Premier soir

Premier soir
Sans au revoir
Sans lendemain
Main dans la main

Premier soir
Sans baisers
Sans plus
Ni même croire

Premier soir
Sans Nous
Comme garde fou
Et sans espoir

L’Amour demeure,
Mais Nous on part
Mer 09 Mai 2012, 17:25 par Epiméthée sur Histoires d'amour

Pensées

Mon amour, mon amant
Nous jouons un jeu dangereux, imprudent
Une erreur, nous y laisserons notre coeur
Profitons des moments de grand bonheur.

S’embrasser et se dire je t’aime
On fait l’amour, on se quitte quand même
Nouveau rendez-vous, on s’aime plus fort
Demain, je te laisserais à ton triste sort.

Sur cette terre, je voyagerai en pensant à toi
Images douces bercent mon coeur en émoi
Triste vie pour les femmes amoureuses
Qui vivent une liaison dangereuse.

Qu’elle excitation quand nos regards se croisent
Nos rencontres cachées ont la couleur turquoise
C’est toi, qui m’a fait découvrir l’amour volage
Celui que je préfère quand tu n’es pas sage.

Ch0c0latine
Jeu 27 Oct 2011, 09:16 par Ch0c0latine sur Les liaisons sulfureuses

Franchir le pas ...

A mon tendre ange,


Voilà que j’ai franchi le pas qui nous sépare de l’amitié à l’amour. Peut-être que ce pas n’aurait jamais dû être franchi. Toutefois, maintenant que je l’ai franchi, je suis contente que cela t’ait ouvert les yeux.

Qu’est-ce qui m’a poussée à cela ? Parce que je sentais ta carence affective. Je sentais ton besoin de caresses, de tendresse. Je voulais te donner envie de croire en toi en te donnant mon corps. Mon tendre ami, est-ce possible d’aimer un ami au point de lui prêter son corps pour le soulager ? Je ne sais pas. Je voyais dans tes caresses hésitantes et autres gestes hasardeux la confusion dans ton esprit. Eclaircis ton esprit, mon ami ! L’esprit clair sait ce qu’il veut de l’autre. Ne crois pas qu’un esprit confus obtient ce qu’il désire. Une femme hésite aussi face à un homme indécis dans sa relation. Entends tes craintes et tes doutes pour les taire ! Maîtrise tes mains pour modeler la Femme ! Mon bel ami, entre tes mains, je voulais que tu sentes à travers mon corps tout l’amour de toutes tes amies réunies qui croient en toi. Nous t’aimons toutes à notre façon mais nous t’aimons de tout notre cœur. Rien ne me fait plus de peine que de te voir triste et seul. Tu as le cœur bon, mon ange ! Ne perds pas espoir et aie confiance en toi ! Je t’ai poussé à exprimer ton désir pour que tu le contrôles. Cette violence nécessaire, je l’ai poussé au point de te faire prendre conscience que tu es capable d’assumer ta masculinité. Ne crois pas que tu es un outil entre mes mains !

Aujourd’hui, j’ai pris conscience que l’homme peut être bon et contrôler son corps par des principes forts ! L’homme n’est pas seulement qu’un animal mais un esprit solide capable de maîtriser sa bestialité.

Merci
Jeu 15 Juil 2010, 03:06 par Solina sur Les liaisons sulfureuses

Les aveux

Trois mots hors du commun
Pour celle dont tu tiens la main
Aveu timide d’un sentiment
D’un corps désormais vibrant
Promesse d’une autre dimension
Pour se laisser aller a la passion

Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te murmurer...

Certains le disent pour te faire plaisir
Quant ils le lisent dans ton désir
Par le passé j’ai vécu cette maladie
Le résultat fut mon cœur meurtri
J’attends aujourd’hui d’être submergé
Pour demain te l’avouer

Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te lâcher...

Ces mots tabous inexprimés
Dans une autre langue les révéler
Perçois le de mes mains
Et ce jusqu’au petit matin
Si mes yeux pouvaient parler
Ils te l’auraient surement crié

Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à te crier...

Accepter de tomber la carapace
Il y a souvent des conséquences hélas
Mesdemoiselles vous les prenez
Comme si c’était pour l’éternité
Associé trop vite à des toujours
Sauras tu le prendre juste pour un jour

Lorsque je suis face à toi
J’ai enfin le cœur qui bat
Il me vient alors cette envie
De t’avouer ces mots que je fuis
Arrêter un instant de respirer
Et réussir à le libérer...
Je...

Je ...............
Lun 09 Nov 2009, 12:24 par Loyd sur La déclaration d'amour

Nouvelle (1er essai...)

Bonjour à tous et à toutes, voici le premier récit que je poste, je ne sais pas s’il a sa place ici mais pour ceux qui prendront le temps de le lire, j’espère avoir quelques commentaires positifs ou négatifs avant de mettre éventuellement la suite.
Merci d’avance et bonne lecture

Le pêché original: vendredi 6 novembre 2009

Le vieux port de Dunkerque ressemblait toujours à une zone sinistrée quand arrivait le mois de novembre.
Quand la brume le recouvrant le rendait si triste et déprimant.
Il n’y avait qu’en été qu’on pouvait en se forçant un peu, imaginer un beau paysage estival, quand les cafés sortaient leurs tables en terrasses et les ménagères leurs trois géraniums sur les balcons.
Non, Dunkerque n’avait rien de la Côte d’Azur… même sa mer n’était plus bleue.
S’il y avait des touristes, ils venaient en automne pour les fêtes traditionnelles… et encore.
Maxence était né là, dans cette petite bourgade à côté de la ville. Malo les bains. Malo pour ceux qui y vivent. Sans doute le quartier de Dunkerque le plus…, le moins… bref. Malo les Bains.
Tous les matins, il enfourchait son vélo pour aller étudier au lycée, le samedi, il rangeait les rayons liquides du supermarché près de chez lui et trois fois par semaine, il allait s’entraîner au foot dans le club du village.

Si vous demandiez à un habitant du village comment il qualifierait Maxence Galbert, un seul adjectif lui viendrait à l’esprit : seul.
Maxence n’avait ni frère ni sœurs, discutait et déconnait avec les autres à l’école sans vraiment s’en faire des amis et on ne l’avait vu qu’une ou deux fois en compagnie d’une demoiselle.
Pourtant, tout en lui imposait sa présence de sorte qu’il ne passait jamais inaperçu.
Une carrure de sportif, une voix rauque modelée par la cigarette, et de beaux yeux bleus. Si profonds. Et pourtant tellement vides.
Tout le monde au village de Malo, vous dirait que Maxence était un garçon simple et sans histoire, et même que ses parents avaient de quoi être fiers, que c’était sûr, il deviendrait quelqu’un ce petit gars.
Le petit gars aimait étudier, il aimait le vélo et le football et s’accommodait de sa vie.
Comment dit on déjà dans les histoires ? Vous savez… une fois que l’auteur a situé le cadre, présenté son premier personnage, l’intrigue arrive. Comment fait-on la transition ? « Jusqu’au jour ou »…, mais était ce bien un jour précis ? « Quand tout à coup » non. Il faut se souvenir du contexte. Rien n’a de sens sans lui. Bon aller, transitionnons, va pour le « Et un jour ».

Un jour son entraineur lui téléphona.
-Je suis désolé Maxence, je ne peux pas te laisser en équipe deux si tu n’es même pas présent aux matchs de la saison.
-Mais coach, je viens tous les lundis et mercredis…
-Je sais que tu suis les entraînements, mais je sais aussi que tu ne peux pas laisser tomber ton job au magasin… qu’est ce que tu veux que je te dise, Max ça me fait chier moi aussi… mais l’équipe 3 est bonne cette année…, et comme ça tu pourras au moins jouer les dimanches…
Maxence raccrocha sans insister.
Il entendait en bas sa mère pleurer, sans doute à cause de son abruti de père, il y avait cette interro à préparer pour le lendemain et il venait d’être rétrograder au foot.
C’était une mauvaise journée.


Très souvent les joueurs qui avaient été admis en équipe 2 avaient une véritable chance de jouer en équipe 1 un jour dans leur vie.
C’était ce à quoi pensait Maxence en contemplant depuis les gradins l’équipe 3 s’entraîner sur la pelouse.
Les joueurs de l’équipe 3 étaient soit trop nuls et stagnaient à ce niveau, soit plutôt doués mais n’en avait strictement rien à foutre.
Emmanuel faisait parti de cette dernière catégorie.
Trop occupé qu’il était par le conservatoire de musique et ses cours, il aimait venir jouer pour se détendre et avouons le, parce qu’il ne vous le dira pas, pour se muscler un peu.
Il descendait les marches des tribunes, en retard comme à son habitude pour l’entraînement quand Maxence se leva pour rentrer et sans vraiment regarder ou il allait, manqua de le bousculer au passage.
-Désolé, bougonna t’il en continuant son chemin.
Mais l’autre répondit dans un petit rire moqueur :
-Faut ouvrir les yeux !
Alors il les leva, se retourna pour regarder le type et le détailla un instant.
Il n’était pas bien grand, pas bien costaud non plus.
Ses cheveux noirs étaient en bataille et supportaient un énorme casque de mp3.
Il portait un long manteau fourré noir au-dessus d’un jogging bleu marine et un sac en bandoulière vert au lieu du grand sac de sport traditionnel.
Voilà, c’est comme ça qu’il le vit.
La première fois.
-Tu veux t’inscrire dans l’équipe ? demanda l’inconnu.
Maxence pensa que ce petit merdeux se la jouait un peu trop, mais ce n’était pas dans ses habitudes, - du moins il essayait – de s’énerver contre quelqu’un.
Il chercha alors simplement à le remettre à sa place
-Ouais, lança t’il, j’étais en équipe 2 avant.
Mais voilà que l’autre prit un air compatissant.
-Recalé ?
-Non… j’étais pas libre pour les matchs c’est tout… je dois voir Monsieur… Shesko.
-Ouais, c’est not’ coach, il est là en bas.
Emmanuel regarda sa montre, il était plus en retard qu’il ne le croyait.
-L’entraînement se termine dans 20 min, t’ as qu’à l’attendre.
-Non, j’allais rentrer et puis ça presse pas… merci.
-… Salut.
Quand Maxence fut de retour chez lui, il s’allongea en essayant de penser à autre chose qu’à l’interro qu’il avait raté le matin, autre chose qu’au visage de sa mère qui n’avait même pas le regarder quand il était entré et autre chose qu’à l’équipe de foot dans lequel il était obligé de jouer…
-Recalé ?
Ouais c’est ça ouais…
Ses journées se ressemblaient toutes et celles ou il ne passait rien étaient toujours meilleures que les autres.
Parce qu’il était très rare que quelque chose de bien ne lui arrive.
Il chercha à occuper son esprit et repensa à ce type au walkman qu’il avait croisé, il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vu au lycée ni même de le connaître d’ailleurs
De toute façon, il ne connaissait pas grand monde.

Dans le même village, approximativement au même moment, le garçon au walkman était lui aussi allongé sur son lit et regardait la rediffusion du film M. Le Maudit.
Comme il le connaissait par cœur, son esprit se perdit à repenser à ce type croisé dans les gradins.
S’il jouait en équipe 2 alors c’était normal qu’il ne lui disait rien.
Il avait l’air spécial, pas très causant en tout cas.
Un gars de la campagne avait-il pensé, comme il en croisait tous les jours depuis qu’il habitait ce coin perdu.
Il s’était penché jusque sous son lit ou s’amoncelait une pile de paperasse et y avait extirpé le carnet de l’équipe de Dunkerque.
De petites photos en noir et blanc présentaient aux supporters les joueurs de la saison et il trouva effectivement la photo du jeune homme dans les pages de l’équipe 2.
Il s’appelait Maxence Galbert, et ils avaient le même âge.












Le bruit d’une basket qui donne des coups sur le carrelage d’un lycée résonne jusqu’au fond du couloir.
Si Maxence était pourtant de nature assez patiente d’habitude, il s’énervait un peu que son professeur de français le fasse poireauter ainsi depuis plus d’une demi-heure devant la salle des profs.
Quand enfin celui ci en sortit, transpirant et exténué, Maxence se recomposa un visage de circonstance.
-Ah! Monsieur Galbert, excusez-moi de vous avoir fait attendre… les réunions de rentrée sont toujours longues…
-Aucun problème
Le prof agita sa mallette pour en sortir une feuille aussi soigneusement pliée que lorsque Maxence le lui avait remise.
-Alors j’ai lu votre lettre de motivation pour intégrer l’école en tant qu’intervenant stagiaire pour le mois de juin et si vous voulez, je peux la transmettre moi-même à la directrice…
-Ce serait super.
-Elle est très bien seulement, vous devriez peut-être insister sur le fait que vous souhaiter présenter l’IUFM après votre diplôme, comme ça…
-Oui, d’accord…
-Je dois vous prévenir que compte tenu de votre âge vous aurez sûrement en charge les petites sections… en tout cas pour cette année.
Maxence sourit même si d’avoir en charge des touts petits ne l’enchantait guère.
-Aucun problème.
Maxence n’avait jamais de problème.
-Bien monsieur Galbert, je … oh là là déjà 18h30, le vendredi c’est la folie pour les métros, je dois vous laisser…
Maxence ouvrit des yeux ronds :
-On est vendredi ?
-Jusqu’à demain oui
-Oh… mes horaires ont changé, je… je suis en retard pour l’entraînement …
Maxence s’élança dans les escaliers, il entendait encore la voix de son professeur résonner dans les étages :
-En tout cas continuer comme ça monsieur Galbert, vous faites du bon travail…


Si Maxence était arrivé essoufflé dans les vestiaires du stade et se dépêchait de se changer pour rejoindre les autres sur le terrain, le joueur qui venait d’entrer en laissant tomber son sac dans un casier n’avait pas l’air aussi pressé.
Maxence reconnu le gars au walkman… à son casque de walkman.
-Tiens salut, fit ce dernier, le reconnaissant à son tour.
-Salut…
Les deux jeunes hommes se fixaient, un peu gêné que l’autre ne dise rien dans ce moment de contemplation muette et ridicule.
Emmanuel coupa court rapidement au silence en posant la question à laquelle il connaissait déjà la réponse.
-C’est comment ton nom déjà ?
-Maxence.
-Ravi de te connaître Maxence, moi c’est Emmanuel, mais on m’appelle Manu.
-… moi… on m’appelle Max.
C’était vrai, peu de gens l’appelaient mais quand ils l’appelaient, ils l’appelaient Max.
Emmanuel sourit en retroussant son sweat-shirt :
-Et ben, on est en retard Max.

Une fois l’entraînement terminé et une fois que Maxence avait largement prouvé ses compétences à sa nouvelle équipe, les joueurs retournèrent au vestiaire.
Maxence y trouva une ambiance bon enfant, bien différente de la fierté et du sérieux de l’équipe 2.
-Dis donc le nouveau, je sais pas si t’as ta place dans c’t’équipe… t’es balaise !
En règle générale, Maxence parlait peu, répondant au minimum pour la politesse mais ne se laissait pas faire… loin de là.
Il dévisagea le garçon qui se tenait tout nu devant lui.
Plutôt petit par rapport à lui mais assez grassouillet, il se rendit compte que ce petit caïd ne cherchait pas à le provoquer mais plutôt à l’accueillir de façon maladroite.
Comme tout un chacun dans le vestiaire le scrutait en s’habillant, il ne voulut pas non plus se faire remarquer.
En regardant autour de lui, il vit Emmanuel sortir son visage de dessous de son pull.
Comme les autres il le regardait, comme les autres il attendait une réponse.
Ah, oui une réponse…
- Ouais, je joue depuis longtemps, j’étais en équipe 2 mais je suis redescendu.
- Et bien bienvenue en tout cas… tu verras, on est peut-être pas des flèches mais nos troisièmes mi-temps, au moins elles valent le coup.
Fou rire de l’assistance, Maxence se surprit à sourire.
Il se retourna et entreprit de se rhabiller tandis qu’Emmanuel de l’autre coté, continuait de le regarder.

Un quart d’heure plus tard, alors que tous étaient déjà repartis, Emmanuel était toujours assis sur un banc du stade en face de l’entrée.
Il avait vu Maxence entré dans le bureau du coach probablement pour signer sa nouvelle licence.
Et il n’était pas rentré chez lui tout de suite.
Pourquoi il l’attendait là dans le froid, il ne le savait pas
Il l’avait observé tout au long de l’entraînement, son jeu était parfait, cette rapidité et cette concentration sur le ballon l’avait impressionné.
Mais ce qui l’avait le plus troublé était probablement lorsqu’il avait enlevé son maillot dans les vestiaires, là au milieu de tous les autres.
Des joueurs à poils, il en avait déjà vu à la pelle… mais jamais il n’avait eu cette sensation là.
Au point de ne plus pouvoir décrocher son regard de ce mec.
Il avait secoué la tête pour recouvrer ses esprits et était sortit en trombe.
Pourquoi il l’attendait… non vraiment il ne le savait pas.
Est-ce qu’il l’attendait en fait ?
Etant donné qu’il scrutait la porte du bâtiment… il se pourrait que oui.
Il sentit son cœur bondir quand celle ci s’ouvrit laissant échapper un halo de lumière que le grand corps de Maxence recouvrait d’une zone d’ombre.
Il le sentit tressauter dans sa poitrine quand celui ci se mit à avancer dans sa direction.
Emmanuel cracha par terre comme pour se vider de tout ce qui se passait en lui et quand Maxence fut à 2 mètres de lui, il engagea le premier la conversation pour se donner une contenance.
-Je croyais que tu ne t’étais pas fait recaler…
Maxence fut surpris une seconde puis finit par sourire… il ne pensait pas qu’il s’en souviendrait.
-C’est pas le cas, mais je pensais qu’il valait mieux leur faire croire…, je voulais pas être mal vu…
Emmanuel ria
-T’inquiètes, je suis une vraie tombe… et puis c’est un petit mensonge.
Le silence s’installait, mais aucun ne se décidait à partir.
-Qu’est ce que tu fais encore là, t’attends ta copine ?
-Ouais… mentit Emmanuel, mais je crois qu’elle m’a posé un lapin.
-Dommage pour toi. répondit Maxence.
-Tu rentres à pieds ?
-Ouais, mon vélo est à plat.
-Je te ramène si tu veux, je suis en voiture.
-… Ok.
Ven 06 Nov 2009, 15:32 par marina sur Histoires d'amour

Leçons de séduction selon aubade ( 7 )...

" Oser le rouge "...

rose
Lun 15 Déc 2008, 21:44 par Satine sur La séduction

Je voudrais tant que tu m'amène à cette île d'amour ma Sophy

Ma chère Sophy
Que de mots qui réveillent les sens
Que de parole qui illumine la pensée
Que conscience qui aiguise l’âme
Sophy, pour une impro, tu passes comme un grand poète professionnel. Je trouve ton poème bien réfléchi et cadencé, ordonné et coordonné puis graduellement très orchestré. Ce ne sont pas des fleures que je te jette, mais une sincère félicitation de ton mérite.
Sophy que vais je repondre ou dire si ce déjà dans ce précieux texte qui traduit le fond de ton cœur bondant de franc et innocent amour. J’ai fait une copie de ton poème que je lirai tous les jours, car c’est plein de sens.
Mais ma chère, ma préoccupation sur l’effet de la craindre de chaque fois reprendre sur la bonne relation demeure. Et si nous devons tout remettre en cause, comment s’assurer d’une vie amoureuse qui fonde un foyer uni ? Tu es tentée de dire que qui n’est pas confronté à de telles situations douloureuses ne comprendrais jamais.
Mais de toi j’ai appris qu’on ne doit p ses valises quelque agréable soit la relation. De toi j’ai également compris que rien n’est acquis et qu’il faut prendre le risque d’aimer avec le risque de se voir couper peut être les ailes en plein vol.
Sophy par tes paroles de sagesse tu renforce et fortifie mon âme. Plus tu me rends très courageux et plein d’énergie, plus tu me rends esclave d’un amour qui se passe comme mal venue dans un environnement hypothéqué de préjugés. Au nom de l’Etre Suprême dont j’ai la grande crainte, je t’avoue que tu es la créature la plus chère qui soit venue dans mon existence.
Comme toi j’ai beaucoup d’amour à donner et à partager et je comprends que tu veuilles t’en garder un peu quelques temps jalousement, égoïstement …
Tu sais, si je peux faire quelque chose pour qu’ensemble nous préparions cet envol ; ce nouveau départ ? Est-ce possible que nous réapprenions à voler ensemble ? Que nous nous soignions mutuellement nos blessures ? Sincèrement je veux pouvoir motiver cette assurance que tu recherches, cette sécurité et toutes ces raisons utiles qui t’amèneraient à m’adopter dans ta vie.
Je te cite avec une légère modification :
« Je voudrais tant distinguer et reconnaître
Celle par qui je serai lié
Pour l’éternité
Chaque fois j’y crois
Je prépare mon envol
Me déploie
Craillant une probable chute
Et dans mon cœur : je garde espoir »

Je voudrais tant me fait comprendre par toi ma chère Sophy.

STEPHANE
Mer 28 Nov 2007, 12:55 par STEPHANE sur Histoires d'amour

Comment réussir en amour?

"comment réussir en amour?"

Je crois, stéphane, que la réussite est un mot qui sied mal à l’amour, car il me semble qu’on est jamais assuré de réussir et c’est là toute la douceur et toute la douleur d’aimer : rien n’est jamais acquis, il faut prendre le risque d’aimer, et peut-être se voir couper ses ailes en plein vol?, comme cela vient de m’arriver... Mais les ailes repoussent, et l’envie de s’envoler renait jusqu’au prochain vol, ou bien peut-être pa-t-on ses valises si la compagne ou le compagnon est d’agréable compagnie?
je voudrais tant t’aider à trouver au fond de toi cette réponse, mais elle est en toi n’est ce pas? Savoir t’écouter, suivre ton cœur, tes désirs. Savoir reconnaitre lorsque tu te sens blessé, non respecté. Savoir t’éloigner si d’aventure tu réalises que tu t’es trompé, que la personne n’est pas l’être aimé, mais un ou une malotrus(e) qui profite de ta générosité...
Voilà, en espérant que cela t’aidera?
C’est la première fois que j’écris ici.

Sophy
Lun 26 Nov 2007, 21:47 par Sophy sur Histoires d'amour

Ces mots là...

Pourquoi ne pas me dire ces mots là
Au delà du dialogue : virtuel toi et moi
Le printemps n’est plus là, la nature, elle, explose
Et les allées du Parc sont parsemées de roses

Il suffit de les lire, ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers les dernières lignes, à la dernière phrase

Si tu ne peux les dire, ces mots là, je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve

Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Rêver ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire

Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…

Jan
Lun 06 Août 2007, 16:45 par jan goure sur La déclaration d'amour

Désirs ( 2 )...

donner...
Savoir recevoir...

Extrait d’une lecture

Marie
Lun 16 Juil 2007, 20:58 par Satine sur Les liaisons sulfureuses

Confiance

Tout est là ce me semble, en un mot l’amour n’est pas possible entre deux êtres, si la confiance autant que la liberté ne sont de mise : mais pour le lâcher prise, pour faire confiance à l’autre il faut croire en soi, se faire confiance et croire en notre faculté à être aimé(e)... Ce qui présuppose de se connaître tel que l’on est et de s’aimer sans marchander. Il faut aussi que l’autre donne des gages fiables de sa bonne volonté... En somme, qu’il existe une bonne corrélation entre les attentes des deux partenaires et leur réalisation potentielle puis effective. Autrement dit entre fantasme et réalité, si l’écart est trop grand la compatibilité entre les deux en est réduite d’autant...
Ven 05 Jan 2007, 20:24 par dolce vita sur L'amour en vrac

Les ailes d'une colombe

Si j’avais les ailes d’une colombe,
Je volerais du haut du ciel,
Au fin fond de la vallée,
Je causerais avec le vent,
Je trouverais un moment de joie,
Si j’avais la clé de la porte de ma prison,
Je ne sais pas, si j’osais...
Ou bien si je resterais dedans,
Les yeux fermer en priant,
Pour ma douce délivrance,
Tu n’aurais jamais dur revenir,
Tu n’aurais jamais du ,
Du mal que tu m’as fait, de ce que tu m’as fait,
Ose tu regretter ?
Si j’avais la chance,
Pour te faire comprendre,
Prendrais-tu mon amour,
Comme tu as porté ma souffrance,
Nos deux coeurs ensemble,
Dans notre bonne jouissance.
Mar 12 Sep 2006, 00:46 par joullia sur Mille choses

Oser te dire : Je t'aime...

Jamais je n’ai te dire je t’aime,
Jamais je n’ai te dire ces mots là
Pourtant j’aimerais que le printemps lui même,
Accepte ce matin de les conter pour moi.

Pourquoi ne pas me dire ces mots là
Ne serait-ce qu’un e mail : virtuel toi et moi
Le printemps est bien là, et la nature explose
Ce matin au jardin s’est ouverte une rose

Jamais je n’ai te dire je t’aime,
Et cet amour grandit en moi.
Pourtant je souhaite qu’en lisant ce poème
Mes mots se distillent en toi.

Il suffit de les lire ces mots tracés pour moi
Ils me parlent d’amour, ils me parlent d’émois
Et mon enchantement s’approche de l’extase
Vers le dernier quatrain, à la dernière phrase

Jamais je n’ai te dire je t’aime,
Taire ces pensées qui naissent en moi
Dans le plus beau des requiems,
Ces mots d’amour flottent vers toi.

Si tu ne peux les dire, ces mots là je les lis
Tes pensées transparaissent dés franchi le parvis
De cette cathédrale d’où ton requiem s’élève
Comme un chant Grégorien dans une nef de rêve

Jamais je n’ai te dire je t’aime
Même si une lueur j’entrevois,.
Tu dois savoir que cette vie de bohème,
Je veux la vivre rien que pour toi.

Prolongement du rêve en réveil extasié
C’est plus qu’une lueur ce qui m’a enchanté
Web cam : ta vie réelle, tes yeux et ton sourire
Les baisers envoyés me font chanter et rire

Cette fois j’ose dire que je t’aime
Je te l’écris non sans émoi...
Ces belles paroles que tu essaimes,
Font que mon cœur vibre pour toi

Je t’entends, je te lis, je te vois ! mon émoi
Me fait trembler de joie. Mon cœur bat fort pour toi
Au delà des espaces, au delà des années
Mon amour vole vers toi, et je te sais charmée…

Eve & Jan hug
Ven 17 Mars 2006, 12:00 par jan goure sur Parler d'amour

Aimer à en mourir

Un amour impossible entre l’eau et le feu a pourtant vu le jour :
c’était un bel amour et qui m’a fait franchir les sommets escarpés. Mon âme et la tienne communiaient dans la joie ; nos coeurs s’étaient donnés. Plusieurs fois, avant cela, nous nous étions surpris de la complicité intime de nos êtres... Plusieurs fois, tu avais posé tes yeux sur moi et les miens ne s’étaient pas dérobés. Ce soir là, nos regards durèrent tant et tant qu’ils détruisirent le temps et l’espace entre nous, dans une innocence avide, nos âmes aspirées - en communion d’amour qu’on ne peut retracer, qu’on ne peut inventer, indicible, bien au delà de tout - se trouvèrent enlacées, brillant de bel amour. Seigneur, que j’étais bien ! J’avais ton cœur, tu possédais le mien ! Mais, sans trahir nulle femme tu n’avais pas le droit à cet amour pour moi. Oh, oui, je le savais ! Je n’en conçus nulle peur. Te voir me suffisait, me comblait de bonheur ! J’avais goûté au Ciel ! Tout nous faisait comprendre que nous étions ensemble et pour l’éternité ! Je me crûs forte. Je fus sage. Trop sage... Un jour heureux après moult combats, au téléphone tu osas une déclaration qui réveilla ma joie. Le lendemain fut funeste, c’est l’œuvre de mes mains ! Je niais les désirs de mon corps et du tien, je brisais l’élan de mon cœur qui m’appelait vers toi qui me tendis les bras. Tu t’étais arrangé pour que nous soyons seuls, nous êtions à l’aube de l’été... Je pris peur de nous, du désir qui jaillissait de nous, consciente de l’interdit formel répondant à tes voeux... Je partis en courant, te laissant chancelant... Ah, ciel, tes regards, lorsque je te retrouvais au milieu de ces gens qui nous dévisageaient, attendant le faux pas. Devinant tout l’amour nous unissant déjà. Je ne répondis pas aux questionnements que tes yeux murmuraient apeurés : pourquoi ? Pourquoi... Peu après ta décision fut prise de m’éloigner de toi... Mais, tant que nous étions amenés à nous voir, nous ne le pouvions pas, tantôt toi, tantôt moi, nous revenions vers l’autre. Alors, tu pris la décision de partir sans retour. J’ai crû mourir, l’ai souhaité plus souvent qu’à mon tour... Et puis, j’ai essayé de reprendre le chemin de la vie, de t’oublier et de renaître à l’amour pour un autre que toi... Mais non, hélas, c’est toujours impossible, je ne le puis pas, malgré ma soif d’aimer, malgré tout le désir qui a pris corps en moi, il ne s’adresse qu’à toi qui ne me lira pas. Combien de lettres t’ai-je écrites dont la plupart ne te parvinrent pas ? ! Quelle importance ?! Un jour, n’y tenant plus, je t’ai appelé et c’est ta voix qui m’a répondu, une dernière fois, avec toute la douceur que je n’oublierai pas... Je sais que tes yeux ne se pont pas sur ces lignes, je ne sais si ton cœur est loin de moi aujourd’hui, comme la raison le voudrait... Parfois, la douleur s’atténue et je me crois guérie et puis, un mot, un geste et en moi tout jaillit... je dois laisser mon coeur se rep. Ils sont nombreux aujourd’hui à me parler de toi, ceux qui, hier encore, me montraient du doigt, moi dont le crime demeure impuni : aimer, voilà de quoi je suis coupable, aimer un homme à en mourir...
Dim 19 Fév 2006, 17:10 par dolce vita sur Histoires d'amour

De moi à toi ou de toi à moi.

En moi il y a cette soif de vivre, cette joie d’être, en moi se trouve l’amour de moi, de toi, un pont en devenir.
Toi, je ne sais à quoi tu ressembles mais je sais ce qui t’habite.
Rien moins que la passion. Rien moins que ce que je porte et qui demande à vivre.
Aimer et puis à deux, devenirs créateurs. Pour construire quoi ? Je ne le sais pas encore ! Mais qu’importe ! Avec toi, à deux, je le saurai. Peut-être pas du premier coup, mais je le saurai. Tu m’y aideras. Et toi, tu auras le même désir de moi que moi de toi. Parfois, nous prolongerons le temps de l’absence pour mieux goûter la joie de nous retrouver. Ce sera délicieux pour nous deux. De toi, je ne sais ni le nom ni la vie, mais je sais que tu m’attends. Cette certitude me comble déjà ! Nous sommes différents et pourtant si proches. Je sais qu’il y aura des jours où il me semblera que tu tardes. Des jours où je te manquerai. Mais ce temps est nécessaire. Il est le temps de toucher à l’essentiel et puis, le temps de la confiance, en toi, en moi. Mais le jour où tu viendras à moi, il n’y aura plus que la joie qui m’habite déjà mais alors sans partage... M’abandonner à l’amour. Et de même pour toi. Oser le lâcher prise. Oser la confiance. C’est tout me direz-vous ? Voilà fort peu de chose ! Oui, mais pour ce peu là il faut du temps, car moins encore que pour l’amitié, il n’existe de marchand d’amour et voilà pourquoi le monde est si triste parfois, qui ne voit plus les roses. Et qu’importe ton nom mon coeur l’aime déjà.
Lun 09 Jan 2006, 11:27 par dolce vita sur La première fois
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Ecrire sur oser Premier soir, Pensées, Franchir le pas ..., Les aveux, Nouvelle (1er essai...), Leçons de séduction selon aubade ( 7 )..., Je voudrais tant que tu m'amène à cette île d'amour ma Sophy, Comment réussir en amour?, Ces mots là..., Désirs ( 2 )..., Confiance, Les ailes d'une colombe, Oser te dire : Je t'aime..., Aimer à en mourir, De moi à toi ou de toi à moi.,
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La citation d'amour

La femme souffre plus que l'homme du mal d'amour, mais elle sait mieux le dissimuler.

Euripide.

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