Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur peau - Page 8 sur 27
Reve
J’arrive, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit,
Derrière toi, je suis caché.
Je t’observe, et rêve
Rêve de poser un foulard sur tes yeux.
Et d’y déposer, de doux baisers, sur ta peau couleur ambre
Tachetés de grain de beauté
Splendeur de ta féminité
Humer, tes doux recoins
De tes beaux vallons veloutés
Dont sous la coupe de mes mains tu en frissonnera
Liqueur onctueuse,
Ou je boirai à la source sans me rassasier de toi
Souffle de ton odorat qui s’accélèrera,je viendrai , cueillir le gout de ta bouche
Nos sueurs,s’emmêleront
Nos corps tourmentés de délice
Doux calice qui viendra se frotter contre toi
Mon ardeur attendra encore
Mes doigts se feront caresses
Mes gestes tendresse
Ton regard deviendra brulant
Tes yeux pétillants
Je te voudrai maintenant......
caressedesyeux
Mer 21 Juil 2010, 20:02 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Reve
J’arrive, sur la pointe des pieds
Et sans faire de bruit,
Derrière toi, je suis caché.
Je t’observe, et rêve
Rêve de poser un foulard sur tes yeux.
Et d’y déposer, de doux baisers, sur ta peau couleur ambre
Tachetés de grain de beauté
Splendeur de ta féminité
Humer, tes doux recoins
De tes beaux vallons veloutés
Dont sous la coupe de mes mains tu en frissonnera
Liqueur onctueuse,
Ou je boirai à la source sans me rassasier de toi
Souffle de ton odorat qui s’accélèrera,je viendrai , cueillir le gout de ta bouche
Nos sueurs,s’emmêleront
Nos corps tourmentés de délice
Doux calice qui viendra se frotter contre toi
Mon ardeur attendra encore
Mes doigts se feront caresses
Mes gestes tendresse
Ton regard deviendra brulant
Tes yeux pétillants
Je te voudrai maintenant......
caressedesyeux
Mer 21 Juil 2010, 20:01 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Le retour
Tu m’as attendue, je suis de nouveau là...
J’avais tant aimé ta main lâchant la mienne quand je t’ai fui, tes doigts caressant ma peau, disant que tu ne voulais pas me perdre...
Je suis là, de nouveau, avec le plus beau des sourires, celui de mon enfant, je suis indestructible, une montagne, un Haïku, un arbre, une vallée ...
Je reviens.
J’avais tant aimé ta main lâchant la mienne quand je t’ai fui, tes doigts caressant ma peau, disant que tu ne voulais pas me perdre...
Je suis là, de nouveau, avec le plus beau des sourires, celui de mon enfant, je suis indestructible, une montagne, un Haïku, un arbre, une vallée ...
Je reviens.
Mar 20 Juil 2010, 15:03 par
Plurielles sur Histoires d'amour
Suite confidenti-elle...
Comme la vie est jalonnée de coïncidences...
Elle, aussi, retrouve l’une de ses amies.
Cette dernière la questionne, à propos
du contenu de son petit sac en papier glacé.
Elle lui répond qu’il s’agit d’une nouvelle
fragrance, qu’elle déposera délicatement sur sa peau,
lorsqu’elle le rencontrera, prochainement...
Sûrement sage, son amie lui demande jusqu’à quand
elle va l’attendre, tandis qu’il y a tant d’hommes
qui seraient certainement heureux de partager
sa vie, ses soirées, ses week-ends, ses vacances
et même... ses "emmerdes"...
Elle réplique alors que, l’Amour et le désir
s’imposent...
Cependant, elle avoue que ses décisions récentes,
ont la valeur d’actes authentiques et qu’elle attend
qu’il se positionne enfin...
Et, qu’en effet, s’il reste figé,
c’est la réalité qui s’imposera.
Elle, aussi, retrouve l’une de ses amies.
Cette dernière la questionne, à propos
du contenu de son petit sac en papier glacé.
Elle lui répond qu’il s’agit d’une nouvelle
fragrance, qu’elle déposera délicatement sur sa peau,
lorsqu’elle le rencontrera, prochainement...
Sûrement sage, son amie lui demande jusqu’à quand
elle va l’attendre, tandis qu’il y a tant d’hommes
qui seraient certainement heureux de partager
sa vie, ses soirées, ses week-ends, ses vacances
et même... ses "emmerdes"...
Elle réplique alors que, l’Amour et le désir
s’imposent...
Cependant, elle avoue que ses décisions récentes,
ont la valeur d’actes authentiques et qu’elle attend
qu’il se positionne enfin...
Et, qu’en effet, s’il reste figé,
c’est la réalité qui s’imposera.
Jeu 17 Juin 2010, 20:22 par
évènement sur Parler d'amour
Valse
Elsa, Elsa, ton petit cul très pâle et ta petit bouche très vive, tes petits saignements de nez et des flaques un peu partout, et ce soleil qui n’est plus rond, une nuit versée dans les bocaux, aux poches trouées, aux rebords des paupières, sur la peau de fruits mûrs, dans tes mains, là on l’on vient se noyer, et des larmes soudain, comme notes de musique fânées, tombées d’ailes de corbeaux qui croissaient au dessus d’un champ immense,
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Très noir,
Très grand,
Où l’on perd sa paille et ses nielles, et ses sonnailles tressées,
Ou l’on contemple l’enchevêtrement des mains fermes,
Rêches,
Où l’on danse pauvrement, pour ce soleil qui n’est plus rond, pour un homme qui ne sait plus chanter,
Et pour une voix qui ne sais plus de chansons.
Elsa, on pourra danser sur des feux indiens, et verser les appétits crépusculaires dans l’aube, où tout rougit, et te réclame, où tout a faim.
Et je ne pourrais pas dormir, parce que j’ai des nuits dissoutes dans un verre d’eau. Alors on a joué a qui tutoie le soleil naissant ;
Et les plaines sans vie, et la neige en manteau,
Ont ôté leurs prépuces à l’herbe et l’hymen aux ruisseaux.
On est retournés dans ces champs,
Ces champs immenses bercés de blés, avec les murmures de rousseur jusqu’au bout des cressons. Et je marchais, je marchais a revers de pieds ; Je te tenais à bout de bras, mes mains vidées,
moites,
Avec des souvenirs de toi placardés au front.
Mes yeux ne peuvent plus voir, Elsa, mes yeux ne peuvent plus voir mes yeux ne te voient plus, et j’ai des petits orages aux mains creusés.
On danse, on valse, on change de mesure, et on change de pied, parce qu’Elsa est morte.
Tu es morte. Et tu es M comme du sable, et tu t’évapores lentement parce qu’Elsa merde tu es morte, tu es morte, je ne te reverrais plus je ne t’embrasserais plus, et on ira plus faire l’amour dans les lauzes et tu es morte, O de rien du tout, d’un grand drap vide qui ne cache plus rien, R du coup de fusil aux épaules, T de la mitraille, et de l’orage qui ne viens pas, E de rien, de merde de rien, tu es morte bordel, tu es morte merde, il faut vite aller arracher les ailes des oiseaux, il faut vite aller éventrer les petits tonnerres, il faut vite aller briser les barrages, boucher les éviers, disperser un peu de suie dans chaque œil, un peu de plomb dans chaque pas, un peu de haine dans chaque joue.
On danse, parce qu’il faut danser.
Je déchire les mesures. Et les sels. Et les poivrières se fanent, terrifiées. Les cosses se brises, les lits se déplient, des familles entières courent vers l’avenue, le ciel noir, un glaviot d’église sur les trottoirs. Je t’aime je crois. Ton cachemire porte ton sexe ; j’ai les yeux bouclés. Alors j’irais près de la mer, les poumons ouverts aux falaises, arracher une a une les lèvres des rochers.
Dim 13 Juin 2010, 10:12 par
Boris K sur Parler d'amour
Au bord de l'eau
Je me souviens, de ce fameux jour, il faisait très chaud, et la température était montée, avoisinant les trente degrés; Nous avions trouvé un endroit, reposant et frais. L’herbe haute et bien verte, nous invitait à nous coucher dessus. Il faisait encore très chaud, et l’air en devenait presque étouffant. Je suffoquais, et tu avais décidé de sortir ton mouchoir de la poche de ton bermuda, et de le tremper dans l’eau, afin de me rafraichir, le visage, puis les bras. Puis tu avais trempé tes doigts, que tu avais passé dans mes cheveux, je me sentais bien mieux....
Mais cela, ne te suffisait pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu’éclater de rire aussi. J’avais bien eu l’idée de te pousser dans l’eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l’eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j’en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j’avais enlevé et que je je t’avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j’’avais insisté.rapidement,et nu comme un ver , tu avais plongé dans cette eau , cette eau bien fraiche.Puis tu disparaissais aussi rapidement , à me demander ou tu était passé.je te cherchais, et je commençais à m’inquiéter , ne te voyant pas remonter à la surface.Mon cœur tapait si fort, l’angoisse montait subitement, mais j’avais senti,quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m’imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m’avais entrainé sous l’eau , et j’essayai tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j’y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m’avais embrassé dans le cou, me tapissant de petit baiser, qui me donnèrent des frissons.Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s’étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime,extase, de nos sens en éveil...
Je n’étais plus pareille, et toi non plus,On s’émerveillait , de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches , et le fait de se sentir si bien , dans un cocon de bien -être ,le temps s’était soudainement arrêté...
Mais cela, ne te suffisait pas, car tu avais décidé de m éclabousser à grandes giclées, et tu en riais si fortement, que je ne pouvais qu’éclater de rire aussi. J’avais bien eu l’idée de te pousser dans l’eau, mais tu avais été beaucoup plus rapide que moi, et je me retrouvai la au milieu de l’eau, mes vêtements collés à la peau, et la difficulté à les enlever car au point où j’en étais, autant les ôter. Ton regard devenant brûlant subitement, à la vue du spectacle, juste le temps de chasser cette mouche qui te tournait autour...
Dernier sous vêtement, que j’avais enlevé et que je je t’avais jeté à la figure, tu avais hésité à me rejoindre, mais j’’avais insisté.rapidement,et nu comme un ver , tu avais plongé dans cette eau , cette eau bien fraiche.Puis tu disparaissais aussi rapidement , à me demander ou tu était passé.je te cherchais, et je commençais à m’inquiéter , ne te voyant pas remonter à la surface.Mon cœur tapait si fort, l’angoisse montait subitement, mais j’avais senti,quelque chose me frôler les chevilles, et je mettais mise à hurler de peur de m’imaginer que cela pourrait être un serpent.
Tu m’avais entrainé sous l’eau , et j’essayai tant bien que mal, de remonter, à la surface mais j’y parvenais difficilement, et toi tu avais encore disparu, sans faire de bruit, tu étais arrivé derrière moi, posant tes mains sur mes yeux, et tu m’avais embrassé dans le cou, me tapissant de petit baiser, qui me donnèrent des frissons.Puis tu avais approché tes lèvres, de ma bouche, et tu avais mis tes jambes autour de ma taille, et nos langues s’étaient entremêlées dans un ballet rappelant la valse. Ultime,extase, de nos sens en éveil...
Je n’étais plus pareille, et toi non plus,On s’émerveillait , de cette parfaite symbiose, de nos corps si proches , et le fait de se sentir si bien , dans un cocon de bien -être ,le temps s’était soudainement arrêté...
Mer 09 Juin 2010, 07:58 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Présence, absence
Tu es dans mon cœur, et c’est toi qui le fais battre.
Tu es dans mes pensées et tu les illumines.
C’est à travers tes yeux que je vois le monde,
Et tu lui as donné de nouvelles couleurs…
Mais il manque à mes lèvres le velours de ta peau,
Il manque à ma peau la douceur de ton corps,
Il manque à mon corps la caresse de tes mains,
Et il ne manque à mes mains que de pouvoir t’étreindre…
J’aimais te sentir frissonner sous mes baisers
Sentir ton souffle, goûter ta chaleur, et vibrer contre toi
Dois-je ne plus vivre qu’avec le souvenir de ce bonheur ?
Ou dois-je espérer, Magali, que tu reviennes un jour ?
Tu es dans mes pensées et tu les illumines.
C’est à travers tes yeux que je vois le monde,
Et tu lui as donné de nouvelles couleurs…
Mais il manque à mes lèvres le velours de ta peau,
Il manque à ma peau la douceur de ton corps,
Il manque à mon corps la caresse de tes mains,
Et il ne manque à mes mains que de pouvoir t’étreindre…
J’aimais te sentir frissonner sous mes baisers
Sentir ton souffle, goûter ta chaleur, et vibrer contre toi
Dois-je ne plus vivre qu’avec le souvenir de ce bonheur ?
Ou dois-je espérer, Magali, que tu reviennes un jour ?
Dim 06 Juin 2010, 11:07 par
piertiteuf sur La vie à deux
Une nuit merveilleuse (chapitre deux)
Sept heures du matin, il la regardait dormir, un sourire béat, repensant à leur nuit, dont ils n’étaient pas encore assez rassasiés l’un de l’autre, alors que leurs ébats venaient juste de se terminer. Margaux venait tous juste de s’endormir. Leur soif d’amour était si intense, et leurs jeux si audacieux ...
Philippe, revoyait chaque scène; celle du foulard qu’il, avait posé sur ces yeux, ou sa cravate, autour de ses poignets, les effleurages de sa langue sur chaque parcelle de son corps, et ses caresses incessantes, quand elle arquait de plus en plus son corps contre le sien. La main de Philippe descendant dans son beau jardin, titiller sa fleur, déjà mouillée et gonflée, et dont sa sève coulait...
Les gémissements, qui devenaient de plus en plus intenses, la firent jouir. Un pur moment, pour ses yeux, lui qui se régalait de voir autant de beauté chez elle. Audacieusement Margot décidait à son tour, de prendre les initiatives, elle voulait aussi lui donner du plaisir.
Se délecter, surtout de sa peau de velours, le lécher, et l’emmener au point de non retour. Ses mains, qui le caressaient, voluptueusement, et son doigt, qu’elle salivait, à la rencontre d’un autre trésor. Occupée son autre main le tenait bien en main et en cadence, tantôt vite, tantôt lente, la jouissance n’était pas si loin. Elle approchait sa bouche, en le mouillant, et le happant soudainement. Il se retenait, encore, un peu, pour permettre à Margaux de se retirer. Sa semence était prête à jaillir sur ses seins dressés.
Ven 04 Juin 2010, 16:48 par
caressedesyeux sur Parler d'amour
Des épines et des orties
Quand le silence se fait amour,
Quand l’absence se fait velours,
A la violence d’un pétale
Qui s’élance et qui s’étale
J’irais là où nul ne va
J’irais là où tu ne vas pas
Du rouge et du métal,
Ta peau douce en étal,
J’irais, je ne sais pourquoi,
J’irais, je le sais en moi.
De folies dures
En oubli de soie
Il y a des roses qui ne piquent pas
Il y a des roses mortes pour toi
La vie est ainsi faite
De défaites en défaites
L’effet-mère au creux de toi
Cueille ce jour l’interdit :
Les épines et les orties.
Devenir soi a ce goût là
Que nul autre n’a
Libre
Quand l’absence se fait velours,
A la violence d’un pétale
Qui s’élance et qui s’étale
J’irais là où nul ne va
J’irais là où tu ne vas pas
Du rouge et du métal,
Ta peau douce en étal,
J’irais, je ne sais pourquoi,
J’irais, je le sais en moi.
De folies dures
En oubli de soie
Il y a des roses qui ne piquent pas
Il y a des roses mortes pour toi
La vie est ainsi faite
De défaites en défaites
L’effet-mère au creux de toi
Cueille ce jour l’interdit :
Les épines et les orties.
Devenir soi a ce goût là
Que nul autre n’a
Libre
Mer 02 Juin 2010, 08:41 par
jardinsecret sur La vie à deux
Prière
Peut-être à l’encontre de la raison ...
Depuis toi, il n’y a plus de saison.
Ta peau pour unique maison
Médite mon corps en oraison.
Candide assolé de blessures enfin sagace
Pour savoir que les sentiments sont fugaces
La dépouille de cette innocence agace
Dernière convulsion pour te faire place ...
Je ne suis pas grand chose.
Dans ton regard toute chose,
Le soutenir, je n’ose
De peur que mon coeur explose ...
Notre différence est ma richesse
De toi à moi
De toi avec moi
Effacer la moindre de tes tristesses
Et tant pis si ça dérange
Tant pis mon Ange
Je ne veux pas que ça change
Rien ne m’accroche comme tes phalanges
Rien n’est plus important
Qu’un temps, deux temps, trois temps ...
Que ce sourire que ces mots dessinent
Que je ne vois, ce qui m’assassine ...
Entre la Tour Eiffel et le lac
Un petit tour de magie
Que ta vision me claque
Pour stopper cette hémorragie ...
Coeur éparpillé
Recherche la main de son Aimée
Pour le rassembler
Dans un baiser
Depuis toi, il n’y a plus de saison.
Ta peau pour unique maison
Médite mon corps en oraison.
Candide assolé de blessures enfin sagace
Pour savoir que les sentiments sont fugaces
La dépouille de cette innocence agace
Dernière convulsion pour te faire place ...
Je ne suis pas grand chose.
Dans ton regard toute chose,
Le soutenir, je n’ose
De peur que mon coeur explose ...
Notre différence est ma richesse
De toi à moi
De toi avec moi
Effacer la moindre de tes tristesses
Et tant pis si ça dérange
Tant pis mon Ange
Je ne veux pas que ça change
Rien ne m’accroche comme tes phalanges
Rien n’est plus important
Qu’un temps, deux temps, trois temps ...
Que ce sourire que ces mots dessinent
Que je ne vois, ce qui m’assassine ...
Entre la Tour Eiffel et le lac
Un petit tour de magie
Que ta vision me claque
Pour stopper cette hémorragie ...
Coeur éparpillé
Recherche la main de son Aimée
Pour le rassembler
Dans un baiser
Mar 01 Juin 2010, 16:14 par
jardinsecret sur L'amour en vrac
Une passion... c'est quoi?
Une guêpe m’a piqué d’amour,
je suis couverte de toi, depuis ton bonjour.
Et j’ai eu beau gratter ma peau, tous les jours de bas en haut
ça n’y fais rien...
Comme la piqure ne désenfle pas, je m’suis mise à avoir peur,
peur de toi et moi...
Mais l’amour est fait ainsi, on a beau désinfecter, ça n’y fait rien...
Zaza que partage Loyd
je suis couverte de toi, depuis ton bonjour.
Et j’ai eu beau gratter ma peau, tous les jours de bas en haut
ça n’y fais rien...
Comme la piqure ne désenfle pas, je m’suis mise à avoir peur,
peur de toi et moi...
Mais l’amour est fait ainsi, on a beau désinfecter, ça n’y fait rien...
Zaza que partage Loyd
Sam 29 Mai 2010, 00:27 par
Loyd sur La vie à deux
Etre ta princesse
Mes yeux se sont posé sur toi , que j’ai trouvé beau
Et je voudrai, t’aimer.
Te serrer contre mon corps tous simplement
Et en connaitre toutes les saveurs
Du gout de tes lèvres
A la douceur de ta peau
A sentir que tu me désires autant que moi
Être tous simplement endormie à cote de toi.
Et te prodiguer de douce caresse.
De ma tendresse longtemps refoulé
Que je garde au fond de moi depuis si longtemps
Car mon sommeil m’a plongé à ne plus rien ressentir , et à ne plus rien donner.
Mais tu es apparu.
Et mon cœur s’est emballé.
Cette envie de partager cela avec toi, et rien que toi...
caressedesyeux
Mar 25 Mai 2010, 19:36 par
caressedesyeux sur Mille choses
Tel que je revais de toi
La nuit vient de tomber,
Il n’y a pas un seul bruit
Mais seulement cette pluie fine,
Qui ruissèle à travers nos corps enfiévrés.
J’ai espéré cet instant
Car dans mes rêves les plus fous
Je t’imaginais, tel que tu étais;
Belle brune aux yeux noisette
Aux taches de rousseur
A la peau si blanche.
Tu as conquis mon cœur.
Sentir ta bouche sur la mienne, tel un papillon, et qui m’effleure, si légèrement.
Mes mains explorent la moindre parcelle de ton corps.
Caresser, les courbes parfaites
J’entends, déjà ton cœur battre si fort.
Je te ferai mienne,
Car je sais maintenant que je suis amoureux de toi
caressedesyeux
Ven 14 Mai 2010, 19:47 par
caressedesyeux sur Mille choses
Une soirée bien arrosée
Le champagne va couler à flot
Sur ta douce peau.
Une soif intense
De tremper mes lèvres.
A la lueur des bougies , je n’ai pas fini.
Je déroule tes bas résilles
Arrache avec mes dents, ton juste-au corps sexy.
Je te prodigue des caresses les plus folles
Les plus audacieuses
Les plus sensuelles
Et je m’émerveille de gouter à tes lèvres
Dont la saveur sucrée affole mes sens
Si douce et si exquise, entre mes bras
Ton corps se plie contre le mien
Et je creuse un peu plus mes reins
En jouissant, d’une telle intensité
Que j’en suis bouleversé
Je n’ai qu’une hâte
C’est de recommencer.
caressedesyeux
Sur ta douce peau.
Une soif intense
De tremper mes lèvres.
A la lueur des bougies , je n’ai pas fini.
Je déroule tes bas résilles
Arrache avec mes dents, ton juste-au corps sexy.
Je te prodigue des caresses les plus folles
Les plus audacieuses
Les plus sensuelles
Et je m’émerveille de gouter à tes lèvres
Dont la saveur sucrée affole mes sens
Si douce et si exquise, entre mes bras
Ton corps se plie contre le mien
Et je creuse un peu plus mes reins
En jouissant, d’une telle intensité
Que j’en suis bouleversé
Je n’ai qu’une hâte
C’est de recommencer.
caressedesyeux
Lun 26 Avril 2010, 12:05 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Sentir
Sentir ta présence, ta chaleur...
Sentir ton souffle s’accélérer...
Sentir ta peau...
Sentir sous mes mains chaque parcelle de ton corps, chaque aspérité, chaque orifice, te caresser...
Sentir ton plaisir, et le lier au mien...
Sentir le temps s’envoler, comme nous...
Sentir tout cela à n’en plus savoir si c’est un rêve...
Sentir ton souffle s’accélérer...
Sentir ta peau...
Sentir sous mes mains chaque parcelle de ton corps, chaque aspérité, chaque orifice, te caresser...
Sentir ton plaisir, et le lier au mien...
Sentir le temps s’envoler, comme nous...
Sentir tout cela à n’en plus savoir si c’est un rêve...
Dim 18 Avril 2010, 09:21 par
Devetu sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur peau
Reve, Reve, Le retour, Suite confidenti-elle..., Valse, Au bord de l'eau, Présence, absence, Une nuit merveilleuse (chapitre deux), Des épines et des orties, Prière, Une passion... c'est quoi?, Etre ta princesse, Tel que je revais de toi, Une soirée bien arrosée, Sentir, Il y a 396 textes utilisant le mot peau. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
![]() | Des désirs et des hommes |
![]() | Journal intime de mon sexe |
![]() | Les Principes d'Erthy Editions le Cercle |
![]() | Itinéraire d'une scandaleuse |
![]() | Infidèles : Nouvelles érotiques J'ai lu |
![]() | Le Parfum Le Livre de Poche |
![]() | J'ai renoncé à vous séduire Desclée de Brouwer |
![]() | Ecrire, un plaisir à la portée de tous : 350 techniques d'écriture créative Editions d'Organisation |
![]() | Le Joyau Blanche |
![]() | Cinquante nuances de Grey JC Lattès |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Ecrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas il n'est qu'écriture.
Cocteau.
Cocteau.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Sam 25 Oct 2025, 05:13
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 50 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 50 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 543 le Dim 05 Oct 2025, 19:42
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes











