Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur présent - Page 7 sur 14
N'avoir rien à dire, mais le dire absolument !
N’avoir rien à dire, mais le dire absolument !
C’est l’instant où les mots bien tricotés dans la tête attendent leur délivrance.
C’est aujourd’hui que le fil se déroule au travers de la plume.
Tremper sa plume dans le clavier, un moyen sage pour tout réaliser en un instant.
Instant où le monde s’arrête, l’esprit enveloppant l’être et sa pensée.
Emotion, tremblement, étourdissement, devant le premier mot à naître.
Enfanter son cerveau vide pour le découvrir si magnifiquement.
Le présent contient sa magie, appelée : la vie en devenir.
"Partir de rien pour arriver à peu de choses", voilà l’ivresse de l’instant.
Sortir du néant pour créer, c’est la Terre retrouvée.
C’est l’instant où les mots bien tricotés dans la tête attendent leur délivrance.
C’est aujourd’hui que le fil se déroule au travers de la plume.
Tremper sa plume dans le clavier, un moyen sage pour tout réaliser en un instant.
Instant où le monde s’arrête, l’esprit enveloppant l’être et sa pensée.
Emotion, tremblement, étourdissement, devant le premier mot à naître.
Enfanter son cerveau vide pour le découvrir si magnifiquement.
Le présent contient sa magie, appelée : la vie en devenir.
"Partir de rien pour arriver à peu de choses", voilà l’ivresse de l’instant.
Sortir du néant pour créer, c’est la Terre retrouvée.
Dim 22 Juil 2007, 12:35 par
Xavier Huon sur Mille choses
Liberté, j'écris ton nom ( 9 )...
Parce que tu me fais trop mal...
Parce que je ne veux pas continuer à être ton souffre-douleur...
Parce que je veux encore exister pour mon fils qui partage ma vie...
Marie
Je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait- je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait
Serge Gainsbourg
Parce que je ne veux pas continuer à être ton souffre-douleur...
Parce que je veux encore exister pour mon fils qui partage ma vie...
Marie
Je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait- je suis venu te dir’que je m’en vais
et tes larmes n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
tu t’souviens des jours anciens et tu pleures
tu suffoques, tu blémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
oui je t’aimais, oui, mais- je suis venu te dir’que je m’en vais
tes sanglots longs n’y pourront rien changer
comm’dit si bien Verlaine "au vent mauvais"
je suis venu d’te dir’que je m’en vais
tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
tu sanglotes, tu gémis à présent qu’a sonné l’heure
des adieux à jamais
oui je suis au regret
d’te dir’que je m’en vais
car tu m’en as trop fait
Serge Gainsbourg
Mer 18 Juil 2007, 12:14 par
Satine sur Mille choses
Pardon
je t’ai perdu
à cause d’une erreur
je t’ai perdu
et j’ai brisé nos coeurs
à présent, je suis là, devant toi
pour t’implorer
et te supplier
de me pardonner
pardonne moi
j’ai été ingrat
pardonne moi
je t’aime tant
reviens vers moi
rappelle toi autrefois
reviens vers moi
aime moi comme avant
à cause d’une erreur
je t’ai perdu
et j’ai brisé nos coeurs
à présent, je suis là, devant toi
pour t’implorer
et te supplier
de me pardonner
pardonne moi
j’ai été ingrat
pardonne moi
je t’aime tant
reviens vers moi
rappelle toi autrefois
reviens vers moi
aime moi comme avant
Sam 30 Juin 2007, 21:13 par
pierre de la carolina sur La déclaration d'amour
Sous séduction!
Du matin, le soleil est à son horizon
Mes yeux s’ouvrent sur ta présence ensommeillée
Du matin, saveurs que jamais nous ne brisons
Nulle lumière ne te tient déjà éveillée
Du soir, le soleil est à son horizon
Mes yeux se ferment sur ton présent ensoleillé
Du soir, luxe et paix d’amour dont nous nous grisons
Nulle lumière ne me tient aussi émerveillé
Horizon de jour, horizon de nuit
De zénith en nadir, tu me conduis
D’hiver ou de ciel, tu me séduis
Mes yeux s’ouvrent sur ta présence ensommeillée
Du matin, saveurs que jamais nous ne brisons
Nulle lumière ne te tient déjà éveillée
Du soir, le soleil est à son horizon
Mes yeux se ferment sur ton présent ensoleillé
Du soir, luxe et paix d’amour dont nous nous grisons
Nulle lumière ne me tient aussi émerveillé
Horizon de jour, horizon de nuit
De zénith en nadir, tu me conduis
D’hiver ou de ciel, tu me séduis
Mer 23 Mai 2007, 14:45 par
René Cendre sur Parler d'amour
Passé, Présent, Futur...
Penser au passé
S’inscrire dans le présent
Rêver à l’avenir...
Marie
S’inscrire dans le présent
Rêver à l’avenir...
Marie
Mer 16 Mai 2007, 15:09 par
Satine sur Histoires d'amour
Pluie
L’aube inonde à peine les prairies que déjà je laissse vagabonder mes pensées. Dans un souffle, comme une brise légère, je pousse un soupir. Je rêve de toi, celui que je ne connais même pas. Je t’imagine au travers d’une morale, je te sculpte un visage, je t’invente un regard. Je fouille dans ma mémoire pour éviter des pièges qu’un coup de foudre sans réflexion peut cacher.
J’entends même ton rire malgré le chant des crapauds qui ce matin ressemblait à un glas triste et froid. Appel à la pluie
Je perçois la douceur de tes mots silencieux. Je t’invente sans retenu, pareil à un poème d’une midinette de quinze ans que seul l’âge peut excuser cette naïveté. Indolence d’une jeunesse qui s’étire sur le verbe aimer. Je perçois le son grave de tes paroles tandis que le vent s’offusque de la tiédeur de ce matin.
Un peu comme le pas lourd des chevaux galopants sur les pages d’un cahier de l’écolier furieux d’être là plutôt que dehors pour siffler dans une herbe verte et fraîche de ce printemps.
Je désaltére mes pensées dans un puits de fantasmes imaginaires dont je connais la fantaisie. Imagination avide sans limite que je lâche sans bride. Je peux respirer le parfum de ta peau, le deviner, le saisir pour le laisser rouler sur mes pensées. Indolente, insouciante de cette léthargie charnue de tendresse je pose autour de toi une lumière pleine de clarté, de saveur, d’appétit.
Ciel violacé, ambiance jaunâtre qui annonce un orage.
L’odeur même de la pluie se fait sentir lorsque coléreuse elle tombe sur la terre battue pour agglutiner la poussière sur le sol.. Climat lourd qui colle à la peau pour transpirer un instant dans l’attente d’une émotion qui va éclater
Une hirondelle rase la terre, un vol parfait avant que la pluie vienne éternuer sa mélodie sur l’étang du champ voisin.
Perdue dans mes pensées je continue à t’écouter, plus présent mais si imaginaire. Je sens ta main dans mes cheveux, je sens ta bouche sur la mienne. Je ferme les yeux pour ressentir cet imaginaire.
La pluie s’abat brutale sur le bitume de la rue, ricoche, rebondit pour s’affaler et ruisseler dans le caniveau. Les crapauds se sont tus, ravis de ce déluge.
J’ai dessiné tes cheveux, j’ai façonné ton buste sans entendre la pluie chanter sur les vitres de ma maison. Je laisse ta main courir sur mon visage, parcourir les courbes de mon corps. Chaque caresse est silencieuse, muette d’encore. Je te raconte, tu te livres sans parole.
Le tonnerre gronde, pour sans doute me réveiller.
Je suis sourde à son appel
. Je m’invente un monde de couleurs, de miel, de douceur où le salé se mêle au sucré. Sueur entrelace le charnel. Parfum boisé se mêle avec l’arôme de la menthe. Tout devient confus, tout monte en puissance. Accélération. Souffle. Endiguée.
Après la pluie, le calme revient. Les rayons du soleil envahissent les prairies, les crapauds redoublent d’allégresse, toi tu t’évanouies comme la vapeur de l’eau sur le bitume.
Reste….
J’entends même ton rire malgré le chant des crapauds qui ce matin ressemblait à un glas triste et froid. Appel à la pluie
Je perçois la douceur de tes mots silencieux. Je t’invente sans retenu, pareil à un poème d’une midinette de quinze ans que seul l’âge peut excuser cette naïveté. Indolence d’une jeunesse qui s’étire sur le verbe aimer. Je perçois le son grave de tes paroles tandis que le vent s’offusque de la tiédeur de ce matin.
Un peu comme le pas lourd des chevaux galopants sur les pages d’un cahier de l’écolier furieux d’être là plutôt que dehors pour siffler dans une herbe verte et fraîche de ce printemps.
Je désaltére mes pensées dans un puits de fantasmes imaginaires dont je connais la fantaisie. Imagination avide sans limite que je lâche sans bride. Je peux respirer le parfum de ta peau, le deviner, le saisir pour le laisser rouler sur mes pensées. Indolente, insouciante de cette léthargie charnue de tendresse je pose autour de toi une lumière pleine de clarté, de saveur, d’appétit.
Ciel violacé, ambiance jaunâtre qui annonce un orage.
L’odeur même de la pluie se fait sentir lorsque coléreuse elle tombe sur la terre battue pour agglutiner la poussière sur le sol.. Climat lourd qui colle à la peau pour transpirer un instant dans l’attente d’une émotion qui va éclater
Une hirondelle rase la terre, un vol parfait avant que la pluie vienne éternuer sa mélodie sur l’étang du champ voisin.
Perdue dans mes pensées je continue à t’écouter, plus présent mais si imaginaire. Je sens ta main dans mes cheveux, je sens ta bouche sur la mienne. Je ferme les yeux pour ressentir cet imaginaire.
La pluie s’abat brutale sur le bitume de la rue, ricoche, rebondit pour s’affaler et ruisseler dans le caniveau. Les crapauds se sont tus, ravis de ce déluge.
J’ai dessiné tes cheveux, j’ai façonné ton buste sans entendre la pluie chanter sur les vitres de ma maison. Je laisse ta main courir sur mon visage, parcourir les courbes de mon corps. Chaque caresse est silencieuse, muette d’encore. Je te raconte, tu te livres sans parole.
Le tonnerre gronde, pour sans doute me réveiller.
Je suis sourde à son appel
. Je m’invente un monde de couleurs, de miel, de douceur où le salé se mêle au sucré. Sueur entrelace le charnel. Parfum boisé se mêle avec l’arôme de la menthe. Tout devient confus, tout monte en puissance. Accélération. Souffle. Endiguée.
Après la pluie, le calme revient. Les rayons du soleil envahissent les prairies, les crapauds redoublent d’allégresse, toi tu t’évanouies comme la vapeur de l’eau sur le bitume.
Reste….
Mer 02 Mai 2007, 22:00 par
Fille du peuple sur L'amour en vrac
Tu me manque
je scrute l’horizon,
dans l’espoir de voir,
ta silhouette au loin,
se dirigée ver moi,
tu me manque,
chaque seconde,
chaque bouffé d’air,
me rappel que tu n’es pas la,
reviens moi,
tourne toi vers moi,
et tend moi la main,
pour qu’en fin,
je sois heureuse avec toi,
mon homme du désert,
fait moi vivre ton doux mirage,
que ma chair ne connaisse,
que ton doux velours,
de ta peaux, de ton chant d’amour.
tourne toi vers moi,
je suis prête a présent,
montre moi le doux chemin du bonheur,
dans tes bras de prince que tu es.
tu me manque de trop,
j’aire dans les rues de paris,
les lieux les plus fréquenter,
les gares, le métro, les aéroports,
dans l’espoir de te croiser ....
si seulement le destin pouvait m’aider....
dans l’espoir de voir,
ta silhouette au loin,
se dirigée ver moi,
tu me manque,
chaque seconde,
chaque bouffé d’air,
me rappel que tu n’es pas la,
reviens moi,
tourne toi vers moi,
et tend moi la main,
pour qu’en fin,
je sois heureuse avec toi,
mon homme du désert,
fait moi vivre ton doux mirage,
que ma chair ne connaisse,
que ton doux velours,
de ta peaux, de ton chant d’amour.
tourne toi vers moi,
je suis prête a présent,
montre moi le doux chemin du bonheur,
dans tes bras de prince que tu es.
tu me manque de trop,
j’aire dans les rues de paris,
les lieux les plus fréquenter,
les gares, le métro, les aéroports,
dans l’espoir de te croiser ....
si seulement le destin pouvait m’aider....
Dim 08 Avril 2007, 21:22 par
joullia sur Parler d'amour
Morphine [Yaoi]
4. Troisième fois, ton sang pour moi
Au file du parcours de l’aiguille dans le cadran du salon, Bill s’était endormit sur le torse de son jumeau. Celui-ci était parfaitement éveillé et regardait son petit frère tout en caressant doucement ses cheveux presque secs à présent. Il regardait son visage, si semblable au sien, ses grands yeux clos, ses lèvres légèrement entrouvertes et sa fine main sous sa joue. Il était si beau. Tom aurait pu le regarder comme ça toute la journée s’il le pouvait. Mais il fallait le réveiller. Il ne fallait pas perdre trop de temps. Les parents reviendront et ils ne seront plus seuls pour faire ce qu’ils désirent tant.
Alors, tout doucement, Tom mouilla sa main dans l’eau, devenue froide, et l’appliqua sur la frimousse de son petit frère. Celui-ci soupira en remuant légèrement sur le corps de Tom. Bill souriait, réveillé mais les paupières toujours closes. Il chercha à tâtons, d’une main, les lèvres de son grand frère. Quand il les trouva, il passa plusieurs fois son doigt dessus, puis pénétra dans l’humidité, caressant l’intérieur des joues de Tom, puis sa langue. Puis il retira son doigt et le suça. Il souriait d’un sourire sincère.
Il se redressa un peu, pour mieux remonter vers le visage de Tom. Il s’appuya sur les rebords, de façon à être exclament au dessus de lui, ses lèvres au dessus des siennes. Il les déposa sur celles de Tom en se laissant tomber sur lui, emmêlant ses doigts dans ses cheveux. Tom, lui, caressait son dos, descendant petit à petit vers ses fesses. Il jouait avec le piercing de la langue du petit frère.
Enfin, ils s’arrêtèrent, le temps avançait. La moitié de la journée n’était déjà qu’un souvenir. Ils se séchèrent mutuellement. Tom coiffa Bill, car il aimait être coiffé. Puis ils redescendirent, toujours nus, dans le salon. Bill alla chercher le couteau dans la cuisine. Tom attendait sagement sur le ventre dans le canapé, les jambes relevé, la tête soutenu par ses bras. L’androgyne revînt et s’assit sur le bas du dos de son frère, le couteau en main. Il savait que maintenant c’était Tom qui avait un peu peur. Bill le caressa pour le mettre en confiance, puis il commença.
Non loin de l’épaule droite, il enfonça sur deux à trois millimètres la pointe acérée du couteau. Puis, doucement, il découpa un tout petit bout de peau, de la forme d’un carré. Il le retira et le garda dans sa main. Puis il se pencha sur Tom, qui ne bronchait pas, et passa sa langue sur l’endroit scarifié, puis il aspira. C’était un peu sucré, le sang, un peu amer. Mais c’était celui de Tom, c’était le même que le sien. Il laissa Tom se retourner sous lui, pour se mettre sur le dos. Bill lui fit ouvrire la bouche et y mit le petit bout de peau. Tom l’avala sans rien dire, puis réclama un baiser de son petit frère. Bill exauça son souhait. Puis il frotta un peu son sexe sur celui de son frère dans de petits mouvements de bassin. La chaleur montait au fur et à mesure que l’aiguille avançait vers le moment dernier. Mais ils iraient jusqu’au bout, ils termineraient avant que l’aiguille ne s’arrête pour eux. Mais seul Bill savait cela.
Le troisième rituel étant terminer, il fallait terminer par l’autre partie du premier. La dernière partie de leur aventure.
Au file du parcours de l’aiguille dans le cadran du salon, Bill s’était endormit sur le torse de son jumeau. Celui-ci était parfaitement éveillé et regardait son petit frère tout en caressant doucement ses cheveux presque secs à présent. Il regardait son visage, si semblable au sien, ses grands yeux clos, ses lèvres légèrement entrouvertes et sa fine main sous sa joue. Il était si beau. Tom aurait pu le regarder comme ça toute la journée s’il le pouvait. Mais il fallait le réveiller. Il ne fallait pas perdre trop de temps. Les parents reviendront et ils ne seront plus seuls pour faire ce qu’ils désirent tant.
Alors, tout doucement, Tom mouilla sa main dans l’eau, devenue froide, et l’appliqua sur la frimousse de son petit frère. Celui-ci soupira en remuant légèrement sur le corps de Tom. Bill souriait, réveillé mais les paupières toujours closes. Il chercha à tâtons, d’une main, les lèvres de son grand frère. Quand il les trouva, il passa plusieurs fois son doigt dessus, puis pénétra dans l’humidité, caressant l’intérieur des joues de Tom, puis sa langue. Puis il retira son doigt et le suça. Il souriait d’un sourire sincère.
Il se redressa un peu, pour mieux remonter vers le visage de Tom. Il s’appuya sur les rebords, de façon à être exclament au dessus de lui, ses lèvres au dessus des siennes. Il les déposa sur celles de Tom en se laissant tomber sur lui, emmêlant ses doigts dans ses cheveux. Tom, lui, caressait son dos, descendant petit à petit vers ses fesses. Il jouait avec le piercing de la langue du petit frère.
Enfin, ils s’arrêtèrent, le temps avançait. La moitié de la journée n’était déjà qu’un souvenir. Ils se séchèrent mutuellement. Tom coiffa Bill, car il aimait être coiffé. Puis ils redescendirent, toujours nus, dans le salon. Bill alla chercher le couteau dans la cuisine. Tom attendait sagement sur le ventre dans le canapé, les jambes relevé, la tête soutenu par ses bras. L’androgyne revînt et s’assit sur le bas du dos de son frère, le couteau en main. Il savait que maintenant c’était Tom qui avait un peu peur. Bill le caressa pour le mettre en confiance, puis il commença.
Non loin de l’épaule droite, il enfonça sur deux à trois millimètres la pointe acérée du couteau. Puis, doucement, il découpa un tout petit bout de peau, de la forme d’un carré. Il le retira et le garda dans sa main. Puis il se pencha sur Tom, qui ne bronchait pas, et passa sa langue sur l’endroit scarifié, puis il aspira. C’était un peu sucré, le sang, un peu amer. Mais c’était celui de Tom, c’était le même que le sien. Il laissa Tom se retourner sous lui, pour se mettre sur le dos. Bill lui fit ouvrire la bouche et y mit le petit bout de peau. Tom l’avala sans rien dire, puis réclama un baiser de son petit frère. Bill exauça son souhait. Puis il frotta un peu son sexe sur celui de son frère dans de petits mouvements de bassin. La chaleur montait au fur et à mesure que l’aiguille avançait vers le moment dernier. Mais ils iraient jusqu’au bout, ils termineraient avant que l’aiguille ne s’arrête pour eux. Mais seul Bill savait cela.
Le troisième rituel étant terminer, il fallait terminer par l’autre partie du premier. La dernière partie de leur aventure.
Sam 24 Mars 2007, 14:13 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Morphine [Yaoi]
2. La face innocente du Premier Rituel
Tom se leva le premier du lit, puis enleva la couette qui tenait son petit frère au chaud. Il découvrit un corps identique au sien, d’une beauté qu’on ne peut jamais égaler. Bill s’étira et Tom toucha la petite étoile que son jumeau avait sur la hanche. Il caressait sensuellement le bas du ventre de son frère, égarant ses doigts sur son nombril et sur son sexe. Bill riait car ça le chatouillait. Il se redressa pour se retrouver assit. Il croisa les bras en se frottant le torse: il avait un peu froid. Mais plus que jamais il était heureux. Tom lui tendit la main pour l’aider à se lever.
Ils se retrouvèrent face à face à se contempler. Et là, il n’y avait plus que leur coupe de cheveux pour les différencier, ainsi que les tatouages du petit frère. Ce dernier s’approcha et colla son corps à celui de son frère. Il nicha sa tête dans son cou et mordilla le lobe de son oreille. Puis, sans qu’ils ne communiquent par mots, ils s’écartèrent l’un de l’autre, puis Tom prit la main de son frère. Ils sortirent de la chambre, Tom devant, son petit frère sur les talons. Ils descendirent les escaliers et, après que Tom s’eut assuré qu’il n’y avait vraiment plus personne dans la maison, ils se dirigèrent vers la cuisine.
Là, Bill resta debout au milieu de la pièce, sur le carrelage à carreaux noirs et blancs. Il avait un peu peur, mais il laisserait son frère s’occuper de lui. Tom caressa son frère pour le mettre en confiance, épousant les formes de son corps de ses paumes de mains. Il déposa furtivement un baiser sur les lèvres de son petit frère, puis se sépara de lui. Il ouvrit le frigidaire et en sortit une bouteille de lait non entamé. Le liquide était alors pur. Tom ouvrit la bouteille et laissa le bouchon rouler à terre. Puis, sachant totalement que faire cela était un jeu interdit, revînt vers Bill qui se tenait toujours immobile au centre de la cuisine. Ce dernier leva la tête et ouvrit la bouche. Tom versa doucement un filet de lait dans la bouche de son frère qui, dans cette position, ne pouvait pas avaler. Mais c’était le but. Bientôt le liquide blanc déborda, Bill toussa, puis le lait ruissela tout le long de son corps. Tom continua à renverser la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit totalement vide. Puis, quand la dernière goutte de lait fût tomber sur la peau blanche de son frère, il laissa la bouteille tomber à terre. Bill rabaissa la tête et avala l’unique gorgée qu’il aura pu boire. Le lait recouvrait tout le sol à présent.
Tom se rapprocha alors de son jumeau et commença à lécher sa peau imprégnée de lait. Il commença par le visage, puis descendit sa langue dans le cou de Bill, puis sur sa poitrine, dans son nombril, sur son aine, sur son sexe sur lequel il s’attarda un peu plus. Bill se laissait totalement explorer sans bouger, souriant et gémissant de plaisir au contact chaud de la langue de son jumeau. Il se sentait entier, complet. Il caressait les cheveux de son frère qui s’affairait toujours sur ses parties intimes. Puis, ne tenant plus debout tellement le plaisir devenait grand, il s’allongea par terre dans la flaque de lait. Ce qu’il n’aurait pas dû faire, car Tom arrêta de lui procurer ce plaisir. En revanche, il se positionna à quatre pattes au dessus de lui et, tout en le caressant, l’embrassait amoureusement. Il frottait doucement son corps sur le sien, leurs peaux glissaient l’une sur l’autre grâce au lait. Les cheveux de Bill se trempaient dans la flaque blanche. Celui-ci avait totalement décollé de la planète, comme son frère d’ailleurs, et errait dans l’espace, un espace si grand qu’il eut presque peur en le voyant. Mais en fait, ça le faisait rire. Il ne savait pas pourquoi, mais il riait. Il se sentait si bien, éprit d’une ivresse de bonheur. Tom, lui, souriait tout en recommençant à lécher la peau de son petit frère.
Ils s’étaient promis une histoire unique et belle, que personne ni rien ne les séparerait. Que pour toujours, ils erreraient dans cet espace sans fond ni plafond. Ils s’étaient jurés de braver les interdits, de vivre comme bon leur semblerait, à deux et rien qu’à deux, sans personne pour les juger. Ils n’en n’avaient pas besoin. Ils savaient qu’ils ne s’en sortiraient pas indemne de cette aventure, mais ils voulaient la vivre et la mordre à pleine dent. A deux, ils ne formaient qu’une seule et unique âme, séparément, ils mourraient de solitude et de peur.
Tom se releva et aida Bill à faire de même. Ce rituel, plutôt inoffensif, n’était pas terminé. Mais ils le laisseraient un moment de côté pour réaliser le second.
Ils remontèrent à l’étage, dans la salle de bain.
Tom se leva le premier du lit, puis enleva la couette qui tenait son petit frère au chaud. Il découvrit un corps identique au sien, d’une beauté qu’on ne peut jamais égaler. Bill s’étira et Tom toucha la petite étoile que son jumeau avait sur la hanche. Il caressait sensuellement le bas du ventre de son frère, égarant ses doigts sur son nombril et sur son sexe. Bill riait car ça le chatouillait. Il se redressa pour se retrouver assit. Il croisa les bras en se frottant le torse: il avait un peu froid. Mais plus que jamais il était heureux. Tom lui tendit la main pour l’aider à se lever.
Ils se retrouvèrent face à face à se contempler. Et là, il n’y avait plus que leur coupe de cheveux pour les différencier, ainsi que les tatouages du petit frère. Ce dernier s’approcha et colla son corps à celui de son frère. Il nicha sa tête dans son cou et mordilla le lobe de son oreille. Puis, sans qu’ils ne communiquent par mots, ils s’écartèrent l’un de l’autre, puis Tom prit la main de son frère. Ils sortirent de la chambre, Tom devant, son petit frère sur les talons. Ils descendirent les escaliers et, après que Tom s’eut assuré qu’il n’y avait vraiment plus personne dans la maison, ils se dirigèrent vers la cuisine.
Là, Bill resta debout au milieu de la pièce, sur le carrelage à carreaux noirs et blancs. Il avait un peu peur, mais il laisserait son frère s’occuper de lui. Tom caressa son frère pour le mettre en confiance, épousant les formes de son corps de ses paumes de mains. Il déposa furtivement un baiser sur les lèvres de son petit frère, puis se sépara de lui. Il ouvrit le frigidaire et en sortit une bouteille de lait non entamé. Le liquide était alors pur. Tom ouvrit la bouteille et laissa le bouchon rouler à terre. Puis, sachant totalement que faire cela était un jeu interdit, revînt vers Bill qui se tenait toujours immobile au centre de la cuisine. Ce dernier leva la tête et ouvrit la bouche. Tom versa doucement un filet de lait dans la bouche de son frère qui, dans cette position, ne pouvait pas avaler. Mais c’était le but. Bientôt le liquide blanc déborda, Bill toussa, puis le lait ruissela tout le long de son corps. Tom continua à renverser la bouteille jusqu’à ce qu’elle soit totalement vide. Puis, quand la dernière goutte de lait fût tomber sur la peau blanche de son frère, il laissa la bouteille tomber à terre. Bill rabaissa la tête et avala l’unique gorgée qu’il aura pu boire. Le lait recouvrait tout le sol à présent.
Tom se rapprocha alors de son jumeau et commença à lécher sa peau imprégnée de lait. Il commença par le visage, puis descendit sa langue dans le cou de Bill, puis sur sa poitrine, dans son nombril, sur son aine, sur son sexe sur lequel il s’attarda un peu plus. Bill se laissait totalement explorer sans bouger, souriant et gémissant de plaisir au contact chaud de la langue de son jumeau. Il se sentait entier, complet. Il caressait les cheveux de son frère qui s’affairait toujours sur ses parties intimes. Puis, ne tenant plus debout tellement le plaisir devenait grand, il s’allongea par terre dans la flaque de lait. Ce qu’il n’aurait pas dû faire, car Tom arrêta de lui procurer ce plaisir. En revanche, il se positionna à quatre pattes au dessus de lui et, tout en le caressant, l’embrassait amoureusement. Il frottait doucement son corps sur le sien, leurs peaux glissaient l’une sur l’autre grâce au lait. Les cheveux de Bill se trempaient dans la flaque blanche. Celui-ci avait totalement décollé de la planète, comme son frère d’ailleurs, et errait dans l’espace, un espace si grand qu’il eut presque peur en le voyant. Mais en fait, ça le faisait rire. Il ne savait pas pourquoi, mais il riait. Il se sentait si bien, éprit d’une ivresse de bonheur. Tom, lui, souriait tout en recommençant à lécher la peau de son petit frère.
Ils s’étaient promis une histoire unique et belle, que personne ni rien ne les séparerait. Que pour toujours, ils erreraient dans cet espace sans fond ni plafond. Ils s’étaient jurés de braver les interdits, de vivre comme bon leur semblerait, à deux et rien qu’à deux, sans personne pour les juger. Ils n’en n’avaient pas besoin. Ils savaient qu’ils ne s’en sortiraient pas indemne de cette aventure, mais ils voulaient la vivre et la mordre à pleine dent. A deux, ils ne formaient qu’une seule et unique âme, séparément, ils mourraient de solitude et de peur.
Tom se releva et aida Bill à faire de même. Ce rituel, plutôt inoffensif, n’était pas terminé. Mais ils le laisseraient un moment de côté pour réaliser le second.
Ils remontèrent à l’étage, dans la salle de bain.
Sam 24 Mars 2007, 14:11 par
Lyra sur Les liaisons sulfureuses
Écriture automatique
Il est certain de ne pas refuser les amoures des gens
car on est jamais seul dans son propre règne,
celui du plein et de l’instinct
cette folle humeur qui rappelle que l’on aime sa faute comme un sermon,
je ne sais pas faire cas de mes bras en croix,
les sourires angéliques des "passantes" qui font de la vie une image latente me disent de revoir mes années futures en cercles ...
et je tournerai dans un manège pris par le dégoût de voir ma propre femme et mes amoures sans qu’ils puissent me toucher, toucher ce que je suis : un être humain qui aime...
Alors prenez le temps de composer avec le silence, prenez le temps de voir les compositions musicales de la vie, prenez le temps de vous juger comme sur le pilori... soyez honnête avec vous-même et réfléchissez que vous êtes les âmes de mon amour, un amour qui n’est jamais vide...celui que l’on regarde dans son cerveau comme une idée impressionnante et soulève le néant pour le rendre tel qu’il est...
northenwolves.
Voici un message écrit comme ça il est maintenant à vous de le lire, voir, juger...bref je suis présent pour en discuter...
car on est jamais seul dans son propre règne,
celui du plein et de l’instinct
cette folle humeur qui rappelle que l’on aime sa faute comme un sermon,
je ne sais pas faire cas de mes bras en croix,
les sourires angéliques des "passantes" qui font de la vie une image latente me disent de revoir mes années futures en cercles ...
et je tournerai dans un manège pris par le dégoût de voir ma propre femme et mes amoures sans qu’ils puissent me toucher, toucher ce que je suis : un être humain qui aime...
Alors prenez le temps de composer avec le silence, prenez le temps de voir les compositions musicales de la vie, prenez le temps de vous juger comme sur le pilori... soyez honnête avec vous-même et réfléchissez que vous êtes les âmes de mon amour, un amour qui n’est jamais vide...celui que l’on regarde dans son cerveau comme une idée impressionnante et soulève le néant pour le rendre tel qu’il est...
northenwolves.
Voici un message écrit comme ça il est maintenant à vous de le lire, voir, juger...bref je suis présent pour en discuter...
Jeu 22 Mars 2007, 11:46 par
northenwolves sur La vie à deux
Du forum
Le forum reprend ces temps-ci des allures ... de forum. Quelques textes sont dès lors plus de l’ordre de la conversation que de la création littéraire.
Je ne suis pas contre, bien au contraire, mais je préconise que le jeu de l’écriture soit présent dans vos lignes et que toute réponse ou question, reste travaillée et agréable dans sa forme.
Pensez à ceux qui vous lisent.
Je ne suis pas contre, bien au contraire, mais je préconise que le jeu de l’écriture soit présent dans vos lignes et que toute réponse ou question, reste travaillée et agréable dans sa forme.
Pensez à ceux qui vous lisent.
Dim 04 Mars 2007, 13:59 par
PetitPrince sur Edito
Sombre Perte
Sombre perte en ce jour où la pluie tombe. Sombre perte et je sens mes larmes qui perlent. La pluie coule, ruisselle sur ma peau, mes joues, mes paupières.
Sombre perte en cette nuit d’automne. Et moi, immobile sous la pluie funeste. Je serre les poings, fuyant la réalité qui pèse. Hors d’haleine, hors d’atteinte, hors de moi.
Sombre perte en ce jour où la pluie reste. Le soleil cachant ses rayons trop doux sous les nuages gris et leur noble courroux. Ils ont pitié de moi, de mes sentiments mortels, de ma peine à leurs yeux si leste. Des larmes de sel qui marquent mes yeux, des lames de fer qui percent mon cœur.
Sombre perte en ce jour où la nuit conteste. Je suis perdue, entre ses rideaux liquides, sur de vaisseaux humides, mes pieds n’osent plus bouger, soudés sous la force de l’amertume. La nuit d’encre couvre mes yeux, voulant sans doute m’accompagner dans mon pèlerinage de la mort.
Sombre perte dans cette nuit où rien ne reste. Tout me fuit, tout glisse de mes mains, l’orage ruisselle, laissant couler sa haine, dégoulinant son horreur et sa peine. A présent,je n’ai plus rien à perdre, à présent,je n’ai plus rien à vivre.
Sombre perte dans cet orage qui nous déteste. Sombre perte où moi à présente je ne suis plus rien sans toi.
Sombre perte en cette nuit d’automne. Et moi, immobile sous la pluie funeste. Je serre les poings, fuyant la réalité qui pèse. Hors d’haleine, hors d’atteinte, hors de moi.
Sombre perte en ce jour où la pluie reste. Le soleil cachant ses rayons trop doux sous les nuages gris et leur noble courroux. Ils ont pitié de moi, de mes sentiments mortels, de ma peine à leurs yeux si leste. Des larmes de sel qui marquent mes yeux, des lames de fer qui percent mon cœur.
Sombre perte en ce jour où la nuit conteste. Je suis perdue, entre ses rideaux liquides, sur de vaisseaux humides, mes pieds n’osent plus bouger, soudés sous la force de l’amertume. La nuit d’encre couvre mes yeux, voulant sans doute m’accompagner dans mon pèlerinage de la mort.
Sombre perte dans cette nuit où rien ne reste. Tout me fuit, tout glisse de mes mains, l’orage ruisselle, laissant couler sa haine, dégoulinant son horreur et sa peine. A présent,je n’ai plus rien à perdre, à présent,je n’ai plus rien à vivre.
Sombre perte dans cet orage qui nous déteste. Sombre perte où moi à présente je ne suis plus rien sans toi.
Jeu 02 Nov 2006, 03:15 par
Lindsey sur L'amour en vrac
Chut !
Chut...Ne dit plus rien
Ecoute moi attentivement...
Les courbes de ton corps developpe en moi.
Le désir incompreansible de m’élancer contre toi.
Tes lèvres si delicate me donne le goût de t’embrasser,
D’une façon si toride jamais ateinte jusqu’a present.
Tes yeux petillant, d’un Air charmeur me fais chaviré de pulsions.
Je ne peu plus les contrôlés...
Ton doux regard me donne des chaleurs et des envies folles.
Si je pourrai arrêté le temps de la vie, je le ferai,
Pour t’admirer et te cherire comme aucune femme ne la jamais fait.
Dans le nuit noir, même si je suis aveugle...je te sens,
Et je ne peu pas m’empêché de chanté ton prenom.
J’ai teriblement envie de me perdre dans les etoiles de tes yeux.
De sentir la chaleur petillante de ton corps m’envahir toridement.
J’ai envie d’entendre tes tendres soupires dans cette vague de silence.
De sentir ta douce main tremblante me caressé le visage aprés l’extase.
Je pourrais faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit jusqu’à ce que l’aube se lève.
J’ai seulement envie de toi....de t’aimé
Ecoute moi attentivement...
Les courbes de ton corps developpe en moi.
Le désir incompreansible de m’élancer contre toi.
Tes lèvres si delicate me donne le goût de t’embrasser,
D’une façon si toride jamais ateinte jusqu’a present.
Tes yeux petillant, d’un Air charmeur me fais chaviré de pulsions.
Je ne peu plus les contrôlés...
Ton doux regard me donne des chaleurs et des envies folles.
Si je pourrai arrêté le temps de la vie, je le ferai,
Pour t’admirer et te cherire comme aucune femme ne la jamais fait.
Dans le nuit noir, même si je suis aveugle...je te sens,
Et je ne peu pas m’empêché de chanté ton prenom.
J’ai teriblement envie de me perdre dans les etoiles de tes yeux.
De sentir la chaleur petillante de ton corps m’envahir toridement.
J’ai envie d’entendre tes tendres soupires dans cette vague de silence.
De sentir ta douce main tremblante me caressé le visage aprés l’extase.
Je pourrais faire tout ce que tu désir,
Les yeux fermés dans la nuit jusqu’à ce que l’aube se lève.
J’ai seulement envie de toi....de t’aimé
Mer 25 Oct 2006, 21:53 par
joullia sur Parler d'amour
Seul dans cette chambre sans chaleur
Après ma douche,
Seul je me couche,
Dans ce grand lit,
Qui n’est pas miens,
Sans chaleur et odeur,
Il est minuit.
A une heure,
Je pense à toi,
Toi, qui chavire mon cœur,
D’un seul son de ta voix,
D’un seul sourire,
Mes rêves se brouillent,
Mes yeux se mouillent.
Deux heures déjà!
Je n’arrive pas,
A m’endormir,
Tu es toujours là,
Tes bras me manque,
Dans mon esprits,
Mon moi te réclame,
Présent comme jamais,
Et je soupire.
Trois heure moins le quart !
J’ai le cafard,
Dans le noir de cette chambre,
Vide de vie,
Vide de toi,
Vide de tout sentiments,
J’écris ces mots.
Quatre heures,
Il serait temps,
De dormir,
Et d’oublier,
Mais cela est impossible !
Sans toi je suis vide.
Cinq heures,
Le temps est long,
L’heure tourne,
L’esprit toujours a toi.
Six heures,
L’heure du réveil,
Mais il est inutile,
Je suis toujours éveillé,
A penser a toi.
Enfin sept heures !
L’heure du café,
Des croissants beurre
Je suis crevée !
Et tu es toujours pas la !
Pour me prendre dans tes bras,
Savourer juste ce moment,
De tendresse et de réconfort,
Pour faire face a mes démons.
Seul je me couche,
Dans ce grand lit,
Qui n’est pas miens,
Sans chaleur et odeur,
Il est minuit.
A une heure,
Je pense à toi,
Toi, qui chavire mon cœur,
D’un seul son de ta voix,
D’un seul sourire,
Mes rêves se brouillent,
Mes yeux se mouillent.
Deux heures déjà!
Je n’arrive pas,
A m’endormir,
Tu es toujours là,
Tes bras me manque,
Dans mon esprits,
Mon moi te réclame,
Présent comme jamais,
Et je soupire.
Trois heure moins le quart !
J’ai le cafard,
Dans le noir de cette chambre,
Vide de vie,
Vide de toi,
Vide de tout sentiments,
J’écris ces mots.
Quatre heures,
Il serait temps,
De dormir,
Et d’oublier,
Mais cela est impossible !
Sans toi je suis vide.
Cinq heures,
Le temps est long,
L’heure tourne,
L’esprit toujours a toi.
Six heures,
L’heure du réveil,
Mais il est inutile,
Je suis toujours éveillé,
A penser a toi.
Enfin sept heures !
L’heure du café,
Des croissants beurre
Je suis crevée !
Et tu es toujours pas la !
Pour me prendre dans tes bras,
Savourer juste ce moment,
De tendresse et de réconfort,
Pour faire face a mes démons.
Ven 13 Oct 2006, 23:20 par
joullia sur L'amour en vrac
Je l'aimais
Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par
Evidance sur Histoires d'amour
Ecrire sur présent

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Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
La citation d'amour
L'amour est un caravansérail : on n'y trouve que ce qu'on y apporte.
Proverbe persan.
Proverbe persan.
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