Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur rire - Page 13 sur 14
Le Jardinier d'amour
De peur que je n’apprenne à te connaître trop facilement, tu joues avec moi. Tu m’éblouis de tes éclats de rire pour cacher tes larmes. Je connais tes artifices. Jamais tu ne dis le mot que tu voudrais dire. De peur que je ne t’apprécie pas, tu m’échappes de cent façons. De peur que je te confonde avec la foule, tu te tiens seule à part. Je connais tes artifices. Jamais tu ne prends le chemin que tu voudrais prendre. Tu demandes plus que les autres, c’est pourquoi tu es silencieuse. Avec une folâtre insouciance, tu évites mes dons. Je connais tes artifices. Jamais tu ne prends ce que tu voudrais prendre.
Rabindranath Tagore (Le Jardinier d’amour, XXXV)
Rabindranath Tagore (Le Jardinier d’amour, XXXV)
Comptines...
Posons nous dans les bois
Rien que pour toi et moi...
Oublions que le loup y est,
Sinon, il nous courtiserait...
Et alors ?
Il était un petit couple
Devant, sur la poupe
Il était un petit couple
Où il fait bon de vivre
Tenu par la main du rire...
Encore...
Sans savoir pourquoi cela
Aujourd’hui est hier
Vous ne comprenez rien
On s’aime encore un peu...
Une partie
Rien que l’ennuie.
Encore un peu
Un peu beaucoup.
Se soir, se soir là
Et tu m’oublieras encore...
( Réadaptation des comptines de notre enfance : "Promenons nous dans les bois", "Il était un petit homme", "A la claire fontaine", "Dodo, l’enfant do". )
Rien que pour toi et moi...
Oublions que le loup y est,
Sinon, il nous courtiserait...
Et alors ?
Il était un petit couple
Devant, sur la poupe
Il était un petit couple
Où il fait bon de vivre
Tenu par la main du rire...
Encore...
Sans savoir pourquoi cela
Aujourd’hui est hier
Vous ne comprenez rien
On s’aime encore un peu...
Une partie
Rien que l’ennuie.
Encore un peu
Un peu beaucoup.
Se soir, se soir là
Et tu m’oublieras encore...
( Réadaptation des comptines de notre enfance : "Promenons nous dans les bois", "Il était un petit homme", "A la claire fontaine", "Dodo, l’enfant do". )
Jeu 13 Mai 2004, 18:33 par
Rose sur L'amour en vrac
Leçon de courage...
Aimez-moi comme je vous déteste.
Tuez-moi quand je vous teste.
Abattez-moi à chaque inceste.
Oubliez-moi si vous avez peur du reste…
Vous croyez donc
Que l’on peut vivre d’amour et d’eau fraîche.
Je dirais donc
Que l’on survit si l’on ne goûte à ma pêche.
Attachez-moi si je ne vous mens.
Torturez-moi comme dans l’temps.
Fusillez-moi, je n’aime pas vos dents…
Vous pensiez quoi
Qu’il suffisait d’un sourire ou d’un rire.
Je dirais moi
Qu’il eut fallu être plus que mon hydre.
Gaspillez-moi si vous le voulez.
Trompez-moi, c’est décidé.
Vous rêvez que
Mon monde n’aura de sens sans vous.
Je rirais que
De me voir, vous deviendriez fous.
Confisquez-moi
Je mérite plus que votre corps.
Lapidez-moi
Je sais aimer sans avoir tort.
Je suis déesse, et même si cela cesse…
Je resterai femme qui jouira de votre âme…
Tuez-moi quand je vous teste.
Abattez-moi à chaque inceste.
Oubliez-moi si vous avez peur du reste…
Vous croyez donc
Que l’on peut vivre d’amour et d’eau fraîche.
Je dirais donc
Que l’on survit si l’on ne goûte à ma pêche.
Attachez-moi si je ne vous mens.
Torturez-moi comme dans l’temps.
Fusillez-moi, je n’aime pas vos dents…
Vous pensiez quoi
Qu’il suffisait d’un sourire ou d’un rire.
Je dirais moi
Qu’il eut fallu être plus que mon hydre.
Gaspillez-moi si vous le voulez.
Trompez-moi, c’est décidé.
Vous rêvez que
Mon monde n’aura de sens sans vous.
Je rirais que
De me voir, vous deviendriez fous.
Confisquez-moi
Je mérite plus que votre corps.
Lapidez-moi
Je sais aimer sans avoir tort.
Je suis déesse, et même si cela cesse…
Je resterai femme qui jouira de votre âme…
Mar 11 Mai 2004, 16:37 par
Rose sur Les liaisons sulfureuses
Venez, approchez… Goûtez !
Je ne savais encore
Et ne m’attendais pas…
Tracer les lignes de nos vies sur ton corps,
Abriter cela dans le creux de nos bras,
Imaginer toutes ses fureurs,
Manger tes sens durant des heures,
Et recommencer à chaque regard,
Minauder notre appétit de l’art…
Oublier les manières ?
Ici et là, nous les trahirons
Nous les jetterons ces gascons
Sans pousser milles et une prières…
Quémander la différence,
Usurper les titres de nos ancêtres,
Et les abandonner à leur destin…
Jouer sans plus de carences,
Effacer les douleurs de son être,
Nager jusqu’à n’en avoir plus faim…
Encore, l’on parle et l’on chante
Toujours, l’on écrit et l’on rêve…
Aujourd‘hui,
De gravir nos pentes
On vous propose sans grève…
Rire et sourire n’est point fini…
Et venir s’aimer dans les draps de nos doigts…
Et ne m’attendais pas…
Tracer les lignes de nos vies sur ton corps,
Abriter cela dans le creux de nos bras,
Imaginer toutes ses fureurs,
Manger tes sens durant des heures,
Et recommencer à chaque regard,
Minauder notre appétit de l’art…
Oublier les manières ?
Ici et là, nous les trahirons
Nous les jetterons ces gascons
Sans pousser milles et une prières…
Quémander la différence,
Usurper les titres de nos ancêtres,
Et les abandonner à leur destin…
Jouer sans plus de carences,
Effacer les douleurs de son être,
Nager jusqu’à n’en avoir plus faim…
Encore, l’on parle et l’on chante
Toujours, l’on écrit et l’on rêve…
Aujourd‘hui,
De gravir nos pentes
On vous propose sans grève…
Rire et sourire n’est point fini…
Et venir s’aimer dans les draps de nos doigts…
Dim 25 Avril 2004, 10:37 par
Rose sur L'amour en vrac
Suite à l'Avorton ....
à mon étoile a écrit: |
Boire à grandes gorgées Les petits plaisirs moments partagés S’encenser des effluves épicées Se fondre dans le décor calciné... pfffff inspiration arrêtée nette, je sais pas pourquoi... Bisous de moi (...tiens, je re re-rime !!!) |
Dévorer à pleine dent
Les minutes précieuses, les instants
Les mets délicats, les plats de géants
Se gorger avant de ressentir le brûlant...
Danser sur sa valse endiablée
Se laisser emporter par sa voix, envoutée
S’enivrer de ses rythmes saccadés
Avant de s’effondrer sur la piste, épuisée...
Voler au-delà des frontières du réel
Très loin, jusqu’à toucher le soleil
Fermer les yeux, déployer ses ailes
Puis s’écraser sur le sol au réveil...
Rêver plus fort
De monde meilleur, de vie en or
De folies, de rire, d’encore
Et se demander pour quoi tout ça est mort...
A poursuivre.. dans une autre inspiration....
Mar 20 Avril 2004, 20:31 par
la marquise de sade sur L'amour en vrac
Désirs...
Désirs
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.
Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.
Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.
Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.
Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des larmes de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….
Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était conscient,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….
Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.
J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
J’aurais voulu, avec mes mains,
Nous composer un long demain ;
J’aurais aimé, avec mon cœur,
Nous offrir une constellation de bonheur ;
J’aurais osé, avec ma conviction,
Nous octroyer une longue et belle Passion.
Passion.
Faire frémir ton corps,
D’interminables frissons.
Te jeter un sort
Et que ton âme, j’en prenne Possession.
Possession.
Te tenir par mon cœur,
A bout de souffle, rire.
Te choyer, te chérir,
Te porter en Vainqueur.
Vainqueur.
Te déclarer toi, le Seul et l’Unique,
En musique, symphonie fantastique.
Nous, les meilleurs accords du monde,
Puis, épuisés, les pires ennemis, Immondes.
Immonde.
Symphonie dramatique se consumant peu à peu,
Doucement remplacée… puis viennent des larmes de feu.
Petit à petit, ce goût amer, presque insipide et pathétique,
Laisse place à une mort lente, belle et Sarcastique….
Sarcastique.
Triste constat,
Je m’étais offerte à toi,
Entière soumise et puissante,
Regarde moi, ose ! Je suis incandescente.
J’ai brûlé dans ton âme,
J’ai crié, supplié, une seule arme,
Afin que cette douleur puisse cesser,
Enfin, taire en moi cet incendie ravageur,
Oublier mon âme meurtrie, blessée
L’abandonner à tous ces carnassiers du cœur.
J’ai vainement tenté,
Essayé de réconcilier,
Nos sentiments égarés,
Puis, dans ton long silence aux griffes acérées,
Tu m’as enfermée,
Murée vivante,
Non consentante.
Pourtant, j’ai imploré,
Que sur moi s’abatte ton jugement,
Pourtant, j’avoue, du verbe aimer,
Personne autour de nous n’était conscient,
De sa fougue, de sa puissance,
De son éloquence à la limite de l’impertinence…
Je croyais avoir trouvé mon reflet,
J’avais espéré qu’il nous conviendrait…
Ses contours fébrilement dessinés,
Nos deux mains ne semblaient qu’une à les tracer….
Maintenant, une longue tâche je dois exécuter,
De tous tes envoûtements, avec acharnement, méticuleusement :
Ton image, ta voix, ta chaleur, je dois les exorciser.
J’effleure le pire,
J’effeuille tes rires,
Ta voix je prends,
Ta chaleur, j’entends.
Tes délires, un moment… j’attends.
Puis, doucement,
Les range consciencieusement
Dans mon tiroir secrètement,
Tout au fond, bien gardés,
Ils resteront à jamais gravés...
Mar 20 Avril 2004, 14:33 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Avorton de texte....
C’est la course folle et effrénée,
C’est la vie qui, un instant, a dérapé,
Les gens qui m’entourent commencent par m’exaspérer,
Serait-ce si impossible d’utiliser le verbe apprécier
A sa juste valeur,
Les essences du bonheur ?
Fixer ces moments fugaces
Arrêter ceux là, les plus cocasses.
Mais les choses il faut dire
Et c’est aussi conjuguer le verbe rire
Rire parce qu’on est vivant
Vivre parce qu’on fait semblant....
Boire à grandes gorgées
Les petits plaisirs moments partagés
S’encenser des effluves épicées
Se fondre dans le décor calciné...
pfffff inspiration arrêtée nette, je sais pas pourquoi...
Bisous de moi
(...tiens, je re re-rime !!!)
C’est la vie qui, un instant, a dérapé,
Les gens qui m’entourent commencent par m’exaspérer,
Serait-ce si impossible d’utiliser le verbe apprécier
A sa juste valeur,
Les essences du bonheur ?
Fixer ces moments fugaces
Arrêter ceux là, les plus cocasses.
Mais les choses il faut dire
Et c’est aussi conjuguer le verbe rire
Rire parce qu’on est vivant
Vivre parce qu’on fait semblant....
Boire à grandes gorgées
Les petits plaisirs moments partagés
S’encenser des effluves épicées
Se fondre dans le décor calciné...
pfffff inspiration arrêtée nette, je sais pas pourquoi...
Bisous de moi
(...tiens, je re re-rime !!!)
Mar 20 Avril 2004, 10:16 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
C'était en juin....
Absence
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Création du mot « insoutenance »
Je suis vidée de toute cette errance
Aide-moi, emmène-moi
Dans ton dos derrière toi
Cette dernière tolérance
Ce besoin de défaillance
Cette inéluctable connivence
Cet insoutenable délivrance
Je ne suis qu’onomatopée,
Face à ce silence
J’existe en pointillé
Face à ton absence
J’implore de toi, ta délicieuse
Imprévision, ton étonnant
Pouvoir de facilité
Ton toi, ton rire, ton âme incontrôlée
Fais-moi signe, je suis d’une fragilité
Digne de l’arc-en-ciel, riche en sentiments
Regarde-moi, je suis prodigieuse…
Laisse-moi tes mots, tes phrases abrégées
Enivre-moi de cette douce volupté
Emmène-moi au pays des étoiles nées
Et de leur incroyable destinée.
Emmène-moi loin de tout cela
Laisse-moi croire à ça
Laisse-moi y croire, j en ai besoin
Vivre au loin
Ensemble même longueur d’onde
Vite, n’attendons pas que le monde
Reste sur ce canal
Quelque peu banal
L’un sans l’autre
Impossible, violence dans mes mots
Que veux-tu que j’y fasse…. Nous sommes l’autre.….
Toi sans moi, souffrance soubressaut
Besoin de toi, mon doux, mon tendre, mon château….
Besoin de toi, chaleur, tendresse, complicité
Envie de rire, de chahuter, de pleurer
Etrange sensation de liberté
Des nuages se moquer….
Avec la pluie se laver
Il me faut toi
Il me faut ton toi, ton âme, tes rires
Il me faut, en soi,
Qu’un irrésistible besoin de parcourir
Cette vie avec toi…..
Écoute-moi, regarde-moi
Je sens les choses, je les vis
Entends-moi, accompagne-moi
Aide-moi, je t’en prie……
Je t’aime
Dim 18 Avril 2004, 22:57 par
à mon étoile sur L'amour en vrac
Je me souviens...
Aujourd’hui je n’arrête pas d’y penser
Et je ne sais pas très bien ce que je fais ici
Tu t’en es allée et as laissé
Un vide au fond de moi
Je me souviens pourquoi tu étais
L’étincelle qui me faisait vivre
A tes côtés je me sentais protégé
Et maintenant il n’existe plus de sourire
Il n’y a plus rien qui puisse te faire rire
Et je me souviens de la tendresse et des baisers
Que parfois je ne donnais pas
Depuis je ne vois plus
Autre chose dans mon être
Et maintenant que tu es partie
Je ne te reverrai plus
On ne sera plus seuls
Je ne verrai plus tes yeux
Je marche seul et je pense
A toutes les choses que nous avions à faire
En ces gestes qui étaient nôtres
Que désormais seul je ne peux plus avoir
Et je me souviens de la tendresse et des baisers
Que parfois je ne donnais pas...
SadLoyd à travers le chant du fou.
Et je ne sais pas très bien ce que je fais ici
Tu t’en es allée et as laissé
Un vide au fond de moi
Je me souviens pourquoi tu étais
L’étincelle qui me faisait vivre
A tes côtés je me sentais protégé
Et maintenant il n’existe plus de sourire
Il n’y a plus rien qui puisse te faire rire
Et je me souviens de la tendresse et des baisers
Que parfois je ne donnais pas
Depuis je ne vois plus
Autre chose dans mon être
Et maintenant que tu es partie
Je ne te reverrai plus
On ne sera plus seuls
Je ne verrai plus tes yeux
Je marche seul et je pense
A toutes les choses que nous avions à faire
En ces gestes qui étaient nôtres
Que désormais seul je ne peux plus avoir
Et je me souviens de la tendresse et des baisers
Que parfois je ne donnais pas...
SadLoyd à travers le chant du fou.
Ven 09 Avril 2004, 09:26 par
Loyd sur L'amour en vrac
un 14 juillet à Paris (3)
Passage devant le Panthéon. Court arrêt. Quelle est la dernière personne introduite en ce haut lieu ? Bof …passons.
Le jardin du Luxembourg. Un peu de temps devant nous, une chaleur qui s’affirme et les jambes un peu lourdes nous conseillent de profiter de la beauté de l’endroit et de ses recoins ombragés. Une fanfare joue sous le kiosque, devant une foule attentive. Quatre chaises libres et nous nous posons là, sous la protection de platanes bienfaiteurs. Quelques instants de répit après une matinée de marche. Douce somnolence musicale. Mes yeux se ferment, mes pensées s’envolent. Je nous imagine ici-même, mon rêve t’ayant déposé sur mes genoux. Mes bras encerclent ta taille, les tiens s’enroulent autour de mon cou. Tu as laissé reposé ta tête sur mon épaule. Nous profitons nonchalamment des notes mélodieuses qui se perdent dans l’air.
Réveil …il est temps de reprendre notre chemin. Nous flânons à travers le Jardin. Sous ce soleil lumineux, l’herbe apparaît plus verte que jamais. Les gens semblent plus heureux les uns que les autres. Des amoureux enlacés, des vieux couples attendrissants, des enfants qui s’essoufflent dans de folles chevauchés. Les silences succèdent aux éclats de rire qui s’envolent avec les pigeons. Contrefaçon de paradis. Nous nous sommes d’ailleurs arrêté de nouveau pour nous imprégner de cette atmosphère apaisante.
Accoudés à cette rambarde en pierre blanche qui surplombe les parties les plus basses du jardin, nous avalons la douceur ambiante, nous respirons la joie de vivre éparpillée dans chaque recoin. Tu joues avec tes lunettes de soleil. Tu nous dit qu’elle t’ont coûté assez cher, que ce sont les mêmes que celles portées par je ne sais qui , sans doute très célèbre. Tu les replaces sur ton nez et prends cette expression mutine qui m’anéantit. Une vraie star, ma star. Je t’aimais aussi comme ça.
Passage au milieu des terrains de boules et nous quittons les lieux, non sans avoir jeté un œil au Palais.
Nous approchons maintenant de notre but mais, Chronos, généreux en ce dimanche, nous accorde le droit de prendre un verre dans un café proche de la gare. Le soleil, toujours, inonde la terrasse. Je me suis assis en face de toi. Je profite des derniers instants, je n’ai pas envie de te quitter. Je voudrais tes yeux en carte postale souvenir de ces dernières heures. Tu as commandé un Perrier menthe mais des particules étrangères s’ébrouent au milieu des bulles. Nous en profitons pour te taquiner gentiment. Dans un sourire gêné tu demandes au serveur de te le changer. Je t’observe du coin de l’œil …ce sourire ! je t’aimais aussi comme ça.
Nous voici enfin à la gare Montparnasse. Calme comme un dimanche d’été en fin d’après-midi. Je ne l’avais jamais connu aussi peu fréquentée. Elle me semble déserte. Les voyageurs qui déambulent m’apparaissent comme des spectres. Usé par cette journée, magnifique et horrible à la fois, un voile blanc affaiblit ma vue. J’ai les yeux embués de tristesse. Montée vers les quais Grandes Lignes. Je rêve à un adieu de cinéma. Film en noir et blanc, baiser langoureux et séparation déchirante. Un « je t’aime » dans un soupir de départ. Je n’aurais que deux bises sur la joue que je recevrais comme une paire de claques, un « au-revoir-à-bientôt » comme une lame plantée dans l’estomac.
Je monte dans le train, départ pour l’amertume…
Ce 14 juillet un extrémiste de la politique a voulu tuer le président. Il l’a raté. Il est en prison.
Ce 14 juillet un extrémiste de l’amour a voulu tuer ses souffrances. Il s’est raté. Son cœur est en prison.
Le jardin du Luxembourg. Un peu de temps devant nous, une chaleur qui s’affirme et les jambes un peu lourdes nous conseillent de profiter de la beauté de l’endroit et de ses recoins ombragés. Une fanfare joue sous le kiosque, devant une foule attentive. Quatre chaises libres et nous nous posons là, sous la protection de platanes bienfaiteurs. Quelques instants de répit après une matinée de marche. Douce somnolence musicale. Mes yeux se ferment, mes pensées s’envolent. Je nous imagine ici-même, mon rêve t’ayant déposé sur mes genoux. Mes bras encerclent ta taille, les tiens s’enroulent autour de mon cou. Tu as laissé reposé ta tête sur mon épaule. Nous profitons nonchalamment des notes mélodieuses qui se perdent dans l’air.
Réveil …il est temps de reprendre notre chemin. Nous flânons à travers le Jardin. Sous ce soleil lumineux, l’herbe apparaît plus verte que jamais. Les gens semblent plus heureux les uns que les autres. Des amoureux enlacés, des vieux couples attendrissants, des enfants qui s’essoufflent dans de folles chevauchés. Les silences succèdent aux éclats de rire qui s’envolent avec les pigeons. Contrefaçon de paradis. Nous nous sommes d’ailleurs arrêté de nouveau pour nous imprégner de cette atmosphère apaisante.
Accoudés à cette rambarde en pierre blanche qui surplombe les parties les plus basses du jardin, nous avalons la douceur ambiante, nous respirons la joie de vivre éparpillée dans chaque recoin. Tu joues avec tes lunettes de soleil. Tu nous dit qu’elle t’ont coûté assez cher, que ce sont les mêmes que celles portées par je ne sais qui , sans doute très célèbre. Tu les replaces sur ton nez et prends cette expression mutine qui m’anéantit. Une vraie star, ma star. Je t’aimais aussi comme ça.
Passage au milieu des terrains de boules et nous quittons les lieux, non sans avoir jeté un œil au Palais.
Nous approchons maintenant de notre but mais, Chronos, généreux en ce dimanche, nous accorde le droit de prendre un verre dans un café proche de la gare. Le soleil, toujours, inonde la terrasse. Je me suis assis en face de toi. Je profite des derniers instants, je n’ai pas envie de te quitter. Je voudrais tes yeux en carte postale souvenir de ces dernières heures. Tu as commandé un Perrier menthe mais des particules étrangères s’ébrouent au milieu des bulles. Nous en profitons pour te taquiner gentiment. Dans un sourire gêné tu demandes au serveur de te le changer. Je t’observe du coin de l’œil …ce sourire ! je t’aimais aussi comme ça.
Nous voici enfin à la gare Montparnasse. Calme comme un dimanche d’été en fin d’après-midi. Je ne l’avais jamais connu aussi peu fréquentée. Elle me semble déserte. Les voyageurs qui déambulent m’apparaissent comme des spectres. Usé par cette journée, magnifique et horrible à la fois, un voile blanc affaiblit ma vue. J’ai les yeux embués de tristesse. Montée vers les quais Grandes Lignes. Je rêve à un adieu de cinéma. Film en noir et blanc, baiser langoureux et séparation déchirante. Un « je t’aime » dans un soupir de départ. Je n’aurais que deux bises sur la joue que je recevrais comme une paire de claques, un « au-revoir-à-bientôt » comme une lame plantée dans l’estomac.
Je monte dans le train, départ pour l’amertume…
Ce 14 juillet un extrémiste de la politique a voulu tuer le président. Il l’a raté. Il est en prison.
Ce 14 juillet un extrémiste de l’amour a voulu tuer ses souffrances. Il s’est raté. Son cœur est en prison.
Dim 21 Mars 2004, 23:08 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
à bien vite mon éternel
Mon cher et tendre partenaire,
Encore une fois tu m’as trompée, encore une fois tes mains ont caressé d’autres contours que les miens, tes yeux ont croisé un regard différent du mien, tes mots ont fait rêver une autre que moi, ton corps a submergé un autre espace que le nôtre...
Nous nous sommes jurés une fidélité éternelle, indestructible, toi le salaud, moi la maîtresse de tant d’autres sales cons. Tu me délaisses? J’irai t’oublier dans d’autres âmes, dans d’autres corps, dans d’autres coeurs, aussi fragiles et purs que le tien.
Je m’endormirai sans toi, je me réveillerai aussi sans toi, j’entendrai ton rire à travers les leurs, leurs larmes seront les tiennes, ils regretteront de ne pas m’avoir quittée dès les premières heures, de ne pas m’avoir fui avant que je ne les possède tout entiers, pour eux demain sera moi, je serai leur quotidien, leur avenir perdu, leurs rêves, leurs espoirs, leurs fantasmes, la maîtresse parfaite, idéale, discrète, l’amie, la confidente, la mère et l’épouse, le frère et l’enfant. Je comblerai chez eux aussi tout ce que ces femmes de pacotille ne peuvent comprendre, tous ces vides qu’elles veulent envahir, sans même en connaitre le contenu.. C’est plein de choses le vide...
Tu te souviens de nos transes? De ce vide que nous remplissions jusqu’à le faire déborder de jouissance? De ces planètes rien qu’à nous, où la nuit était éternelle ? De ces mondes de mystère que nous percions à grands coups de rires, de paroles, de cris, de soupirs? De ces heures où nos esprits se muaient en un seul et même avenir? Te souviens-tu de tout cela?
Oui, tu t’en souviens... Tu me critiques, me maudits, me détestes, mais tu m’aimes, m’envies, me désires, m’espères.
Va mon petit prince... Va explorer d’autres contrées, d’autres soupirs, d’autres compagnes...
Va te repaître d’autres corps, jouir d’autres plaisirs, rêver d’autres avenirs...
Va... Et reviens moi vite, à moi, ta compagne la plus aimée de toutes, moi ton âme soeur, moi ton demain, moi ta souffrance, moi ta magnifique, moi ton monde, moi ta Solitude...
Encore une fois tu m’as trompée, encore une fois tes mains ont caressé d’autres contours que les miens, tes yeux ont croisé un regard différent du mien, tes mots ont fait rêver une autre que moi, ton corps a submergé un autre espace que le nôtre...
Nous nous sommes jurés une fidélité éternelle, indestructible, toi le salaud, moi la maîtresse de tant d’autres sales cons. Tu me délaisses? J’irai t’oublier dans d’autres âmes, dans d’autres corps, dans d’autres coeurs, aussi fragiles et purs que le tien.
Je m’endormirai sans toi, je me réveillerai aussi sans toi, j’entendrai ton rire à travers les leurs, leurs larmes seront les tiennes, ils regretteront de ne pas m’avoir quittée dès les premières heures, de ne pas m’avoir fui avant que je ne les possède tout entiers, pour eux demain sera moi, je serai leur quotidien, leur avenir perdu, leurs rêves, leurs espoirs, leurs fantasmes, la maîtresse parfaite, idéale, discrète, l’amie, la confidente, la mère et l’épouse, le frère et l’enfant. Je comblerai chez eux aussi tout ce que ces femmes de pacotille ne peuvent comprendre, tous ces vides qu’elles veulent envahir, sans même en connaitre le contenu.. C’est plein de choses le vide...
Tu te souviens de nos transes? De ce vide que nous remplissions jusqu’à le faire déborder de jouissance? De ces planètes rien qu’à nous, où la nuit était éternelle ? De ces mondes de mystère que nous percions à grands coups de rires, de paroles, de cris, de soupirs? De ces heures où nos esprits se muaient en un seul et même avenir? Te souviens-tu de tout cela?
Oui, tu t’en souviens... Tu me critiques, me maudits, me détestes, mais tu m’aimes, m’envies, me désires, m’espères.
Va mon petit prince... Va explorer d’autres contrées, d’autres soupirs, d’autres compagnes...
Va te repaître d’autres corps, jouir d’autres plaisirs, rêver d’autres avenirs...
Va... Et reviens moi vite, à moi, ta compagne la plus aimée de toutes, moi ton âme soeur, moi ton demain, moi ta souffrance, moi ta magnifique, moi ton monde, moi ta Solitude...
Sam 28 Fév 2004, 14:32 par
la marquise de sade sur La vie à deux
A bout de souffle - Les hurlements de Léo
Les yeux ébouriffés de complexes,
J’me rafistole tant bien que mal,
une allure empruntée à un héros d’cinéma qui ignore l’existence des couleurs,
un sourire aussi avenant qu’une porte de prison qui connait l’existence des voleurs,
J’suis partout comme ailleurs, transparent et tout seul,
second rôle dans un film noir et blanc,
Elles ont trop vécu, entendu ! tes leçons d’politesse,
je les oublie, je regarde devant moi
elles sont trop crues, superflues,
tes leçons de tendresse,
tes caresses me laissent un goût de tristesse
Les yeux ébouriffés de détresse quand elle m’envoie me faire foutre tranquillement,
en me disant qu’j’suis plus drôle,qu’mes amis sont pénibles,
tu préfères sans aucun doute, la version édulcorée de notre love story spaghetti, dans laquelle madame serait servie
Il va sans dire que je n’ai pas su regarder devant moi,
il peut en rire celui qui s’accroche à ton bras
elles ont trop vécu, entendu ! tes leçons d’gentillesse,
je t’oublie, je te laisse derrière moi,
Elles sont trop crues, superflues, tes belles leçons de fesses,
je n’y crois plus, je t’aime pas, je te laisse
Les yeux éclaboussés de clichés, elle déambule, soigne le mâle par la racine,
elle passe l’éponge sur notre péloche de série b, nos repas trop arrossés, nos gueules de bois pas assumées, nos histoires d’endimanchés, nos rock’nroll d’supermarchés,
la vie d’un acteur amateur et d’une actrice un peu raté
qui sont partout comme ailleurs, transparents et tout seuls,
à bout de souffle dans un film noir et blanc.
J’me rafistole tant bien que mal,
une allure empruntée à un héros d’cinéma qui ignore l’existence des couleurs,
un sourire aussi avenant qu’une porte de prison qui connait l’existence des voleurs,
J’suis partout comme ailleurs, transparent et tout seul,
second rôle dans un film noir et blanc,
Elles ont trop vécu, entendu ! tes leçons d’politesse,
je les oublie, je regarde devant moi
elles sont trop crues, superflues,
tes leçons de tendresse,
tes caresses me laissent un goût de tristesse
Les yeux ébouriffés de détresse quand elle m’envoie me faire foutre tranquillement,
en me disant qu’j’suis plus drôle,qu’mes amis sont pénibles,
tu préfères sans aucun doute, la version édulcorée de notre love story spaghetti, dans laquelle madame serait servie
Il va sans dire que je n’ai pas su regarder devant moi,
il peut en rire celui qui s’accroche à ton bras
elles ont trop vécu, entendu ! tes leçons d’gentillesse,
je t’oublie, je te laisse derrière moi,
Elles sont trop crues, superflues, tes belles leçons de fesses,
je n’y crois plus, je t’aime pas, je te laisse
Les yeux éclaboussés de clichés, elle déambule, soigne le mâle par la racine,
elle passe l’éponge sur notre péloche de série b, nos repas trop arrossés, nos gueules de bois pas assumées, nos histoires d’endimanchés, nos rock’nroll d’supermarchés,
la vie d’un acteur amateur et d’une actrice un peu raté
qui sont partout comme ailleurs, transparents et tout seuls,
à bout de souffle dans un film noir et blanc.
Ven 27 Fév 2004, 00:06 par
la_tulipe_noire sur La vie à deux
et on dit que la femme ne sait pas ce qu'elle veut! tsssssss
Qu’y a t’il de pire qu’une femme ?
Deux femmes.
Pourtant, ça fait une raison de plus de ne même plus donner un coup de main pour la vaiselle !
La bigamie, c’est quand on a deux femmes ; la monotonie, c’est quand on en n’a qu’une.
Faudrait savoir... c’est mieux une ou deux??
Mais au vue de ces deux citations, je ne peux penser qu’à une seule chose, c’est que ces deux messieurs (t’inquiete pas PetitPrince, je vais arriver à toi aussi ) ... vous ne devez pas encore avoir trouvé la femme qui vous écoute quand vous vous sentez minable, qui vous masse les épaules quand vous rentrez fourbus d’une journée de travail, qui vous regarde comme si vous etiez l’homme idéal, qui vous attend quand vous rentrez un peu en retard avec un sourire et un "c’est pas grave" , qui vous fait l’amour lentement, passionnément, comme si c’était la première fois, qui vous fait rire, vous étonne, vous surprend, vous épate, vous émerveille....
La marquise.. defendresse des femmes mal jugées
Deux femmes.
Pourtant, ça fait une raison de plus de ne même plus donner un coup de main pour la vaiselle !
La bigamie, c’est quand on a deux femmes ; la monotonie, c’est quand on en n’a qu’une.
Faudrait savoir... c’est mieux une ou deux??
Mais au vue de ces deux citations, je ne peux penser qu’à une seule chose, c’est que ces deux messieurs (t’inquiete pas PetitPrince, je vais arriver à toi aussi ) ... vous ne devez pas encore avoir trouvé la femme qui vous écoute quand vous vous sentez minable, qui vous masse les épaules quand vous rentrez fourbus d’une journée de travail, qui vous regarde comme si vous etiez l’homme idéal, qui vous attend quand vous rentrez un peu en retard avec un sourire et un "c’est pas grave" , qui vous fait l’amour lentement, passionnément, comme si c’était la première fois, qui vous fait rire, vous étonne, vous surprend, vous épate, vous émerveille....
La marquise.. defendresse des femmes mal jugées
Mar 24 Fév 2004, 18:34 par
la marquise de sade sur Citations
Une réponse.
Citation: |
la marquise de sade a écrit: "Qu’est-ce qui chez vous peut déclencher un élan de tendresse que vous ne pouvez réfreiner?" (dans un contexte amoureux ou ailleurs! ) |
Je dirais simplement un sourire qui sort de l’ordinaire, difficile à exprimer ce qu’est l’ordinaire, mais les sourires se font si rares.
Ce sont parfois de simples leurres, des mimiques crispées dissimulant une profonde appréhension, mais il reste qu’ils donnent chaud au coeur.
Voir un enfant jouer seul m’attendrit, je me dis qu’il s’amuse, seul en aparence, mais avec lui son imaginaire, cette capacité à voir ce qui est invisible, à répondre à ses reves, à rire non plus seul mais avec soi meme, et cette petite frimousse d’ange, là je fond.
Et voir un couple, quel que soit son age, se regarder avec cette lueur qui les transporte dans un autre monde, ce n’est plus une expression charnelle, visible, impossible à occulter, mais un désir qui se devine dans leur regard.
Au fait, bonjour tout le monde... Je suis nouvelle.
Sam 14 Fév 2004, 21:16 par
stella sur La séduction
Mes premieres fois
Premier bisou: pendant les vacances d’été (quand j’y repense ), jeune, enfin 15 ans, bon j’avoue j’avais déjà un peu de retard dans ce domaine. Donc pendant les vacances d’été aux sables d Olonne sous un lampadaire dans une petite rue mal éclairée, ce superbe blond aux yeux bleus m’a complètement fait chavirer. Il m a pris dans ses bras, mon coeur allait à 250, j’ai cru qu’il allait lâcher au moment crucial! Sa tête s’est rapprochée, ses yeux se sont fermés (pour ne pas faire trop novice j’ai fermé les miens, mais j’avoue que j’étais curieuse, et ne pas voir ce qui allait se passer me stressait un peu) et j’ai senti ses lèvres se poser sur les miennes (c’était beau ), quand la bande de copain qu’on avait distancée a crié "Tony?!" (prénom de mon beau blond). Enfin... ce fut court mais intense et comme je partais chez moi le lendemain… bah notre belle histoire s’est arrêtée là
Premier kissing sérieux : bon il m a bien fallu un an pour me remettre de mon premier bisou Donc à 17 ans, j ai rencontre Stéphane hummm Stéphane, Stéphane, Stéphane, un brun aux yeux bleus une bombeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!! On était à la patinoire avec tout un groupe d’amis et Stéphane m’a prise par la main et nous sommes sortis de la patinoire. Là, il m’a regardé et m’a embrassé. Ce fut un moment trop agréable. Si je pouvais le revivre tous les jours ça serait un vrai bonheur. Mais malheureusement, c’était le cousin d’une copine qui vivait à 500km. (Stéphane si tu lis le message, j attend ton mail )
Le premier câlin poussé : avec un petit copain vers 17 ans et demi. Bah en fait je ne l’aimais pas vraiment donc je ne voulais pas aller plus loin. En plus je l’ai trompé avec son meilleur ami donc j’étais pas très fière.
Premiere grand calin : là, quand j’y repense, je suis morte de rire! J’avais 18 ans et quelques mois, ça faisait 2 mois qu’on était ensemble et un soir j’ai décidé de me lancer! Pétée de rire, 3 minutes chrono Bah oui, je suis curieuse, donc j’avais regardé l’heure avant que ce jeune homme s’invite en moi et quand ce fut terminé, il était ravi depuis le temps qu’il attendait et moi je me disais :" si c’est ça l amour j’ai rien senti... c’est pas aussi génial qu’on le dit "
Donc j’en garde pas un mauvais souvenir ni un bon mais quand j’y repense maintenant, je suis morte de rire.
Et pour finir je voudrais quand même remercier ma maman pour avoir essuyé les larmes, pour avoir endurer mes coups de gueule, pour m’avoir attendu jusqu’à 4 heures dans ma chambre quand je faisais le mur, mais surtout pour m’avoir expliqué que la personne de mon premier grand câlin était un éjaculateur précoce et que le problème ne venait pas de moi
Premier kissing sérieux : bon il m a bien fallu un an pour me remettre de mon premier bisou Donc à 17 ans, j ai rencontre Stéphane hummm Stéphane, Stéphane, Stéphane, un brun aux yeux bleus une bombeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!! On était à la patinoire avec tout un groupe d’amis et Stéphane m’a prise par la main et nous sommes sortis de la patinoire. Là, il m’a regardé et m’a embrassé. Ce fut un moment trop agréable. Si je pouvais le revivre tous les jours ça serait un vrai bonheur. Mais malheureusement, c’était le cousin d’une copine qui vivait à 500km. (Stéphane si tu lis le message, j attend ton mail )
Le premier câlin poussé : avec un petit copain vers 17 ans et demi. Bah en fait je ne l’aimais pas vraiment donc je ne voulais pas aller plus loin. En plus je l’ai trompé avec son meilleur ami donc j’étais pas très fière.
Premiere grand calin : là, quand j’y repense, je suis morte de rire! J’avais 18 ans et quelques mois, ça faisait 2 mois qu’on était ensemble et un soir j’ai décidé de me lancer! Pétée de rire, 3 minutes chrono Bah oui, je suis curieuse, donc j’avais regardé l’heure avant que ce jeune homme s’invite en moi et quand ce fut terminé, il était ravi depuis le temps qu’il attendait et moi je me disais :" si c’est ça l amour j’ai rien senti... c’est pas aussi génial qu’on le dit "
Donc j’en garde pas un mauvais souvenir ni un bon mais quand j’y repense maintenant, je suis morte de rire.
Et pour finir je voudrais quand même remercier ma maman pour avoir essuyé les larmes, pour avoir endurer mes coups de gueule, pour m’avoir attendu jusqu’à 4 heures dans ma chambre quand je faisais le mur, mais surtout pour m’avoir expliqué que la personne de mon premier grand câlin était un éjaculateur précoce et que le problème ne venait pas de moi
Mar 10 Fév 2004, 21:48 par
pyjama sur La première fois
Ecrire sur rire
Le Jardinier d'amour, Comptines..., Leçon de courage..., Venez, approchez… Goûtez !, Suite à l'Avorton ...., Désirs..., Avorton de texte...., C'était en juin...., Je me souviens..., un 14 juillet à Paris (3), à bien vite mon éternel, A bout de souffle - Les hurlements de Léo, et on dit que la femme ne sait pas ce qu'elle veut! tsssssss, Une réponse., Mes premieres fois,Il y a 204 textes utilisant le mot rire. Ces pages présentent les textes correspondant.
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