Me noyer en ce champs de violette

Je ne résiste pas à relire, encore et toujours,
Ta dernière lettre qui est, pour moi, un vrai délice
Une magnifique symphonie de mots d’amour.
En la lisant, dans un tendre songe, je glisse
Nous revoilà dans la plus belle de nos journées,
Un merveilleux rêve dans lequel je nous projette,
Mes cheveux étaient soigneusement décorés de violettes,
Et nous étions, tous deux, dans l’herbe, couchés,
À profiter pleinement de ce beau soleil brûlant
Dans ce cadre agréable, je me suis assoupie doucement
Bien détendue, comme endormie, mais pas tout à fait :
L’œil en coin, je t’observais en secret !
Te voir me détailler valait bien la de tricher
Je savourais, de tes yeux posés sur moi, le profil,
Mon regard bien caché derrière mes longs cils
À me demander ce que tu allais encore inventer,
Pour agréablement me surprendre.
Tu as commencé par me chatouiller
Dans l’échancrure de mon décolleté
Et j’ai aimé cet instant doux et tendre
Puis tu as ouvert un à un mes boutons
Et tu as posé tes lèvres si délicatement
Que j’en ai eu un délicieux picotement
Mon adorable polisson
Ta tête a soudain plongé dans mon cou
Le couvrant de tes brûlants baisers
Et tu n’avais plus envie d’arrêter
De m’embrasser comme un fou
Tu respirais l’odeur de mes longs cheveux
Les effluves, en devenaient si forts :

Parfum de violette si présent et capiteux
Qu’il s’empreigne dans tous nos pores
Enivre-toi encore de la saveur odorante de ma peau,
Plonge une fois de plus dans le cœur de ta Juliette,
Pénètre-toi davantage de cet arôme de violette
Laisse-toi envoûter par le charme de ces jolies fleurs
Gage de notre amour et de notre bonheur
Mon tendre Roméo
Lun 20 Fév 2012, 18:14 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Si seulement

J’aurais aimé être la reine qui aurais gouverné ton cœur,
J’aurais voulu être celle qui brise les barrière de ton malheur,
Celle qui n’aurais pas besoin de changer pour enfin t’appartenir,
Celle qui aurais du juste t’aimer pour se forger un avenir,
Cette douce fille qui aurais été tienne jusqu’à la fin,
Cette tendre fille qui aurait brisé ces murs qui nous retiens,
Une douce larme qui coula sur ta joue,
Un tendre baisé qui s’égara au creux de ton cou,
Qui se battrais pour n’être qu’à toi,
Qui dormirais chaque nuits au creux de tes bras,

J’aurais aimé être la clé celle de tes songes,
J’aurais voulu être la vérité qui tus tes mensonges,
Celle qui n’aurais que toi pour lui prendre la main,
Celle qui aurais tous car tu lui appartient,
Cette simple fille qui ne veut que toi,
Cette triste fille dont le destin ne rime qu‘avec ta voix,
Une douce caresse preuve qu’elle te touche,
Un doux baisé à la caumosure de ta bouche,
Qui serais l’élan pour te faire changer,
Qui est devenu celle que les tabous ont brisé,

Mais à présent
Je ne suis ni la reine de ton cœur, ni celle brisant tes malheur,
La clé de tes songes ne m‘appartient pas,
La vérité de tes mensonges je ne la connaît pas,
Celle qui en voulant t’appartenir c’est égaré,
Celle qui en croyant tant à l’avenir n’a pus y accédé,
Cette fille qui aurais du accédé à la lune mais qui n’a touché qu’à les étoiles,
Cette fille qui a fait s’envolé la brume et a levé le voile,
Une tendre blessure que les souvenir assaille,
Une fine douleur que crée cette entaille,
Qui aurais tous donné pour toi sauf une seule chose,
Qu’hélas-tu lui a demandé ….

Plus qu’une larme sur ta joue elle n’est plus rien,
Rien qu’un murmure qu’à laissé ces liens,
Liens que même le temps n’a pu détruire,
Détruit par ton nom qui te fait marcher droit….
Si seulement………s‘aurais pus être moi…………


Rêveuse éternelle[/u]
Dim 19 Fév 2012, 12:47 par Rêveuse éternelle sur L'amour en vrac

Lasse, je t'aimais.

Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.

Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la .
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par maisonverte sur Parler d'amour

Prise de vue




Midi ! Un soleil timide à traverser les nuages qui s’amoncellent dans un ciel gris-acier. La journée promet d’être des plus ennuyeuses. Ma petite paresseuse vient tout juste de se lever et ne s’est pas encore habillée. Elle déambule à demi-nue dans les pièces de notre chaumière réchauffées par le bon feu qui crépite joyeusement dans l’âtre de la grande cheminée du salon... La chipie m’a subtilisé l’appareil photo dont je me sers pour ma modeste entreprise de photographe et compte bien s’en servir pour me mitrailler sous toutes les coutures... Elle sait pourtant que, malgré mon métier, je déteste être pris en photo... Cela peut paraître étrange mais je ne me trouve pas photogénique, bien qu’on m’ait souvent affirmé le contraire. Reste qu’on ne se refait pas et j’ai des pulsions épidermiques chaque fois qu’on a voulu immortaliser mon portrait. Un léger bruit m’informe de la mise en œuvre de son projet. S’engage dés lors une course poursuite, à travers toute la maison, au bout de laquelle j’arrive tout de même à lui reprendre l’appareil...Et le fin tissu qui peinait à la recouvrir. Très fier de ma victoire, j’exhibe mon trophée quand une mimique de ma partenaire titille l’intérêt de mon œil d’artiste. Là, au milieu du salon, complètement nue, elle fait le singe. Se cachant derrière le mobilier et n’en sortant que pour me narguer d’une grimace. C’est alors à mon tour de m’amuser à la photographier, surtout quand elle fait sa chipie, et qu’elle ose me tirer la langue...

Elle s’amuse, à me provoquer en minaudant et en lançant des lazzis qui heurtent ma virilité. Elle en rajoute, en trémoussant son nez, son postérieur et toute une autre série de simagrées destinées à m’aiguillonner et qui ne réussissent qu’à me faire rire. Puis, voyant que son manège n’a pas de prise sur moi, quand on prend des mioches irascibles en photo on apprend à calmer ses pulsions ou on change de métier, elle prend un air de garçon manqué, allume une clope, met sa casquette de gavroche, et me fixe effrontément dans les yeux...Elle a, à ce moment, une beauté qu’il m’est impossible de décrire tant se mêlent un sentiment d’amour, de désir, d’admiration qui confineraient à l’adoration...Si seulement elle consentait à garder la pose ! Une si jolie coupe à la garçon qui me rappelle une grande et talentueuse actrice disparue, se prénommant Katherine... Katherine Hepburn ! Un petit air mutin, qui ne me déplaît pas et qui m’avait fait craquer la première fois que l’on s’était rencontrés. Je m’en souviens encore, c’était à une vente de charité. Elle, en train de verser de la soupe chaude dans les bols, et moi qui venait faire un reportage-photo sur les exclus de cette société de consommation. Sans se soucier de mon emploi du temps ou de mes intérêts professionnels, elle m’avait collé un miséreux m’enjoignant de le raccompagner au centre d’hébergement le plus proche. Son culot et son aplomb m’avaient fortement impressionné et je dus à la providence que le clodo m’abandonne sur le trottoir pour aller, de son côté, faire la manche...

J’en avais profité pour faire plus ample connaissance en prétextant une vaseuse exigence d’excuses pour le comportement quelque peu désinvolte qu’elle avait eu à mon égard et fus surpris d’apprendre que derrière l’apparente désinvolture se cachait toute une étude psychologique de l’individu mâle de milieu moyen. Personne de sensé ne pouvait refuser, sans se sentir coupable de mesquinerie, d’accéder à la requête d’une très belle jeune femme en détresse. Grâce à son charme et à son toupet, elle avait réussi à caser des dizaines d’indigents dans différents centre. Une telle beauté alliée à une telle intelligence, je me devais de mieux la connaître. C’est ainsi que je l’épaulai dans sa mission. Et c’est ainsi que j’en fis ma compagne...Mais pendant que je me remémore ces merveilleux instants du passé, ma chipie continue son cirque et je m’aperçois que je continue à la mitrailler alors que mon appareil indique ’’Full’’. Je le dépose avec délicatesse dans son emballage comme on poserait un bébé dans son berceau quand le poids de mon amie me tombe dessus d’un seul coup. Elle en a assez des singeries et recherche un contact plus valorisant. Je l’empoigne et la retient. Elle se débat comme une chatte réclamant des caresses mais qui exige qu’on la dompte. J’écrase un baiser sur ses lèvres et je la sens fondre...Prête pour un câlin plus approprié...Que j’aime cette chipie !
Mar 13 Déc 2011, 15:44 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Un amour infini

Bonjour petite fée,
Je t’amène ce présent.
Et puisse-t-il te prouver,
Ces choses que je ressens.

Ta lumière est un graal,
Un trésor bien secret.
Tu ne sais faire le mal,
Ton amour est parfait.

Tu peux voir le passé,
Accepter tes faiblesses.
Laissons ces jours hantés,
Oublions ces bassesses.

Car désormais cher ange,
Tu commence à briller.
Tu te plonge dans un Gange,
En ressors purifiée.

Je suis fier car hier,
Tu as jeté mes s.
Je te sens grande et fière,
Je te sais enfin saine.

Peut être doute-tu aussi ,
D’être celle que je louange.
Je le répète ici:
Tu as tout d’un bel ange !

C’est désormais chose faite,
Oublions nos bêtises.
Acceptons nos défaites,
Ressens tu cette brise?

Un vent nouveau nous porte,
On voudrait l’enlacer.
Écoute le, il exorte,
Il est la Vérité .

Au fond de moi je sais,
Que tu as le pouvoir.
Et je te vois tout prêts,
D’accepter un espoir.

Je veux te voir radieuse,
Il suffit de cette !
Enfin te voir heureuse,
Et délaisser la haine.

En cet instant je t’aime !
Et glorifie les cieux,
D’avoir voulu qu’on sème,
Quelques graines pour le mieux.

En cet élan je t’aime !
Car tu es magnifique...
Je te vois qui parsème,
Un amour authentique.

À cette heure je t’adore !
Mon coeur pleure de t’avoir !
Tu es un être en or,
Telle une œuvre d’ivoire.

Je te serre contre moi,
Pour t’offrir cette chaleur.
Je te prends dans mes bras,
Et t’enlace pour des heures.

Mon amie tu le sais,
Je suis là sans réserve.
Et quel que soit ton souhait,
Je veux que je le serve.

Mon cœur est plein d’envies,
Mais surtout celle de voir,
Ton retour à la vie,
Et la paix dans tes soirs.

Pour moi tu es une muse,
Et tu guide ma bonté.
Je me nourris, jabuse !
De ta divine clarté.

Tu mérite le bonheur,
Tu as assez souffert.
C’en est assez pour l’heure,
Le passage est ouvert!

Ce modeste présent,
N’est pas juste un écrit.
Ce n’est pas moi, parlant,
Mais la vérité qui crie!

Je ne suis que le scribe,
Du plus pur des élans.
C’est ici que j’exhibe,
Tout l’amour
 qu’Il ressent.

L’Univers est en toi,
Tu ressens sa puissance!
Les étoiles brillent sur toi,
Elles te guident vers la chance!

Puisse donc le ciel t’offrir,
Une lumineuse journée.
Moi même je fais partir,
 Toutes mes preuves d’amitié.

Encore une fois merci!
Et pour toujours je t’aime!
De cet amour infini,
Où ton âme me ramène.

Je te fais mille baisers!
Je te souhaite mille merveilles!
Tu peux aller en paix,
Car ton coeur se réveille :)
Jeu 17 Nov 2011, 08:07 par ChanG sur La déclaration d'amour

Lorsque tu vis

Je ne suis plus triste
et je n’ai plus de sort
depuis que t’es artiste
depuis que t’es dans mon corps
je n’ai plus peur de la piste
je n’ai plus peur de la mort
je ne suis ni autiste
ni je n’ai tous les torts

Je n’ai plus non plus de raison
je ne cherche pas à me justifier
je ne cherche pas de poison
ni comment on peut s’antidoter
je ne cherche plus pourquoi
j’ai même troqué mes émois
j’ai vendu ma
contre un peu de toi
j’ai vendu ta laine
contre un peu de moi
je t’aime nu en moi
tel un manteau contre le froid
comment? torride sans effroi

Je ne veux plus, ce en quoi on croit
ni ce que l’on voit
je veux toucher, sans gant,
à m’en salir les mains,
tu sais bien que dedans
tu n’y crains rien
tu sais bien que ta peur ne vaut rien
que ta douleur ne veut rien
tu sais bien
mes câlins
sont ton seul remède
ton seul sein
ton seul actifed

ce destin
sur ton chemin

là où tes yeux te mènent

où ta main te guide

où tes rêves traînent

où tu es plein sans avide

celui où tu te vides

où tu t’enivres

le seul où tu sâches vivre.
Dim 30 Oct 2011, 21:03 par inlove sur Les liaisons sulfureuses

Virtuel vs réalité

Il n’y avait malheureusement que la déclaration qui était virtuelle. Le moindre mot de mon texte est basé sur la réalité. Basé sur une discussion légère entre deux êtres qui se découvrent à et se confient sur ce que serait un jardin et un paysage idéal.

Voilà la part de rêve réside dans le fait qu’un de ces deux êtres a été plus rêveur que l’autre... Il était sur un nuage, mais le nuage s’est dissipé et le type est tombé, de très haut, à moins qu’il ne se reforme, on ne sait jamais. Certains croient au père Noël alors pourquoi pas un miracle. :D
Jeu 13 Oct 2011, 17:39 par _curieux_ sur La déclaration d'amour

Charlotte et les fraises



Comme tous les matins, Charlotte se lève, en sachant déjà que des fraises l’attendent. Elle ne se pose même plus la question de savoir qui met un bol sur le palier devant sa porte. Elle ouvre rapidement celle-ci, jette un coup d’œil à droite, puis à gauche et se dépêche de prendre le petit récipient tout en refermant la porte à double tour.
Elle vient vite s’assoir à la cuisine de peur que l’on ne lui vole, saupoudre légèrement de sucre cannelle et d’une touche de chantilly...
Tout en les dégustant, elle en arrive tout de même à se poser la question car Charlotte est curieuse. Et cela commence à l’intriguer sérieusement, même si généralement, elle ne se prend pas la tête.
Mais là, elle gamberge au point de se demander, s’ il n’y aurait pas du poison et qu’on vienne l’enlever "Pfffffffffff ! ma pauvre fille, tu deviens parano"!
Bon elle a bien un voisin qui habite à coté de chez elle, mais il pourrait être son grand-père. Et franchement, elle le voit mal déposer un bol de fraise à son intention.
En fait, elle le connait très mal son voisin, car cet homme a la passion de cultiver un beau jardin de fleur mais aussi de fraises. Il n’est pas resté indiffèrent à cette gamine. Pour lui c’est surtout affectif, car il n’a pas de petite fille. Bien qu’il ai un petit fils qui ne vient jamais, car il est étudiant en médecine.
Les jours passaient, son bol de fraise chaque matin, elle menait sa petite vie bien tranquille, Charlotte...
Puis, un matin, comme d’habitude, toujours enthousiaste, elle se précipita à sa porte, mais resta perplexe soudainement : il n’y avait pas de bol de fraises.
Le lendemain et les jours suivants, il en fut de même.
Elle ne se leva plus aussi vite, resta au fond de son lit, devenant paresseuse.
Un beau jour, on frappa à sa porte, elle se demanda qui cela pouvait être. Elle enfila son peignoir, regarda à travers le judas.
Planté là, devant son perron, un homme tenait dans ses mains un bol de fraises.
Elle ouvrit, très suspicieusement, en se demandant de quelle planète il venait ? avec ces mèches vertes, dressés sur la tête grâce au gel d’une texture extra forte il ressemblait plus au San Goku d’une bande dessinée manga qu’à un étudiant en médecine...
Les jours ont passé et beaucoup d’eau a coulé. D’une part, finalement, Charlotte a eu beaucoup de en perdant un grand-père avec qui elle avait tissé ces liens si particuliers, et d’autre part, Tristan, était devenu médecin et sa coiffure ne ressemblait plus à ce qu’elle avait été. Sa plus belle joie était qu’ils vivaient ensemble et que Charlotte prenait soin du jardin, en cultivant de belles fraises, tandis qu’il avait installé son cabinet dans la maison de son grand-père. Il portait un regard plein d’amour à sa femme Charlotte qui s’attelait a sa passion.
Ven 09 Sep 2011, 13:59 par caressedesyeux sur Histoires d'amour

Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook)

1. La politique mon cul !
Ben oui! Qu’on le veuille ou non, ce n’est jamais qu’une histoire de fesses. Intéressons-nous d’abord à notre Président de la république. Pour que sa majorité de droite décolle, il faut bien qu’il joue un peu de la fesse. Aussi il caresse doucement la partie de gauche (dans le sens du poil) puis la soulève et " allume un pet "(à l’UMP), les idées n’étant pas que du vent, on sait comment polluer l’entendement de ses adversaires! En politique il est bon de protéger ses arrières. Un cul n’est jamais posé lourdement sur deux fesses quand il trône sur son siège. Un coup tu reposes sur la fesse de droite et demain prout!...le vent tourne à gauche. De ce fait, Il en va des idées qui fusent sur les deux bords de droite comme de gauche et il faut composer pour garder sa place bien au chaud. La démocratie en politique est un exutoire: c’est la chasse d’eau dans les toilettes pour montrer que l’on est propret sur soi. On fait mine de chasser les mauvaises odeurs mais " des mots crasses y " s’en balancent dans l’hémicycle de la cuvette. Les faux-culs sont nombreux, on en voit serrer les fesses, bien " centrés " assis sur leur banc. Pourtant ils ne sont jamais que des trous du cul qui viennent foutre la merde, pour parler poliment. D’autres faux-culs n’ont pas le courage de leur politique et ils font dans leur froc car pour aller de droite à gauche, tu passes irrémédiablement par le centre...
Mais regardons plus loin jusqu’en Europe maintenant. On constatera que l’air n’est guère mieux respirable: les " tire au cul " sont nombreux parmi les députés européens. Comme ils siègent à Bruxelles ils font choux gras et chacun apporte alors... sa petite commission!!!
Et le président du FMI, encore une histoire de fesse puisqu’il a fourré sa main au panier!
Mais alors me direz-vous une idée saine en politique c’est quoi? Ben, de fesse sûre c’est beau comme un clair de pleine lune. Une vérité qui luit et ne " nuit " à personne en faisant tache à l’obscurantisme!

2. Septembre c’est la saison des vendages. En " nœud-ô-lofesse " (on parle aussi de nœud-au-logis) ]on sait qu’il faut des grappes bien mûres et un cep bien ferme pour tirer le bon jus. Pour cela il doit bien entendu pousser sur de jolis coteaux inclinés. L’excellence de " chattes’ eaux "qui plus est dans le " mille s’y met " requiert un savoir-faire et pour tester le produit, tout l’art est de rouler dans son palais le breuvage pour en apprécier au mieux ses saveurs. Il faut alors le garder un certain temps en bouche, jouer des papilles avec sa langue et inspirer par le nez pour évaluer son bouquet avant de le recracher ou l’avaler....
Ah! Que vivement novembre quand coulera à flot le " Beau jeune lait " nouveau. Je me demande bien quel petit goût il aura: sera-ce la framboise, la fraise ou la banane?

3. Et la lumière déchue!
Aujourd’hui je suis nostalgique. J’ai le nez au plafond où pendouille une ampoule basse consommation. Si j’en juge par son éclat, elle porte bien son nom!...ça ressemble à rien, pas même à une bite. Nos vieilles ampoules avaient l’avantage d’être profilées comme un cul et montraient fière allure. Tout y préfigurait, passant du gaz inerte jusqu’au petit filament qui dessinait l’entre cuisse en son delta fuyant. Quand le flux électrique le portait à incandescence, il chauffait le cul de l’ampoule. Alors comme une sainte divinité, on la voyait s’auréoler dans un halo de lumière. C’était de l’amour en poésie et en réminiscence à ce " Beau derrière en l’air " je clame haut ses " verres "....

" Mon ange, mon cœur! Songe de douceur,
Nous vibrerons plus ensemble.
Là! Tout n’est plus qu’ordre sans beauté,
Lux?...certes! Mais sans âme ni volupté! "

C’est ce qu’on appelle la versification ampoulée.

4. En entomolofesse (et non en entr’mollofesse qui en vertu de la fesse concède vous le conviendrez à la vulgarité et non à la vulgairistion) donc en entomolofesse dis-je, il est un spécimen remarquable et ô combien intéressant: la coccyxfesse appelée encore " la fesse à bon Dieu "; car plaise à Dieu, nulle fesse pareille est si joliment rosée et potelée. Et ce qui la caractérise en dehors de sa pigmentation surprenante c’est ses grains de beauté épars en gros points noirs. La coccyxfesse n’est pas nuisible à l’homme, bien au contraire, elle s’accommode à tous les biotypes, jouant même le rôle d’insecticide naturel. Capable à elle seule d’avaler tous les vilains morpions indésirables qui " la bite " en son séant. L’heureux chanceux qui approcherait la coccyxfesse, naturaliste mordu dans le bon sens du terme, ne pourra que s’émerveiller au froissement de ses rondes parties. Et, si peu qu’elle daigne s’ouvrir, alors il vivra le vol nuptial car foi de coccyxfesse on sait de source sûre que: le " col obtempère " si aux fesses tu portes " bon heurt "!....

5. En scientifesse, il est un phénomène remarquable l’acoufesse. Rien à voir avec l’acouphène qui est cette sensation désagréable quand ça vous siffle dans les oreilles. Ici, ce serait plutôt lorsque l’on vous siffle dans le cul que ça vous cogne dans les fesses!

6. En spéléofesse, dans les substructions intra-utérine, la concrétion clitoridienne est excitée par l’inoculation du corps caverneux qui n’est autre que la " staillabite ": nom scientifesse pour bien le différencier de la stalactite et de la stalagmite car un coup il monte et un coup il descend!

7. En soufflerie aérodynamique, la fesse réagit comme une voile en vent arrière. Elle est d’autant mieux rebondie si on y va " gréement " sur la mâture! Dans le cas contraire, la fesse est plate. Elle fasèye le long du mat. Résultat, la propulsion est poussive. Il faut alors jouer de la godille avec souplesse dans le poignet pour activer le train arrière!

8. En électricité, la fesse produit deux sortes de courant:
- Le courant électrostatique: créer par frottement à l’aide d’un bâton sur le tissu plastico-fessier. Un frissonnement électro sensoriel se propage alors sur tout le corps.
- le courant électrochimique: créé par électrolyse, le bâton joue ici le rôle de cathode. Trempé dans le récipient fessier, en milieu " à-queue ", il fait naître par électrochoc un plaisir jouissif. Comme toujours quand lui fait le moins (il en n’a que foutre) la fesse fait le plus avec l’anode. Pas si anodine pour autant quand on pense que son côté pile lui permettra de recharger son « à-cul ».Quand la fesse est rebondie, on parle de pile « dure-à-selle » (l’effet de charge dure plus longtemps.

9. Parlons du programme scientifesse de " rase-muse ". C’est en quelque sorte l’idylle des jeunes pour vivre l’amour à " l’heure hop! ". Le jouvenceau ou jouvencelle en quête de cet amour sans frontière devra d’abord faire table rase de ses peurs sur le " pue-bien "; viendra ensuite l’enseignement de l’art au plaisir qui est de caresser sa " muse " sans avoir un poil dans la main!

10. Intéressons-nous un peu à l’airbag comme dispositif de sécurifesse. Au-delà de son incontestable effet pare-chocs, il serait prétentieux de croire que chez la femme il est plus développé seulement pour absorber les secousses du mâle en rut. Le malheureux, s’il savait, est bien souvent en-deçà de nos espérances et c’est à si la culbute nous ébranle! Plus sérieusement, il y a deux raisons essentielles à ce gonflement de l’airbag fessier. La première, c’est qu’il joue un rôle réparateur pour la future femme enceinte. Il rétablit son centre de gravité vers l’arrière pour une marche plus sûre et l’aide à compenser son balancement vers l’avant suite à son gros ventre. De plus, il sert d’amortisseur à d’éventuelles chutes. Mais la deuxième raison que l’on ignore c’est que toute femme, susceptible d’être un jour plaquée par son mec, si elle se relève non sans mal psychologiquement, sera toujours bien prémunie physiquement quand bien même la malheureuse en tomberait sur son cul. Comme quoi la nature est bien faîte !

11. le trou du cul se refermera-t-il un jour ?
Ici les gaz CFC (chlorofluorocarbone) ne sont pas les responsables du trou dont il est question qui, s’il doit se refermer un jour, se fera plutôt par absence de gaz. Oh ! Comme la vie sera moins « gay » pour certains. Triste aussi pour les autres, la vie de « fessoyeur »étant à proscrire par la perte du trou, ils devront se rabattre sur une vie plus « con-sensuelle ».Bien sûr, il y a du bon quand on pense que tous les « trou-balourds »ne seront plus à la fête. Reste un chant d’amour à réinventer pour autres poètes « trou-vers ». Une chose est certaine cependant, les petits trous du cul ne pulluleront plus à la surface de la terre et, par là même, ne pollueront plus notre existence. Il fera alors bon vivre le renouveau de la musique dans l’Art de faire du vent. Réentendre les violons des amours sous la main caressante de l’homme qui fait vibrer son âme. Car comme l’écrit Simon Leys en citant un personnage de Mario Vargas Llosa : « la vie n’est jamais qu’une tornade de merde dans laquelle l’Art demeure notre seul parapluie ! »

12. Du cerveau à la fesse et vice versa.
La fesse et le cerveau présentent des similitudes physiques. Deux lobes et un sillon qui les séparent. La tête contient le cerveau et le cul le muscle fessier, cependant les deux parties sont interchangeables. On connaît par exemple l’expression « avoir la tête dans le cul » ou « un cul à la place du cerveau ». Sans compter que l’on peut tomber sur le cul comme sur la tête et aussi se renverser le cul par-dessus tête. On voit alors comment ils sont complémentaires. De même quand il arrive à l’un de péter plus haut que son cul, il peut arriver à l’autre de péter un plomb. La complémentarité s’explique par le fait que si le premier ne manque pas d’air, le deuxième joint son « cervo-lant » pour tirer les ficelles.
Une chose établie, c’est que le cerveau reste en haut mais il est moins bien irrigué que les fesses situées en bas ; si tant que parfois se produit des fuites qui ne sont pas assimilables aux fuites de cerveaux. Toutefois une mauvaise irrigation du cerveau et c’est le trou noir qui se différencie de la fesse ; car si l’un induit l’AVC l’autre conduit aux WC… ce qui n’est pas tout à fait pareil !
Il existe aussi des zones du langage du cerveau, itou chez la fesse. Enfin, le cerveau est l’organe central de l’endocrinologie. Pour la fesse, c’est quand l’organe est centré dans le dos que l’on crie et l’on jouit.
Outre ces rapprochements, le cerveau et la fesse divergent aussi dans leur fonctionnalité.
Exemple : 1. Quand le cerveau se fait siège de la pensée. On dit parfois que l’on est dans la lune. C’est tout différent si aux fesses tu ressens un mal de « panse, et » hop ! Tu files au siège mais sur la lunette ! On comprend que l’approche métaphysique n’est pas la même.
2. On parle aussi du cerveau pour son effet placébo. Rien de tel pour la fesse qui, quand elle est plate, n’est jamais belle.

13. Vous avez tous entendu parler du pendule de « faux-cul ». Un brillant physicien a prouvé que le cul n’était pas une masse inerte mais bien un organe animé. Il vérifia ses dires en promenant un petit pendule au-dessus d’un faux-cul qui reproduisait un mouvement de vague en ondoyant sur deux belles fesses en gélatine. Il remarqua aussitôt l’oscillation du pendule. Conformément au principe d’inertie stipulant que le mouvement des objets est figé si aucune force s’exerce sur eux, l’expérimentation du pendule vérifia que la rotondité des fesses et ses fluctuations épidermiques exerçaient un réel pouvoir d’attraction, susceptibles de réveiller la flexion périodique d’un pendule. Attention ! Le pendule de « faux-cul » dont je vous parle ne se trouve pas au Panthéon mais bien dans le pantalon !

14. Un autre génie en physique, c’est Einstein avec sa célèbre équation sur la relativité E=mc2. Mais en vérité, cette formule lui fut inspirée par une belle paire de fesses. Eh oui !c’est dans un état de relativité somme toute foudroyante surgit par réaction de « fession »(le passage d’une beauté sculpturale et inattendue de fesses entraîne la réaction en chaîne atonique) que c’est manifesté sa torpeur soudaine, accompagnée d’une chaleur intense fusionnelle sur tout son corps et l’extinction soudaine de sa voix suivie d’une formidable envie de niquer : c’est l’action atonique ! Dans cette subite exaltation, le physicien balbutia alors son fameux E=mc2, qui décrypté dans sa formulation mathématique n’est autre qu’une élucubration astronomique signifiant. Einstein(E) aime(m) c’est deux(C2), en rapport bien sûr avec les voluptueuses fesses !...

15. Révélations symptomatiques inavouées sur la propagation du virus de la grippe A (grippe porcine) :
Les messages de prévention pour se prémunir contre le virus de la grippe A sont légions en ce moment. Il ne faut pas éternuer, se moucher de préférence dans un mouchoir en papier et veiller à bien le jeter à la poubelle en se lavant les mains après pour ne pas contracter le virus. Mais ce que l’on ne vous a pas dit, c’est que le virus est transmissible surtout par le pet ! Sans qu’il soit mentionné de rapports plus approfondis en scatolofesse, on a vérifié tout de même que, si un malade vous mitraille de la fesse, il lâche du « H1N1 ». C’est-à-dire en clair qu’il lâche une à une sa caisse. Sachant que le virus est très volatil, le port du masque à gaz homologué (voir mes phots pour plus de détails) est plus qu’indispensable : le porteur du virus étant malgré lui un vieux porc, le malheureux pète plus que de raison ! Alors un bon conseil, pour échapper à la pandémie porter le masque et tenez-vous à l’écart de toute pétarade intempestive. Défiez-vous aussi du partenaire un peu trop discret qui étoufferait son dégazage. Il y a un vieux truc pour le démasquer : le goret a forcément les fesses bien roses et comble de ridicule… il a la queue en tire-bouchon !

16. En historiofesse, on se doit de «comm’amore » la chute du « gland mûr » (prendre l’accent de Salvador Dali). Quand, de part et d’autre de la porte de « Branle-bourre », seul passage ouvert mais bien gardé, il s’érige toujours et encore sans jamais réussir à percer le « raie-dos »de deux fesses hystériques qui, « guère froides », n’en demeurent pas moins symboles d’ouverture et de pets !...

17. En économico-scientifesse, il faut se référer à l’illustre " Montes-coït " qui dans son livre " l’esprit de bon aloi " insistait sur les pratiques aux mœurs douces pour faciliter les échanges; insistant sur la valeur du billet doux ainsi que le côté " monnaie taire " pour jouer de la fesse et boursicoter malin.

18. En glaciolofesse, on note un phénomène qui est contraire à la glaciologie. En effet, si on prélève une carotte glaciaire, la plus vieille qui soit, un phénomène remarquable peut se produire si on ne prend pas toutes les précautions : à savoir qu’elle est susceptible de s’enflammer à l’air libre par la présence du méthane avec l’oxygène! Or, en glaciolofesse, c’est aussi une vulgaire affaire de carotte. Les femmes, on le sait, ont généralement les pieds glacés ; les fesses moins. Mais le mécanisme de glaciologie est inversé ici en ce sens que c’est seulement si on vient à lui plonger une jolie carotte, qu’elle sentira monter le feu aux fesses ! A-postériori, on peut rapprocher à cette observation, la réaction de « cri-au-logis ». Elle intervient à chaud et, n’a rien de commun avec la cryologie qui elle se produit à froid.
Lun 04 Juil 2011, 19:25 par Fessue de Naz'arête sur Articles

Un quai. deux personnes. un ciel bleu. quelques nuages.

Un quai. Un train rouge et jaune à l’arrêt sur la voie d’en face. Une foule tout près attendant la prochaine navette dans une chaleur étouffante. Des familles, des militaires, des vacanciers, beaucoup d’enfants. Deux personnes assises sur le béton. Jeans bleus, T-shirt blanc. Une grosse valise qui ferme à posée entre eux. Il est presque 15h15 d’après les grosses aiguilles de l’horloge de la SNCF, la machine de fer tractée par une vieille locomotive usée ne tardera plus et l’emmènera à la gare suivante… Attente. Un mot ou deux échangés dans le brouhaha ambiant. Le ciel est bleu. Quelques nuages blancs se transforment au gré d’un vent imperceptible. Matière en devenir, indéfinissable. Un lapin? Une tortue? Un lapin qui course une tortue? Ou plutôt un dragon? Ces formes auxquelles on ne peut s’empêcher de donner un nom, un sens, une essence plus proche de notre quotidien. Tel un artiste voulant créer à partir de rien quelque chose qui lui semble intelligent, pertinent, mais quelque chose dont il peut être fier, quelque chose qui vient de lui, ce rien qui devient sa création. Réflexions inutiles mais plaisantes sur ces amas de gouttelettes d’eau suspendus dans l’atmosphère. Discussion. Sur tout et sur rien. Les minutes passent. Lentement. Agréablement.
Ven 27 Mai 2011, 13:21 par Tenshi sur Un monde parfait

Pastiche...

Pas vraiment une citation, mais je me suis essayé à l’exercice qui consiste à pasticher (gentiment) une œuvre connue, pour en faire un texte un peu fou...

Je vous livre évidemment la version originale en premier, qui reste la seule à avoir une vraie valeur littéraire... clin



d’après L’albatros , de Charles BAUDELAIRE (1821-1867)

La version originale :

Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.

et ma version pastiche :

Souvent, pour s’amuser, des hommes de passage
Draguent des travelos, glabres zozos amers,
Qui rodent, insolents souteneurs de l’outrage,
Dans les allées du bois, tous venus d’outre-mer.

A ont-ils posé les mains sur leurs hanches,
Que ces rois du bitume, à cet endroit nombreux,
Se font piteusement trousser comme des manches
Par ceux-là mêmes qui vont se moquer d’eux.

Ces sots dragueurs zélés, comme ils sont moches et veules !
Eux, naguère si hauts, qu’ils se sont rabaissés !
L’un menace bien haut de leur casser la gueule,
L’autre mime, ondulant, leur façon de marcher !

Le macho est ainsi de grandeur dénué
Qui chante la bébête et se rit de la raie ;
L’esprit au ras du sol et l’humour embué,
Le zèle de son gland l’empêche de penser.
Mer 04 Mai 2011, 18:18 par piertiteuf sur Citations

Confession d'une fille du siècle

Tu sais j’en ai marre de tous nos rendez-vous manqués à coup de mauvaises excuses et de scrupules… A coup de religion. Tu sais bien que j’ai été idiote. Je ne peux pas remonter le temps. Je ne peux pas parcourir le chemin qui me ramène tout le temps à toi. Quoique je fasse pour t’oublier leurs bras ne sont pas les tiens, j’ai froid dans leur cœur. Ils n’y sont pour rien. Je dois arrêter de leur reprocher d’être ceux qu’ils sont et pas toi. C’est ainsi. Je t’aime et tu m’aimes. Oui, au plus profond de moi je le sais et je l’ai toujours su même lorsque je te gueulais au visage toutes les larmes de notre déchirure. Mais tu n’as pas le droit : on vit au 21ème siècle et même si le temps a passé on n’a toujours pas le droit de s’aimer ! Quel pêché odieux : dressez vos crucifix la sorcière et le prêtre s’aiment ! Brûlez-la ! C’est pour elle qu’il a oublié de lever les yeux vers le ciel. C’est d’un cynisme tordant. Il y a des formes de sexualité extraordinaire et nous, nous ? Rire ! On s’aime. Comme des enfants. Pas dans nos corps, oh, non ! Dans la jouissance non de la luxure mais de la souffrance ! Si tant est qu’on puisse jouir de ça ! Se détruire oui, creuver à petit feu, faire semblant de détourner nos yeux, laisser couler les ans en espérant qu’ils étouffent nos coeurs. Les cathos sont maso ils aiment se flageller et penser que leur Dieu est jaloux Il ne supporte pas que ses créatures puissent user de leur cœur et de leur corps pour se manifester de l’amour : c’est lui faire offense ! Oui, en clair ils pensent que Dieu est un con, il a créé l’homme tel qu’il est mais juste pour faire beau pas pour qu’il vive pleinement son humanité ! Mais Dieu a-t-il demandé la castration ? Lui a-t-on posé la question ? L’homme s’arrange toujours pour lui faire porter le chapeau de ses extravagances et des violences qu’il commet en son nom !
Même à distance, tu es là. Encore et toujours, quoi que je fasse pour t’échapper. Je pourrais hurler à la mort ma souffrance ! Qu’est-ce que cela changerait ? J’ai écrit, fais l’amour, crû aimer mais non, rien ni personne ne pourra rien y changer c’est toi que j’aime à travers eux, toi et encore toi que j’aimerai ; ni le temps ni l’espace rien pas même la mort n’y peuvent rien ni ma volonté farouche et ma révolte ! Je ne peux pas t’oublier. Et dire qu’il est des gens pour trouver cela génial ! C’est si romantique se pâment les midinettes ! La ville, le monde, l’univers est vide sans toi à mes côtés. Et pourtant, quand à force de détours je me retrouve face à ton image sur le net, je vois ce que le temps a fait sur ton visage, j’ai mal. Mes mains ne caressent qu’un écran froid, tu ne sens pas la douceur de ma peau sur ton corps blessé. Trouvant sur tes pages les mots que je pense ou que je dis. Tu es là. Les larmes peuvent ruisseler rien ne noie la de mon âme séparée de la tienne. Ton sourire, ta douceur et tes mains qui ne se posent pas sur moi. Le bonheur ne vaut que s’il est partagé. Je t’aime.
Lun 25 Avril 2011, 17:28 par dolce vita sur La déclaration d'amour

La chaleur d'un murmure

la chaleur d’un murmure...

Tant de temps et pourtant demeure
Ton murmure, que j’entends encore
Il me semble qu’il n’a jamais quitté cet abri
Qu’il s’est fabriqué dans mon esprit.
Il a fait soudainement très chaud,
Et je me suis baignée dans ta chaleur
J’en ai oublié ma et mes maux.
S’éloigne la solitude et son horreur
Car mon cœur devenait triste et froid
Mais il aura suffit d’une petite étincelle,
D’une toute petite parcelle d’émoi
Pour que la joie envahisse tous mes sens.
Jaillissant impérieuse pour embellir ma vie
Faisant exploser toutes les barrières,
Et libérant aussi ces larmes amères
Qui ont inondé tant de mes nuits.,
Je viens avec précaution me brûler à ton feu
Et m’abriter sous tes grandes ailes
Tes ailes où je me sens si bien
En m’entourant de ton réconfort
La douceur de ton corps
Et de ta tendresse...
Dim 13 Mars 2011, 11:24 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Longtemps j’ai rêvé…

Longtemps j’ai cru en toi et en ta vision de la chose, le silence de ta beauté insolente, tes cries de désobéissance, ton parfait sourire, ton impatiente, je me suis longtemps noyé dans tes rêves et ta folie grandissante et chacun de tes gestes que j’ai voulu apprivoiser, des mots écrits dans l’ombre, ont vu naitre des phrases brulantes, noir sur noir qu’à on pouvait comprendre, souvent j’ai voulu partir, demeurer sans ta présence, ne plus croire en ton existence, traverser des terres désemplis de ton odeur, retrouver le chemin du bonheur, je délire, je devrais me remettre à écrire, sur les sables de la plage abandonnée, j’ai laissé quelques larmes éparpillées, l’amour mentionné, pur mais affamé, je devrais revenir, te dire à travers quelques paroles, que la vie sans toi est loin d’être drôle, attends moi, j’arrive, je cours, je traverse le parcours, entends-tu les pas, mon cœur qui bat, près de ta résidence j’ai oublié la souffrance, je revois ton visage, je tremble, je t’écoute me dire des mots étranges, je songe, la ou tu te trouve, la haut dans le ciel, dessine moi des ailes et laisse moi t’offrir l’amour éternel.
Jeu 17 Fév 2011, 13:55 par Radski sur La déclaration d'amour

Just jealous

Quand je vois vos mains jointes dans un rire spontané. Mes doigts se crispent, je me mords les lèvres jusqu’à sentir le goût pointu du sang dans ma bouche. Elle qui meurt d’envie d’hurler que s’en ait trop. Et vos regards, vos regards en demi lune brillants par cet affreux sourire sincère. Dans ce regard je vois tellement de choses qui font monter les larmes juste pour mouiller les cils, pour qu’ils deviennent aussi noirs et voyant que cet affreux sentiment.
La joie, la spontanéité, l’affection, le rire, comme deux ampoules brillants en harmonie. Au plus grand de mes désespoirs je vois aussi un amour naissant, comme un nerf électrique passant dans la jonction de vos yeux.
Et après je me vois, enterrant un amour, tirée vers le fond par la culpabilité jour après jour et reniant de beaux sentiments. Ouais je culpabilise parce que c’est ma faute. Parce que je suis la cause de cet amour fructueux pour vous et ennemi pour moi.
Si seulement c’était pas le cas je pourrai m’exprimer, hurler mes sentiments, cracher mon venin ! Cependant, étant l’origine de tout ça, j’ai pas le droit.
J’ai pas le droit de montrer et amour en même temps.


A l’instant d’après, c’est toi, beau jeune homme, qui me regarde. T’as sûrement remarqué comme je vous dévisage.
T’façons, t’es trop occupé par ta nouvelle relation pour t’attarder sur la rage, la tristesse, l’amour et la haine qui se lisent dans mes yeux à chacune de vos caresse, chacun de vos rires, chacun de vos bruits, chaque battement de cil frappent comme un tambour heurté par l’immense baguette, ce pieux que je me suis moi-même enfoncée dans le cœur !
Ouais, parce que je vous vois ! Je vois que discrètement, amoureusement, belle indolente, elle te regarde ! Et moi à côté je suis quoi ? Oui, voilà, c’est exactement ça, je suis rien.
Je vois aussi tous tes gestes que j’exagèrerai presque en tendresses, tes yeux de coton, je peux même lire les pensées que tu lui adresses.
Trop fière pour l’avouer à quelqu’un d’autre que les abîmes de mon cœur, jamais je ne te le dirai. Mais, quand je te regarde sur de nouveaux sentiers ensoleillés, je n’arrive pas à la cacher.
Ce sentiment qui boue comme de l’acide au bord de mes yeux.
Ce que tu nommes à la légère : jalousie
Sam 25 Déc 2010, 15:00 par Coeur d'encre sur L'amour en vrac
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Ecrire sur peine Me noyer en ce champs de violette, Si seulement, Lasse, je t'aimais., Prise de vue, Un amour infini, Lorsque tu vis, Virtuel vs réalité, Charlotte et les fraises, Petit traité de vulgairisation scientifesse 2 ( fessebook), Un quai. deux personnes. un ciel bleu. quelques nuages., Pastiche..., Confession d'une fille du siècle, La chaleur d'un murmure, Longtemps j’ai rêvé…, Just jealous,
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Dans l'amour et dans les foulures, la rechute est fréquente.

Proverbe espagnol.

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