Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur regardez - Page 2 sur 2
Relevez-vous...
Le vide, le néant, que faut-il pour vous faire entendre réellement...
Le si lourd silence de maintenant...
Pourtant, ces petits cris de joie étouffés,
Tous vos rires d’avant, ensemble, démesurés...
Tout ceci paraît tellement anormal,
Votre Amour d’hier, sur son piedestal,
Et votre amertume d’aujourd’hui, comme c’est paradoxal... !
Si proches et si loin... c’était fatal....
Mais regardez-vous dans vos crises d’insuffisance....?!!
Qui êtes-vous pour devoir supporter autant de souffrance ?
Relevez-vous, vous êtes tombés si bas,
Redressez-vous, regardez ici, ou là....
Bougez, n’ayez de cesse de respirer...
L’Autre n’a pas compris, pas intensément aimé ?
Soit ! Libre arbitre, il aura décidé calmement,
De vous mettre à nu, de vous dépecer vivant....
Et là, que faîtes vous...?
Vous êtes à genoux....
Vous lui donnez l’opportunité :
Le dernier coup, il va vous assèner....
Pour tout ce que vous avez souffert,
Pour toutes ces choses que vous avez voulu taire....
Seriez-vous prêt à payer cette dette trop chère ?
Laisseriez-le vous battre alors que vous êtes à terre ????
Il faut vous faire violence,
Et du sort, en reprendre la chance....
Soyez votre propre Chaman...
Adoptez votre douleur,
Posez-la sur votre coeur...
Calfeutrez, protégez, mais en douceur,
Laissez le temps au temps,
Il n’y a rien qui dure toujours, faites le serment...
Vous sentirez à un autre moment, une autre heure,
Il vous faut vivre, vous devez continuer.
Grâce à cela, Vous sortirez puissamment grandi, armé
Et prêt à gravir, découvrir et partager d’autres sentiers....
Le si lourd silence de maintenant...
Pourtant, ces petits cris de joie étouffés,
Tous vos rires d’avant, ensemble, démesurés...
Tout ceci paraît tellement anormal,
Votre Amour d’hier, sur son piedestal,
Et votre amertume d’aujourd’hui, comme c’est paradoxal... !
Si proches et si loin... c’était fatal....
Mais regardez-vous dans vos crises d’insuffisance....?!!
Qui êtes-vous pour devoir supporter autant de souffrance ?
Relevez-vous, vous êtes tombés si bas,
Redressez-vous, regardez ici, ou là....
Bougez, n’ayez de cesse de respirer...
L’Autre n’a pas compris, pas intensément aimé ?
Soit ! Libre arbitre, il aura décidé calmement,
De vous mettre à nu, de vous dépecer vivant....
Et là, que faîtes vous...?
Vous êtes à genoux....
Vous lui donnez l’opportunité :
Le dernier coup, il va vous assèner....
Pour tout ce que vous avez souffert,
Pour toutes ces choses que vous avez voulu taire....
Seriez-vous prêt à payer cette dette trop chère ?
Laisseriez-le vous battre alors que vous êtes à terre ????
Il faut vous faire violence,
Et du sort, en reprendre la chance....
Soyez votre propre Chaman...
Adoptez votre douleur,
Posez-la sur votre coeur...
Calfeutrez, protégez, mais en douceur,
Laissez le temps au temps,
Il n’y a rien qui dure toujours, faites le serment...
Vous sentirez à un autre moment, une autre heure,
Il vous faut vivre, vous devez continuer.
Grâce à cela, Vous sortirez puissamment grandi, armé
Et prêt à gravir, découvrir et partager d’autres sentiers....
Lun 01 Août 2005, 23:31 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Je ne veux plus.
Il est hors de question que je succombe à nouveau aux sirènes de l’amour. C’est absolument hors de question. Je ne veux pas, je ne veux plus. Comme tout le monde aime à le penser on ne peut pas se passer d’aimer, oui je sais. Il parait qu’on ne peut pas s’en passer, et bien je serai le premier. Regardez, regardez, est ce que je n’ai pas l’air heureux comme ça ? Franchement ? En tout cas, moi je me trouve heureux. Je peux sourire à n’importe quelle fille sans l’embarras idiot du risque que ça dérape. Ca ne dérapera pas parce que je ne veux pas que ça dérape. Et quand je ne veux pas, je ne veux pas. Alors ça ne dérape pas. « Te maries pas » me disent les copains constatant à quel point leur vie avec leur femme manque de souplesse. Si c’est pas fort ça ! « Me mettre avec un bonhomme ? Jamais de la vie » me disait ma grand-mère qui pourtant a vécu de longues années avec son mari. C’est tout de même amusant de constater que ceux qui baignent dans une relation rêvent d’en sortir, et que ceux qui sont seuls rêvent d’y rentrer. Comme le monde est mal fait quand même.
Bon, ce soir je t’appelle, parce que je crois tu me manques un peu en fait.
Bon, ce soir je t’appelle, parce que je crois tu me manques un peu en fait.
Mer 04 Mai 2005, 20:23 par
PetitPrince sur Parler d'amour
Aimer écrire et écrire l'Amour.
J’ai toujours eu envie d’écrire. D’aussi jeune que je me souvienne, je passais des heures à noircir les pages de mes carnets intimes... Des heures d’isolement dans ma chambre, à revivre dans le détail chacune de mes journées. Faisant le point sur les émotions ressenties, je me "lachais" : je vociférais avec fougue sur tout ce qui m’avait contrariée ou je tombais dans le lyrisme le plus absolu au sujet de ce qui m’avait touché...avec toute cette excessivité qui me caractérise tellement bien! A les relire aujourd’hui je souris devant les priorités de l’enfance, puis de l’adolescence...
Les années ont passé, le temps des confidences calligraphiées aussi! Mes écrits se sont limités aux dissertations imposées par le programme scolaire pour après quasiment disparaître. Bien sûr les idées se bousculaient toujours dans ma tête, mais je ne prenais plus la peine de les retranscrire, au nom d’une série de faux prétextes: "plus le temps", "pour quoi faire"( comme si le fait de vivre sa passion se devait d’être expliqué!).
Et puis, il y a deux ans, j’ai pensé écrire de nouveau! Cela faisait des mois que je commençais un texte pour le détruire aussitôt, que je mettais quatre heures pour écrire trois lignes insatisfaisantes et pourtant l’envie était là et bien là! Elle m’interpellait et insistait, me poussant à prendre une feuille, un stylo et quelques instants pour se réaliser. Mais, à chaque fois l’inspiration me fuyait, je ne savais quoi raconter malgré cette impression lancinante d’avoir "des choses à dire"... Oh, bien sûr, les expériences de ma vie n’avaient rien d’exceptionnel et je ne prétendais pas qu’elles étaient intéressantes mais je savais que ma façon de les vivre en a bousculé plus d’un, ma facilité d’en parler aussi! Donc privée de mots pour nommer mes émotions, je me suis mise au passif et me suis livrée à mon autre passion : la lecture. Là, sous mes yeux, s’étalaient les phrases des autres, les vies des autres, les talents des autres et je ressentais une admiration teintée de jalousie. Et je lisais, je lisais, je lisais des écrivains différents, des styles différents, trouvant ici et là un écho à mes envies, une réponse à mes questions. Je me saoûlais de phrases qui m’éclataient au coeur. Je cherchais un encouragement comme un point de départ, pour pouvoir enfin m’épancher...et ça me faisait presque physiquement mal.
Et soudain : tout fut là...Ca m’est apparu comme une évidence, ce dont je voulais parler à ma fille, et à ceux qui me sont chers ou encore à ceux qui pourraient en avoir besoin, c’est de l’Amour! Il n’était pas question de se noyer dans l’eau de rose pour autant, mais je voulais parler d’Amour, sous toutes ses formes, aussi infimes soient-elles, aussi fragiles soient-elles...
Donc voilà, aujourd’hui, je gribouille de plus en plus de petits textes. J’écoute, je sens, j’apprends et je m’inspire de tout ce qui m’entoure. Je saisis toute les manifestations d’Amour qui ne manquent pas de se produire au quotidien (si, si regardez bien!) et j’essaie de retranscrire de jolies choses! Et ça fait un bien fou...
Syolann
Les années ont passé, le temps des confidences calligraphiées aussi! Mes écrits se sont limités aux dissertations imposées par le programme scolaire pour après quasiment disparaître. Bien sûr les idées se bousculaient toujours dans ma tête, mais je ne prenais plus la peine de les retranscrire, au nom d’une série de faux prétextes: "plus le temps", "pour quoi faire"( comme si le fait de vivre sa passion se devait d’être expliqué!).
Et puis, il y a deux ans, j’ai pensé écrire de nouveau! Cela faisait des mois que je commençais un texte pour le détruire aussitôt, que je mettais quatre heures pour écrire trois lignes insatisfaisantes et pourtant l’envie était là et bien là! Elle m’interpellait et insistait, me poussant à prendre une feuille, un stylo et quelques instants pour se réaliser. Mais, à chaque fois l’inspiration me fuyait, je ne savais quoi raconter malgré cette impression lancinante d’avoir "des choses à dire"... Oh, bien sûr, les expériences de ma vie n’avaient rien d’exceptionnel et je ne prétendais pas qu’elles étaient intéressantes mais je savais que ma façon de les vivre en a bousculé plus d’un, ma facilité d’en parler aussi! Donc privée de mots pour nommer mes émotions, je me suis mise au passif et me suis livrée à mon autre passion : la lecture. Là, sous mes yeux, s’étalaient les phrases des autres, les vies des autres, les talents des autres et je ressentais une admiration teintée de jalousie. Et je lisais, je lisais, je lisais des écrivains différents, des styles différents, trouvant ici et là un écho à mes envies, une réponse à mes questions. Je me saoûlais de phrases qui m’éclataient au coeur. Je cherchais un encouragement comme un point de départ, pour pouvoir enfin m’épancher...et ça me faisait presque physiquement mal.
Et soudain : tout fut là...Ca m’est apparu comme une évidence, ce dont je voulais parler à ma fille, et à ceux qui me sont chers ou encore à ceux qui pourraient en avoir besoin, c’est de l’Amour! Il n’était pas question de se noyer dans l’eau de rose pour autant, mais je voulais parler d’Amour, sous toutes ses formes, aussi infimes soient-elles, aussi fragiles soient-elles...
Donc voilà, aujourd’hui, je gribouille de plus en plus de petits textes. J’écoute, je sens, j’apprends et je m’inspire de tout ce qui m’entoure. Je saisis toute les manifestations d’Amour qui ne manquent pas de se produire au quotidien (si, si regardez bien!) et j’essaie de retranscrire de jolies choses! Et ça fait un bien fou...
Syolann
Lun 08 Nov 2004, 18:53 par
syolann sur L'amour en vrac
Pourquoi les oiseaux s arrêtent de chanter ?
Voyez mon port élancé,
Regardez mes feuilles danser,
En parasol, j’offre aux timides créatures,
J’étale fièrement mon ombre, mes branches, ma verdure.
Mes rameaux jouent avec le vent,
Caressent les nuages calmement,
Le soleil elles tentent d’accrocher,
Avec la lune, n’ont de cesse de jongler.
Une à une, je compte, j’effeuille,
Je fais l’inspection de mes feuilles,
Elles frissonnent, frétillent,
Du bout de leurs brindilles.
Soudain, se réveille l’enfer,
Un cri strident déchire la forêt,
Un cri métallique, ils assassinent mon frère
Ne pourrons-nous jamais trôner en paix ?
J’ai remarqué, plus haut que mes racines,
Les funestes créatures ont apposé du chimique,
Je connais cette douleur, je la devine,
Ils vont arriver, d’un papillon à l’autre, avec leur mécanique.
Ne se rappellent-ils pas ?
Les entailles, cœurs gravés sur mon tronc,
Ne se remémorent-ils pas ?
Les baisers volés sous mon cocon ?
Les créatures approchent, je sens leurs vibrations,
Empruntes de beaucoup de détermination.
Me voici à happer quelques onces d’air frais,
Rassurant mon monde, que personne ne l’effraie…
Les bébés insectes jouent à saute-nervure,
S’amusent, me chatouillent, vibrent….
Ils ne savent rien du danger qui s’aventure….
Mes locataires se sentent protégés et libres….
Je sens leur présence, ils sont là,
Leur musique ne m atteint même pas,
Ils me touchent, avec leurs drôles de branches effeuillées,
C’est étrange, pourtant, cette chaleur constatée…
Je me gonfle une dernière fois
Je capte les vibrations de mes habitants
Et tente de rassurer, mais, je crois
Qu’ils ont compris, un peu tard, ce qui m’attend.
Mes plus grandes branches j’étire vers le haut
Vers les courants de ce souffle d’air,
Je lance au ciel mon impuissance et ma haine contre cette Terre,
La résignation est le plus terrible des mots…
Les dents métalliques m’arrachent l’écorce,
Pourtant j’avais abusé de la force,
Pour grandir, m’élever au plus haut chercher la lumière,
Cruelle Mère, qu’as-tu engendré, tu les laisses faire ?
Les créatures s acharnent, mon tronc est entamé,
Une blessure mortelle, je le sens, je le sais,
Et je ne puis rien tenter
Pour les arrêter.
Aux oiseaux : trouvez un autre Prince des Bois,
L’aube fraîche cogne sur mon désarroi.
Je ne sens plus mes racines, je vais tomber
Retrouver sur cette Terre, mes feuilles mortes par milliers…
J’envoie des signaux, dans une totale indifférence
Brouhaha mécanique, les créatures semblent en transe.
Je sens, non, je ne suis pas poussé par le vent
Je perds l équilibre… je… tombe sur le sol, violemment.........
Combien de tempêtes avais-je défiées ?
Le vieux saule pleureur caresse lentement mon tronc
Avec une infinie tendresse, de ses feuilles, mon dernier frisson,
Pourquoi… les oiseaux, à l’instant…, s’arrêtent de chanter….
Regardez mes feuilles danser,
En parasol, j’offre aux timides créatures,
J’étale fièrement mon ombre, mes branches, ma verdure.
Mes rameaux jouent avec le vent,
Caressent les nuages calmement,
Le soleil elles tentent d’accrocher,
Avec la lune, n’ont de cesse de jongler.
Une à une, je compte, j’effeuille,
Je fais l’inspection de mes feuilles,
Elles frissonnent, frétillent,
Du bout de leurs brindilles.
Soudain, se réveille l’enfer,
Un cri strident déchire la forêt,
Un cri métallique, ils assassinent mon frère
Ne pourrons-nous jamais trôner en paix ?
J’ai remarqué, plus haut que mes racines,
Les funestes créatures ont apposé du chimique,
Je connais cette douleur, je la devine,
Ils vont arriver, d’un papillon à l’autre, avec leur mécanique.
Ne se rappellent-ils pas ?
Les entailles, cœurs gravés sur mon tronc,
Ne se remémorent-ils pas ?
Les baisers volés sous mon cocon ?
Les créatures approchent, je sens leurs vibrations,
Empruntes de beaucoup de détermination.
Me voici à happer quelques onces d’air frais,
Rassurant mon monde, que personne ne l’effraie…
Les bébés insectes jouent à saute-nervure,
S’amusent, me chatouillent, vibrent….
Ils ne savent rien du danger qui s’aventure….
Mes locataires se sentent protégés et libres….
Je sens leur présence, ils sont là,
Leur musique ne m atteint même pas,
Ils me touchent, avec leurs drôles de branches effeuillées,
C’est étrange, pourtant, cette chaleur constatée…
Je me gonfle une dernière fois
Je capte les vibrations de mes habitants
Et tente de rassurer, mais, je crois
Qu’ils ont compris, un peu tard, ce qui m’attend.
Mes plus grandes branches j’étire vers le haut
Vers les courants de ce souffle d’air,
Je lance au ciel mon impuissance et ma haine contre cette Terre,
La résignation est le plus terrible des mots…
Les dents métalliques m’arrachent l’écorce,
Pourtant j’avais abusé de la force,
Pour grandir, m’élever au plus haut chercher la lumière,
Cruelle Mère, qu’as-tu engendré, tu les laisses faire ?
Les créatures s acharnent, mon tronc est entamé,
Une blessure mortelle, je le sens, je le sais,
Et je ne puis rien tenter
Pour les arrêter.
Aux oiseaux : trouvez un autre Prince des Bois,
L’aube fraîche cogne sur mon désarroi.
Je ne sens plus mes racines, je vais tomber
Retrouver sur cette Terre, mes feuilles mortes par milliers…
J’envoie des signaux, dans une totale indifférence
Brouhaha mécanique, les créatures semblent en transe.
Je sens, non, je ne suis pas poussé par le vent
Je perds l équilibre… je… tombe sur le sol, violemment.........
Combien de tempêtes avais-je défiées ?
Le vieux saule pleureur caresse lentement mon tronc
Avec une infinie tendresse, de ses feuilles, mon dernier frisson,
Pourquoi… les oiseaux, à l’instant…, s’arrêtent de chanter….
Lun 10 Mai 2004, 00:17 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Réponse
Bonjour,
Petit Prince, Marquise de Sade, comment pouvez vous vous permettre de tourner en dérision un si beau texte, si vrai !
Vous regardez vous réellement en face pour croire échapper à ces mots qui nous caractérisent tous !
Il est vrai que ce matin peut-être, tu n’es pas superficielle etc...mais demain, quand tu en auras l’occasion, quand un amour de folie frappera à ta porte, quand les larmes de la souffrance de la vie se mettront à couler, comment réagiras-tu ? Feras-tu souffrir quelqu’un ? où n’as-tu jamais fait pleurer quelqu’un qui aurait pu dire que tu es perfide, vaniteuse etc...
Petit Prince, Marquise de Sade, comment pouvez vous vous permettre de tourner en dérision un si beau texte, si vrai !
Vous regardez vous réellement en face pour croire échapper à ces mots qui nous caractérisent tous !
Il est vrai que ce matin peut-être, tu n’es pas superficielle etc...mais demain, quand tu en auras l’occasion, quand un amour de folie frappera à ta porte, quand les larmes de la souffrance de la vie se mettront à couler, comment réagiras-tu ? Feras-tu souffrir quelqu’un ? où n’as-tu jamais fait pleurer quelqu’un qui aurait pu dire que tu es perfide, vaniteuse etc...
On ne se rend compte de ce que l'on a que lorsqu'on le perd
16 ans...
Cela fait 4 ans que je souffre en silence pour cette charmante blonde que j’ai connue dans un centre aéré...
J’ai reussi à discuter avec elle, on plaisante on s’amuse et on est insouciant.
Au fil du temps passé avec elle je me suis rendu compte qu’elle m’obsedait de plus en plus.
Mais c’est trop tard, elle est partie de son coté et moi du mien.
Malgré tout je ne pense qu’a elle.... jours... et nuits...
Et puis un jour, je change de lycee et surprise,
elle est la... Au detour d’un couloir, je reste tetanisé....
Elle a grandi, elle a muri... mMis elle est toujours aussi resplendissante... Sans doute même plus encore, ses formes se sont devoilées depuis le temps où je l’avais laissée.
On discute du bon vieux temps et on decide de se revoir.
Je retourne en classe l esprit tourmenté...
Et si...
Et si c etait possible?
Si enfin tous ces reves longtemps enfouis pouvaient se reveler realité?
Mon amie, qui n’ignore rien de mes sentiments sais que c’est fini, que je l ai retrouvée et que toutes mes pensées sont tournées vers elle.
C’est fini....
je retourne en cours. Que m’importent Charlemagne et consorts, je gribouille sur mes livres, sur mon agenda au lieu d’ecouter les cours... je laisse mon stylo s’exprimer à ma place et je me rend compte que c’est son prenom que j’ecrit un peu partout... Anne...
Quelques jours plus tard, je la croise au hasard de la bibliotheque on discute et finalement je me lance... Je lui fais des avances....
Mon dieu que j’eu l’air niais lorsqu elle refusa. J’en ai honte encore aujourdhui alors que 10 ans ont passé...
A trop idealiser un amour on ne se rend pas compte de ce que l’ on a...j’ai tout perdu...Mes reves, mon amie, l’amour sans bornes qu’elle me prodiguait.
Aujourd’hui celle que je regrette ce n’est pas celle que je n’ai pas eue, mais celle que j’ai quitté. Celle que j’ai fait souffrir en voulant ecouter mes rêves...
Oui elle etait moins resplendissante... mais quelle beauté interieure!!!
A ceux qui veulent trop ecouter leur rêves : ne regardez pas trop loin. Ce que vous cherchez est probablement prés de vous.. tout prés...sachez oter les voiles qui vous les masquent.
Cela fait 4 ans que je souffre en silence pour cette charmante blonde que j’ai connue dans un centre aéré...
J’ai reussi à discuter avec elle, on plaisante on s’amuse et on est insouciant.
Au fil du temps passé avec elle je me suis rendu compte qu’elle m’obsedait de plus en plus.
Mais c’est trop tard, elle est partie de son coté et moi du mien.
Malgré tout je ne pense qu’a elle.... jours... et nuits...
Et puis un jour, je change de lycee et surprise,
elle est la... Au detour d’un couloir, je reste tetanisé....
Elle a grandi, elle a muri... mMis elle est toujours aussi resplendissante... Sans doute même plus encore, ses formes se sont devoilées depuis le temps où je l’avais laissée.
On discute du bon vieux temps et on decide de se revoir.
Je retourne en classe l esprit tourmenté...
Et si...
Et si c etait possible?
Si enfin tous ces reves longtemps enfouis pouvaient se reveler realité?
Mon amie, qui n’ignore rien de mes sentiments sais que c’est fini, que je l ai retrouvée et que toutes mes pensées sont tournées vers elle.
C’est fini....
je retourne en cours. Que m’importent Charlemagne et consorts, je gribouille sur mes livres, sur mon agenda au lieu d’ecouter les cours... je laisse mon stylo s’exprimer à ma place et je me rend compte que c’est son prenom que j’ecrit un peu partout... Anne...
Quelques jours plus tard, je la croise au hasard de la bibliotheque on discute et finalement je me lance... Je lui fais des avances....
Mon dieu que j’eu l’air niais lorsqu elle refusa. J’en ai honte encore aujourdhui alors que 10 ans ont passé...
A trop idealiser un amour on ne se rend pas compte de ce que l’ on a...j’ai tout perdu...Mes reves, mon amie, l’amour sans bornes qu’elle me prodiguait.
Aujourd’hui celle que je regrette ce n’est pas celle que je n’ai pas eue, mais celle que j’ai quitté. Celle que j’ai fait souffrir en voulant ecouter mes rêves...
Oui elle etait moins resplendissante... mais quelle beauté interieure!!!
A ceux qui veulent trop ecouter leur rêves : ne regardez pas trop loin. Ce que vous cherchez est probablement prés de vous.. tout prés...sachez oter les voiles qui vous les masquent.
Mer 04 Fév 2004, 12:26 par
MaStErGrAhAm sur L'amour en vrac
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