L'amour est-il un crime ? chapitre 3

Coucou, merci à toi inlove pour ton commentaire ^^ donc voici le chapitre 3, bonne lecture.

Chapitre 3 : Attirance et amour

Point de vue Narrateur.

Depuis l’accident de Michiru 1 mois venais de s’écouler, nous sommes au mois d’octobre mois ou l’été s’estompte et laisse place à l’automne saison ou les feuille multicolor virevolte au gré du vent. Aujourd’hui c’est mercredi, et tout les élèves trépigne d’impatience à ce que midi arrive.

Haruka – bon alors est ce que quelqu’un peut me dire quel est le coeficient de ce tableau ?

Bien sûr le professeur savait parfaitement que personne hormis sa petite protégée allait répondre.

Haruka – bon … Puisque personne na l’air de vouloir répondre , je peux en prendre quelque uns pour rester avec moi cet après-midi !
Elève – pff et à quoi cela vous servirez ?
Haruka -déjà à t’apprendre à mieux parler à un professeur jeune fille … Et puisque tu semble vouloir prendre la parole, peut tu répondre à ma question ?

Haruka d’un air sévère, se dirige vers la table de son élève et les sourcils froncés elle déclare :

Haruka – alors, mademoiselle Jolie, j’attend votre réponse !
Jolie – vous n’avais cas demander à cette petite trainé au cheveux bleu !

La s’en fut trop, la jeune femme claque violemment ses mains sur la table de Jolie, et dit d’un ton sec :

Haruka – bon sa suffit !!! j’en est plus qu’assez de tes propos, maintenant tu prend tes affaires et tu file chez le directeur, et tu restera avec moi en salle de retenue cette après-midi !
Jolie – mais …
Haruka – il n’y a pas de mais, quand je donne un ordre il faut qu’il soit exécuté !

Plusieurs soufflements se fait entendre de mademoiselle Jolie qui prit ses affaires et fila rouge de honte vers la sortie.

Haruka – maintenant que j’en surprêne un seul à faire des réflexions et ce sera le même sort compris ?
Tous – oui professeur !!!!

Michiru se met discrètement à sourire, eh bien c’est que Haruka a beaucoup de caractère pense la jeune fille en écrivant son cour. Puis viens enfin l’heure tant attendue des élèves, midi. Chacun se hâte à ranger ses affaires et de sortir aussitôt de la sale de cour. Seul Michiru resté en retrait en prenant tout son temps pour ranger ses affaires.

La jeune femme blonde efface le tableau et se met à soupirer d’ennui. Se qui fit rire sa jeune élève qui venais de mettre son sac sur l’épaule et descend doucement chaque marche avec ses béquilles.


En effet depuis son accident Michiru avait reçu pour ordre d’être mis sous béquille et ceci jusqu’à la guérison total de sa hanche droite qui avait reçu un choc et donc lui avait valut six points de sutures.

Michiru – rappel moi de ne jamais te mettre en colère !

Dit elle en riant. Haruka eu un petit sourire, elle prend ses affaires et dit en se dirigeant vers la sortie :

Haruka – je te fait peur à ce point ? Se met aussi à rire
Michiru – tu as tout de même une forte voix … Donc je préfère éviter.

Elle s’échangent un doux sourire ainsi qu’un petit regard amoureux, et c’est avec le cœur léger qu’elles entament toutes les deux leur marche à travers le couloir.

Michiru – dis … Tu vas vraiment rester ici cet après-midi ?
Haruka – oui, et puis il serait tant que je donne une petite correction à cette fille qui commence sérieusement à m’énerver.
Michiru – bon, ok !
Haruka – mais ne t’inquiète pas, je serait de retour à la maison dès qu’elle aura l’obligeance de venir s’excuser.
Michiru – ok, bah moi vue que je suis dispensé de sport cette année, je vais rester à la maison et peut être commencer à faire mes devoirs comme sa je serait tranquille toute la journée !
Haruka- sage dessision.

Toute deux se sourirent, puis arrivé à l’entrée du couloir, la jeune femme blonde se penche et vint tendrement embrasser le front de Michiru qui se sentait mourir par ses gestes de tendresse. Elle lui embrasse tendrement la joue, et parti direction les casiers des filles afin de poser ses affaires.

PDV Michiru.

Après avoir quittée la salle de cour, je me suis directement dirigé vers les casier afin d’y déposer mes affaires. Tout en marchant mes cahiers à la main je ne cesser de penser à Haruka. Cette si belle femme blonde aux charmes masculin faisait fondre mon cœur, même si ce que nous faisons est interdit je suis si heureuse de l’avoir à mes côtés et pas que en tant que professeur non, surtout en tant que la femme que j’aime et désir plus que quiconque. Soudain mon portable se met à vibrer, étonné je sort ce dernier de ma poche et consulte l’appareil.

C’était un message … D’Haruka, je me met à sourire bêtement, comme une fille qui reçoit un sms du plus beau garçon du campus. Sauf que moi c’est de loin être le plus beau play boy non non … Moi c’est beaucoup mieux, puisqu’il s’agit de la femme que j’aime. Sans perdre un instant j’ouvre ma messagerie et vint lire le message :


« Fais attention quand tu rentres »

je reste plusieurs minutes à relir le message, un petit sourire en coin, vraiment elle est adorable peut être plus vieille que moi mais elle est vraiment la femme parfaite à mes yeux, depuis mon premier jour dans ce lycée et même quand mon accident est venue subitement elle a était la première à être la, elle ne ma pas juger non elle ma accepté tel que je suis et c’est bien sa qui me rend le plus heureuse.

Je décide donc de lui répondre.

« et toi fait attention de ne pas sortir tes crocs lol ! Oui ne t’inquiète pas dès que je suis arrivé je t’envoie un sms »

et je lui envoya. Je ferme mon casier à l’aide du cadenas et parti manger. Après une attente interminable, je réussi à entrer dans le refectoire, et Cléo une fille supère gentil qui m’aide de tant à autre depuis mon accident me porte le plateau, elle mangea même avec moi.

Cléo – alors Michi sa va mieux ?
Moi – bof, j’ai encore des douleurs au niveau de la hanche, et sa s’arrange pas avec le traitement que je suis qui est tout bonnement imonde.
Cléo – ah ah ma pauvre.
Moi – et toi sinon ça va ?
Cléo – bah comme d’hab quoi Emma qui me pourri l’existance avec ses vues sur le professeur Tenoh.

Qu … Quoi ?? cette petite ingrate est amoureuse de … Haruka ? Même si je sais que cela est impossible j’eu vraiment mal au cœur, je n’aie aucune envie de perdre cette si jolie blonde qui est la cause de mes battements violent de mon cœur, qui est la cause de tout ses petit sourire innocant ou chargé de sous entendu, non il est absolument hors de question que je lui laisse je l’aime sincèrement même si je ne lui jamais dit j’en suis éperdument amoureuse et ferais tout pour la voir sourire, rire et heureuse.

Moi – bah viens en cours, et tu verra que c’est pas l’amour fou !
Cléo – je veux bien te croire, je connais Emma depuis l’enfance et je c’est qu’elle est prête à tout pour obtenir se qu’elle veux. Enfin bon personne ne pourra la changer !
Moi - sa c’est sur.
Cléo – et sinon toi les amours sa rool ?

À cette question, je me met violemment à rougir, je prend mon verre, et le porte à ma bouche afin d’éviter d’y répondre.

Cléo – alors es ce qu’il y a un beau garçon qui t’interesse.
Moi – si je te le dis, tu promet de garder sa pour toi de ne le dire à personne, et de ne pas me juger ?
Cléo – houa c’est tout de même pas une affaire d’état rassure moi ?
Moi – non non … Enfin, il y a bien quelqu’un qui m’interesse et très fortement !
Cléo – ah … Que c’est beau l’amour, alors dis moi c’est qui c’est qui c’est qui ?
Moi – je suis très amoureuse du professeur Tenoh.

À sa tête, je remarque la surprise ainsi que la décomposition. Avais-je bien fait de lui dire ?

Cléo – quoi ? Mais tu c’est que c’est interdit !
Moi – merci de me faire redescendre sur terre.
Cléo – oups désolé, c’est juste que sa ma surprise sur le moment, mais sérieux tu aimes c’te prof ?
Moi – oui, j’en suis même éperdument amoureuse.

Elle ne dis rien, juste à me lancer plusieurs regards surpris et intérogateur. A la fin de mon repas, Cléo m’aida à porter mon plateau, en passant dans l’allé central j’eu droit à des sifflements et cela m’irriter. Une fois dehors, je me tourne vers mon ami et lui dit :

Moi – bon je rentre à demain !
Cléo – oui à demain Michi !!

on s’échangent un rapide sourire, et je parti chercher mes affaires afin de rentré pour de bon à la maison. J’ouvre mon casier, prend mon sac, le met sur mon épaule, referme la petite porte à clé, et parti direction la sortie du lycée.

Ah … Sérieusement je me demande comment va se passer cette année, en plus dans pas très longtemps je serait majeur et vacciné, se qui veux dire que même en dehors des cours je pourrais enfin être librement avec elle. Après quelques minutes de trajet à pied du moins en béquilles, je sort une petite clé argenter de mon sac, l’infiltre dans la serrure tourne trois fois vers la droite, et rentra enfin à l’intérieur.

Comme je ne pouvais pas monter à l’étage, je pose mon sac de cour à côté de la table basse du salon et allai prendre place sur un des poufs qui trônais dans la pièce.

En y repensant, j’ai promis à Haruka de lui envoyer un sms lui disant que j’étais enfin rentré. Je prend mon cellulaire, et d’une main vif je tapote sur le clavier, et lui envoya.

En attendant, je déboutonne ma veste et la retire me retrouvant en chemisier blanc. Je retire l’élastique de mes cheveux, et donne trois petit coups de tête vers la droite puis la gauche, je prend mon sac sort mes cahiers, met en place mes petites lunettes rectangulaire noir et commence par réviser mon français. Matière ou je ne suis pas sous les feux des projecteurs.

Pff j’y comprend absolument rien, je préfère largement un cours de math qu’un cour de français, je n’aie jamais était brillante dans cette matière, en plus je dois travailler sur un exposé qui à pour thème la liberté d’expression concernant les relations entre deux hommes ou deux femmes, j’ai le choix mais bon, je n’aie jamais ressenti ce genre de chose et sa s’avère être plus compliquer que prévue.


Vite que Haruka revienne de la retenu de cette peste, rah cella-là si j’avais assez de courage je lui dirais ses quatre vérité croyez moi. Bon aller assez traîner, je vais faire un peu de nettoyage, je lui dois bien sa après tout. Je ferme mon cahier avec bonheur et je m’attaquerais ensuite par la langue vivante.

Je commence à ramasser quelques vêtements qui jonche le sol par ci par là. Je les conduit en machine à laver, jette un œil à l’étiquetage, et commence à remplir la machine. Après avoir mis cette dernière en route je me dirige vers la cuisine en essayant de ne pas forcer sur ma hanche car je n’aie pas prit mes béquilles. Je commence à mettre la vaisselle sale dans le lave vaisselle, et range les quelques magasine et livre de cuisine à leurs place. Je retourne dans le salon et alla ouvrir la fenêtre tout en fermant à moitié les volets. Pour je ne sais quel raison j’avais envie de déployer mes ailes prendre mon courage à deux main et avouer avec fierté les sentiments que j’éprouve à son égard, j’avais envie que les choses change, je l’aime et sa je le sais je ne peux pas me le cacher.

Après quelques heures Haruka était enfin de retour, et moi je m’étais remis au travail. Sa main douce vient ébouriffer ma chevelure se qui me fit rougir, je la regarde et mes yeux la détail de plus prêt.

Moi – dites moi professeur si un nombre fini par 0 je dois le multiplier par x ou y ?

Bien sur je connais la réponse mais j’avais envie de l’embêter un peux. Je sent mon visage se soulever, et mes yeux azur croise son regard émeraude. Il est tellement beau emprunt d’une petite étincelle magique. Elle me retire les lunettes, et sa voix douce que j’aimais entendre résonne dans l’aire que nous partagions toute deux.

Haruka – il me semble que je te l’ai déjà enseigner non ?
Moi – oui mais beaucoup de chose c’est produit depuis, un petit rafraichissement de mémoire serait la bienvenue.
Haruka – hm je voie sa, mais à une seule condition !
Moi – mais c’est que j’ai le droit à du chantage en plus ? Hm … Que désirez-vous ?
Haruka – arrête donc de m’appeller ainsi à la maison.
Moi – et comment voudriez-vous que je vous appelle pro.fe.ss.eur !

Elle me sourit, un petit sourire coquin qu’elle me fait souvent quand ont s’emportent dans l’un de ses petits amusements. Et cela me fait bien rire. Je porte ma main à sa joue et la caresse doucement.

Haruka – appelle moi juste Haruka !
Moi – entendue Ha.ru.ka.

Je me suis levé doucement en faisant attention à ma hanche et je me suis mise dans ses bras. Allongeant mes bras sur ses épaules, et rapprochant doucement mon visage du sien.

Moi – Haruka … Je … J’ai … Enfin, j’ai quel … Que chose à te dire !
Haruka – d’accord mais avant laisse moi te dire une chose importante.
Moi – ou … Oui vas y je … Je t’écoute !

Je ne contrôler plus mes rougeurs qui se multipliés à vue d’oeil. Je sent ses bras descendre à mon dos, et sa mains me pousse afin que je me retrouve contre elle. Dans peut de temps je sent que je ne vais plus tenir, mon cœur s’accelaire de plus en plus et son sourire qui m’éblouit, vraiment pourquoi est tu si cruelle jolie blonde de mon cœur ?

Haruka – Michiru, ce que je vais te dire, je ne les jamais dis à personne !
Moi – tu commence à me faire peur !
Haruka – Michiru bien que tu sois mon élève en cours, depuis que tes yeux … Tes si jolie yeux ont rencontré les miens je … Je t’avoue que tu fait tourner mon cœur.

Haruka … Qu’essai tu de me dire exactement ? Bien que j’en est une vague idée, je me refusé d’y croire, sa serait tellement beau.

Haruka – Ma tendre et cher Michiru … Je t’aime !

Je n’eue le temps de répondre que ces lèvres s’emparent tendrement des miennes. Je … Je n’arrive pas à le croire, alors ces sentiments son égaux au miens, je me sent légère et heureuse. Je m’approche d’elle et répond amoureusement à son baiser.

Mes mains descendent et se mettent au niveaux de son cou, mes doigts l’agrippent, et mes pouces crée un léger et doux frottement, alors que je désespérer à lever la pointe des pied afin d’être à sa hauteur. Ses mains réchauffes mon corps, et notre baiser prend un peut plus d’ampleur.

Je laisse doucement ma langue glisser dans sa bouche et alla rejoindre la sienne, c’est un rêve … Oui c’est sa un rêve un magnifique rêve que je suis en train de faire, et je ne veux pas me réveiller. Pourtant je me rappelle de ma discussion avec Cléo du renvoi de cette pimbêche aux cheveux prune.


Je me senti soulever, mais je n’ose pas ouvrir mes yeux de peur que tout s’arrête, ce moment ou je me retrouve contre elle en train de l’embrasser, j’en rêve depuis un mois, alors mieux vaut être heureuse et continuer à dormir en faisant ce doux rêve exotique.

Je sent mon corps s’allonger sur quelques chose, sûrement le canapé, et une agréable chaleur envahie mon être, des mains … Ses mains qui caresse mes joues et descendent jusqu’à mes hanches. Une décharge me parvient au cœur quand je ressentit la douleur de ma hanche droite, alors, je ne rêvé pas ? Haruka était bel et bien en train de m’embrasser, j’entoure sa nuque et la rapproche de moi afin d’être au comble du bonheur. Nos lèvres se détachent, et nos yeux se rencontrent, son corps s’allonge sur le mien et son front caresse son partenaire. Voila un petit côté d’elle que j’ignorais, mais cela ne me déplais pas pour autant.


Haruka – Je t’aime Michiru.

Je lui caresse le visage, un énorme sourire aux lèvres et l’envie de pleurer de joie. Et sans la faire attendre je l’embrasse de nouveau avec amour et passion. Voulant graver ce moment dans mon cœur.

Nous avons passer le reste du temps à nous chamailler et à nous faire des câlins quel bonheur, mais va vraiment falloir que j’arrive à lui dire.


Et voila la fin de ce troisième chapitre ^^

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Sam 19 Oct 2013, 12:24 par HaruxMichi sur Histoires d'amour

Mille choses et chose

Mille choses et chose tournent dans ma tête,j’aime les faire,les pas faire, ,s’approcher d’eux .
Quelque uns se réalisent ,d’autres restent que des rêve (qui se réalisent aussi mais dans mon monde imaginaire) ,et les restes sont une partie de moi,de mon esprit que même si je veux les changer je ne peux pas car vraiment je ne veux pas.
Peut-être que je ne comprend pas plusieurs choses ou évenements et même des sentiments ,mais sa reste toujours ma vie que j’aime trop.
Sam 25 Fév 2012, 18:58 par ZAID sur Mille choses

Au bord du mékong

La nuit a été longue
Je crois voir poindre le jour
Je vois l’obscur
Ô ce moment d’immobilité pure
Je sens que va venir mon tour
Faites que sonne enfin le Gong!...

Au dessus de la rivière
Instant figé
J’ai presque peur de respirer
En ce matin d’éternité
Plane le mystère
Peut-être que ces mots seront dans ma dernière lettre
Vais-je pouvoir renaître?...

Peut-être qu’aujourd’hui sera le dernier matin
Où j’attendrais en vain
Peut-être que m’apparaîtera enfin
Le signe
Qui me permettra de déchiffrer les lignes
Le code
Qui traduira enfin la page
Et me dévoilera l’ode
Paroles à la mélodie si douce
Qu’aussitôt chantée, rien ne lui résiste
Ni de ce qui est à venir ni de ce qui existe
Pas même le verrou de ma cage...

Je vois apparaître dans la brume
Une plume
Est ce la clé?
Est ce un tour qui m’est joué?
Vais-je encore devoir ecrire?!
Ô le triste sort!
Mais à y réfléchir, j’en connais de bien pires
J’avoue, j’ai eu tort
D’avoir voulu m’échapper
Car qui m’assure que loin, je n’aurais pas envie de revenir?
Lun 19 Oct 2009, 12:15 par Asma sur Mille choses

Un amour et un ange.

Un amour m’a souri
et, sans en avoir l’air,
mes yeux ont saisi les siens.
Ils voyagent entre étincelle,
trouble et débordement.
Ils vont de mon effronterie à son désir,
coulent clairs au fond des siens,
s’y immergent le temps de nos nuits,
se découvrent au bord de son plaisir.
Et cet amour là,
quand il me quitte,
quand il s’en va,
je lui offre l’éclat de mes yeux,
la douceur de mon amour.

Un ange veille sur moi.
Il lui arrive de ,
de déployer ses ailes,
d’aller à contre-courant,
de remonter le vent.
Pas facile d’aller d’un cœur à l’autre;
le sien est balloté,
chahuté par les remous.
Et cet ange là,
quand il me quitte,
quand il s’en va,
j’imprime mes lèvres sur son cou
et je pose près de son cœur
la chaleur de mon amour.
Lun 06 Mars 2006, 00:06 par Lou sur Histoires d'amour

Si le soleil renaît

Si le soleil renaît


Je l’ai tellement ouvert
Mon cœur
La simple ondée l’émeut

Et l’onde
Du monde

Une peau douce
Une ombre
Que je vois

Monte de la profondeur
Un souvenir terrible
J’étais heureux
Et tes bras me tenaient

Je tombe
Qu’ai-je fait

Parfois
Je voudrais m’en aller
Je reste ici
Me tiens tranquille
Sous le rouleau liquide

A quoi me sert de désirer
Si chaque fois j’échoue
Ou si dessous
La vague se dérobe

Je ne retrouve ni l’amour
Ni l’amitié
Qui m’appelaient

Mon désir est défait

Tristesse
Tu es plus grande que mon cœur
Tu me voles la forme du bonheur
Tu dérobes mes pleurs

Qu’en faire
La mer est haute
Mon âme écope

Plonge
Me dit-elle

Atteins le courant chaud
Remonte le corail
Rouge et mauve
Déchirant tes entrailles

C’est là-bas que la patrie espère
Aucun visage pour te sourire
Mais la lumière te dira oui

Parfois je pense
En regardant par la fenêtre
La silhouette familière
J’aurais aimé
Lui dire

Pourquoi rêver encore
Pourrais-je éteindre mes désirs
Et je ne garderais que toi
Flamme infinie
J’y étendrais mon cœur
Et pas de plainte
Tu me dirais ce qu’il faut faire
Comment aimer dans la lumière
Eteinte

Laisse-moi m’en aller
Décline-moi

Dis-moi que c’est pour rien
Qu’en moi se déroulaient
Les lianes hautes qui servaient
A toucher l’étendue
Du destin de ton cœur
Et que tes doigts de lune
N’y ont pas déposé
La moindre fleur

Et qu’à présent je peux rentrer

Qu’en ma mémoire est close
La porte de l’aimée

Si c’est ainsi
Tant pis
Montre-le moi
J’irai où il fait froid

Où je suis seul
Les dieux sont invités
Et rien ne me fait peur
Que de perdre l’étoile

Il y a une place
Pour ma façon d’aimer
Et l’on s’en souviendra
Si le soleil renaît
Sam 18 Fév 2006, 01:14 par Iris sur L'amour en vrac

Un monde n'est parfait...

Il y a peu je ne savais pas ; j’acceptais de donner
Ne recevant parfois qu’un méchant coup de pied
Je ne protestais pas, pardonnant, justifiant,
Mais pour aimer vraiment il faut d’abord s’aimer
Savoir se respecter pour qu’on en fasse autant
Et que « oui » ou que « non » ce soit franc et entier...
Il savait me tenir en me faisant espérer,
Et s’il parlait beaucoup il ne tenait jamais,
Toujours de bonnes raisons il savait amener
L’excuse sur son front et il voulait briller.
Vivre dans la lumière l’exige tout à fait,
Et ne se satisfait de « lux » artificielle.
Si tu veux que mon cœur déploie tous ses bienfaits
Sache qu’il a besoin d’une tendre équité.
Car qui veut recevoir en ne donnant jamais
Que des coups de boutoir, il peut bien ...
Dim 11 Déc 2005, 08:42 par dolce vita sur Un monde parfait

Nuit noire...

Je suis lasse de t’attendre. Lasse de l’inconsistance de nos deux solitudes. Je suis lasse de ne plus rien savoir de toi, de cette trop grande distance entre nos deux êtres... J’ai soif de cette communion si intense entre nous, de ce pont de lumière qui nous envahit et nous rejoint, cette joie si profonde et qui éclaire tout. Je suis lasse de ces ténèbres contre lesquelles je ne puis lutter lorsque le doute vient, me faisant grelotter au plus chaud de l’été. J’ai mal à toi. J’ai mal en moi. J’ai mal à nous. Pourquoi, dis, pourquoi ton silence ? Je suis lasse de lutter. D’où vient que je ne puisse guérir du mal que j’ai nommé et si bien reconnu ? Le vent emporte mes cris et seule l’immensité répond à mes questions... Seule fasse à la mer. Seule face aux montagnes. Viens en moi la vie, j’ai soif de toi et j’ai soif d’amour ! Viens en moi la vie, je t’appelle, pourquoi me fuis-tu ? Partout je te cherche et crois te reconnaître mais, de pardon en méprises, ma recherche me brise : je ne fais qu’entrevoir que tu es parti. Toi que je cherche dans un inconnu qui creuse en moi le manque de toi, en croyant t’oublier je te guette comme on attend l’aurore... Quand viendra le repos et la paix ? Quand de guerre lasse mon coeur va abandonner sa recherche insensée ? Quand les larmes et la tourmente vont-ils de ma vie ? Quand vais-je enfin me retrouver au rivage infini que rien ne trouble plus. J’ai gravi la montagne et mes forces s’épuisent... Je ne puis plus rien faire que m’abandonner à l’infini qui déjà me relève et je ne le vois pas. Non pas pour disparaître mais pour mieux rencontrer l’immensité qui m’a fait naître... Où te caches-tu, toi que mon coeur aime ? Où te caches-tu même dans la nuit noire mon coeur saura encore te reconnaître...
Ven 02 Déc 2005, 12:38 par dolce vita sur L'amour en vrac

L'anti-séduction

la marquise de sade a écrit:
Il y a quelques mois, nous avions entamé l’effeuillage de nos élans amoureux. Je le dépoussière, le frotte un peu, l’astique pour qu’il brille et vous propose d’oter un nouveau voile qui nous couvre.

Si nous avons cherché déjà nos rendez-vous inhabituels, ce qui peut nous séduire chez l’autre ainsi que ce qui nous faisait totalement fondre, nous ne savons pas encore ce qui peut provoquer des sentiments inverses.

Qu’est-ce qui nous fait fuir?



La Marquise... plumeau cling



L’anti-séducteur.

Il a l’air charmant et sympa mais fondamentalement il est dénué de savoir-vivre et de classe. Il m’invite à prendre un verre dans une très jolie taverne mais il appelle le serveur....en claquant des doigts!
Il tente de me faire rire avec des histoires que lui seul qualifie de drôles, il manque de subtilité et de finesse, quant à la discrétion, son rire tonitruant révèle qu’elle lui est parfaitement étrangère.
Sa conversation est banale, il n’a pas vraiment de passions dans la vie, ceci expliquant peut-être cela!
Nous quittons l’établissement, il règle l’addition mais omet le pourboire.
Nous nous dirigeons vers la voiture, nous nous y installons sans qu’il ait pensé à m’ouvrir la portière sous prétexte que "les femmes ont voulu l’égalité des sexes"!!!
Arrivés devant chez moi, mes au-revoirs sont brefs et assez froids mais je perçois pourtant dans son regard une petite lueur de "propriété" comme si le fait d’avoir bu un cocktail en sa compagnie faisait de moi une femme "acquise".
Au moment de , il fait "crier" les pneus de sa voiture.
Et lorsque vingt minutes après, je reçois un sms de sa part, me demandant si j’ai passé une bonne soirée et surtout si je pense à lui, j’efface son nom de mon répertoire!


Syolann
Jeu 19 Août 2004, 21:19 par syolann sur La séduction

Jolie petite histoire...

Il y a quelques jours, un rayon de Soleye a traversé ma petite ville. Il en est reparti séduit... par la ville mais bien plus...

Voici ce qu’il a écrit et que je vous fais suivre, le Soleye est timide dans mon plat pays :



Déambulant dans la rue principale,
De ta petite ville provinciale
J’ai cherché, espérant t’entrevoir

Marchant sur les trottoirs fleuris
De ton petit paradis
J’ai vu s’approcher au loin un espoir

Rêvassant sous le ciel ensoleillé
De ta Belgique ignorée
Elle semblait effleurer le sol tel le jaguar

M’envolant dans un autre temps
Quelque part dans ton royaume enivrant
Elle était légère, douce, ses cheveux moires

Croisant son regard une fraction de seconde
Dans ton domaine, ton monde
Ses yeux se sont gravés dans ma mémoire

Me retournant une dernière fois
Dans cette rue, pas loin de chez toi
Je la vis vers d’autres regards

Dans ta petite ville provinciale,
Dans ton petit paradis,
Dans ta Belgique ignorée,
Dans ton royaume enivrant,
Dans ton domaine, ton monde,
Dans cette rue, pas loin de chez toi,
Le temps d’un regard, d’une étoile
Mon coeur éteint s’est surpris
A revivre et à espérer
Qu’encore je pouvais aimer, être amant
Qu’un instant la vie serait féconde
Et tout cela, je l’ai vécu près de chez toi...



la Marquise, plume du Soleye ...
Dim 04 Juil 2004, 13:55 par la marquise de sade sur La séduction

De son côté à elle...

Elle l’attendait cet après midi de juin
Assise à la terrasse du café du coin.
Dix-huit heures, il quitte le turbin
Traverse la rue, la croise sans rien dire
Prend la rame douze, descend et respire
Ouvre ses bras, exulte, renaît, expire.

Elle a payé son café
Embarqué ses affaires vite fait
Ne pas le perdre, le laisser
Le suivre discrètement, s’imprégner de ses gestes
Mettre ses pas dans les traces de ses pas lestes
Ne pas quitter des yeux ce petit bout de veste.

Regarder les vitrines, être une passante commune
Ne pas se faire remarquer, être toutes et aucune
Garder en mémoire ce cd qu’il a pris entre ses mains
Le prendre à son tour, le serrer contre son sein
L’acheter, pour écouter seule le soir, sa chanson
Lui déposer en secret, un matin devant son paillasson.

S’assoir sur ce banc que sa peau à frôler
Humer cet air parfumé qui l’a enivré
Fermer les yeux, rêver sa main qui l’enserre
Courir, le rattrapper, surtout ne pas le perdre
Emprunter le boulevard qui les rapproche
De leurs appartements face à face, si proches.

Tourner au coin de la rue, terminer la ballade
Rentrer chez elle, le savoir, là, dans l’autre façade
Une petite lumière à travers les rideaux
Une ombre qu’elle devine, dont elle est accroc
Son amour secret, son désir sauvage
Cet homme dont elle est devenue esclave.
Mar 11 Mai 2004, 22:18 par la marquise de sade sur La séduction
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Ecrire sur s’éloigner

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La citation d'amour

Quand la pauvreté frappe à la porte, l'amour s'enfuit par la fenêtre.

Proverbe allemand.

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