Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur passion - Page 8 sur 15
Pour elle
Lorsque l’aurore étend son manteau
Sur le jour et sur les amants
Et que le firmament tout entier
S’habille de bleu s’habille de blanc
Il n’y a pas un astre qui brille autant
Que tes grands yeux poses sur moi
Ma douce et belle si tu dors
Dans les bras de tes illusions
Réveille-toi vite mon amour
Pour écouter ma chanson
Réveille-toi vite mon amour
Je t’aime avec passion
Sur le jour et sur les amants
Et que le firmament tout entier
S’habille de bleu s’habille de blanc
Il n’y a pas un astre qui brille autant
Que tes grands yeux poses sur moi
Ma douce et belle si tu dors
Dans les bras de tes illusions
Réveille-toi vite mon amour
Pour écouter ma chanson
Réveille-toi vite mon amour
Je t’aime avec passion
Mar 17 Juil 2007, 21:43 par
pierre de la carolina sur L'amour en vrac
Si vide sans corps
\... L’écran de tes connaissances .../
Dans l’attente d’une lecture d’échange,
je t’écris alors pour tuer le temps,
éventuellement pour ne rien penser,
peut être pour oublier
et tuer les romantiques à coup de triques.
Un poème ?! Disons des phrases et tes sons
Pour ne pas laisser songer qu’içi s’abat,
Sur de sois, les dérangements instables.
Les respirations se contrôlent dans l’amertume.
Grinces des dents, détournes les régions
Et vole au dessus des brins en partage
J’en ferais tout autant si brusquement
L’effarement et puis
Plus rien, une goutte, juste une goutte
Et encore…
Revenant des appels de nos festins,
Maintenant que nos corps se décodent après,
Les portes physiques semblent difficiles à prendre
Et la marche pourtant se reprend,
L’un vers l’autre nous y songeons
Magie de tes fringues et des musiques ?
Sans doute que rien ne comble le tout
De ta présence je ne peux que m’en soucier
De l’œil te laisser transparaître mes sentiments
Décomposés et faussés par l’absurde écran
Alors c’est ici la passion qui me fait t’écrire
Et par le mérite du ridicule m’ouvre aux lois des créations
C’est alors par elles que j’entends le cœur d’une raison
Le boum qui me surprend dans le cri d’un sentiment
Le même me disant que le mur des relations est proche
Dans l’attente d’une lecture d’échange,
je t’écris alors pour tuer le temps,
éventuellement pour ne rien penser,
peut être pour oublier
et tuer les romantiques à coup de triques.
Un poème ?! Disons des phrases et tes sons
Pour ne pas laisser songer qu’içi s’abat,
Sur de sois, les dérangements instables.
Les respirations se contrôlent dans l’amertume.
Grinces des dents, détournes les régions
Et vole au dessus des brins en partage
J’en ferais tout autant si brusquement
L’effarement et puis
Plus rien, une goutte, juste une goutte
Et encore…
Revenant des appels de nos festins,
Maintenant que nos corps se décodent après,
Les portes physiques semblent difficiles à prendre
Et la marche pourtant se reprend,
L’un vers l’autre nous y songeons
Magie de tes fringues et des musiques ?
Sans doute que rien ne comble le tout
De ta présence je ne peux que m’en soucier
De l’œil te laisser transparaître mes sentiments
Décomposés et faussés par l’absurde écran
Alors c’est ici la passion qui me fait t’écrire
Et par le mérite du ridicule m’ouvre aux lois des créations
C’est alors par elles que j’entends le cœur d’une raison
Le boum qui me surprend dans le cri d’un sentiment
Le même me disant que le mur des relations est proche
Ven 06 Juil 2007, 10:59 par
Gaelj89 sur Amour internet
Un monde parfait...
Dans un monde parfait, nous serions ensemble
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
A la fois, amis partageant nos confidences
Et amants baignant dans une folle passion
Refaisant le monde dans nos débats
Et déchirant la nuit de nos ébats
Où le jour illustrerait notre bonheur
Et nos nuits en seraient la preuve
Mais voilà,
Le monde n’est pas parfait...
Sam 30 Juin 2007, 22:50 par
Loyd sur Un monde parfait
La passion, un mythe...
La Passion
Qui mène à
La Fusion
De deux Etres...
Emotion
Inexprimale
Mais
La Passion
Peut mener
A la perdition...
De Soi...
Marie
Qui mène à
La Fusion
De deux Etres...
Emotion
Inexprimale
Mais
La Passion
Peut mener
A la perdition...
De Soi...
Marie
Jeu 10 Mai 2007, 14:43 par
Satine sur Parler d'amour
Ah l'amour...
Ce sentiment qui nous traverse,
A tout moment de la journée,
Sans être forcément partagé,
Nous entraîne et nous bouleverse.
L’émerveillement d’un regard,
La passion d’une relation,
La violence d’une pulsion,
Nous fascinent et nous désemparent.
Les instants doux et éphémères,
Il faut savoir en profiter
Car demain le vent peut tourner
Une rupture arrive si vite,
Elle est pour cela bien maudite.
L’amour est partout la terre!
A tout moment de la journée,
Sans être forcément partagé,
Nous entraîne et nous bouleverse.
L’émerveillement d’un regard,
La passion d’une relation,
La violence d’une pulsion,
Nous fascinent et nous désemparent.
Les instants doux et éphémères,
Il faut savoir en profiter
Car demain le vent peut tourner
Une rupture arrive si vite,
Elle est pour cela bien maudite.
L’amour est partout la terre!
Lun 30 Avril 2007, 22:32 par
jejefofo sur L'amour en vrac
Education
Le mariage est un pacte et non une suite de rendez-vous galants, ma fille. Dans ce nulle part, le mariage est contrat, comme lorsque deux pays signent un traité.
Ne garde pas ta pudeur pour toi, la langue des menteurs est souvent sucrée lorsque leurs désirs deviennent tenaces.
Quelle que soit la route que tu prendras, regarde-là en face. Sans flancher, ne trembler.
Les hommes rêvent tous en douce de la Tentatrice, de la Vénus qui les fera fondre dans des draps transpirants de plaisirs.
Si un jour tu touches là, alors sers-toi de tes doigts avec légèreté comme une plume, de ta langue comme tu le ferais avec une gourmandise, de tes dents avec mesure, suffisamment pour qu’il te désire encore plus. C’est leur désir qui nous maintient en vie. Aime l’amour mais ne tombe pas amoureuse.
De pucelle orgueilleuse, charnue de sensualité et d’insolence, devient femme épanouie. Tu peux devenir terre d’accueil, abri tendre pour chacun. Comme une douce lagune, vêtue d’un habit de lune, gourmande et vorace tu donneras et tu recevras. Pour ne pas devenir le butin de ton époux, que l’on n’ouvre plus, accepte tes désirs. La chasse prend alors une sorte de cruelle beauté. Parle de tes secrets, de tes désirs. Ne garde pas ta pudeur pour toi. Laisse tes sens s’évader, ne les emprisonne pas. Prends ce que l’on ne donne pas, ne perds pas ton temps et plus douce sera ta route.
Deviens libre de ton choix, des tes désirs, de ta pensée et pas une épouse soumise et obéissante. Connais l’extase dans la passion. Implore, chaque jour sentir les mains de ton amour sur ton corps, ses bras autour de toi.
Désire toujours être comblée et enflammée et fondre dans les rêves de toutes les femmes. Vis différemment pour ne pas être endurcie par un manque de caresses et manque d’amour. Notre désir, notre soif ne doivent plus être un serment d’ignorance.
Si toutes les femmes étaient jugées, condamnées, pour penser ainsi, alors les prisons seraient pleines. Et si les hommes avaient le courage de se lever pour dire à la face du monde qu’un jour ils ont désirés autre met que leur compagne, même par simple pensée fugace, alors tous les hommes ouvriraient la porte des prisons de la liberté de penser.
Fille du peuple.
Ne garde pas ta pudeur pour toi, la langue des menteurs est souvent sucrée lorsque leurs désirs deviennent tenaces.
Quelle que soit la route que tu prendras, regarde-là en face. Sans flancher, ne trembler.
Les hommes rêvent tous en douce de la Tentatrice, de la Vénus qui les fera fondre dans des draps transpirants de plaisirs.
Si un jour tu touches là, alors sers-toi de tes doigts avec légèreté comme une plume, de ta langue comme tu le ferais avec une gourmandise, de tes dents avec mesure, suffisamment pour qu’il te désire encore plus. C’est leur désir qui nous maintient en vie. Aime l’amour mais ne tombe pas amoureuse.
De pucelle orgueilleuse, charnue de sensualité et d’insolence, devient femme épanouie. Tu peux devenir terre d’accueil, abri tendre pour chacun. Comme une douce lagune, vêtue d’un habit de lune, gourmande et vorace tu donneras et tu recevras. Pour ne pas devenir le butin de ton époux, que l’on n’ouvre plus, accepte tes désirs. La chasse prend alors une sorte de cruelle beauté. Parle de tes secrets, de tes désirs. Ne garde pas ta pudeur pour toi. Laisse tes sens s’évader, ne les emprisonne pas. Prends ce que l’on ne donne pas, ne perds pas ton temps et plus douce sera ta route.
Deviens libre de ton choix, des tes désirs, de ta pensée et pas une épouse soumise et obéissante. Connais l’extase dans la passion. Implore, chaque jour sentir les mains de ton amour sur ton corps, ses bras autour de toi.
Désire toujours être comblée et enflammée et fondre dans les rêves de toutes les femmes. Vis différemment pour ne pas être endurcie par un manque de caresses et manque d’amour. Notre désir, notre soif ne doivent plus être un serment d’ignorance.
Si toutes les femmes étaient jugées, condamnées, pour penser ainsi, alors les prisons seraient pleines. Et si les hommes avaient le courage de se lever pour dire à la face du monde qu’un jour ils ont désirés autre met que leur compagne, même par simple pensée fugace, alors tous les hommes ouvriraient la porte des prisons de la liberté de penser.
Fille du peuple.
Dim 04 Mars 2007, 21:07 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
Rivière de sentiments
Comme les mots sont éphémères
Et l’amour est une bien belle rivière
Qui nous emporte vers tant d’illusions
Et nous berce par tant de passion
Où l’on s’enferme dans une bulle de verre
Avec ses sentiments et ses mystères
L’esprit se frotte à la lune
Et les yeux, d’une flamme, s’allume
Croire aux mille et une merveilles
Rêver sans plonger dans le sommeil
T’écouter et observer ton sourire
Qui m’enivre avec tant de plaisir
Apprécier la beauté de tes yeux
Et se laisser s’envoler aux cieux
Profiter tout simplement du bonheur,
Et se dire que demain n’est pas un leurre..."
Catilina
Et l’amour est une bien belle rivière
Qui nous emporte vers tant d’illusions
Et nous berce par tant de passion
Où l’on s’enferme dans une bulle de verre
Avec ses sentiments et ses mystères
L’esprit se frotte à la lune
Et les yeux, d’une flamme, s’allume
Croire aux mille et une merveilles
Rêver sans plonger dans le sommeil
T’écouter et observer ton sourire
Qui m’enivre avec tant de plaisir
Apprécier la beauté de tes yeux
Et se laisser s’envoler aux cieux
Profiter tout simplement du bonheur,
Et se dire que demain n’est pas un leurre..."
Catilina
Ven 09 Fév 2007, 02:21 par
Utopia GFR sur Parler d'amour
Tapis rouge
Tapis rouge.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Elle savait ce qu’elle faisait. Elle savait ce qu’il allait se produire. Ce soir était un soir où la nuit lui appartenait. Précieusement, charnue de désirs elle s’était glissée dans un bain chaud et impudique. Avec précaution elle avait parfumé son corps de crème. Elle savait que ce soir elle mettrait toutes ses valeurs dans le tiroir de sa mémoire.
Nez de clown, rouge.
Elle l’avait appelé. Un café ? Il avait répondu oui, il savait ce qu’il faisait. Deux adultes. Deux adultes mais si enfantins, tellement seuls. Personne ne saurait. Tuer le temps ensemble, ballon rouge.
Ils ne s’aimaient pas vraiment d’amour, ils aimaient être ensemble et partager des joies, des peines et soulager leurs désirs charnels. Rien de plus, tristement.
Chez lui, un café, des paroles, un café, des silences. Des flots de paroles inutiles pour combler tout regard. Pour fuir des désirs, des envies. Un café. Des secrets confiés, échangés. Banal. Nez rouge, un soir fugace.
Il est l’heure de se séparer. Lui, offre un cadeau. Elle, sensible sent qu’une tension monte. Il la raccompagne. Et dans la voiture une phrase « j’ai envie de t’embrasser » déclenche un torrent de passion, de permission. Trop longtemps retenu. Pas de tapis rouge. Avidement les lèvres se rencontrent, avidement des mains s’évadent. Une chaleur se dégage. Lui, plein de désirs sous des mains câlines, elle, pleine de désirs sous des mains fouilleuse. Plus rien ne les retient, la nuit les drape. La nuit les couvre. Une jupe est remontée à la hâte. Dans cette folie, une seule jambe de collant est enlevée pour offrir un sexe gonflé de désir, une main glisse à l’intérieur des cuisses chaudes de promesses. Ballon rouge. Plus rien ne les arrête. Le siége de la voiture se couche. Puis lentement, délicieusement chacune des quatre mains déshabille l’autre. Des baisers avides déchaînent deux corps en demande. Puis, les deux corps s’unissent, s’accouplent. Tendrement, il pénètre en elle. Tendrement il la pénètre. Elle se cabre, l’invitant à rester, l’invitant à se donner. Sans amour. Tout devient vivant. Tout devient douleur. De légers tressaillement envahissent les corps des deux amants. Impudique dans leurs chairs, ils s’abandonne l’un dans l’autre. Ils se donnent sans compter. Ils prennent, ils donnent. Ils prennent. Fulgurant de haine envers elle, elle joue à l’épanouie. Le pastique du ballon rouge grince.
Ballon rouge éclaté, tapis rouge enroulé, nez rouge de clown.
C’est fini la tempête des sentiments charnels. Chacun se rhabille mine de rien, mine de tout. Pas un mot. Pas une promesse, pas un mot d’amour. Que soulager des envies. La voiture démarre. Tout est fini. Ne rien dire.
Ballon rouge et vide grenier.
Un au revoir, lancé à la hâte.
Demain elle reprendra un bain pour un amant lointain…Miroir ne triche pas, l’odeur qu’elle regarde pue. Elle sait…le jeu est dégueulant de tristesse. Une nouvelle histoire courte d’un jour, pour ne pas croire. Mais dans un ventre trop lourd de secret, elle continuer son chemin vers une fin sans parole. Mais ballon rouge va éclater…
fille du peuple.
Mar 02 Jan 2007, 17:28 par
Fille du peuple sur Parler d'amour
De mots et de moeurs
Je tords tous tes tords qui à tort s’attardent sur mon corps.
Tu me mords et sur mon cou se font alors les traces pourpres de ton amour.
Je m’acharne à fuir tes charmes, mais sur ma chair tu t’incarnes.
J’inspire l’air que tu expires, mais j’attends que tu t’en ailles.
Alors je m’enfuis, trop honteuse de ton mal, mon absence d’amour rejette ta passion malhabile.
Et j’inhale un air plus pur, loin de toi loin de moi, auprès de lui.
Je profite de son cœur innocent, j’accepte se vertueux sentiments tandis que moi, souriante, pour t’oublier je crois que je lui mens.
Je ne sais si j’aime ou si je hais, je ne sais si mon cœur sent ou s’il est de pierre.
Toi ou lui. Je ne sais si c’est haine ou amour. Pourrais-je espérer avoir la paix un jour ?
J’ai beau essayer de calmer mon cœur, mes pensées reprennent leur galop incessant dans ma tête.
Entre cette haine mal feinte et cet amour coupable. Où est la morale où est l’entente ?
Où suis-je sinon qu’entre deux cœurs, moi qui n’ai pas de sentiments.
Je le sais, je le sens, je serais la première à en souffrir mais je crois bien que j’en souffre déjà trop. Qui je hais ? Qui j’aime ? Qui je mens ?
J’en suis encore à y repenser, alors que je devrais jubiler, au lieu de souffrir d’aimer et d’être aimé.
Tu me mords et sur mon cou se font alors les traces pourpres de ton amour.
Je m’acharne à fuir tes charmes, mais sur ma chair tu t’incarnes.
J’inspire l’air que tu expires, mais j’attends que tu t’en ailles.
Alors je m’enfuis, trop honteuse de ton mal, mon absence d’amour rejette ta passion malhabile.
Et j’inhale un air plus pur, loin de toi loin de moi, auprès de lui.
Je profite de son cœur innocent, j’accepte se vertueux sentiments tandis que moi, souriante, pour t’oublier je crois que je lui mens.
Je ne sais si j’aime ou si je hais, je ne sais si mon cœur sent ou s’il est de pierre.
Toi ou lui. Je ne sais si c’est haine ou amour. Pourrais-je espérer avoir la paix un jour ?
J’ai beau essayer de calmer mon cœur, mes pensées reprennent leur galop incessant dans ma tête.
Entre cette haine mal feinte et cet amour coupable. Où est la morale où est l’entente ?
Où suis-je sinon qu’entre deux cœurs, moi qui n’ai pas de sentiments.
Je le sais, je le sens, je serais la première à en souffrir mais je crois bien que j’en souffre déjà trop. Qui je hais ? Qui j’aime ? Qui je mens ?
J’en suis encore à y repenser, alors que je devrais jubiler, au lieu de souffrir d’aimer et d’être aimé.
Jeu 02 Nov 2006, 03:36 par
Lindsey sur Parler d'amour
Et tu me demandes qui je suis ?
Je suis cette flamme qui brûle et te consume
Le coeur des doigts
Je suis cette violence qui est ta déraison
Je suis cheval fougueux
Et le vent sur les crêtes
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis de tempête et éclats dans tes yeux
Je suis la lumière ronde
Et blanche de tes nuits
Je suis l’ouragan
Qui dévaste nos vies
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis la vie qui jaillit des cieux
De l’onde claire
La vague qui réveille tes cris
Et danse qui martèle le sol
Et épuise son agonie
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis cette impatience
La forêt qui se dresse
Des larmes de sève
Qui perlent sur ma peau
Le corps Lissé par les mains de l’amour.
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis l’insolence
Et l’insoumission
Je suis née du désert
Ce fruit de ta passion
Source du désir à ton front...
Le coeur des doigts
Je suis cette violence qui est ta déraison
Je suis cheval fougueux
Et le vent sur les crêtes
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis de tempête et éclats dans tes yeux
Je suis la lumière ronde
Et blanche de tes nuits
Je suis l’ouragan
Qui dévaste nos vies
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis la vie qui jaillit des cieux
De l’onde claire
La vague qui réveille tes cris
Et danse qui martèle le sol
Et épuise son agonie
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis cette impatience
La forêt qui se dresse
Des larmes de sève
Qui perlent sur ma peau
Le corps Lissé par les mains de l’amour.
Et tu me demandes
Qui je suis ?
Je suis l’insolence
Et l’insoumission
Je suis née du désert
Ce fruit de ta passion
Source du désir à ton front...
Dim 22 Oct 2006, 10:36 par
dolce vita sur La séduction
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Tous deux entrelacés sous la couette
Nos gestes délicats tremblent de cette douce passion sans mots
Et mon cœur abîmé glisse sur ton cœur de velours si pur
Mon corps brûe de mille feux contre ton corps si chaud et si beau.
Ta douce main glisse dans le creux de mon ventre
La mienne sur le rythme des battements de ton cœur
Tous deux serrés pour que le froid n’y entre
Notre amour dégage tant de chaleur intense.
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Je n’ai plus peur du monde autour de moi
Je suis comme ensorcelée par le temps de ton corps
Tout doucement je m’abandonne à toi.
Douces caresses longs baisers langoureux d’amour
Fondus avec toi dans l’obscurité révélatrice
Nos peaux sont tant humides et glissent autour
De nos corps mûrs par ce désir love.
C’est si tendrement que tu chuchotes
Quelques paroles éblouies de nous
Nos deux corps brûlent comme des bouillottes
Ce flot d’amour est un plaisir si doux.
Ces quelques mouvemenst imperceptibles
Qui donnent au corps un plaisir sacré
C’est toi et moi, c’est toi en moi, sensibles
Ce que tu m’offres est ton amour nacré.
Ici je suis si bien, je t’aime tant
Que ce moment est un délice en or
Et quand sa fin est là, quelques instants
Plus tard, blottis d’amour, on se rendort
L’un contre l’autre en ne voulant plus être séparés …
Nos gestes délicats tremblent de cette douce passion sans mots
Et mon cœur abîmé glisse sur ton cœur de velours si pur
Mon corps brûe de mille feux contre ton corps si chaud et si beau.
Ta douce main glisse dans le creux de mon ventre
La mienne sur le rythme des battements de ton cœur
Tous deux serrés pour que le froid n’y entre
Notre amour dégage tant de chaleur intense.
Contre toi je m’enlace tendrement et amoureusement
Je n’ai plus peur du monde autour de moi
Je suis comme ensorcelée par le temps de ton corps
Tout doucement je m’abandonne à toi.
Douces caresses longs baisers langoureux d’amour
Fondus avec toi dans l’obscurité révélatrice
Nos peaux sont tant humides et glissent autour
De nos corps mûrs par ce désir love.
C’est si tendrement que tu chuchotes
Quelques paroles éblouies de nous
Nos deux corps brûlent comme des bouillottes
Ce flot d’amour est un plaisir si doux.
Ces quelques mouvemenst imperceptibles
Qui donnent au corps un plaisir sacré
C’est toi et moi, c’est toi en moi, sensibles
Ce que tu m’offres est ton amour nacré.
Ici je suis si bien, je t’aime tant
Que ce moment est un délice en or
Et quand sa fin est là, quelques instants
Plus tard, blottis d’amour, on se rendort
L’un contre l’autre en ne voulant plus être séparés …

Sam 23 Sep 2006, 23:19 par
joullia sur Parler d'amour
On vit
On vit dans un monde où le bien et le mal se mélangent si souvent,
Là où le diable peut trôner au coté d’un ange,
Là où les idées claires peuvent se mêler à l’ étrange,
Là où les pensées donnent de l’amour ou bien se vengent.
On vit dans un monde où le bien et le mal subsistent toujours,
Là où les principes sont souvent bafoués par notre égoïsme,
Là où notre solidarité se perd dans notre manque d’humanisme,
Là où les visions de bonheurs se meurent dans des regards si tristes
Là où les hommes ne pensent qu’à leur personne.
On vit dans un monde où le bien et le mal n’ont plus de repères,
Là où la passion finit souvent dans un combat amère,
Là où la paix peut se finir en une sanglante guerre,
Là où le paradis s’obscurcit en lucifer
Là où la guerre est toujours d’actualité
Là où des hommes se croient surpuissants au nom de dieu,
Mais dieu quel qu’il soit, n’a jamais dit de tuer son prochain.....
Là où le diable peut trôner au coté d’un ange,
Là où les idées claires peuvent se mêler à l’ étrange,
Là où les pensées donnent de l’amour ou bien se vengent.
On vit dans un monde où le bien et le mal subsistent toujours,
Là où les principes sont souvent bafoués par notre égoïsme,
Là où notre solidarité se perd dans notre manque d’humanisme,
Là où les visions de bonheurs se meurent dans des regards si tristes
Là où les hommes ne pensent qu’à leur personne.
On vit dans un monde où le bien et le mal n’ont plus de repères,
Là où la passion finit souvent dans un combat amère,
Là où la paix peut se finir en une sanglante guerre,
Là où le paradis s’obscurcit en lucifer
Là où la guerre est toujours d’actualité
Là où des hommes se croient surpuissants au nom de dieu,
Mais dieu quel qu’il soit, n’a jamais dit de tuer son prochain.....
Sam 23 Sep 2006, 16:42 par
joullia sur Un monde parfait
Passion tendresse et envie
L’amour que j’ai pour mon aladin
Est plus fort que tout
Plus violent qu’un volcan
Qui crache du feu puissamment
Plus haut qu’une montagne
Que personne ne peut atteindre
Plus puissant qu’un torrent
Qui coule et gronde de pierre en pierre
Plus chaud que le soleil
Qui brûle de ses rayons ardents
Plus bruyant qu’un orage
Qui zèbre le ciel de ses éclairs
Mais aussi doux comme la pluie
Qui ruisselle sur ton corps si merveilleux
Comme mes mains qui
Te caressent longtemps avec tant d’amour
Passion tendresse et envie folle
Je t’aime, t’aimerai toujours
Est plus fort que tout
Plus violent qu’un volcan
Qui crache du feu puissamment
Plus haut qu’une montagne
Que personne ne peut atteindre
Plus puissant qu’un torrent
Qui coule et gronde de pierre en pierre
Plus chaud que le soleil
Qui brûle de ses rayons ardents
Plus bruyant qu’un orage
Qui zèbre le ciel de ses éclairs
Mais aussi doux comme la pluie
Qui ruisselle sur ton corps si merveilleux
Comme mes mains qui
Te caressent longtemps avec tant d’amour
Passion tendresse et envie folle
Je t’aime, t’aimerai toujours
Jeu 21 Sep 2006, 21:19 par
joullia sur Parler d'amour
Ils se sont trouvés
Il était extraverti, fou et sensible.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Lun 18 Sep 2006, 00:44 par
joullia sur Parler d'amour
Viens cueillir ma perle de passion
Plaire à ton cœur, flatte mes sens,
Sans nul effort doucement j’instruis,
La saveur jamais inassouvie,
Et je comble ce retour d’encens.
Que tes sens parfument ma vie,
Souffle l’aube sur mon regard
En un éveil soumis sans fards,
Aurore de mon corps qui envie.
De ta beauté, de ton amour,
Toi ! Mon prince de suavité,
Frémissant au corps écartelé,
Mon Apolon, je te parcours.
Viens cueillir ma perle de passion,
Toi ! Mon amant à la peau dorée,
Susurre-moi des aveux parfumés,
Offre-moi ton feulement de lion.
J’aspire tout entier à ce rugissement,
Aujourd’hui, demain, n’est-il encore,
Ce cri d’amour offert dès l’aurore,
Renaître à l’orée de ton désir ?
Mourir d’amour sous ton rugissement,
L’aurore de l’ultime cri enfin délivré,
Domine mon abandon, royal aimé,
Ma jouissance est ton couronnement.
Sans nul effort doucement j’instruis,
La saveur jamais inassouvie,
Et je comble ce retour d’encens.
Que tes sens parfument ma vie,
Souffle l’aube sur mon regard
En un éveil soumis sans fards,
Aurore de mon corps qui envie.
De ta beauté, de ton amour,
Toi ! Mon prince de suavité,
Frémissant au corps écartelé,
Mon Apolon, je te parcours.
Viens cueillir ma perle de passion,
Toi ! Mon amant à la peau dorée,
Susurre-moi des aveux parfumés,
Offre-moi ton feulement de lion.
J’aspire tout entier à ce rugissement,
Aujourd’hui, demain, n’est-il encore,
Ce cri d’amour offert dès l’aurore,
Renaître à l’orée de ton désir ?
Mourir d’amour sous ton rugissement,
L’aurore de l’ultime cri enfin délivré,
Domine mon abandon, royal aimé,
Ma jouissance est ton couronnement.

Sam 16 Sep 2006, 01:00 par
joullia sur Les liaisons sulfureuses
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