Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur qu’être
Lasse, je t'aimais.
Je ne voudrais faire preuve de rancune pour rien au monde mais comment oublier le mal fait, je te le demande?
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.
Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Toi qui sait ô combien oublier est un mot, biaisé, un mot qui nous a tous baisé.
Il te suffit d’une musique pour te souvenir, il me suffit d’une chanson pour que ma mémoire opère le passé.
Tant de fois on se voulait du bien et on se faisait du mal, le monde tournait à l’envers.
L’univers entier s’inversait sous nos pieds.
Je ne veux pas et je n’ai jamais voulu être celle qui dresse la liste des reproches et des remontrances.
Je n’ai jamais voulu souffrir ni nuire à autrui.
La seule nourriture affective je la voulais pure et diététique, je la voulais esthétique mais non chimique.
Bref, je n’ai pas les dons pour faire un roman, mais la poésie l’emporterait tout de même sur les paroles si je me dois de te répondre et de t’écrire.
Je ne peux plus être brève.
Trop de choses sont dans la longueur et le quantitatif et en oublient le qualitatif.
Trop peu de lumière: les gens vivent pour la durée et non l’intensité.
Trop de matériel dans les regards.
Si peu d’arbres.
Le béton a remplacé le vert de nos prairies.
Les amoureux ne savent plus ce que c’est qu’être deux.
On vit une époque d’enfer.
Alors on cherche le bonheur.
Et lorsqu’on le trouve, on a la foi.
La foi en l’amour et en la magie du destin.
En la destinée.
Je pourrais te parler, et bercer tout ton monde, mais devrais-je te parler d’amour?
Doit-on parler d’amour?
Je ne peux rien effacer du passé.
Tu as fait, et tu fais, qu’y puis-je?
Je ne sais plus qui est qui, qui est quoi, qui fait qui, qui fait quoi,
je ne sais même plus pourquoi.
Je sais juste que tu m’as planté à maintes reprises à coup de couteau dans le dos, et que j’ai mis du temps à m’en remettre.
Je sais juste que tu étais là à me laisser agoniser pour morte ensanglantée sur le sol.
La bouche ouverte dégoulinant le sang comme le Christ.
Ce monde est crucifié, je n’y peux rien.
On a les médicaments mais on laisse crever les gens.
Tout ça pour que des requins portent des dents en or à se les casser sur le corail.
Je ne suis plus de ce monde.
Je ne pleure plus, seules les larmes qui lavent ou qui montent aux yeux me révoltent.
Je ne suis plus peinée mais touchée comme je l’ai toujours été.
Je ne suis plus peinée car j’ai appris que la peine nourrissait les requins.
J’ai appris que le malheur des uns faisait le bonheur de certains.
Je ne veux pas manger de ce pain.
Je ne souhaite de mal à personne, ni à toi, ni à quiconque.
Je ne sais pas qui tu es, je ne sais pas qui vous êtes, je suis là seule derrière mon écran en aveugle, mais je n’oublie jamais qui je suis.
Je ne perds jamais de vue que je suis dans un aquarium virtuel ici où certains s’y sont noyés même.
Je ne perds jamais de vue le brouillard de ce port avec ses bateaux et ses fameux poissons.
Je ne perds jamais de vue la mer.
Quoi te dire, j’en ai tellement bavé que j’ai puisé la force dans l’indifférence.
Leur morale, ils peuvent se la garder, j’en ai trop vu, et j’en sais trop pour me taire.
Si en Afrique ils meurent faute d’un doliprane, ici on meurt faute de soutien.
C’est à peu de choses près la même chose: on laisse crever les gens.
Pas mourir, crever.
Pour faire un test, criez au suicide vous verrez, nul ne vous répondra.
Ce ferait écho, vallée, ce ferait au mieux augmenter l’audience.
Et à qui reviendra les bénéfices? à personne qui me lit sans doute.
Ici, en Occident, on préfère ( on exclusif non inclusif ) vendre un poison qui rapporte que commercialiser et rendre accessible l’antidote.
Ce n’est pas l’amour qui tue mais l’usage qu’on en fait.
Je ne regrette pas de t’avoir aimé.
Je déplore l’usage que tu en as fait.
Mais je ne t’en veux plus.
Qui que tu sois.
Je suis fatiguée du succès mal placé, ça ne vient plus me flatter.
Tu ne sais plus ce que je vis.
Je ne parle pas de ce qui me tient le plus à coeur en ce moment là par exemple.
Mes rêves ils sont simples et basiques.
Marre des papillons sur les fleurs, marre de tes problèmes sans solutions.
Quant à l’amitié, je ne pense pas que le mot soit assez adapté au contexte car je sais encore qui sont mes amis.
A trop vouloir forcer, les portes restent fermées.
Il y a une délicatesse à ouvrir une porte.
Si on vole la clé, faut pas s’étonner que la serrure soit changée.
J’en ai simplement marre, même si je voudrais bien te consoler, marre d’être la sauveuse tant attendue que je ne suis pas.
Je ne peux pas t’aider si tu ne t’aides pas toi même.
Lasse, je suis lasse.
Sèche tes larmes, ça n’en vaut pas la peine.
Cherche dans ton présent ou futur comment tu peux inverser la tendance, et changer,
car moi je ne peux plus rien changer.
Je suis bien, du moins je fais aller, et j’ai tiré un trait pour avancer.
J’ai toujours le coeur sur la main, mais j’ai de moins en moins la main sur l’ordi.
J’espère en un meilleur lendemain, encore et toujours, mais je ne cherche plus dans le passé.
Je préfère la nouveauté, le frais, ce qui ne m’a jamais blessé.
Je sais qu’on peut vite être déçu donc je n’y crois plus, mais j’espère encore trouver un trésor.
Quelqu’un qui simplement prendrait ma main sans l’abîmer.
Il n’y a pas de mots pour raconter tout le mal que tu m’as fait, ça ne s’écrit même pas tellement c’est violent.
C’est inommable, impensable.
Inimaginable. Et l’on se moque des excuses virtuelles sans vive voix.
Tu vois beaucoup de mots, trop de maux.
Mes amis ils répondent au moindre appel et ils ne me parlent pas via un pseudo virtuel.
Mes amis n’ont jamais été ma plaie.Même imparfaits.
Ni chaud, ni froid, je n’ai malheureusement plus rien à te dire, ni à toi ni à un écran quelqu’il soit.
J’en perdrais mon humanité.
Ce que j’attendrais de toi? ou plûtôt ce que j’attendais? un trésor de simplicité qui simplement sait me prendre sans m’abîmer.
Sam 21 Jan 2012, 01:44 par
maisonverte sur Parler d'amour
Fraise au parfum de rose
]Un samedi, comme tant d’autre... Et pourtant ....
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une bouche d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la bouche
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa bouche autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?
il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Saint Jean beau quartier de Lyon.
Dans une rue, plutôt bien fréquentée, en effervescence, comme souvent le soir.
MARINE, qui se dépêche de rentrer chez elle comme d’habitude, sa baguette de pain à la main.
PIERRICK, tenant dans une main , le bout d’un ruban ficelé d’un prestigieux gâteau qu’il vient d’acheter chez un pâtissier renommé pour l’anniversaire de sa petite amie; et de son autre main une rose.
Ils ne se connaissent pas encore...
Ils se "percutent".Marine a une fâcheuse tendance à baisser la tête et à regarder ses pieds.PIERRICK surveille son carton oscillant, légèrement,afin surtout qu’il ne penche pas trop.
L’impact est éminent...
Comme au ralenti, la scène s’en suit
L’atterrissage du gâteau par terre, suivit de la rose, et de la baguette de pain qui se mettent à rouler, et s’échouent près d’une bouche d’égout.
Ils daignent enfin lever leurs yeux, et PIERRICK ne n’est pas insensible au charme de Marine, Marine qui rougit
Elle ne sait pas quoi dire, et, elle est vraiment désolée,de ce qu’elle a provoqué.C’est pas la première fois que cela lui arrive Marine toujours la tête dans les nuages,écrivain à ses heures, qui accumule des petites bêtises, ou qui fait tomber des choses.Il y a des jours comme ça, ou elle resterait bien chez elle; on ne l’appelle pas Miss catastrophe pour rien;Ils se penchent sur le dessert, dont les dégâts,sont tout de même pas anodin.
A défaut d’un gâteau à la fraise, c’est un gâteau tatin. Marine est vraiment ennuyée, elle propose le remboursement, et à la même occasion, lui rachète le même , bien qu’elle imagine qu’il coute cher.Et en ce moment Marine est juste, il faut dire qu’avec un salaire, pas évident; mais elle gère comme elle peut,tant pis il faut qu’elle le rembourse d’une façon ou d’une autre.
PIERRICK a une idée invraisemblable mais finalement pourquoi pas? ,il est fou à ce moment la , mais parfois la folie,ne peut qu’être grisante, et cela fait très longtemps que cela ne lui est pas arrivé.
IL lui propose, de lui laisser son numero perso juste histoire de la revoir, et refuse quelconque remboursement.,
Elle ne sait quoi dire, mais lui donne le sien.
Quelques semaines plus tard, Marine attend, Pierrick , à la terrasse d’un restaurant, un rendez vous qu’il a programmé rapidement; il, travaille beaucoup, et il est rare qu’il puisse se libérer aussi facilement. Mais il faut bien trouver une excuse, même pour un rendez vous des plus correct.
IL arrive, avec un carton à la main , oubliant le mauvais épisode, car à s’en rappeler, sa petite amie n’ avait pas trop apprécié, son gâteau d’anniversaire renversé, et il en avait même oublié la rose et maintenant il en souriait en y repensant, mais finalement ce jour la il avait fait une belle rencontre, et il voulait d’avantage connaitre Marine.Marine aux yeux noisette si expressif, si charmante, bien qu’elle ne fut pas d’ une grande beauté, elle avait les formes la ou lui il aimait, et cela promettait d’être intéressant, de part son comportement,qui supposait qu’elle était douce, gentille et brillante.
Il savait qu’il devait aller doucement avec elle,et il se trouvait même "bête" , ne trouvant pas les mots, mais rassuré de voir Marine tout à son aise, lui compter fleurette ...
Il se retrouve chez elle, naturellement comme si ils se connaissaient, quelques gouts en commun, surtout la cuisine, le bon vin, ...
Elle l’emmène à la cuisine, elle ouvre le frigo, et dépose devant lui une multitude de petit choux à la crème Saint honoré surmontées de fraise, lui il ouvre son carton et en sort un gâteau napée de chantilly et aussi des fraises.
Crise de fou rire! de quoi manger, et d’en faire même une indigestion...
Il lui tend le premier un chou, et lui met dans la bouche
Un nouveau jeu? elle accepte; c’est même amusant
Ils continuent, ne voyant pas l’heure passée.
En voila un dont la crème qui s’échappe, et coule le long de son doigt,et un peu sur son cache cœur juste à la naissance de ses seins, dont la veine, du cou palpite bien vite. Il a vu,osant s’approcher , et nettoie avec son pouce.Elle en a même pas peur, juste un peu déroutée.Puis avec sa langue il lèche son doigt, regard braqué dessus Marine est fascinée; picotement dans le bas du ventre, étrange sensation, agréable...
Ils se regardent dans les yeux,et naturellement Pierrick s’approche davantage pour l ’embrasser sur ces lèvres. Il se colle contre son corps,elle en tremble, et aura du mal à se laisser aller , mais il la met en confiance, et est très doux, car il aime donner,mais il n’a pas encore compris que Marine est pareille.
Ils se retrouvent nus, Pierrick écrasant une fraise entre ses beaux vallons et dont il boit le jus, ses pointes se figent, et des frissons parcourent son corps.Elle en veut encore ,il en pose par -ci par la , puis une dans son intimité, ou il la croque, délice calice ou il s’y niche,et dont elle plante ses doigts dans sa chevelure,et gémit...Il goute à son bouton rose,le happe, ,elle jouit...
Ils sont fous,ils se "tartinent" de crème, pâtissière, de chantilly, de sirop de rose que Marine fait couler sur son corps, ou à son tour elle prends les initiatives.Elle se délecte,telle une gourmande amante, qui prend le temps,en le léchant de partout, en l’aspirant de doux baisers, tantôt fougueux , tantôt langoureux.Il est au bord du précipice, mais se retient encore.
Elle pose sa bouche autour de son sexe,et le "dévore" goulument,puis la pointe de sa langue descend,encore plus bas et fait couler du sirop dont elle lèche avec avidité et frénésie...
La jouissance ,arrive, et explose, il est comblé,elle se sent bien, ne veut plus bouger,et rester encore un peu;Il continue de la caresser,il aime la douceur de sa peau,Il ferme les yeux.Elle le regarde, en profite encore un peu avant le départ; Car fatalement il y a un départ, à savoir si ils se reverront ?
il en restera un beau souvenir, et une rose posés sur la table séchée et conservée .. [/size]
Sam 23 Oct 2010, 10:16 par
caressedesyeux sur Les liaisons sulfureuses
Dernières précisions
Je suis un homme ("non aimé") qui aime une femme, que j’introduis en tant qu’être (masc, d’où mes accords, mais je n’ai pas mon texte sous les yeux en rédigeant ceci).
Pour le "induit(e)", je n’ai pas pensé à me renseigner sur ton genre en allant regarder ton profil. Je ne suis pas là pour regarder des profils, mais pour écrire. Donc par défaut, comme la langue française le préconise, je te demande ce qui t’a induit en erreur.
Pour le "induit(e)", je n’ai pas pensé à me renseigner sur ton genre en allant regarder ton profil. Je ne suis pas là pour regarder des profils, mais pour écrire. Donc par défaut, comme la langue française le préconise, je te demande ce qui t’a induit en erreur.
Sam 06 Fév 2010, 20:20 par
365.2425 sur La déclaration d'amour
Une des personnes les plus Importantes (L)
Tu sais un jour tu crois que tout va bien, que tu ne pourrais pas être plus heureuse, que tu as tout pour Toi, que tu as atteint le sommet; mais y’a toujours cette foutu absence. Tu sais, celle que tu causes. J’te jure; tu fous tout en l’air avec ces larmes que tu me fais verser malgré Moi, mais je t’en veux pas, non, je ne pourrai jamais t’en vouloir parce que tu m’as apporté trop de choses.
J’aimerai pouvoir inventer des mots pour te dire ce que je ressens; car ceux qui existent ne sont pas à la hauteur. Ton sourire me donne une force énorme; si tu savais. Cette force de continuer à vivre loin de Toi. Tu m’as montré ce qu’était L’amour; cet amour qui avec Toi, devient un bonheur. Parce que mon énergie, mes joies & peines, je les puise dans cet amour. Demain c’est la St Valentin, la fête des amoureux, la fête de L’amour; mais alors c’est aussi la Nôtre. Tu penses que ce mot, je le sortirai à n’importe quel moment ? Non. Parce que je crois en L’amour & je sais que le Nôtre est indescriptible & Pour toujours, c’est sûrement pour ça que je ne sais plus quels mots utiliser. Merde; j’vais pas tarder à tacher ma copie double. Pourquoi ? Question idiote; faut croire que mes yeux se mettent à piquer. Sans doute des larmes de fatigue. Oui, sans doute. Ou le fait d’avoir encore à supporter le poids de ton absence, après presque deux ans.
Certaines personnes pensent que la distance lasse les gens & L’amour qui les unis. Ces gens sont cons; les gens sont cons, c’est pas nouveau de toute façon. Tu te souviens quand tu m’as appelé & Tu m’as dit « Bonne fête »; quand je t’ai répondu que ma fête était en novembre & alors tu m’as dit « Mais c’est la fête des meilleurs amis ». C’est fou comme cette phrase a pu me faire plaisir & comme elle continue. Je souris parmi mes larmes en y repensant.
Tu sais bien que tu es une des seules à toujours avoir été franche avec Moi, quand tu me dis de ne pas pleurer; que sinon je vais commencer à chialer pour un rien mais j’ai BESOIN de pleurer, c’Est-ce qui me prouve que je ne t’oublies pas, que tu restes là & que le vide s’agrandit de jour en jour mais que malgré ça, Tu ne m’oublies pas; & que moi non plus. Parce que tu sais, si un jour, j’arrêterai de T’aimer, alors je tomberai mais tu ne seras plus là pour me relever. Parce que tu sais que T’aimer est sûrement une des plus belles choses au monde, que j’ai besoin de T’aimer. Mais que je me rassure, ce jour n’arrivera jamais; je le sais car rien de ce que tu pourrais faire n’arrêtera l’amour que j’ai pour Toi. Tu dois penser que je suis bizarre; la plupart des personnes ont peur que l’autre cesse de l’aimer & Moi, j’ai peur de l’inverse.
Mais je m’en veux déjà d’avoir pensé & écrit ça; c’est juste que ces mots que je cherche pour t’expliquer, mon Cœur, tout ce que j’ai au fond de moi & les choses à te dire n’existent pas encore. Et non, je n’ai pas peur que tu ne m’aimes plus; du moins PLUS peur car je sais que Tu m’aimes, car tu me le prouves & que si un jour, il t’arriverait de ne plus m’aimer ou de m’aimer moins, tu me le dirai & ça j’en ai la certitude parce que tu ne cache jamais les choses à dire, que tu trouves toujours les mots & que s’il y a bien une chose que tu ne fais pas, c’est vivre dans le mensonge. Donc NON; je n’ai pas peur; OUI, c’est dur de vivre loin de Toi mais notre amitié a L’amour que tu m’offres est si beau que je pourrai qu’être heureuse. Et puis les promesses qui se font entre amitié sont si rarement tenues que ça finit par décourager; c’est pour ça qu’avec Toi, je vis au jour le jour, même en ayant des rêves & des projets plein la tête.
Encore une fois un texte qui sert à rien; pour te dire quoi au final ? Que tu me rend heureuse comme personne, mon Cœur. & que c’est pas pour rien que je t’apelle comme ça mais car toutes les épreuves & émotions que je traverse, tu les ressens aussi; comme si tu étais à l’intérieur de mon cœur, à l’intérieur de Moi, en Moi. En fait, Tu es Moi.
& Tu es mon Bonheur.
J’aimerai pouvoir inventer des mots pour te dire ce que je ressens; car ceux qui existent ne sont pas à la hauteur. Ton sourire me donne une force énorme; si tu savais. Cette force de continuer à vivre loin de Toi. Tu m’as montré ce qu’était L’amour; cet amour qui avec Toi, devient un bonheur. Parce que mon énergie, mes joies & peines, je les puise dans cet amour. Demain c’est la St Valentin, la fête des amoureux, la fête de L’amour; mais alors c’est aussi la Nôtre. Tu penses que ce mot, je le sortirai à n’importe quel moment ? Non. Parce que je crois en L’amour & je sais que le Nôtre est indescriptible & Pour toujours, c’est sûrement pour ça que je ne sais plus quels mots utiliser. Merde; j’vais pas tarder à tacher ma copie double. Pourquoi ? Question idiote; faut croire que mes yeux se mettent à piquer. Sans doute des larmes de fatigue. Oui, sans doute. Ou le fait d’avoir encore à supporter le poids de ton absence, après presque deux ans.
Certaines personnes pensent que la distance lasse les gens & L’amour qui les unis. Ces gens sont cons; les gens sont cons, c’est pas nouveau de toute façon. Tu te souviens quand tu m’as appelé & Tu m’as dit « Bonne fête »; quand je t’ai répondu que ma fête était en novembre & alors tu m’as dit « Mais c’est la fête des meilleurs amis ». C’est fou comme cette phrase a pu me faire plaisir & comme elle continue. Je souris parmi mes larmes en y repensant.
Tu sais bien que tu es une des seules à toujours avoir été franche avec Moi, quand tu me dis de ne pas pleurer; que sinon je vais commencer à chialer pour un rien mais j’ai BESOIN de pleurer, c’Est-ce qui me prouve que je ne t’oublies pas, que tu restes là & que le vide s’agrandit de jour en jour mais que malgré ça, Tu ne m’oublies pas; & que moi non plus. Parce que tu sais, si un jour, j’arrêterai de T’aimer, alors je tomberai mais tu ne seras plus là pour me relever. Parce que tu sais que T’aimer est sûrement une des plus belles choses au monde, que j’ai besoin de T’aimer. Mais que je me rassure, ce jour n’arrivera jamais; je le sais car rien de ce que tu pourrais faire n’arrêtera l’amour que j’ai pour Toi. Tu dois penser que je suis bizarre; la plupart des personnes ont peur que l’autre cesse de l’aimer & Moi, j’ai peur de l’inverse.
Mais je m’en veux déjà d’avoir pensé & écrit ça; c’est juste que ces mots que je cherche pour t’expliquer, mon Cœur, tout ce que j’ai au fond de moi & les choses à te dire n’existent pas encore. Et non, je n’ai pas peur que tu ne m’aimes plus; du moins PLUS peur car je sais que Tu m’aimes, car tu me le prouves & que si un jour, il t’arriverait de ne plus m’aimer ou de m’aimer moins, tu me le dirai & ça j’en ai la certitude parce que tu ne cache jamais les choses à dire, que tu trouves toujours les mots & que s’il y a bien une chose que tu ne fais pas, c’est vivre dans le mensonge. Donc NON; je n’ai pas peur; OUI, c’est dur de vivre loin de Toi mais notre amitié a L’amour que tu m’offres est si beau que je pourrai qu’être heureuse. Et puis les promesses qui se font entre amitié sont si rarement tenues que ça finit par décourager; c’est pour ça qu’avec Toi, je vis au jour le jour, même en ayant des rêves & des projets plein la tête.
Encore une fois un texte qui sert à rien; pour te dire quoi au final ? Que tu me rend heureuse comme personne, mon Cœur. & que c’est pas pour rien que je t’apelle comme ça mais car toutes les épreuves & émotions que je traverse, tu les ressens aussi; comme si tu étais à l’intérieur de mon cœur, à l’intérieur de Moi, en Moi. En fait, Tu es Moi.
& Tu es mon Bonheur.
Jeu 21 Fév 2008, 20:24 par
true72 sur Mille choses
Pourquoi tu pars ?
Texte écrit sur le vif à mes enfants. Trop petits pour l’instant, je leur lirai lus tard...
Mes petits bouts, pleins de vie, tous fous, tous choux, on était bien là, tous ensemble. Maman et moi à vous regarder grandir, vous, à ne vous soucier de rien, à profiter de tout. Combien de fous rires j’ai pu avoir devant vos grimaces? Combien de parties de cache-cache on a pu faire ? Vous, les mains sur les yeux, vous croyant cachés de tous.
Comme tout enfant de votre âge, vous voulez être déjà grand, c’est des "Je suis grand maintenant", des "je sais le faire maintenant" à longueur de journée. Je m’émerveille devant votre soif de grandir, mais je vous dis que vous avez bien le temps de mûrir de profiter du moment présent. Parce que la vie n’est pas aussi facile que vous le croyez : c’est normal, à votre âge, ce n’est pas votre problème mais plutôt ceux des adultes. Vous voyez, c’est pas toujours marrant d’être un adulte !
Vous vous imaginez sans doute qu’être amoureux, c’est être comme papa et maman. Normalement, ça doit être comme cela. Normalement... On ne vous dit rien, mais ce n’est pas ma conception de l’amour. Je veux vous offrir une autre image de ce sentiment si merveilleux et pour cela, maman et moi avons pris des chemins qui nous ont séparés. Nous voulons nous aussi être heureux. Et... ca arrive parfois, notre bonheur est ailleurs. C’est pour cela que je pars, je m’en vais le chercher. Et maman aussi le trouvera aussi. Vous l’aurez compris, je ne pars pas à cause de vous, vous n’avez rien fait de mal, même pas une toute petite bêtise de rien du tout. J’ai seulement envie que vous grandissiez dans un foyer plein d’amour, d’un vrai amour pas d’un pour faire semblant, dans une famille sans tempête ni orage. Je sais que vous avez peur de l’orage, permettez-moi de trouver le bonheur, je soufflerai alors sur ces gros nuages noirs.
Ne soyez pas tristes, je reste votre "papou chéri d’amour" pour toujours, quoiqu’il arrive. Tout comme toi xxx, n’oublie pas que xxx restera toujours ton frère, même s’il te donne tout le temps des coups de pieds. Et toi Ethan, ton grand frère sera toujours là pour toi, quand tu le cherches d’un regard perdu et inquiet, tout seul, dans la cour d’école. Soyez bien assurés que je ne vous abandonne pas, je ne vous abandonnerai jamais mes chéris. Je pars juste un peu plus loin, mais pas trop loin quand même. En tout cas, je reste tout près de votre coeur et je viendrai toutes les nuits dans vos rêves pour chasser les loups qui font peur.
Et maintenant, combien de fois j’ai le coeur serré en pensant à vous ? Combien de fois je retiens mes larmes en vous regardant jouer ? A chaque moment, je veux vous épargner ma peine. Tout le temps, je veux vous dire que je vous aime.
Papa
Mes petits bouts, pleins de vie, tous fous, tous choux, on était bien là, tous ensemble. Maman et moi à vous regarder grandir, vous, à ne vous soucier de rien, à profiter de tout. Combien de fous rires j’ai pu avoir devant vos grimaces? Combien de parties de cache-cache on a pu faire ? Vous, les mains sur les yeux, vous croyant cachés de tous.
Comme tout enfant de votre âge, vous voulez être déjà grand, c’est des "Je suis grand maintenant", des "je sais le faire maintenant" à longueur de journée. Je m’émerveille devant votre soif de grandir, mais je vous dis que vous avez bien le temps de mûrir de profiter du moment présent. Parce que la vie n’est pas aussi facile que vous le croyez : c’est normal, à votre âge, ce n’est pas votre problème mais plutôt ceux des adultes. Vous voyez, c’est pas toujours marrant d’être un adulte !
Vous vous imaginez sans doute qu’être amoureux, c’est être comme papa et maman. Normalement, ça doit être comme cela. Normalement... On ne vous dit rien, mais ce n’est pas ma conception de l’amour. Je veux vous offrir une autre image de ce sentiment si merveilleux et pour cela, maman et moi avons pris des chemins qui nous ont séparés. Nous voulons nous aussi être heureux. Et... ca arrive parfois, notre bonheur est ailleurs. C’est pour cela que je pars, je m’en vais le chercher. Et maman aussi le trouvera aussi. Vous l’aurez compris, je ne pars pas à cause de vous, vous n’avez rien fait de mal, même pas une toute petite bêtise de rien du tout. J’ai seulement envie que vous grandissiez dans un foyer plein d’amour, d’un vrai amour pas d’un pour faire semblant, dans une famille sans tempête ni orage. Je sais que vous avez peur de l’orage, permettez-moi de trouver le bonheur, je soufflerai alors sur ces gros nuages noirs.
Ne soyez pas tristes, je reste votre "papou chéri d’amour" pour toujours, quoiqu’il arrive. Tout comme toi xxx, n’oublie pas que xxx restera toujours ton frère, même s’il te donne tout le temps des coups de pieds. Et toi Ethan, ton grand frère sera toujours là pour toi, quand tu le cherches d’un regard perdu et inquiet, tout seul, dans la cour d’école. Soyez bien assurés que je ne vous abandonne pas, je ne vous abandonnerai jamais mes chéris. Je pars juste un peu plus loin, mais pas trop loin quand même. En tout cas, je reste tout près de votre coeur et je viendrai toutes les nuits dans vos rêves pour chasser les loups qui font peur.
Et maintenant, combien de fois j’ai le coeur serré en pensant à vous ? Combien de fois je retiens mes larmes en vous regardant jouer ? A chaque moment, je veux vous épargner ma peine. Tout le temps, je veux vous dire que je vous aime.
Papa
Lun 29 Oct 2007, 07:05 par
AuBonheurDeMaDouce sur Parler d'amour
Souffrance ( 2 )...
Respecter l’autre, c’est le considérer en tant
qu’être humain et reconnaître la souffrance qu’on lui inflige.
Marie-France Hirigoyen
Extrait de " Le harcèlement moral "
qu’être humain et reconnaître la souffrance qu’on lui inflige.
Marie-France Hirigoyen
Extrait de " Le harcèlement moral "
Jeu 12 Juil 2007, 15:48 par
Satine sur Mille choses
Dulcinée, ô amour d'une nuit éternelle
Dulcinée, ô amour d’une nuit éternelle
Je passe mon temps à rêver de ton âme fusionnelle
D’un amour passif je jouis de ton parfum étrange
Et je me nourris de toi dans cette chambre, toi mon ange
Ma vertu et ma joie qui comblent mon trépas
Et qui me fait vivre une vie
Illuminée, illuminante et magique
La douceur de l’espoir me réveille ces nuits
De charme et d’amour je pense, la fusion passionnelle
De nos deux corps dans l’entrain d’un joyeux moulin
Quelle importance à tant d’ironie, à tant d’ignorance
Tu ne sais pas à quel point je tiens à toi
Et par delà les obstacles je te rejoindrai toi
Mon âme et ma foi
Mon ange, ma déesse je ne veux qu’être ton toi
Me nicher dans le creux de ton sein
Parcourir du regard, les formes qui ondulent ton corps
Me nourrir de ton parfum
Me sentir près de toi, en toi, faisant partie de toi
Maladie éternelle, souffrance immortelle
Succombe en moi toi et elle
Je ne peux quérir aucune aide que celle apportée par un seul de tes baisers
Je passe mon temps à rêver de ton âme fusionnelle
D’un amour passif je jouis de ton parfum étrange
Et je me nourris de toi dans cette chambre, toi mon ange
Ma vertu et ma joie qui comblent mon trépas
Et qui me fait vivre une vie
Illuminée, illuminante et magique
La douceur de l’espoir me réveille ces nuits
De charme et d’amour je pense, la fusion passionnelle
De nos deux corps dans l’entrain d’un joyeux moulin
Quelle importance à tant d’ironie, à tant d’ignorance
Tu ne sais pas à quel point je tiens à toi
Et par delà les obstacles je te rejoindrai toi
Mon âme et ma foi
Mon ange, ma déesse je ne veux qu’être ton toi
Me nicher dans le creux de ton sein
Parcourir du regard, les formes qui ondulent ton corps
Me nourrir de ton parfum
Me sentir près de toi, en toi, faisant partie de toi
Maladie éternelle, souffrance immortelle
Succombe en moi toi et elle
Je ne peux quérir aucune aide que celle apportée par un seul de tes baisers

Lun 24 Juil 2006, 08:59 par
kick sur L'amour en vrac
Au risque de me perdre.
Dans cette histoire, qui n’en est pas une,
sans arrêt, ressourcer ma plume.
Dans cet espoir qui grandit toujours,
avec art, esquisser l’amour.
Dans cette attente si lancinante,
pas d’autre choix qu’être patiente!
Dans cette volonté de te séduire,
ne pas compter tous mes soupirs.
Dans cette envie que j’ai de toi,
perdre mon coeur, et plus que ça.
sans arrêt, ressourcer ma plume.
Dans cet espoir qui grandit toujours,
avec art, esquisser l’amour.
Dans cette attente si lancinante,
pas d’autre choix qu’être patiente!
Dans cette volonté de te séduire,
ne pas compter tous mes soupirs.
Dans cette envie que j’ai de toi,
perdre mon coeur, et plus que ça.
Dim 11 Sep 2005, 19:49 par
syolann sur La séduction
Quand tu en seras là...
...tu sauras que c’est Elle...parce que ta première pensée au réveil sera pour Elle; parce qu’en la retrouvant après une séparation d’à peine une heure, ton coeur se mettra à battre un peu plus vite; parce qu’en la voyant, tu oublieras les moments passés sans Elle; parce que tu auras envie de la prendre dans tes bras n’importe quand, quelle que soit l’heure, quel que soit l’endroit; parce que lui dire "je t’aime..tu es celle.." te viendra naturellement et sans retenue, sans craindre de lui paraître un peu dépendante, un peu faible et plus qu’amoureuse...
Parce qu’être dans ses bras, t’y abandonner et t’y perdre, la tenir sans vouloir la lacher te semblera évident...parce que ton amour pour Elle sera sans condition et entier...et pour une multitude de petits détails qui te feront sourire, décrocher le téléphone juste pour entendre sa voix et trouver une excuse pour ne pas lui avouer la vraie raison de ton appel, t’émouvoir comme tu ne pensais plus pouvoir l’être...là, tu sauras...
Parce qu’être dans ses bras, t’y abandonner et t’y perdre, la tenir sans vouloir la lacher te semblera évident...parce que ton amour pour Elle sera sans condition et entier...et pour une multitude de petits détails qui te feront sourire, décrocher le téléphone juste pour entendre sa voix et trouver une excuse pour ne pas lui avouer la vraie raison de ton appel, t’émouvoir comme tu ne pensais plus pouvoir l’être...là, tu sauras...
Mer 31 Août 2005, 08:22 par
danslalune sur Parler d'amour
L'amour qui rend malade
J’ai bien reçu ton S.O.S. d’un amoureux transit en détresse ! Quels que soient les conseils que l’on pourra te donner, tu ne les accepteras pas facilement, car comme le dit un dicton populaire, "le coeur a ses raisons que la raison ignore".
Néanmoins, dans ton cas, il serait préférable de ne pas être binaire. Prend ce que cette femme te donne, mais n’attend rien d’elle. Agir ainsi est la position la plus avantageuse pour toi. Si elle se fout de toi, tu auras passé des bons moments sans y laisser de plumes. Et si elle a besoin de plus de temps pour découvrir quel homme magnifique tu recèles, tu ne te seras pas rendu malade à l’attendre durant ce temps là.
J’aurais aimé te dire des choses plus mielleuses, mais mon petit doigt me dit qu’un bon avis pragmatique ne peut qu’être la bouée dont tu as besoin. Pour le reste, ton coeur le décorera.
Néanmoins, dans ton cas, il serait préférable de ne pas être binaire. Prend ce que cette femme te donne, mais n’attend rien d’elle. Agir ainsi est la position la plus avantageuse pour toi. Si elle se fout de toi, tu auras passé des bons moments sans y laisser de plumes. Et si elle a besoin de plus de temps pour découvrir quel homme magnifique tu recèles, tu ne te seras pas rendu malade à l’attendre durant ce temps là.
J’aurais aimé te dire des choses plus mielleuses, mais mon petit doigt me dit qu’un bon avis pragmatique ne peut qu’être la bouée dont tu as besoin. Pour le reste, ton coeur le décorera.
Lun 17 Jan 2005, 14:20 par
PetitPrince sur Amour internet
à venir ?
L’avenir est aux femmes signifiait peut-être tout simplement que nous avons beaucoup de choses à faire nous, les femmes... alors que les hommes ont déjà gaspillé durant ces millénaires leur avenir...
Sur le même thème, Aragon disait :
Renaud a amélioré cette phrase en ajoutant que :
PetitPrince quant à lui a dit :
J’ai un peu de mal à croire qu’être le seul mâle a pouvoir satisfaire les désirs d’autant de femmes te fasse peur PetitPrince...
Où sont toutes ces belles promesses??? Fini le Dieu du sexe??
Ah lalala... ces hommes... toujours de belles promesses, mais à l’arrivée, il ne reste plus personne....
La marquise ... madame Irma

Sur le même thème, Aragon disait :
Citation: |
La femme est l’avenir de l’homme |
Renaud a amélioré cette phrase en ajoutant que :
Citation: |
La femme est l’avenir des cons et l’homme n’est l’avenir de rien... |
PetitPrince quant à lui a dit :
Citation: |
Une humanité composée exclusivement de femmes ? Si je dois être le seul homme qui reste au milieu de cette horreur, laissez moi un revolver avec une seule balle, de grâce. |
J’ai un peu de mal à croire qu’être le seul mâle a pouvoir satisfaire les désirs d’autant de femmes te fasse peur PetitPrince...



La marquise ... madame Irma

Mer 25 Fév 2004, 12:18 par
la marquise de sade sur Citations
Ecrire sur qu’être

Il y a 11 textes utilisant le mot qu’être. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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