Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur pourtant - Page 21 sur 26
Inertie
Inertie
L’esprit traversait un muret imaginaire d’ancolies.
Le doux temps virevoltait des colibris farouches sur les fleurs…
Le sentier dallé de sables et de galets
Comme un poème japonais
Marchait dans un pays insoupçonné.
On pénétrait du côté de la petite véranda.
Elle déconcertait d’accords secrets, de poésies et de musiques…
Les chaises restaient belles et silencieuses maintenant.
La grande entrée, l’indispensable passage
Baillait souvent grande ouverte près du bureau.
Une petite note parfumait l’âme d’antan :
« Le cœur de cette maison est libre et généreux,
riche de l’humanité qui l’habite et forme sa toile,
l’amitié s’est toujours trouvée à sa porte…
C’est vous qui l’habitez…
C’est vous qui bâtissez son âme…
Vivante en dedans,
rien d’autres n’a d’importance pour elle ! »
Attrapant de rares ombres au passage.
Le miroir se tenait tranquille, sans attente…
Du ventre des grandes baies et des portes carrelées…
Les planchers de forêts restaient souvent au soleil.
Ils s’imprégnaient de nonchalances tranquilles
sous un petit animal moucheté.
Il gardait la pénate de sa maîtresse,
son manteau calme, dans le ronronnement tigré,
étiré de tout son long dans un giron de lumière.
La pièce principale observait l’océan,
Étayait les lumières marines qui louvoyaient.
Il y avait au temps torride des aventures
Des aubades intentionnellement
Adaptée aux instants qu’ils faisaient;
Celles des agressivités de grands froids insoutenables
Instrumentaient les plus bienfaisantes, les plus chaudes.
Crémeux, le papier éclaboussait partout la salle d’eau…
Des roses lisses et géantes sur les murs…
Imaginées des brosses poétiques
D’une artiste à la vie affinée des Chagall.
Le bain laiteux parfaitement callé dans le plancher comme une cuve,
Des candélabres de cristaux colorés, des petits et des grands
Très occupés à enluminer les porcelaines,
Et la haute douche, vitrée,
Qui regardait ses multiples averses dans le miroir du coin,
Celui qui dérobait les larmes discrètes, les béguins et les sourires des yeux amis.
La fenêtre choyait le temps qui passait par la maison…
Rêvassait des nuits, au destin et aux résurgences nordiques des glaciers,
Connaissait des comètes et les astres.
Dans la mansarde, les aurores du matin en flammes
Enviait l’aube sur les lits en bataille.
L’air orangé, sain, pétillait le sel,
Repartait par les fenêtres et les portes
ouvertes sur l’étendue du bassin voûté.
L’influence des nuages d’eau subsistait salubre et
Tant propice aux rapports au monde et à la terre nautique…
Autre part, du fait tout beau, des œuvres éclectiques, rustiques, des diadèmes de fleurs et de fruits, des cacophonies d’oiseaux de bois et des plumes, du brun au blanc laiteux, des carreaux verts, écarlates grisés de sables, des céramiques, des bois vernis, de la broderie exagérée, des coussins joyeux, énervés, colorés de batailles amusées, du velours quadrillé lustré par les tamponnements de mains, des pierres insolites, des coquillages complexes qui sentaient encore l’origine maternelle, des plantes satisfaites, des livres curieux d’histoires, des livres ensorceleurs, des livres prenants, des écrits pensants, partout en évidence; cosmogonies, affaires, vie sociale des plantes, langues, familles, mémoire mondiale, économies du local au planétaire, des grands boums humains et des petits boums initiatiques, Vinci et milles saintes folies, l’évolution, terres autochtones, fondation, des rayonnages garnies d’artéfacts de peuples depuis longtemps, depuis toujours décimés par la mesquinerie des êtres. Et la grande horloge de gare, des objets grandeurs géants, disproportionnés et l’horloge démesurée silencieuse… l’horloge de gare… muette… taciturne…
Tant, tant d’hilarités et de larmes dans le sable,
Tant de beaux jours et d’adieux dans les yeux,
Tant de billets doux et de discours arrosés de rêves,
Tant d’hommes, de femmes et d’enfants brûlants…
Tant de fêtes bruyantes, tant de cris heureux…
Tant de tristesses et tant de douleurs…
Tant de douceurs… tant de douceurs…
… condensées…
…mais la chambre non, la chambre était distincte
La concordance furtive d’un autre entrave, une autre épave,
Un autre temps, une autre vie...
La chambre… se racontait… volubile à tous les temps…
- Notre histoire est celle pétrifiée
Qui se cherche dans la terre et dans l’eau
Et se perd à chaque courbe des écrits éloignés.
La crainte de te déposséder ou de te reprendre sous les pierres
À me mettre le vent et la pluie sur les joues creuses du souvenir.
Mon âme qui dérive dans la terre, au sein de tes pensées
Ton âme qui peut tout l’amour du sanglot des étoiles et
Les traits des plaisirs jamais oubliés dans les flots.
Tes pas dans la déroute de mes prunelles absentes.
La vie qui revient avec les vagues de tant de…
Toi dans l’air pourtant aimer…
Le ciel qui patiente à te dire
Là…
Las de nous aimer.
J’ai façonné la tendresse et ta douceur, la force et ta raison,
Ta volonté et tes larmes dans les yeux et tes plaisirs dans les passions des minuits
Des blessures vives de désespoirs, de brûlures de colère et
Tes milliards de retour de nos mains retenues.
J’ai façonné ton âme et l’ai mis dans la mienne pour ne pas être séparée de toi.
Je l’ai espéré de tous et de ma vie, de mes pensées de toi
Dans l’air des visages et des cheveux au vent.
Je l’ai vécu certains jours plus que d’autres.
Beaucoup de nuits, je l’ai aimé, tant, tant…
Secrète, silencieuse…
Je peux le dire, tout dire, je t’ai aimé imparfait, probable.
Je n’ai façonné que ton âme… pas ton visage…
Là dans la cendre de ma vie, je l’ai marié à la mienne
Mouillée par le temps des pluies, le temps qui lave les souvenirs
Qu’on étend sur la corde du temps des grands vents…
Pour tarir les larmes qu’on ne s’est pas offertes…
Celles qu’on aurait voulu assécher à la fin de notre amour…
L’amour certain que tu es, que tu existes nombreux, véritable parmi tous…
Poésie, c’est ton nom, tu es vivant, tu es vivant… maintenant…
Je t’ai dans le sang d’encre de mes mots qui vaguent mon âme
Dans les herbes fleuries qui viennent dans les mains du printemps
Dans les cristaux givrés qui se collent aux paupières des randonnées
Dans les eaux en gouttes qui glissent des nuages pour fleurer mes nostalgies
Dans les brouillards qui cachent l’expiration des rorquals et
Des cris d’oiseaux disparus…
Dans les lumières inattendues qui zèbrent le ciel de mes aubes et des nuits,
Je t’ai aimé encore sur cette terre, mon amour loin et si près de nous
Quand l’heure viendra chercher nos âmes pour nous redonner à ce sol, à cet air,
Sache que réfugiée près de toi, j’ai tant aimé celui que tu es…
Je ne suis que toi, séparer de nous…
Les mots partout dans les tiroirs, sur les bureaux racontaient
L’étrangeté amoureuse de cœurs inconnus qui ouvrait la confession…
Qui rêvait… et pourtant… toute cette ivresse…
Qui ne quittait pas des pages et des pages chiffonnées…
Une chambre… se racontait…
Se réfugiait dans la peau d’une femme…
À jamais… blottie dans un rêve…
L’esprit traversait un muret imaginaire d’ancolies.
Le doux temps virevoltait des colibris farouches sur les fleurs…
Le sentier dallé de sables et de galets
Comme un poème japonais
Marchait dans un pays insoupçonné.
On pénétrait du côté de la petite véranda.
Elle déconcertait d’accords secrets, de poésies et de musiques…
Les chaises restaient belles et silencieuses maintenant.
La grande entrée, l’indispensable passage
Baillait souvent grande ouverte près du bureau.
Une petite note parfumait l’âme d’antan :
« Le cœur de cette maison est libre et généreux,
riche de l’humanité qui l’habite et forme sa toile,
l’amitié s’est toujours trouvée à sa porte…
C’est vous qui l’habitez…
C’est vous qui bâtissez son âme…
Vivante en dedans,
rien d’autres n’a d’importance pour elle ! »
Attrapant de rares ombres au passage.
Le miroir se tenait tranquille, sans attente…
Du ventre des grandes baies et des portes carrelées…
Les planchers de forêts restaient souvent au soleil.
Ils s’imprégnaient de nonchalances tranquilles
sous un petit animal moucheté.
Il gardait la pénate de sa maîtresse,
son manteau calme, dans le ronronnement tigré,
étiré de tout son long dans un giron de lumière.
La pièce principale observait l’océan,
Étayait les lumières marines qui louvoyaient.
Il y avait au temps torride des aventures
Des aubades intentionnellement
Adaptée aux instants qu’ils faisaient;
Celles des agressivités de grands froids insoutenables
Instrumentaient les plus bienfaisantes, les plus chaudes.
Crémeux, le papier éclaboussait partout la salle d’eau…
Des roses lisses et géantes sur les murs…
Imaginées des brosses poétiques
D’une artiste à la vie affinée des Chagall.
Le bain laiteux parfaitement callé dans le plancher comme une cuve,
Des candélabres de cristaux colorés, des petits et des grands
Très occupés à enluminer les porcelaines,
Et la haute douche, vitrée,
Qui regardait ses multiples averses dans le miroir du coin,
Celui qui dérobait les larmes discrètes, les béguins et les sourires des yeux amis.
La fenêtre choyait le temps qui passait par la maison…
Rêvassait des nuits, au destin et aux résurgences nordiques des glaciers,
Connaissait des comètes et les astres.
Dans la mansarde, les aurores du matin en flammes
Enviait l’aube sur les lits en bataille.
L’air orangé, sain, pétillait le sel,
Repartait par les fenêtres et les portes
ouvertes sur l’étendue du bassin voûté.
L’influence des nuages d’eau subsistait salubre et
Tant propice aux rapports au monde et à la terre nautique…
Autre part, du fait tout beau, des œuvres éclectiques, rustiques, des diadèmes de fleurs et de fruits, des cacophonies d’oiseaux de bois et des plumes, du brun au blanc laiteux, des carreaux verts, écarlates grisés de sables, des céramiques, des bois vernis, de la broderie exagérée, des coussins joyeux, énervés, colorés de batailles amusées, du velours quadrillé lustré par les tamponnements de mains, des pierres insolites, des coquillages complexes qui sentaient encore l’origine maternelle, des plantes satisfaites, des livres curieux d’histoires, des livres ensorceleurs, des livres prenants, des écrits pensants, partout en évidence; cosmogonies, affaires, vie sociale des plantes, langues, familles, mémoire mondiale, économies du local au planétaire, des grands boums humains et des petits boums initiatiques, Vinci et milles saintes folies, l’évolution, terres autochtones, fondation, des rayonnages garnies d’artéfacts de peuples depuis longtemps, depuis toujours décimés par la mesquinerie des êtres. Et la grande horloge de gare, des objets grandeurs géants, disproportionnés et l’horloge démesurée silencieuse… l’horloge de gare… muette… taciturne…
Tant, tant d’hilarités et de larmes dans le sable,
Tant de beaux jours et d’adieux dans les yeux,
Tant de billets doux et de discours arrosés de rêves,
Tant d’hommes, de femmes et d’enfants brûlants…
Tant de fêtes bruyantes, tant de cris heureux…
Tant de tristesses et tant de douleurs…
Tant de douceurs… tant de douceurs…
… condensées…
…mais la chambre non, la chambre était distincte
La concordance furtive d’un autre entrave, une autre épave,
Un autre temps, une autre vie...
La chambre… se racontait… volubile à tous les temps…
- Notre histoire est celle pétrifiée
Qui se cherche dans la terre et dans l’eau
Et se perd à chaque courbe des écrits éloignés.
La crainte de te déposséder ou de te reprendre sous les pierres
À me mettre le vent et la pluie sur les joues creuses du souvenir.
Mon âme qui dérive dans la terre, au sein de tes pensées
Ton âme qui peut tout l’amour du sanglot des étoiles et
Les traits des plaisirs jamais oubliés dans les flots.
Tes pas dans la déroute de mes prunelles absentes.
La vie qui revient avec les vagues de tant de…
Toi dans l’air pourtant aimer…
Le ciel qui patiente à te dire
Là…
Las de nous aimer.
J’ai façonné la tendresse et ta douceur, la force et ta raison,
Ta volonté et tes larmes dans les yeux et tes plaisirs dans les passions des minuits
Des blessures vives de désespoirs, de brûlures de colère et
Tes milliards de retour de nos mains retenues.
J’ai façonné ton âme et l’ai mis dans la mienne pour ne pas être séparée de toi.
Je l’ai espéré de tous et de ma vie, de mes pensées de toi
Dans l’air des visages et des cheveux au vent.
Je l’ai vécu certains jours plus que d’autres.
Beaucoup de nuits, je l’ai aimé, tant, tant…
Secrète, silencieuse…
Je peux le dire, tout dire, je t’ai aimé imparfait, probable.
Je n’ai façonné que ton âme… pas ton visage…
Là dans la cendre de ma vie, je l’ai marié à la mienne
Mouillée par le temps des pluies, le temps qui lave les souvenirs
Qu’on étend sur la corde du temps des grands vents…
Pour tarir les larmes qu’on ne s’est pas offertes…
Celles qu’on aurait voulu assécher à la fin de notre amour…
L’amour certain que tu es, que tu existes nombreux, véritable parmi tous…
Poésie, c’est ton nom, tu es vivant, tu es vivant… maintenant…
Je t’ai dans le sang d’encre de mes mots qui vaguent mon âme
Dans les herbes fleuries qui viennent dans les mains du printemps
Dans les cristaux givrés qui se collent aux paupières des randonnées
Dans les eaux en gouttes qui glissent des nuages pour fleurer mes nostalgies
Dans les brouillards qui cachent l’expiration des rorquals et
Des cris d’oiseaux disparus…
Dans les lumières inattendues qui zèbrent le ciel de mes aubes et des nuits,
Je t’ai aimé encore sur cette terre, mon amour loin et si près de nous
Quand l’heure viendra chercher nos âmes pour nous redonner à ce sol, à cet air,
Sache que réfugiée près de toi, j’ai tant aimé celui que tu es…
Je ne suis que toi, séparer de nous…
Les mots partout dans les tiroirs, sur les bureaux racontaient
L’étrangeté amoureuse de cœurs inconnus qui ouvrait la confession…
Qui rêvait… et pourtant… toute cette ivresse…
Qui ne quittait pas des pages et des pages chiffonnées…
Une chambre… se racontait…
Se réfugiait dans la peau d’une femme…
À jamais… blottie dans un rêve…
Jeu 09 Juin 2005, 15:03 par
mOTSaRT sur La vie à deux
Ce jour là...
Ce jour là, alors il sentit que le moment était privilégié.
Il faisait un temps magnifique, le soleil brillait, c’était une belle journée d’été
où le soleil réchauffait les cœurs, le ciel était bleu, les oiseaux gazouillaient, un vent léger caressait le tapis d’herbe folle où ils se promenaient le long de la rivière…
L’enfant demanda à son père : « c’est quoi l’amour Papa ? »
Une question d’enfant simple et vrai que tant de grands ne donne un sens que si pauvre, une sens qui leur est propre.
Tu vois mon fils, l’amour est là tout autour de toi, dans la chaleur du soleil, dans la beauté du ciel, le chant des oiseaux.
L’amour est dans le simple fait de croquer une pomme, de voir une chose qui plaît au regard, de ressentir les sons dans l’écho de son cœur comme si il était une montagne.
C‘est chouette l’amour papa, alors je connais déjà l’amour papa ? !
Oh mon fils, l’amour c’est beaucoup d’autres choses.
Tu vois, j’ai beaucoup d’amour pour toi, chaque seconde qui passe, ce que je fais, je le fais aussi pour toi, tu es celui qui prolonge ma vie, tu es ce que j’ai de plus précieux avec ta maman.
Et maman tu as de l’amour pour elle aussi alors ?
Oui je l’aime, c’est elle qui a donné un véritable sens à ma vie.
Lorsque j’ai rencontré ta maman, je croyais connaître l’amour, tout l’amour mais je n’en connaissais qu’une partie.
J’ai découvert d’autres parties de l’amour.
Avec celle que tu rencontreras et avec laquelle tu choisiras de fonder une famille, tu auras une part de l’amour qui résonne en toi, qui réchauffe ton cœur comme le soleil nous réchauffe aujourd’hui.
Tu la trouveras belle, plus belle que le ciel bleu et tu aimeras toujours entendre sa voix comme les oiseaux chantent pour chanter la vie.
Alors tu auras envie de partager, de vivre, de profiter de la vie avec elle.
De partager les joies mais aussi les peines, d’être là pour elle. Tu penseras à elle plus qu’à toi, tu auras beaucoup d’espoir de vie avec elle, de croquer cette pomme, de la partager avec elle, de partager tous les plaisirs de la vie, de l’écouter, la chérir, la soutenir si elle en ressent le besoin.
Tu la respecteras aussi en la laissant respirer parce que dans l’amour, il y a aussi besoin de liberté.
C’est drôlement beau l’amour papa, j’ai envie d’être grand. Mais papa l’amour c’est être libre alors et vouloir partager, c’est difficile, on ne peut pas forcément savoir si l’autre est libre.
Oh si, il est libre d’aimer, de partager, de vouloir.
Tu sais papa, c’est bizarre, mais tu parles d’amour de liberté de partage et moi au catéchisme, il parle de la même chose, pourtant Monsieur le curé, lui il vit seul, est-ce qu’il connaît l’amour.
Il a choisi de vivre qu’une part de l’amour, de dire que l’amour est ailleurs et d’aimer les gens à travers des valeurs de liberté, de partage, d’égalité. Ce sont des choses de l’amour dont il parle à travers l’histoire d’un homme qui a vécu il y a longtemps. Il parle aussi de quelqu’un d’autre… tu te souviens de qui ?
Oui il parle tout le temps d’un grand homme qu’il appelle Dieu. C’est qui ? Il est où Dieu ? Il dit qu’il est partout, c’est bizarre !
Oui il a raison, dieu est partout autours de nous dans tout ce qui nous entoure mais il est surtout en un endroit très particulier, tu sais où ?
Dans la pomme peut-être ? !
Oui il est là aussi, si tu veux mais il vit avant tout dans un endroit particulier, je te laisse chercher.
Dans le soleil, il est fort le soleil et Dieu il a l’air d’avoir de grand pouvoir.
Oui dans le soleil aussi, mais Dieu n’a pas de pouvoir, il n’y a de pouvoir que dans l’amour. Un pouvoir incontrôlable. Cette envie si belle de partager, de prendre soin, de se lier, de profiter de la vie.
Je vais éclaircir tout ce mystère mon fils…
L’amour est partout mais avant tout en chacun de nous, c’est pour cela que monsieur le curé dit que Dieu est partout et en chacun de nous, en nous à l’intérieur de notre cœur qui est chaud comme le soleil quand la beauté d’une femme embellit le bleu de notre regard.
Tu as envie de partager, d’être là pour elle, alors tu lui dis tout simplement je t ‘aime parce que tu ressens beaucoup d’amour pour elle. Tu dois alors toujours avoir à l’esprit que c’est dans la liberté que vit l’amour, chacun a besoin de respirer, les oiseaux chantent, c’est comme la respiration d’une femme qui a besoin de vivre aussi pour elle.
C’est dans le partage de la vie de deux êtres libres que l’amour est le plus beau. Alors tu découvres le trésor que tu as toujours eu en toi, à l’intérieur de ton cœur. Tu désires alors lui offrir ta vie et partager tout l’amour qui nous entoure, ces pommes dans ce bel arbre, être sous le soleil avec elle, se balader le long de cette rivière.
Mais papa, pourquoi si l’amour est si beau et qu’il est partout, pourquoi les gens crient ? se font tant de mal parfois ?
Beaucoup de gens ont du mal à comprendre cela, je vais te révéler la vérité des Dieux, celle qui dit que Dieu et l’amour est partout.
Je crois que l’amour est partout, même dans les cris, les pleurs, les peines, je crois même qu’il y a de l’amour dans la violence des mots, dans la souffrance que l’on a lorsque l’on pleure parfois.
Je crois que dans tous les mots que l’on dit, il y a de l’amour, le plus grand des amours est dans la beauté de ton cœur d’enfant, tu as une vie d’un enfant qui apprend la vie, qui a beaucoup de joie, qui profite de la vie parce que maman et moi, on veut te donner le meilleur de la vie et de notre amour pour toi.
Tous les enfants n’ont pas cette chance là, leurs parents peut-être ne s’aiment pas vraiment. Est-ce qu’ils ont compris ce que je te livre aujourd’hui. Est-ce qu’ils ont compris que c’est dans la liberté que l’amour vit ? Si tu prives de liberté l’autre, alors il a moins d’amour pour soi, plus tu lui donnes de liberté, plus il te donne d’amour.
Les grands ont chacun vécu une histoire différente et ils ont tant besoin d’amour, de beaucoup d’amour, c’est le véritable sens de la vie, l’amour.
Ils devraient prendre d’avantage conscience que l’amour est partout, dans la nature, partager des bons moments avec ses amis, dans le travail aussi parfois.
Car pour aimer il faut vivre libre, plus tu es libre, plus l’amour est grand. Et plus l’amour est grand, plus tu seras heureux, heureux de compter pour elle, de partager ses joies, des peines, de l’écouter te parler de ce qu’elle veut.
Alors elle te le rendra mille fois et la vie que tu auras sera riche d’un amour libre. Alors naturellement, tu fonderas, une famille à travers des projets communs, tu apporteras ta pierre comme l’on construit sa vie pierre après pierre.
Tu vois, là on parle, on se promène au bord la rivière, tu construis déjà ta vie, d’enfant, jour après jour tu empiles des briques comme lorsque tu fais une maison en légo. Lorsque tu vas à l’école tu empiles d’autres briques, si tu as des amis fidèle et vrai, tu empiles d’autres briques et avec nous tu construis ta vie dans tout l’amour que l’on te donne en s’occupant bien de toi. On prend soin de toi, que tu ne manques de rien, que tu travailles bien à l’école, on t’apprend les choses de l’amour, le partage dans les repas que l’on prend tous les jours, la liberté dont tu as besoin lorsque tu veux regarder tranquillement un dessin animé, les sentiments d’amour ne s’apprennent pas, ils sont naturels. Il faut connaître les valeurs de l’amour pour ressentir de vrais sentiments.
On peut vouloir aimer quelqu’un mais on ne peut pas choisir d’avoir de vrais sentiments, de vouloir partager avec lui parce que tout simplement, on a pas les mêmes valeurs où que les même envies.
On peut aussi aimer éperdument un être qui brille dans son cœur et que l’on voit plus beau que le ciel bleu azur, à qui l’on a envie d’apporter tout son amour, tout son trésor à l’intérieur de son cœur, de lui vouer sa vie et de faire des projets ensemble.
Mais alors là, c’est drôlement beau l’amour.
Pas forcément, l’amour entre un homme et une femme doit être partagé et si tu ne prends pas garde de préserver la liberté de l’autre alors son amour petit à petit diminue pour toi.
Mais papa pourquoi tu dis que l’amour est dans tous les mots que l’on prononce ? je comprends pas papa…
C’est difficile à expliquer mais je vais essayer…. Si j’arrive à t’expliquer et que petit à petit, tu comprends cela alors tu auras la chance de comprendre ce que les autres disent tout le temps…. De les comprendre lorsqu’eux ne se comprennent pas.
Les gens ont besoin d’amour et sans le savoir, ils en parlent tout le temps. Ils croient qu’il parle de banalité ou parfois de chose plus difficile, parfois, ils se disputent.
C’est dans les mots que l’on dit que l’on dit que l’on a besoin d’amour, de partage de vivre, de désirer avoir du plaisir, dans le fait de posséder pour remplacer un manque, avoir le sentiment d’exister parfois aux yeux des autres à travers ce que les autres voient.
Ce que l’on possède comme objets n’est que le moyen d’avoir une vie plus agréable, de voir aussi le fruit des efforts de son travail. Il ne faut pas se flouer en croyant exister dans les objets que l’on possède.
Les objets peuvent être utiles, permettre d’avoir un certain plaisir aussi, mais on n’existe pas à travers les objets.
C’est dans l’amour de son cœur que l’on existe et ce que l’on est capable de partager.
Parfois deux personnes ne sont pas d’accord pour partager, et pourtant l’un d’elle le veut alors elles se disputent pour prendre cet amour dont elle a besoin, alors elle prend aussi la liberté de l’autre et l’amour n’est plus.
Le partage, l’amour, les sentiments, il faut être deux et pour être deux il faut être libre.
C’est pareil entre un homme et une femme et entre deux personnes qui ont moins de lien.
Celle qui crie, elle crie son amour, son manque, son vide d’amour, elle parle d’amour à travers des mots parfois violent.
La liberté voilà la chose la plus importante mon fils.
Tu es libre de me poser des questions et je suis libre d’y répondre.
Tu es libre de vouloir me serrer dans tes bras pour me montrer ton amour et là c’est aussi ma liberté de te serrer dans mes bras parce que peut-être que un jour, j’aurais besoin d’être libre, tu auras du mal à comprendre alors peut-être que tu te souviendras de notre discussion au bord de cette rivière par cette journée pleine d’amour sous ce ciel bleu sous ce soleil qui fait briller nos yeux lorsque l’on se regarde.
Tu te souviendras que les gens parlent d’amour sans cesse, chacun trouve de l’amour là où il peut, le plus grand des amours sera toujours entre un homme et une femme qui partage leur vie dans la liberté et les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.
Si tu empiles jour après jour des briques, tu construiras ta vie mais sans cet amour là, ta vie ne sera pas pleine de tout ce qui fait vivre ce trésor que l’on a chacun en nous et que l’on pourrait nommer Dieu, car en chacun de nous vit un Dieu, le Dieu de l’amour.
Il y a autant d’homme que de Dieu mais les hommes ne savent pas forcément aimer oubliant que plus il y a d’égalité entre l’amour et la liberté, plus l’amour est grand et plus l’amour est grand, plus la liberté est belle, plus les cœurs sont chauds, plus la vie est merveilleuse.
La liberté existe dans tout l’amour qui nous entoure et la liberté de laisser vivre chacun ce que de nous souhaite, une passion, une activité, son travail, la nature, le voyage, un livre, la musique, un fruit.
Tu auras alors envie de donner et de prendre soin des personnes qui font ta vie comme moi je prends soin de ta maman et de toi.
Voilà, mon fils, je t’ai dis beaucoup de chose sur l’amour, une chose encore, l’amour a besoin de sincérité car c’est dans la sincérité qu’existe la liberté des sentiments d’amour, alors soi vrai avec les autres, soi toi-même, ne leur mens pas ni sur toi, ni sur ce que tu leur dis, alors tu te sentiras bien avec toi-même et tu préserveras ce que l’on a de plus précieux, le trésor de l’amour à l’intérieur de ton cœur. Ainsi tu pourras aimer librement.
Il faisait un temps magnifique, le soleil brillait, c’était une belle journée d’été
où le soleil réchauffait les cœurs, le ciel était bleu, les oiseaux gazouillaient, un vent léger caressait le tapis d’herbe folle où ils se promenaient le long de la rivière…
L’enfant demanda à son père : « c’est quoi l’amour Papa ? »
Une question d’enfant simple et vrai que tant de grands ne donne un sens que si pauvre, une sens qui leur est propre.
Tu vois mon fils, l’amour est là tout autour de toi, dans la chaleur du soleil, dans la beauté du ciel, le chant des oiseaux.
L’amour est dans le simple fait de croquer une pomme, de voir une chose qui plaît au regard, de ressentir les sons dans l’écho de son cœur comme si il était une montagne.
C‘est chouette l’amour papa, alors je connais déjà l’amour papa ? !
Oh mon fils, l’amour c’est beaucoup d’autres choses.
Tu vois, j’ai beaucoup d’amour pour toi, chaque seconde qui passe, ce que je fais, je le fais aussi pour toi, tu es celui qui prolonge ma vie, tu es ce que j’ai de plus précieux avec ta maman.
Et maman tu as de l’amour pour elle aussi alors ?
Oui je l’aime, c’est elle qui a donné un véritable sens à ma vie.
Lorsque j’ai rencontré ta maman, je croyais connaître l’amour, tout l’amour mais je n’en connaissais qu’une partie.
J’ai découvert d’autres parties de l’amour.
Avec celle que tu rencontreras et avec laquelle tu choisiras de fonder une famille, tu auras une part de l’amour qui résonne en toi, qui réchauffe ton cœur comme le soleil nous réchauffe aujourd’hui.
Tu la trouveras belle, plus belle que le ciel bleu et tu aimeras toujours entendre sa voix comme les oiseaux chantent pour chanter la vie.
Alors tu auras envie de partager, de vivre, de profiter de la vie avec elle.
De partager les joies mais aussi les peines, d’être là pour elle. Tu penseras à elle plus qu’à toi, tu auras beaucoup d’espoir de vie avec elle, de croquer cette pomme, de la partager avec elle, de partager tous les plaisirs de la vie, de l’écouter, la chérir, la soutenir si elle en ressent le besoin.
Tu la respecteras aussi en la laissant respirer parce que dans l’amour, il y a aussi besoin de liberté.
C’est drôlement beau l’amour papa, j’ai envie d’être grand. Mais papa l’amour c’est être libre alors et vouloir partager, c’est difficile, on ne peut pas forcément savoir si l’autre est libre.
Oh si, il est libre d’aimer, de partager, de vouloir.
Tu sais papa, c’est bizarre, mais tu parles d’amour de liberté de partage et moi au catéchisme, il parle de la même chose, pourtant Monsieur le curé, lui il vit seul, est-ce qu’il connaît l’amour.
Il a choisi de vivre qu’une part de l’amour, de dire que l’amour est ailleurs et d’aimer les gens à travers des valeurs de liberté, de partage, d’égalité. Ce sont des choses de l’amour dont il parle à travers l’histoire d’un homme qui a vécu il y a longtemps. Il parle aussi de quelqu’un d’autre… tu te souviens de qui ?
Oui il parle tout le temps d’un grand homme qu’il appelle Dieu. C’est qui ? Il est où Dieu ? Il dit qu’il est partout, c’est bizarre !
Oui il a raison, dieu est partout autours de nous dans tout ce qui nous entoure mais il est surtout en un endroit très particulier, tu sais où ?
Dans la pomme peut-être ? !
Oui il est là aussi, si tu veux mais il vit avant tout dans un endroit particulier, je te laisse chercher.
Dans le soleil, il est fort le soleil et Dieu il a l’air d’avoir de grand pouvoir.
Oui dans le soleil aussi, mais Dieu n’a pas de pouvoir, il n’y a de pouvoir que dans l’amour. Un pouvoir incontrôlable. Cette envie si belle de partager, de prendre soin, de se lier, de profiter de la vie.
Je vais éclaircir tout ce mystère mon fils…
L’amour est partout mais avant tout en chacun de nous, c’est pour cela que monsieur le curé dit que Dieu est partout et en chacun de nous, en nous à l’intérieur de notre cœur qui est chaud comme le soleil quand la beauté d’une femme embellit le bleu de notre regard.
Tu as envie de partager, d’être là pour elle, alors tu lui dis tout simplement je t ‘aime parce que tu ressens beaucoup d’amour pour elle. Tu dois alors toujours avoir à l’esprit que c’est dans la liberté que vit l’amour, chacun a besoin de respirer, les oiseaux chantent, c’est comme la respiration d’une femme qui a besoin de vivre aussi pour elle.
C’est dans le partage de la vie de deux êtres libres que l’amour est le plus beau. Alors tu découvres le trésor que tu as toujours eu en toi, à l’intérieur de ton cœur. Tu désires alors lui offrir ta vie et partager tout l’amour qui nous entoure, ces pommes dans ce bel arbre, être sous le soleil avec elle, se balader le long de cette rivière.
Mais papa, pourquoi si l’amour est si beau et qu’il est partout, pourquoi les gens crient ? se font tant de mal parfois ?
Beaucoup de gens ont du mal à comprendre cela, je vais te révéler la vérité des Dieux, celle qui dit que Dieu et l’amour est partout.
Je crois que l’amour est partout, même dans les cris, les pleurs, les peines, je crois même qu’il y a de l’amour dans la violence des mots, dans la souffrance que l’on a lorsque l’on pleure parfois.
Je crois que dans tous les mots que l’on dit, il y a de l’amour, le plus grand des amours est dans la beauté de ton cœur d’enfant, tu as une vie d’un enfant qui apprend la vie, qui a beaucoup de joie, qui profite de la vie parce que maman et moi, on veut te donner le meilleur de la vie et de notre amour pour toi.
Tous les enfants n’ont pas cette chance là, leurs parents peut-être ne s’aiment pas vraiment. Est-ce qu’ils ont compris ce que je te livre aujourd’hui. Est-ce qu’ils ont compris que c’est dans la liberté que l’amour vit ? Si tu prives de liberté l’autre, alors il a moins d’amour pour soi, plus tu lui donnes de liberté, plus il te donne d’amour.
Les grands ont chacun vécu une histoire différente et ils ont tant besoin d’amour, de beaucoup d’amour, c’est le véritable sens de la vie, l’amour.
Ils devraient prendre d’avantage conscience que l’amour est partout, dans la nature, partager des bons moments avec ses amis, dans le travail aussi parfois.
Car pour aimer il faut vivre libre, plus tu es libre, plus l’amour est grand. Et plus l’amour est grand, plus tu seras heureux, heureux de compter pour elle, de partager ses joies, des peines, de l’écouter te parler de ce qu’elle veut.
Alors elle te le rendra mille fois et la vie que tu auras sera riche d’un amour libre. Alors naturellement, tu fonderas, une famille à travers des projets communs, tu apporteras ta pierre comme l’on construit sa vie pierre après pierre.
Tu vois, là on parle, on se promène au bord la rivière, tu construis déjà ta vie, d’enfant, jour après jour tu empiles des briques comme lorsque tu fais une maison en légo. Lorsque tu vas à l’école tu empiles d’autres briques, si tu as des amis fidèle et vrai, tu empiles d’autres briques et avec nous tu construis ta vie dans tout l’amour que l’on te donne en s’occupant bien de toi. On prend soin de toi, que tu ne manques de rien, que tu travailles bien à l’école, on t’apprend les choses de l’amour, le partage dans les repas que l’on prend tous les jours, la liberté dont tu as besoin lorsque tu veux regarder tranquillement un dessin animé, les sentiments d’amour ne s’apprennent pas, ils sont naturels. Il faut connaître les valeurs de l’amour pour ressentir de vrais sentiments.
On peut vouloir aimer quelqu’un mais on ne peut pas choisir d’avoir de vrais sentiments, de vouloir partager avec lui parce que tout simplement, on a pas les mêmes valeurs où que les même envies.
On peut aussi aimer éperdument un être qui brille dans son cœur et que l’on voit plus beau que le ciel bleu azur, à qui l’on a envie d’apporter tout son amour, tout son trésor à l’intérieur de son cœur, de lui vouer sa vie et de faire des projets ensemble.
Mais alors là, c’est drôlement beau l’amour.
Pas forcément, l’amour entre un homme et une femme doit être partagé et si tu ne prends pas garde de préserver la liberté de l’autre alors son amour petit à petit diminue pour toi.
Mais papa pourquoi tu dis que l’amour est dans tous les mots que l’on prononce ? je comprends pas papa…
C’est difficile à expliquer mais je vais essayer…. Si j’arrive à t’expliquer et que petit à petit, tu comprends cela alors tu auras la chance de comprendre ce que les autres disent tout le temps…. De les comprendre lorsqu’eux ne se comprennent pas.
Les gens ont besoin d’amour et sans le savoir, ils en parlent tout le temps. Ils croient qu’il parle de banalité ou parfois de chose plus difficile, parfois, ils se disputent.
C’est dans les mots que l’on dit que l’on dit que l’on a besoin d’amour, de partage de vivre, de désirer avoir du plaisir, dans le fait de posséder pour remplacer un manque, avoir le sentiment d’exister parfois aux yeux des autres à travers ce que les autres voient.
Ce que l’on possède comme objets n’est que le moyen d’avoir une vie plus agréable, de voir aussi le fruit des efforts de son travail. Il ne faut pas se flouer en croyant exister dans les objets que l’on possède.
Les objets peuvent être utiles, permettre d’avoir un certain plaisir aussi, mais on n’existe pas à travers les objets.
C’est dans l’amour de son cœur que l’on existe et ce que l’on est capable de partager.
Parfois deux personnes ne sont pas d’accord pour partager, et pourtant l’un d’elle le veut alors elles se disputent pour prendre cet amour dont elle a besoin, alors elle prend aussi la liberté de l’autre et l’amour n’est plus.
Le partage, l’amour, les sentiments, il faut être deux et pour être deux il faut être libre.
C’est pareil entre un homme et une femme et entre deux personnes qui ont moins de lien.
Celle qui crie, elle crie son amour, son manque, son vide d’amour, elle parle d’amour à travers des mots parfois violent.
La liberté voilà la chose la plus importante mon fils.
Tu es libre de me poser des questions et je suis libre d’y répondre.
Tu es libre de vouloir me serrer dans tes bras pour me montrer ton amour et là c’est aussi ma liberté de te serrer dans mes bras parce que peut-être que un jour, j’aurais besoin d’être libre, tu auras du mal à comprendre alors peut-être que tu te souviendras de notre discussion au bord de cette rivière par cette journée pleine d’amour sous ce ciel bleu sous ce soleil qui fait briller nos yeux lorsque l’on se regarde.
Tu te souviendras que les gens parlent d’amour sans cesse, chacun trouve de l’amour là où il peut, le plus grand des amours sera toujours entre un homme et une femme qui partage leur vie dans la liberté et les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre.
Si tu empiles jour après jour des briques, tu construiras ta vie mais sans cet amour là, ta vie ne sera pas pleine de tout ce qui fait vivre ce trésor que l’on a chacun en nous et que l’on pourrait nommer Dieu, car en chacun de nous vit un Dieu, le Dieu de l’amour.
Il y a autant d’homme que de Dieu mais les hommes ne savent pas forcément aimer oubliant que plus il y a d’égalité entre l’amour et la liberté, plus l’amour est grand et plus l’amour est grand, plus la liberté est belle, plus les cœurs sont chauds, plus la vie est merveilleuse.
La liberté existe dans tout l’amour qui nous entoure et la liberté de laisser vivre chacun ce que de nous souhaite, une passion, une activité, son travail, la nature, le voyage, un livre, la musique, un fruit.
Tu auras alors envie de donner et de prendre soin des personnes qui font ta vie comme moi je prends soin de ta maman et de toi.
Voilà, mon fils, je t’ai dis beaucoup de chose sur l’amour, une chose encore, l’amour a besoin de sincérité car c’est dans la sincérité qu’existe la liberté des sentiments d’amour, alors soi vrai avec les autres, soi toi-même, ne leur mens pas ni sur toi, ni sur ce que tu leur dis, alors tu te sentiras bien avec toi-même et tu préserveras ce que l’on a de plus précieux, le trésor de l’amour à l’intérieur de ton cœur. Ainsi tu pourras aimer librement.
Dim 05 Juin 2005, 15:04 par
Dauphinor sur Parler d'amour
Ses mots.
Il y a des mots que l’autre prononce si bas, qu’on croirait qu’il ne les dit pas. Et pourtant ces mots là, il est en train de te les hurler comme un damné. Ces mots viennent de l’âme, et l’oreille, l’oreille ne les entends pas.
Dim 08 Mai 2005, 20:07 par
PetitPrince sur Le grimoire d'amour
Une amitié parfaite.
Il ne reste rien autour de moi.
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens près de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
Après ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son souvenir subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.
Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens près de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
Après ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son souvenir subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.
Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Ven 06 Mai 2005, 15:56 par
Yoshitaka sur Un monde parfait
Je ne veux plus.
Il est hors de question que je succombe à nouveau aux sirènes de l’amour. C’est absolument hors de question. Je ne veux pas, je ne veux plus. Comme tout le monde aime à le penser on ne peut pas se passer d’aimer, oui je sais. Il parait qu’on ne peut pas s’en passer, et bien je serai le premier. Regardez, regardez, est ce que je n’ai pas l’air heureux comme ça ? Franchement ? En tout cas, moi je me trouve heureux. Je peux sourire à n’importe quelle fille sans l’embarras idiot du risque que ça dérape. Ca ne dérapera pas parce que je ne veux pas que ça dérape. Et quand je ne veux pas, je ne veux pas. Alors ça ne dérape pas. « Te maries pas » me disent les copains constatant à quel point leur vie avec leur femme manque de souplesse. Si c’est pas fort ça ! « Me mettre avec un bonhomme ? Jamais de la vie » me disait ma grand-mère qui pourtant a vécu de longues années avec son mari. C’est tout de même amusant de constater que ceux qui baignent dans une relation rêvent d’en sortir, et que ceux qui sont seuls rêvent d’y rentrer. Comme le monde est mal fait quand même.
Bon, ce soir je t’appelle, parce que je crois tu me manques un peu en fait.
Bon, ce soir je t’appelle, parce que je crois tu me manques un peu en fait.
Mer 04 Mai 2005, 20:23 par
PetitPrince sur Parler d'amour
Poème que mon homme a écrit à mon intention....
Etats d’âmes
Pour te communiquer mon Désir
Les mots me paraissent dérisoires
Pour te communiquer mon Désir
Je suis d’une maladresse notoire
Comment te communiquer mon Désir
Quand déjà ma présence est pesante
Comment te communiquer mon Désir
Quand l’intimité est absente
Pourtant tu me reçois et tu m’aimes
Alors avec toutes mes maladresses
Mon désir se suffit à lui même
Et c’est à toi seule qu’il s’adresse...
Pour te communiquer mon Désir
Les mots me paraissent dérisoires
Pour te communiquer mon Désir
Je suis d’une maladresse notoire
Comment te communiquer mon Désir
Quand déjà ma présence est pesante
Comment te communiquer mon Désir
Quand l’intimité est absente
Pourtant tu me reçois et tu m’aimes
Alors avec toutes mes maladresses
Mon désir se suffit à lui même
Et c’est à toi seule qu’il s’adresse...
Dim 17 Avril 2005, 14:29 par
Satine sur Parler d'amour
Désirs
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence.
Sans aliénation, vivez autant que possible en bon termes avec toutes personnes.
Dites doucement et clairement votre vérité; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant; ils ont eux aussi leur histoire.
Evitez les individus bruyants ou agressifs, ils sont une vexatiion pour l’esprit.
Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux.
Il ya toujours plus grands ou plus petits que vous. Jouissez de vos projets et de vos accomplissements. Soyez toujours intéressés à votre carrière, si modeste soit-elle; c’est un véritable possession dans les prospérités changeantes du temps.
Soyez prudents dans vos affaires; car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe; plusieurs individus recherchent les grands idéaux; et pourtant la vie est remplie d’héroïsme.
Soyez vous même. Surtout n’affectez pas l’amitié, non plus ne soyez cynique en amour car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe.
Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse.
Fortifiez-vous une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez avec vos chimères.
De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au delà d’une discipline saine, soyez doux avec même. Vous êtes un enfant de la lumière, pas moins que les étoilees et les arbres; Vous avez le droit d’être ici.
Et qu’il vous soit clair ou non l’univers se déroule sans doute comme il le devrait. Soyez en paix avec dieu, quelle que soit votre conception de lui, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme.
Avec toutes ces perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Prenez attention. Tachez d’être heureux.
Trouvé dans une vieille église en 1692. Auteur inconnu
Sans aliénation, vivez autant que possible en bon termes avec toutes personnes.
Dites doucement et clairement votre vérité; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant; ils ont eux aussi leur histoire.
Evitez les individus bruyants ou agressifs, ils sont une vexatiion pour l’esprit.
Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux.
Il ya toujours plus grands ou plus petits que vous. Jouissez de vos projets et de vos accomplissements. Soyez toujours intéressés à votre carrière, si modeste soit-elle; c’est un véritable possession dans les prospérités changeantes du temps.
Soyez prudents dans vos affaires; car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe; plusieurs individus recherchent les grands idéaux; et pourtant la vie est remplie d’héroïsme.
Soyez vous même. Surtout n’affectez pas l’amitié, non plus ne soyez cynique en amour car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe.
Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse.
Fortifiez-vous une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez avec vos chimères.
De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude.
Au delà d’une discipline saine, soyez doux avec même. Vous êtes un enfant de la lumière, pas moins que les étoilees et les arbres; Vous avez le droit d’être ici.
Et qu’il vous soit clair ou non l’univers se déroule sans doute comme il le devrait. Soyez en paix avec dieu, quelle que soit votre conception de lui, et quels que soient vos travaux et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme.
Avec toutes ces perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Prenez attention. Tachez d’être heureux.
Trouvé dans une vieille église en 1692. Auteur inconnu
Sam 16 Avril 2005, 18:29 par
Vincentblue sur Un monde parfait
Obsession
Je te montrerai
Cette nuit insomniaque
Où sans force et épuisé
Je me suis enfin écroulé
Tu verras les murs
Tapissés de ton nom
Que j’ai remplis, inlassable
Pour recréer ta présence
Tu entendras aussi
Cette souffrante mélodie
Composée sans foi
Un jour où je n’étais plus moi
Le fantôme de tes pas
Hante encore le sol
Que tu as foulé
D’un pied pourtant si léger
Tu ne comprendras jamais
Où ton image s’est coincée
Entre deux rochers, froids
Au coeur de mes pensées
Cette nuit insomniaque
Où sans force et épuisé
Je me suis enfin écroulé
Tu verras les murs
Tapissés de ton nom
Que j’ai remplis, inlassable
Pour recréer ta présence
Tu entendras aussi
Cette souffrante mélodie
Composée sans foi
Un jour où je n’étais plus moi
Le fantôme de tes pas
Hante encore le sol
Que tu as foulé
D’un pied pourtant si léger
Tu ne comprendras jamais
Où ton image s’est coincée
Entre deux rochers, froids
Au coeur de mes pensées
Mar 12 Avril 2005, 04:28 par
CafeFroid sur L'amour en vrac
La fleur d'Ernest.
Quand je n’étais encore qu’une toute jeune abeille, je revais de fleurs aux parfums ennivrants, comme celles dont nous parlaient les anciens dans les couloirs méandreux de la ruche. Beaucoup racontaient de drôles d’histoires, mais celle que je preferais entre toutes, c’était celle du vieil Ernest.
Au cours de sa vie de ravitailleur, Ernest avait butiné un pistil si rare qu’il en était tombé raide dingue. Il avait rencontré sa fleur au détour d’un champs de coton, et avait su que celle-ci était celle qu’il cherchait depuis si longtemps. Il la butina, et la butina, et la butina encore, et ce des jours durant. Chaque matin, il partait guilleret voir sa fleur, et chaque soir, il rentrait avec la joie du fou au bord des antennes. Et il passait dans les rayons, donner ce qu’il avait gagné en joie à tout ceux qui en avait envie. De mémoire de reine, aucune fleur connue ne pouvait être butinée aussi longtemps, et pourtant, Ernest la butina tout le printemps. On dit que ce serait l’amour d’Ernest pour cette fleur qui aurait prolongé son existence.
Lorsq’un matin Ernest ne prit pas son envol, toute la ruche comprit que sa fleur n’était plus. Nous fûmes alors enormémént triste pour lui. Mais curieusement, alors que tout le monde s’attendait à ce qu’il meurre de chagrin, Ernest continua à s’occuper de ses travaux comme à l’accoutumée. Il se défit de ses ailes, et dut donc se faire nourir par les autres abeilles qui partaient chercher la nourriture de la ruche.
Un jour, que je demandais à Ernest si ses ailes étaient tombées de chagrin, il me répondit alors mysterieusement: "Tu sais petit, je n’ai pas fait tomber mes ailes parce que j’étais triste, je l’ai fait parce que j’ai connu une fleur qui me fera voler toute ma vie, avec ou sans ailes".
Depuis, je vais toujours de fleur en fleur butiner ce nectar dont j’ai tant besoin pour vivre, avec le secret espoir de trouver moi aussi, une fleur comme celle d’Ernest.
Au cours de sa vie de ravitailleur, Ernest avait butiné un pistil si rare qu’il en était tombé raide dingue. Il avait rencontré sa fleur au détour d’un champs de coton, et avait su que celle-ci était celle qu’il cherchait depuis si longtemps. Il la butina, et la butina, et la butina encore, et ce des jours durant. Chaque matin, il partait guilleret voir sa fleur, et chaque soir, il rentrait avec la joie du fou au bord des antennes. Et il passait dans les rayons, donner ce qu’il avait gagné en joie à tout ceux qui en avait envie. De mémoire de reine, aucune fleur connue ne pouvait être butinée aussi longtemps, et pourtant, Ernest la butina tout le printemps. On dit que ce serait l’amour d’Ernest pour cette fleur qui aurait prolongé son existence.
Lorsq’un matin Ernest ne prit pas son envol, toute la ruche comprit que sa fleur n’était plus. Nous fûmes alors enormémént triste pour lui. Mais curieusement, alors que tout le monde s’attendait à ce qu’il meurre de chagrin, Ernest continua à s’occuper de ses travaux comme à l’accoutumée. Il se défit de ses ailes, et dut donc se faire nourir par les autres abeilles qui partaient chercher la nourriture de la ruche.
Un jour, que je demandais à Ernest si ses ailes étaient tombées de chagrin, il me répondit alors mysterieusement: "Tu sais petit, je n’ai pas fait tomber mes ailes parce que j’étais triste, je l’ai fait parce que j’ai connu une fleur qui me fera voler toute ma vie, avec ou sans ailes".
Depuis, je vais toujours de fleur en fleur butiner ce nectar dont j’ai tant besoin pour vivre, avec le secret espoir de trouver moi aussi, une fleur comme celle d’Ernest.
Lun 11 Avril 2005, 19:19 par
PetitPrince sur L'amour en vrac
Dialogue
Elle entre dans le restaurant, et passe devant ma table. Mon corps s’est déjà tendu bien avant que je la voie, en alerte. Sans aucune pudeur, mes yeux lui ont tiré dessus, et l’ont embrassée toute entière. J’étais attiré par sa démarche, et ma curiosité s’était mise de la partie : pourquoi cette fille a attiré mon regard ?
Elle sentait pourtant l’ennui. De ces filles là qui ne vivent que pour l’image qu’elles veulent avoir. Embarrassées avec leur complexe qu’elles tentent de camoufler comme un bouton d’acné. Cette fille veut plaire, et veut tester son pouvoir. Et c’est ça que j’ai du sentir.
Echange de regard, bref et amusé. Je lui ai simplement dit de mes yeux qu’elle était jolie. Elle en a sourit.
Elle sentait pourtant l’ennui. De ces filles là qui ne vivent que pour l’image qu’elles veulent avoir. Embarrassées avec leur complexe qu’elles tentent de camoufler comme un bouton d’acné. Cette fille veut plaire, et veut tester son pouvoir. Et c’est ça que j’ai du sentir.
Echange de regard, bref et amusé. Je lui ai simplement dit de mes yeux qu’elle était jolie. Elle en a sourit.
Lun 21 Fév 2005, 11:35 par
PetitPrince sur La séduction
Comme un envie
une t’ite chanson dédiée à une qui se reconnaitra ..
Comme une envie d’écrire
Glissée à travers moi
Empreintes de nos pas
Comme une envie de toi
Un slow pour une pause
Je débecte ce style là
Tu sais ... et pourtant j’ose
écrire cette chanson là
Toute habillée de choses
Déshabillé de moi
La vie ... à petites doses
En seringues de toi
Héroine mes rêves
Mon sang qui se dilue
Et tes mots qui m’achèvent
en pénétrant le nu
De l’existence veine
A ton poul qui me dit
De baisser la rengaine
mettr’ nos coeurs sur l’ampli
Ca bat, comme on chamade
Les mots qui se replient
Et nos mains en cascades
Nos corps qui se déplient
Et dansent sur les lignes
A lire en bohémiens
L’avenir de nos signes ...
on f’ra comme ça vient
L’avenir de nos signes
on f’ra comme ça viens ...
comme ça .... Viens..
Comme une envie d’écrire
Glissée à travers moi
Empreintes de nos pas
Comme une envie de toi
Un slow pour une pause
Je débecte ce style là
Tu sais ... et pourtant j’ose
écrire cette chanson là
Toute habillée de choses
Déshabillé de moi
La vie ... à petites doses
En seringues de toi
Héroine mes rêves
Mon sang qui se dilue
Et tes mots qui m’achèvent
en pénétrant le nu
De l’existence veine
A ton poul qui me dit
De baisser la rengaine
mettr’ nos coeurs sur l’ampli
Ca bat, comme on chamade
Les mots qui se replient
Et nos mains en cascades
Nos corps qui se déplient
Et dansent sur les lignes
A lire en bohémiens
L’avenir de nos signes ...
on f’ra comme ça vient
L’avenir de nos signes
on f’ra comme ça viens ...
comme ça .... Viens..
Mer 02 Fév 2005, 21:36 par
bismoun sur La séduction
La fin
Je te dévoilais mon Amour chaque jour et jusqu’à le faire pour toujours mais l’expression de ton visage, ton sourire bas et ton regard de pitié, ne me renvoyait pas le fluide de cet Amour.
Notre dernier baiser ne m’avait pas trompé, le fond de mon cœur me hurlait que ce n’était que du faux et ma langue ne trouvait plus le goût de l’Amour.
Mon cœur plein consommait de l’Amour pour toi mais cette énergie ne venait peut-être même pas effleurer ton cœur, ce cœur qui m’avait pourtant aimé.
Notre dernier baiser ne m’avait pas trompé, le fond de mon cœur me hurlait que ce n’était que du faux et ma langue ne trouvait plus le goût de l’Amour.
Mon cœur plein consommait de l’Amour pour toi mais cette énergie ne venait peut-être même pas effleurer ton cœur, ce cœur qui m’avait pourtant aimé.
Sam 22 Jan 2005, 13:37 par
Ady sur L'amour en vrac
Cristal
Ton corps avec le mien ne forme qu’une seule silhouette qui se distingue de l’herbe dense du haut de la falaise. Elle domine l’Océan, d’un bleu cristal, parsemé des reflets rougeoyant du Soleil qui ne demande qu’à se coucher.
Le tendre palmier, contrasté par les nuages roses de l’horizon, englobe la bulle de notre corps enlacé au plus profond de notre cœur.
La lumière dorée du rivage donne à ton visage une nouvelle clarté soutenue par une douce brise qui caresse tes cheveux ; miroir de la mer scintillante qui, sous le Ciel orangé enrichi des premières étoiles, vient chatouiller la petite crique sableuse en contrebas.
Ta joyeuse présence arrête le temps pourtant si éphémère, instant précieux préféré de nos rêves …
Le tendre palmier, contrasté par les nuages roses de l’horizon, englobe la bulle de notre corps enlacé au plus profond de notre cœur.
La lumière dorée du rivage donne à ton visage une nouvelle clarté soutenue par une douce brise qui caresse tes cheveux ; miroir de la mer scintillante qui, sous le Ciel orangé enrichi des premières étoiles, vient chatouiller la petite crique sableuse en contrebas.
Ta joyeuse présence arrête le temps pourtant si éphémère, instant précieux préféré de nos rêves …
Ven 21 Jan 2005, 13:14 par
Ady sur Parler d'amour
Un amour internet qui commence mal!
Imaginez un jour au détour d une page Internet trouver la femme qui vous donne les réponses, les attentes que vous avez toujours attendu. Imaginez que sans la voir vous avez l’impression de la connaître par coeur elle a les même réactions que vous, elle est celle qu’il vous faut pas de doutes!
Et maintenant que tout s’est concrétisé que l’on a été ensemble il y a un hic. C’est vrai des le début elle ma dit a plusieurs reprise quelle devais faire son deuil avant de se lancer quelque part. Mais en fin de compte elle s’est lancé avec moi et au bout d une semaine elle ma dit « on va redevenir ami il faut que je fasse le point je stresse trop là ». J’ ai dit ok ( pourtant je l’ adore cette femme) et un soir on est sortis entre "ami" tout les deux, évidemment les regards en disent long et on s’embrasse .Le lendemain pas de nouvelles alors j’ai décidé de provoquer notre rupture (en fait je me suis arrangé pour qu’elle se rende compte que ça n’allait pas coller) je peux vous garantir que ça m’a fait mal de le faire mais faire son deuil avec moi dans les pattes ça n’aurait jamais marcher alors je préfère moi ramasser pendant un certain temps pendant qu’elle refait surface. Et la le soir même elle fait un pas vers moi (via le net) moi tel surpris et heureux je me suis mal exprimé sur ma joie et je pense que ça a coincé. Elle s’est dit il a rien compris je me suis pas guéri en 3h00. Aujourd’hui j ai envoyé 6 mails, peu de réponses (si du style j’ai pas besoin d aide c’est bon) et un coucou rapide sur le net 2minutes.
Maintenant je fais quoi moi ?!?
Et maintenant que tout s’est concrétisé que l’on a été ensemble il y a un hic. C’est vrai des le début elle ma dit a plusieurs reprise quelle devais faire son deuil avant de se lancer quelque part. Mais en fin de compte elle s’est lancé avec moi et au bout d une semaine elle ma dit « on va redevenir ami il faut que je fasse le point je stresse trop là ». J’ ai dit ok ( pourtant je l’ adore cette femme) et un soir on est sortis entre "ami" tout les deux, évidemment les regards en disent long et on s’embrasse .Le lendemain pas de nouvelles alors j’ai décidé de provoquer notre rupture (en fait je me suis arrangé pour qu’elle se rende compte que ça n’allait pas coller) je peux vous garantir que ça m’a fait mal de le faire mais faire son deuil avec moi dans les pattes ça n’aurait jamais marcher alors je préfère moi ramasser pendant un certain temps pendant qu’elle refait surface. Et la le soir même elle fait un pas vers moi (via le net) moi tel surpris et heureux je me suis mal exprimé sur ma joie et je pense que ça a coincé. Elle s’est dit il a rien compris je me suis pas guéri en 3h00. Aujourd’hui j ai envoyé 6 mails, peu de réponses (si du style j’ai pas besoin d aide c’est bon) et un coucou rapide sur le net 2minutes.
Maintenant je fais quoi moi ?!?
Dim 16 Jan 2005, 21:41 par
tangui sur Amour internet
Je ne sais pas
Je ne sais pas si je préfère vous voir, vous mesdemoiselles, emmitouflées dans vos gros pull, à imaginer combien votre peau doit être douce et chaude au toucher, ou alors vous goûter quand à la faveur de l’été, vos vêtements légers dévoilent votre corps et mon péché.
Et pourtant, si je sais. Je vous préfère en pull, parce que vous devenez alors une promesse. Je ne vous devine pas, je vous imagine, je ne vous convoite pas, je vous désire. Sous vos gros pull, vous me donnez envie d’avoir chaud aussi, avec vous.
Et pourtant, si je sais. Je vous préfère en pull, parce que vous devenez alors une promesse. Je ne vous devine pas, je vous imagine, je ne vous convoite pas, je vous désire. Sous vos gros pull, vous me donnez envie d’avoir chaud aussi, avec vous.
Sam 27 Nov 2004, 18:50 par
PetitPrince sur Edito
Ecrire sur pourtant
Inertie, Ce jour là..., Ses mots., Une amitié parfaite., Je ne veux plus., Poème que mon homme a écrit à mon intention...., Désirs, Obsession, La fleur d'Ernest., Dialogue, Comme un envie, La fin, Cristal, Un amour internet qui commence mal!, Je ne sais pas, Il y a 386 textes utilisant le mot pourtant. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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La citation d'amour
On apprend combien l'on s'aime, Lorsque ensemble on a pleuré.
Emile Deschamps.
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