresse qu’il dissipa ces doutes.
« Ca fait des mois que je prie pour que tu m’appelles. Ca fait des mois que je te regarde et que je te désire. Je voudrais, enfin, si tu veux bien, je voudrais te revoir, être avec toi, essayer quelque chose quoi, enfin tu vois ». Ma bouche s’ouvrit de surprise et mes yeux ne purent contenir l’émotion provoquée par cette révélation. Je me blottis dans ses bras, comme un dernier recours, dans un merci muet.
Lorsque je le raccompagnai enfin dans l’entrée, j’observai attentivement sa rose. Effectivement, à la place des épines, elle avait des petites touffes de duvet soyeux, qui donnaient aussitôt l’envie de caresser. Je levai mes yeux et surprit les siens me contemplant avec tendresse. Il ouvrit la porte d’entrée sans un autre mot, et s’engouffra dans l’ascenseur qui semblait l’avoir attendu.
Je me précipitai sur le palier et le retint par l’épaule. Je lui pris un dernier baiser gourmand avant de le rendre à son travail. La porte de l’ascenseur se referma, me laissant seule sur le palier avec cette rose sans épines.
« J’arrive dans cinq minutes me dit-il, coupez l’arrivée d’eau centrale, le robinet est dans le placard du cabinet »
Je n’avais pas la force de tourner ce fichu robinet, je dus me résoudre à attendre mon sauveur, assise dans l’entrée à fumer une cigarette censée me calmer.
J’entendis le bruit de l’ascenseur s’arrêter, la porte s’ouvrir, et finalement le bruit des talons se rapprocher de ma porte.
Sans attendre que la sonnette retentisse, j’ouvris la porte. Il tenait une lourde caisse à outils dans sa main droite, et dans sa main gauche une rose. Jaune avec un liseré carmin.
« Je l’ai coupée dans mon jardin en partant, ça vous consolera peut-être de votre fuite d’eau» me dit-il en me la tendant gentiment.
Surprise, je le remerciai. Sa rose était splendide, fraîche comme la rosée du matin. Son parfum emplit aussitôt l’entrée, et j’oubliais en un instant tous mes soucis. Cette attention était tellement inattendue, tellement délicate. J’arrêtais de contempler cette fleur pour voir mon plombier sortir des cabinets.
« La vache, il était vraiment dur à tourner ce robinet, mais je l’ai gagné » me dit il en souriant amusé.
Et en plus, ce type était charmant. Non seulement il était délicat, mais il était charmant. Mes yeux s’attardèrent un instant sur son corps, que le travail de force avait rendu puissant tout en restant fin.
Un frisson ma prit sous la nuque, et je sus à ce moment que ma matinée serait foute. Je le précédai pour lui indiquer le chemin de la salle de bain, profitant de ce que je lui tournai le dos pour resserrer le bas de mon peignoir, et entrouvrir le haut. Je sentais ses yeux sur mes hanches, et lorsque je le laissai passer pour contempler le désastre dans la salle de bain, je détournai un instant les yeux afin que les siens plongent sans embarras dans mon décolleté amène.
« Houlà, effectivement ! » s’ecria-t-il.
Il se démena comme un diable pour trouver finalement le joint fautif, entrepris de le changer et écopa l’eau dans la baignoire. Lorsqu’il eut finit, il était trempé, et je lui proposa de faire sécher ses affaires dans mon séchoir électrique, et que si il voulait il pouvait prendre une douche.
« Et vous, vous voulez ? » me demanda t il en me fixant droit dans les yeux.
Alors que je murmurai un « oui » courageux en fermant les yeux, je sentis ses mains faire tomber mon peignoir. Nous fîmes l’amour dans cette salle de bain, passant de la douche sur le séchoir, en faisant une petite incursion dans un énorme tas de serviettes propres.
Je réajustai sans enthousiasme mon peignoir de bain, rencontrant dans la glace mes yeux fatigués. Ce n’était pas raisonnable. Ce n’était pas raisonnable de se laisser aller avec un inconnu, mais c’était bon, oh que c’était bon.
«Tu vois» me dit il en finissant de réajuster son pantalon à présent sec, «tu ressembles à la rose que j’ai cueillie pour toi. Cette rose n’a pas d’épines, tu verras. Tu as son parfum enivrant, sa fraîcheur gourmande, et surtout tu ne te caches pas derrière d’illusoires épines.»
Je restai un peu interloquée, ne sachant pas si je devais prendre ces mots pour de la goujaterie de mauvais dragueur. Mais il s’approcha de moi, et m’embrassa avec tant de tendresse qu’il dissipa ces doutes.
« Ca fait des mois que je prie pour que tu m’appelles. Ca fait des mois que je te regarde et que je te désire. Je voudrais, enfin, si tu veux bien, je voudrais te revoir, être avec toi, essayer quelque chose quoi, enfin tu vois ». Ma bouche s’ouvrit de surprise et mes yeux ne purent contenir l’émotion provoquée par cette révélation. Je me blottis dans ses bras, comme un dernier recours, dans un merci muet.
Lorsque je le raccompagnai enfin dans l’entrée, j’observai attentivement sa rose. Effectivement, à la place des épines, elle avait des petites touffes de duvet soyeux, qui donnaient aussitôt l’envie de caresser. Je levai mes yeux et surprit les siens me contemplant avec tendresse. Il ouvrit la porte d’entrée sans un autre mot, et s’engouffra dans l’ascenseur qui semblait l’avoir attendu.
Je me précipitai sur le palier et le retint par l’épaule. Je lui pris un dernier baiser gourmand avant de le rendre à son travail. La porte de l’ascenseur se referma, me laissant seule sur le palier avec cette rose sans épines.
Jeu 14 Avril 2005, 09:41 par
PetitPrince sur Textes à jalons
Obsession
Je te montrerai
Cette nuit insomniaque
Où sans force et épuisé
Je me suis enfin écroulé
Tu verras les murs
Tapissés de ton nom
Que j’ai remplis, inlassable
Pour recréer ta présence
Tu entendras aussi
Cette souffrante mélodie
Composée sans foi
Un jour où je n’étais plus moi
Le fantôme de tes pas
Hante encore le sol
Que tu as foulé
D’un pied pourtant si léger
Tu ne comprendras jamais
Où ton image s’est coincée
Entre deux rochers, froids
Au coeur de mes pensées
Cette nuit insomniaque
Où sans force et épuisé
Je me suis enfin écroulé
Tu verras les murs
Tapissés de ton nom
Que j’ai remplis, inlassable
Pour recréer ta présence
Tu entendras aussi
Cette souffrante mélodie
Composée sans foi
Un jour où je n’étais plus moi
Le fantôme de tes pas
Hante encore le sol
Que tu as foulé
D’un pied pourtant si léger
Tu ne comprendras jamais
Où ton image s’est coincée
Entre deux rochers, froids
Au coeur de mes pensées
Mar 12 Avril 2005, 04:28 par
CafeFroid sur L'amour en vrac
Ses seins caresserent mes cheveux
Cette nuit ne fut pas la mienne, ni la sienne, mais le notre. Cet amour dévorant, cette sensation de ne plus faire qu’un avec elle, tout était magique, au summum de la perfection. Cependant, ce même amour, n’était pas le Grand Amour, pour moi, pour elle, pourquoi l’avons-nous fait, parce qu’elle en avait envie et que cela aurait pu être sa dernière fois.
Prisonniers de ces murs, nous nous envolâmes plus loin que tous, plus haut qu’au paradis, notre paradis. Pendant cette fusion, elle ne pensait pas à moi, mais à son homme à elle et moi, je ne pensais qu’à elle, qu’à son plaisir. Je ne l’ai fait que pour elle parce que je l’aime. Oui je l’aime. Mais cet amour secret que nous partageâmes cette nuit là était, je le sais, un amour fraternel. Elle était un peu plus grande que moi, elle savait tout de moi à présent. Et lorsque son corps s’enflamma pour de bon, je ne me retins plus, pour que nos deux âmes quittent ces enveloppes charnelles. Enfin elle cria son nom, son nom à lui.
Lorsqu’elle s’endormit, je voyais pour la première fois son corps nue reposé, nos yeux se croisèrent, puis elle m’enveloppa de ses bras telle une grande soeur protectrice embrasse son petit frère. Ses seins caressa mes cheveux et je m’endormis en sûreté loin de tous mes problèmes, près du coeur de la femme parfaite, à qui j’ai toujours voulu apporter le plus de plaisir.
Prisonniers de ces murs, nous nous envolâmes plus loin que tous, plus haut qu’au paradis, notre paradis. Pendant cette fusion, elle ne pensait pas à moi, mais à son homme à elle et moi, je ne pensais qu’à elle, qu’à son plaisir. Je ne l’ai fait que pour elle parce que je l’aime. Oui je l’aime. Mais cet amour secret que nous partageâmes cette nuit là était, je le sais, un amour fraternel. Elle était un peu plus grande que moi, elle savait tout de moi à présent. Et lorsque son corps s’enflamma pour de bon, je ne me retins plus, pour que nos deux âmes quittent ces enveloppes charnelles. Enfin elle cria son nom, son nom à lui.
Lorsqu’elle s’endormit, je voyais pour la première fois son corps nue reposé, nos yeux se croisèrent, puis elle m’enveloppa de ses bras telle une grande soeur protectrice embrasse son petit frère. Ses seins caressa mes cheveux et je m’endormis en sûreté loin de tous mes problèmes, près du coeur de la femme parfaite, à qui j’ai toujours voulu apporter le plus de plaisir.
Mer 06 Avril 2005, 15:46 par
âme en état d'âme sur Les liaisons sulfureuses
Sur ton sourire...
Ce matin je t’ai vue, la joue posée sur l’oreiller tu souriais, aux anges, à la lune.
Quelle histoire pouvaient-ils bien te raconter...celle d’un amour tout juste commençant, doucement envahissant comme la caresse d’un corps qui épouserait délicatement et parfaitement le tien...peut-être s’agissait-il de "ton amour"?
Je voudrais qu’il me parle ce sourire, comme tes yeux lorsqu’ils se mêlent aux miens, comme tes lèvres lorsqu’elles embrassent les miennes.
Ce matin, encore ensommeillée tu t’es blottie contre moi et simplement tu m’as dit: "...tu es là mon amour, je t’ai rêvé cette nuit..."
Quelle histoire pouvaient-ils bien te raconter...celle d’un amour tout juste commençant, doucement envahissant comme la caresse d’un corps qui épouserait délicatement et parfaitement le tien...peut-être s’agissait-il de "ton amour"?
Je voudrais qu’il me parle ce sourire, comme tes yeux lorsqu’ils se mêlent aux miens, comme tes lèvres lorsqu’elles embrassent les miennes.
Ce matin, encore ensommeillée tu t’es blottie contre moi et simplement tu m’as dit: "...tu es là mon amour, je t’ai rêvé cette nuit..."
Mar 29 Mars 2005, 22:06 par
danslalune sur Parler d'amour
Les nuits de mon ange.
Tu m’as donné la permission, de me promener dans tes nuits, de venir à ma guise dans tes reves, de te visiter au gré de mes envies...et moi qui t’aime, je ne me fais pas prier. Je viens mais sans jamais troubler ton sommeil.
Je te murmure des mots d’amour, de réconfort...on ne sait jamais, un vilain cauchemar pourrait survenir. Mais je suis là et mes mots de tendresse suffisent à t’apaiser. Au terme de la nuit je pose mes lèvres sur ta nuque, te regarde esquisser un sourire...voilà, maintenant tu soupires mon prénom.
Je te murmure des mots d’amour, de réconfort...on ne sait jamais, un vilain cauchemar pourrait survenir. Mais je suis là et mes mots de tendresse suffisent à t’apaiser. Au terme de la nuit je pose mes lèvres sur ta nuque, te regarde esquisser un sourire...voilà, maintenant tu soupires mon prénom.
Mar 15 Mars 2005, 12:56 par
danslalune sur L'amour en vrac
Au bord du canal
La nuit a été longue
et maintenant par les rues sourdes
rien ne vient éclairer
les belles heures languissantes
je peux à peine distinguer
les vieilles choses éteintes du passé
les blessures de ce coeur
se voulant impassible
et ces jeux de miroirs dont je trouvais
les formes dans une crevasse au mur
la vie rugissante d’écume
au souffle bouillonnant du printemps
la mort si rouge
enrubannée de blanc...
ce que je dois faire aujourd’hui
tient en quelques frissons de phrases :
marcher près du canal et laisser aller
mon regard au hasard
de la lisière de l’eau à la surface
l’un dans l’autre et inversement
brouillard et volupté cruelle
ce voile vaporeux où crèvent les regrets
je vois un peu ces lieux
comme des ombres errantes
lassées de tout et venues mourir
dans leur solitude si précieuse
portées par le convoi du matin
à travers les vallons
je sens bien que mon coeur est mort
il ne sent plus ce signe avant-coureur
de la sérénité
bercée par une douceur lente
que faisons-nous de ce qui meurt en nous
ces extases qui ne franchissent
jamais la rive et ces heures
dont les échos nous parviennent
à travers les orages ?
je rase aussi parfois l’autre rive
embrumée et ceinte d’un panache
qui voit la fumée de la brume
se mêler aux cyprès et aux champs
aux nefs tout en haut des érables
courbés dans le vent et la poussière
et marchant des heures et des heures
toujours seul et volontaire
fuyant les grappes humaines
et l’agitation vaine des soirs de liesse
je parcours toutes ces éternités
accrochées à mes basques
dix mille années d’humanité
sans un seul jour majestueux et calme
ou soulevant la poussière
inscrites dans ces rides
qu’ont creusées patiemment les siècles
dans leur obstination
je suis celui dont le désir unique
est de se découvrir
et toi n’as-tu rien vu
dans les eaux grises du canal ?
et maintenant par les rues sourdes
rien ne vient éclairer
les belles heures languissantes
je peux à peine distinguer
les vieilles choses éteintes du passé
les blessures de ce coeur
se voulant impassible
et ces jeux de miroirs dont je trouvais
les formes dans une crevasse au mur
la vie rugissante d’écume
au souffle bouillonnant du printemps
la mort si rouge
enrubannée de blanc...
ce que je dois faire aujourd’hui
tient en quelques frissons de phrases :
marcher près du canal et laisser aller
mon regard au hasard
de la lisière de l’eau à la surface
l’un dans l’autre et inversement
brouillard et volupté cruelle
ce voile vaporeux où crèvent les regrets
je vois un peu ces lieux
comme des ombres errantes
lassées de tout et venues mourir
dans leur solitude si précieuse
portées par le convoi du matin
à travers les vallons
je sens bien que mon coeur est mort
il ne sent plus ce signe avant-coureur
de la sérénité
bercée par une douceur lente
que faisons-nous de ce qui meurt en nous
ces extases qui ne franchissent
jamais la rive et ces heures
dont les échos nous parviennent
à travers les orages ?
je rase aussi parfois l’autre rive
embrumée et ceinte d’un panache
qui voit la fumée de la brume
se mêler aux cyprès et aux champs
aux nefs tout en haut des érables
courbés dans le vent et la poussière
et marchant des heures et des heures
toujours seul et volontaire
fuyant les grappes humaines
et l’agitation vaine des soirs de liesse
je parcours toutes ces éternités
accrochées à mes basques
dix mille années d’humanité
sans un seul jour majestueux et calme
ou soulevant la poussière
inscrites dans ces rides
qu’ont creusées patiemment les siècles
dans leur obstination
je suis celui dont le désir unique
est de se découvrir
et toi n’as-tu rien vu
dans les eaux grises du canal ?
Mar 01 Mars 2005, 09:57 par
avedekian sur Un monde parfait
Feu sous la glace
La nuit et un nid de braises, qui se nourrit de notre amour mon amour
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre.
Dans la chambre sur l’eau comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise. De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Ricko
De ce feu qui tombe en gouttes d’eau, la lune flambe et s’enivre.
Dans la chambre sur l’eau comme une éternité suspendue, où s’accroît le vin d’ombre.
Le soleil devient neige se cristallise de mille colombes
De nos pensées devenues feu sous la glace, comme une lampe indivise. De cette lumière pure, en suspension sur l’eau immaculée
Dieu se prosterne autour de nos visages en nudité.
Ricko
Ven 18 Fév 2005, 16:12 par
ricko sur L'amour en vrac
Fred lampe, pure étrange !
Fred nu dans la nudité, lampe vive,
L’image est endormie dans le feu de l’image
Et la voici brûlante par l’esprit, nous voici devant la nuit !
Dans la dense vallée des fleurs obscures
De vos doigts comme une odeur de menthe
Une main tenant le nid d’un peu de marbre
Furent et ne furent ? Le cerf vous respire
Comme une lampe embrumée s’abreuve
Avec son liséré de braise, colombe
Faite pour notre amour, mon amour
Aux branches de la nuit serrées sur ton destin
Ce sein très pur au soleil accroché
Sera l’agneau de feu des montagnes
Corbeau de feu criant
Sous bien des jours où le jour s’est perdu ?
C’est de nouveau c’est de nouveau l’été de neige,
Le chagrin froid des vignes nus
Femme de fruits dans la lumière étrange,
Fred, comme une rose nue, avec la lune qui flambe,
Endormie dans les draps et les plis de l’image
A cause de la neige et de la nuit, du cerf et du corbeau
Me voici maintenant , hôte brûlant comme un rameau de neige !
Ricko
L’image est endormie dans le feu de l’image
Et la voici brûlante par l’esprit, nous voici devant la nuit !
Dans la dense vallée des fleurs obscures
De vos doigts comme une odeur de menthe
Une main tenant le nid d’un peu de marbre
Furent et ne furent ? Le cerf vous respire
Comme une lampe embrumée s’abreuve
Avec son liséré de braise, colombe
Faite pour notre amour, mon amour
Aux branches de la nuit serrées sur ton destin
Ce sein très pur au soleil accroché
Sera l’agneau de feu des montagnes
Corbeau de feu criant
Sous bien des jours où le jour s’est perdu ?
C’est de nouveau c’est de nouveau l’été de neige,
Le chagrin froid des vignes nus
Femme de fruits dans la lumière étrange,
Fred, comme une rose nue, avec la lune qui flambe,
Endormie dans les draps et les plis de l’image
A cause de la neige et de la nuit, du cerf et du corbeau
Me voici maintenant , hôte brûlant comme un rameau de neige !
Ricko
Ven 11 Fév 2005, 23:05 par
ricko sur L'amour en vrac
Ecrire sur nuit
D'hier à aujourd'hui., Tous mes trésors..., La rencontre, Le rêve, Drôles d'envies?, La vie...BNé...lui...et la Nuit !, La lumière du Destin ( 1ere partie), La fuite d'eau, Obsession, Ses seins caresserent mes cheveux, Sur ton sourire..., Les nuits de mon ange., Au bord du canal, Feu sous la glace, Fred lampe, pure étrange !, Il y a 441 textes utilisant le mot nuit. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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