Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur plaisir - Page 14 sur 30
Désirs
Je te croise et désire
Ton corps abandonné
Sous mes chairs enflammées
recherchant le plaisir
Ton regard me devine
Ton odeur me séduit
Me grise, m’humidifie
Accepte que je dessine..
Pour un soir un instant
Mon envie et ma faim
Sur ton corps et tes mains
Deviens mon fier amant
Mélons-nous secrètement
Laissons nous vivre entiers
Je me livre sincèrement
Et attends tes baisers.
Ton corps abandonné
Sous mes chairs enflammées
recherchant le plaisir
Ton regard me devine
Ton odeur me séduit
Me grise, m’humidifie
Accepte que je dessine..
Pour un soir un instant
Mon envie et ma faim
Sur ton corps et tes mains
Deviens mon fier amant
Mélons-nous secrètement
Laissons nous vivre entiers
Je me livre sincèrement
Et attends tes baisers.
Sam 14 Juil 2007, 18:50 par
jatea sur Les liaisons sulfureuses
Le sexe peut tuer! ( 6 )...
On dit que c’est une petite mort
Mais on souhaiterait qu’elle dure des heures
Perdre le contrôle de son corps
Ne plus maitriser son esprit
Se laisser noyer dans des vagues de plaisir
Pour enfin à bout de souffle s’allonger
Et sans forces respirer notre douce mort
En attendant avec impatience la prochaine...
Mais on souhaiterait qu’elle dure des heures
Perdre le contrôle de son corps
Ne plus maitriser son esprit
Se laisser noyer dans des vagues de plaisir
Pour enfin à bout de souffle s’allonger
Et sans forces respirer notre douce mort
En attendant avec impatience la prochaine...
Projection (3)
Donner la vie tue l’envie de mourir même d’amour
Car le plaisir devient bonheur
L’instantané devient éternel
Extrait "Réflexion" de Coupdecoeur
Car le plaisir devient bonheur
L’instantané devient éternel
Extrait "Réflexion" de Coupdecoeur
Sam 30 Juin 2007, 18:11 par
coupdecoeur sur Mille choses
Désir...
Un corps de femme
Allongée sur un lit...
Les courbes de ses formes
Vêtues...
D’un soutien gorge corbeille
Dont on devine la rondeur de ses seins...
D’un porte-jarretelles en dentelle
Habillant le bas de ses reins...
Un string en voile
Laissant deviner son intimité...
Des bas
Mettant en valeur le galbe de ses jambes...
Offrir son corps
Au plaisir du regard
Pour susciter le désir
Et si c’était cela l’extrême séduction...
Marie
Allongée sur un lit...
Les courbes de ses formes
Vêtues...
D’un soutien gorge corbeille
Dont on devine la rondeur de ses seins...
D’un porte-jarretelles en dentelle
Habillant le bas de ses reins...
Un string en voile
Laissant deviner son intimité...
Des bas
Mettant en valeur le galbe de ses jambes...
Offrir son corps
Au plaisir du regard
Pour susciter le désir
Et si c’était cela l’extrême séduction...
Marie
Mer 20 Juin 2007, 12:44 par
Satine sur La séduction
Bonne conscience...
La joie est un plaisir que la conscience torture.
On appelle joie les plaisirs
qu’on se refuse pour se donner bonne conscience.
Yvon Rivard
Extrait de " Les Silences du corbeau "
On appelle joie les plaisirs
qu’on se refuse pour se donner bonne conscience.
Yvon Rivard
Extrait de " Les Silences du corbeau "
Jeu 07 Juin 2007, 11:29 par
Satine sur Un monde parfait
Plume érotique...
Quel doux plaisir...
Du charme de la lecture
De susciter avec des mots...
Et laisser libre à l’imaginaire...
De fantasmer...
Marie
Du charme de la lecture
De susciter avec des mots...
Et laisser libre à l’imaginaire...
De fantasmer...
Marie
Sam 26 Mai 2007, 13:58 par
Satine sur La séduction
Dessous de femmes...
Transparence
Glamour
Elégance
Mariage sensuel et coquin
Pour le plaisir des yeux malins...
Glamour
Elégance
Mariage sensuel et coquin
Pour le plaisir des yeux malins...
Jeu 24 Mai 2007, 10:30 par
Satine sur La séduction
J'ai rêvé...
Seule dans mon lit
J’ai rêvé cette nuit,
Mon corps abandonné
Au plaisir de mes mains...
Ton corps contre mon corps
Un corps à corps
D’acccord...D’accord...
Toi sur moi
Moi sur toi
Toi en moi
Moi en toi....
Ton plaisir au bout de mes doigts
Ta jouissance je la bois
Près de toi
Je suis en émoi...
Des plaisirs exprimés
Des plaisirs partagés
Des plaisirs osés...
Ton corps contre mon corps
Un corps à corps
Encore et Encore...
Marie
J’ai rêvé cette nuit,
Mon corps abandonné
Au plaisir de mes mains...
Ton corps contre mon corps
Un corps à corps
D’acccord...D’accord...
Toi sur moi
Moi sur toi
Toi en moi
Moi en toi....
Ton plaisir au bout de mes doigts
Ta jouissance je la bois
Près de toi
Je suis en émoi...
Des plaisirs exprimés
Des plaisirs partagés
Des plaisirs osés...
Ton corps contre mon corps
Un corps à corps
Encore et Encore...
Marie
Dim 20 Mai 2007, 10:26 par
Satine sur Parler d'amour
NOTRE HISTOIRE
Une nuit entière à se raconter
A se découvrir, à se chercher
Une nuit entière sans se toucher
Sans s’effleurer, sans s’embrasser
L’impression de se connaître sans le savoir
L’impression d’être devant un miroir
Un désir qui né, qui emprisonne nos sens
Une histoire qui commence en dépit du bon sens
Une matinée entière à assouvir nos instincts
A se donner du plaisir, sans penser à demain
Une matinée entière où nos corps n’ont fait qu’un
Sans jamais se douter qu’il y aurait un demain
L’impression fugitive d’une lumière dans le noir
L’impression que peut-être, il y aurait un espoir
Des sentiments naissants, nous rendant impatients
Une histoire qui s’installe, nos deux cœurs qui s’emballent
Une nuit entière à se déclarer notre amour
A s’apaiser l’un de l’autre sans plus aucun détour
Une nuit entière à rêver au toujours
En espérant que cela puisse arriver un jour
L’impression que l’âme sœur est enfin arrivée
L’impression que soudain notre vie s’est éclairée
L’angoisse reprend ses droits, elle nous rend maladroits
Une histoire qui perdure, avec des moments durs
Une vie entière à nous rendre plus forts
A ne plus se demander qui a raison où tort
Une vie entière sans regrets, sans remords
A se rendre heureux, à la vie à la mort
A se découvrir, à se chercher
Une nuit entière sans se toucher
Sans s’effleurer, sans s’embrasser
L’impression de se connaître sans le savoir
L’impression d’être devant un miroir
Un désir qui né, qui emprisonne nos sens
Une histoire qui commence en dépit du bon sens
Une matinée entière à assouvir nos instincts
A se donner du plaisir, sans penser à demain
Une matinée entière où nos corps n’ont fait qu’un
Sans jamais se douter qu’il y aurait un demain
L’impression fugitive d’une lumière dans le noir
L’impression que peut-être, il y aurait un espoir
Des sentiments naissants, nous rendant impatients
Une histoire qui s’installe, nos deux cœurs qui s’emballent
Une nuit entière à se déclarer notre amour
A s’apaiser l’un de l’autre sans plus aucun détour
Une nuit entière à rêver au toujours
En espérant que cela puisse arriver un jour
L’impression que l’âme sœur est enfin arrivée
L’impression que soudain notre vie s’est éclairée
L’angoisse reprend ses droits, elle nous rend maladroits
Une histoire qui perdure, avec des moments durs
Une vie entière à nous rendre plus forts
A ne plus se demander qui a raison où tort
Une vie entière sans regrets, sans remords
A se rendre heureux, à la vie à la mort
Sam 19 Mai 2007, 10:21 par
asbarak sur Histoires d'amour
Je veux l'épouser pour un soir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Une fiancée de hasard
Que je croiserais en passant
Dans un gala de quelque part
Je voudrais aimer une enfant
Qui dans sa robe des dimanches
Me défierait du premier rang
Avec les yeux de l’insolence
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Qui me ressemblerait un peu
Qui saignerait du même sang
Qui brûlerait du même feu
Oh je voudrais aimer une enfant
Pour quelques heures de plaisir
La prendre un soir à ses parents
Et dans mes bras la voir dormir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je veux l’épouser pour un soir
Et divorcer un peu plus tard
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Une fiancée de hasard
Que je croiserais en passant
Dans un gala de quelque part
Je voudrais aimer une enfant
Qui dans sa robe des dimanches
Me défierait du premier rang
Avec les yeux de l’insolence
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je voudrais aimer une enfant
Qui me ressemblerait un peu
Qui saignerait du même sang
Qui brûlerait du même feu
Oh je voudrais aimer une enfant
Pour quelques heures de plaisir
La prendre un soir à ses parents
Et dans mes bras la voir dormir
Je veux l’épouser pour un soir
Mettre le feu à sa mémoire
L’épuiser d’amour et disparaître dans la nuit
Comme un voleur comme un bandit
Je veux l’épouser pour un soir
Et l’oublier un peu plus tard
Je veux l’épouser pour un soir
Et divorcer un peu plus tard
(postpostmodernisme naissant)
Si je commençais l’écriture d’un livre, je débuterais ainsi :
« Repoussons les limites de la littérature post-moderne (si il y a un tant soit peu de notion relative au post-modernisme, je n’en suis pas certain…) et établissons un nouvel ordre littéraire mondialisé… Mais je n’écrirais jamais de livre. Le seul plaisir éprouvé en réalisant l’action (liée à la pensée) d’écrire est d’arriver à saisir mon âme et la coucher sur le papier. Intime plaisir. Soit. Et teinté du (propre) simple égoïsme de voir sa pensée (ô combien personnelle et sacrée!) couchée sur un papier. Se dire qu’il y aura une trace de soi-même. Quelle excitante et névrotique pensée! C’est un serpent vicieux et lâche…
(Trouver un nouveau mot pour désigner moins communément la pensée). »
Un nuage masque la lumière du soleil un instant. Je viens de décider de ne pas écrire un livre et il fait nuit.
Lola attend en bas. Il m’arrive encore de descendre de temps en temps, pour respirer l’air vicié, marcher au petit matin, ou en pleine nuit pour jeter un regard angoissé à l’interminable présence de la ville. S’étendre un moment sur le pavé rassure et réchauffe, comme si cette masse vivante, cette entité qu’est la ville, pouvait disparaître.
J’ai peur de mourir les poumons arrachés entre les côtes.
Lola est encore habillée de façon honteusement sadique. Le trou au coude gauche de mon pull ne veut pas voir cela. Tant pi. Je remonte. Mais qu’a-t-elle à hurler des mots que je ne comprends pas ?
L’ancien panneau vitré de la porte me protége en haut des marches. Je regarde par le trou de la serrure et je vois les mots éclabousser, voler dans toutes les directions connues en s’évanouissant contre le bois et le verre. Le ballet est affreusement désordonné. Il faudra que je pense à nettoyer. Demain.
Je n’aime pas faire de ménage après une tempête.
Dans un soupir, je me laisse tomber avec effusion dans un fauteuil. Je devrais peut-être avoir un comportement plus social. Mais la présence de mes congénères m’ennuie et m’indispose.
Et que doit faire l’écrivain ensuite ?
Intrusion dans la post-postmodernité ou sieste sous les toits ?
C’est toujours la nuit.
La fenêtre s’amuse à battre avec insistance. S’étirer, se lever, bâiller, s’étirer, s’accouder au rebord. Respirer. Encore un ciel sans étoiles. C’est la ville qui me les a volées.
Je n’aurais pas dû m’endormir. Mon activité intellectuelle me paraît moins productive quand j’habite ici. Quand dois-je partir ?
Ai-je le droit d’affronter ce que le dehors a créé pendant mon absence ?
Le bruit du fer bat à mes tempes, je veux sentir la seringue pénétrer dans mon bras et l’ennui s’épandre dans les veines…
distillation d’une horreur perdue, comment peut-on RECHERCHER l’ennui ?
Surprendre ensuite. En créant une absence totale d’ordre ou de désordre quelconques dans toute cette œuvre en devenir.
L’infinie des possibilités d’automédication est dangereusement dangereuse pour la santé psychique et corporelle. Je lui avais bien dit qu’il était temps pour Elle de mourir (je me souviens).
Elle a mangé le chat et ensuite elle est morte.
« Repoussons les limites de la littérature post-moderne (si il y a un tant soit peu de notion relative au post-modernisme, je n’en suis pas certain…) et établissons un nouvel ordre littéraire mondialisé… Mais je n’écrirais jamais de livre. Le seul plaisir éprouvé en réalisant l’action (liée à la pensée) d’écrire est d’arriver à saisir mon âme et la coucher sur le papier. Intime plaisir. Soit. Et teinté du (propre) simple égoïsme de voir sa pensée (ô combien personnelle et sacrée!) couchée sur un papier. Se dire qu’il y aura une trace de soi-même. Quelle excitante et névrotique pensée! C’est un serpent vicieux et lâche…
(Trouver un nouveau mot pour désigner moins communément la pensée). »
Un nuage masque la lumière du soleil un instant. Je viens de décider de ne pas écrire un livre et il fait nuit.
Lola attend en bas. Il m’arrive encore de descendre de temps en temps, pour respirer l’air vicié, marcher au petit matin, ou en pleine nuit pour jeter un regard angoissé à l’interminable présence de la ville. S’étendre un moment sur le pavé rassure et réchauffe, comme si cette masse vivante, cette entité qu’est la ville, pouvait disparaître.
J’ai peur de mourir les poumons arrachés entre les côtes.
Lola est encore habillée de façon honteusement sadique. Le trou au coude gauche de mon pull ne veut pas voir cela. Tant pi. Je remonte. Mais qu’a-t-elle à hurler des mots que je ne comprends pas ?
L’ancien panneau vitré de la porte me protége en haut des marches. Je regarde par le trou de la serrure et je vois les mots éclabousser, voler dans toutes les directions connues en s’évanouissant contre le bois et le verre. Le ballet est affreusement désordonné. Il faudra que je pense à nettoyer. Demain.
Je n’aime pas faire de ménage après une tempête.
Dans un soupir, je me laisse tomber avec effusion dans un fauteuil. Je devrais peut-être avoir un comportement plus social. Mais la présence de mes congénères m’ennuie et m’indispose.
Et que doit faire l’écrivain ensuite ?
Intrusion dans la post-postmodernité ou sieste sous les toits ?
C’est toujours la nuit.
La fenêtre s’amuse à battre avec insistance. S’étirer, se lever, bâiller, s’étirer, s’accouder au rebord. Respirer. Encore un ciel sans étoiles. C’est la ville qui me les a volées.
Je n’aurais pas dû m’endormir. Mon activité intellectuelle me paraît moins productive quand j’habite ici. Quand dois-je partir ?
Ai-je le droit d’affronter ce que le dehors a créé pendant mon absence ?
Le bruit du fer bat à mes tempes, je veux sentir la seringue pénétrer dans mon bras et l’ennui s’épandre dans les veines…
distillation d’une horreur perdue, comment peut-on RECHERCHER l’ennui ?
Surprendre ensuite. En créant une absence totale d’ordre ou de désordre quelconques dans toute cette œuvre en devenir.
L’infinie des possibilités d’automédication est dangereusement dangereuse pour la santé psychique et corporelle. Je lui avais bien dit qu’il était temps pour Elle de mourir (je me souviens).
Elle a mangé le chat et ensuite elle est morte.
Sam 12 Mai 2007, 18:17 par
mah sur L'amour en vrac
Contentement vaux mieux que la vue
Ayant ce bonheur de voir à mon plaisir,
Les tétins nus et le corps de la belle,
Je souhaitais à mes yeux le loisir
D’être éperdu et aveuglé en elle :
Mais aussitôt que la gente pucelle
M’eut aperçu, honte la surmonta,
Et promptement ce grand plaisir m’ôta,
En se couvrant ne voulant être vue :
Mais en la nuit tant bien me contenta,
Que sans la voir l’embrassais toute nue.
Gilles D’Aurigny, in Le Tuteur d’Amour (1547)
Les tétins nus et le corps de la belle,
Je souhaitais à mes yeux le loisir
D’être éperdu et aveuglé en elle :
Mais aussitôt que la gente pucelle
M’eut aperçu, honte la surmonta,
Et promptement ce grand plaisir m’ôta,
En se couvrant ne voulant être vue :
Mais en la nuit tant bien me contenta,
Que sans la voir l’embrassais toute nue.
Gilles D’Aurigny, in Le Tuteur d’Amour (1547)
Mer 09 Mai 2007, 07:31 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Un rêve parfumé (poème érotique)
Un rêve parfumé
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
Continuez sur le thème du parfum et de l’érotisme sur www.poesie-erotique.net
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
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Lun 07 Mai 2007, 18:24 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur plaisir
Désirs, Une belle journée ( 3 )..., Le sexe peut tuer! ( 6 )..., Projection (3), Désir..., Bonheur, Bonne conscience..., Plume érotique..., Dessous de femmes..., J'ai rêvé..., NOTRE HISTOIRE, Je veux l'épouser pour un soir, (postpostmodernisme naissant), Contentement vaux mieux que la vue, Un rêve parfumé (poème érotique), Il y a 436 textes utilisant le mot plaisir. Ces pages présentent les textes correspondant.
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- envie
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