Voilà...

Tu aimes mes "voilà..."; mes "encore..." te troublent, me dis-tu. Il ne m’en faut pas plus pour éveiller mes sens.
J’aime tes provocations, lire dans tes yeux "j’ai envie que tu me fasses l’amour..."
tes bras autour de moi et tes mains qui me palpent...
l’abandon de ta tête de mon cou, te respirer là et partout...
dégager ta nuque, m’en délecter et ressentir ton émoi...encore et encore...
voir ton corps se tendre lorsque mes mains insatiables en apprécient les contours.
Tu attends que mes lèvres s’y posent, que ma langue s’y perde un peu...ta saveur, ton odeur commencent à m’enivrer.
Mon désir hésite entre impatience et flânerie; j’éprouve le tien, à peine...sous mes doigts tu vibres...maintenant, tu t’offres.
Voilà...je t’écoute gémir...je te regarde t’ouvrir et m’accueillir...
Lun 22 Août 2005, 07:55 par danslalune sur Parler d'amour

Toute entière...

Allongée de moi, elle me regarde, souriante; je lui renvoie sa tendresse et son désir; il est là son désir, troublant et vif, il danse dans ses yeux, éclaire son visage. Parfois provoquant, son regard soutient le mien mais souvent s’y égare; les rôles s’inversent alors et je deviens l’amante: elle me laisse l’aimer.
Allongée contre moi, ses mains d’abord, sa bouche ensuite coulent sur ma peau, légères et lascives...elles se séparent, me parcourent délicatement et glissent, expertes entre mes jambes...je goûte chacune de ses caresses: elle me cueille et comme je l’aime ainsi, au plus intime de moi.
Je la regarde s’allonger sur moi, lentement...je fais le plein de sensations...Son corps, à ma mesure, épouse le mien; le soyeux de son pubis, la chaleur de son ventre, la douceur de ses seins, la sensualité de ses lèvres...toute entière je la veux, de mon désir à mon plaisir...et je sais que cela va arriver. Elle ne fait presque rien, une simple ondulation, langoureuse et voluptueuse...tellement...Nos cuisses qui s’enlacent et son désir qui fait écho au mien; en nous tout se mêle jusqu’à la confusion, jusqu’au plaisir...
Mer 17 Août 2005, 05:57 par danslalune sur La vie à deux

Tous mes trésors...

...tout ce qui me ramène à toi: un petit coquillage, je le trimballe de jean’s en jean’s...une bougie multicolore, elle est là sous mes yeux...une tasse, ma préférée, celle que tu m’as offerte...des cd audio, tous écoutés, pas tous appréciés...une télévision, l’étrange lucarne qui te fascine...le lit, celui qui fera partie du déménagement.
Mon pull, ton préféré, celui que tu malmènes...mon jean’s taille basse, tes mains plaquées sur sa ceinture.
Une feuille de papier faite en tissu recyclé, écologiquement correct, qui attend d’une plume...un livre prêté, à peine entamé...un porte-clefs que tu as fabriqué, pour y accrocher le clef de mon appartement.
Des tickets de métro passés à la machine dans la poche de mon 501...des photos dans mon ordinateur, de toi, de tes enfants...des textes, ceux que je dépose sur le site, d’autres encore.
Ce matin, un texte: ta "bonne nuit...." douce et caressante.
La Lune s’est levée, l’Ange l’a embrassée...
L’Ange et la Lune se sont aimés...
La Lune s’est couchée, l’Ange s’est envolé...
Jeu 04 Août 2005, 20:36 par danslalune sur Mille choses

Entre-deux...

Appelons le l’instant en suspend, l’instant où nous sommes entre deux: il y a eu, il y aura et maintenant il y a...nous avons partagé, nous partagerons encore, maintenant tu viens de moi jusqu’à me toucher...
A cet instant je te devine...tout est là, dans tes silences à peine troublés par quelques soupirs; dans tes gestes, ta manière de poser ta tête au creux de mon épaule...et tes mains qui s’approprient ma nuque, mon dos, mes hanches: tu as besoin de t’accrocher...dans tes regards que je n’aime pas voir se voiler, qui m’offrent tant de douceur et ne savent pas cacher ta tristesse...les mots viendront plus tard, lorsque mes angoisses se seront calmées, lorsque mes émotions se seront apaisées, lorsque je me serai retrouvée...ce sera l’instant d’a.
Mar 02 Août 2005, 22:47 par danslalune sur L'amour en vrac

Jacques...

"Je crois qu’un homme est un nomade. Il est fait pour aller se promener, pour aller voir de l’autre côté de la colline (je parle de l’homme, du mâle), je crois vraiment ça. Et je crois que par essence la femme l’arrête. Alors l’homme s’arrête d’une femme et la femme a envie qu’on lui ponde un oeuf, toujours; toutes les femmes du monde ont envie qu’on leur ponde un oeuf, et je comprends ça. Et puis on pond l’oeuf. Alors il est bien bon, il est gentil, il calcule infiniment moins que la femme - je ne dis pas que la femme est méchante - je dis que l’homme est con."

Jacques Brel
Mar 26 Juil 2005, 17:55 par chupito sur Citations

Inertie

Inertie

L’esprit traversait un muret imaginaire d’ancolies.
Le doux temps virevoltait des colibris farouches sur les fleurs…
Le sentier dallé de sables et de galets
Comme un poème japonais
Marchait dans un pays insoupçonné.

On pénétrait du côté de la petite véranda.
Elle déconcertait d’accords secrets, de poésies et de musiques…
Les chaises restaient belles et silencieuses maintenant.

La grande entrée, l’indispensable passage
Baillait souvent grande ouverte du bureau.

Une petite note parfumait l’âme d’antan :

« Le cœur de cette maison est libre et généreux,
riche de l’humanité qui l’habite et forme sa toile,
l’amitié s’est toujours trouvée à sa porte…
C’est vous qui l’habitez…
C’est vous qui bâtissez son âme…
Vivante en dedans,
rien d’autres n’a d’importance pour elle ! »

Attrapant de rares ombres au passage.
Le miroir se tenait tranquille, sans attente…

Du ventre des grandes baies et des portes carrelées…
Les planchers de forêts restaient souvent au soleil.
Ils s’imprégnaient de nonchalances tranquilles
sous un petit animal moucheté.
Il gardait la pénate de sa maîtresse,
son manteau calme, dans le ronronnement tigré,
étiré de tout son long dans un giron de lumière.

La pièce principale observait l’océan,
Étayait les lumières marines qui louvoyaient.

Il y avait au temps torride des aventures
Des aubades intentionnellement
Adaptée aux instants qu’ils faisaient;
Celles des agressivités de grands froids insoutenables
Instrumentaient les plus bienfaisantes, les plus chaudes.

Crémeux, le papier éclaboussait partout la salle d’eau…
Des roses lisses et géantes sur les murs…
Imaginées des brosses poétiques
D’une artiste à la vie affinée des Chagall.
Le bain laiteux parfaitement callé dans le plancher comme une cuve,
Des candélabres de cristaux colorés, des petits et des grands
Très occupés à enluminer les porcelaines,
Et la haute douche, vitrée,
Qui regardait ses multiples averses dans le miroir du coin,
Celui qui dérobait les larmes discrètes, les béguins et les sourires des yeux amis.

La fenêtre choyait le temps qui passait par la maison…
Rêvassait des nuits, au destin et aux résurgences nordiques des glaciers,
Connaissait des comètes et les astres.

Dans la mansarde, les aurores du matin en flammes
Enviait l’aube sur les lits en bataille.
L’air orangé, sain, pétillait le sel,
Repartait par les fenêtres et les portes
ouvertes sur l’étendue du bassin voûté.

L’influence des nuages d’eau subsistait salubre et
Tant propice aux rapports au monde et à la terre nautique…

Autre part, du fait tout beau, des œuvres éclectiques, rustiques, des diadèmes de fleurs et de fruits, des cacophonies d’oiseaux de bois et des plumes, du brun au blanc laiteux, des carreaux verts, écarlates grisés de sables, des céramiques, des bois vernis, de la broderie exagérée, des coussins joyeux, énervés, colorés de batailles amusées, du velours quadrillé lustré par les tamponnements de mains, des pierres insolites, des coquillages complexes qui sentaient encore l’origine maternelle, des plantes satisfaites, des livres curieux d’histoires, des livres ensorceleurs, des livres prenants, des écrits pensants, partout en évidence; cosmogonies, affaires, vie sociale des plantes, langues, familles, mémoire mondiale, économies du local au planétaire, des grands boums humains et des petits boums initiatiques, Vinci et milles saintes folies, l’évolution, terres autochtones, fondation, des rayonnages garnies d’artéfacts de peuples depuis longtemps, depuis toujours décimés par la mesquinerie des êtres. Et la grande horloge de gare, des objets grandeurs géants, disproportionnés et l’horloge démesurée silencieuse… l’horloge de gare… muette… taciturne…

Tant, tant d’hilarités et de larmes dans le sable,
Tant de beaux jours et d’adieux dans les yeux,
Tant de billets doux et de discours arrosés de rêves,
Tant d’hommes, de femmes et d’enfants brûlants…
Tant de fêtes bruyantes, tant de cris heureux…
Tant de tristesses et tant de douleurs…
Tant de douceurs… tant de douceurs…
… condensées…

…mais la chambre non, la chambre était distincte
La concordance furtive d’un autre entrave, une autre épave,
Un autre temps, une autre vie...

La chambre… se racontait… volubile à tous les temps…


- Notre histoire est celle pétrifiée
Qui se cherche dans la terre et dans l’eau
Et se perd à chaque courbe des écrits éloignés.
La crainte de te déposséder ou de te reprendre sous les pierres
À me mettre le vent et la pluie sur les joues creuses du souvenir.

Mon âme qui dérive dans la terre, au sein de tes pensées
Ton âme qui peut tout l’amour du sanglot des étoiles et
Les traits des plaisirs jamais oubliés dans les flots.

Tes pas dans la déroute de mes prunelles absentes.
La vie qui revient avec les vagues de tant de…
Toi dans l’air pourtant aimer…
Le ciel qui patiente à te dire
Là…
Las de nous aimer.

J’ai façonné la tendresse et ta douceur, la force et ta raison,
Ta volonté et tes larmes dans les yeux et tes plaisirs dans les passions des minuits
Des blessures vives de désespoirs, de brûlures de colère et
Tes milliards de retour de nos mains retenues.
J’ai façonné ton âme et l’ai mis dans la mienne pour ne pas être séparée de toi.
Je l’ai espéré de tous et de ma vie, de mes pensées de toi
Dans l’air des visages et des cheveux au vent.
Je l’ai vécu certains jours plus que d’autres.
Beaucoup de nuits, je l’ai aimé, tant, tant…
Secrète, silencieuse…
Je peux le dire, tout dire, je t’ai aimé imparfait, probable.
Je n’ai façonné que ton âme… pas ton visage…
Là dans la cendre de ma vie, je l’ai marié à la mienne
Mouillée par le temps des pluies, le temps qui lave les souvenirs
Qu’on étend sur la corde du temps des grands vents…
Pour tarir les larmes qu’on ne s’est pas offertes…
Celles qu’on aurait voulu assécher à la fin de notre amour…
L’amour certain que tu es, que tu existes nombreux, véritable parmi tous…

Poésie, c’est ton nom, tu es vivant, tu es vivant… maintenant…
Je t’ai dans le sang d’encre de mes mots qui vaguent mon âme
Dans les herbes fleuries qui viennent dans les mains du printemps
Dans les cristaux givrés qui se collent aux paupières des randonnées
Dans les eaux en gouttes qui glissent des nuages pour fleurer mes nostalgies
Dans les brouillards qui cachent l’expiration des rorquals et
Des cris d’oiseaux disparus…
Dans les lumières inattendues qui zèbrent le ciel de mes aubes et des nuits,
Je t’ai aimé encore sur cette terre, mon amour loin et si de nous
Quand l’heure viendra chercher nos âmes pour nous redonner à ce sol, à cet air,
Sache que réfugiée de toi, j’ai tant aimé celui que tu es…
Je ne suis que toi, séparer de nous…

Les mots partout dans les tiroirs, sur les bureaux racontaient
L’étrangeté amoureuse de cœurs inconnus qui ouvrait la confession…
Qui rêvait… et pourtant… toute cette ivresse…
Qui ne quittait pas des pages et des pages chiffonnées…
Une chambre… se racontait…
Se réfugiait dans la peau d’une femme…
À jamais… blottie dans un rêve…
Jeu 09 Juin 2005, 15:03 par mOTSaRT sur La vie à deux

Le baiser du sel.

L’eau fraîche les réveilla avec ce petit frisson qui prend naissance dans le creux du dos et hérisse les poils de la nuque. Délaissant la petite plage de sable fin Katy et Luc se tenaient les pieds dans l’eau face à la mer et prenaient le temps de s’accoutumer au changement de température. Katy s’avança la première et pénétra dans l’eau jusqu’en haut des cuisses, ce qui lui arracha un cri amusé et un nouveau frisson la secoua. Dans le creux de ses mains, elle pris de l’eau qu’elle étala sur ses bras, sa nuque et les épaules. Virevoltant sur elle-même, elle se retourna vers son homme occupé par les mêmes ablutions, puis le regarda en faisant une grimace comique alors qu’elle se laissait tomber doucement dans le bain d’eau fraîche. Il rejoignit dans un plongeon courageux.

Ces deux là n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Ils étaient contents de leur sort, prenant les choses comme elles viennent, s’aimant simplement. La déclinaison douce du sable leur permis d’avancer loin du bord jusqu’à ce que l’eau atteigne le haut du corps de Katy. Alanguis par le soleil qui les avait léché toute l’a-midi, fatigués de leurs jeux dans les vagues ils ne prirent pas la peine de nager vers la petite bouée comme ils aimaient le faire, mais s’allongèrent sur l’eau et firent la planche. Le nez dans les nuages, et les yeux fermés, ils se laissèrent ainsi ballotter légèrement par les vagues, s’échangeant de brèves paroles pour décrire ce qu’ils éprouvaient dans cette expérience commune. Qu’il est bon d’être insouciant, loin des tracas des hommes, des bêtises du monde se disait Luc.

- Je voudrais t’aimer ici, Katy dit-il soudain, toujours sur le dos.

Elle tourna la tête vers lui, amusée par les mots toujours inattendus de celui avec qui elle partageait sa vie depuis plusieurs mois.

- Je n’y vois pas d’inconvénient répondit-elle espiègle, sans changer de position.

Luc se rétablit dans l’eau et alla vers sa compagne, toujours allongée, les yeux grands ouverts, dardant avec excitation celui qui savait lui arracher des cris de plaisir. Il se tint debout un moment prés d’elle, puis posa doucement sa main sur son ventre. Il voulait la caresser sans qu’elle ne s’enfonce dans l’eau, que le poids de sa main soit suffisamment fort pour qu’elle le goûte sans briser l’ équilibre de la flottaison. C’était un jeu qui demandait une délicatesse infinie, une complicité sans faille. Elle comprit la manœuvre et se détendit pour ne goûter que les mains agiles de Luc sur sa peau. Elle sentit l’index de celui-ci glisser sous la lisière de son petit slip orange, se promener sur la lisière de son ventre, glisser vers une hanche, revenir vers le centre pour partir conquérir l’autre hanche. La caresse était aux frontières de l’érotisme, s’en approchant si prés, mais sans jamais la franchir. C’était bon, doux, simple.

Elle sentit le doigt se retirer de sous l’élastique, aussitôt remplacé par la main entière posée sur son maillot. Un petit frisson naquit au fond de son ventre tandis que les doigts de Luc survolaient au travers de son maillot la petite toison taillée pour l’été. La main descendit vers l’aine en l’effleurant, quitta la surface lisse du maillot pour se plaquer doucement sur l’intérieur de sa cuisse. Inconsciemment, ses jambes s’étaient entrouvertes, invitant ainsi son homme à continuer sa progression. La main descendit dans l’intérieur de la cuisse jusque sous le genou, puis remonta en passant sous la cuisse. Dans un frôlement les doigts remontèrent de la base des fesses vers l’entrejambe, insistant imperceptiblement sur l’entrée de son temple sacré.

Le petit séisme chaud qui la tarauda fit battre son cœur plus vite, créant un flot de désir venu du fond de son être. Elle se redressa vivement et se jeta au cou de Luc, la bouche avide de ses lèvres. Le goût du sel l’électrisa un instant, la chaleur et le goût plus sucré de la langue accueillante provoqua une autre bouffé intense de désir. Son ventre vide réclamait avec insistance qu’il fut comblé par de la chair dure et puissante. Elle se colla contre le torse de Luc, écrasant ses seins lourds et durs avec insistance. Leurs bouches tourbillonnaient avec fièvre, prises dans une valse folle et gourmande. Elle sentit une main s’emparer avidement d’un sein, passer sous le soutien-gorge pour coller sa paume contre le téton et pétrir à pleine main la forme compacte et généreuse. Autre frisson, ses yeux se voilèrent. Elle glissa prestement une main dans le maillot du jeune homme et s’empara vivement de l’objet de son désir. La chaleur de la main vint contraster avec le milieu liquide et augmenta l’intensité de l’érection. Les cœurs tambourinaient.

Un instant, ils s’arrêtèrent. La main de Katy entourait le sexe rigide de Luc, le flattant avec respect dans une caresse douce, lente, experte. Les yeux fermés, Luc goûtait ce moment de tout son corps. Il ouvrit les yeux et les planta dans ceux de Katy. Sans la quitter du regard, il posa les mains sur ses hanches et les fit descendre avec une lenteur calculée dans ses reins, et continua de la sorte jusque dans le maillot. Elles quittèrent la rondeur de ses fesses pour glisser sur les hanches, et, l’élastique du slip bloqué par ses poignets, il descendit les mains sur ses cuisses pour la libérer de cette ultime entrave à leur étreinte. Katy se plaqua contre lui, la main toujours nichée dans le caleçon qu’elle écarta. Elle se laissa glisser, et guidant le sexe du jeune homme, se planta doucement sur lui.

Elle sentit d’abord le froid envahir son ventre, et lui sentir le chaud envelopper son membre. Ce contraste de température les projeta tout les deux aux frontières du plaisir. Dans un râle il résista, et dans un cri elle se cambra pour elle aussi repousser l’issue. Lentement, au rythme des vagues, ils entamèrent ce va et vient magique. Luc sortait presque entièrement du ventre, marquant un petit temps d’arrêt pour sentir le contact froid de la mer sur son sexe, puis rentrait lentement pour renouer avec la chaleur brûlante du ventre en émoi. Ils renouvelèrent cette sensation sans se presser, leurs mains fébriles courant sur le corps de l’autre. Au paroxysme, les jambes de Katy enlacèrent la taille du Luc, ses bras enserrant fermement le torse de Luc. Les bras puissants de celui-ci s’étaient noués dans les reins de sa partenaire, l’écrasant contre lui avec force. Ils se figèrent au plus profond de l’étreinte, chacun cherchant à s’enfoncer encore plus loin dans le corps de l’autre, chaque infime petit mouvement dans les chairs les rapprochant de l’explosion.

Elle fut fulgurante. Katy sentit le flot chaud de la semence de Luc se déverser en spasmes puissant dans son ventre tandis qu’un point chaud et intense grossissait et se propageait au plus profond de son être. L’intensité augmenta sans répit, parcouru ses jambes, son dos, ses bras pour se planter avec force dans sa nuque. Elle se cambra, transpercée par ces pieux de jouvence, inondée par cette vague de plaisir chaud, terrassée par l’effort.

De cette union, la mer complice s’en souvient encore.
Sam 04 Juin 2005, 17:25 par PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses

Drôles d'envies?

Et voilà ton dernier texto du jour: "bonne nuit, à demain mon amour...je t’aime".
Et voilà, comme tous les soirs tu t’endormiras de lui.
Je reste, j’ai envie d’entendre ta voix...il est un peu tard, je sais, mais mes désirs n’en font qu’à leur tête! Il est trop tard, c’est vrai, alors tu liras demain mes envies de toi.
Désirs de t’avoir "à portée" de regards, même si les miens sont parfois trop insistants...de t’avoir à portée de voix, je ne sais pas crier alors tu dois te coller à moi, à mon pull qui n’attend que toi...de t’avoir à portée de mains, laisse-les se promener...et mieux, à portée de lèvres, les tiennes sur les miennes....lorsque je t’aurai au bout de mes lèvres...devines...
Mar 17 Mai 2005, 23:00 par danslalune sur La vie à deux

Une amitié parfaite.

Il ne reste rien autour de moi.
Autour de moi ne subsiste que la neige.
La Neige tombe, tombe, tombe.
Blanche et froide.
Totalement pure.
Son ombre bleue suit mes pas.
Et pourtant, je te sens de moi.
Toi mon ami.
Pourquoi me suis-tu?
Pourquoi restes-tu avec moi?
Pourquoi m’aider?
Je tombe, je suis déjà tombé.
Je sombre dans les affres du désespoir.
Je ne pourrais plus jamais esquisser un sourire.
J’entends tes pas sourds dans la neige.
Je suis content de percevoir ce son.
J’ai peur en même temps.
La Neige tombe, tombe, tombe.
C’est fini pour moi.
Il me dit :
Pourquoi tu restes là? Prends ma main. Sortons d’ici, d’accord?
Et face à son sourire, je n’ai pu résister.
J’ai pris sa main.
J’ai pleuré et il m’a serré dans ses bras comme un frère.
A ce jour, il est mort. Je ne l’ai plus jamais revu.
Mais son souvenir subsiste en moi quoi qu’il arrive.
Et quand je vois la neige tomber...
Je repense à son coeur pur.
Je me dis, s’il me voyait maintenant !
Je crois qu’il serait fier de moi.
La Neige tombe plus fort que jamais.
A ce moment, dans mon coeur, il me dit, c’est mon dernier cadeau pour toi.
Ne m’oublie jamais.
Adieu, et merci pour tout.

Je t’entends, mon ami, ta voix résonne en moi !
Ven 06 Mai 2005, 15:56 par Yoshitaka sur Un monde parfait

tes yeux, trésor...

J’ai envie de te sourire, envie de te faire sourire maintenant, avec mes mots. Des mots qui, l’air de rien viendront là, tout de toi, te frôleront, te toucheront et passeront comme ils sont arrivés ou bien resteront...il y a une place pour eux dans ton coeur, monange...peut-être alors feront-ils briller un peu plus intensément ton regard, celui qui s’offre au mien quand nous nous retrouvons.
Regard aimant, je le garde...regard triste, je le console...regard inquiet, je le rassure...regard tourmenté, je l’apaise...regard troublé, je l’aime...regard troublant, je m’y perds.
Jeu 21 Avril 2005, 06:57 par danslalune sur L'amour en vrac

Ma première déclaration à Bénédicte...

Tu sais, Cupidon a décoché sa flèche !
Au delà de l’Amour,
Ecrire m’amènera peut être de toi, un jour,
Tel le feu enflamme la mèche.
Comme tu vois, je laisse ma plume aller,
Et ma plus franche audace s’ennivrer.
"Je viens de Mars, toi de Vénus"
Je n’ai pas assez chaud ! puisse-tu, alors
me donner plus de chaleur comme tu fais lorsque
tu me souris.
Puisse-tu me donner de la profondeur comme celle
de ton virvoltant regard,
Puisse-tu comme sur ta Vénus, telle une cocotte minute,
faire jaillir des pluies de bonheur et de hazard.
Tu sais, les Amoureux sont toujours intimidés,
Et comme, sur ta planète ! tu m’as brûlé, j’ai la voix coupée.
Comment guérir, alors, je ne peux plus parler,
Juste t’écrire, te raconter,
Que l’été pousse tout à chacun à redevenir fringant ??
Où qu’une fois seulement aura suffit ??
Une fois aura suffit seulement,
Pour savoir si, c’est avec toi que je partagerais ma vie.
Quand notre premier regard a casser la monotonie du temps,
Ce n’est, non !! pas l’été, ni la chaleur de ma planète
Qui m’a fait fait en si peu de journées, perdre la tête.
Non, ni je ne rêve, non ni je ne joue, l’Amour
est un trop précieux moment.
Alors si comme moi, tu veux partager les clés du bonheur,
Même si je sais, que parler d’Amour
au bout d’une semaine, est abusif !
Ne t’éloignes pas, ni ne te caches, ni ne me griffes
Dis moi ! c’est difficile, mais sans peur,
Dis moi ? "Veux-tu devenir ma pile, mon attache, mon coeur...

Vincent
Sam 16 Avril 2005, 16:19 par Vincentblue sur Parler d'amour

Ses seins caresserent mes cheveux

Cette nuit ne fut pas la mienne, ni la sienne, mais le notre. Cet amour dévorant, cette sensation de ne plus faire qu’un avec elle, tout était magique, au summum de la perfection. Cependant, ce même amour, n’était pas le Grand Amour, pour moi, pour elle, pourquoi l’avons-nous fait, parce qu’elle en avait envie et que cela aurait pu être sa dernière fois.
Prisonniers de ces murs, nous nous envolâmes plus loin que tous, plus haut qu’au paradis, notre paradis. Pendant cette fusion, elle ne pensait pas à moi, mais à son homme à elle et moi, je ne pensais qu’à elle, qu’à son plaisir. Je ne l’ai fait que pour elle parce que je l’aime. Oui je l’aime. Mais cet amour secret que nous partageâmes cette nuit là était, je le sais, un amour fraternel. Elle était un peu plus grande que moi, elle savait tout de moi à présent. Et lorsque son corps s’enflamma pour de bon, je ne me retins plus, pour que nos deux âmes quittent ces enveloppes charnelles. Enfin elle cria son nom, son nom à lui.
Lorsqu’elle s’endormit, je voyais pour la première fois son corps nue reposé, nos yeux se croisèrent, puis elle m’enveloppa de ses bras telle une grande soeur protectrice embrasse son petit frère. Ses seins caressa mes cheveux et je m’endormis en sûreté loin de tous mes problèmes, du coeur de la femme parfaite, à qui j’ai toujours voulu apporter le plus de plaisir.
Mer 06 Avril 2005, 15:46 par âme en état d'âme sur Les liaisons sulfureuses

Au bord du canal

La nuit a été longue
et maintenant par les rues sourdes
rien ne vient éclairer
les belles heures languissantes
je peux à peine distinguer
les vieilles choses éteintes du passé
les blessures de ce coeur
se voulant impassible
et ces jeux de miroirs dont je trouvais
les formes dans une crevasse au mur
la vie rugissante d’écume
au souffle bouillonnant du printemps
la mort si rouge
enrubannée de blanc...

ce que je dois faire aujourd’hui
tient en quelques frissons de phrases :
marcher du canal et laisser aller
mon regard au hasard
de la lisière de l’eau à la surface
l’un dans l’autre et inversement
brouillard et volupté cruelle
ce voile vaporeux où crèvent les regrets

je vois un peu ces lieux
comme des ombres errantes
lassées de tout et venues mourir
dans leur solitude si précieuse
portées par le convoi du matin
à travers les vallons
je sens bien que mon coeur est mort
il ne sent plus ce signe avant-coureur
de la sérénité
bercée par une douceur lente
que faisons-nous de ce qui meurt en nous
ces extases qui ne franchissent
jamais la rive et ces heures
dont les échos nous parviennent
à travers les orages ?

je rase aussi parfois l’autre rive
embrumée et ceinte d’un panache
qui voit la fumée de la brume
se mêler aux cy et aux champs
aux nefs tout en haut des érables
courbés dans le vent et la poussière
et marchant des heures et des heures
toujours seul et volontaire
fuyant les grappes humaines
et l’agitation vaine des soirs de liesse
je parcours toutes ces éternités
accrochées à mes basques
dix mille années d’humanité
sans un seul jour majestueux et calme
ou soulevant la poussière
inscrites dans ces rides
qu’ont creusées patiemment les siècles
dans leur obstination
je suis celui dont le désir unique
est de se découvrir

et toi n’as-tu rien vu
dans les eaux grises du canal ?
Mar 01 Mars 2005, 09:57 par avedekian sur Un monde parfait

Pentes abruptes dans le canal étroit des mots

Pour me hisser à sa hauteur c’est comme s’il me fallait
penser à travers le chas d’une aiguille
et jouer à cache-cache avec le temps
son rire met une pincée de sel au moindre de ses mots
et du poivre dans les miens

par étapes le désir ajoute à sa nudité
un surcroît de souplesse
on dit parfois qu’en amour
tout vient des reins
païen au départ et finalement sacré
alors la courbure de ses reins met des ailes à ses seins
comme s’ils réagissaient en choeur
à l’effet aérien et conjugué
de leur poids dans l’air et de leur couleur blanche
plus vifs qu’au théâtre
les changements de décor

dès qu’elle cesse de parler pendant un court instant
l’expression de ses traits est suspendue
comme trois points de suspension qui vont
de la pointe du nez
à celle du menton
- comme si ses silences accéléraient
la vitesse de l’idée -
puis l’expression de ses lèvres glisse
jusqu’à l’envol de ses narines
et s’échappe au-dehors
comme un voilier fendant les flots
ou une caravelle tendue loin devant nous
avec ça et là piquées dans l’océan
les bouées des cils retroussées en panaches noirs

son charme est un chapelet de tendresses
brodées sur la trame de mes sens
venus incognito
et repartis de même
elle dresse une muraille entre le monde et moi
et le monde plie finalement
combat perdu d’avance

elle mange en causant
je mange en lisant
mais les femmes ont peut-être
plus que les hommes
l’art de faire deux choses à la fois

son pull rouge du jour glisse
en mille chapelets de cerises flambant sur son buste
et tisonne en moi un souffle de forge
suspendu à chaque geste de ses bras
la soie bleue des baisers donne à ces couleurs
des gestes liquides que tendent et détendent
à mesure
les mouvements fuyants de l’étoffe
sur la chair de la soie

nue elle est habillée car son corps
se donne à l’air qui l’enveloppe
le reste vient en post-scriptum lorsque sa langue
glisse très vite des molaires aux incisives
sur le clavier des dents
pour aller sans cesse des tons graves
aux aigus
et inversement
selon le degré d’émotion
cet émail vivant resté éclatant
qui perle et luit dans le désir
et ce soleil qui scintille dans la perle
où la lune s’expose en un brasier unique

son odeur est pour moi associée
à son arme secrète
- cette poignée de couleurs et d’ombres
qui se succèdent
comme des portes battantes
qu’on claque à volonté -
les odeurs de son corps sont tissées
dans l’étoffe douloureuse de sa peau
comme une série de fils inextricables
ses odeurs mises à nu elles aussi
et mêlées à son arme secrète :
jusqu’à l’empalement de mes nerfs
de la pointe des cheveux
aux dernières fibres de ma peau
comme si certaines caresses d’elle
me rendaient femme de mon propre corps d’homme

il n’y a que très peu d’habitudes en elle
elle chez qui chaque geste est neuf
et rend le langage
de certaines choses muettes
un peu plus clair
et constamment renouvelé

si de moi j’ai trop appris d’elle
pour ne pas me perdre
élégamment
dans les lexiques
je sais désormais lire
dans l’odeur de ses cheveux
la nuit

et dormir avec elle
rend mes nuits moins pénibles.
Mar 08 Fév 2005, 19:59 par avedekian sur La séduction

Au commencement il est désir

Au commencement il est désir et le désir est lié à l’amour;
Le désir est comme un ruisseau qui prend sa source dans le cœur.
L’amour, c’est l’océan et le désir n’est qu’un des innombrables
Ruisseaux qui se jettent dans l’océan.
Cependant de nombreux ruisseaux
Vont s’assécher dans le désert sans parvenir à l’océan.
Plusieurs amours ne sont qu’amours au sens figuré bien qu’ils soient
Beaux en apparence, ils ne sont ni plus ni moins que de simples jeux.
Et s’il est vrai que le désir peut aller vers l’océan
Il ne possède pas par lui-même le pouvoir de se jeter seul dans l’océan.
Le désir est essentiellement de nature instinctive,
S’exprimant de mille manières.
La plupart des amours ne sont que des amours figurés.
Ils sont tous des formes de persuasion et d’attraction.
Ils peuvent prendre la forme de l’amour du rossignol
Qui fait semblant d’aimer à la folie la rose.
Alors que son amour n’est pas sincère
Son engagement est faux, douteux et froid.
Sans cesse et à longueur de journée on l’entend gazouiller
Des appels plaintifs, répandant partout ses secrets.
Personne ne le prend au sérieux,
Lorsque de sa séparation d’avec la rose, il se plaint.
Tous ses discours et de paroles incohérentes
Confirment le caractère froid et calculateur de son approche de l’amour.
Pour de vrais amoureux,
Il s’agit là d’une mauvaise façon de faire la cour.
La rose se méfie du délirant rossignol
Sachant que dans son type d’amour, la fidélité ne joue aucun rôle.
Dès que les roses fleurissent, le rossignol leur fait de l’œil
Et son cœur n’est plus que pour elles.
Lorsque le rossignol se lie d’amitié avec une fleur
Il lui fait la cour en secret et en poussant des cris du cœur.
Cependant à l’aube, il change
Et devient l’amant du narcisse.
Lui faisant assidûment la cour
Avec des paroles douces et des regards amoureux.
Juste a, il commence à se lasser aussi de cette fleur
Tournant son attention vers une autre plante fleurie.
Puisque aucun amour véritable ne réside en son sein
Ses sentiments sont faux, trompeurs et ne riment à rien.
Cet amour est figuré et de nature improductive
Car le rossignol ne cherche que parfum et couleurs vives.
L’amour de la rose est, lui aussi, figuré
Car n’ayant aucune profondeur et n’étant pas passionné.
La rose est à la recherche d’un amant allègre et gai
Sachant que le zéphyr errant ignore heureusement tout ce qu’il fait.
La rose utilise sa couleur et son doux parfum
Pour attirer le zéphyr vers elle et en son sein.
Elle présente un air d’innocence et d’amabilité
Alors que sous ses pétales un désir violent reste caché.
Dès que la rose constate que le zéphyr est excité et dans une rafale,
La rose essaie de le capturer, usant de centaines de ruses.
Dans son désir pour le zéphyr, la rose déchire ses pétales,
Cependant l’histoire de ces bouffons amoureux de façade
Ne constitue pas l’ensemble du récit sur l’amour.
Lorsque le zéphyr met en feu le cœur de la rose,
Le rendant frénétique et affolé.
Il est également rempli de doute et plein d’hypocrisie
Car son soi-disant amour n’est guidé que par le désir.
Sans ce désir, il n’y aurait aucune raison pour l’étalage de son amour
Le zéphyr ne se serait pas transporté vers la rose.
Si l’amant exprime l’angoisse
Son amour n’est que pur spectacle.
Ces cris et cette hypocrisie sont que pure duperie
Car l’amour vrai n’a que faire du chasseur, de la proie ou du piège.
Aux yeux des vrais amoureux

L’amour à la manière de la rose ou du zéphyr n’a aucune valeur.
Il y a également l’amour du type qu’on trouve chez la phalène
Qui se dit séduite et folle d’amour.
Dès que ce papillon de nuit aperçoit la flamme de la bougie
Il commence à tourner autour sans répit.
Il se lance contre la flamme jusqu’à ce que mort s’en suive
Livrant ainsi son âme sur l’autel de l’amour au nom de son bien-aimé.
Mais un tel amour aussi n’est pas pur

Cette frénésie, à y voir de , n’est que pure hypocrisie.
Quand la phalène rend l’âme dans la flamme de la bougie
C’est pour elle en fait une façon de se montrer à la lumière du feu.
Car à l’aube elle prend soudain son envol
Pour aller au lieu ou se trouvent les fleurs.
Elle n’est ni sincère ni fidèle
Dans le jardin où se trouvent les fleurs elle devient folle d’elles.
Pendant le jour, elle rode autour de la rose
Et pendant la nuit, elle brûle d’amour dans le feu de la bougie.
Chez les gens de l’amour cela s’appelle un faux amour
Car le vrai amour ne connaît ni vanité ni hypocrisie.

RICKO
Mer 02 Fév 2005, 10:58 par ricko sur Parler d'amour
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