with or without you

Regarde la tristesse dans mes yeux
Ces pierres qui pleurent dans les cieux
La du bonheur, un voeu pieux
Pour celui dont le coeur sonne creux
Regarde dans le miroir de mes yeux
Tu y verras un monde monstrueux
Les aigreurs d’un homme déja vieux
Qui de toute sa vie est devenu honteux

Je ne peux pas vivre...avec ou sans toi

Ecoute ma voix qui s’asphyxie
Quand à mes beaux sentiments décrépis
J’impose un rythme tout en ralenti
Pour accorder à mon âme le répit
Ecoute la voix de l’insoumis
Celui qui préfère renier ses envies
Plutôt que vivre pleinement une vie
Quitte à faire une ou deux conneries

Je ne peux pas vivre...avec ou sans toi

Lis mes écrits sur les murs gravés
Des mots posés là pour exorciser
Des maux impossibles à évaporer
Les poids que la nature a accroché
Lis mes écrits doucement exprimer
Les errances d’une bête traquée
Qui sait qu’une fois perdu et oublié
Le temps jamais ne peut se rattraper

Je ne peux pas vivre...avec ou sans toi
Quel que soit mon moyen d’expression
j’arrive toujours à la même conclusion
Celui là va à celle que je laisse derrière moi...

La tulipe...en minuscule
Sam 22 Mai 2004, 20:51 par la_tulipe_noire sur L'amour en vrac

car rapace (pour Yves)

Carapace de glace
Tu erres tel le rapace
Carapace dans le coeur
A la constante du bonheur
Carapace dans les yeux
Tu quêtes le mieux ?
Carapace invincible
Et tellement invisible.
Tu empiles les boucliers
Toujours ce besoin de te protéger.
Carapace cristalline irisée
Ta coquille est fragilisée
Par cette hésitation :
Briser ce mur du son…,
Exploser au soleil ses rayons
Monter en puissance cette passion
Déchiffrer les étoiles, capter leurs pulsions
Dans le ciel jouer à saute-moutons.
Tu ne dois pas hésiter
Arrête de te tourmenter
Laisse ton esprit reposer
Et ta tête tu vas relever.
Essuie sur ton front
Ce manque, ce doute,
Nettoie leurs gouttes.
Le même point tu dois garder
Cet horizon va changer.
Arrête de te retourner
Tu ne dois pas t’inquiéter.
Tout se met en place autour de toi
Regarde, tu es le Roi.
Que de soleils éclairés font une ronde,
Ils t encerclent en formidable farandole farfelue,
De leur lumière ils t’inondent,
Te souhaitant à l’infini, bienvenue.
Prends cette main tendue
Accepte, fais un pas vers l’inconnu…
Essaie, tu ne seras pas déçu !
Prends dans ta main
Entends ce refrain…
Captivante mélodie
Que celle de la vie.
Amour achevé
Amour enchaîné….
Mais sors de cette geôle,
Avant que la mort ne te frôle.
Mort de l’esprit
Torturé et meurtri…
Délicate et violente mélancolie
Qui cloisonne ton « autre lui » .
Sain de corps te voici
Tu oses relever le défi,
Tu es là, nimbé de lumière
Tu remontes le cours de ta rivière…
Ven 14 Mai 2004, 01:35 par à mon étoile sur L'amour en vrac

L'effet texto...

En regardant par la fenêtre, elle pouvait voir la paleur de la lune se meler aux néons de la ville. Les lumières s’éclataient comme un kaléidoscope au travers de la pluie qui ruisselait sur la vitre au-dessus de son lit.

Elle le tenait entre ses bras, passait lentement ses doigts sur lui. Il s’etait endormi juste après lui avoir dit : J’aimerais tant pouvoir rattrapper mes absences. Tes mots, ta voix, tes rires, tes soupirs me manquent...

Elle frissonait, elle attendait qu’à nouveau il vibre, qu’une nouvelle fois, il la fasse fermer les yeux et quitter la réalité. Une fois encore le sentir vibrer contre sa peau nue, le sentir bouger entre ses mains, ressentir toujours cet emoi, monter ce désir.

Son attente l’avait plongé dans ses pensées, elle était ailleurs et ne s’était pas aperçue que les frissons qui parcouraient son corps à cet instant étaient provoqués par la douceur de ses mains glissant sur sa peau. Elle n’avait pas remarqué qu’elle l’avait laissé descendre entre ses seins, jusque sur son ventre. Elle n’avait pas senti que ses doigts caressaient l’intérieur de ses cuisses. Elle ne s’était pas rendue compte qu’insonsciemment sa bouche s’était entrouverte à la d’un baiser. Elle n’avait pas vu son corps se cambrer dans l’attente d’une étreinte.

Elle attendait une nouvelle fois qu’il vibre, à la réception de son texto, que sur son ventre son téléphone descende, comme sa langue l’aurait fait, que les mouvements saccadés de l’appareil la fasse jouir.
Qu’encore une fois, il l’apella.



La marquise... standardiste timide
Lun 10 Mai 2004, 09:39 par la marquise de sade sur Les liaisons sulfureuses

La fraction d'un instant

J’ai croisé son regard en sortant de l’ascenseur, un instant a suffit pour qu’elle me perce le cœur.
Ces secondes d’éternité je les ai mainte fois revues. Parfois je me demande s’il ne s’agissait pas d’un rêve. Je revois ces yeux brillants d’espièglerie, sa bouche fruitée et sa peau de bébé. Je la revois tourner la tête lorsque nous nous sommes croisés et son regard accroché au mien comme deux aimants surpris par leur pouvoir d’attraction. Je revois ses longs cheveux ondulants souplement au gré de ses pas. Je revois sa démarche féline, souple et énergique. Je sens encore son parfum chaud, à la fois épicé et sucré et parfois croyant en retrouver la fragrance dans un grand magasin, je scrute les alentours à la de la belle inconnue. Je suis sûr que si le temps nous avait accordé un peu plus et si l’audace ne m’avait pas manqué, le reste de mon existence en aurait été changé.
Et pourtant j’en suis sûr, nous nous sommes mélangés..
Ven 07 Mai 2004, 10:34 par MiAngeMiDemon sur La séduction

Où tu veux, quand tu veux.

Les talons de ses petites chaussures cognaient sur le trottoir, et bien qu’entrecoupés quelques fois par un petit frottement, ils rythmaient un pas rapide et résolu.

Le boulanger prenait un moment de détente sur le pas de son commerce, et la suivit d’un regard tout aussi flatteur qu’amusé, du bout de la rue d’ou elle débouchait, jusqu’à l’angle de l’avenue Martin, ou elle tourna et disparut.

Elle portait des pieds nus, à petits talons en cuir marron.Ses pieds étaient encore blancs et ne portaient pas beaucoup les traces du temps. A la regarder on aurait presque cru qu’elle sortait de la douche.

Le pantalon était en coton blanc. Les pattes bouffantes au niveau de la cheville, remontaient en se rapprochant du corps, jusqu’à le mouler avec insolence sur un string en cotonnade, que l’on devinait blanc lui aussi.

Le haut, lui aussi de coton blanc, simple, était dans ce tissu un peu raide qui rappelle vaguement les chemises des hommes. Le col rehaussait cet effet d’ailleurs, mais il s’ouvrait sur sa peau récemment halée dans un soupçon de féminité qui transforme un vêtement simple en une parure fraîche et subtilement excitante.

Ses cheveux châtains étaient maintenus par une pince discrète, marron comme ses chaussures et le sac qu’elle tenait en bandoulière.

Tout son être reflétait la fraîcheur printanière, et ses yeux cherchaient dans le regard de tous ceux qu’elle croisait l’assurance qu’elle était jolie. Et elle l’était, oh oui qu’elle l’était, comme toutes les fleurs que le printemps fait éclore.

Elle serre dans sa main, un ticket de métro, avec griffonnés dessus un numéro de téléphone et une phrase :
« Où tu veux, quand tu veux ».

______________________________



Au « café des alouettes », les serveurs sont habillés avec des pantalons à pince clairs et des polos, noirs en général. Cette tenue leur donne une allure élégante et décontractée, loin des déguisements des garçons de cafés engoncés dans leurs tabliers. Leur mise s’accorde avec ce bar propret et nonchalant, qui accueille une clientèle tout aussi détendue et souriante.

Les deux jeunes femmes avaient déposé au pied de leurs chaises les sacs en papier dans lequel se trouvaient certainement les fruits d’une de « petit hauts » et autres vêtements pour le printemps qui s’annonçait déjà.

Fatiguées mais souriantes, elles continuèrent leur conversation tout en s’installant à la terrasse, comme le font deux vieilles amies qui ne se sont pas vues depuis longtemps.

Elles s’interrompirent lorsque le serveur s’approcha de leur table pour prendre leur commande, un Vittel menthe et un Perier zeste, puis elles reprirent leur discussion tandis que le serveur repartait chercher leurs consommations.

Quand il revint avec le Perrier Zeste et le Vittel Menthe, les deux filles cesserent un instant leur babillage en le regardant poser les verres et les bouteilles. Il avait meme ramené des pailles, ce qui leur plut beaucoup.

Elles siroterent ainsi leur boisson, prenant le temps de regarder la journée qui s’achevait. Il faisait bon.

-S’il vous plait. On peut avoir l’addition s’il vous plait ?

Le garçon acquiesça d’un sourire pour faire comprendre aux deux filles qu’il allait leur apporter ce qu’elle lui avait demandé. Il nettoyait une table libérée quelques instants plus tôt à quelques tables de la leur. Finissant son travail, il rejeta un œil à la table des deux filles et croisant le regard de l’une d’elle qui l’observait à faire son travail, lui jeta un petit sourire timide. Il finit le nettoyage de la table, et partit en direction de la salle récupérer la note.

-Ca fait 3 euros, dit-il en posant la note sur la table.

Les filles se regardèrent un peu surprise, ne s’attendant pas à payer si peu. Et lui, il les regardaient, visiblement amusé par la surprise qu’il venait de leur faire.

-Euh … Vous êtes sur d’avoir tout compté.
-Un Vittel menthe, et un Perrier zeste, c’est ça ? demanda-t-il simplement.
-Oui, c’est ça.
-Eh bien, disons que je vous les fais à 3 euros dit il en rougissant un peu gêné.
-Oh comme c’est gentil ça, vraiment c’est trop sympa, merci, c’est vraiment sympa …
-Il y a pas de quoi. Ca me fait plaisir. Je vous vois souvent venir ici, vous avez l’air sympa vous ici. C’est un peu normal.

Il encaissa le billet de 5 euros, et déposa la monnaie dans un bruit feutré sur la note qui trônait sur la table.

Celle qui lui avait sourit, la brune habillée tout en blanc, le regardait, comme hésitante. Elle lui plaisait beaucoup celle-ci en fait, et il espérait qu’un jour il pourrait la voir autrement qu’au café des alouettes, autrement qu’elle étant cliente et lui serveur, autrement …

Elles se levèrent, reprirent leurs sacs et quittèrent la terrasse en lui adressant un dernier sourire. Il leur rendit, surtout à la brune.

______________________________



-Ben alors, pourquoi tu ne l’as pas fait ?
-J’ai pas osé …
-C’était pourtant une bonne idée le coup du mot avec ton numéro dessus. Par curiosité, tu appelles à mon avis quand tu reçois un mot comme ça. Ne fusse que pour savoir qui c’est.
-Tu crois. Ca fait pas un peu trop plan drague ?
-Mais il en faut du culot des fois, je crois. Si c’est bien fait, et que tu plait un peu, ça passe sans problème.
-Ah là là, j’ai été bête. Je sentais son regard, et ça m’a bloqué. Je pouvais plus laisser ce ticket sur la table... Pourtant on a fait comme on avait dit... Mais c’était trop dur !
-C’est super moi je trouve ce qui vous arrive.
-Pourquoi tu dis ca ?
-Ben vous êtes amoureux, vous n’arrêtez pas de vous regarder à chaque fois que vous vous voyez à ce bar là.
-Tu crois que je lui plait ? Vraiment ?
-Oui, je crois que c’est du tout cuit cette affaire là.
-Peut être que la prochaine fois, je laisserai ça directement au dos de l’addition non ? T’en penses quoi ?
-Ben le coup du ticket de métro, je trouve ça fun, culotté mais élégant. Tu l’as encore ?
-Oui, tiens regarde, j’avais même mis une petite phrase en plus.
-« Ou tu veux quand tu veux » ! Et ben c’est fort ça. Dis donc, tu n’as pas froid aux yeux toi.
-Avec ca, si il comprend pas …
-En plus tu as vu comme tu étais toute belle aujourd’hui dans ton petit ensemble blanc ? Et puis ton petit sac, il va bien avec. Trop craquante.
-Merci, tu es gentille. Et je je me sentais belle aujourd’hui. Tu aurais vu la tête du boulanger quand il m’a regardé passer. Il a bien scotché, et pas mal sur mes fesses d’ailleurs.

Les deux filles riaient du pouvoir de séduction que confère un string sous un pantalon blanc lorsque un portable sonna. Farfouillant dans son sac à main, la brune trouva enfin le portable et répondit sans même regarder le numéro.

Elle devint blême et ouvrit de grands yeux muets en direction de sa copine qui fronça les sourcils en signe d’incompréhension, suivis d’un petit mouvement de tête interrogateur.

-Oui c’est moi… Non non, vous ne me dérangez pas … Bien sur, avec plaisir… Demain ? Ok pas de problème. A 19h00 devant le manège, d’accord… Bonne soirée à vous aussi.

Elle raccrocha, et cria de joie.

-C’était lui, il a trouvé mon numéro de téléphone sur un ticket de métro sur ma chaise, et il a appelé. Je ne comprends pas comment ca se fait, je n’en avais préparé qu’un seul de ticket avec mon numéro dessus.
-Mais moi aussi, j’en avas préparé un avec ton numéro dessus, des fois que tu oses pas laisser le tien. Je te connais un peu, répondit alors son amie hilare.


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Mar 04 Mai 2004, 13:44 par PetitPrince sur La séduction

Absolue quête

De tout temps j’ai cherché l’absolu
A tout moment j’ai quêté l’irrésolu.
Mais quelle force transparente,
Quelle hâte me tourmente ?
Je suis une âme en partance
Pour l’infinie triste résonance.
Recherche perpétuelle d’un improbable reflet,
Désir plus intact qu’imparfait.
Les portes sur moi se referment doucement,
L’instinct, la quête, je me demande comment
Va s’achever mon tourment.
Quelle puissance machiavélique ?
Quelles circonstances anarchiques ?
Me transposent dans de telles situations
Mettant mon cœur à contribution.
Quel est le prix, que dois-je prouver ?
Vers quel soleil dois-je m’envoler ?
Jeu 22 Avril 2004, 18:46 par à mon étoile sur L'amour en vrac

C'était en juin....(suite)

Voilà
T’es parti et je suis là
Connais-tu le cri de l’arbre qui a perdu son ombre ?
Sais-tu ce qu’est ma vie dans le sombre ?
Imagines-tu un instant la sensation de vide incontrôlée,
Entends-tu cette souffrance immodérée ?
Pleures-tu aussi dans ton cœur ?
Est-ce que les images de ce court bonheur
Te remontent dans la tête intensément ?
Je suis un nuage sans ciel
Une étoile perdue, oubliée,
Un vent sans arbre sur qui se poser,
Une abeille triste dégoûtée du miel.

Demain le jour ne se lèvera plus
Des oiseaux, leur gazouillis je n entendrai plus
Plus rien autour de moi
Ne réveillera aucun émoi

T’oublier, tourner la page, recommencer,
Vivre, se battre, ne pas tomber,
Retenir en terme de sentiments
Mes mots, mes pensées, et paradoxalement,
D’être honnête, continuer….
Cette hémorragie du cœur arrêter….

T’oublier, ce mot n’évoque rien
T’oublier, ce n est pas rien
T’oublier, zapper, ne pas se rappeler
T’oublier, que dans ma vie tu es passé
T’oublier et que de toi je suis dépendante….
T’oublier et que de moi, je suis défaillante….
T’oublier et que de nous savoir que nous existons
T’oublier et que des adultes nous ne serons….
C’est au dessus de mes forces, je suis épuisée
Il m’est insupportable l’idée que cela cesse
Torturée au plus haut point de ma faiblesse
Putain, pourquoi ça a commencé….

C’est au dessus de mes forces, je t en prie
Faut pas qu’on s abandonne
Y’a eut maldonne
J’ai certainement pas compris

J’ai jamais voulu de cette vie là
Jamais pensé que ça m arriverait comme ça
Jamais imaginé que tu me laisserais là
Jamais souhaité avoir autant besoin de toi

Je pleure des larmes de vent
J’insulte les vivants
Je hais cette vie sans toi
Ma place n’est plus ici : errance dans le désarroi
À la de cette raison, à toi
C’est impossible, je n y crois pas
Refus de la réalité
C’est trop difficile
Je ne peux accepter
Tu as visé dans le mile
En plein dedans, pas à côté
Dim 18 Avril 2004, 22:59 par à mon étoile sur L'amour en vrac

L'amante de Tom

A 16h42, Tom n’avait qu’une seule envie... Ca le taraudait depuis une semaine, mais au lieu d’y succomber, il laissait grandir son désir. D’ordinaire, à la moindre pulsion érotique, il trouvait toujours une copine à appeler ou une prostituée à choisir. C’était selon son humeur. Tantôt amant, tantôt canaille.

Mais là, il avait envie d’exploser. De se sentir crever d’envie, presque à en devenir dingue, et de déguster l’étreinte qu’il aurait pour assouvir son manque. Vingt fois, il avait commencé à se soulager à la main, tant son ventre hurlait à l’attaque. Vingt fois, il avait arrêté en souriant un sage "Plus tard, plus tard".

Tom, c’était pour Thomas, son vrai prénom. Petite frimousse sur un corps honorable, "Tom" adoucissait ses traits assez charismatiques. Un homme à femmes, qu’on appellait avec malice Tom le manchot. Le manchot, ce n’était pas parce qu’il avait perdu un bras, ou qu’il était maladroit. Non. La nature l’avait gratifié d’un pénis fabuleux, que toutes les femmes qui le connaissaient considéraient comme son troisième bras.

Pour se tempérer, Tom passait mentalement en revue l’amante qui lui fallait pour assouvir son formidable désir. Hors de question de choisir une pute, ça gâcherait toute cette semaine d’attente en un coup vite bâclé, mal balancé. Il opta alors pour examiner les maîtresses qu’il affectionnait le plus.

Laure était une superbe femme. Elle posait pour les affiches que l’on voit dans les pharmacies. Les jambes pour la crème amincissante, la poitrine pour des traitements raffermissant, sans compter son ventre qui servait aussi à montrer les stupéfiants résultats du denier truc à la mode pour avoir la silhouette de rêve. Une silhouette de rêve, mais une libido plutôt moyenne. En tout cas, absolument pas adaptée à l’actuel tempérament carnassier de Tom.

Christelle. Mère de famille, en mal de sexe. Toujours avide, à le coller, à le lécher, le manger et l’étreindre. Une insatiable. Probablement mal "entretenue" par son mari, elle se payait de temps en temps des pics de sexe avec Tom, et profitait à fond des peu de moment qu’elle avait avec lui. Quand il partait de chez elle, en général le Dimanche après midi, il était à plat, lessivé, calmé pour au moins deux semaines tant son corps était fatigué et son sexe irrité. Mais Christelle, ce n’était pas une esthète du sexe. Plutôt directe, elle ne jouait pas trop avec l’autre et avait un peu des manières de paysannes finalement. Et lui, là, il avait envie de beauté aussi.

Marie. Ce serait Marie qu’il dégusterai ce soir. Ca lui avait tout d’un coup semblé évident. Evident que ce serait ce soir qu’il mettrai un terme à son attente et évident que ce serait Marie. Ah Marie. Son corps d’ébène n’était pas des plus parfait, mais possédait son charme propre. Des seins pleins, tombant légèrement, un petit ventre qu’elle entretenait par des séries d’abdominaux quotidiens, des belles hanches pleines et enfin des cuisses galbées par ses petits footing réguliers. Une fille qui prend soin d’elle, sans être une bombe.

Mais ce qui était le plus excitant chez elle, c’était la langueur avec laquelle elle s’abandonnait. Elle prenait son temps. Avec elle, les préliminaires duraient des heures. Ca commençait gentiment, en parlant dans la cuisine ou dans la rue. Un petit baiser, une caresse sur son bras. Jamais de geste très directs. Elle posait son regard sur lui, avec une douce sincérité, dans laquelle ne transparaissait jamais l’envie ni la concupiscence. Et pourtant. C’était le début d’une interminable danse de séduction, qui l’entraînait chaque fois au paroxysme, au bord de l’extrême, tout au bord ...

Elle restait belle et sereine, tandis que lui commençait à sentir le diable lui prendre le corps.Et lorsqu’elle s’en rendait compte, elle le regardait en riant chaudement, comme une complice avec laquelle on prend plaisir à partager sans rien dire. Tiraillé entre le désir et la plénitude du moment passé avec elle, il lui abandonnait toujours la conduite de la barque de leurs amours.

Une fois, alors qu’il dégustait du thé glacé sur la terrasse de Marie, il s’était tout d’un coup rendu compte que tout l’après midi passé avec elle n’avait été qu’une lente et hypnotique parade de séduction. Sentir son parfum sucré, apercevoir les bouts de son corps serrés dans son paréo, et parfois les sentir contre lui lorsqu’elle se levait pour chercher derrière son épaule du sucre de canne ou des gâteaux. Tout ceci semblait pourtant si naturel. Aussi naturel que son envie d’elle.

C’est en revenant de sa réflexion qu’il l’avait alors vue le regarder, avec un petit sourire amusé.
- Toi, tu es parti très loin hein ?
- Euh, oui concéda-t-il en riant.

Elle s’était alors levée comme en regardant a l’intérieur d’elle même, contournant la table pour venir à son niveau. Calmement elle avait jeté un regard au noeud de son paréo, puis avait rivé son regard dans le sien, tandis que son paréo tombait par terre dans un feulement discret. La plupart des femmes, comme Christelle, se serait contentée de l’enfourcher sur son fauteuil, et de l’embrasser avec une fougue grandissante. D’autres comme Laure, aurait simplement déboutonné le pantalon de Tom pour l’avaler timidement.

Pas Marie. Marie elle, elle le regarda droit dans les yeux, lui mit la main sous le menton, et dans un baiser doux et pulpeux, elle lui avait murmuré "Viens", l’avait encore une fois regardé avant de se retourner pour s’appuyer contre la table et lui offrir par la même sa croupe généreuse et féline.

Lentement, ils s’étaient aimés. Sans brutalité, ni quête de performance. Dés lors ou il l’avait pénétrée, il n’avait eu de cesse de chercher et maintenir une sorte de contact suave dans l’intimité du corps de Marie. Une lente danse pleine de douceur et de sensualité, mais aussi terriblement impudique. Dans la de ce contact profond, les corps se cambraient pour s’épouser, se courbait pour se retenir, pour s’approfondir.

La terrasse fut leur seul univers pendant ces heures ou ils s’abandonnèrent à l’étreinte. Lorsque vacillants ils entrevoyaient venir le paroxysme, Marie se transformait en véritable lionne, l’entraînant avec fougue dans le mouvement souple et puissant de ces reins. Sa tête roulait dans son dos, sur ses épaules, puis tombait en avant. Ses yeux fermés ne regardaient plus le monde, ils écoutaient plutôt son corps. Dans cette frénésie, alors que l’ultime moment semblait inéluctable, elle ralentissait subitement le rythme, ouvrant ses yeux pétillants sur le visage crispé de Tom. Et lentement, elle revenait à une ondulation souple et sereine de ses hanches, désamorçant en douceur l’explosion qui aurait du se produire dans leurs corps en flamme.

Ce manége commença à l’heure ou l’après-midi décline, et ne cessa qu’une fois la nuit tombée. Sans discontinuer, la fabuleuse maîtresse de Tom alterna ses vagues frénétiques aux moments d’accalmie. Leur quête leur avait fait parcourir toute la terrasse, et leurs corps gardaient les traces des murs et des sols qu’ils avaient rendu complice de leurs ébats. Quand la septième et ultime danse se termina, c’est une Marie épuisée qui chevaucha un Tom complètement défait. Sur le fauteuil de jardin, elle lui imprima de lents mouvements de va et viens, simples, sans chichis. Réglés comme des montres suisses par leurs ébats de l’après midi, ils sentirent tout les deux monter du fonds de leurs ventres un véritable tsunami. En souriant, ils firent face à ce qu’ils voyaient venir, sachant que leur corps éreintés ne supporteraient peut être pas la puissance du plaisir qui s’annonçait.

Dans un choc de titan, leurs corps se courbèrent et se raidirent brutalement, comme transpercé par une décharge électrique foudroyante. Leurs bouches ouvertes démesurément criaient sans laisser sortir aucun son. Marie se mit à pleurer, prenant sa tête dans ses mains, comme atteinte de démence, et Tom, crispé sur les bras du fauteuils de jardin ne pouvait plus faire aucun mouvement tant la frontière entre le plaisir et la douleur était floue.

Tom repensait à cet après-midi. Chaque détail, chaque odeur lui revenait et rendait ses pensées si réalistes que ses mains commençaient déjà à se crisper sur le fauteuil de son bureau. De retour de son excursion dans ses souvenirs, il se détendit, attendit que son coeur retrouve sa contenance et but une grande rasade d’eau minérale à la bouteille.
Il décrocha alors le téléphone, et composa le numéro de Marie.
Lun 05 Avril 2004, 08:40 par PetitPrince sur Les liaisons sulfureuses

Re: helen rowland

soleye a écrit:
Citation:
"Une femme n’a besoin de connaitre qu’un seul homme pour les comprendre tous;
Alors qu’un homme peut connaitre toutes les femmes sans en comprendre une seule"


On pourra pas me traiter de macho bete

J’aimerais connaitre l’avis de ma marquise preferée à ce sujet timide


Etant la seule sur ce forum à signer mes messages sous le nom de la marquise, je présume que c’est de moi dont il est question dans ta derniere phrase petit soleye de ma journée timide

Que dire de celà ...

Si j’étais Isabelle Alonso, je te répondrais qu’effectivement, les hommes n’ont jamais rien compris aux femmes, que vous êtes tous les mêmes , irrémediables adolescents ingrats et immatures ! colere

Si j’étais Pierre Desproges, je dirais que la femme est assez proche de l’Homme comme l’épagneul breton. A ce détail près qu’il ne manque à l’epagneul breton que la parole alors qu’il ne manque à la femme que de se taire. Dépourvue d’âme, la femme est dans l’incapacité de s’élever vers dieu. En revanche, elle est en general pourvue d’un escabeau qui lui permet de s’elever vers le plafond pour faire les carreaux ... cool

Hélas, (ou heureusement huh ) je ne suis ni l’une ni l’autre, donc je te dirai que ....

" Une femme n’a besoin de connaitre qu’un seul homme pour les comprendre tous..."
cling Grand dieu , non!! Sinon, j’aurais cesser d’aimer les hommes à ma première mauvaise expérience !! Les hommes sont tous différents entre eux... (et pas toujours si eloignés de nous chut )

"un homme peut connaitre toutes les femmes sans en comprendre une seule"
Beaucoup pensent en effet que les hommes sont incapables de nous comprendre, je le pense même moi-même régulièrement ouin mais au final, je crois qu’ils arrivent à nous comprendre partiellement, en tout cas, ils essayent lol et on peut déjà les en remercier pour ça !!

Mais est-ce vraiment indispensable de comprendre et de connaitre l’autre totalement pour pouvoir l’aimer?

je te retourne ma question Soleye... confiant ainsi qu’aux autres



La marquise ... à la de cobayes pour ses etudes sur le fonctionnement de l’homme...

PS : mais je savais déjà que tu n’étais pas un macho timide
Lun 16 Fév 2004, 11:05 par la marquise de sade sur Citations

Se refuser pour mieux se donner...

Entrez. Prenez place… un peu de silence siouplé !! chut Allons, allons messieurs, calmez-vous que le cours puisse commencer ! doute
Puisque certains d’entre vous semblent intéressés par ce que nous aimons, nous les femmes, ou sur ce qui éveille en nous certains désirs ou nous donne beaucoup de plaisir, le cours d’aujourd’hui portera sur les jeux érotiques, et plus précisément sur « comment se refuser pour mieux s’offrir » Diable … ( le petit prince là bas, près du radiateur, avancez au premier banc et arrêtez de rire bêtement ! ) furax

Avant de commencer, je vous prierai de noter que les techniques qui vont suivre n’engagent que moi, pour la simple et bonne raison, que je ne les ai jamais testées avec mes congénères de même sexe … (notez également mesdemoiselles, que je serais ravie d’avoir vos commentaires ou impressions sur mes techniques … ).

Donc, commençons…
Se refuser pour mieux s’offrir… chacun a en soi une part de dominant et une part de dominé qu’il aime, tour à tour, selon son humeur mettre plus ou moins en avant. Malgré le nom que j’ai choisi, je ne suis en rien pratiquante des théories de mon prédécesseur, Donatien pour le citer, mais certaines douleurs peuvent apporter tant de plaisir… Je vous démontre cela de suite.

Imaginer : un sujet femme, soit Moi ( ben, oui, pourquoi allez chercher ailleurs quand on a quelqu’un sous la main ! ahmoui ) et un sujet homme … vous là, à gauche, oui, oui, vous avec vos cheveux foncés, et votre sweat vert, approchez … Votre nom ? tsur Tulipe … Allongez vous sur ce lit… (tu vas voir les aventures trépiDANTES siffle )

1) Commencez par attacher solidement votre partenaire, avec un lien doux, tendre, qui lui fera comprendre de suite que vos intentions sont pures et tout à fait honnêtes : un bas ( non Soleye, rangez cette chaussette, cling je parlais d’un bas « nylon » ! ) , un ruban, un foulard, un morceau de dentelle, … ( évitez mesdames le fil barbelé et les élastiques qui rendraient le jeu beaucoup moins sensuel ! ) Vous noterez le regard intrigué de la Tulipe, qui commence déjà à se faire un scénario de la mort ! grin
2) Déshabillez-le, en n’oubliant pas de passer la pointe de votre langue sur sa peau au fur et à mesure de l’effeuillage. Plus vous serez lentes, plus l’excitation montera, grandira, euh… enfin.. timide mieux c’est, quoi !! Les ongles passés délicatement, quelques morsures légères, les cheveux qui chatouillent, etc, n’agrémenteront que plus le supplice votre partenaire !
3) Le voilà nu devant vous, vous qui êtes encore vêtue, debout devant lui, conquérante devant votre « objet » lunettes … asseyez-vous sur lui, laisser la chaleur de votre corps se diffuser sur le sien, imbibez-vous de son odeur, de ses frémissements, de ses formes. Penchez vous vers lui… regardez-le tendre les lèvres, prêt à dévorer votre bouche… refusez-lui ! Ne lui accordez pas ce baiser, ne le laissez pas partager votre langue, mais passez-la sur sa joue, frôlez son oreille, avant de revenir près de ses lèvres pour les caresser à peine de votre langue… Regardez-le tenter de relever la tête pour se rapprocher de vous, tenter de desserrer un peu ses liens pour que son corps soit plus libre ! Reculez un peu, juste assez pour que votre bouche arrive à quelques millimètres de la sienne…
4) Déboutonnez votre chemisier, les premiers boutons seulement, juste assez pour glisser VOTRE main sur vos seins. Laisse-le deviner les caresses que vous vous prodiguez sans qu’il puisse y participer. Cambrez-vous, laissez glisser votre bassin, faites monter son excitation par quelques déhanchements, puis poursuivez le déboutonnage. Laissez malencontreusement tomber votre vêtement sur son visage.. cachez lui encore quelques secondes ses seins fermes et durs qu’il espère tant palper… laissez-les lui deviner en passant votre buste contre son torse, partez à la de ses lèvres camouflées par ce morceau de tissu. Dégagez son visage peu à peu… et redressez vous.
5) Relevez-vous, glisser votre main le long de votre ventre, plus bas encore, voilà… faites les gestes qu’il aurait aimé faire. Dégrafez votre pantalon, laissez-le glisser le long de vos cuisses, et n’hésitez pas à frôler cet endroit qu’il n’aurait pas hésité à caresser s’il vous avait déshabillée…
6) Vous êtes en sous-vêtements, vous vous agenouillez au-dessus de lui, au-dessus de son cou, à proximité de sa bouche… pas trop près, attention, il ne doit pas pouvoir vous toucher … ( euh.. Tulipe ? ça va ? tu dis rien là … content ) glissez votre main entre vos cuisses, osez vous caresser devant lui, osez lui donner ce que chaque homme aime regarder. Laissez-le s’imprégner de vos effluves, laisse-le espérer goûter votre sexe, laisse-le vous désirer, envier vos mains, laisse-le.. timide et ne lui donnez rien… pas encore… Approchez-vous suffisamment de sa bouche pour que sa langue puisse toucher la dentelle de vos dessous, laissez-le espérer avant de vous reculez, de redescendre sur son corps, de vous caresser avec sa peau, avec ses muscles, avec son sexe, de le frôler, le caresser, le lécher, le griffer, le mordre,.. Faites-le tressaillir, gémir, frissonner, agoniser de ne pas encore avoir pu goûter une seule parcelle de vous, utilisez votre bouche, votre langue, vos mains pour que son excitation devienne insupportable puis…
7) Donnez-vous.. lentement, par petits morceaux… d’abord un baiser tendre, puis un peu plus profond. Offrez-lui vos seins à portée de sa bouche, votre peau à découvrir, votre sexe pour qu’il se repaisse. Profitez du plaisir qu’il vous offre et de celui qu’il se donne, et détachez-le, laissez-le à son tour profiter de vous, laissez-le vous utiliser, laissez-le combler les frustrations que vous venez de lui imposer.. ange

Variante : vous pouvez aussi décider de ne pas le détacher et continuer ainsi jusqu’à la fin… Diable


Voilà… il est l’heure, rangez vos stylos, essuyez le filet de bave au coin de vos lèvres confiant et interro au prochain cours… !!

La marquise … pro fesseuse …
Mer 21 Jan 2004, 15:21 par la marquise de sade sur Le grimoire d'amour

De quoi donc?

Grande question qui ne pourra être résolue par l’intervention que d’une seule et unique personne, mais qui peut effectivement ouvrir un débat avec l’avis que chacun, chacune, pourra donner sur le sujet.
Ceci ne sera certes pas plus une démonstration quant à une réponse certaine à cette question, trop de critères étant à prendre en considération.

Que puis je en dire, étant pour ma part, une fi-fille, depuis ma naissance hé oui!!!!

    • Qui ouvre le contact en premier, tout d’abord ?
    • Comment le contact se fait il ?
    • Dans quelles circonstances le contact a-t-il lieu?

Suivant diverses circonstances, ce contact peut se faire, mais de manières différentes?

Cette prise de contact revêtra une forme totalement différente suivant qu’elle aura lieu :
    • en boîte de nuit
    • sur un tchate
    • lors d’une soirée chez des amis

Les concernés adapteront, immanquablement, leur attitude suivant l’un ou l’autre des cas.

Je prendrais pour exemple, en tout premier lieu, un contact sur tchate.
Première chose à faire Messieurs, afin de vous rendre compte, inscrivez vous sous un pseudo FEMININ, vous comprendrez dès lors beaucoup de choses.
    • Tout d’abord la lassitude des messages que l’on peut dire "BATEAU"
    • le "zapping" incontournable de ces dames
    • quels sont les premiers mots à ne pas avoir

Ensuite, par pitié, faites preuve d’imagination, votre pseudo, cassez vous un peu la tête, faite dans l’originalité, la , le commun déplait fortement.

Pour ma part, j’ai TRES RAREMENT pris des contacts directs auprès des pseudos en liste sur les tchates, en tant que "nana", pas le temps tant on est submergées de messages. Mais il m’est arrivé de prendre le temps de visualiser la liste des connectés. Toujours s’en sont suivi des prises de contact sur des pseudos TRES HORS DU COMMUN (clin d’oeil à qui sera se souvenir.....). De l’accroche des mots sont nés, parfois, des dialogues très interressants, mais surtout pas du genre :
    • "tu fais quoi dans la vie?"
    • "t’es mariée?"
    • "ASV"
    • "un scenario?"
    • "tu baises?"
    • "etc...?"

Messieurs, faites preuve d’originalité, d’immagination, d’inattendu. Etonnez, surprenez, et peut être les choses suivront elles alors un cours plus interessant.
Jeu 15 Jan 2004, 01:41 par Ri1kedesBêtises sur Le grimoire d'amour

Relations adultérines

Je parlais d’intelligence, car bien souvent ces relations adultérines n’ont pas pour but de fonder un nouvel amour, une nouvelle vie. C’est simplement une passion du moment, et parfois même pas autant que cela ... Si bien souvent, c’est le besoin de reprendre confiance en soi, de séduire à nouveau de conquérir qui créé ces aventures d’un jour , d’une nuit ou un peu plus. Les hommes le comprennent plus rapidement que nous, et s’ils choississent des femmes mariées elles aussi, c’est pour eviter les dangers qu’une relation extra conjugale apporterait avec une femme libre, prete à construire un avenir. Ce n’est pas une fuite, c’est soit un calcul, soit la d’une personne qui ressent les mêmes manques que lui, les mêmes besoins de se rassurer, les mêmes questions sur la vie de couple.

Quant aux pots cassés ... même recollés, il restera toujours une petite trace ... mais ils ne sont pas toujours cassés, ils sont parfois juste un peu ..usés..

La marquise ... glu interimaire mur
Jeu 06 Nov 2003, 08:44 par la marquise de sade sur Citations

La séduction peut être un art

La séduction peut être un art, parfois, mais l’on peut dire que certains l’ont en eux dès la naissance, et pas seulement pour séduire ces Dames, Messieurs, ces Dames savent user de celle-ci tout autant.
La séduction, qu’est ce donc?
Ca n’est pas seulement une parade amoureuse.
Certains savent en user pour plaire dans toutes circonstances, entre amis, lors de la d’un emploi, face à une personne du sexe opposé, lors d’une interview, auprès de la caissière d’un supermarché, face à une assemblée, etc...
bon nombre de personnages publics pourraient ainsi être cités en exemple, que ce soit homme(femme) politique, acteur(trice), chanteur(se), et tout autant sinon plus d’humains croisant notre quotidien pourraient être de même cités.
Reste à savoir si nous même nous nous considérons séducteurs(trices) invétérés(es), où séducteurs(trices) ponctuels(les).
Savez-vous vraiment (saurez-vous franchement) quel(le) séducteur(trice) vous êtes au fond de vous?
Lun 13 Oct 2003, 18:04 par Ri1kedesBêtises sur La séduction
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