Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur regrets - Page 2 sur 3
Sors...
J’vais pas pleurer sur toi parce que t’es grand t’es fort t’es dur,
Mais j’te prendrai bien dans mes bras, là, quand j’vois ces yeux sur ta
figure.
Je n’aurai pas pitié de toi, parce que c’est le plus vil sentiment,
J’ai du respect pour toi bien plus que ça... Evidemment !
J’ai un sac à réconfort tout plein tout prêt à te sortir,
Des phrases surfaites que j’adore, j’arriverai même à t’faire sourire...
Je ferai pas mon faon malade et mon regard d’embourgeoisée,
Mais j’me mettrai sous ton épaule même bien plus lourd que moi j’le ferais
Je verrai pas l’humidité qui pointe aux coins de tes paupières,
Même si je sais que c’est la douleur, je pens’rai que c’est la lumière.
Et je te porterai debout jusqu’à c’que tes sourires sonnent vrais.
Et quand tu tiendras tout seul j’dirai que t’as presque tout fait.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
J’vais pas trop t’écouter, sinon c’est moi qui vais lâcher.
Mais tu pourras parler des heures pour vider le mal intérieur.
Et je vais t’emmener te faire voir toutes les couleurs,
Te faire sentir que, quand on croit plus en l’espoir y’en a qui peuvent nous en
sortir.
Je sortirai ta tête de l’eau, quitte à y perdre un peu la mienne...
Moi je te trouve beau et j’veux qu’tu reviennes.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
Et puis j’vais t’remettre dans la course en te tirant vers des sommets.
Et si l’amour se joue en bourse on en atteindra des milliers.
Y’aura des jours mauvais et puis y’aura des jours meilleurs...
Mais si tu restes, je te promets que bientôt tu n’auras plus peur.
Je dis tout ça j’sais pas comment, pourtant j’y crois presque pour deux.
Alors mets-y du tien, mets c’que tu peux !
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Buridane
Mais j’te prendrai bien dans mes bras, là, quand j’vois ces yeux sur ta
figure.
Je n’aurai pas pitié de toi, parce que c’est le plus vil sentiment,
J’ai du respect pour toi bien plus que ça... Evidemment !
J’ai un sac à réconfort tout plein tout prêt à te sortir,
Des phrases surfaites que j’adore, j’arriverai même à t’faire sourire...
Je ferai pas mon faon malade et mon regard d’embourgeoisée,
Mais j’me mettrai sous ton épaule même bien plus lourd que moi j’le ferais
Je verrai pas l’humidité qui pointe aux coins de tes paupières,
Même si je sais que c’est la douleur, je pens’rai que c’est la lumière.
Et je te porterai debout jusqu’à c’que tes sourires sonnent vrais.
Et quand tu tiendras tout seul j’dirai que t’as presque tout fait.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
J’vais pas trop t’écouter, sinon c’est moi qui vais lâcher.
Mais tu pourras parler des heures pour vider le mal intérieur.
Et je vais t’emmener te faire voir toutes les couleurs,
Te faire sentir que, quand on croit plus en l’espoir y’en a qui peuvent nous en
sortir.
Je sortirai ta tête de l’eau, quitte à y perdre un peu la mienne...
Moi je te trouve beau et j’veux qu’tu reviennes.
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets...
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds
Et puis j’vais t’remettre dans la course en te tirant vers des sommets.
Et si l’amour se joue en bourse on en atteindra des milliers.
Y’aura des jours mauvais et puis y’aura des jours meilleurs...
Mais si tu restes, je te promets que bientôt tu n’auras plus peur.
Je dis tout ça j’sais pas comment, pourtant j’y crois presque pour deux.
Alors mets-y du tien, mets c’que tu peux !
Ah, sors de là, sors de ton purin
Sors j’te dis de ton chagrin
Ah ! J’fais des pieds j’fais des mains
J’veux faire chanter tes lendemains...
Laisse sur le côté laisse les choses couler les larmes et les regrets
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Même si t’es fatigué lève lève tes yeux de sur tes pieds !
Buridane
Mer 16 Déc 2009, 17:11 par
Loyd sur La vie à deux
Un simple soirée...
Ce soir tu m’as invité chez toi
Pour un repas...
Tout ce qu’il y a de plus simple
Mais agréable
Tu m’as reçu comme un ami
Moi qui suis totalement épris
Ecouté mes multiples tourments
Le cri d’un coeur souffrant
Tu as cherché
à me réconcilier
Avec cette vie
qui m’ennuie
Me faire voir
où est l’espoir
Dans cet avenir
que je maudits
...
La soirée c’est écoulée trop vite
Où nous avons partagé nos vies
Trouvé nos points passés communs
Et nos futurs qui pourraient l’être
Et j’ai du te laisser pour ce soir
Dans une étreinte d’un au revoir
Où mes sentiments enflammés
Me poussaient à t’embrasser
Mais je n’en ai rien fait
A regrets...
Pour un repas...
Tout ce qu’il y a de plus simple
Mais agréable
Tu m’as reçu comme un ami
Moi qui suis totalement épris
Ecouté mes multiples tourments
Le cri d’un coeur souffrant
Tu as cherché
à me réconcilier
Avec cette vie
qui m’ennuie
Me faire voir
où est l’espoir
Dans cet avenir
que je maudits
...
La soirée c’est écoulée trop vite
Où nous avons partagé nos vies
Trouvé nos points passés communs
Et nos futurs qui pourraient l’être
Et j’ai du te laisser pour ce soir
Dans une étreinte d’un au revoir
Où mes sentiments enflammés
Me poussaient à t’embrasser
Mais je n’en ai rien fait
A regrets...
Mar 18 Nov 2008, 23:46 par
Loyd sur Histoires d'amour
Changement de cap.
Sur la route de mon cœur
Je me suis perdue… quelle erreur
J’ai avoué que je l’aimais
Il n’a pas compris mes souhaits
Il a eu peur et s’est sauvé vite fait
Il a eu raison tout nous séparait
Là je reste seule avec mes regrets
Et reprend le chemin de mon cœur
Pour m’accueillir avec douceur
M’offrir la compassion
Et enterrer cette nouvelle illusion
La route est devant moi
Je vais rebondir une nouvelle fois
Mon cœur ouvert à l’amour
Merci à toi, pour ces heures
Où je garde encore présente ta sensualité
Tes baisers brulant sur mes lèvres
Que mes larmes puissent éteindre ce feu.
Que je puisse avancer sereine
Laissant derrière moi peine et regrets.
Tu m’as appris la patience et le détachement
Et surtout vivre le moment présent
Là j’ai foiré, j’ai voulu contrôler
Tant pis j’ai compris
Ma place j’irai la chercher ailleurs
Merci cher toi pour ce que tu m’as donné
Le reste j’irai le chercher…….
Je me suis perdue… quelle erreur
J’ai avoué que je l’aimais
Il n’a pas compris mes souhaits
Il a eu peur et s’est sauvé vite fait
Il a eu raison tout nous séparait
Là je reste seule avec mes regrets
Et reprend le chemin de mon cœur
Pour m’accueillir avec douceur
M’offrir la compassion
Et enterrer cette nouvelle illusion
La route est devant moi
Je vais rebondir une nouvelle fois
Mon cœur ouvert à l’amour
Merci à toi, pour ces heures
Où je garde encore présente ta sensualité
Tes baisers brulant sur mes lèvres
Que mes larmes puissent éteindre ce feu.
Que je puisse avancer sereine
Laissant derrière moi peine et regrets.
Tu m’as appris la patience et le détachement
Et surtout vivre le moment présent
Là j’ai foiré, j’ai voulu contrôler
Tant pis j’ai compris
Ma place j’irai la chercher ailleurs
Merci cher toi pour ce que tu m’as donné
Le reste j’irai le chercher…….
Mar 15 Juil 2008, 09:58 par
Hécate sur Parler d'amour
La vie
Tu ne peux plus te retourner
La vie est là qui te pousse, inévitable
Vers un avenir qui s’assombrit a tes yeux
Qui te rend triste inexorable
Une vie que tu voyais jadis
Pleine de joies et de plaisirs
Quelqu’un a détruit tes rêves
Quelqu’un a trompe ton amour
Te laissant des regrets amers
Et des larmes pour toujours
Tu te sentiras perdue et seule
Tu souhaiteras n’être pas née
Alors rappelle-toi de moi
De ce qu’un jour je t’ai dit
La vie est belle tu verras
Comme en dépit des chagrins tu trouveras
La force de résister de ne pas sombrer
Tu trouveras des amis
Qui seront a coté de toi pour la vie
Et tu retrouveras le bonheur et l’amour
L’amour sincère, l’amour vrai
Celui que tu as toujours attendu
Celui que tu as toujours espéré
La vie est là qui te pousse, inévitable
Vers un avenir qui s’assombrit a tes yeux
Qui te rend triste inexorable
Une vie que tu voyais jadis
Pleine de joies et de plaisirs
Quelqu’un a détruit tes rêves
Quelqu’un a trompe ton amour
Te laissant des regrets amers
Et des larmes pour toujours
Tu te sentiras perdue et seule
Tu souhaiteras n’être pas née
Alors rappelle-toi de moi
De ce qu’un jour je t’ai dit
La vie est belle tu verras
Comme en dépit des chagrins tu trouveras
La force de résister de ne pas sombrer
Tu trouveras des amis
Qui seront a coté de toi pour la vie
Et tu retrouveras le bonheur et l’amour
L’amour sincère, l’amour vrai
Celui que tu as toujours attendu
Celui que tu as toujours espéré
Sam 29 Déc 2007, 07:17 par
pierre de la carolina sur L'amour en vrac
A TE REGARDER GRANDIR
A TE REGARDER GRANDIR
*INTRO SOLO : PIANO.
Comme le soleil aspire la rosée
En ton cœur absorbe mes pensées
Nourris mon corps de pain
Et mon esprit de tes mains
Si j’avais pu, je t’aurais donné le sein
Collée tout contre moi
Ce que je te sentais si bien
Blottie, entre mes bras
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Ton amour, m’apporte ce rêve merveilleux
Ou tout le monde, serait heureux
Je pense à toi, souvent
A vrai dire, c’est tout le temps
Chaque jour j’admire tes sourires
Chaque jour, se dessine des je t’aime
Ma petite fleur des îles
Mon bébé, ma petite fille
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Mais aujourd’hui, ma faible raison se trouble et se confond
Comme pour pardonner, l’instinct répond
Du fruit que la vie a apporté
D’une frêle espérance, qu’un père peut donner
Et c’est mon cœur qui s’aiguise
Au biseau de ton âme
Et c’est ton cœur qui s’aiguise
A m’éviter une larme
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Poussé vers de nouveaux rivages
De nuit comme de jour
Jamais sur l’océan des sages
On a vu jeter l’encre, d’un si bel amour
D’une sanglante lumière
Sillonne une horrible prière
Entre un passé qui s’évapore
Et un avenir qui s’ignore
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Et c’est bien parce que le bonheur est si fragile
Qu’il se façonne comme de l’argile
A ce lien qui nous unis
A jamais, je te promets ma vie
Et si ce banal encens, qui brûle mes mains
Se mesure au méprit, qu’on a fait des humains
C’est qu’avec l’effort, de l’orgueil en souffrance
On n’a jamais su, sortir ces mots du silence
*PETIT PONT SANS MUSIQUE : EN PARLANT.
*Je t’aime… Anaïs
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
*LE FINAL : SOLO VIOLON.
leslarmesducoeur
*INTRO SOLO : PIANO.
Comme le soleil aspire la rosée
En ton cœur absorbe mes pensées
Nourris mon corps de pain
Et mon esprit de tes mains
Si j’avais pu, je t’aurais donné le sein
Collée tout contre moi
Ce que je te sentais si bien
Blottie, entre mes bras
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Ton amour, m’apporte ce rêve merveilleux
Ou tout le monde, serait heureux
Je pense à toi, souvent
A vrai dire, c’est tout le temps
Chaque jour j’admire tes sourires
Chaque jour, se dessine des je t’aime
Ma petite fleur des îles
Mon bébé, ma petite fille
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Mais aujourd’hui, ma faible raison se trouble et se confond
Comme pour pardonner, l’instinct répond
Du fruit que la vie a apporté
D’une frêle espérance, qu’un père peut donner
Et c’est mon cœur qui s’aiguise
Au biseau de ton âme
Et c’est ton cœur qui s’aiguise
A m’éviter une larme
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Poussé vers de nouveaux rivages
De nuit comme de jour
Jamais sur l’océan des sages
On a vu jeter l’encre, d’un si bel amour
D’une sanglante lumière
Sillonne une horrible prière
Entre un passé qui s’évapore
Et un avenir qui s’ignore
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
Et c’est bien parce que le bonheur est si fragile
Qu’il se façonne comme de l’argile
A ce lien qui nous unis
A jamais, je te promets ma vie
Et si ce banal encens, qui brûle mes mains
Se mesure au méprit, qu’on a fait des humains
C’est qu’avec l’effort, de l’orgueil en souffrance
On n’a jamais su, sortir ces mots du silence
*PETIT PONT SANS MUSIQUE : EN PARLANT.
*Je t’aime… Anaïs
*REFRAIN X1 :
*Depuis que tu es née
Je ne peux pas le renier
Ma vie, s’est vraiment transformée
Personne, ne peut rien y changer
Ni les regrets de ta mère
Ni moi, l’amour de ton père
Je prends vraiment plaisir
A te regarder grandir…
*LE FINAL : SOLO VIOLON.
leslarmesducoeur
Jeu 20 Sep 2007, 08:02 par
leslarmesducoeur sur Le grimoire d'amour
La demeure
Il habite une maison tout seul
Ils habitent tous chez lui
Maison qui est de chair et d’os
Sans murs sans fenêtres sans vie
Avec un jardin très vert
Et un étang rempli de larmes
Il vit avec tous les enfants
Il vit avec tous les anciens
Ses fouilles ce sont les hommes
Sa toiture des pêchés
Par les escaliers descendent
Les amours déjà rongés
Derrière le jardin se promènent
Les erreurs de son passe
Derrière les escaliers
Ni en pierre ni en marbre
Il y a un pont qui est en ruines
De regrets de pleurs de palabres
Il habite une maison tout seul
Ils habitent tous chez lui
Maison qui est de chair et d’os
Sans murs sans fenêtres sans vie...
Ils habitent tous chez lui
Maison qui est de chair et d’os
Sans murs sans fenêtres sans vie
Avec un jardin très vert
Et un étang rempli de larmes
Il vit avec tous les enfants
Il vit avec tous les anciens
Ses fouilles ce sont les hommes
Sa toiture des pêchés
Par les escaliers descendent
Les amours déjà rongés
Derrière le jardin se promènent
Les erreurs de son passe
Derrière les escaliers
Ni en pierre ni en marbre
Il y a un pont qui est en ruines
De regrets de pleurs de palabres
Il habite une maison tout seul
Ils habitent tous chez lui
Maison qui est de chair et d’os
Sans murs sans fenêtres sans vie...
Ven 07 Sep 2007, 06:17 par
pierre de la carolina sur Mille choses
Essaye moi...
Moi pauvre fou
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Moi qui ne suis même pas digne te regarder
Je suis fou de toi
Ma has echizado...
Tu m’as apporté la joie de vivre
Tu m’as donné l’envie
Ton sourire est comme la vie
Et je vois l’amour...
Mais je ne veux point te faire peur
Je ne suis qu’un homme
Pauvre et fou
Amoureux et passionné
Qui souhaiterait tout te donner
Juste pour un regard amoureux
Ou au moins un regard tendre
Qui me laisse l’espoir de former ta moitie...
Ne le prends pas à la première lettre
Si cela te fait peur
Mais sache que je suis honnête
Comme je ne l’ai été depuis longtemps
Essaye moi...
Juste pour une heure
Juste pour te faire une idée
Et je te le redonnerai cela au centuple
Si cela ne marche pas tannt pis
Il n y aura alors plus de regrets
Car moi je suis pour toi
Comme je ne l’ai pas été depuis
Jamais...
Este amor es el verdadero...
Trop encore je m’élance
Ne le prends pas tel quel
Si ce n’est pas ce que tu souhaites
Si cela te fait peur
Imagines moi comme un de plus
Et laisse moi te donner le peu que je suis
Alors tu te feras ton idée
Et consciente tu pourras faire ton choix
Essaye moi...
Du fait de notre envionnement
Je sais le danger que cela peut être
Mais oublions le futur
Pour nous concentrer en notre présent
Notre vie ne dépend pas d’eux
Mais de nous
Je ne veux certes pas les molester
Mais qu’il ait une possibilité
Qu’il existe une chance
Tant minuscule soit elle
Essaye moi...
Enfin si ton idée est claire
Si ton choix est fait
Et que celui ci est sans moi
Alors ainsi soit il
Je me rangerais à ce choix
Sache que je le respecterai
Comme à une femme
Et comme à une amie
Que je ne pourrai oublier...
J’aurai voulu te le dire de face
Devant ce coucher de soleil
Que nous avons partagé
Une nuit d’été
Mais je n’ai point voulu gâcher
Cette nuit exceptionnelle
Qui dans mon coeur réveille
Des sentiments troublés
Où j’aurais dû tout avouer....
Car sans toi
Je ne sais où cette vie
Va....
Ven 17 Août 2007, 01:36 par
Loyd sur Parler d'amour
NOTRE HISTOIRE
Une nuit entière à se raconter
A se découvrir, à se chercher
Une nuit entière sans se toucher
Sans s’effleurer, sans s’embrasser
L’impression de se connaître sans le savoir
L’impression d’être devant un miroir
Un désir qui né, qui emprisonne nos sens
Une histoire qui commence en dépit du bon sens
Une matinée entière à assouvir nos instincts
A se donner du plaisir, sans penser à demain
Une matinée entière où nos corps n’ont fait qu’un
Sans jamais se douter qu’il y aurait un demain
L’impression fugitive d’une lumière dans le noir
L’impression que peut-être, il y aurait un espoir
Des sentiments naissants, nous rendant impatients
Une histoire qui s’installe, nos deux cœurs qui s’emballent
Une nuit entière à se déclarer notre amour
A s’apaiser l’un de l’autre sans plus aucun détour
Une nuit entière à rêver au toujours
En espérant que cela puisse arriver un jour
L’impression que l’âme sœur est enfin arrivée
L’impression que soudain notre vie s’est éclairée
L’angoisse reprend ses droits, elle nous rend maladroits
Une histoire qui perdure, avec des moments durs
Une vie entière à nous rendre plus forts
A ne plus se demander qui a raison où tort
Une vie entière sans regrets, sans remords
A se rendre heureux, à la vie à la mort
A se découvrir, à se chercher
Une nuit entière sans se toucher
Sans s’effleurer, sans s’embrasser
L’impression de se connaître sans le savoir
L’impression d’être devant un miroir
Un désir qui né, qui emprisonne nos sens
Une histoire qui commence en dépit du bon sens
Une matinée entière à assouvir nos instincts
A se donner du plaisir, sans penser à demain
Une matinée entière où nos corps n’ont fait qu’un
Sans jamais se douter qu’il y aurait un demain
L’impression fugitive d’une lumière dans le noir
L’impression que peut-être, il y aurait un espoir
Des sentiments naissants, nous rendant impatients
Une histoire qui s’installe, nos deux cœurs qui s’emballent
Une nuit entière à se déclarer notre amour
A s’apaiser l’un de l’autre sans plus aucun détour
Une nuit entière à rêver au toujours
En espérant que cela puisse arriver un jour
L’impression que l’âme sœur est enfin arrivée
L’impression que soudain notre vie s’est éclairée
L’angoisse reprend ses droits, elle nous rend maladroits
Une histoire qui perdure, avec des moments durs
Une vie entière à nous rendre plus forts
A ne plus se demander qui a raison où tort
Une vie entière sans regrets, sans remords
A se rendre heureux, à la vie à la mort
Sam 19 Mai 2007, 10:21 par
asbarak sur Histoires d'amour
T'éveiller
J’aime tout ce que tu es que tu ne perçois pas,
Qui pourrait te surprendre si tu l’apercevais,
J’aime tout ce que tu caches, veux garder en retrait,
Tout ce que tu exprimes lorsque tu n’es pas toi.
Tes doutes indécisions, tes regards pleins d’émoi
Ce contrôle d’illusions, ce semblant d’assurance,
Qui dévoilent à mes yeux ton amer repentance
Tes regrets infondés de ne pas être droit.
Aimer c’est ressentir, être bien malgré tout,
Respirer, être heureuse, sereine malgré le flou,
Imaginer ta vie, désirer la nourrir
Je voulais te toucher, te goûter, te ravir,
M’abandonner discrète, éventuellement mourir,
à cette histoire réelle que tu ne perçois pas.
Qui pourrait te surprendre si tu l’apercevais,
J’aime tout ce que tu caches, veux garder en retrait,
Tout ce que tu exprimes lorsque tu n’es pas toi.
Tes doutes indécisions, tes regards pleins d’émoi
Ce contrôle d’illusions, ce semblant d’assurance,
Qui dévoilent à mes yeux ton amer repentance
Tes regrets infondés de ne pas être droit.
Aimer c’est ressentir, être bien malgré tout,
Respirer, être heureuse, sereine malgré le flou,
Imaginer ta vie, désirer la nourrir
Je voulais te toucher, te goûter, te ravir,
M’abandonner discrète, éventuellement mourir,
à cette histoire réelle que tu ne perçois pas.
Ven 13 Avril 2007, 16:29 par
jatea sur Parler d'amour
Fais-moi l'amour
Je t’ai dit que je te préviendrais
Quand j’en aurais envie
Lorsque je le voudrais.
Fais-moi l’amour.
Pour que j’oublie,
Fais-moi l’amour.
Pour l’effacer,
Fais-moi l’amour.
Comme on tire un trait
Sur des regrets,
Fais-moi l’amour.
Fais-moi l’amour,
Avec tes mots,
Avec tes gestes
Et ta douceur.
Il m’a fait mal,
Fais-moi l’amour.
Pour oublier toutes les larmes,
Pour les empêcher de couler,
Fais-moi l’amour.
Pour éviter
Que ma barque
Ne se mette
à sombrer
Et que mon corps
S’écrase nu
Sur des rochers
D’indifférence,
Fais-moi l’amour !
Comme un refrain,
Comme un sourire,
Comme un espoir,
Comme une rose
que l’on dépose
Au hasard
Et dont le temps
n’arrive pas altérer
Le parfum
de ce qu’on a aimé :
Fais-moi l’amour...
Quand j’en aurais envie
Lorsque je le voudrais.
Fais-moi l’amour.
Pour que j’oublie,
Fais-moi l’amour.
Pour l’effacer,
Fais-moi l’amour.
Comme on tire un trait
Sur des regrets,
Fais-moi l’amour.
Fais-moi l’amour,
Avec tes mots,
Avec tes gestes
Et ta douceur.
Il m’a fait mal,
Fais-moi l’amour.
Pour oublier toutes les larmes,
Pour les empêcher de couler,
Fais-moi l’amour.
Pour éviter
Que ma barque
Ne se mette
à sombrer
Et que mon corps
S’écrase nu
Sur des rochers
D’indifférence,
Fais-moi l’amour !
Comme un refrain,
Comme un sourire,
Comme un espoir,
Comme une rose
que l’on dépose
Au hasard
Et dont le temps
n’arrive pas altérer
Le parfum
de ce qu’on a aimé :
Fais-moi l’amour...
Jeu 18 Jan 2007, 13:33 par
dolce vita sur Parler d'amour
Marquise de la chaussée Lunaire
Marquise de la Chaussée-Lunaire,
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Escarpins à talons fins de la belle putain
Aiguilles plantées dans le flanc du défunt
Timbres d’une lettre à la dérive du temps,
Perdue dans un abîme profond de souffrance,
Trou noir de tourments aux couleurs d’amertume
Sentier escarpé de gravats et de regrets
Un glas triste et froid tinte
Le givre se fixe sur les longs cils humides
Bousculade de sentiments contradictoires
Terne dans son tailleur de velours noir
D’épaisses larmes de deuil, elle verse,
Inondée de souvenirs des années passées,
Ruissellent des images scandaleuses
Impudiques dans toute sa chair
Frissons d’extase s’entrechoquent
Corps transi de désespoir, la belle marquise
Pleure la disparition de son bel amant.
Adieu prince de ses rêves incandescents !
La marquise, Madame putain de la Lune, s’en est retournée,
Partie dans le désert des souvenirs,
Dans la balade éphémère de deux corps s’accouplant
Rose de soie, draps dessus dessous froissés
Transpirant de goutte au souffle d’un instant
Vent d’orage Marquise au grain de beauté voluptueux
Fanée de plaisir, fanée de mains chercheuses
Debout son chapeau à voilette dissimule sa peine
Porte-jartelles offert parfumé à la violette
Rangé, jeté, adieu les sursauts de plaisir
Bas résille pour nuits cuisantes d’appétit
Une fin piquante de détresse pour l’amant infidèle
Un pieu dans la braise de désirs interdits
La Marquise putain de la Lune décide
Dans sa main gantée de dépit amer
Déchirure au coin d’un feu de bois
Tison témoin d’une farouche nuit
La marquise simple putain de la lune
N’est plus la pucelle de l’attente
Aujourd’hui, elle dompte le brasier de ses sens
personne ne lira dans son corps la désolation
Drapée comme une grande dame le jour
La nuit elle devient livide de cauchemars
La marquise a une facette enflammée internée
La putain a une rose entre les seins
Pétales séchées effritées par le chagrin
La nuit ses amants réclament son indulgence
Des cris diffus et continus dans sa tête résonnent
La valse des roses baignent les nuits sombres
Des flots de larmes ont rempli le puit du temps perdu
Madame la marquis chaussées de talons aiguille
Crève d’un profond ennui dans ses draps de satin blanc
Sa lingerie délicieuse de promesses passagères
Hurle d’étouffement et d’odeur nouvelle
Un soir lourd de lassitude dans la canicule de ses draps
La coquine plus violente de plaisir entre les cuisses
D’un coup de talon aiguille est partie de la vie
Rejoindre son galant infidèle mais bon amant.
Fille du peuple.
Mer 03 Jan 2007, 17:09 par
Fille du peuple sur Mille choses
Rire, en rire, aimer et sourire !
Ah ! Que de larmes on peut lire ! Que de souffrance ! Que de regrets ! ! ! Plus chez les femmes il faut le dire que chez les hommes, il semblerait.
Mais, il faut être un peu léger avec les choses de l’amour et ne pas se formaliser si l’on s’est laissé berner :
Par un sourire,
Par des façons,
Par des mots que l’on a cru vrais...
Et celui qui hier vous disait « je t’aime » avec des sanglots dans la voix, vous dit aujourd’hui, "c’est elle que j’aime d’amour, toi tu n’existes pas" ! Allons, riez, faites la fête, moquez-vous bien de tout cela ! Toutes ces paroles, bille en tête, c’est de la bouillie pour les chats ! Rien de profond, rien de sincère, ils veulent se divertir de toi ! Allons, ne fais pas cette tête, le dupe ce ne sera pas toi !
L’amour qui brillait à ton front t’appartient et cela tu le sais, après tout que pourraient-ils y faire, le malmener ? Ceux qui ont fait semblant d’aimer, sont ma foi, leurs premières dupes, car ils ne font qu’approcher et ne sauront jamais goûter, aux délices que l’amour procure.
Réjouis-toi, le cœur léger, il est temps de tourner la page. Laisse-les bien se retourner sur les restes de leur triste gloire. Ils appartiennent au passé.
Mais, il faut être un peu léger avec les choses de l’amour et ne pas se formaliser si l’on s’est laissé berner :
Par un sourire,
Par des façons,
Par des mots que l’on a cru vrais...
Et celui qui hier vous disait « je t’aime » avec des sanglots dans la voix, vous dit aujourd’hui, "c’est elle que j’aime d’amour, toi tu n’existes pas" ! Allons, riez, faites la fête, moquez-vous bien de tout cela ! Toutes ces paroles, bille en tête, c’est de la bouillie pour les chats ! Rien de profond, rien de sincère, ils veulent se divertir de toi ! Allons, ne fais pas cette tête, le dupe ce ne sera pas toi !
L’amour qui brillait à ton front t’appartient et cela tu le sais, après tout que pourraient-ils y faire, le malmener ? Ceux qui ont fait semblant d’aimer, sont ma foi, leurs premières dupes, car ils ne font qu’approcher et ne sauront jamais goûter, aux délices que l’amour procure.
Réjouis-toi, le cœur léger, il est temps de tourner la page. Laisse-les bien se retourner sur les restes de leur triste gloire. Ils appartiennent au passé.
Dim 28 Mai 2006, 13:15 par
dolce vita sur Amour internet
A une ombre
Je te sens planer sur ma vie
En silence
Tes adieux n’ont pas effacé
Ta présence
Je chasse loin de mes pensées
La souffrance
De l’amour que tu veux tuer
Sans complaisance
Son parfum porte les regrets
Comme l’ambre
De ce qui nous a habité
Ce me semble
L’amour ne se peut tuer
Sans les cendres
Des coeurs que l’on a blessé
Au plus tendre
C’est par lui si l’on a joui
Oui, ensemble
C’est à lui que tu as menti
sans comprendre
En silence
Tes adieux n’ont pas effacé
Ta présence
Je chasse loin de mes pensées
La souffrance
De l’amour que tu veux tuer
Sans complaisance
Son parfum porte les regrets
Comme l’ambre
De ce qui nous a habité
Ce me semble
L’amour ne se peut tuer
Sans les cendres
Des coeurs que l’on a blessé
Au plus tendre
C’est par lui si l’on a joui
Oui, ensemble
C’est à lui que tu as menti
sans comprendre
Dim 28 Mai 2006, 09:56 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Pauvre Don Juan...
Lasse, j’avais pris ma voiture, une fois de plus, pour échapper aux sanglots qui m’étouffaient, besoin d’espace, besoin de respirer : Pourquoi ? Pourquoi jouent-ils donc à m’aimer ? Piètre comédie de funestes pantins qui plagient la mélodie de l’amour sans savoir la jouer. Pourquoi ce désir fou d’aimer et d’être aimée en vérité, à la folie, sans règles ni loi, juste dans la soif d’un amour que je sens brûler au plus profond de moi. Avec tristesse, force m’est de reconnaître que je les trouve vains malgré eux, malgré moi... Qu’ont-ils fait de la tendresse ? Aimant le tennis, les femmes, le chocolat... Consommant de l’amour pour une heure de folie, calculant bénéfice, intérêt et tout ça. Ils me donneraient envie de vomir, ces petits gars ! Si j’appelle l’amour ce n’est non par commodité ou pour combler un vide, c’est bien pour t’aimer. Ils viennent me séduire parfois et puis, me parlent d’elles, de leur cœur tout là-bas : mortel ennui. Je les écoute en soupirant, martelant mon bureau au rythme de mes rêveries distraites. Et s’ils ont un cœur qu’ils ont laissé près d’elles, que font-ils donc ici ? ! Et que croient-ils trouver ? L’aumône d’un sourire ou celle d’un baiser ? Tel autre qui en parlant d’amour évalue le profit que saurait lui procurer notre commerce...
De l’amour je ne veux que l’amour et rien d’autre. Cette relation privilégiée entre deux êtres, dans une tendre complicité, par nos différences enflammée. Et pourtant, comme une enfant blessée, le cœur déchiré par la meute rugissante et futile, je m’en vais quand je voudrais recevoir et donner tout l’amour qu’en mon cœur le Dieu qui m’a créée a pu verser.
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
De l’amour je ne veux que l’amour et rien d’autre. Cette relation privilégiée entre deux êtres, dans une tendre complicité, par nos différences enflammée. Et pourtant, comme une enfant blessée, le cœur déchiré par la meute rugissante et futile, je m’en vais quand je voudrais recevoir et donner tout l’amour qu’en mon cœur le Dieu qui m’a créée a pu verser.
Fatiguée d’être comme un caillou par les flots ballotté, je t’appelais en vain : "viens vite auprès de moi, que de l’amour enfin je puisse contempler le visage ici bas"... Trop souvent séduite par de faux reflets dont je sais m’éloigner, moi qui ne fais semblant, ni soupèse mes sentiments ; l’amour, de moi, longtemps, va-t-il se dérober ? Ils jouent à des jeux, font des mines, se rengorgent, personnages de carnaval, piètres. Je manque d’artifices, refusant de tromper. Je ne vais pas mentir et prétendre aimer ce qui me fait vomir... L’amour auquel j’aspire est-il bien de ce monde ? Et est-il bien pour moi ? Ce sera lui ou rien. L’Amour non pas l’ersatz, un placebo, guimauve ou bien triste miroir aux alouettes sur lequel les oiseaux sans cervelle vont briser et leur cœur et leurs ailes sans se décourager... Je les revoie qui feignent l’amour fou alors qu’ils sont mariés, pas libres ou occupés et ne cherchent vraiment qu’à jouir sans aimer et n’ont rien à donner que leurs tendres regrets. Où es-tu donc parti, existes-tu ailleurs que dans mes rêveries, toi que j’appelle ainsi ? Je vais fermer mon cœur à leurs mots doucereux, je ne répondrais plus qu’en découvrant tes yeux...
Jeu 16 Fév 2006, 11:54 par
dolce vita sur La séduction
Mille étoiles ...
La nuit est tombée depuis longtemps ..
Je l’ai pressentie dans le train, et dans la cours elle m’est apparue limpide et pleine d’étoiles ..
Toutes ces étoiles-âmes de nos aimés partis « là-bas » …
Ces jours-ci, il y en a une à laquelle tu penses,
Et moi je pense aussi aux miennes .. aux regrets, à la tristesse, à la souffrance ..
Mais la nuit est limpide .. si limpide et calme …
Eclairée par ces lumières, c’est une nuit sereine, triste oui, mais apaisante …
les étoiles sont là .. Voici leur cadeau :
Elles nous rappellent tout simplement ces moments précieux et tendres passés avec eux …
La vie est chaude comme un soleil … comme une abeille …
Dors mon amour … mes ailes sur toi … tout simplement ..
Je l’ai pressentie dans le train, et dans la cours elle m’est apparue limpide et pleine d’étoiles ..
Toutes ces étoiles-âmes de nos aimés partis « là-bas » …
Ces jours-ci, il y en a une à laquelle tu penses,
Et moi je pense aussi aux miennes .. aux regrets, à la tristesse, à la souffrance ..
Mais la nuit est limpide .. si limpide et calme …
Eclairée par ces lumières, c’est une nuit sereine, triste oui, mais apaisante …
les étoiles sont là .. Voici leur cadeau :
Elles nous rappellent tout simplement ces moments précieux et tendres passés avec eux …
La vie est chaude comme un soleil … comme une abeille …
Dors mon amour … mes ailes sur toi … tout simplement ..
Jeu 19 Jan 2006, 22:53 par
treets sur Mille choses
Ecrire sur regrets
Sors..., Un simple soirée..., Changement de cap., La vie, A TE REGARDER GRANDIR, La demeure, Essaye moi..., NOTRE HISTOIRE, T'éveiller, Fais-moi l'amour, Marquise de la chaussée Lunaire, Rire, en rire, aimer et sourire !, A une ombre, Pauvre Don Juan..., Mille étoiles ..., Il y a 41 textes utilisant le mot regrets. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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