à venir ?

L’avenir est aux femmes signifiait peut-être tout simplement que nous avons beaucoup de choses à faire nous, les femmes... alors que les hommes ont déjà gaspillé durant ces millénaires leur avenir... confiant

Sur le même thème, Aragon disait :
Citation:
La femme est l’avenir de l’homme


Renaud a amélioré cette phrase en ajoutant que :
Citation:
La femme est l’avenir des cons et l’homme n’est l’avenir de rien...



PetitPrince à lui a dit :
Citation:
Une humanité composée exclusivement de femmes ? Si je dois être le seul homme qui reste au milieu de cette horreur, laissez moi un revolver avec une seule balle, de grâce.


J’ai un peu de mal à croire qu’être le seul mâle a pouvoir satisfaire les désirs d’autant de femmes te fasse peur PetitPrince... cling Où sont toutes ces belles promesses??? Fini le Dieu du sexe?? grin Ah lalala... ces hommes... toujours de belles promesses, mais à l’arrivée, il ne reste plus personne.... Diable

La marquise ... madame Irma prie
Mer 25 Fév 2004, 12:18 par la marquise de sade sur Citations

Ohhhh, des dessous !

Combien de fois nous sommes nous tous tordus le cou pour contempler le corps de reve de ces femmes en sous vêtement hantant nos arrets d’autobus. On s’en cogne à la vitre.

Ahhhh, les sous-vétements. Ce sont les derniers remparts de notre nudité, et pourtant on dirait bien qu’ils n’existent que pour être enlevés rolleyes

Mais revenons à tes moutons, mademoiselle la petite curieuse :Le sous-vêtements masculin, et plus particulièrement les notres.

Alors, alors. En régle générale je porte des caleçons. Souples, et confortable, leur coupe droite sied aux galbe de mes cuisses. Ils ne faut pas qu’ils soient trop long surtout, histoire de ne pas faire pyjama ou zavata. Ceux de chez Celio me plaisent tout particulièrement. cool

Un peu plus rare , le shorty. Disons le, le shorty c’est trés bien quand on va devoir se mettre nu. Il en jettes un maximum mon beau petit cul dans ce vetement seillant, mais question confort, ben je ne trouve pas ca vraimment terrible ouin

Le slip de rigueur pour le jogging. Un peu comme vous pour le soutien gorge sportif, c’est surtout histoire d’être bien tenu grin

Et enfin, c’est "rien du tout sous mon jogging", quand je vais faire ma lessive à la laverie. C’est là le petit plaisir de se promener finalement presque nu dans la rue timide

Quant au string ... bafr
Ven 06 Fév 2004, 14:50 par PetitPrince sur L'amour en vrac

ZE QUESTION : De quoi les filles veulent-elles qu'on parle ?

MaStErGrAhAm a écrit:

Question de ca, en me trimballant sur le chat j’y ait vu des phenomenes d abruticité (ca se dit ca? pas sur passur2 ahmoui ) notoire qui m’ont valus quelques moments de fou rire....

La stupidité masculine vue sous son meilleur angle...


On dit "abrutissement" amuse Mais vu le haut grade que certains ont acquis, je crois que tu peux employer "abruticité" ils ne verront pas que ça n’existe pas Diable

aux moyens de séduction utilisés sur les rooms par ces messieurs, une question subsiste... tsur
Pourquoi continuent-ils dans cette voie, s’ils ne récoltent que des rateaux... à moins que... certaines de mes congénères répondent positivement à leurs méthodes cling

La marquise... euh.... en quête de réponse??
Lun 02 Fév 2004, 17:53 par la marquise de sade sur Le grimoire d'amour

Pizzeria La Roma, bonsoir!

Un soir d’été, nous nous sommes retrouvés entre amis pour sortir. Nous avons entamé la soirée par un apéritif bien arrosé, à rire au bord de la piscine, à danser un peu, à discuter de choses et d’autres.
Nous étions vraiment une fine équipe.
Mais à force de faire les « cons » nous avions oublié que nous n’avions pas prévu de quoi manger, il nous fallut alors songer à trouver un restaurant qui accepterait à cette heure avancé de province, un groupe de 10 personnes turbulentes sous les effets de quelques verres d’alcool.
Des uns et des autres vinrent des avis diversifiés, nous appelâmes quelques restaurants, essuyant malheureusement, des refus à chaque fois.
Je pris le téléphone et appelais un pizzeria sans grande réputation c’est sûr, mais qui nous accepterait peut être.
Tout le monde d’un air moqueur me disait :
«Vas y use de ta voie sensuelle, amadoue les, sois langoureuse, ils ne vont pas pouvoir te refuser».
Je n’avais pas besoin d’adapter ma voie, elle est, a ce qu’il m’a été dit à mainte reprise, crae naturellement, merci Maman et Papa de m’avoir donner cette voie qui semble plaire à tout le monde, je reconnais que cela m’a été utile à plus d’une reprise.

- Pizzeria La Roma, bonsoir !
- Bonsoir, je désirais savoir si vous accepteriez un groupe malgré l’heure avancée de la soirée ?
- Combien de personnes êtes vous, me répondit mon correspondant, d’une voie charmante avec un léger accent italien ?
- Heu ! Nous sommes 10 personnes ! S’il vous plait ne nous refusez pas, nous n’avons trouver aucun restaurant pour nous accueillir !
- Il est effectivement un peu tard, en pleine semaine nous fermons assez tôt, le restaurant est presque vide. Vous patientez, je vais demander à mon cuisinier s’il accepte de rester encore un peu ?
- Vous êtes adorable, je ne quitte pas.

Mes amis, en face se moquaient de moi rapport au cinéma que je venais de faire à mon correspondant.
- Si vous arrivez tout de suite, mon cuisiniez reste, mais venez vraiment rapidement.
- Le temps de prendre nos voitures et nous sommes là, merci, vraiment merci ! Je maintiens, vous êtes vraiment adorable !

Aussitôt dit, aussitôt fait, le temps de nous engouffrer dans les voitures, un quart d’heure après nous étions arrivés à la Pizzeria.
A la queue leu leu nous sommes entrés, accueillis gentiment par celui qui semblait être le patron, ma fois pas laid du tout cet homme, tout du moins ce que je pouvais en voir d’où j’étais, la dernière de la queue. En m’approchant, je pouvais progressivement percevoir sa voie, je commençais à me rendre compte qu’il s’agissait de mon correspondant. Une charmante voie, avec un doux accent italien, et bel homme, hmmm quelle chance qu’il ait accepter de nous recevoir, me dis-je.
- Bonsoir, Mademoiselle ! me dit-il en prenant ma main qu’il porta à ses lèvres pour y déposer un baiser.
- Suis-je toujours aussi ‘adorable’ ? me lança-t-il ?

Que répondre ? Comment échapper alors à cette attaque de front, ses yeux dans mes yeux, ma main encore dans sa main, je sentais une bouffée de chaleur monter en moi, mes joues alors devaient être bien rosies face à une telle audace.
Sans me démonter pour autant, gardant mes yeux dans ses yeux je lui décrochait mon plus doux sourire, serrant sa main je l’attirais à moi, sur sa joue je lui déposait un baiser et lui susurrais à l’oreille un remercie en lui demandant de venir trinquer avec nous pour l’apéritif. Ce qu’il accepta avec ce qui semblait être un air de plaisir.
J’eu alors l’impression que la soirée ne faisait que commencer.
Lorsque j’eu rejoins mes amis à la table, je fus, il va de soi, le sujet des railleries :
- Tu tapes à l’oreille plutôt qu’à l’œil toi! me lança l’un.
- Egale à toi-même ! me lança l’autre.
- Vas y ma poule, profite de la vie!
- Veinarde! les copines me dirent.

Il est vrai que ce charmant avait, de prime abords, tout ce qu’il fallait pour m’attirer, le regard chaud méditerranéen, avec cet air de vous déshabiller de haut en bas; ce teint mat qui attire l’œil de toute les femmes, surtout lorsque de belle dents blanches scintillent en contraste au moindre sourire; un contact de peau, de ses mains, doux; un contact de ses lèvres, déjà un doux souvenir de celles-ci effleurant la peau de ma main; et un corps…. Tout pour plaire cet homme.
Je me retrouvais alors assise contre le mur, face au restaurant comme en première place face à une scène, et je pouvais déjà me rendre compte qu’il ne cessait de m’épier de son regard tueur.
Oui, la soirée ne faisait que commencer.

Il vint alors vers nous pour prendre la commande des apéritifs, se plantant juste au bout de la table où je me trouvais. Il aurait pu aller à l’autre bout, mais non c’est précisément là ou je me trouvais qu’il a choisi de venir, aurait il eu aussi un déclic? Tout semblait déjà le laisser entendre. Alors mon joli, sans problème, à nous deux.

Une fois nos commande notées, celle de nos repas de même pour libérer le cuisinier, il allait s’en aller s’occuper de tout, je l’ai attrapé par sa chemise :
- mais vous trinquez avec nous, vous me l’avez promis?
- oui, j’arriverais en même temps que vos apéritifs, sans aucun problème.
Il continua son chemin et je pus, de dos qu’il était, admirer son fessier. Sous son pantalon, je pouvais me rendre compte qu’il était bien musclé, que cela devait être bon de le tenir dans ses mains… calme tes ardeurs ma belle, rien n’est encore joué, même si son regard te parle déjà, peut être a-t-il femme et enfants qui attendent son retour au foyer….
Occupée que j’étais à la discussion avec mes amis, je ne pouvais m’empêcher de le regarder du coin de l’œil, tout comme lui avait l’air de le faire à mon attention. Il arrivait vers nous avec son plateau chargé de nos verres d’apéritifs. Il commença à servir à l’autre bout de la table pour finir avec mon verre qu’il me tendit avec un grand sourire. Il posa le plateau sur la table voisine, pris le dernier verre restant dessus, le sien, une chaise et vint s’asseoir à mon bout de table, seul le pied de celle-ci était entre nous. Nous trinquâmes tous, lorsque vint notre tour, c’est, yeux dans les yeux, que nous le fîmes, je portais le verre à ma bouche légèrement entrouverte et pris une légère lampée de martini, enlevant mon verre, sous son regard accroché à moi, de ma langue je me mis à lécher mes lèvres appréciant la sensation du sucre.
Les discussions entre les uns et les autres se poursuivaient, je ne les entendais plus que vaguement, j’étais ailleurs, à imaginer d’autres choses, et j’avais en cet instant la certitude que je n’étais pas la seule.
Il fallait maintenant lancer la machine, ne pas laisser la banalité prendre place, je m’approchais plus de la table, les fesses au bord de ma chaise, ainsi mes jambes croisées ont pu vaincre la barrière du pied de la table, et sa jambe gauche se retrouva collée à la mienne. A ce contact, je sentis qu’il n’y mit aucune résistance, bien au contraire, il accentua le contact. Tout au long de l’apéritif, nous sommes restés ainsi, avec quelques mouvements de caresses parfois entre nos deux jambes, j’aimais déjà ce contact malgré son pantalon qui était ainsi la dernière barrière entre nos peaux.

Mes amis, n’étant pas là que pour rire, commencèrent à manifester une légère impatience à leur faim. Il est vrai qu’avec seulement quelques alcools ingurgités depuis le début de la soirée, les estomacs devaient commencer à crier famine, de manger les calmerait un peu aussi.
Mon beau patron s’est alors levé, profitant de cet instant, sa main au rebord de sa chaise il caressa mon genoux, ce fut un coup d’électricité qui me parcouru tant il était inattendu, et, dans mon ventre, de cette caresse je ressentis les effets accentués.

Je me suis alors levée pour aller au toilettes, non sans, au passage lancer un regard à mon bel italien.
Je me suis rafraîchie le visage, histoire de calmer la chaleur qui m’envahissait lorsque j’entendis la porte s’ouvrir. Dans la glace je le vis rentrer et se diriger vers moi, je me suis retourner et contre moi il s’est collé, de sa bouche il s’empara de ma bouche, il pris mes hanches entre ses mains, et me plaqua contre son ventre. Je sentis son envie contre moi, sa langue fouillant ma bouche, ses mains sur ma poitrine. L’instant était fou, pas une seconde pour réfléchir à la situation cocasse, juste prendre cette fougue et s’y laisser aller le temps qu’elle durera.
Il quitta ma bouche, plongea son regard dans le mien et de sa charmante voie, avec toujours cet accent bien italien, il me dit :
- Je ne regrette pas de vous avoir dit oui. Tu es vraiment très belle, la soirée ne fait que commencer.
Il tourna les talons et disparu comme il était apparu, me laissant là toute chaude, toute humide qu’il m’avait rendue entre mes jambes, toute excitée que je pouvais l’être alors.

Comme ça, mon bel hidalgo, avait la même impression que moi…. et il n’avait pas tort. J’étais d’un coup sur une autre planète. De retour à la table, certains de mes amis me regardaient interrogateurs. Ils me connaissent bien et savent que je ne me retiendrais pas d’aller au bout de mes plaisirs. J’aime séduire, j’aime la séduction, ce jeu qui fait monter le feu. Dans le respect des uns et des autres, ils savent ce dont je suis capable, mais pas de les abandonnés pour un bel homme, quel qu’il soit, je tisse ma toile tranquillement, tout en restant présente auprès d’eux, et toujours à la fin de nos soirées, mes jeux de séduction arrivant la plupart du temps à leur fin, je les laisse rentrer et m’attarde sans jamais de faux prétextes. Ils avaient là, bien compris que cette soirée se finirait des plus agréablement pour moi, et je savais que demain mon téléphone sonnerait non stop des appels de tous ces vilains curieux de vouloir connaître l’aboutissement.
Sourires complices, rires, et railleries, nous attaquions notre repas.
Etant donné le nombre d’assiettes à servir, les plats chauds arrivant, le cuisinier ayant fini ainsi son travail, vint donner un coup de main à mon bel italien pour le service. Lorsqu’il servit ma voisine de table, je ne sais comment il s’y pris, mais de l’assiette tout le contenu tomba, une partie sur la table, une autre par terre, et ma jupe n’y échappa pas. Les rires fusèrent tant que mon italien arriva aussitôt avec un regard d’interrogation devant l’air pantois de son cuisinier.
Et moi je n’arrêtais plus de rire, de ce rire nerveux face à une situation à la fois délicate, bête, gênante, comme lorsque l’on tombe dans la rue et que tout le monde vous regarde. Je ne pouvais interrompre ce rire qui devint communicatif, il se mit de même à rire à pleines dents. Mais il repris son rôle de patron et se dirigea vers le comptoir pour prendre un torchon qu’il passa sous l’eau chaude, revint et me le donna. Cela ne suffit pas à faire disparaître le résultat de cet arrosage alimentaire. Il s’en rendit compte, me pris par la main, et m’emmena je ne savais encore où, se retournant pour dire à son cuisinier qu’il pouvait s’en aller.
Mar 20 Jan 2004, 23:11 par Nébuleuse sur Les liaisons sulfureuses

de bon matin

Pour faire suite à mon précédent post dans les liaisons sulfureuses je vous donne la suite, imaginée par la damoiselle à qui j’avais originellement destiné "j’irai au bout de ce rêve". Biensur le contenu ne m’engage en rien puisque ce n’est point moi qui l’ai rédigé confiant ...excusez les fautes d’orthographe mais cette personne n’est pas française (et nous savons bien que les étrangers ont parfois du mal avec la langue française ...oui oui c’est à toi que je parle grin )... finalement il n’y a pas tant de fautes que ça, hugo s’en remettra hihi ...j’ai vraiment une vie "trépignante" lol


Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.

Je me faisais un peu de soucis à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.

Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.

Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.

Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?

Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.

Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.

Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.

Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.

Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Mar 20 Jan 2004, 08:13 par la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses

De quoi donc?

Grande question qui ne pourra être résolue par l’intervention que d’une seule et unique personne, mais qui peut effectivement ouvrir un débat avec l’avis que chacun, chacune, pourra donner sur le sujet.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.

Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!

    • Qui ouvre le contact en premier, tout d’abord ?
    • Comment le contact se fait il ?
    • Dans quelles circonstances le contact a-t-il lieu?

Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?

Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
    • en boîte de nuit
    • sur un tchate
    • lors d’une soirée chez des amis

Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.

Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
    • Tout d’abord la lassitude des messages que l’on peut dire "BATEAU"
    • le "zapping" incontournable de ces dames
    • quels sont les premiers mots à ne pas avoir

Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la recherche, le commun déplait fortement.

Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
    • "tu fais quoi dans la vie?"
    • "t’es mariée?"
    • "ASV"
    • "un scenario?"
    • "tu baises?"
    • "etc...?"

Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Jeu 15 Jan 2004, 01:41 par Ri1kedesBêtises sur Le grimoire d'amour

Incident voyageur....

Hier au détour d’un texto, j’apprenais que les transports en commun parisiens circulaient mal en raison d’un « incident voyageur » …
Déjà j’imaginais une prise de tête entre un contrôleur et un passager un peu énervé qui n’avait pas de titre de transport… Et bien non, c’était un peu plus que cela … un suicidé…

De qui, comment, pourquoi, je n’en sais rien et je ne veux pas le savoir, ce quidam est et restera pour moi un inconnu. De toute façon, que puis-je encore pour lui ? Et lui, peut-il encore quelque chose pour moi ?

Et bien oui. Inconsciemment il a fait quelque chose pour moi. Merci monsieur ou madame l’Inconnu.

Merci de me rappeler que MOI je suis vivante, merci de me rappeler que moi j’existe.

Merci de me rappeler que moi je suis vivante aujourd’hui, mais que demain je ne le serai peut-être plus.

Merci de me rappeler que je suis la Marquise de Sade, avec toute la symbolique que cela comporte, parfois tendre et sensible, parfois perverse et sans retenue, n’en déplaisent à certains et encore plus à certaines.

Merci de me rappeler que 12 années de manipulation, de violence, de viol, de peur et de silence m’ont fait naître, plus forte, plus confiante et plus rêveuse que jamais.

Merci de me rappeler que si je veux voir le soleil le matin quand je me lève, j’en suis seule maître, malgré le froid , la pluie et le vent de ma Belgique natale.

Merci de me rappeler que je n’ai jamais eu ni dieu ni maître pour me faire courber l’échine, et que celui que cela dérange peut passer son chemin.

Merci de me rappeler que dans la vie, rien n’est donné mais que tout reste à créer…

Merci monsieur ou madame l’inconnu …

Quant à l’auteur de ce texto… merci de me rappeler que l’avenir est à celui qui croit en lui, que le bonheur est à celui qui affronte la vie et que moi…. Je suis vivante…

et que moi, j’existe aussi dans le réel …



La marquise…. Imperturbable rêveuse… va falloir vous y faire !!!
Mar 13 Jan 2004, 10:42 par la marquise de sade sur Un monde parfait

Re: Jean Cocteau - Le verbe aimer

PetitPrince a écrit:
Le verbe aimer est un des plus difficile à conjuguer : son passé n’est pas simple, son présent n’est qu’indicatif et son futur est toujours conditionnel.

Jean Cocteau


Son passé était composé, quelque fois imparfait, son présent est à lui impératif, et son futur je l’espère sera simple et parfait !
Mar 09 Déc 2003, 14:16 par PetitPrince sur Citations

Le massage de pieds

Paf, ça y est ! J’ai jeté anodinement ce qui fait trembler toutes les nations. Les chefs d’état en ont peur et le considèrent comme le germe du contre pouvoir, je cite : le massage des pieds.

Pour les pauvres malheureux qui restent coits à l’évocation de "massage de pieds", je les renvoie à Pulp Fiction et au désopilant mais néanmoins édifiant dialogue entre John Travolta et Samuel L. Jackson à l’importance d’un massage de pieds (un mec en meurt tout de même...).

Le massage de pied, répond à la règle sacro-sainte de tous les massages : il faut avoir ENVIE de le faire. Si tu n’as pas envie, passes ton chemin, Ô mécréant.

Tu commenceras par les orteils, doucement, un à un tu les presseras avec la pulpe de tes doigts, de façon à en éprouver toi-même du plaisir. Et puis, tu passeras pour finir, sans insister surtout, banane, un doigt entre chaque orteil ainsi massé.

Tu remonteras sur la base des orteils et composeras une mélodie plutôt musclée avec cette partie du pied qui supporte ton poids (eh oui) toute la journée. De la base du gros orteil vers la base du petit orteil, c’est pas mal, d’autant que si tu es un fin limier, tu te douteras que la tranche extérieure du pied est dans la droite continuité de ce que tu viens de faire.

Hmmmmm, la suite est un délice, tu es sur la plante. Force légère et pression du pouce seront tes plus fidèles alliés. Ne pas chatouiller, ne pas écraser, tout est dans l’écoute. Au passage, je te signale que à cet endroit-là, tu lui masses probablement les gonades...

Le talon, ah ! le talon, souvent, il/elle se réveille en un brusque "Ohhhhh, c’est trop bon". Tu le prends à pleine main dans l’intention de déloger cette masse de chair que tu sens rouler. Il se peut qu’à ce moment là le massage s’arrête, pour passer à autre chose de plus... intime.

Fainéant(e), ne t’arrête pas en si bon chemin et finit ce que tu as commencé. Le pied, contrairement aux idées reçues, s’arrête en dessous du genou. Il te faut maintenant, t’occuper de la cheville de ton/ta partenaire. A deux mains, tu l’entoures, simules une "brûlure indienne". Cool hein, sois pas violent, juste ferme. Ensuite, tu remontes sur le mollet que tu "écrases". Que du bonheur !

Ca t’a plu ? Elle/il te demande ta main. T’affole pas, faut passer à l’autre pied !
Sam 29 Nov 2003, 19:06 par PetitPrince sur Le grimoire d'amour

Re: Tout prendre

PetitPrince a écrit:
Tu as jamais entendu ceux qui disent que dans la vie on ne peut pas tout avoir, (genre le beurre, l’argent du beurre, et le cul de la marquise avec, oups de la fermière je voulais dire grin , et si la fermière est mignonne ça serait pas plus mal ! )


On dit de la crémière petit prince.. la crémière !! amuse

à la fermière... si elle porte un fichu rouge à pois blancs dans ses cheveux de paille, un beau tablier bleu sur ses rondeurs boudinantes, une paire de botte pointure 44 sur ses petits petons et que ses joues aborent un joli violet... confuse contente toi du beurre et de l’argent du beurre!

La marquise... belle des champs ..
Sam 15 Nov 2003, 17:55 par la marquise de sade sur Citations

Relations adultérines

Je parlais d’intelligence, car bien souvent ces relations adultérines n’ont pas pour but de fonder un nouvel amour, une nouvelle vie. C’est simplement une passion du moment, et parfois même pas autant que cela ... Si bien souvent, c’est le besoin de reprendre confiance en soi, de séduire à nouveau de conquérir qui créé ces aventures d’un jour , d’une nuit ou un peu plus. Les hommes le comprennent plus rapidement que nous, et s’ils choississent des femmes mariées elles aussi, c’est pour eviter les dangers qu’une relation extra conjugale apporterait avec une femme libre, prete à construire un avenir. Ce n’est pas une fuite, c’est soit un calcul, soit la recherche d’une personne qui ressent les mêmes manques que lui, les mêmes besoins de se rassurer, les mêmes questions sur la vie de couple.

Quant aux pots cassés ... même recollés, il restera toujours une petite trace ... mais ils ne sont pas toujours cassés, ils sont parfois juste un peu ..usés..

La marquise ... glu interimaire mur
Jeu 06 Nov 2003, 08:44 par la marquise de sade sur Citations

Re: la fidelité .....

la marquise de sade a écrit:
Dans un couple, l’un au moins doit être fidèle, de préférence l’autre.
Diable

( marcel achard)


Hmmmm, marquise, de mèmoire d’homme ma plus belle histoire etait adultere, elle étant casée chut , et moi libre comme l’air.
Finalement, à la mémoire de tout ca, je rejoindrais notre cher Brassens, coureur et seducteur s’il en est ouimaitre :

Georges a écrit:

à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,
En ce qui me concerne, ayant un jour compris
Qu’une femme adultère est plus qu’une autre exquise,
Je cherche mon bonheur à l’ombre des maris.

Ne jetez pas la pierre à la femme adultère,
Je suis derrière...
Mer 05 Nov 2003, 16:38 par PetitPrince sur Citations
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Ecrire sur quant

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La citation d'amour

Dans l'amour et dans les foulures, la rechute est fréquente.

Proverbe espagnol.

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