Le secret...

Passer le pas, franchir le cap, oser, oublier les regards des autres, être sincère, en avoir très envie, les premières fois sont toujours les plus dures, mais aussi les plus intenses.
S’écrire, se raconter, s’ouvrir, se dévoiler, chaque mot que nous livrons est une partie de notre âme.. de notre âme tendre.

Poésie, texte narratif, conte, légende, texte humoristique, tous se cotoient et charment. Les mots ont de grands secrets, qu’ils livrent peu à peu. Plus on les cotoie, plus on se les approprie, plus ils nous font vivre, plus ... mais ... chut chuuuttt... c’est un secret.

Prends-les, aligne-les, joue avec eux, respire-les, rêve-les, et tu découvriras le secret des mots !

Et à , hop hop, au boulot!! amuse
Mer 21 Juil 2004, 11:30 par la marquise de sade sur La première fois

Jugement de valeur

Je ne cherche pas à me défendre ou à justifier une position qui est la mienne sur une situation réelle ou imaginaire.
Mais je n’apporte pas de jugement de valeur sur les écrits d’autrui. Ce qui est considéré comme "sans fond" par le censeur est un texte comme un autre qui n’a pas vocation à soulever débat, loin de là...Et je m’excuse auprès de ceux que j’aurais choqués, ce n’était nullement mon intention.
Je ne révoque pas la paternité ni le couple parental, je n’en ai ni la vocation ni une quelconque légitimié à le faire...je laisse aux sociologues et autres faire leur métier.

On fait un enfant par envie et par amour et cet amour est tel qu’il est au moment ,un enfant n’est pas une "solution de rechange" ni surtout une monnaie d’échange quelconque.

De toutes façons, nous n’avons aucun droit de regard sur ce qui se passe entre elle et lui, ce n’est pas je pense la vocation de ce site...Chacun mène sa barque comme il l’entend et permettez moi de me considérer comme un observateur exterieur d’elle et lui.
Jeu 03 Juin 2004, 16:33 par personnel.et.confidentiel sur L'amour en vrac

Le Célibataire endurci !

Comment apprivoiser un célibataire endurci ?

Surprise! Le célibataire endurci cru 2004 est tout à fait séduisant. Pour préserver son indépendance d’esprit et sa liberté enivrante il choisit délibérément une vie solo. Il n’est pas foncièrement opposé à la notion de couple, mais entend bien y fixer une certaine limite.

Sa dernière compagne habitait à New York ou à Londre; il trouvait cette situation bien commode. La relation à distance ne lui donnait pas l’impression d’être pris au piège. C’est peut-être un entre deux confortable.

Son caractère idéaliste, c’est ce qui plait chez lui, cet air absorbé, cette tendance à zapper les aspects noueux de la réalité. D’autres vont nous bassiner avec leurs trophées professionnels, lui s’intéresse à l’humain, sa vie, son œuvre, ses revendications. Et comme tout idéaliste, son désir est un désir d’obstacles. Alors semez un petit parcours avec des petites embûches dissuasives, déployez vos charmes, vos facettes d’exigences idéalistes. Car nous aussi on préfère peut être une relation à la Sartre et de Beauvoir.

Prolongez la féerie de la découverte. Rando, Ciné, Pub fun, dîner accompagné d’un bon Brouilly... Et quand heureuse femme nous l’avons bien séduite, continuez à progresser dans cet accrochage inconscient.

Il ne sait pas trop pourquoi vous lui plaisez, alors installez-le dans cette relation sans qu’il s’en aperçoive. Une bonne tactique consiste à garder la relation secrète. Un jardin privé provisoire dont on tirera une excitation romanesque.

Et oui le célibataire endurci a besoin de temps. Sensible, cœur exquis, et surtout caractère entier. Jusqu’à son emploi du temps, ses centres d’intérêt multiples lui ont toujours donné de bonne raisons de ne pas s’engager. Pas de problème pour une relation épisodique. Sa devise « Ne pas se laisser submerger » donc c’est à nous d’aller vers lui.

Après la 1ere nuit d’amour, c’est alors le choc de deux micro cultures personnelles. Au lieu de nous mettre une couronne de roses, il peut devenir mutique. Cherchez pas, il fait son deuil de son « vieux soi ». Cette nuit de désir fou laissera place à un besoin d’indépendance, il se sent coincé, obligé de partager sa couette.

Et si il s’est décidé d’aller faire quatre heures de VTT en forêt, c’est qu’il veut rétablir son équilibre psychologique.

Désespérons pas, le célibataire endurci est un crocodile à la peau dure mais au cœur tendre.

Muse
Dim 30 Mai 2004, 07:01 par Muse sur La vie à deux

Jeanne

Le soleil propice aux promenades aléatoires
A conduit mes pas jusque sur ton trottoir.
Pas de cris d’enfants, de rires qui sortent de chez toi.
Pas tes enfants, tu en as eu plein, mais aucun vraiment à toi.
Un régiment de cavalerie, une nouvelle bande d’indiens,
Quelques gamins qui dévorent tes gateaux avec les mains.

Tu as enlevé les jonquilles qui envahissaient ton jardin
Coupé la haie sauvage qui cloturait ton écrin
Changé ta vieille boite aux lettres, mis sur ton herbe des nains
Des rideaux à tes fenêtres cachent à les dessins
Que t’offraient en échange d’un bonbon un bambin
Tout semble si différent, plus de folie, tu as rangé ton petit grain?

Un an que je n’avais plus vu la façade de ta petite maison
Tu l’as quitté toi aussi.
Deux jours avant que les voisins s’inquietent de ne plus voir Belle couchée sur ton paillasson
Tu t’étais endormie.
Quatre mois qu’un mardi, les clochent ont sonné à l’unisson
Tu as arrêté ta vie...

Là-haut sur ton nuage, à côté du grand barbu
Quelque part au milieu des anges et des chérubins
En levant les yeux au ciel j’ai entendu
Des rires, des cris, des appels, des jeux d’hurluberlus
Un régiment de cavalerie, une bande d’indiens,
Quelques angelots qui dévorent tes gateaux avec les mains.
Dim 23 Mai 2004, 14:17 par la marquise de sade sur Un monde parfait

lettre au destin

Cher Destin,

Grand donneur de biens et de chagrins
Toi qui m’as laissé tant d’années sans rien,
Pourquoi as-tu décidé, du jour au lendemain,
de me tendre la main.

Toi qui ne nous donnes jamais le choix
Devant ton ,je suis resté sans voix
Ni une ni deux, j’en ai fait ma foi
Et ma vie a repris goût et joie.

Ca y est me voilà casé,
Et je peux oublier le passé.
Je te promets de la combler,
De lui être fidèle et dévoué.

Bien à toi,


Robin des bois.
Sam 15 Mai 2004, 13:21 par robin des bois sur L'amour en vrac

Le passé

Le passé ne s’efface donc pas , ne se guérit pas
Peut-on même dire qu’il est passé puisqu’il continue d’être ?

Présent bien qu’en dehors du
Distant sans etre estompé par la distance

Le souvenir ineffaçable qui ne cesse d’attester , d’aggraver
Par sa splendeur négative
La tragique déficience du moment qui est-ce qu’il n’est pas ...

( Auteur inconnu ... )
Mar 27 Avril 2004, 11:10 par MelKaena sur Citations

Spleen d'un jour d'anniversaire

Je ne vis pas le moment
Je suis dans l’absence

Ma vie à l’odeur rance
Et pas le goût du safran.

Je suis ici et ailleurs
Entre rêvé et peur

Carpe Diem
Requiescat in Pacem

Je ne vis pas ici
Enfer et Paradis
Dim 25 Avril 2004, 20:33 par Beren sur L'amour en vrac

Idéaliste et optimiste

Sois le bienvenu Gothik,

Le monde est fait d’une multitude de personnalités, d’avis, de qualités et de défauts. C’est pour cela que l’humanité est si fascinante. Je n’ai jamais trouvé TOUS les hommes menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels, ni TOUTES les femmes perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. Certains et certaines ont partiellement ces défauts, consciemment ou inconsciemment, toute leur vie ou simplement à un moment bien précis. Effectivement, je ne peux pas savoir comment je serai dans l’avenir, mais je peux supposer que j’aurai toujours suffisamment d’amour propre pour ne pas me munir de défauts si excécrables que plusieurs de ceux précités.

Quand à mes douleurs amoureuses... je te retournerai ta formule "comment peux-tu te permettre" de me dire ça sans me connaître... Les amours "folies" j’en ai vécus, des plus beaux, des plus intenses aux plus ravageurs, aux plus destructeurs. J’en ai souffert, j’en ai fait souffrir et c’est encore comme cela au et le sera sans doute dans le futur. L’amour est un sentiment violent, qui n’est pas toujours partagé ou qui ne peut pas toujours être vécu comme on le souhaiterait. Cela n’est jamais une excuse pour faire mal à l’autre. Je ne suis pas partisante du "je souffre, pas de raison que toi tu t’en tires comme ça". D’ailleurs je te conseille vivement de lire d’autres de mes écrits et tu pourras constater que moi aussi j’ai mes plaies, que moi aussi, j’ai parfois du mal de contenir mes larmes ou ma révolte quand celui qui fait vibrer mon coeur n’est pas à mes côtés et que ma légèreté est aussi un moyen pour ne pas pleurer toute une vie sur un échec...

"Carpe diem" est ma devise. Comme je l’ai déjà dit, une vie, on n’en a qu’une et je suis bien décidée à la vivre intensément de la manière la plus sereine, la plus complète, la plus jolie même si pour y arriver mon coeur doit encore se briser mille fois...

La marquise de Sade.
Jeu 22 Avril 2004, 15:39 par la marquise de sade sur Citations

C'est toujours la première fois

Elle était là, belle, souriante... charmante timide ! Tranquille, belle inconnue entourée de la faune locale.
Et moi pauvre misérable, je ne voyais plus qu’elle aime ...
C’est mon jour de chance, on me e.

Balbutiements, banalités, et puis c’est soudain un cocon qui se forme. Plus rien n’est comme avant, le temps s’arrête, on est nombreux mais plus que deux au monde... Comme deux amis connus depuis toujours, rires et sérieux, pics et touches se multiplient à l’infini... Le bien-être m’envahit et je ne souhaite plus que cela s’arrête...

Malheureusement, la réalité frappe à la porte et c’est le départ! Triste d’une fin, mais heureux d’un commencement.
Nous nous retrouvons occasionnellement, pour retourner dans ce cocon ou plus rien n’a d’importance que notre complicité... Avec cette impatience de l’adolescent qui voudrait la prendre dans ses bras pour lui offrir toutes les vagues d’amour qui submergent son coeur et sa tête, mais aussi avec la sagesse de l’ancêtre profitant de l’instant tellement précieux qu un geste trop brusque puisse briser le joyau...

Et chaque fois est comme une première fois... Comme si je ne connaissais rien d’autre.
Dans la passion il n y a pas de raison il n’y a qu’un commencement... mais un commencement infini!
En espérant la suite...
Jeu 08 Avril 2004, 13:21 par Loyd sur La première fois

une é_toile (ter)

Tu m’accuses, tu me reproches
D’avoir voulu t’aider, d’être ton accroche.
L’amour n’est pas un combat,
C’est un mode de vie, un éclat.

Tes errements, tes tourments morbides
Quand telle une vengeance acide
Tu me les jettes du fond de ta nuit
Déchire en moi ces rêves que je construis.

Je ne t’ai pas appelé, un soir tu es arrivé.
Je ne t’ai pas envoûté, seul tu t’es donné.
Tes doutes et tes blessures m’ont faite succomber
A c’est ma colère que tu viens réclamer.

Ne crois pas que de ta douleur je sois rassasiée
Ne pense pas que je n’ai jamais rien imaginé
Ne te demande pas si je n’ai jamais été blessée
Quand ta légèreté à une autre tu allais dispenser.

Je t’ai offert ma passion, ma flamme
Je t’ai donné mes pleurs, mon âme
De mon cœur tu as suivi le diagramme
Je t’ai aimé, tu me compares à une lame.

Tes mots dont je suis si avide
Ont ce soir un goût bien insipide
Sur mon visage se dessine un sourire livide
Dans ma poitrine tu as fait naître un grand vide

Tu voudrais que je te déteste, te maudisse
Qu’enfin je te laisse sombrer dans tes abysses
Que ma patience et mes passions plus jamais tu ne subisses
De ma confiance tu n’as encore vu qu’une esquisse

Ne sois pas mon tourment,
Ne me fais pas subir tes écoeurements
Ne m’offre pas tes retournements
Ne nous fait pas souffrir... tout simplement

Donne le meilleur de toi
Pense que de tous tu es le roi
Oublie les reproches et le désarroi
Vole la part à laquelle tu as droit!

Tu m’accules sous tes reproches
De t’aimer, d’avoir été trop proche
L’amour n’est pas un combat,
C’est une vie, un état.
Mar 06 Avril 2004, 02:59 par la marquise de sade sur Amour internet

Sur un air de Miossec...

Tu t’en vas bien avant l’heure,
Tu t’en vas en me laissant m’enfoncer dans mes pleurs,
Tu t’en vas m’abandonnant avec toutes ces questions
Tu t’en vas sans même qu’en face nous en parlions
Tu t’en vas quand tant de doutes à me parcourent
Tu t’en vas sans que je puisse répondre à ton amour...

Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire.

Tu t’en vas fuyant devant les sentiments qui te sont interdits
Tu t’en vas sans m’avoir même demandé si moi j’en avais envie
Tu t’en vas décidant de ce qui est le mieux pour toi
Tu t’en vas refusant d’écouter quel sera mon combat
Tu t’en vas pour aller vivre à moins que ce soit pour mieux mourir
Tu t’en vas après tout ce temps sans aucun espoir à construire...

Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire

Tu t’en vas parce que je suis ta souffrance
Tu t’en vas m’infligeant une lourde sentence
Tu t’en vas me laissant pour seuls souvenirs tes regrets
Tu t’en vas alors que nous aurions pu être si prés
Tu t’en vas et je n’avais jamais osé
Tu t’en vas alors que je n’osais t’aimer

Tu n’as aimé que moi
Sans jamais me dire quoique ce soit
Tu m’embrasses jusqu’à en mourir
Ces mois de silence, je vais te maudire


Isabelle... conscience de la marquise...
Jeu 25 Mars 2004, 20:03 par la marquise de sade sur L'amour en vrac

L'antichambre de l'enfer...

Le ciel étoilé s’offrait devant leurs yeux, la lumière de la lune passant par ce plafond vitré éclairait son visage. Il la regardait, elle fermait les yeux, un sourire sur ses lèvres, son corps luisant encore de ses ardeurs. Comment s’était-il retrouvé là? Comment avait-il pu parcourir 700kms pour passer une nuit avec elle? Il avait beau tenter de se souvenir de leurs premiers mots, essayer de trouver ce qui l’avait envouté, il ne comprenait pas. Elle l’avait fait sourire, elle l’avait étonné, il l’avait trouvé intelligente, belle,... à croquer ...

Elle souriait toujours, mais ses yeux étaient à ouverts, elle le fixait.
- Tu penses à quoi?
Que pouvait-il lui répondre, il venait de se repaître de ses caresses, il venait de la dévorer de sa bouche, sa langue avait gouté chaque centimétre de son corps, son sexe en redemandait toujours, encore, il n’arrivait plus à se satisfaire de cette sensation inexplicable.
Elle devait le comprendre, elle lui avait posé la question, mais n’attendait pas de réponse, ses yeux de démon avaient lu en lui. Elle s’en amusait. Elle le savait à sa merci, prêt à tenter toutes les perversités qu’elle lui proposerait. Déjà là... depuis plus de 3h, elle le soumettait à ses fantasmes, sa raison l’avait abandonné depuis longtemps. Lui d’habitude si réservé avec les femmes... Elle le possédait... C’était d’ailleurs bien ça... elle le possédait... son esprit, et son corps.

Elle se retourna, se coucha sur le ventre, ses longs cheveux noirs couvraient la moitié de son dos. Le rayon de lune glissait le long de ses reins, épousait la rondeur de ses fesses, pour s’éteindre entre ses cuisses... Ca y est, ça recommençait, ses mains à nouveau tremblaient, son sexe vers elle se tendait, sa bouche redemandait à être rassasiée. Elle le savait.
- Tu n’as pas froid?
Comment elle se jouait de lui! Elle le savait bouillonnant, elle l’avait usé, épuisé durant de nombreuses heures, et était prête à nouveau à le submerger.
Elle avança son corps sur le sien. Ses seins refroidis par le parquet étaient aussi durs que de la roche, elle en frolait son torse, innocemment, sachant quelle excitation elle lui procurait. Elle ne pouvait d’ailleurs pas l’ignorer ! Son sexe déjà grandissait entre ses cuisses...

- Nous n’avons testé que les 8 premières marches de l’escalier... nous sommes sur le palier intermédiaire. Tu sais qu’il en reste encore 6 ?
Elle lui avait dit ça en toute simplicité, comme s’ils montaient calmement les étages de la Tour Eiffel! Elle avait décrété un jour, au détour d’un mp, qu’il fallait essayer chaque marche de l’escalier avant de pouvoir tester le moelleux de sa couche. Et elle le faisait. Son corps rampa sur le sien, sa gorge, ses seins, son ventre, son pubis, ses cuisses passaient à tour de rôle sur sa bouche ouverte. Elle s’arréta sur la première marche, s’y assit, et lui dit "Viens, j’ai encore envie de toi".
Une fois de plus il lui obéit.
Une fois encore il la prit.
Une fois encore, il découvrit son corps, sa langue, son sexe. Une fois encore c’était un nouveau plaisir, plus puissant que le précédent.
Il gravissait une à une les marches vers l’extase, il redoutait et à la fois s’impatientait d’atteindre enfin l’étage, et d’ouvrir la porte de sa chambre... à moins que ce soit celle de l’antichambre de l’enfer...


La marquise... mi ange........ mi démon
Mer 10 Mars 2004, 23:31 par la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses

La solitude

Cette nuit là je dormais chez toi …

Tu avais tout éteint dans l’appartement. Tu t’es couché près de moi, je faisais semblant de dormir. Timidement tu passas ta main sur mon dos avant de te retourner.

Ta présence me manque parfois (je soupire). Ton silence me fait souffrir mais surtout ton passé me fait souffrir, le manque de confiance que tu portes aux femmes te rend méfiant.

A l’intérieur de toi, il y a quelque chose qui est mort et que je ne peux pas réanimer. Tu ne veux plus aimer, tu ne veux pas m’aimer ! De peur d’avoir mal.

Je ne peux pas t’aider, parce que la porte est fermée. Le passé compte-t-il pour toi tellement plus que le et le futur ? C’est si facile de renoncer par nostalgie, quelle formidable douleur passive, quelle admirable mort lente.

Aux premiers jours de notre rencontre tu me racontais tes rêves, tes envies, j’ai cru que tu m’appelais, je suis venue et toi tu es resté prisonnier de ta peur, de l’amour que tu appelles solitude.

Que faire pour que tu m’aimes, te dire que mon amour pour toi est infini, que je t’aimerai pour la vie, que tu es l’homme avec qui je veux avoir des enfants…

Je te fais de la peine à ce point là ?

Beaucoup plus. Il n’est de pire solitude que celle que l’on éprouve quand on est deux. J’ai voulu te quitter alors que je t’aime, quelle incroyable incohérence!



Que faut-il faire ? Laisser faire les choses ? Je ne sais pas, je ne sais même plus si j’en ai envie.
Seul Dieu le sait !!!!

muse
Sam 06 Mars 2004, 10:23 par Muse sur L'amour en vrac

Le vie à deux

Un nouveau thème d’écriture sur les sentiments est ouvert à sur le forum : la vie à deux. On a tous quelque chose à raconter de tendre ou de drôle au sujet des moments que l’on a partagé avec l’autre, ou que l’on réve de partager d’ailleurs.

Saluons l’arrivée de lamama,Zeus ainsi que de stella et souhaitons leur de bons moments de lecture et d’écriture sur le forum des âmes tendres.
Dim 15 Fév 2004, 12:59 par PetitPrince sur Edito

Re: leo ferre - citation sur le bonheur

MaStErGrAhAm a écrit:
Citation:
Le bonheur, c’est pas grand chose
Juste du chagrin qui se repose


Le bonheur est effectivement fragile. Il tient à peu de choses, et peut disparaitre aussi vite qu’il a surgi un jour dans notre vie. Au détour d’un geste, d’un regard, d’une rencontre, d’une parole, d’une lecture, un bien-être nous envahit, sans qu’on sache pourquoi, ni comment, même sans qu’on s’en rende compte, sans qu’on puisse l’expliquer... On est juste bien, et c’est tout.

La chagrin succède au bonheur c’est vrai. Un petit chagrin pour un petit bonheur, un grand chagrin pour un grand bonheur. Il arrivera lui aussi comme ça, au détour d’un regard ou d’un geste, d’une parole ou d’une lecture, d’une rencontre ou d’une perte. Un sentiment de manque, de lassitude, de frustration qui s’agrandit. Un envie de s’endormir pour se réveiller en ayant tout oublié. De faire reculer le temps, de ne jamais avoir connu le bonheur, ce bonheur qu’à present on peut identifier, ce bien être que l’on comprend, cet état jusqu’alors inexplicable qui nous parait maintenant si evident...

Mais si le chagrin nous fait souvent dire, qu’on ne se laissera plus jamais prendre, que c’est la dernière fois que l’on souffre ou pleure pour ces raisons, nous savons pertinemment qu’un jour, au détour d’un geste, d’un regard, d’une rencontre, d’une parole, d’une lecture, un bien-être à nouveau nous envahira...


La marquise ... en quête constante de bonheur ... et bien heureuse de l’être rolleyes
Sam 07 Fév 2004, 15:37 par la marquise de sade sur Citations
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La citation d'amour

L'amour est tout yeux et ne voit rien.

Proverbe chinois.

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