Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur plaisir - Page 7 sur 30
Le coiffeur et sa derniere cliente (chapitre un)
REMI, brun au charme ténébreux, yeux pétillants,sourire ravageur, avec sans doute de belles origines espagnoles, se délecte à chaque fois, qu’une cliente lui dit:" je vous donne carte blanche."
C’est une phrase qu’il aime bien entendre. Il se défonce, s’improvise sculpteur, paysagiste à sa manière,et démontre ses talents incontestés de créateur en réalisant des compositions qui font le bonheur de la gente féminine.
Il affine, il peaufine et prend son temps, au plus grand désarroi de son patron Angelo.
Elle : Prénom ALESSIA
Il ne l’avait pas encore vue. Elle revient de vacances, superbement bronzée, mais les cheveux dans un état déplorables : Ternes,décolorés, affreusement abîmés. Dans une robe saharienne noire, grosse ceinture sur les hanches, et talons vertigineux, elle semble demander un miracle pour sa coiffure
Angélo lui lave les cheveux.Puis il engage une conversation bien sympathique.....Comme si il la connaissait depuis toujours, Rémi,en a terminé avec sa cliente, Salue Alessia d’un chaleureux bonjour, l’invite à s’asseoir dans un fauteuil agréable, l’installe confortablement et s’enquiert de ce qu’elle désire comme coupe.
Elle a repéré un modèle qui lui conviendrait dans un de leur book déposés dans la salle d’attente, L’artiste n’est vraiment pas emballé par ce choix et le montre clairement. Cédant à ses caprices de diva, Alessia en conclut que ce sera comme il voudra pourvu que la coiffure soit réussie. Un radieux sourire de gosse éclaire son visage. Il en faut peu à Rémi qui jubile tout heureux, en prenant ses instruments .Il coupe, élague, rafraîchit...
Elle, plongée dans ses pensées, rêve:
Elle ose fermer le salon à clef, lui faire comprendre qu’elle le désire, en le plaquant contre le renforcement du mur là où les clientes posent habituellement leurs sacs, ou, en cette saison, leurs petites laine. .Elle le renifle et de sa langue goûte d’abord sa bouche, dont le parfum de divin breuvage la met encore plus en appétit. Rémi, le cœur qui palpite, la dévisage intensément..... Pour bien s’imprégner de son visage.....Pour bien être sûr qu’il ne rêve pas. Ses cils sont mouillés car elle passe et repasse sa langue dessus. Puis, elle s’attaque aux lobes de ses oreilles, et finit par descendre dans le cou...
Elle ouvre le premier bouton de sa chemise, hume sa peau, tout en défaisant le deuxième bouton, l’embrasse en déboutonnant le troisième, passe sa langue sur les tétons qui pointent, déboucle le bouton suivant et ainsi de suite
Elle sent monter son ardeur, mais prend bien son temps pour défaire la boucle de la ceinture de son pantalon. Elle le débarrasse de la sacoche de coiffeur contenant son matériel .et en profite pour lui caresser les fesses.
Puis, par quelques baisers légers sur le torse , elle approche sa bouche de son nombril, et s’amuse à le titiller afin de faire durer l’attente et qu’il n’en puisse plus. Pour Rémi, c’est un supplice insupportable, mais une douce torture qui va crescendo, de plus en plus. Il a beaucoup de mal à se maîtriser, debout et tremblant sur ses jambes.N’y tenant plus, il la saisit par les hanches, remonte fiévreusement sa robe afin de voir ce qu’elle porte en dessous.
BINGO ! Il en était sûr : Un boxer, en dentelle, noir ! Il passe son pouce sur la couture du slip, fait glisser sa main sur le ventre, la toison, puis plonge résolument son index dans son intimité mouillée, lui arrachant un gémissement, au toucher de son bouton rose qu’il titille fébrilement....
Elle l’encourage à poursuivre et il prend plaisir à satisfaire le moindre de ses souhaits. Puis elle se retourne, s’abaisse et engloutit son sexe dans sa bouche. L’action conjuguée de la main, de la langue et des lèvres lui extirpe un long râle de plaisir qui l’incite à plus de vigueur dans son "massage". Au seuil de la jouissance,il se retire et décharge dans un délicieux frisson...
Apaisés, ils se regardent, se sourient , et s’embrassent encore. Il désire la revoir, autre part, dans d’autres circonstances. Elle sourit gentiment, ne lui répond pas, regarde l’heure et lui dit :," je reviendrai pour une couleur".
C’est une phrase qu’il aime bien entendre. Il se défonce, s’improvise sculpteur, paysagiste à sa manière,et démontre ses talents incontestés de créateur en réalisant des compositions qui font le bonheur de la gente féminine.
Il affine, il peaufine et prend son temps, au plus grand désarroi de son patron Angelo.
Elle : Prénom ALESSIA
Il ne l’avait pas encore vue. Elle revient de vacances, superbement bronzée, mais les cheveux dans un état déplorables : Ternes,décolorés, affreusement abîmés. Dans une robe saharienne noire, grosse ceinture sur les hanches, et talons vertigineux, elle semble demander un miracle pour sa coiffure
Angélo lui lave les cheveux.Puis il engage une conversation bien sympathique.....Comme si il la connaissait depuis toujours, Rémi,en a terminé avec sa cliente, Salue Alessia d’un chaleureux bonjour, l’invite à s’asseoir dans un fauteuil agréable, l’installe confortablement et s’enquiert de ce qu’elle désire comme coupe.
Elle a repéré un modèle qui lui conviendrait dans un de leur book déposés dans la salle d’attente, L’artiste n’est vraiment pas emballé par ce choix et le montre clairement. Cédant à ses caprices de diva, Alessia en conclut que ce sera comme il voudra pourvu que la coiffure soit réussie. Un radieux sourire de gosse éclaire son visage. Il en faut peu à Rémi qui jubile tout heureux, en prenant ses instruments .Il coupe, élague, rafraîchit...
Elle, plongée dans ses pensées, rêve:
Elle ose fermer le salon à clef, lui faire comprendre qu’elle le désire, en le plaquant contre le renforcement du mur là où les clientes posent habituellement leurs sacs, ou, en cette saison, leurs petites laine. .Elle le renifle et de sa langue goûte d’abord sa bouche, dont le parfum de divin breuvage la met encore plus en appétit. Rémi, le cœur qui palpite, la dévisage intensément..... Pour bien s’imprégner de son visage.....Pour bien être sûr qu’il ne rêve pas. Ses cils sont mouillés car elle passe et repasse sa langue dessus. Puis, elle s’attaque aux lobes de ses oreilles, et finit par descendre dans le cou...
Elle ouvre le premier bouton de sa chemise, hume sa peau, tout en défaisant le deuxième bouton, l’embrasse en déboutonnant le troisième, passe sa langue sur les tétons qui pointent, déboucle le bouton suivant et ainsi de suite
Elle sent monter son ardeur, mais prend bien son temps pour défaire la boucle de la ceinture de son pantalon. Elle le débarrasse de la sacoche de coiffeur contenant son matériel .et en profite pour lui caresser les fesses.
Puis, par quelques baisers légers sur le torse , elle approche sa bouche de son nombril, et s’amuse à le titiller afin de faire durer l’attente et qu’il n’en puisse plus. Pour Rémi, c’est un supplice insupportable, mais une douce torture qui va crescendo, de plus en plus. Il a beaucoup de mal à se maîtriser, debout et tremblant sur ses jambes.N’y tenant plus, il la saisit par les hanches, remonte fiévreusement sa robe afin de voir ce qu’elle porte en dessous.
BINGO ! Il en était sûr : Un boxer, en dentelle, noir ! Il passe son pouce sur la couture du slip, fait glisser sa main sur le ventre, la toison, puis plonge résolument son index dans son intimité mouillée, lui arrachant un gémissement, au toucher de son bouton rose qu’il titille fébrilement....
Elle l’encourage à poursuivre et il prend plaisir à satisfaire le moindre de ses souhaits. Puis elle se retourne, s’abaisse et engloutit son sexe dans sa bouche. L’action conjuguée de la main, de la langue et des lèvres lui extirpe un long râle de plaisir qui l’incite à plus de vigueur dans son "massage". Au seuil de la jouissance,il se retire et décharge dans un délicieux frisson...
Apaisés, ils se regardent, se sourient , et s’embrassent encore. Il désire la revoir, autre part, dans d’autres circonstances. Elle sourit gentiment, ne lui répond pas, regarde l’heure et lui dit :," je reviendrai pour une couleur".
Lun 21 Mars 2011, 16:52 par
caressedesyeux sur Histoires d'amour
Un futur antérieur...?
J’aurais aimé te manquer, pour que,
ce soir, tu me retiennes...
J’aurais souhaité que tu saisisses
ma main, pour ne plus la lâcher!
J’aurais désiré que tu poses tes lèvres
sur les miennes et que tu m’offres
un baiser fougueux, puis, langoureux...
J’aurais voulu te couvrir de caresses
et sentir la chaleur de ton corps
tout près du mien, avant de goûter
au plaisir de m’endormir à tes côtés
et de m’éveiller, en t’entendant
murmurer que nous avons fait
de nos rêves, une réalité...
ce soir, tu me retiennes...
J’aurais souhaité que tu saisisses
ma main, pour ne plus la lâcher!
J’aurais désiré que tu poses tes lèvres
sur les miennes et que tu m’offres
un baiser fougueux, puis, langoureux...
J’aurais voulu te couvrir de caresses
et sentir la chaleur de ton corps
tout près du mien, avant de goûter
au plaisir de m’endormir à tes côtés
et de m’éveiller, en t’entendant
murmurer que nous avons fait
de nos rêves, une réalité...
Jeu 17 Fév 2011, 00:24 par
évènement sur Histoires d'amour
Je serai ton boa
Hum! je me soumet volontiers
Et reste collé tel un boa
M’enroulant autour de ton corps
Dans l’échancrure de tes beaux vallons.
Entoure, délicatement ton cou si tendre
En retombant parfois sur la chute de tes reins.
Ou sentir le frémissement de tes hanches parfois en cadence
Et d’où mes pointes si légères
Caressent ton beau ’ "derrière".
De tes petits froufrou préférés
Et dont tu ne peux plus te passer.
Parfois épuisée , tu t’endors,
Et j’ai chaud de ton corps.
Ruisselant, et dont ta sueur me colle à ta peau
Je me "rêve" bel idiot
A me fondre en toi....
Une envie d’explorer quelques beaux trésors
Et dont les portes sont fermées à clef
Juste gouter au plaisir de" ta texture"
J’aimerais que cela dure
Moi aussi parfois je voudrai avoir des doigts d’homme,
Que je vois passer tous les jours
Et qui te caresse, sans jamais s’en lasser.
Éphémère je le suis ,
Mais à croire tout de même que tu ne veux pas me laisser tel un "doudou"
Que je ne peux t’en blâmer.
caressedesyeux
Sam 29 Jan 2011, 18:10 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Forums d'écriture
Bonjour,
J’ai écrit un livre intitulé "l’art en force" aux éditions LU, traitant de l’art et de la psychologie, notamment de l’art thérapie.
Principalement orientée vers le lyrisme et les recueils de textes, j’ajoute à mon plaisir pour l’écriture et à mes passions comme mon travail le partage avec les autres sur différents sites et forums tel que "art.terre.happy".
FORUM ART TERRE HAPPY, cliquez ici svp merci
SITE avec forum aussi ART TERRE HAPPY en un clic là
J’espère donc pouvoir échanger ici et ailleurs du savoir, partager mes écrits, et lire votre site le plus possible.
Cordialement,
Delphine Randon.
Liens retours:
en bas de page sur art terre happy forumactif
et:( en se connectant )
Cliquez ci-dessous svp merci:
LES AMES TENDRES
Les âmes tendres
J’ai écrit un livre intitulé "l’art en force" aux éditions LU, traitant de l’art et de la psychologie, notamment de l’art thérapie.
Principalement orientée vers le lyrisme et les recueils de textes, j’ajoute à mon plaisir pour l’écriture et à mes passions comme mon travail le partage avec les autres sur différents sites et forums tel que "art.terre.happy".
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Cordialement,
Delphine Randon.
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LES AMES TENDRES
Les âmes tendres
Seulement un reve
Les tilleuls étaient en fleur, et dégageaient un parfum qui venaient me chatouiller le nez.
J’étais adossé à un tronc et je lisais bien tranquillement.
Tout autour de moi s’agitaient discrètement de petits écureuils, pas si sauvages que cela, qui s’approchaient de moi en espérant trouver une gourmandise dont ils raffolaient tant.
je fouillais dans mes poches et trouvais une pâte de fruit,
puis dans l’autre un morceau de pain rassis.
Je coupais cette sucrerie en petits morceaux , que je lançais devant moi.
En espérant les voir plus près.
Mais les rongeurs restaient méfiants.
Finalement des oiseaux vinrent picorer ce divin festin, quant au pain, quoique un peu dur, je le mangeais puis m’assoupissais.
Et je me mis à rêver...
Une femme , son panier à la main semblait heureuse assise à cote de moi.
Une femme au charme fou, un beau sourire, une aisance naturelle
Une impression de nous connaitre depuis des années.
Elle me proposa de partager son repas.
Et c’était avec grand plaisir que j’acceptais .
J’avais si faim.
Une salade composée, terrine de poisson, mousse au chocolat, et même un thermos de thé à la menthe.
Un moment qui passa beaucoup trop vite.
Elle s’approcha subitement de ma bouche...
Un pur moment de délice, bien meilleur que ma faim.
Une faim animale, et instinctivement, je l’a prenais dans mes bras.
Et lui donnais un baiser.
Un baiser mouillé, mais beaucoup trop mouillé.
Mouillé, je me réveillais, et une pluie torrentielle s’abattait soudainement.
Ce n’était qu’un rêve finalement , un merveilleux rêve qui me laissa pensif.
caressedesyeux
J’étais adossé à un tronc et je lisais bien tranquillement.
Tout autour de moi s’agitaient discrètement de petits écureuils, pas si sauvages que cela, qui s’approchaient de moi en espérant trouver une gourmandise dont ils raffolaient tant.
je fouillais dans mes poches et trouvais une pâte de fruit,
puis dans l’autre un morceau de pain rassis.
Je coupais cette sucrerie en petits morceaux , que je lançais devant moi.
En espérant les voir plus près.
Mais les rongeurs restaient méfiants.
Finalement des oiseaux vinrent picorer ce divin festin, quant au pain, quoique un peu dur, je le mangeais puis m’assoupissais.
Et je me mis à rêver...
Une femme , son panier à la main semblait heureuse assise à cote de moi.
Une femme au charme fou, un beau sourire, une aisance naturelle
Une impression de nous connaitre depuis des années.
Elle me proposa de partager son repas.
Et c’était avec grand plaisir que j’acceptais .
J’avais si faim.
Une salade composée, terrine de poisson, mousse au chocolat, et même un thermos de thé à la menthe.
Un moment qui passa beaucoup trop vite.
Elle s’approcha subitement de ma bouche...
Un pur moment de délice, bien meilleur que ma faim.
Une faim animale, et instinctivement, je l’a prenais dans mes bras.
Et lui donnais un baiser.
Un baiser mouillé, mais beaucoup trop mouillé.
Mouillé, je me réveillais, et une pluie torrentielle s’abattait soudainement.
Ce n’était qu’un rêve finalement , un merveilleux rêve qui me laissa pensif.
caressedesyeux
Jeu 27 Jan 2011, 16:00 par
caressedesyeux sur Mille choses
Coquines
Elles seront deux, comme il le rêve,
Belles, sensuelles, en tenue d’Eve,
Elles seront deux, il l’Imagine,
Amoureuses, joueuses, et libertines,
Le faire jouïr, sans une trève,
Au bout de la nuit qui s’achève,
Elles seront deux muses coquines,
Que de son sexe il les domine,
Qu’à son plaisir il les élève,
Que son étreinte ne soit pas brève,
jusqu’au matin qui se lève !!
Belles, sensuelles, en tenue d’Eve,
Elles seront deux, il l’Imagine,
Amoureuses, joueuses, et libertines,
Le faire jouïr, sans une trève,
Au bout de la nuit qui s’achève,
Elles seront deux muses coquines,
Que de son sexe il les domine,
Qu’à son plaisir il les élève,
Que son étreinte ne soit pas brève,
jusqu’au matin qui se lève !!
Jeu 13 Jan 2011, 19:57 par
orev02 sur Les liaisons sulfureuses
Les amants
Les yeux se parlent, se dévorent de désir.
Aspirant l’idée d’un moment de plaisir
Comme deux aimants qui s’attirent.
Devant l’offrande qui se laisse découvrir
Les lèvres humides se rencontrent et s’effleurent,
Laissant naitre la passion des deux soupirants.
Qui échangent des baisers au dialecte puissant.
Enflammé par la volupté d’un brasier en sueur.
Du bout des doigts tâtonnants les monts et les merveilles,
Frissonne, des lors le sens du toucher qui se réveille,
Voyageant au creux des reins,
Les mains se glissent.
Devinant les formes de la silhouette qui frémissent.
La douceur de la peau , et la fraicheur de l’instant,
Mettent en effervescence les deux amants .
caressedesyeux
Aspirant l’idée d’un moment de plaisir
Comme deux aimants qui s’attirent.
Devant l’offrande qui se laisse découvrir
Les lèvres humides se rencontrent et s’effleurent,
Laissant naitre la passion des deux soupirants.
Qui échangent des baisers au dialecte puissant.
Enflammé par la volupté d’un brasier en sueur.
Du bout des doigts tâtonnants les monts et les merveilles,
Frissonne, des lors le sens du toucher qui se réveille,
Voyageant au creux des reins,
Les mains se glissent.
Devinant les formes de la silhouette qui frémissent.
La douceur de la peau , et la fraicheur de l’instant,
Mettent en effervescence les deux amants .
caressedesyeux
Jeu 06 Jan 2011, 19:28 par
caressedesyeux sur La première fois
Singapore
La première fois où je me suis arrêté à Singapore c’était lors d’un voyage qui me ramenait de France vers l’Australie
J’avais passé en France quelques jours de vacances dans ma famille après avoir fais une expo de photo dans une galerie parisienne.
La moiteur de la ville la décontraction après les vacances, je n’ai pas dis non lorsque le portier de l’hôtel m’a proposé une "escorte"
Il me donnait le choix entre une jeune fille ou un garçon ou les deux a la fois !
Belle jeune malaise de 18 ans environ, soumise, je pouvais la garder à l’heure ou à la nuit. La nuit a suffi, trop soumise, je n’aime pas les déversoirs à sperme.
Le souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle aimait s’inonder de mon parfum, et en asperger mon sexe et le sien.
Lors de mes autres passages à Singapore le fait d’avoir une "escorte" était si facile que je n’en éprouve plus le besoin et que mon plus grand bonheur était de me masturber.
Je me mettais nu dans cette grande chambre climatisée au Xxeme étage de cet hôtel de luxe qui dominait ce morceau de ville pays.
J’ouvrais cet immense lit et je m’allongeais savoureusement sur le drap frais, bras et jambes en croix.
Le seul frottement de mon sexe en érection sur le drap appelait immédiatement le plaisir.
Je coupais la climatisation pour que la chaleur humide monte dans la chambre, un immense whisky d’une main, mon sexe en demi-érection, je m’asseyais sur le bras du fauteuil de mon bureau face à la baie vitrée. Le contact de mon anus sur le bois dur me mettait dans une érection savoureuse mon corps prenait un mouvement de va et vient comme pour me pénétrer de ce sexe improvisé, je déglutissais mon whisky au rythme des légers spasmes que ce plaisir m’apportait.
La corbeille de fruit de bien-venue était bien tentante surtout cet ananas surmonté de cette petite touffe de verdure qui a la rudesse de la pilosité des femmes noires.
C’est dans la partie inférieure du fruit que je perçais un trou du diamètre de mon sexe et de sa longueur, je mangeais les morceaux du fruit, le jus coulait le long de mon torse nu se mêlant à ma transpiration.
Je faisais régulièrement des essayages du trou, jusqu’à ce que je le trouve idéal. Je replaçais sur le trou l’écorce de l’ananas comme un opercule.
Il était vierge en quelque sorte !
Je plaçais précieusement ce fantasme de sexe féminin dans le frigidaire.
Une douche fraîche, une chemise de soie légère un pantalon de toile, découvrit une fois encore cette ville grouillante qui a comme symbole l’orchidée.
Les marchands ambulants vendent entre autres la banane poingeau, fruit vert qui sert à la cuisine chinoise ce fruit à la particularité d’être très dur, sa vue ma remémoré une amie qui en faisait une consommation vaginale importante.
J’ai cédé à la tentation d’en acheter quelques-unes unes, pour comprendre ce poème chinois qui dit :
Ho banane qui réjouissent le cœur de vierges, vous seules parmi les fruits êtes dotées d’un cœur pitoyable, ho consolatrice des veuves et des solitaires.
En entrant dans ma chambre je me précipitais pour couper la climatisation.
Je voulais sentir la chaleur de la nuit, par la fenêtre entre ouverte une odeur d’orchidée mouillée faisait naître en moi un désir trouble.
J’avais dîné dans une petite échoppe de quelques nems et de canard laqué le tout arrosé de la bière du tigre.
Mes vêtements étaient imprégnés de cette odeur sourde, odeur que j’aime, qui imprègne les grands cheveux noirs des asiatiques, odeur un peu sure qui peu gêner le matin au réveil, mais qui met en émoi mes sens si par hasard la rue m’apporte en effluve le souvenir de la nuit.
Les bananes étaient sur la table enroulée dans ce papier journal aux caractères chinois.
Comme une pesanteur se faisait sentir dans mes reins !
La lumière de la chambre éteinte, les rideaux largement ouverts permettaient à des milliers de fenêtres de plonger dans mon lit, que j’avais ouvert largement.
L’atmosphère était idéale pour mon intimité.
Je sortis l’ananas du frigidaire, en le posant sur la table près des bananes devant le miroir celui-ci se couvrit de buée.
J’avais là devant moi les fruits de ma passion d’un soir.
Comme par pudeur je me déshabillais dans la salle de bain !
En voyant mon érection je suis sûr que l’ananas et la banane furent fiers d’eux.
Je m’allonge au travers du lit, prenant entre mes mains le fruit jaune l’amenant vers mon sexe comme on tire la tête d’une femme vers son sexe pour qu’elle l’engloutisse.
Mon gland poussa l’opercule vers le fond de ce vagin parfaitement adapté à mon sexe plus je le pénétrais plus je sentais la fraîcheur du plaisir. La rigidité de mon sexe maintenait le fruit droit comme une tête entre mes jambes.
Doucement je glissais la banane en moi plus elle me pénétrait plus mon sexe gonflait, les spasmes commencèrent à me secouer, la jouissance fut terrible. Mon sperme empli le fruit que mes doigts écrasaient.
C’est la fraîcheur du matin qui me réveilla, le spectacle était un peu triste, mais l’odeur plus forte que l’odeur d’une "escorte".
J’avais passé en France quelques jours de vacances dans ma famille après avoir fais une expo de photo dans une galerie parisienne.
La moiteur de la ville la décontraction après les vacances, je n’ai pas dis non lorsque le portier de l’hôtel m’a proposé une "escorte"
Il me donnait le choix entre une jeune fille ou un garçon ou les deux a la fois !
Belle jeune malaise de 18 ans environ, soumise, je pouvais la garder à l’heure ou à la nuit. La nuit a suffi, trop soumise, je n’aime pas les déversoirs à sperme.
Le souvenir que je garde d’elle c’est qu’elle aimait s’inonder de mon parfum, et en asperger mon sexe et le sien.
Lors de mes autres passages à Singapore le fait d’avoir une "escorte" était si facile que je n’en éprouve plus le besoin et que mon plus grand bonheur était de me masturber.
Je me mettais nu dans cette grande chambre climatisée au Xxeme étage de cet hôtel de luxe qui dominait ce morceau de ville pays.
J’ouvrais cet immense lit et je m’allongeais savoureusement sur le drap frais, bras et jambes en croix.
Le seul frottement de mon sexe en érection sur le drap appelait immédiatement le plaisir.
Je coupais la climatisation pour que la chaleur humide monte dans la chambre, un immense whisky d’une main, mon sexe en demi-érection, je m’asseyais sur le bras du fauteuil de mon bureau face à la baie vitrée. Le contact de mon anus sur le bois dur me mettait dans une érection savoureuse mon corps prenait un mouvement de va et vient comme pour me pénétrer de ce sexe improvisé, je déglutissais mon whisky au rythme des légers spasmes que ce plaisir m’apportait.
La corbeille de fruit de bien-venue était bien tentante surtout cet ananas surmonté de cette petite touffe de verdure qui a la rudesse de la pilosité des femmes noires.
C’est dans la partie inférieure du fruit que je perçais un trou du diamètre de mon sexe et de sa longueur, je mangeais les morceaux du fruit, le jus coulait le long de mon torse nu se mêlant à ma transpiration.
Je faisais régulièrement des essayages du trou, jusqu’à ce que je le trouve idéal. Je replaçais sur le trou l’écorce de l’ananas comme un opercule.
Il était vierge en quelque sorte !
Je plaçais précieusement ce fantasme de sexe féminin dans le frigidaire.
Une douche fraîche, une chemise de soie légère un pantalon de toile, découvrit une fois encore cette ville grouillante qui a comme symbole l’orchidée.
Les marchands ambulants vendent entre autres la banane poingeau, fruit vert qui sert à la cuisine chinoise ce fruit à la particularité d’être très dur, sa vue ma remémoré une amie qui en faisait une consommation vaginale importante.
J’ai cédé à la tentation d’en acheter quelques-unes unes, pour comprendre ce poème chinois qui dit :
Ho banane qui réjouissent le cœur de vierges, vous seules parmi les fruits êtes dotées d’un cœur pitoyable, ho consolatrice des veuves et des solitaires.
En entrant dans ma chambre je me précipitais pour couper la climatisation.
Je voulais sentir la chaleur de la nuit, par la fenêtre entre ouverte une odeur d’orchidée mouillée faisait naître en moi un désir trouble.
J’avais dîné dans une petite échoppe de quelques nems et de canard laqué le tout arrosé de la bière du tigre.
Mes vêtements étaient imprégnés de cette odeur sourde, odeur que j’aime, qui imprègne les grands cheveux noirs des asiatiques, odeur un peu sure qui peu gêner le matin au réveil, mais qui met en émoi mes sens si par hasard la rue m’apporte en effluve le souvenir de la nuit.
Les bananes étaient sur la table enroulée dans ce papier journal aux caractères chinois.
Comme une pesanteur se faisait sentir dans mes reins !
La lumière de la chambre éteinte, les rideaux largement ouverts permettaient à des milliers de fenêtres de plonger dans mon lit, que j’avais ouvert largement.
L’atmosphère était idéale pour mon intimité.
Je sortis l’ananas du frigidaire, en le posant sur la table près des bananes devant le miroir celui-ci se couvrit de buée.
J’avais là devant moi les fruits de ma passion d’un soir.
Comme par pudeur je me déshabillais dans la salle de bain !
En voyant mon érection je suis sûr que l’ananas et la banane furent fiers d’eux.
Je m’allonge au travers du lit, prenant entre mes mains le fruit jaune l’amenant vers mon sexe comme on tire la tête d’une femme vers son sexe pour qu’elle l’engloutisse.
Mon gland poussa l’opercule vers le fond de ce vagin parfaitement adapté à mon sexe plus je le pénétrais plus je sentais la fraîcheur du plaisir. La rigidité de mon sexe maintenait le fruit droit comme une tête entre mes jambes.
Doucement je glissais la banane en moi plus elle me pénétrait plus mon sexe gonflait, les spasmes commencèrent à me secouer, la jouissance fut terrible. Mon sperme empli le fruit que mes doigts écrasaient.
C’est la fraîcheur du matin qui me réveilla, le spectacle était un peu triste, mais l’odeur plus forte que l’odeur d’une "escorte".
Mar 04 Jan 2011, 00:24 par
antoine sur Les liaisons sulfureuses
Oisillon
Je me sens créatrice si au jeu du plaisir je crée le plaisir.
Je referme doucement mes doigts ils effleurent son coup son duvet ainsi ni l’eau, ni l’alizé du capricorne ne sont plus doux, et je m’évade dans mes songes.
A la tendresse que je mets à réchauffer entre mes mains l’oisillon tombé du nid il me récompense à se blottir dans mon nid. Je referme doucement les jambes, il effleure ma peau, mon duvet.
Picore ma chatte, bois à ma source.
Chante heureux dans ton nid, chante à perdre le souffle, chante à faire s’ouvrir le lotus
Chante ma chatte sous mes doigts chante à faire s’ouvrir le lotus que je m’évade dans mes songes.
Je referme doucement mes doigts ils effleurent son coup son duvet ainsi ni l’eau, ni l’alizé du capricorne ne sont plus doux, et je m’évade dans mes songes.
A la tendresse que je mets à réchauffer entre mes mains l’oisillon tombé du nid il me récompense à se blottir dans mon nid. Je referme doucement les jambes, il effleure ma peau, mon duvet.
Picore ma chatte, bois à ma source.
Chante heureux dans ton nid, chante à perdre le souffle, chante à faire s’ouvrir le lotus
Chante ma chatte sous mes doigts chante à faire s’ouvrir le lotus que je m’évade dans mes songes.
Mar 04 Jan 2011, 00:17 par
antoine sur Les liaisons sulfureuses
L’amour courtois…
Brûlant de désir pour ma Dame
de coeur, je joue au chevalier...
Comme un enfant, je me nourris
de songes et la berce d’illusions.
C’est tellement bon...
C’est mon plaisir sans fin...
Tel un funambule, je retrouve
mes émois d’antan et bizarrement,
Elle fait tenir mon couple en équilibre.
De la faire rêver, j’en rêve encore
puis me dérobe...
Je vibre et suis jaloux, je voudrais
qu’Elle m’appartienne et qu’Elle
me reste inaccessible...
Mais, bientôt, très bientôt,
je sais qu’un beau matin, à force de
l’endormir, c’est un homme
qui viendra la réveiller.
Ce jour-là, Elle réalisera que mes
belles histoires ne sont que des
mirages...
Alors, Elle partira et me dira:
"Cours toi! Cours toujours!
Maintenant, je n’y crois plus!"
Ce jour-là, je me dirai peut-être
que c’est la vie ou que je suis
surtout le Roi des Cons!!!
de coeur, je joue au chevalier...
Comme un enfant, je me nourris
de songes et la berce d’illusions.
C’est tellement bon...
C’est mon plaisir sans fin...
Tel un funambule, je retrouve
mes émois d’antan et bizarrement,
Elle fait tenir mon couple en équilibre.
De la faire rêver, j’en rêve encore
puis me dérobe...
Je vibre et suis jaloux, je voudrais
qu’Elle m’appartienne et qu’Elle
me reste inaccessible...
Mais, bientôt, très bientôt,
je sais qu’un beau matin, à force de
l’endormir, c’est un homme
qui viendra la réveiller.
Ce jour-là, Elle réalisera que mes
belles histoires ne sont que des
mirages...
Alors, Elle partira et me dira:
"Cours toi! Cours toujours!
Maintenant, je n’y crois plus!"
Ce jour-là, je me dirai peut-être
que c’est la vie ou que je suis
surtout le Roi des Cons!!!
Sam 25 Déc 2010, 17:39 par
conte sur La séduction
Je t'aime
Comment laisseras-tu un autre, un autre homme que toi me toucher ?
Toi, maintenant, tu es un autre que je ne connais
Toi, avant, tu ne supportais pas un autre me regarder
Sais-tu que c’est un autre qui prendra ta place, autour de ma taille et m’enlacer
Est-ce que tu l’imagines entrain de m’embrasser ?
Toi qui devenais fou de jalousie en voyant un homme me parler
Tu connaitrais l’envie, tu vas pécher…
Songes tu à ceci, en me faisant tes faux adieux, en me citant tes excuses, tes raisons banales et me dire que de MOI tu t’es lassé et de chaque soir m’enlacer ?
Je ne m’adresse pas à toi stupide c’est de la rhétorique…
Si tu prenais le temps de réfléchir, si tu prenais le temps de penser, tu verras par toi-même que tu ne pourras me quitter
Toi qui m’adorais à qui j’appartenais
Mon amour tu m’as baisé
Pendant si longtemps je ne dormais que dans tes bras, tu as fait de moi ta femme, ton enfant et ta maitresse
Rappelle-toi que j’étais dans tout ta partenaire, on s’envoyait en l’air
Et j’étais surtout ta partenaire dans tes dessins diabolique
Je suis ton élève
Pourtant je n’ai rien voulu, je n’ai rien demandé
Tu t’es cru fils de Satan tu as voulu me posséder
C’est toi qui m’avais obligé
Je me suis restreint à toi, tu es jaloux, tu ne supportais pas voir heureuse avec un autre que toi
Tu pensais que toi seul tu avais le don de me combler
Quelque temps, de bonne foi, j’ai cru de même
Maintenant je me sens épuisée de ce cinéma, j’en ai assez
Ce cinéma qui tourne en drame, qui me fait couler ces stupides larmes
De quoi ai-je pitié ?
Je suis partie me défoncer…attends laisse moi tirer, je suis découragée
J’ai besoin de me doper pour continuer à jouer
Créateur de scènes à travers tes idées malsaines
Tu veux combler ton égo, ta petite personne frustrée
Tu es si truqué, tu ne sais pas jouer
Petit voleur, tu es vite grillé
J’étais complice avec moi-même, et moi je suis une éloquente actrice
Tu m’as appris à œuvré
Le jeu n’est pas encor terminé, tant que je n’ai pas ainsi décidé
Reprends ta place, marionnette…
Ou tu sais quoi sois un spectateur et regarde moi réalisatrice, je t’aiderai à comprendre les choses et réaliser…ta défaite et regarde moi aussi actrice
Admire-moi, entrain de tout faire et toi bras croisés
J’ai succombée….tu ne comprends pas tu ne peux faire la différence entre le jeu et la réalité
Le jeu est ma drogue et je suis partie me doper
Cette scène, coup de théâtre, je vois ton cœur s’abattre
Pour quoi tu es étonné de me voir me venger
J’étais innocente, tu m’as fait pleuré imagines tu l’autre
Pendant que tu croyais que je t’appartenais m’avait enlacé
Au tour de ma taille il a pris ta place
Il a posé ses yeux, ses mains, ses lèvres partout sur mon corps et m’a embrasser
Veux tu que je te continue à te décrire ou ces mots là vont suffire pour te laisser imaginer et souffrir le martyr
Si ça ne te fera pas mal ça te fera chier
Hélas, tu croyais être maitre, moi ton élève
Et que tu faisais naitre en moi la douleur
Sache que je prenais mon pied, je me procurai des sensations de bien être
Même quand avec toi je simulais, j’adorais te tromper
Moi, en voyant une autre, une autre que moi t’embrasser
J’adorerai te voir la baiser
Je prendrais beaucoup de plaisir à te voir ainsi souffrir
Tu vois tu te croyais sadique
Moi je suis plus sadique que toi
C’est moi qui t’ai fait mal à la fin
Tu m’as appris que le vainqueur c’est celui qui cause le malheur
Avec ce coup de théâtre je vois ton cœur s’abattre
Je suis toujours aussi renversante, comme un volcan brulante
Je t’ai ruiné puis je t’ai brulé
Sans aucune pitié
Tu l’a bien mérité
D’avoir fait de moi une actrice, tu voulais que je sois ta complice
Tu me mentais
Voulant m’infliger les supplices, tu m’as contaminé de ta malice
Tu n’es pas un martyr, tu voulais prendre ton pied en voyant souffrir
Ça n’a ta pas suffit de me baiser
Tu n’es pas un martyr et je n’ai pas exagéré
J’avoue que sur ça j’avais longtemps fantasmé
C’est ma griffe
La petite gifle
De ma part
Avec tant d’amour et beaucoup de passion
Je t’embrasse et je signe
La reine des damnés à toi roi des mal baisés
Toi, maintenant, tu es un autre que je ne connais
Toi, avant, tu ne supportais pas un autre me regarder
Sais-tu que c’est un autre qui prendra ta place, autour de ma taille et m’enlacer
Est-ce que tu l’imagines entrain de m’embrasser ?
Toi qui devenais fou de jalousie en voyant un homme me parler
Tu connaitrais l’envie, tu vas pécher…
Songes tu à ceci, en me faisant tes faux adieux, en me citant tes excuses, tes raisons banales et me dire que de MOI tu t’es lassé et de chaque soir m’enlacer ?
Je ne m’adresse pas à toi stupide c’est de la rhétorique…
Si tu prenais le temps de réfléchir, si tu prenais le temps de penser, tu verras par toi-même que tu ne pourras me quitter
Toi qui m’adorais à qui j’appartenais
Mon amour tu m’as baisé
Pendant si longtemps je ne dormais que dans tes bras, tu as fait de moi ta femme, ton enfant et ta maitresse
Rappelle-toi que j’étais dans tout ta partenaire, on s’envoyait en l’air
Et j’étais surtout ta partenaire dans tes dessins diabolique
Je suis ton élève
Pourtant je n’ai rien voulu, je n’ai rien demandé
Tu t’es cru fils de Satan tu as voulu me posséder
C’est toi qui m’avais obligé
Je me suis restreint à toi, tu es jaloux, tu ne supportais pas voir heureuse avec un autre que toi
Tu pensais que toi seul tu avais le don de me combler
Quelque temps, de bonne foi, j’ai cru de même
Maintenant je me sens épuisée de ce cinéma, j’en ai assez
Ce cinéma qui tourne en drame, qui me fait couler ces stupides larmes
De quoi ai-je pitié ?
Je suis partie me défoncer…attends laisse moi tirer, je suis découragée
J’ai besoin de me doper pour continuer à jouer
Créateur de scènes à travers tes idées malsaines
Tu veux combler ton égo, ta petite personne frustrée
Tu es si truqué, tu ne sais pas jouer
Petit voleur, tu es vite grillé
J’étais complice avec moi-même, et moi je suis une éloquente actrice
Tu m’as appris à œuvré
Le jeu n’est pas encor terminé, tant que je n’ai pas ainsi décidé
Reprends ta place, marionnette…
Ou tu sais quoi sois un spectateur et regarde moi réalisatrice, je t’aiderai à comprendre les choses et réaliser…ta défaite et regarde moi aussi actrice
Admire-moi, entrain de tout faire et toi bras croisés
J’ai succombée….tu ne comprends pas tu ne peux faire la différence entre le jeu et la réalité
Le jeu est ma drogue et je suis partie me doper
Cette scène, coup de théâtre, je vois ton cœur s’abattre
Pour quoi tu es étonné de me voir me venger
J’étais innocente, tu m’as fait pleuré imagines tu l’autre
Pendant que tu croyais que je t’appartenais m’avait enlacé
Au tour de ma taille il a pris ta place
Il a posé ses yeux, ses mains, ses lèvres partout sur mon corps et m’a embrasser
Veux tu que je te continue à te décrire ou ces mots là vont suffire pour te laisser imaginer et souffrir le martyr
Si ça ne te fera pas mal ça te fera chier
Hélas, tu croyais être maitre, moi ton élève
Et que tu faisais naitre en moi la douleur
Sache que je prenais mon pied, je me procurai des sensations de bien être
Même quand avec toi je simulais, j’adorais te tromper
Moi, en voyant une autre, une autre que moi t’embrasser
J’adorerai te voir la baiser
Je prendrais beaucoup de plaisir à te voir ainsi souffrir
Tu vois tu te croyais sadique
Moi je suis plus sadique que toi
C’est moi qui t’ai fait mal à la fin
Tu m’as appris que le vainqueur c’est celui qui cause le malheur
Avec ce coup de théâtre je vois ton cœur s’abattre
Je suis toujours aussi renversante, comme un volcan brulante
Je t’ai ruiné puis je t’ai brulé
Sans aucune pitié
Tu l’a bien mérité
D’avoir fait de moi une actrice, tu voulais que je sois ta complice
Tu me mentais
Voulant m’infliger les supplices, tu m’as contaminé de ta malice
Tu n’es pas un martyr, tu voulais prendre ton pied en voyant souffrir
Ça n’a ta pas suffit de me baiser
Tu n’es pas un martyr et je n’ai pas exagéré
J’avoue que sur ça j’avais longtemps fantasmé
C’est ma griffe
La petite gifle
De ma part
Avec tant d’amour et beaucoup de passion
Je t’embrasse et je signe
La reine des damnés à toi roi des mal baisés
Ven 12 Nov 2010, 00:49 par
assouma23 sur La vie à deux
La sasiete
Rassasié de toi, je ne le serai jamais
Ma bouche se posera sur tes doigts de pied
Et je prendrai plaisir à jouer avec ceux ci
Je les "goberai" de ma bouche suave et gourmande
Mais tu ne m’en redemandera pas
Car ton corps se tordra dans tous les sens
Et tes rires en feront trembler les murs du salon.
Je m’appliquerai pour que cela te donne d’autre sensation
Et tes ongles longs manucurés ,laisseront des marques dans mon dos.
Je te "pousserai "à l’extrémité
Pour te donner une jouissance
De ma langue qui se fera cadence
Et dont tu t’impatientera
A poser ma tête un peu plus haut
Ou tout est merveilleusement beau...
Chaque coin et recoin de ta peau sera une délectation
Ou je m’abreuverai de ce délicieux palais
Si doux, si chaud,
Moi le tendre gourmet..
caressedesyeux
Jeu 21 Oct 2010, 14:00 par
caressedesyeux sur L'amour en vrac
Plaisir des palais
BYZANCE!!
Un festin nous attend
Et nous allons, nous délecter de tous ces mets
Et dont nos palais sont asséchés
De gouter à tous ces plaisirs
Et dont je finirai par te "dévorer"
Tu ne seras que meilleur
Mais ce n’est pas encore l’heure.
Faisons durer le plaisir
Mais pour l’instant il nous faut nous nourrir
Tout y passera
J’ai si faim, si soif...
Ton appétit sans mesure ,me trouble
Et me donne soudain envie " d’écraser" sur ta peau tous ce raisin
Et d’en boire tout ce jus
J’en ferai couler, entre tes beaux vallons
Et je m’enivrerai jusqu’au coucher du soleil
De tant de merveilles
Ta peau devient plus sucrée encore,
Et je prends plaisir à vouloir macérer dans ce doux délicat arôme velouté
Où j’en ferai couler dans la moiteur de ton trésor si cher à mes yeux
Mélange ,d’un zeste, de ma peau, salée, en accord parfait avec un soupçon de "ton bouquet"
Fleur, qui m’envoute au regard coquin
Se fera douce pour mon palais délicat....
caressedesyeux
Jeu 21 Oct 2010, 13:49 par
caressedesyeux sur Mille choses
Les petits pois
Les petits pois ne se comptent pas par trois;
Ils sont nombreux, et chuchotent entre eux
A savoir lequel va se retrouver, à la bonne place quand madame s’assiéra.
MOI MOI!!
Ils se battent tous,
Pour sentir de "belle miche" les frôler ou plus exactement les écraser!
Pffffffffff peu importe, ils ne pourront pas avoir ce plaisir de douce rondeur soyeuse.
Diffusant,de délicate odeur vanillée leur monter "au nez"
Ils s’égarent, s’éparpillent comme des billes.
Incapables de rester en rang
La discipline n’est pas leur fort
Et pourtant ils en font des efforts...
Mais madame décide finalement de soulever sa robe
Pour y poser sa blanche petite dentelle.
Qui se fera une joie d ’épouser son beau "galbé"
Sous le regard médusé,et un peu frustré, d’avoir été oublié...
caressedesyeux
Jeu 09 Sep 2010, 16:07 par
caressedesyeux sur Mille choses
La cerise sur le gateau
Petite frêle "cerise" qui se glisse dans un nuage de chantilly
Et veut absolument se fondre en elle.
Bien tentante, malgré tout
Une exquise gourmandise qui tapisse le sol d’une confiture de fraise.
Et tout autour d’elle ce blanc , fondant
Et dont elle passerait à travers.
La voila transportée dans un autre monde
De plaisir pour les palais , et les papilles.
Elle entend les mousses crépiter
Les effluves de caramel sales.
L ’ile flottante qui supporte des rochers diaphanes et ses pépites au chocolat.
Des tartes dont les pommes se tiennent en rang
Et qui n’attendent qu’on les badigeonne d’un doux nectar.
Elle cherche ou elle pourrait se poser.
Un gâteau foret noire sans cerise
Vous n’allez pas le croire
la voila prête a se poser dessus et en recouvrir sa robe crémeuse.
Une touche rouge au milieu
Pour les envieux...
caressedesyeux
Et veut absolument se fondre en elle.
Bien tentante, malgré tout
Une exquise gourmandise qui tapisse le sol d’une confiture de fraise.
Et tout autour d’elle ce blanc , fondant
Et dont elle passerait à travers.
La voila transportée dans un autre monde
De plaisir pour les palais , et les papilles.
Elle entend les mousses crépiter
Les effluves de caramel sales.
L ’ile flottante qui supporte des rochers diaphanes et ses pépites au chocolat.
Des tartes dont les pommes se tiennent en rang
Et qui n’attendent qu’on les badigeonne d’un doux nectar.
Elle cherche ou elle pourrait se poser.
Un gâteau foret noire sans cerise
Vous n’allez pas le croire
la voila prête a se poser dessus et en recouvrir sa robe crémeuse.
Une touche rouge au milieu
Pour les envieux...
caressedesyeux
Ven 03 Sep 2010, 15:53 par
caressedesyeux sur Mille choses
Ecrire sur plaisir
Le coiffeur et sa derniere cliente (chapitre un), Un futur antérieur...?, Je serai ton boa, Forums d'écriture, Seulement un reve, Coquines, Les amants, Singapore, Oisillon, L’amour courtois…, Je t'aime, La sasiete, Plaisir des palais, Les petits pois, La cerise sur le gateau, Il y a 436 textes utilisant le mot plaisir. Ces pages présentent les textes correspondant.
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