Murmure d'un soupir


Murmure d’un doux soupir
De bienfaisant bien-être
Quand un cœur ne sait mentir
Quand l’ensemble de ton être
Est chargé d’une forte émotion
Que sans l’ombre d’une hésitation
je viendrai me glisser prés de toi
Dans ces grands draps si froids
Se réchauffant à la seconde
Où je me collerai contre toi,
Et que ton ventre épousera
Ma généreuse fesse ronde
Sur ma toison humide, presqu’en fraude
Ta main intrépide qui tremble
Et notre sueur chaude
Coule dans le feu de l’action
Sur nos peaux qui ensemble
Se mêlent de satisfaction
Ta bouche viendra butiner
Mon doux nectar miellé.
Et quand après l’effort
Nous profiterons encore
De ce moment de douceur
Qui fait battre nos cœurs
Tes caresses ne seront que frissons
Puis nous compter tous les moutons
Et je m’endormirai entre tes bras
Rêvant d’un bel avenir serein
Et on ne se réveillera
Qu’au soleil du matin.
Lun 27 Fév 2012, 17:39 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

Je serais

Tu es ma croix,
Tu es ma mort,
Tu es si loin,
Mais...
Je saurais me taire
Tant qu’il le faudra.
Je saurais survivre
Pour toi et sans toi.
Je veux te connaître
Et entendre ta voix.
Je veux soupirer
Tout de toi.
Mais...
Malgré la distance,
Je serais la terre
Sur laquelle tu marcheras.
Je serais ton ombre,
Je garderais tes nuits.
Je veux te revoir
Et connaître ton cœur.
Je veux te savoir
Non loin de moi,
Mais...
Je te vois partir,
Je sais qu’un adieu me tuerais,
Alors je resterais à te servir
A tout jamais.
J’attendrais en silence...
Mer 15 Fév 2012, 14:21 par murmuran sur L'amour en vrac

Tu me fais tourner la tête!

En ce moment je suis étourdi mais je suis étourdi mais à un point que je n’avais jamais atteint.
En fait c’est simple et extraordinaire.
Tout a commencé par un simple coup de téléphone, entre autres mais ceci est le plus significatif.
Le point de départ de mon étourdissement.
Donc, suite à ce coup de fil, j’avais un rendez-vous.
Alors déjà, moi qui suis ponctuel, et toujours limite une heure en avance, tout s’est passé à l’inverse, et pourtant mon réveil avait bien sonné et même bien avant l’heure nécessaire.
Ce qui s’est passé, c’est que en voiture, déjà, je ne savais plus où j’allais, déboussolé, cherchant mon chemin, ayant perdu tout sens de l’orientation.
Perte de contrôle, en quelque sorte, et ceci dans la même mesure où je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait.
Ensuite, j’arrive sur les lieux, à peu sans trop de mal même si j’ai marché limite à courir tellement je m’étais perdu et en retard.
Essoufflé donc, je rejoins une femme, une femme des plus admirables et je pèse mes mots, pour ne pas trop la flatter a elle va croire que j’exagère pour la séduire.
Enfin bref passons sur les détails, qui font sans doute que je suis fou d’elle, toujours est-il qu’avant même de l’avoir vu, j’étais dans ce même état et sans avoir vu son physique je la devinais de manière approximative.
Je la savais belle, je ne sais pas comment, mais je savais qu’elle était belle.
Intérieurement évidemment je l’avais appris sans la connaître réellement, mais là je parle aussi de son physique, de son corps si sexy et sans vulgarité.
Enfin, pour vous dire à quel point j’oublie tout lorsque je dois la voir, limite je ne sais plus lire une phrase simple alors que je peux lire des livres des plus complexes sans aucun souci, de type encyclopédique.
Elle me dirait blanc je verrai rose, elle me dirait vert je verrai rouge, elle me dirait bleu je verrai violet, bref, elle peut bien dire ce qu’elle veut on dirait que je ne capte plus rien ou du moins que ce que je veux capter, car je suis ailleurs à son contact.
Alors où suis-je?
Sur mon nuage, quelque part, dans un rêve, entre la nuit et le jour, entre la vie et l’amor, je ne sais.
Ce que je sais, c’est que seul l’amour peut nous sauver!
*la réciprocité est inexplicable car à la base il n’y avait aucune raison qu’on ne se plaise pas mais aucune raison non plus que l’amour soit au rendez-vous.
Sans juste milieu, on dirait que j’ai basculé dans l’extrême, au lieu d’éprouver un "ni elle me plaît ni elle ne me plaît pas", j’ai éprouvé des émotions qui submergent mes sens et mon être.
Et dis moi, qui a commencé, qui de nous deux a été le premier à plaire à l’autre? à une seconde ?
crois-tu que c’est simultané? possible! content
Jeu 09 Fév 2012, 04:16 par volcanique sur La déclaration d'amour

Notre premier baiser

C’était un soir d’hiver, je venais de quitter mon copain, je n’avais pas le moral.
Je ne pouvais m’empêcher de penser à mon "prince".
Alors je les appeler.
Et nous voici partie chez des amis à lui, pour une partie de poker, ma toute première d’ailleurs.
Nous avions bien bu, rigoler et jouer une bonne partie de la soirée.
Je m’en rappelle comme si c’était hier...
j’étais, loin d’imaginée ce qui allait se passer par la suite.

Une fois la soirée fini, il m’a proposé de rentrée chez lui pour regarder un film ensemble, nous avons continué à parler de chose et autres.
Je voyais son regard changer, quelque petite caresse par ci par là...
Mais avec une-t-elle timidité...

Puis nous somme aller dans sa chambre,
Nous étions tous les deux dans la pénombre.
seul la lune refléter à travers les rideaux.
la lumière était si douce et tamiser, elle me laisser deviner sa silhouette.

Allonger de moi, je n’arrivais pas à y croire, j’ était loin d’imaginer que je pouvais lui plaire.
Mal à l’aise dans mon coin, je ne savais comment réagir...

Il commença par des effleurements dans le coup et dans le dos, mon corps ce mis à frissonner.
Puis ce fut au tour des bisous dans le coup jusqu’au moment où c’est lèvres si douce toucha les miennes.
Suis-je en train de rêver ?... Mon corps tremblé, impossible de m’arrêter,
Ce fut comme un feu d’artifice, non ! que dis-je un tourbillon de bonheur, une envie de rire, de pleurer...
Je n’en revenais toujours pas.
Plus rien n’exister : le temps, l’espace... que nous dans l’ivresse d’un baiser...
Une émotion tellement forte, un vrai conte de fées....

Un moment inoubliable et tellement agréable comment définir tous cela ? Il n’y a pas de mots.
Je n’oublierai jamais notre premier baiser...



s’il vous plait dite moi ce que vous pensez de ce texte, toute critique constructive et bonne a prendre.

merci d’avance content
Mar 07 Fév 2012, 05:28 par amourperdu sur L'amour en vrac

Lasse, je t'aimais.

Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.

Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par maisonverte sur Parler d'amour

Notre première fois

Je voudrais qu’a notre première fois,
tu te sentes apaisé,
et que tu ne sois plus fatigué mais satisfait.

Tout à l’heure tu étais trop beau comme un coeur charmant et craquant.

Pourquoi notre timidité est-elle si violente?

En régie, c’est pas de la scène, c’est du vécu.
Et toi je te vis.

Je voulais que tu restes plus longtemps encore, je ne voulais plus que tu partes, je ne voulais pas que tu partes.
Je voulais tout te dire et en même temps ne plus parler pour te coller et t’avoir dans la peau autant que je t’ai dans le coeur.
Je voulais me baisser ramasser avec toi ce que tu fais tomber.
Comme je tombe d’amour pour toi.


Je suis en train de devenir folle d’amour de toi,
comment te dire je t’aime, mes yeux t’aiment, tu donnes des frissons à mon corps, je te ressens, tu rentres en moi et tu n’en sors plus.
Je te sens et je te veux heureux, de moi, je veux rayer de notre dictionnaire le mot "fin".
Ta sensibilité, ton intérieur, enfin tout ce que tu dégages, ces valeurs qui ne s’achètent pas.
Tu es beau, de plus en plus, à chaque fois que mon regard se pose sur toi.
Je voudrais être tous les soirs avec toi.
Tous les jours comme le soleil est toujours là même invisible.
Le soleil n’existe pas que lorsqu’on le voit, et pour moi tu existeras toujours.
Tu es là, sur cette feuille, sur mes lèvres, partout où je vais je te prends avec moi dans mon esprit.
DANS MON COEUR aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime aime
Ven 18 Nov 2011, 03:00 par inlove sur La première fois

Voler près d'elle


Elle vient, virevoltant, butiner en douceur
Le nectar qui s’écoule lentement de la fleur
Petite gourmande qui s’en met plein les pattes
Et qui se régale de ce breuvage divin
Elle tourbillonne au gré du vent
Le soleil lui caressant les ailes
Qui sont si minces et si frêles
Qu’elles chauffent à ses rayons
Pour ne pas brûler elle pique aussitôt
Et effleurant gentiment le plan d’eau
Elle prendra un petit bain de fraîcheur
La demoiselle est si belle dans sa robe rubis
Qu’elle nous donne une folle envie
Le désir d’être un instant à sa place
Déployer nos ailes et s’élancer dans l’espace
Pour, d’elle, voler...
Sam 05 Nov 2011, 14:47 par caressedesyeux sur Mille choses

Je voudrais

Comment te décrire? Tu es l’être que j’attendais, sans ne plus l’espérer. Je ne t’attendais pas, je ne m’attendais plus, et ce fut impromptu.
Comment t’écrire Je t’aime sans le chanter? je voudrais danser, contre ton torse, la tête posée; tout m’approcher. En musique, te dire, viens m’embrasser! Je voudrais que tu décides et que tu me guides avec tes bras limpides de clarté, sans vide... Je voudrais que tu me serres fort, jusqu’à me voir soumise à ton corps... Ton nom, qui se fait tant désirer, oui je voudrais le porter, le garder, l’adopter, puis surtout le partager. Je voudrais obéir à tes mains en ayant qu’un seul maître: mon coeur, je voudrais mélanger nos odeurs, dans la sueur du bonheur. Tu m’inspires un demain où nous irons à Rome, par tous chemins, un seul homme: me manque, et tout mon coeur est dépeuplé. Oui tu es parfait, un peu plus chaque fois que je peux te découvrir, pardonne moi, de te dévêtir.
Comment me retenir? Ai-je le droit de te recouvrir de moi? Si tu étais une pierre, tu serais précieuse, tu serais un diamant, recherché, rare, fier, digne, un aimant m’attirant, amoureuse. Un éclat, tu es sublime: brillant. T’admirant, bien plus je t’estime énormément. Je te respecte, tendrement, aveuglément, éblouie et muette, discrètement, je t’attends. Je te regarde, avec tendresse, et attachement, comme une princesse guette son prince charmant. Tu es si beau car tu dégages la beauté intégrale, car ton intérieur et ton corps débordent de charmes, car un peu plus chaque jour mes yeux t’avalent, car tu sais faire de moi la plus heureuse des femmes. J’aime ce film qu’on regarde, notre scénario, j’aime quand tu montes tout en haut, tu es droit, ferme et doux quant il faut, tu es pour moi de tous, le plus beau! Celui que je veux, que je voudrais, tu es tout ce que je voulais! tout ce que je veux! tout ce que j’aimerais. Tout ce que j’aimerai. Je t’aimerai toujours. Car, comment à présent, t’enlever de moi? où tu es entré, mon Amour. Mon présent. mon toujours.
Mar 25 Oct 2011, 21:07 par inlove sur La déclaration d'amour

In love

Je voudrais tant te serrer dans mes bras, là, tu es si chou !
Tu me manques et je pense tout le temps à toi.
J’ouvre les yeux le matin, rivés vers toi, dans mes pensées les plus intimes.
J’ai peur que quelqu’un me vole ces images de toi, par jalousie, alors je les garde dans mon coeur rien que pour toi.
Mon corps n’a qu’une envie : se fondre contre toi.
Je suce ton esprit, ici, en attendant que ce rêve soit accompli tendrement de par ma bouche qui te désire.
J’ai les doigts fatigués, tu t’écris en moi.
C’est la bonne fatigue, celle des sportifs accomplis !
Je sais, que entre mille, tu te reconnais, dans mes draps humides de toi.
Ai-je peur des préliminaires, de nos ébats :
Certainement pas, j’en bave par avance, ça c’est sûr.
J’en salive et j’en frémis d’amour et ce silence est un cri, de l’ordre du privé.
Nous ne serons pas censurés et je me délecte à te caresser en public.
Tu exhibes les dons que la nature t’a donné.
Tu me regardes, coquin, riant mais si fin.
Je pourrai te peindre nu, mais je ne voudrais te partager pour rien au monde alors je m’abstiens,
préférant te toucher de mes mains.
Sentir ta chair, ton souffle qui reprend, te voir te restaurer synchronisé au sein de mon coeur qui revit de nous voir vivre.

Un jour, mes jambes tremblèrent à ton contact, au contact de nos mains entrelacés, en une seule fois, j’ai saisi le sens large du mot "Jouissance".

J’aimerais te faire des bisous dans le cou et te voir frissonner, puis respirer ton parfum, les yeux fermés.

Je voudrais qu’on sème dans notre jardin tous nos secrets, des graines de joie pour récolter notre bonheur, en continu.

Je voudrais toute ma vie, qu’on puisse s’enlacer, d’un cerisier ou d’une cheminée, où tu seras je serai.
Ven 21 Oct 2011, 20:47 par inlove sur Histoires d'amour

Dernière rose...

Comme elle est belle cette rose d’automne,
Quand elle sait déjà que ses jours sont comptés,
Et que de sa fin, généreuse, elle donne,
Encore plus de parfum qu’aux beaux jours des étés...
Dim 02 Oct 2011, 20:14 par poucinella sur Mille choses

Le baume cicatrisant


Venez de moi, mon tendre ami,
Déposez votre tête au creux de mon épaule
Mon bras vous servant de douce étole
Entourant votre taille de sa vigueur
Vous entendrez les battements de mon cœur,
Vous chuchoter ces tendres réconforts...
Qui cicatriseront ces "plaies"
Enfermées dans votre âme
Apaisant ces angoisses
Qui parfois ressurgissent..
Ces démons,envahissants,et tourmenteurs
Que je chasserai, juste en posant mes mains
Sur ces blessures ouvertes
Qui te causent tant de chagrin

Elles te feront tant de bien...
Car je serai caresse,sur ces cicatrices
Qui sont invisibles ,
Qui sont indélébiles,
Comme d’autres sont volubiles ...
Je serai le baume réparateur
De ces maux qui causent pleurs
Telle une amie,...
Je les aromatiserai de douces saveurs miellés
Tel un pansement régénérant
Mar 27 Sep 2011, 20:21 par caressedesyeux sur L'amour en vrac

L'automne de ses mots

L’hiver se rapproche, elle glisse de lui sous la couette un corps léger et parfumé dont il s’enroule... il plonge son visage dans ses cheveux, se grise de ses fragrances, se délecte de son onde claire, caresse ses velours... Viennent les neiges et le froid, ils ne les redoutent pas. Aimer !
Lun 27 Juin 2011, 11:35 par PetitPrince sur Edito

Petit traité de vulgairisation scientifesse (fessebook)

J’ouvre ici un petit manuel sur la fesse, tiré d’expérimentations scientifesses.

Je parle de "vulgairisation" car c’est ni de la vulgarisation, ni du vulgaire, c’est entre les deux ! je ne crois pas aux beaux sentiments par des envolées lyriques. Le véritable amour a une explication rationnelle que je vais tenter de vous expliquer en décryptant les mécanismes d’ordres mathématique, physique, chimique, transposés au sujet en question.
D’autre part, j’aimerais asseoir mes connaissances sur la fesse en élargissant mes idées avec les vôtres. Aussi, les commentaires appuyés sur un raisonnement scientifesse seront les bienvenus pour approfondir ensemble notre cul-dure !

Aussi, d’emblée, je rentrerais dans le vif du sujet, en assimilant le "cul" à une jolie plante. Que dis-je une plante, une fleur et si c’est pour parler du mien, je dirais même un chou-fleur ou un "Christ’ en thème". Mais passons et regardons-y de plus . La fleur est si voluptueuse que deux tiges ne sont pas de trop pour son épanouissement. Les "popotinistes" classent notre jolie plante dans les jambèlifères : plantureuse famille toujours pourvue de deux jambes graciles qui prolongent sa fleur. Quand celle-ci repose, ramassée sur elle-même, il lui arrive d’entremêler ses tiges avec élégance. Elle devient ainsi source d’inspiration pour crucijambistes confirmés (généticiens en herbe ou amateurs de jambes croisées, pétris de case noire). Son pistil dégage alors un parfum entêtant et ô combien caractéristique !...
Mais je m’égare dans des élucubrations poétiques et intéressons-nous plutôt à la "faute aux saintes aises". Rien à voir avec la photosynthèse habituelle, car le mécanisme fonctionne à rebrousse poil. Je m’explique : la "faute aux saintes aises" de la fesse consiste à absorber du "coccyx gènes" en prenant ses saintes aises mais en fautant par rejet du gaz au "quart qu’on lui nique". Or, la photosynthèse est l’effet inverse ; comme chacun sait, son rôle est d’absorber le gaz carbonique et de rejeter l’oxygène. La faute aux saintes aises a donc ici un effet négatif pour l’environnement de notre planète car il accentue le réchauffement climatique en augmentant la couche d’ozone. Ce contre effet pervers est en tout point assimilable à l’amour vache (animal sympathique quand il broute mais pas quand il proute) ! Mais restons dans le raisonnement scientifesse et demandons nous pourquoi seulement le quart du gaz est rejeté : c’est très simple, le gaz est un anesthésiant redoutable et, lors de la pollinisation du pistil de la fleur par " l’ anthière état-pine ", la nature toujours bien faite s’escrime à ce que le tapin (racine de l’état-pine ) ne dure jamais trop longtemps. Ainsi, Le pistil, soucieuse de réitérer son plaisir pris pendant ces merveilleux rapports fusionnels, anesthésierait alors volontairement le sexe fort pour prolonger ses ardeurs sur le long terme. On reconnaît là l’éternelle amoureuse qui comme une héroïne dans un roman de Barbara Cartland susurrerait en son for intérieur :"Pisse-t-il mon coeur ne jamais saigner et filer longtemps le parfait amour !"

Cependant, voilà qu’un autre éminent chercheur du corps scientifesse contrecarra le pouvoir anesthésiant du gaz au "quart qu’on lui nique". il s’agit d’un spécialiste en hydrodynamique dans le secteur de la viscosité et l’écoulement des fluides. Ces proches collaborateurs lui ont qualifié le délicieux sobriquet de "Bébert la nouille" bien que mieux connu sous le nom de "Bernouilli" et de son fameux théorème. Bébert donc orienta ses recherches en observant la cuisson des pâtes (il était italien) et plus spécialement le macaroni. Il constata que la dite pâte plongée dans un liquide à 37 degré produisait une émulsion en surface sous forme d’écume blanche et, 6 minutes a, il observa que la trempe du macaroni ressortait en forme de coquillette (précisons que la cuisson était " al dente "). Aussitôt il fit le rapprochement judicieux avec le fameux gaz anesthésiant, contestant alors son effet en tant que tel, le justifiant seulement d’ordre respiratoire ou d’aérophagie. En rapport au coït, la "faute aux saintes aises" n’implique pas selon lui un dégazage systématique. Ainsi, le pouvoir du gaz anesthésiant serait irrecevable, la crampe du sexe fort se ramollirait et racornirait uniquement par effet de trempe et en un point de fuite du "va-j’y nage". l’expérimentation sur le vivant assermenta son hypothèse: le prépuce sortait bel et bien fripé et blanchit a pénétration.
Enfin pour accentuer un peu plus la différence entre la "faute aux saintes aises" et la photosynthèse, disons que si "la forêt d’amozonie" absorbe une grande partie de "l’impur Co 2". Par ma fesse, "le purin " c’est au dos" qu’ il se rejette quand bien même percerait "une forêt où l’âme à son nid" !

Pour poursuivre dans les sciences des fluides et toujours dans le "va! j’y nage". Un colloque de chercheurs en expérimentation dans un lupanar établirent un calcul savant sur la poussée "d’orgie merde". Ils remarquèrent que tout corps plongé dans le trou noir subissait une poussée de haut en bas égale au poids du volume du liquide déplacé. Mais seulement si le plongeon est au must du coït, c’est à dire que l’accélération du "pesant heurt" s’exerce au point "g", là où il y a du plaisir ! Bien sûr on peut s’interroger sur le pourquoi de la grossièreté pour qualifier cette fameuse poussée. ben ! tout simplement parce qu’ a moult observations force fut de constater que ça ne sentait pas la rose !!!
Dés lors l’un des chercheur, mathématicien qui plus est, s’intéressa aussitôt au bourrin susceptible de cette merveilleuse poussée. Il s’avéra en l’examinant de qu’il présentait de sérieux avantages sur les parties génitales. Il l’isola alors et mesura mathématiquement "sa rythme et trique" en position de frappe. Aujourd’hui, ce spécimen rare a donné son nom au théorème de "Bite à gore" énoncé comme il suit : "Bien carré l’hyppo t’abuse quand il te somme des deux côtés".
On dit à tout saigneur tout honneur ! Cependant abstinence est de rigueur au mâle en rut quand Madame en couche est contrainte de "l’effet de serre" ou de serrer des fesses. Coûte que coûte elle doit alors s’acclimater à ce non réchauffement clitoridien (pour le torride ça attendra) !

D’autres mathématiciens chevronnés de la fesse définirent sa courbe exponentielle, délimitée entre deux asymptotes : une au point de fuite et l’autre sur la chute de rein. Je vous ferais grâce des formules sur la valse du "x" pour situer le point d’inflexion où la courbe dérive !

En science sismolofesse, des chercheurs tout aussi inspirés ont prospecté le long de la ligne de faille qui partage les fesses en deux. Or, c’est dans cette cassure et en un point névralgique où "l’épice entre" (eh oui ! il suffit parfois d’un petit piment d’espelette pour provoquer un vrai cataclysme avec parfois tsunami à la clé) que le sismographe a enregistré les secousses des plus violentes. Allant jusqu’à 7 sur l’échelle de "Rich’ éther " : échelle mesurée en degré au plaisir). 7 étant la graduation optimum pour parvenir à l’extase quand vous atteignez le septième ciel !

En vulcanofesse, des "porctologues" qui ne sont autres que des proctologues spécialisés, n’ayant pas peur de mettre leur nez là où je pense, ont dénombré différentes éruptions. Il y a l’éruption classique dite bronzaïque (coulée dans le bronze), l’éruption filiforme (en forme de fil), l’éruption constipative( projections crottés à répétition), l’éruption explosive en deux catégories : l’une étant la courante laminaire (coulée liquide et plate) et l’autre la courante "diarré-hic"(pétard de feu d’artifesse constellé d’étoiles).

De physique-scientifesse, on a mesuré aussi l’effet "à coups triques" de l’instrument à vent. Dés lors, quiconque peut s’improviser musicien en soufflant sur les hanches par son embouchure, faisant résonner le muscle pelvien en rondes notes par l’entournure de son col en "ut et ruse".

En physique-mécanicofesse, il est rapporté la formule de l’énergie cinétique sous la forme :
Ec= 1/2 mv2+1/2 jw2
l’addition des deux énergies distribuées (mâle et femelle) se répartie par moitié d’ou le coefficient 1/2 :
- 1/2 mv2 est l’énergie cinétique linéaire de pénétration du sexe mâle proportionnel à sa vitesse "v" au carré et à sa masse "m"
- 1/2 jw2 est l’énergie cinétique radiale donné par le mouvement oscillatoire des fesses sur le sexe mâle pour interagir sur sa puissance. Elle est proportionnelle à la vitesse enculaire "w" au carré et au moment d’inertie "j" qui met en branle le couple en action !

Enfin pour terminer sur une note poétique je parlerais de la fesse en science astronomique. Quoi de mieux alors que la lune pour incarner la fesse et occuper l’espace ? Ainsi, tout prototype "fuseïforme" sorti tout droit de son "hors bite" entrerait en gravitation lunaire avant qu’ icelui subisse la "loi de l’attraction unie vers icelle" . Avec toute proportion gardée sur la rumeur des masses et inversement aux préjugés qui lui recommanderaient de bien se carrer à distance, son vrai désir pour elle n’en serait pas moins de "fesse toi y est" !

aime
Ven 24 Juin 2011, 13:57 par Fessue de Naz'arête sur Articles

La bibliothecaire (mdr)

La belle bibliothécaire
A l’air de se complaire;
Et prend du plaisir,
Quand elle le désire
A s’occuper tendrement d’elle
Sans que l’on ne lui tienne la chandelle
Le silence s’en accommode
Et les livres entre eux s’accordent
A profiter du spectacle charmant
Devant leurs reliures se déroulant.
Et avant qu’ils n’arrivent tous.
Lentement elle se fait douce
Ce n’est que son petit doigt qui trémousse

Derrière les étagères en bois
du grand débarras
Pour que personne ne la voit
Elle taquinera son petit chat
devenant humide et gonflé
Tel un bouton de fleur après la rosée.
Ses plaintes deviennent des râles
Son corps se plie dans ce plaisir animal
Les livres se bousculent ,les pages s’affolent
Et des étagères dégringolent
Dans tel un fracas,
Que son chef s’en inquiètera
Vite elle se rhabille
Prend son air de timide jeune fille
Avec un sourire en coin
Revenant de très loi
Sa petite culotte trempée
Que personne n’a jamais contemplé
Dim 29 Mai 2011, 15:08 par caressedesyeux sur Mille choses

Un quai. deux personnes. un ciel bleu. quelques nuages.

Un quai. Un train rouge et jaune à l’arrêt sur la voie d’en face. Une foule tout attendant la prochaine navette dans une chaleur étouffante. Des familles, des militaires, des vacanciers, beaucoup d’enfants. Deux personnes assises sur le béton. Jeans bleus, T-shirt blanc. Une grosse valise qui ferme à peine posée entre eux. Il est presque 15h15 d’a les grosses aiguilles de l’horloge de la SNCF, la machine de fer tractée par une vieille locomotive usée ne tardera plus et l’emmènera à la gare suivante… Attente. Un mot ou deux échangés dans le brouhaha ambiant. Le ciel est bleu. Quelques nuages blancs se transforment au gré d’un vent imperceptible. Matière en devenir, indéfinissable. Un lapin? Une tortue? Un lapin qui course une tortue? Ou plutôt un dragon? Ces formes auxquelles on ne peut s’empêcher de donner un nom, un sens, une essence plus proche de notre quotidien. Tel un artiste voulant créer à partir de rien quelque chose qui lui semble intelligent, pertinent, mais quelque chose dont il peut être fier, quelque chose qui vient de lui, ce rien qui devient sa création. Réflexions inutiles mais plaisantes sur ces amas de gouttelettes d’eau suspendus dans l’atmosphère. Discussion. Sur tout et sur rien. Les minutes passent. Lentement. Agréablement.
Ven 27 Mai 2011, 13:21 par Tenshi sur Un monde parfait
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Ecrire sur près Murmure d'un soupir, Je serais, Tu me fais tourner la tête!, Notre premier baiser, Lasse, je t'aimais., Notre première fois, Voler près d'elle, Je voudrais, In love, Dernière rose..., Le baume cicatrisant, L'automne de ses mots, Petit traité de vulgairisation scientifesse (fessebook), La bibliothecaire (mdr), Un quai. deux personnes. un ciel bleu. quelques nuages.,
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