Ton cou

Ne me laisse pas te toucher
humer ta vie
sauvage et femme
goûter tes courants
vivants
tellement vivants
qui glissent
le long de ton cou.

Je prendre envie
de te basculer
de te bousculer
dans toutes les directions
par toutes tes odeurs.

Je prendre envie
d’y saoûler
toutes mes retenues
d’y laisser frémir
toutes mes fibres d’homme.

Et si
tu me laissais
me perdre en toi
y défaire nos lois ?
Mar 23 Jan 2007, 19:49 par Alex sur Parler d'amour

Ce soir encore je pense a toi

Ce soir encore je pense à toi,
j’ai du mal à m’y résigner,
mais je dois faire ce dur choix,
par amour pour toi.

Comprendras-tu mon choix ?
Je ne le pense pas et je sais....
que tu m’en veux terriblement
d’avoir éveillé ce désir en toi.

Comment -je vivre ?
Comment -je me regarder ?
Dans le miroir du matin,
dans le reflet de tes yeux pétillants de ces mille étoiles...
En me culpabilisant de te faire porter mon lourd fardeau !

Laisser chanter mon coeur, mon âme, mon émoi,
écouter la douce raison de mon amour pour toi
serait de la folie amère et égoïste.
Je ne veux pas être responsable de cette douleur,
que tu ressentir en me voyant,
chaque nuit revivre des flashs back.
Je ne veux pas brider ton amour si merveilleux,
parce que tu mérites vraiment d’être heureux.
Auprès d’une femme qui te comblera de bonheur,
qui saura être ta femme, ton amie, ta maîtresse et la mère de tes enfants.

Comment -je te faire vivre tout ça ?
Mon coeur, lui, chante les douces mélodies de l’amour,
mais ma raison refuse de te faire souffrir.
Et pour cela, je dois faire en sorte que ton désir passe.
Pourtant, j’aurais aimé être la femme que je décris plus haut,
mais je n’en serais pas capable.
Sam 06 Jan 2007, 23:06 par joullia sur Parler d'amour

Chut !

Chut...Ne dit plus rien
Ecoute moi attentivement...

Les courbes de ton corps developpe en moi.
Le désir incompreansible de m’élancer contre toi.

Tes lèvres si delicate me donne le goût de t’embrasser,
D’une façon si toride jamais ateinte jusqu’a present.

Tes yeux petillant, d’un Air charmeur me fais chaviré de pulsions.
Je ne peu plus les contrôlés...

Ton doux regard me donne des chaleurs et des envies folles.
Si je pourrai arrêté le temps de la vie, je le ferai,
Pour t’admirer et te cherire comme aucune femme ne la jamais fait.

Dans le nuit noir, même si je suis aveugle...je te sens,
Et je ne peu pas m’empêché de chanté ton prenom.

J’ai teriblement envie de me perdre dans les etoiles de tes yeux.
De sentir la chaleur petillante de ton corps m’envahir toridement.

J’ai envie d’entendre tes tendres soupires dans cette vague de silence.
De sentir ta douce main tremblante me caressé le visage aprés l’extase.

Je faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit jusqu’à ce que l’aube se lève.

J’ai seulement envie de toi....de t’aimé
Mer 25 Oct 2006, 21:53 par joullia sur Parler d'amour

Je l'aimais

Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.


C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment -je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.

Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.


Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.

Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.

I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par Evidance sur Histoires d'amour

Parfum...

Imprègnes toi de moi.
Enivres toi de mon parfum
Un parfum dont tu ne
Te défaire.
Qu’il laisse
Une effluve indélébile
Pour que
Jamais Tu ne m’oublies


Marie
Lun 02 Oct 2006, 15:26 par Satine sur Parler d'amour

Jusqu'à ton arrivée divine

J’étais une âme perdue
A la recherche de l’inconnu,
Que je aimer,
Par l’amour qui inonde mon coeur,
Jusqu’à ton arrivée divine.

Tu m’as deviné,
Tu m’as ecouté,
Tu m’as guidé,
Me montrant le chemin plus clair,
De ma destinée déchirée,
En me disant que tu étais à mes côtés...

Quand j’étais apeurée,
Tu m’as rassurée,
Et quand je pleure,
Tu me consoles,
Quand je doute,
Tu me dit de belles choses.

Je ne croyais plus au bonheur de l’amour,
Mais maintenant, je le ressens pour toujours;
Je te jure fidélité
Et je t’aimerais pour l’éternité...
Sam 23 Sep 2006, 09:35 par joullia sur Parler d'amour

Aimons nous vivants

Comme une envie de dire je t’aime
Quand on est au bout de soi même
Quand il n’y a plus aucune raison de le cacher
Comme une envie de rêver tout haut
Te dire enfin les mots qu’il faut
Les mots faciles qui ont le pouvoir de déranger

Et ce soir,
Je veux briser les ponts
Du silence
Franchir le mur du son, le temps d’une chanson

Aimons-nous vivants
N’attendons pas que la mort nous trouve du talent
Aimons-nous vivants
S’il faut danser, je veux danser maintenant
Aimons-nous vivants

Aimons-nous debout
Faisons la paix, faisons l’amour entre nous
Aimons-nous surtout
Pour ne plus jamais, jamais vivre à genoux
Aimons-nous vivants

Combien de larmes et de sourires
De mots qu’on n’a pas osés dire
Dieu que le silence est une arme qui fait souffrir!
Combien d’amours inavouées
Combien de passions condamnées
Au nom de ceux qui ne pourront jamais en mourir?

Mais ce soir,
On va se dépasser
Faire la fête,
Au nom de l’amitié, simplement pour chanter


C’est vrai, on ne peut pas changer le monde
Je sais, mais je veux y croire une seconde
Aimons-nous vivants
Maintenant




Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage qu’il ne faudrait jamais oubier de dire aux gens qu’on les aime...
ne pas les abandonner dans leur solitude...et qu’un jour il soit trop tard.

Ces quelques paroles de chanson comme le témoignage que demain je penserais à toi, car je sais que demain ta famille et tes proches t’accompagneront dans ton dernier voyage, tu as choisi de partir il y a une semaine.
Moi je ne pas t’accompagner, cette histoire pourrait être la mienne...
Tu as voulu partir, on n’ a pas pu te sauver...trop tard.

Tu es morte de chagrin par amour....

Marie
Mar 19 Sep 2006, 11:53 par Satine sur Parler d'amour

Jusqu'à ce qu'il joue son "mâle"...

Vous étiez bien ensemble,
Tout du moins en apparence,
Car tu avais un lourd secret
Que personne ne voyait...

Toi tu l’aimais, tu aurais tout fait pour lui,
Lui n’avait qu’une chose en tête, t’avoir dans son lit..

Il a donc joué l’amoureux,
Tu es entré dans son jeu.
Tu ne voyais pas le mal
Jusqu’à ce qu’il joue son "mâle"...

Cet homme si prévenant,
S’est transformé en homme violent;
Il te frappe sans compter,
Ne pensant même pas que tu y rester...

Ce lourd secret commence à peser,
Mais tu ne peux l’affronter;
Enfuis toi en courant
Avant qu’on ne te retrouve en sang...

Il te frappe tous les soirs
Et personne ne peut ou ne veut le savoir.
Tu sors toujours une excuse,
Pour ces traces, qui jours après jours, t’usent...

Tu ne peux le laisser continuer,
Tu mérites mieux, le bonheur...
Tu dois le quitter et l’oublier,
Et vivre sans plus aucune peur...


Tu metras du temps a oublier les peurs,
Mais tu y arriveras .....
Tu peux le faire comme je l’ai fais ....

Poème dédié à toutes celles qui ont vécu cela...

julia
Mer 23 Août 2006, 00:45 par joullia sur Mille choses

Garderais-je l'espoir

Garderais-je l’espoir qui m’anime en ces jours
De prendre tendrement ton visage en mes mains
Goûter sur tes lèvre un doux baiser divin
Et réchauffer mon coeur au creux de ton amour

Quand saurons-nous briser les démons qui nous hantent
Aller l’un vers l’autre sans la peur en nos coeurs
De se troubler d’amour de joies et de bonheur
En sachant accueillir ces temps qui nous enchantent

J’ai peur du temps et que la vie se joue de nous
Je rêve à l’heure où je serai à tes genoux
Où je goûter l’éclat de ton sourire

J’ai peur de ce lointain et de toutes ces autres
De ces choses j’ai peur et encor combien d’autres
Qui m’éloignent de toi, m’abîment en soupirs
Dim 20 Août 2006, 22:58 par joullia sur Histoires d'amour

Je ne supporterais pas

Des fois, j’imagine,
Je ne sais pas pourquoi,
Que tu
Me quitter.
A cause de nos différences,
Nos disputes ou
Je ne sais quelle raison.
La pire serait que cela soit une autre;
Une autre du net,
Une du même tchat,
Je vois tant de filles te draguer,
Tants de pseudos, qui rôdent près de toi,
Un tout particullier d’ailleurs....
Et rien que de l’imaginer,
Cela me fait énormément souffrir,
Cela me fait pleurer...
J’ai vraiment peur
Que cela puisse
Se produire un jour,
J’espère que ce jour
Sera celui de ma mort,
Car je ne supporterais pas
De te perdre,
Je ne sais pas ce que je ferais,
Mais je pense
Que je ferais quelque chose de pas bien
Toi même tu sais de quoi
J’ai déjà été capable,
Car je tiens trop à toi,
Et je ne vois pas continuer sans toi...
Mer 09 Août 2006, 09:24 par joullia sur Amour internet

Aime !

T’es toute nue dans ta vie, il fait froid et tu ne veux pas sortir. Les autres sont méchants, et toi tu ne fais pas le poids. Tu as perdu tant de fois ton cœur qu’il n’est plus référencé aux objets trouvés, et les bouts de toi, les hommes sont partis avec. Les causes perdues, tu hésites encore, le noviciat serait peut être un bon entre deux. Tu n’y crois plus, mais tu l’espères encore. Tu ne le cherches pas vraiment parce que ça pourrait faire mal de se tromper. Encore.

A combien de femmes je dédier ces mots aujourd’hui ? Tant et tant. Et je les dédie aussi à celles à venir qui un jour seront aussi tristes et perdues que ça.

Je vais les dédier à toi qui me lis.

Je voudrais te rappeler que la vie est facétieuse, qu’elle nous offre des bras que parfois elle nous reprend. Je voudrais te rappeler aussi que ce que tu aimes, d’autres peuvent l’aimer aussi. Et je voudrais enfin te rappeler que si saisir est rassurant, il n’est pas plus sure façon de perdre ce que tu crois tenir.

Je voudrais t’annoncer qu’il y a ton sourire qui va lui plaire, que tes grosses fesses il s’en moque comme de tes dessous, que ce que tu n’aimes pas chez toi, il l’aimera, et que tes travers il te les laissera.

Je voudrais te gronder parce qu’à la télé tu aimerais bien être à la place de la princesse à qui se révèle le prince, mais que tu n’aimerais pas être à la place de ce soldat qui meurt d’une balle.

Déshabillée de tes illusions, quelqu’un va t’aimer. Et je parie que cet amour que tu vivras, tu ne pensais pas qu’il ressemblerait à ça.

Il a toujours été là, mais tu ne l’as pas vu.

Aime !
Lun 19 Juin 2006, 20:03 par PetitPrince sur Le grimoire d'amour

Hommage.

Loin des comédies, certes au goût parfois enjôleur des love stories à l’américaine, il se niche dans un film culte repris récemment, un trésor simple de beauté.

Curieusement, à chaque fois que j’ai pu proposer d’aller voir ce film à des "amies" de circonstance, je m’étais vu répondre, sans grande surprise d’ailleurs, un « non » signifié d’une moue désapprobatrice. Déjà à l’époque mon coeur me disait : "quel dommage, je suis sûr que par là se cache quelque chose de grand". Mais peut être est-il plus facile d’éprouver de la compassion pour un "Quand Harry rencontre Sally" que pour mes idées réputées saugrenues ...

Si ces amies de circonstance ont depuis continué leur route, l’envie de voir ce film ne m’avait pas quitté. Et si je suis en train de vous tenir la jambe à ce moment précis, vous vous doutez bien que je l’ai vu et que j’en suis sur le cul tellement j’ai souri de bonheur.

Je félicite de tout coeur, et remercie Peter Jackson d’avoir su concevoir une telle merveille, d’avoir pris les clichés d’une véritable bête et d’une belle délicieusement femme pour les mettre en scène dans des moments au combien forts et sincères. Je ne me lasse pas de la bataille où la virilité et le courage de cette bête emplie de force de beauté et de fierté sauve la belle, et je ris avec eux lors du manège improvisé sur la glace. Si j’étais une femme, j’aimerais moi aussi un être comme lui. Et si j’étais cet être, oui, je mourir pour elle.

Regardez ce King Kong, il y a de l’amour dedans, du bon comme on en aime.
Mer 19 Avril 2006, 21:35 par PetitPrince sur Un monde parfait

Ma douce âme, je ne joue pas.

Je te dire:
« personne aussi bien que toi…»
te persuader que
« personne désormais… »
t’interpréter la grande scène de l’acte III
« jamais, Ô grand jamais, il n’y aura… »
cela s’appellerait « la grande entourloupe »
cela serait le jeu de « je te laisse croire que…»
mais à ce jeu là, je ne joue pas.
Tu aimerais assez que je te dise,
au bord du pâmoison, le cœur affolé,
le souffle court, l’œil chaviré:
« tu es l’unique qui…
l’unique que…l’unique oui !!! »,
cela te flatterait, mais cela n’est pas:
à ce jeu là, je ne joue pas.
Mon amour, ma vie,
quand ton regard me cherche,
quand tes mots s’inquiètent,
quand tes gestes se retiennent,
quand fragile, ta voix m’appelle,
je t’aime...et quand je dis cela,
ma douce âme, je ne joue pas.
Jeu 16 Mars 2006, 00:27 par Lou sur Parler d'amour

Le coeur et son muet ..

Il était une fois un coeur et un muet
Qui à chaque souffle de leur vie
Se perdaient à bondir et à aimer
Sans autre témoin que le silence.

Un jour, le coeur exposa son souci
Au muet, à l’écoute de sa souffrance.
Celui-ci s’inquiéta de ses forts battements:

-" Petit coeur toi qui est ma voix,
Qu’est ce qui perturbe ton présent?"

Le coeur :
-" Je voudrai exprimer mes sentiments
Mais tu ne m’aides pas avec ta voix
Qui ne dit ni ne crie aucun son
Pour éviter que je me fourvoie"

Le muet :
-" Je veux reconnaître mes torts
Mais ta chamade bloque quelque peu
L’elan de mon souffle courageux
Crois-moi, je fais quelques efforts !"

Le coeur :
-" Excuse moi, mais je ne vois pas toujours le jour
De ces luttes qui barrent le chemin de l’amour."

Le muet :
-"Je sais, je sais... je sais...
C’est...il s’est...je ne sais plus !"

Le coeur :
-" Et que puis je faire pour me montrer,
Pour entrevoir la lueur de mes espoirs ?"

Le muet :
-"Alors pour commencer,
Tes peurs tu dois évacuer,
Et totalement t’abandonner
En ne gardant en toi,
Que la source du plus bel émoi."

Le coeur :
-"Tu ne sais plus ? tu sais,
Je ne sais pas si je
Tout seul réussir cet ouvrage si secret...."

Le muet :
-"Je retrouverai alors les pensées, les mots,
Les gestes, nous ne ressentirons plus aucun maux...
Toi, moi, lui et son coeur, nous pourrons alors rêver,
vivre la vie et tout ce que l’on peut y désirer."

Le coeur :
-" J’aime de l’ancre ce que tu me décris,
Que ton silence fasse que tu aies raison
Que je ne sois plus baillonnée dans ma prison
Que je sois raison..."

Le muet :
-" Scellons donc ce pacte par écrit.."
Mer 15 Fév 2006, 22:23 par Luna_Lou sur Histoires d'amour

Brouillard

S’il était londonien, je m’y promènerais
De lumière en lumière je avancer.
Mais ce brouillard est mien et j’y erre désormais,
Pas un seul repère n’est là pour me guider.

Il est né de mes peurs, a grandi par les tiennes
Gorgé de nos erreurs il exalte ma peine.

J’attends ce vent du nord, qu’il purifie nos airs
Qu’il souffle et souffle encore, que l’on y voit plus clair.
Jeu 08 Déc 2005, 20:00 par l'homme de sable sur L'amour en vrac
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L'amour est un ennemi que l'on ne peut vaincre corps à corps, mais par la fuite.

Cervantès.

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