Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur rédigé
Belle écriture
Délicieusement rédigé !! j’aime la diversité du vocabulaire et les expressions - ce texte prouve que tu es inspiré

Sam 06 Fév 2010, 04:49 par
Ailime sur La déclaration d'amour
Le blog dont vous êtes l'auteur
Bonjour à tous et à toutes,
Je tenais à vous faire partager un blog que je viens de créer et qui j’espère va prospérer.. Le principe est simple, une histoire s’écrit à partir des idées et propositions des lecteurs .. Vous proposez, je rédige (en espérant pas trop mal)
Le blog démarre et j’essaye d’intéresser des gens à participer !
Alors si le cœur vous en dit, si vous aimez le concept, passez jeter un œil
A bientôt
Le blog dont vous êtes l’auteur
http://helpmetowrite.blogspot.com/
Je tenais à vous faire partager un blog que je viens de créer et qui j’espère va prospérer.. Le principe est simple, une histoire s’écrit à partir des idées et propositions des lecteurs .. Vous proposez, je rédige (en espérant pas trop mal)
Le blog démarre et j’essaye d’intéresser des gens à participer !
Alors si le cœur vous en dit, si vous aimez le concept, passez jeter un œil
A bientôt
Le blog dont vous êtes l’auteur
http://helpmetowrite.blogspot.com/
Lun 22 Sep 2008, 18:28 par
blogdontvouseteslauteur sur Annonces
Polychromes (2)
Elle se sentait engourdie mais ce demi sommeil était très agréable. John l’avait raccompagnée et puis, il s’était résolu à partir en lui souhaitant une douce nuit. Epuisée par sa longue journée, après avoir rédigé et transmis deux papiers urgents, elle s’était enfin dévêtue et enfilé la nuisette en satin crème qu’elle affectionnait. Elle joua à se faire des grimaces dans le miroir de la salle de bain, elle se sentait d’humeur taquine, et puis, les yeux perdus dans le lointain, elle avait esquissé un vague sourire à son reflet, qu’elle ne voyait plus... Il n’était pas du tout le genre d’homme qu’elle aimait, très grand, châtain foncé, les yeux noisette, elle se demandait ce qui pouvait l’attirer autant chez John, la douceur de son sourire ? L’intensité d’émotions rarement égalée qu’elle lisait dans ses toiles ? Sa soif d’amour qui faisait écho à la sienne ? Sa sensualité gourmande ? Elle n’aurait su le dire, mais elle se sentait bien en sa présence, surtout lorsque ses yeux devenaient si tendres et qu’elle lisait en eux le désir ou... Elle s’en voulait un peu, elle s’était pourtant juré de ne plus se laisser prendre au piège de l’amour ; non, non, non, jamais, plus jamais, s’était-elle bien promis... Elle pouvait bien se faire des grimaces, elle n’était pas dupe du désir qu’elle ressentait d’un corps à corps à corps langoureux... Elle revoyait ses longues mains élégantes et elle frissonna. Il avait posé son front sur le sien et elle s’était écartée doucement. Elle ne voulait pas d’un erzats d’amour. Elle voulait l’Amour ou rien. En cet instant, elle ne cherchait pas à se mentir mais elle ne voulait pas faire de projet, juste profiter du jour, carpe diem... Après avoir éteint la lumière de sa chambre à coucher, Alma se blottit sous la couette glacée en attendant que sa chaleur envahisse l’espace et lui permette de sombrer dans un doux sommeil réparateur...
Jeu 12 Jan 2006, 12:24 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Danse amoureuse
J’étend mon cœur mouillé
Sur l’horizon de ses yeux
Côte à côte avec le silence
Le feu irrigue les artères du temps
Immuablement rédigé
Et danse le tango de ses bras
Quand je baisse les paupières
Sur son ombre de chair
Des fleurs de miel jaillissent
Je sais qu’il sais que je sais
Que la clôture de nos mains est la seule certitude
Là où la présence se fait fusion
Il sait que je sais qu’il sait
Quand mes pas se noient dans ses souliers
Et que mon regard se perd dans ses soupirs…
La chaîne de son corps est une source
Une goutte de sang sur mon palais
Qui persiste dans l’odeur de ses yeux,
Épicentres étoilés de notre cœur
Où je retourne sans cesse même partie de son espace…
Sur l’horizon de ses yeux
Côte à côte avec le silence
Le feu irrigue les artères du temps
Immuablement rédigé
Et danse le tango de ses bras
Quand je baisse les paupières
Sur son ombre de chair
Des fleurs de miel jaillissent
Je sais qu’il sais que je sais
Que la clôture de nos mains est la seule certitude
Là où la présence se fait fusion
Il sait que je sais qu’il sait
Quand mes pas se noient dans ses souliers
Et que mon regard se perd dans ses soupirs…
La chaîne de son corps est une source
Une goutte de sang sur mon palais
Qui persiste dans l’odeur de ses yeux,
Épicentres étoilés de notre cœur
Où je retourne sans cesse même partie de son espace…
Jeu 25 Nov 2004, 19:02 par
doody sur L'amour en vrac
Elle s'approche...
PetitPrince m’a demandé de parler de la technique utilisée dans le texte "Elle s’approche" que j’ai mis en ligne, il y a quelques jours. Expliquer les mécanismes d’une poésie n’est pas très simple. Il ne s’agit pas forcément de règles prédéfinies. En fait, lorsqu’on rédige, en tout cas pour ce qui me concerne, on y incorpore un vécu à l’écriture et un ensemble de règles qui nous appartiennent, et qui ne sont pas forcément des exemples à suivre.
Tout d’abord, voici le texte :
Elle s’approche...
Elle s’approche avec prudence
Se retourne une dernière fois
Relève le col de son manteau
Sa main gantée saisit une sorte de griffon de cuivre et frappe sur la porte en bois
Trois coups brefs...
Des pas... puis le silence
Elle saisit une petit clef en argent qui se trouve au creux de son cache-cœur
Elle fait jouer la serrure d’un geste huilé
La porte s’ouvre.
Une odeur d’encaustique et le bruit d’un piano dans le fond du salon
On joue la valse en fa dièse mineur de Frédéric Chopin
Elle marche avec assurance
Ses talons aiguille picorent le parquet ciré
Quelques lattes de bois miaulent...
Rythme à trois temps...
Elle fait glisser son manteau
L’abandonne sur le sol
Puis déclipse son corsage en dentelle
Il glisse le long de ses seins puis tombe inerte dans un feulement de caresse de bois.
On la regarde.
On continue à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène
Elle sourit, puis dégraffe sa jupe...
La voilà presque nue
Bercée par la musique
Elle chaloupe dans la pièce. Sa peau se hérisse. Sa bouche s’humidifie.
Silence.
Seul le rythme de son cœur.
Le clavier se referme.
Elle cherche du regard
Voit une ombre qui se faufile, qui disparaît, qui se désincarne...
Elle reconnait le goût du souffle dans son cou
La pulpe d’une main
Quelques mots murmurés à ses reins
Silence
Des mains apprivoisent son dos, ses hanches, ses jambes, sa moiteur...
Silence
Désir ardent de silence
De quiétude
D’émotions
Et de chaleur qui s’engouffre dans les pores de sa peau
Elle vit le partage comme une sève qui monte
Comme l’ultime chavirement toujours recommencé.
© obni - Septembre 2004
------------------------------------------------------------
Maintenant, quelques pistes techniques utilisées.
L’idée de ce poème était de raconter une histoire où 2 personnages se retrouvent pour se désirer dans une sorte de parade rituelle où se mêlent l’éveil puis la progression de leurs émotions. Je souhaitais que ce texte parle aux 5 sens, à la fantasmagorie et aux pulsions rythmiques du corps.
Les 5 sens devaient être en éveil et à l’écoute.
Pour ce faire, j’ai utilisé un certain nombre de mots proches de ces réseaux lexicaux.
Pour le toucher : main gantée - elle saisit un griffon de cuivre -elle frappe à la porte en bois - elle saisit une petit clef en argent- Elle fait jouer la serrure - Sa peau se hérisse - La pulpe d’une main - la chaleur qui s’engouffre dans les pores.
L’odorat : geste huilé- Une odeur d’encaustique - le parquet ciré.
L’ouie: Trois coups brefs... - Des pas - le silence - le bruit d’un piano - On joue la valse - Ses talons aiguille picorent - Quelques lattes de bois miaulent - Rythme à trois temps - feulement de caresse de bois - à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène. Bercée par la musique - Silence. - Seul le rythme de son cœur.- Le clavier se referme.- Quelques mots murmurés - le goût du souffle - Désir ardent de silence.
La vue (voyeur): dans le fond du salon - Elle fait glisser son manteau - Puis déclipse son corsage - Il glisse le long de ses seins et tombe - On la regarde - elle dégraffe sa jupe - Elle chaloupe dans la pièce - Elle cherche du regard - elle voit une ombre.
Le goût : Sa bouche s’humidifie -Elle reconnait le goût - sa moiteur
Détournement de certains verbes (ou mot) "animaliers " pour les rendre proches de l’émotion :
Ses talons aiguille picorent le parquet
Quelques lattes de bois miaulent...
Dans un feulement de caresse
Évoquer le désir et la sexualité de façon très suggérée
Elle chaloupe dans la pièce (de son point de vue)
....comme une sève qui monte (du point de vue de son amant)
Utilisation de mots ou d’accessoires liés aux désirs et aux fantasmes (avec une progression dans l’émotion) :
une petit clef en argent qui se trouve au creux de son cache-cœur
Ses talons aiguille
corsage en dentelle
on continue à faire jouer des doigts
Elle sourit, puis dégraffe sa jupe...
La voilà presque nue
Sa peau se hérisse
Sa bouche s’humidifie.
Des mains apprivoisent son dos, ses hanches, ses jambes, sa moiteur..
Désir ardent
Enfin le cadre de l’histoire devait évoquer le mystère et l’interdit, peut-être le rituel
Elle s’approche avec prudence
Se retourne une dernière fois
On la regarde. On continue à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène
Elle voit une ombre qui se faufile, qui disparaît, qui se désincarne...
Quelques mots murmurés à ses reins
Seul le rythme de son cœur.
Elle vit le partage
Le tout devait baigner dans une ambiance musicale et sonore pour mettre en lumière les rythmes des corps.
On joue la valse en fa dièse mineur
Trois coups brefs
Des pas puis le silence
Rythme à trois temps...
tombe inerte
Bercée par la musique
Le rythme est soutenu tout au long du récit par des ruptures et des points d’arrêts. Les phrases sont tantôts très courtes, tantôt plus descriptives et longues. La sensualité s’exprime comme cela ici.
Tout d’abord, voici le texte :
Elle s’approche...
Elle s’approche avec prudence
Se retourne une dernière fois
Relève le col de son manteau
Sa main gantée saisit une sorte de griffon de cuivre et frappe sur la porte en bois
Trois coups brefs...
Des pas... puis le silence
Elle saisit une petit clef en argent qui se trouve au creux de son cache-cœur
Elle fait jouer la serrure d’un geste huilé
La porte s’ouvre.
Une odeur d’encaustique et le bruit d’un piano dans le fond du salon
On joue la valse en fa dièse mineur de Frédéric Chopin
Elle marche avec assurance
Ses talons aiguille picorent le parquet ciré
Quelques lattes de bois miaulent...
Rythme à trois temps...
Elle fait glisser son manteau
L’abandonne sur le sol
Puis déclipse son corsage en dentelle
Il glisse le long de ses seins puis tombe inerte dans un feulement de caresse de bois.
On la regarde.
On continue à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène
Elle sourit, puis dégraffe sa jupe...
La voilà presque nue
Bercée par la musique
Elle chaloupe dans la pièce. Sa peau se hérisse. Sa bouche s’humidifie.
Silence.
Seul le rythme de son cœur.
Le clavier se referme.
Elle cherche du regard
Voit une ombre qui se faufile, qui disparaît, qui se désincarne...
Elle reconnait le goût du souffle dans son cou
La pulpe d’une main
Quelques mots murmurés à ses reins
Silence
Des mains apprivoisent son dos, ses hanches, ses jambes, sa moiteur...
Silence
Désir ardent de silence
De quiétude
D’émotions
Et de chaleur qui s’engouffre dans les pores de sa peau
Elle vit le partage comme une sève qui monte
Comme l’ultime chavirement toujours recommencé.
© obni - Septembre 2004
------------------------------------------------------------
Maintenant, quelques pistes techniques utilisées.
L’idée de ce poème était de raconter une histoire où 2 personnages se retrouvent pour se désirer dans une sorte de parade rituelle où se mêlent l’éveil puis la progression de leurs émotions. Je souhaitais que ce texte parle aux 5 sens, à la fantasmagorie et aux pulsions rythmiques du corps.
Les 5 sens devaient être en éveil et à l’écoute.
Pour ce faire, j’ai utilisé un certain nombre de mots proches de ces réseaux lexicaux.
Pour le toucher : main gantée - elle saisit un griffon de cuivre -elle frappe à la porte en bois - elle saisit une petit clef en argent- Elle fait jouer la serrure - Sa peau se hérisse - La pulpe d’une main - la chaleur qui s’engouffre dans les pores.
L’odorat : geste huilé- Une odeur d’encaustique - le parquet ciré.
L’ouie: Trois coups brefs... - Des pas - le silence - le bruit d’un piano - On joue la valse - Ses talons aiguille picorent - Quelques lattes de bois miaulent - Rythme à trois temps - feulement de caresse de bois - à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène. Bercée par la musique - Silence. - Seul le rythme de son cœur.- Le clavier se referme.- Quelques mots murmurés - le goût du souffle - Désir ardent de silence.
La vue (voyeur): dans le fond du salon - Elle fait glisser son manteau - Puis déclipse son corsage - Il glisse le long de ses seins et tombe - On la regarde - elle dégraffe sa jupe - Elle chaloupe dans la pièce - Elle cherche du regard - elle voit une ombre.
Le goût : Sa bouche s’humidifie -Elle reconnait le goût - sa moiteur
Détournement de certains verbes (ou mot) "animaliers " pour les rendre proches de l’émotion :
Ses talons aiguille picorent le parquet
Quelques lattes de bois miaulent...
Dans un feulement de caresse
Évoquer le désir et la sexualité de façon très suggérée
Elle chaloupe dans la pièce (de son point de vue)
....comme une sève qui monte (du point de vue de son amant)
Utilisation de mots ou d’accessoires liés aux désirs et aux fantasmes (avec une progression dans l’émotion) :
une petit clef en argent qui se trouve au creux de son cache-cœur
Ses talons aiguille
corsage en dentelle
on continue à faire jouer des doigts
Elle sourit, puis dégraffe sa jupe...
La voilà presque nue
Sa peau se hérisse
Sa bouche s’humidifie.
Des mains apprivoisent son dos, ses hanches, ses jambes, sa moiteur..
Désir ardent
Enfin le cadre de l’histoire devait évoquer le mystère et l’interdit, peut-être le rituel
Elle s’approche avec prudence
Se retourne une dernière fois
On la regarde. On continue à faire jouer des doigts sur l’ivoire et l’ébène
Elle voit une ombre qui se faufile, qui disparaît, qui se désincarne...
Quelques mots murmurés à ses reins
Seul le rythme de son cœur.
Elle vit le partage
Le tout devait baigner dans une ambiance musicale et sonore pour mettre en lumière les rythmes des corps.
On joue la valse en fa dièse mineur
Trois coups brefs
Des pas puis le silence
Rythme à trois temps...
tombe inerte
Bercée par la musique
Le rythme est soutenu tout au long du récit par des ruptures et des points d’arrêts. Les phrases sont tantôts très courtes, tantôt plus descriptives et longues. La sensualité s’exprime comme cela ici.
de bon matin
Pour faire suite à mon précédent post dans les liaisons sulfureuses je vous donne la suite, imaginée par la damoiselle à qui j’avais originellement destiné "j’irai au bout de ce rêve". Biensur le contenu ne m’engage en rien puisque ce n’est point moi qui l’ai rédigé
...excusez les fautes d’orthographe mais cette personne n’est pas française (et nous savons bien que les étrangers ont parfois du mal avec la langue française ...oui oui c’est à toi que je parle
)... finalement il n’y a pas tant de fautes que ça, hugo s’en remettra
...j’ai vraiment une vie "trépignante"
Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.




Le lendemain matin nous étions tous deux serrés l’un contre l’autre. Non ce n’étais pas un rêve, j’étais bien dans ses bras. Nous avions passé la nuit dans un hôtel à Paris pas loin de mon bureau.
Je me faisais un peu de soucis quant à l’affaire qu’il m’avait confiée, simplement pour des raisons déonthologiques. Je pensais que je serais moins objective et qu’il faudrait sans doute passer le dossier à mon confrère. Mais en faisant ça, aurais-je l’occasion de le revoir aussi fréquement ? En même temps j’étais la spécialiste en matière de PI, et d’autre part, je connaissais parfaitement la mentalité de la partie adverse.
Vincent et moi dormions profondément, mais tout à coup je sentis une main douce entre mes jambes, très douce, qui me caressait si légèrement que je dus m’éveiller pour m’assurer qu’elle m’avait réellement touchée avec une _expression d’une telle douceur que je ne bougeai pas.
Réveillée par cette caresse, je me retournais pour voir mon compagnon. Mais il dormait. Il dormait toujours profondément. Mais avec sa caresse, mon sang bouillait déjà. Je me retournais pour mieux le voir. Pour déceler tout indice d’éveil. Mes doigt peignaient ses cheveux. Je l’observais... mais ses yeux étaient bien fermés et son visage apaisé. Je caraissais ses paupières, son nez, sa bouche... Je posais mes lèvres sur son front. Mais cela ne le réveillait pas. Il faut dire que nous nous étions bien exercés durant la nuit et que nous n’avions dormi que par épisodes.
Ma respiration et mon poul s’accéléraient d’avantage. Je me sentais à nouveau en feu ! Mmm cette caresse du matin et rien qu’à penser à ce que nous avions vécu la veille et cette nuit ! Je ne voulais pas le réveiller mais au contraire, je voulais qu’il se repose. Mais j’avais encore envie de lui. En douceur je l’aidais à se mettre sur le dos et m’allongeais sur lui. Je titillais ses seins de la pointe de ma langue, ça m’excite énormement. Puis, je léchais son torse et je descendais jusqu’à sa taille, titillant aussi son nombril... puis son sexe ! Ahhh ! Il était là, il m’attendait. Je le pris dans mes mains puis avec mes lèvres chaudes assoifées de lui. Je le sentais durcir dans ma bouche. Vincent s’éveillait doucement et bougeait un peu malgré son sommeil. Que rêvait-il ?
Je continuais à me délecter de sa verge vigoureuse et en même temps douce et oh combien savoureuse lorsque sa main attrappa ma tête pour caresser mes cheveux. Ces derniers tombaient sur mon visage et mon regard perçait ce rideau noir entre lequel je voyais Vincent profiter de ses instants, ses yeux encore fermés. Le plaisir se dessinait sur son visage. Je levais ma tête pour mieux fixer son regard. Pour continuer à lui apporter monts et merveilles, je massais son sexe entre mes seins, petits et chauds, très chauds, et je caressais aussi le mien humide et chaud.
Tu sais que j’ai encore envie de toi, de te manger, de te dévorer jour et nuit, dis-je à Vincent. Je n’avais pas osé lui dire comme ça, si vite. Après tout, on ne se connaît pas beaucoup. Ses traits montraient bien le plaisir de l’hommage rendu à sa virilité et l’étonnement devant ma franchise qu’il n’attendait pas chez une personne de mon éducation.
Vincent prit entre deux doigts le bout d’un de mes seins et le malaxa doucement, puis plus fort en le sentant durcir et s’ériger. Je frissonnais sous cette caresse.Il se pencha sur ma poitrine, prit la pointe du sein bien dure entre ses lèvres… J’étais en extase. Je caressais la pointe de mes seins avec mes doigt embibés de mon elixir. Souvent les hommes ignorent combien les caresses sur la pointe des seins peuvent nous exciter. La pointe des seins est la clé pour l’orgasme. Mais à Vincent, je n’avais rien à lui apprendre. Il était parfait: doux et tonique à la fois et surtout expérimenté.
Je m’écartais un peu de lui pour qu’il voit ma masturbation. Cela devrait aussi lui plaire... devant lui jambes écartées je massais mon abricot. Nos regards en feu se fixaient lorsqu’il prit mon corps avec ses mains et m’avançat à lui. Je m’assis sur son sexe qu’il introduit soigneusement au plus profond de moi. Et nous nous envolions à nouveau vers le Paradis. Il m’était impossible de savoir combien de fois nous nous étions ainsi envolés en adoptant les positions habituelles et en expérimentant de nouvelles. Nous voulions nous découvrir.
Il faisait une chaleur torride dans la chambre de l’hôtel, malgré la température extérieur. Nous nous aperçumes, lorsque je l’accompagnais prendre son taxi pour se rendre à la gare, qu’il neigeait.
Mar 20 Jan 2004, 08:13 par
la_tulipe_noire sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur rédigé

Il y a 6 textes utilisant le mot rédigé. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
Les thèmes
- La séduction
- Amour internet
- La ballade amoureuse
- La première fois
- Un monde parfait
- Citations
- Le grimoire d'amour
- Les liaisons sulfureuses
- L'amour en vrac
- Parutions
- La vie à deux
- Histoires d'amour
- Articles
- Parler d'amour
- Mille choses
- Annonces
- La déclaration d'amour
- L’amour fantastique
- Textes à jalons
- Exercices de style
Derniers textes
Le Dim 08 Août 2021, 15:15 par martin
Le Jeu 05 Août 2021, 14:40 par martin- A la poursuite de milou
Le Dim 01 Août 2021, 14:52 par martin - Noel
Le Sam 31 Juil 2021, 23:34 par martin - Sentir les printemps
Le Mar 17 Mars 2020, 13:45 par caressedesyeux - Haiku
Le Sam 08 Fév 2020, 15:10 par caressedesyeux - Délivrance( suite du texte je m'en vais)
Le Mer 11 Déc 2019, 14:29 par caressedesyeux - Les roseaux
Le Ven 05 Avril 2019, 18:24 par caressedesyeux
Le Jeu 24 Jan 2019, 15:48 par FB- Sexcape game
Le Dim 03 Juin 2018, 20:57 par Bridget - Sade's girls
Le Mer 30 Mai 2018, 21:45 par Bridget - Tendrement
Le Mar 10 Jan 2017, 00:58 par JadeLightnore - Se froler du regard
Le Dim 25 Déc 2016, 19:42 par caressedesyeux - Ses cheveux longs
Le Ven 11 Nov 2016, 16:05 par caressedesyeux - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:44 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:41 par FB - Dans le train
Le Mer 26 Oct 2016, 17:20 par FB - Flic ou vuyou
Le Sam 22 Oct 2016, 23:28 par Bridget - Le champs de tournesol (duo)
Le Ven 30 Sep 2016, 19:16 par caressedesyeux
Dans les nuages
- aime
- aimer
- amour
- beau
- belle
- besoin
- bonheur
- bouche
- bout
- bras
- coeur
- corps
- cœur
- devant
- douce
- doux
- d’amour
- d’être
- désir
- envie
- femme
- fort
- homme
- jours
- larmes
- loin
- l’amour
- l’autre
- lèvres
- main
- mains
- monde
- mots
- nuit
- parfois
- peau
- peur
- plaisir
- porte
- pourtant
- regard
- rêve
- sens
- soleil
- sourire
- tête
- visage
- vivre
- yeux
- âme
Livres recommandables
![]() | Les fables de l'Humpur J'AI LU |
![]() | Infidèles : Nouvelles érotiques J'ai lu |
![]() | Cinquante nuances de Grey (Fifty Shades, Tome 1) JC Lattès |
![]() | Grammaire érotique La Musardine |
![]() | La Pharmacienne La Musardine |
![]() | Éloge des femmes mûres: Les souvenirs amoureux d'András Vajda Folio |
![]() | L'Ile des Gauchers Gallimard |
![]() | CARNET DE RROSE |
![]() | Journal intime de mon sexe |
![]() | On ne badine pas avec l'amour à 1,55 euros |
Retrouvez toutes nos bonnes lectures sur : La boutique des âmes tendres
La citation d'amour
Les rides sont le tombeau de l'amour.
Proverbe espagnol.
Proverbe espagnol.
Qui est en ligne ?
- Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
- La date/heure actuelle est Dim 15 Juin 2025, 10:20
- Nos membres ont écrit un total de 4446 textes
Nous avons 1234 membres enregistrés
L'utilisateur enregistré le plus récent est brancher - Il y a en tout 43 utilisateurs en ligne :: 0 Enregistré, 0 Invisible, 43 Invités et 0 Bots [ Administrateur ] [ Modérateur ]
- Le record du nombre d'utilisateurs en ligne est de 483 le Mar 25 Fév 2025, 16:25
- Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun
Bots : Aucun - Ces données sont basées sur les utilisateurs actifs des cinq dernières minutes