Mes amis, ma famille, mes enfants,

Combien lèvent les épaules ou soupirent
à ces pauvres petits mots si désuets
Et pourtant
Proches ou lointains, vous rendez la vie belle d’un sourire
d’un geste de la main d’un mot ou un regard
Vous êtes là dans la joie ou dans la
pour partager l’instant...
Un éclat de rire, un clin d’oeil, un jeu :

Je ne vous le dis pas souvent
et pourtant je vous aime.
Merci.

cool

Dolce
Jeu 19 Fév 2009, 19:32 par dolce vita sur Un monde parfait

Quand j'aime pas l'amour...

Je ne connais que trop bien la douce mélancolie qui survient après l’amour. Cette tristesse qui nous envahit à l’autre reparti. Les mêmes doutes aux mêmes heures, quand le lit devient froid sous notre peau. Je ne sais pas vraiment la raison de ces émois inutiles. Je crois simplement que l’on ne se sent pas à la hauteur de ce défi qu’est l’Amour, et que la peur de le perdre nourrit ce sentiment. J’avais mis, depuis longtemps, mes émotions de côté. Toutes les larmes, les joies pathétiques n’étaient pas mes instants préférés. Je ne voulais, au final, que me protéger d’un ressenti inutile, de cette petite musique douloureuse qui anime parfois le bonheur. Je me surprends à l’entendre parfois, et de m’en étonner, à murmurer son refrain. Et puis, engoncé dans des postures qui ne me ressemblent plus, à espérer qu’un jour, il soit tout à moi. Comme tout le monde, j’irai jusqu’au bout. A brûler les quelques années de bonheur qu’il me reste, ce précieux capital que, toute sa vie, on dilapide au gré des humeurs sentimentales.



Je ne crois pas aux romances éternelles, aux histoires qu’on entretient comme un feu de naufragés. Je pense, au contraire, que les personnes que l’on croise ne sont que des partenaires de danse. Pour un temps, sur une musique qui se termine quand on rallume les lumières. C’est peut-être cela finalement, la raison de ma tristesse
Mer 08 Oct 2008, 17:21 par ysmael sur Mille choses

Mon coeur est un violon.

Mon cœur est un violon.

Mon cœur est un violon et chaque jour je m’efforce de le faire vibrer en gaîté
Au départ ses cordes pleurent sur un apitoiement de l’égo, ensuite, à force de courage et de persévérance, j’arrive à lui faire voir les belles choses de la journée, le soleil, la pluie, le vent, les rires, les larmes qui nettoient les poussières de l’âme et surtout le miracle de la nature, et le plaisir d’être en vie.

Les accords ne sont pas toujours faciles, mais ténacité tente de les harmoniser.
Alors que le stress me talonne, je me réfugie au fond de son âme et y trouve paix, sérénité et calme dont j’ai besoin.

La vie est en perpétuel changement, naître, mourir, renaître encore et progresser sans cesse, faire de son violon un outil d’évolution.

Cultiver l’amour encore et encore, vivre d’expériences sans cesse renouvelée et s’émerveiller devant le sourire d’un enfant ou la rosée posée sur une rose à éclose. Sentir la confiance d’une goutte d’eau sur le bord d’une feuille, et l’accompagner du glissement de mon archer avec foi en la destinée.

Se noyer dans une foule inconnue et y croiser des âmes sans cesse en mouvance, créer des liens de cœur par un sourire d’amour sincère, et glisser sur le chemin d’une vie bien remplie.

Je crois que c’est le secret pour avancer un jour à la fois en améliorant sans cesse l’ouverture du cœur en chassant les pleurs du violon de mon cœur. rose
Lun 28 Juil 2008, 10:20 par Hécate sur L'amour en vrac

Changement de cap.

Sur la route de mon cœur
Je me suis perdue… quelle erreur
J’ai avoué que je l’aimais
Il n’a pas compris mes souhaits
Il a eu peur et s’est sauvé vite fait
Il a eu raison tout nous séparait
Là je reste seule avec mes regrets
Et reprend le chemin de mon cœur
Pour m’accueillir avec douceur
M’offrir la compassion
Et enterrer cette nouvelle illusion
La route est devant moi
Je vais rebondir une nouvelle fois
Mon cœur ouvert à l’amour
Merci à toi, pour ces heures
Où je garde encore présente ta sensualité
Tes baisers brulant sur mes lèvres
Que mes larmes puissent éteindre ce feu.
Que je puisse avancer sereine
Laissant derrière moi et regrets.
Tu m’as appris la patience et le détachement
Et surtout vivre le moment présent
Là j’ai foiré, j’ai voulu contrôler
Tant pis j’ai compris
Ma place j’irai la chercher ailleurs
Merci cher toi pour ce que tu m’as donné
Le reste j’irai le chercher……. rose
Mar 15 Juil 2008, 09:58 par Hécate sur Parler d'amour

Je viens a toi

Je viens en mon cher amant, car la vérité n’est pas belle, le monde n’est pas beau, et mon coeur n’est pas sain… Je viens avouer, cracher, renier pour toujours le mensonge. Car il n’a cessé de ronger mes entrailles, il n’a cessé d’étouffer mes poumons, brûler mes yeux et détruit mes muscles, il n’a pas arrêté et petit a petit il a réussi a anéantir mon corps. Et je ne peux plus aujourd’hui, par manque de force, continuer à te regarder dans les yeux. Et je peux te jurer que la vérité, si elle avait été dite depuis bien longtemps aurait beaucoup moins pesé sur mon cœur que celle que je dois assumer maintenant.
Je viens dans la tristesse et dans la honte, car mon cœur ne bat plus, mes yeux ne pleurent plus et mon corps est fatigué… Il est encore trop dure de t’avouer des sentiments portés par mon cœur, que j’ai caché depuis si longtemps, il est bien compliqué de te dire quel souvenir j’essaie de retrouver et pourtant qui n’est plus la. Un souvenir qui était censé être ancré dans ma peau, écrit sur mes lèvres, respirer par mon nez, mais un souvenir dont je ne retrouve plus ni le goût, ni l’espoir, ni même la force de le retrouver. Le souvenir que je t’aime ou plutôt que je t’ai aimé car il a disparut de ma mémoire, a été effacé de mes pensées, a fuit de mon esprit et j’en suis navrée car je n’ai pas su le retenir. Je ne sais même plus ce que signifie le mot je t’aime et pourtant Dieu sait que je l’ai utilisé mainte fois pour te rassurer qu’il y avait encore quelque chose entre nous.
Je viens, je viens vers toi et c’est l’essentiel, car j’ai su t’avouer que mon sourire était partit avec tous les autres sentiments joyeux d’ailleurs. Car j’ai su te dire combien je ne t’aimais plus, combien tu ne me manques pas et combien cela m’attriste. Car, quelle est la plus grande que de ne pouvoir retrouver la chose ou le souvenir qu’on avait de plus cher au monde? Je suis désolée de te rendre triste, de secouer tes sentiments amoureux. Et je suis vraiment désolée d’arrêter ton cœur à jamais… Car tu ne mérites pas cela, mais tu ne mérites pas non plus le mensonge…
Je viens a toi, une dernière fois, te dire et peut être te rassurer qu’un jour, oui, un jour au moins, je t’ai aimé a la folie.
Dim 29 Juin 2008, 22:35 par Arual sur L'amour en vrac

Mer emporte moi

Du haut des cieux je t’ai vu,

Que tu es beau mon amour,

A es je tourné la tête,

Te voilà disparu,

Me laissant comme goût :

Celui de ne pas t’avoir montré cet amour.
Jeu 19 Juin 2008, 23:15 par coeur perdu sur Parler d'amour

4 saisons

Le printemps est la qui sourit
De me voir naître à la vie
À ai-je ouvert les yeux
Que déjà vite, il s’enfuit
L’été le suit aussitôt
Me laissant espérer des beaux jours
Mais il ne reste pas longtemps
Emportant avec lui mes amours
L’automne avec ses couleurs arrive
Me laissant croire au bonheur
Mais il est bien pâle son soleil
Pour réchauffer mon cœur
L’hiver se fait menaçant
Au crépuscule de ma vie
Balayant tout sur son passage
Me plonge dans l’agonie
Je ferme les yeux en souriant
Pense à mes amours vécues
A mes amours chancelants
A tout ce que je n’ai pas eu
Mer 04 Juin 2008, 13:16 par pierre de la carolina sur Mille choses

La chambrette

La chambrette.-

Une berçante qui vacille un corps rompu.
La terrible solitude d’un silence morbide.
À quelques sons, des murmures pénibles.
L’angoisse de survivre, le pourquoi de l’existence.

Une cécité agonisante, une surdité affligeante.
L’instinct de poursuivre malgré l’impossible.
Et l’horloge continue son tic-tac inlassable.
Le cœur libère l’espoir en un désespoir.

Puis vint le temps où le combat est inutile.
L’âme se déchire indéniablement, souffrance.
L’incapacité de continuer, un mouroir torride.
Charpente inanimé, les secondes essoufflées.

Le rappel d’une vie passée, peut-on s’esclaffer?
S’abstenir ou effacer ses « tiroirs secrets ».
S’engouffrer irrémédiablement dans une impasse.
Mourir tout simplement sans comprendre.
André, épervier
http://epervierlepoete.iquebec.com
Jeu 15 Mai 2008, 00:26 par epervier sur Mille choses

L'amour c'est quoi ( 5 )...

Si vous avez de la
Surtout, taisez là...

Marie
Mar 22 Avril 2008, 09:48 par Satine sur Histoires d'amour

Message personnel

Paroles: Françoise Hardy. Musique: Michel Berger 1973
autres interprètes: Michel Berger, France Gall, Les Enfoirés (1997)
Note: Isabelle Huppert interprète cette chanson dans le film " 8 femmes" (2001), de François Ozon.


{parlé:}
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas

Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J’arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j’ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n’arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J’ai peur que tu sois sourd
J’ai peur que tu sois lâche
J’ai peur d’être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t’aime peut-être

{chanté:}
Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
Et si ce jour-là tu as de la
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu crois un jour que tu m’aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours et cours jusqu’à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m’aimes
N’attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t’emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S’installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu...
{instrumental}
Ven 11 Jan 2008, 17:03 par encredelune sur L'amour en vrac

Les derniers jours de l’homme invisible

Je dois me lever tôt ce matin, me préparer vite et sortir, j’ai sauté mon petit-déjeuner, comme hier et avant-hier, comme chaque jour passé sans toi dans ma vie
je traverse les collines qui t’éloignent et les immenses murs qui nous séparent, la route est interminable, c’est pour cette raison que je dois partir tôt… juste pour venir te voir à temps.

Le ciel commence à se chagriner, et à lâcher ses larmes qui noient ma tête et inondent mon esprit, mais tes yeux m’interpellent, et je ne peux résister à leurs appels,
essoufflé mais déterminé, j’arrive à ta porte, et j’attends que quelqu’un l’ouvre,
pour que je puisse m’inviter à ton monde.
Ton père ouvre l’issue, et j’en profite pour rentrer, je glisse entre les murailles de ta demeure, et je monte l’escalier qui m’emmène vers ta chambre,
je regard les nombreuses photographies qui décorent ces murs et je sens l’amour qui s’y dégage,
j’ouvre la porte de ta chambre délicatement,
et mon cœur s’emballe rien qu’en te voyant…
je m’assis face à toi, sur cette petite chaise, que j’ai crue faite juste pour moi,
et je t’observe dormir, je reste là, et je ne m’inquiète pas, personne ne peut me voir… Car je suis invisible ! aussi clair que du cristal, aussi transparent que l’amour que je porte pour toi,
je me souviens à de mon visage, car même les miroirs ne peuvent le refléter,
je n’arrive plus à parler, ni à écrire, je suis invisible, et plus personne ne se souvient de mon existence, même pas toi,
je le suis devenu, le jour où tu es partie, le jour ou j’ai décidé de te laisser partir…, de te laisser du temps, et voir ce que je vaux à tes yeux, Mais je n’ai pas pu t’enlever de mon cœur, alors que tu l’as occupé depuis longtemps, depuis ce jour, je n’ai pas cessé de te hanter comme un esprit, à observer chaque minute de ta vie, chaque rire que tu émets.

je suis là quand tu ouvres tes yeux instantanément, chaque matin,
et quand tu regardes de mon côté,et que tu ne me vois pas
aussi quand tu t’étires en scrutant tes portables,
ou que tu trouves des appels que tu as manqué hier soir
Je suis encore là quand tu embrasses ta maman,
et lorsque tu prends ton café en regardant le vert de ton jardin,
j’attends des heures le temps que tu te prépares,
et je baisse mes yeux indiscrets quand tu prends ton bain
je suis encore là quand tu démarres ta voiture, et ajustes ta mèche devant le rétro
et que après tu mets mon CD, et tu laisses échapper une pensée à mon attention
je suis là quand tu t’arrêtes pour acheter des cigarettes, et que tu n’en trouves pas
ou quand tu t’énerves car tu trouves un embouteillage ,toujours au même endroit
je te regardes quand tu réponds à trois appels en même temps
et quand tu appelles juste les personnes les plus proches de toi
je suis là quand tu rentres au bureau, et tu ouvres ton msn
et tu t’aperçois que ta liste d’amis est toujours la même
je suis là, quand tu te dis que tu vois trop de personnes ,
et que c’est jamais, jamais les bonnes
je te regarde quand tu t’esquives pour fumer une cigarette loin,
Pour que tu restes toujours la petite fille aux yeux de ton père
Je suis là encore, quand tu parles au téléphone pendant des heures
Et quand après tu te dis que les hommes sont tous les mêmes
Je suis là quand tu les rencontres, et quand ils essayent de te gagner à leurs causes
ou lorsque tu résistes et qu’en même temps tu veux pas mettre de la dans leur coeur
je m’attriste quand tu as tellement mal à la tête,
et quand tu te demandes quand ceci va finir, tout de même
je me réjouis quand tu rentres à la maison et tu embrasses tes parents
et je comprends quand tu dis que tu es prête a tout pour ne pas les perdre
je tente de te rassurer quand tu as peur du passé
et j’essaye sans veine, de te réchauffer quand tu attrapes froid au cœur
je dois partir et te laisser te reposer maintenant , quoique je sais que tu vas pas le faire,
car il me reste plus beaucoup de temps, pour que disparais et que je m’efface entièrement de ton cœur.
Sam 05 Jan 2008, 11:35 par heartbreakid sur Histoires d'amour

Cocaïne

Cocaïne

Neige, tombe la neige.
Puissants flocons, ondulations furieuses,
Mousse blanche, candide.

Froid, froidure persistante.
Le mal, gelure de l’âme.
Un corps en l’alarme.

Tempête, air siffloté, nuitée.
Aboiements, refuge lointain,
Marche pénible, faibles pas.

Yeux à écarquillés,
Lune chétive, chemin gelé,
Foyer adulé, repos mérité.

Dehors, poudrerie, canon aveuglé,
Danse virevoltée d’une neige folle.
Porte close, sommeil demandé.


André (épervier)


http://epervierlepoete.iquebec.com
Sam 08 Déc 2007, 22:52 par epervier60 sur Mille choses

Une réponse à mes questions

Je pense encore à Toi
Je pense toujours à Toi
Il suffit d’une chanson
Ou bien d’un paysage

Pour que je pense à Toi
Pour que je m’évade vers Toi
Je me pose des questions
Et je vois ton visage

Mais les brumes du temps
Te rendent transparent
Au fonds de ma mémoire
Déjà tombe le soir

Envoie moi une image
De Toi pour que je sache
Si tu es un mirage
Dans lequel je me cache

Qu’importent les chemins
Que nos deux vies ont pris
Qu’importe le Destin
Nous resterons Amis

L’amitié est plus sage
L’amitié est plus douce
L’amour est de passage
L’amour est douloureux
Jamais en pente douce
L’amour est dangereux

Je te prends pour Ami
Mon Ami pour la vie
On peut encore rêver
A défaut de s’aimer

On s’aimera autrement
De loin, tout doucement
Comme ça, du bout des doigts
Sans contraintes, sans contrat

Nos âmes s’aiment elles encore ?
Je voudrais que tu me répondes
Lorsque tu es au bout du Monde
Est-ce que tu penses à moi, encore ?

La nuit, le jour, le soir en m’endormant
J’ai une pensée pour Toi
Même si je sais que rien n’est comme avant
C’est comme ça

Tu as ta vie
Et j’ai ma vie
Nous l’avons choisie
Mais l’avons-nous vraiment choisie ?

La faute à qui ?
Si c’est comme ça
Ça devait être ainsi
Et puis voilà

A cause de lui ?
A cause de moi ?
A cause de toi ?
Ça change quoi ?

C’est aujourd’hui
Que ça se passe
Mais rien ne passe
Rien ne s’efface

Un jour, on s’est croisé
Pas le bon jour
Un jour, on s’est aimé
Pas pour toujours

Ça devait être une histoire courte
Une belle histoire inachevée
Mais nous aurons toujours des doutes
Puisque tout reste inachevé

On ne s’est pas fait de promesses
On s’est à frôlé
Il ne nous reste que la tendresse
Tu voulais que je te soulève
Mais je ne savais pas voler
Il ne nous reste que nos rêves

Quand le soir descend sur le Monde
Que la nuit me prend dans ses bras
Je tente de capter les ondes
Qui viennent de Toi jusqu’à moi

Je chasse les interférences
Et Dieu sait qu’elles sont légions
Et je guette dans le Silence
Une réponse à mes Questions
Lun 03 Déc 2007, 11:33 par coralinedesy sur Histoires d'amour

Loin de moi toute idée de t'angoisser!

Sophy,
Ma chère Sophy la mort d’un amour ne donne – t – elle pas vie à un autre ?
Comme tu le voies, c’est par cette question que j’ai résumé ton point de vue. Soyons d’avis que seul la capacité à faire deuil d’un amour peut permettre à un autre de revivre.
C’est pour te dire que tu ressens aussi cruellement la rupture de ton ex qu’il t’es cependant plus dur voire inconcevable de s’abandonner à nouveau à la confiance d’une autre personne.
Sophy, à travers tes écrits on imagine très aisément que la brutalité, l’inattendu et le sentiment de trahison de cette rupture sont si forts et ont semé en toi la colère et peut être la haine. Cette colère parait si dense, si intense et si présente en toi qu’il t’es difficile d’oublier, de pardonner pour tourner la page.
Sophy même s’il te semble difficile de l’admettre, il faut que tu acceptes d’abroger cette , ce chagrin d’amour pour participer à la loterie du bonheur. Car en matières de sentiments et d’amour il n’y a pas de perdant ou de gagnant mais des hommes unis pour le mieux, … ainsi soit il.
J’aime à penser que l’amour reste le sentiment le plus enviable d’une existence, même s’il fait passer par tous les états d’âmes…
Je m’étonne pas parce que mes mots à ton noble égard te surprennent : je t’avoue qu’ils sont très sincères, très honnêtes et tous aussi innocents qu’involontaires. Mais ce qui m’as surpris c’est ce doute de ce que tu ne pourrais pas être la meilleure chose qui me soit arrivée tout simplement parce que nous ne nous connaissons pas, je ne sais rien de toi et toi rien de moi. Il est vrai dit-on que « l’on aime que ce que l’on voit ». Mais il y a aussi d’autres choses que nous ne connaissons et que nous n’avons jamais vues qui captivent pleinement tout notre être malgré nous. Tel est mon cas Sophy. C’est évident que nous ne nous connaissons pas, est - ce une raison de ne pas t’aimer d’un vrai amour avec tout son sens ? N’oublie pas je te cite « qu’il faut juste sentir comme une évidence que c’est la bonne relation » Pour moi la connaissons fondée sur l’âme est au dessus d’une simple connaissance ‘‘savoir des choses sur l’autre et les partager…’’. Les deux doivent aller de paire !
Je me suis fait peut être mal compris dans ma précédente note. Il n’est pas question que je te panse tes blessures. Je prétendais qu’on pouvait s’entraider, apprendre à regarder dans un même direction, de se ficeler un projet réfléchi et nourrit de vie. Au fait c’est une invite à mieux nous connaître.
Je te remercie de bien vouloir me prêter une oreille attentive et de bien vouloir m’aider à y voir clair. S’il m’est possible de me contrôler je ne t’aurais pas angoissé. Je pense humblement tout en te citant « une des clefs pour trouver la bonne personne est de ne pas la cherchée mais laisser faire le temps et le hasard des rencontres ».
Le temps peut panser la douleur mais il ne l’effacera jamais. Même si le souvenir de le douleur n’est pas la douleur il en demeure comme une tâche avec ses effets sur la mémoire et dans le comportement pour éternellement.
Pour finir je te dis merci pour le courage dont tu ne cesses de me donner, car j’en ai besoin pour te conquérir. A Bientôt

STEPHANE
Jeu 29 Nov 2007, 18:21 par STEPHANE sur Histoires d'amour

Pourquoi tu pars ?

Texte écrit sur le vif à mes enfants. Trop petits pour l’instant, je leur lirai lus tard...

Mes petits bouts, pleins de vie, tous fous, tous choux, on était bien là, tous ensemble. Maman et moi à vous regarder grandir, vous, à ne vous soucier de rien, à profiter de tout. Combien de fous rires j’ai pu avoir devant vos grimaces? Combien de parties de cache-cache on a pu faire ? Vous, les mains sur les yeux, vous croyant cachés de tous.

Comme tout enfant de votre âge, vous voulez être déjà grand, c’est des "Je suis grand maintenant", des "je sais le faire maintenant" à longueur de journée. Je m’émerveille devant votre soif de grandir, mais je vous dis que vous avez bien le temps de mûrir de profiter du moment présent. Parce que la vie n’est pas aussi facile que vous le croyez : c’est normal, à votre âge, ce n’est pas votre problème mais plutôt ceux des adultes. Vous voyez, c’est pas toujours marrant d’être un adulte !

Vous vous imaginez sans doute qu’être amoureux, c’est être comme papa et maman. Normalement, ça doit être comme cela. Normalement... On ne vous dit rien, mais ce n’est pas ma conception de l’amour. Je veux vous offrir une autre image de ce sentiment si merveilleux et pour cela, maman et moi avons pris des chemins qui nous ont séparés. Nous voulons nous aussi être heureux. Et... ca arrive parfois, notre bonheur est ailleurs. C’est pour cela que je pars, je m’en vais le chercher. Et maman aussi le trouvera aussi. Vous l’aurez compris, je ne pars pas à cause de vous, vous n’avez rien fait de mal, même pas une toute petite bêtise de rien du tout. J’ai seulement envie que vous grandissiez dans un foyer plein d’amour, d’un vrai amour pas d’un pour faire semblant, dans une famille sans tempête ni orage. Je sais que vous avez peur de l’orage, permettez-moi de trouver le bonheur, je soufflerai alors sur ces gros nuages noirs.

Ne soyez pas tristes, je reste votre "papou chéri d’amour" pour toujours, quoiqu’il arrive. Tout comme toi xxx, n’oublie pas que xxx restera toujours ton frère, même s’il te donne tout le temps des coups de pieds. Et toi Ethan, ton grand frère sera toujours là pour toi, quand tu le cherches d’un regard perdu et inquiet, tout seul, dans la cour d’école. Soyez bien assurés que je ne vous abandonne pas, je ne vous abandonnerai jamais mes chéris. Je pars juste un peu plus loin, mais pas trop loin quand même. En tout cas, je reste tout près de votre coeur et je viendrai toutes les nuits dans vos rêves pour chasser les loups qui font peur.


Et maintenant, combien de fois j’ai le coeur serré en pensant à vous ? Combien de fois je retiens mes larmes en vous regardant jouer ? A chaque moment, je veux vous épargner ma . Tout le temps, je veux vous dire que je vous aime.

Papa
Lun 29 Oct 2007, 07:05 par AuBonheurDeMaDouce sur Parler d'amour
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La citation d'amour

Quel ravage un être peut causer par la seule force de sa séduction.

Sacha Guitry.

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