errance... tu jour...

Bains de mots , bains d’intenses perceptions,
de fortes brasses je prolonge le plongeon.
En une douce nage de cette eau se délecte mon corps,
eau tropicale qui berce mes sens de chaleur et de fraîcheur.

Bains de s, bains de sensations,
les fonds de l’amour sont habités d’étoiles,
l’ange s’ébat de bonheur,
la sirène chante ses joies et ses plaisirs.

Bains de s, bains d’amours,
les fonts connaissent l’infini,
d’eau nous ne nous nourrissons point,
nous ne serons jamais sûr de rien...
Sam 27 Mars 2004, 18:50 par Ri1kedesBêtises sur L'amour en vrac

un 14 juillet à Paris

Nous sommes descendus à Louvre-Rivoli. Le soleil qui inondait Paris nous avait décidé à flâner au gré de nos envies. Face à toutes les merveilles qui s’offraient à nous, nous avons hésité. Puis opté pour les bords de Seine tout proches pour démarrer notre ballade. Le lieu d’arrivée était connu : la gare Montparnasse. Un train m’y attendait en fin d’après midi. Le parcours jusqu’à ce point n’avait qu’un guide : notre curiosité.

Nous voilà donc tous les quatre à déambuler sur les bords du fleuve. Le soleil qui reflète à sa surface lui donne un aspect lisse et brillant, inhabituel pour ces eaux saumâtres. Il y a là un couple d’amis, toi … et moi. On s’est connu à l’université. La vie nous a séparé mais les liens sont restés. Nous essayons de nous revoir aussi souvent que possible, malgré la distance et le temps qui passe. Autant le dire tout de suite, il y a longtemps que tu ne me laisses pas indifférent, même si je n’ai jamais osé te l’avouer.

Nous progressons sur les berges. Nos deux amis main dans la main et nous deux, l’un à coté de l’autre, si proches et si éloignés pourtant. Je me dis que la vie est nulle en géométrie, que notre petit groupe serait plus symétrique si mon bras entourait tes épaules dévêtues. De temps à autre nous nous éparpillons pour laisser passer un jogger du dimanche matin ou un roller man trop pressé. Dans ces moments là j’ai l’impression qu’on me bouscule, qu’on m’agrippe pour me séparer de toi. Je voudrais tellement sentir ta peau contre la mienne. A ce moment là je ne sais pas que quelques mois plus tard cette peau du désir ne prendra pas à la greffe amoureuse. Le rejet sera brutal et froid. Chirurgical. Ce jour là je ne savais pas que le début de ce récit serait la fin de notre histoire…

Déjà le Pont Royal et une envie de passer de l’autre côté (nous avions la veille fait honneur de notre présence aux jardins des Tuileries). Sur les hauteurs du pont, l’horizon dégagé nous impose un arrêt. L’impression de flotter au dessus du fleuve et de pouvoir ainsi glisser de monuments majestueux en merveilles architecturales, est grisante. Nous ne parlons plus, nos huit yeux regardent loin devant eux. Quelle chance d’être là ! … là et ensemble. Au bout de quelques minutes d’irréalité nous étions prêts à reprendre notre chemin. Mais, après quelques pas, nous nous sommes aperçus, tous les trois, que tu ne nous suivais pas. Tu étais restée là, accoudée à la rambarde, le regard lointain …tu semblais tellement perdue dans tes pensées que tu ne t’étais même pas rendue compte que nous partions. Je me disais alors – j’espérais – que tes tourments étaient proches des miens, que tu fustigeais la vie de sa maladresse, que tu maugréais contre moi de ne pas te prendre dans mes bras, là, maintenant, tout de suite ! que tu me haïssais de ne pas te dire que je t’aimais …mais vas y, bon sang ! Qu’attend tu pauvre fou ? Je ne savais pas à ce moment là que l’amour pouvait faire rêver à des choses impossibles, faire croire accessible l’inaccessible, transformer un geste ou un mot insignifiant en un soupçon de enflammée. L’amour rend aveugle dit-on. Il peut aussi améliorer la vue, en vous faisant voir des choses qui n’existent même pas en réalité
Dim 21 Mars 2004, 23:02 par la_tulipe_noire sur La vie à deux

Le roi Désir

Que voila en quelques mot bien léchés,
La précieuse explication de ce trouble,
Qui laisse certains sur le pavé,
Tandis qu’un instant l’amour les double !

Désir, toi puissant Roi et décrié Bandit,
Regnant en brave, sans foi ni loi,
Sur ces de voleur des milles et uns lits
Je crie ta force, car par toi je vis.

Amours bonheur, amours malheur
Sanglots lointains, et tristes pleurs,
Amour un jour, amour toujours
Furent mes princesses, de ce seigneur !

Quand pour ce roi, il fallut prendre reine,
Celle qu’il choisit sentant bon la ,
A la fois puissante, toujours belle et sereine,
On lui donna pour nom, celui de Séduction.

Depuis, moults trouvères, à force galipettes,
Font éloge à la cour de ce Roi malhonnète,
En traquant cet amour de leurs mots de poetes,
Et priant le plaisir de leur tomber sur la tête.
Jeu 04 Mars 2004, 00:12 par PetitPrince sur La séduction

L'Homme, l'Océan, mes deux amants

L’Homme, vous m’assoiffez, me mettez l’eau à la bouche, mais d’embruns point...
Vous eussiez pu me raconter cette brume impalpable d’eau, qui des vagues rugissantes, ne sont que caresses sur le retour.
L’Océan est un amant insatiable qui m’habille de vagues mourantes pour mieux dessiner mes formes sous ma robe devenue transparente.
Il m’appelle, rugit de rage mais il sait que je suis de celle, qui toujours au rendez-vous, au près de vous,l’Homme, chat alléché par ma peau salée, se pend à votre cou vous buvant des yeux, la me brûlant le cœur et l’âme
Bisous
Isabel timide
Mer 03 Mars 2004, 19:53 par Isabel sur Les liaisons sulfureuses

L'éternité, cet instant qui....

Loyd a écrit:
...
Enfin je me permettrais de faire une proposition sortant de notre guerre pour arriver au point inverse: La ! Sa beauté, son exagération, sa folie... Tout ce qui fait par Amour... Jusqu’au point d’en perdre la tête...


je me lance alors dans la guerre de la qui me sied bien mieux

Gustave FLAUBERT a écrit:
Un infini de passions peut tenir dans une minute.





d’instants d’éternité ma vie est faite.
pas de doute sur ce que ceux ci peuvent alors être,
pas de certitudes non plus, le temps, les choses y perdant leurs valeurs,
pendant que les sens y découvrent les leurs...
Jeu 26 Fév 2004, 20:21 par Ri1kedesBêtises sur Citations

L'un sans l'autre

Une guerre qui n’a rien d’une guerre et c’est mieux ainsi! On pourrait conclure sur cette fameuse citation qui serait une sorte de réconciliation:

Citation:
Les femmes (i.e. les hommes), on ne peut pas vivre avec mais on ne peut pas vivre sans


Tourbillons positifs qui nous ménent vers la douce folie de la , ou tourbillons négatifs nous menant à grand pas vers la haine. Ne dit on pas qu’il n’y qu’un pas entre l’un et l’autre. On va finir par revenir à cet équilibre que cherche le couple, a la fois cherchant les opposés pour la découverte et les similitudes pour la facilité et le calme.
Une réalité incroyable. Nous sommes tellement différents mais aussi tellement proches...

Enfin je me permettrais de faire une proposition sortant de notre guerre pour arriver au point inverse: La ! Sa beauté, son exagération, sa folie... Tout ce qui fait par Amour... Jusqu’au point d’en perdre la tête...

Loyd Passionement vôtre aime
Jeu 26 Fév 2004, 13:42 par Loyd sur Citations

pour rétablir l'égalité peut-être...

Jean de la Bruyère a écrit:

Il arrive quelquefois qu’une femme cache à un homme toute la qu’elle sent pour lui, pendant que de son côté il feint pour elle toute celle qu’il ne sent pas.

    Extrait "des Caractères"


Ne soyons pas dupes, l’un vaut-il mieux que l’autre?

Mais s’il le faut, pour le cas où ces Messieurs n’auraient pas la courtoisie de reconnaître qu’il en est effectivement ainsi, j’userai peut-être alors d’armes identiques...





Une pétale de rose dans ma cagnotte
Mar 24 Fév 2004, 18:51 par Ri1kedesBêtises sur Citations

L'éternité n'est pas de trop

J’aimerais essayer de vous convaincre que l’Amour existe car si je ne suis pas celle qui vous ouvrira les yeux sur ce sentiment terrible, je me meurs si je n’en parle, ne l’écris ni ne le chante pour vous.
Pour moi il est source de joie et de terrible souffrance, il est et oubli de soi.
Je suis accro à l’Amour, j’y ai perdu mon corps et mon âme.
Ne me dites pas que je risque ma vie, j’ai le courage et le besoin d’absolu des grands sportifs, des artistes...
Mon Homme est mon Everest, il est mon chef d’œuvre et je n’aurai pas assez de temps sur cette terre pour réaliser mon rêve, ma conquête.
Mais comme l’écrit si bien François Cheng, j’ai l’éternité devant moi.
Je vous espère que une Mona Lisa...
Bisous
Isabel

aime
Lun 16 Fév 2004, 13:54 par Isabel sur L'amour en vrac

You ain't the first, you've been the worst

Je n’avais pas encore écrit dans cette rubrique ...et bien voilà qui est fait...comme dirait didier barbelivien "à toutes les femmes que j’ai aimé avant....pom pom....pompom" grin bon allez la suite est moins drôle mais on s’accroche hein tsur


Eve et les autres

A réver, vous m’avez aidé
A murmurer, vous m’avez troublé
A écouter, vous m’avez initié
A aimer, vous m’avez résigné
A regretter, vous m’avez fragilisé
A oublier, vous m’avez apaisé
A pleurer, vous m’avez forcé
A un autre ...vous m’avez préféré

Vos influences, vous m’avez réveillé
Vos évidences, vous m’avez subjugué
Vos impertinences, vous m’avez agacé
Vos apparences, vous m’avez trompé
Vos différences, vous m’avez charmé
Vos confidences, vous m’avez livré
Vos défaillances, vous m’avez avoué
Vos absences ....vous m’avez blessé

Ma méfiance, vous avez dépassée
Ma peur, vous avez combattue
Ma présence, vous avez appréciée
Ma douleur, vous avez soignée
Ma confiance, vous avez obtenue
Mon coeur, vous avez décroché
Mon innocence, vous avez enterré
Mon bonheur ...vous n’obtiendrez jamais

De la vie, vous m’avez tout appris
Du respect? vous le méritez
De la tendresse ? voulez vous que je vous blesse ?
De l’amitié ? offrez-moi votre complicité !
De l’amour ? je fuis et crie au secours
De la , vous vouloir à la déraison
De l’amertume, jusqu’à ce que je me consume
De la fidélité ...tout ça pourrait durer
Mar 20 Jan 2004, 09:51 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac

Amour papillon

    Le petit matin m’a trouvé brulant.
    Et moi je t’ai trouvé à coté de moi, nue.
    Je t’ai prise, alors doucement,
    Pour que tu te reveilles, d’abord doucement.

    Quand le cocon de la couette fut délicatement déchiré,
    La vision ton corps de nymphe, tiède et fragile,
    De tes seins ronds et genereux,de tes jambes promises,
    M’ont donné envie de te gouter, toi nectar de ma jouvence.

    Tes levres, entrouvertes comme tes yeux assoupis,
    Furent la rosée que je degusta ce matin,
    Et le festin continua, lorsque je m’en allai
    Faire mes hommages à tes si jolis seins.

    Ton ventre fut mon terrain de jeu.
    Je virevoltai dessus, l’embrassant, le lechant,
    Et ta main dans ma nuque,
    Fut le guide de tes tourments.

    Lorsque dans un soupir plaintif tu m’invitas,
    A achever mon épopée, me rendre dans ta vallée
    De ma fougue et ma je t’investis
    Au plus profond de ton intimité.

    Tu m’amenas à mon solstice,
    Je te guidai vers ta lumière,
    Et nul matin n’as jamais vu,
    Ainsi plus beau papillon naitre
Jeu 15 Jan 2004, 10:18 par PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses

in "Aurore" de Jean Paul Enthoven (grasset)

J’aurais pu mettre ce post dans la catégorie "citations"
--> ben voilà c’est fait grin

Mais la dernière perle de Hugo offerte par Petitprince mérite à mon avis de rester plus longtemps en première page clin
--> ben ça aussi c’est fait amuse

Victor Hugo a écrit:
"Il faut s’aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l’écrire, et puis il faut se baiser sur la bouche, sur les yeux et ailleurs"


Alors comme ici nous sommes dans le "monde parfait", (ben non on n’y est plus andouille va ! debile ) où l’on doit évoquer des gens croisés au hasard de notre vie, je voudrais remercier un écrivain pour des mots qui m’ont permis de comprendre que l’amour est chose compliquée.
Rien de nouveau là dedans me direz vous ...sauf que l’on a parfois l’impression d’être seul sur Terre à ressentir des sentiments que l’on juge inacessible au commun des mortels. A travers cette lecture, je me suis rendu compte que ce que j’avais pu ressentir n’était en fait que de l’amour (ou devrais je dire de la ), et en tout cas, quelque chose d’apparemment bassement universel. Alors, grâce aux mots de cet auteur, qui décortique avec talent les tourments de l’esprit, je me sens moins seul ... et surtout moins fou passur2

Désolé enfin d’être toujours un peu sombre alors que certains s’évertuent ici à distiller de la bonne humeur. Mais j’espère que ceux qui manient avec habileté l’introspection trouveront là matière à cogiter. Désolé aussi d’être un peu long ....

Avant de rencontrer Aurore, je ne savais pas que l’amour était un long processus d’anéantissement. Et je ne savais pas davantage, avant qu’elle ne me l’apprît, qu’il y avait, au terme de ce processus, un miroir dans lequel le hasard impose de s’observer, puis de découvrir avec dépit qui l’on est. Ce fut, dans mon cas, une intoxication méticuleuse. Une noyade. Un enchevêtrement de chaînes mentales, de causes et d’effets, dont l’ensemble précipita des évènements où je me suis cru subjugué par un ennemi habile alors que j’y étais mon seul tyran.
Certains prétendent que, dans cette expérience, on meurt utilement, et afin d’accéder à un destin mieux accompli. Ils se trompent. Ou ils mentent. Car j’ai pu vérifier, à la faveur d’une histoire singulière, que l’amour n’impose que la compagnie d’une part inutile de soi-même. Et que l’on s’y mesure à une déchéance qui aurait pu, aussi bien, en choisir un autre.
Cette déchéance, que j’ai d’abord accueillie sans déplaisir, ne mérite aucun égard. Elle est cruelle, orgueilleuse, détestable. Elle trouve sa source dans des arrière-mondes où il vaut mieux ne pas s’attarder. C’est un mauvais maître dont le pouvoir tient à l’avidité de celui qui lui réclame sa dose d’humiliation. Est-il même indispensable, après tout, de découvrir qui l’on est ? Et n’y a-t-il pas plus de joie à se méconnaître, et à se perdre de vue ?
Avant de rencontrer Aurore, je n’avais de moi-même, qu’une perception vague mais heureuse. J’avançais à mon rythme. Je posais sur les êtres et les choses un regard indifférent. J’étais inachevé, mais une vie m’attendait dans cet inachèvement. Je ne savais pas, à cette époque, que l’amour dévore par prédilection ceux qui exigent chacun des supplices qu’il promet.


Bouquin à lire absolument pour ceux qui aiment ... l’amour aime
Sam 13 Déc 2003, 12:33 par la_tulipe_noire sur Citations

Re: question suivante ...

la marquise de sade a écrit:

" Quelle chose la plus incongrue vous a le plus séduit chez une femme/ un homme? "


A mon tour de répondre à ma propre question ... grin mais avant de vous dire la chose la plus incongrue qui m’a un jour séduite, il semble important que je précise ce qui me séduit chez l’autre en règle générale...

Adolescente, sans doute parce que je proviens d’une famille hyper catholique et pratiquante jusqu’au bout des doigts, où la rigueur, la droiture, le travail, la famille étaient les valeurs clés de notre éducation, je me suis rapidement sentie attirée par tout ce qui allait à l’encontre de cela ! huh Mes petits amis de l’époque portaient boucles d’oreille ou percing (voir les deux hihi ) , cheveux longs, noirs, bleus, verts, rouges ou toutes autres couleurs harmonieuses bete , sur les épaules, ou dressés au milieu de la tête, jean’s troués, pantalon à ligne, salopette, ou la totale en noir , tatouages à divers endroits du corps , fumant plus que de raison et plus qu’autorisé exclusivement bob , idées des plus folles, des plus antisociales, des plus bizarroïdes, des plus révolutionnaires ... bref, tout ce qui pouvait arborer le côté rebel, qui avait au moins un drapeau du Che sur le mur de sa chambre ou qui ressemblait à Robert Smith me faisait craquer ! aime

Ensuite, grandissant un tantinet ... et cotoyant beaucoup les amis de mes frères et soeurs plus âgés que moi, je me découvris une pour les artistes ... poêtes en tout genre, musiciens, écrivains, peintres, acteurs d’occasion déclenchaient chez moi une admiration sans borne aime aime Je quittais ma periode Robert Smith pour ma période Rimbaud ! oh

La raison ... ou la société passur2 ayant modéré mes projets d’avenir, aujourd’hui j’ai quelque peu abondonné mes projets de vivre une histoire follement romantique avec Robert ou Bono, de même que de partager la vie tumultueuse d’Indiana Jones ou de Pascal obipso ! ouin (mais j’ai toujours dit que quand je serais grande je me marierais avec Albator .... et je ne désespère pas un jour qu’il revienne sur la Terre pour m’emporter dans son vaisseau pirate et me faire plein de petits Albatorets ! timide ). Aujourd’hui ce qui me séduit chez un homme ... c ’est sans doute son sens de l’a propos, sa facilité à manipuler le second degres, et sa faculté à être attentif aux autres ...

Et la chose la plus incongrue qui m’a séduite .... coeur c’est une collection d’écharpes de foot confuse (j’ai presque honte de l’avouer chut )

La marquise ... Commandante Che guevara des temps modernes !
Ven 28 Nov 2003, 13:17 par la marquise de sade sur La séduction

Relations adultérines

Je parlais d’intelligence, car bien souvent ces relations adultérines n’ont pas pour but de fonder un nouvel amour, une nouvelle vie. C’est simplement une du moment, et parfois même pas autant que cela ... Si bien souvent, c’est le besoin de reprendre confiance en soi, de séduire à nouveau de conquérir qui créé ces aventures d’un jour , d’une nuit ou un peu plus. Les hommes le comprennent plus rapidement que nous, et s’ils choississent des femmes mariées elles aussi, c’est pour eviter les dangers qu’une relation extra conjugale apporterait avec une femme libre, prete à construire un avenir. Ce n’est pas une fuite, c’est soit un calcul, soit la recherche d’une personne qui ressent les mêmes manques que lui, les mêmes besoins de se rassurer, les mêmes questions sur la vie de couple.

Quant aux pots cassés ... même recollés, il restera toujours une petite trace ... mais ils ne sont pas toujours cassés, ils sont parfois juste un peu ..usés..

La marquise ... glu interimaire mur
Jeu 06 Nov 2003, 08:44 par la marquise de sade sur Citations

De la tête et du coeur

Certes je ne regrette rien de ces aventures qui m’ont conduit a rencontrer des amours que je n’aurais pas su vivre autrement.

Les sens s’émoustillent par la voix, par les mots, par l’odeur, par la vue d’un physique, par la sensation étrange que l’autre est "compatible", désirable.

Les mails, les mp, toutes ces façons de communiquer n’éveillent certes qu’un seul de ces sens, mais avec une intensité frisant le déraisonnable. La se suscite, aussi, avec que des mots .
Jeu 30 Oct 2003, 01:11 par PetitPrince sur Amour internet
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Ecrire sur passion

Ecrire sur passion errance... tu jour..., un 14 juillet à Paris, Le roi Désir, L'Homme, l'Océan, mes deux amants, L'éternité, cet instant qui...., L'un sans l'autre, pour rétablir l'égalité peut-être..., L'éternité n'est pas de trop, You ain't the first, you've been the worst, Amour papillon, in "Aurore" de Jean Paul Enthoven (grasset), Re: question suivante ..., Relations adultérines, De la tête et du coeur,
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La citation d'amour

L'amour est borgne, la haine est aveugle.

Proverbe allemand.

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