Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur seins - Page 7 sur 11
Toi, tout, Toronto
Elle se souvenait bien du Saint Laurent et de la plage, de l’interdiction de mettre les pieds dans l’eau pour cause de pollution. Elle revoyait les Kms de ville souterraine, déserte, peuplée de leurs seuls bruits de pas et de leurs rires. Du bruit des baisers qui se répercutait sur les vitres... Elle n’oubliait pas les déplacements lents des ratons laveurs dans le jardin alors qu’elle fumait, juchée sur le parapet de la terrasse. Elle se souvenait de son amant. La grande maison déserte. Elle revoyait leurs repas d’amoureux dans tous les petits restaurants de la ville, leurs flâneries, les dégustations impromptues dans le quartier chinois lorsqu’il jouait à la faire manger avec des baguettes tout en butinant sur elle les miettes échappées. Alors, elle enlaçait sa taille [...]
Elle portait une vieille chemise transparente qu’elle lui avait chipé et sous laquelle on voyait les seins pointer librement. Il faisait chaud et elle était en train de repeindre le plafond de la grand salle, juchée sur l’escabeau, lorsqu’il arriva sans un bruit. Il regarda les jambes nues sous le short un peu trop grand, la chemise nouée à la taille, le cou délicat, ses petits pieds déchaussés et la désira encore plus fort... Elle ne l’avait pas vu, elle fredonnait... Il s’approcha doucement, grimpa lentement derrière elle et lui embrassa la nuque ; elle laissa s’échapper un frisson de surprise et un léger cri... Le pinceau finit sa course sur le sol bâché... Derrière elle, proches sans la toucher autrement que par leur souffle, ses mains. Elles se frayèrent un chemin sous la chemise et caressèrent les seins, libérant de la gorge offerte un soupir. Elle murmura. Il se pencha et embrassa le creux des hanches, passa la pointe de la langue sur le tour de la taille lente caresse humide prolongée jusqu’à la naissance des fesses. « J’avais faim...», lui répondit-il à mi-voix. Et pour mieux la convaincre, il s’appuya doucement contre elle. Les mains plongèrent de la gorge au ventre puis, sous l’étoffe du short... Elles volaient ces mains d’homme sur le corps frêle, affolaient le rythme des coeurs. Elles étaient douces et mystérieuses ces mains taillées pour la jouissance. Elles voulaient découvrir chaque parcelle de peau qui s’enflammait au contact des doigts amoureux puis s’envolaient pour prendre possession d’un nouveau territoire...
Elles défirent le bouton du short. Doucement, elles le firent glisser le long des jambes. Elles libérèrent le pénis qui se nicha au plus tendre des cuisses féminines, roide. Elle se cambra...
En ce temps, le temps savait à bon escient suspendre son vol.
Elle portait une vieille chemise transparente qu’elle lui avait chipé et sous laquelle on voyait les seins pointer librement. Il faisait chaud et elle était en train de repeindre le plafond de la grand salle, juchée sur l’escabeau, lorsqu’il arriva sans un bruit. Il regarda les jambes nues sous le short un peu trop grand, la chemise nouée à la taille, le cou délicat, ses petits pieds déchaussés et la désira encore plus fort... Elle ne l’avait pas vu, elle fredonnait... Il s’approcha doucement, grimpa lentement derrière elle et lui embrassa la nuque ; elle laissa s’échapper un frisson de surprise et un léger cri... Le pinceau finit sa course sur le sol bâché... Derrière elle, proches sans la toucher autrement que par leur souffle, ses mains. Elles se frayèrent un chemin sous la chemise et caressèrent les seins, libérant de la gorge offerte un soupir. Elle murmura. Il se pencha et embrassa le creux des hanches, passa la pointe de la langue sur le tour de la taille lente caresse humide prolongée jusqu’à la naissance des fesses. « J’avais faim...», lui répondit-il à mi-voix. Et pour mieux la convaincre, il s’appuya doucement contre elle. Les mains plongèrent de la gorge au ventre puis, sous l’étoffe du short... Elles volaient ces mains d’homme sur le corps frêle, affolaient le rythme des coeurs. Elles étaient douces et mystérieuses ces mains taillées pour la jouissance. Elles voulaient découvrir chaque parcelle de peau qui s’enflammait au contact des doigts amoureux puis s’envolaient pour prendre possession d’un nouveau territoire...
Elles défirent le bouton du short. Doucement, elles le firent glisser le long des jambes. Elles libérèrent le pénis qui se nicha au plus tendre des cuisses féminines, roide. Elle se cambra...
En ce temps, le temps savait à bon escient suspendre son vol.
Mer 24 Mai 2006, 10:56 par
dolce vita sur Le grimoire d'amour
PRINTEMPS
Printemps....
Avec le printemps qui revient
On sent monter en soi comme un renouveau
C’est le calme après la tempête
Mille images champêtres
Le corps se déplie doucement
Et se tend vers ce nouvel amant
Viens me prendre mon roi
Je serai toute à toi
Fais courir tes doigts sur mon corps offert
Et nous partirons sans croiser le fer
A l’unissons de nos corps fébriles
Qui se joignent et se séparent à souhait
Murmures des mots tendres, des mots forts des mots doux
Au creux de mon oreilles tendues pour accueillir des bisous
Pénètre en moi en va et vient
Dans l’union de nos âmes apaisées
Et faits courir tes doigts nerveux
Autour de mes seins tendus
Jusqu’à ce que l’on n’en puisse plus
Viens me rejoindre dans un élan fatal
Afin d’unir nos deux âmes.
Avec le printemps qui revient
On sent monter en soi comme un renouveau
C’est le calme après la tempête
Mille images champêtres
Le corps se déplie doucement
Et se tend vers ce nouvel amant
Viens me prendre mon roi
Je serai toute à toi
Fais courir tes doigts sur mon corps offert
Et nous partirons sans croiser le fer
A l’unissons de nos corps fébriles
Qui se joignent et se séparent à souhait
Murmures des mots tendres, des mots forts des mots doux
Au creux de mon oreilles tendues pour accueillir des bisous
Pénètre en moi en va et vient
Dans l’union de nos âmes apaisées
Et faits courir tes doigts nerveux
Autour de mes seins tendus
Jusqu’à ce que l’on n’en puisse plus
Viens me rejoindre dans un élan fatal
Afin d’unir nos deux âmes.

Dim 09 Avril 2006, 13:14 par
Hécate sur L'amour en vrac
L'amour avec toi
L’amour avec toi
c’est boule de feu
qui s’élève comme un soleil
dans mon coeur et dans mon ventre
c’est l’amour matin
celui qui donne faim
c’est l’amour câlin
tes lèvres qui embrassent les miennes
sans cesse
pendant que les miennes cherchent les tiennes
tout le temps
l’amour avec toi
c’est l’amour abandon
c’est ce désir qui ne veut plus partir
celui qu’est toujours là
l’amour avec toi
c’est ton plaisir qui vient, si plein
et le mien qui jamais ne s’assoupit
l’amour avec toi
c’est tes seins qui frissonnent dans mes mains
l’amour avec toi
c’est quand mon coeur se serre
quand tu pars pour d’autres bras
mais l’amour avec toi
c’est quand je touche partout... partout
vraiment
c’est je t’aime ... vraiment
pour d’la vraie
sans frime
avec mes rimes à deux balles
c’est quand j’me’ perds dans tes yeux lagunes
c’est quand tu ruisselles sur moi
c’est quand j’suis terriblement ton amour
tandis que tu es tellement le mien
c’est quand tu me dis je t’aime
n’importe quand
et que j’suis n’importe où
c’est quand j’te dis
viens dans mon île
comme à la création du monde
et entre mes lèvres
juste un souffle comme une prière
"garde nous... mon amour "
c’est boule de feu
qui s’élève comme un soleil
dans mon coeur et dans mon ventre
c’est l’amour matin
celui qui donne faim
c’est l’amour câlin
tes lèvres qui embrassent les miennes
sans cesse
pendant que les miennes cherchent les tiennes
tout le temps
l’amour avec toi
c’est l’amour abandon
c’est ce désir qui ne veut plus partir
celui qu’est toujours là
l’amour avec toi
c’est ton plaisir qui vient, si plein
et le mien qui jamais ne s’assoupit
l’amour avec toi
c’est tes seins qui frissonnent dans mes mains
l’amour avec toi
c’est quand mon coeur se serre
quand tu pars pour d’autres bras
mais l’amour avec toi
c’est quand je touche partout... partout
vraiment
c’est je t’aime ... vraiment
pour d’la vraie
sans frime
avec mes rimes à deux balles
c’est quand j’me’ perds dans tes yeux lagunes
c’est quand tu ruisselles sur moi
c’est quand j’suis terriblement ton amour
tandis que tu es tellement le mien
c’est quand tu me dis je t’aime
n’importe quand
et que j’suis n’importe où
c’est quand j’te dis
viens dans mon île
comme à la création du monde
et entre mes lèvres
juste un souffle comme une prière
"garde nous... mon amour "
Dim 09 Avril 2006, 07:27 par
Tanit sur Les liaisons sulfureuses
Accords tendus A corps trouvés
Tu composes et je joue nos arpèges
En do majeur je descends jusque tes reins
tandis qu’ en ré mineur tu pizzicates sur mes seins
Tu jazzies sur mon ventre dans le mi tant du lit
Le fa sonne sa blue note
Le sol nous étourdi
et à l’unissons nous chantons la.. la.. là
Mais si mais si dans cet accord tant dû
c’est la mélodie du bonheur
do le do il a bon dos
ré rayon de soleil d’or
mi t’es la moitié de mon tout
fa tu retiens la mélodie mon amour
sol cette terre ou nous marchons ensemble pour de bon
la c’est là ou nous allons
toi et moi amour samba
si ... Dommage qu’il y ait un si
pourtant la gamme était si jolie
mais juste après cette note bémol
toujours il y a le do qui revient tu me tient
dans son accord tendu vers ce désir absolu
Harmonie inimitable
nos corps se sont trouvés
et c’est une symphonie pas pathétique pas héroïque
c’est la notre en là ... Majeur
avec voix diphoniques
deux notes pour une seule voix
Nos corps tendus
Nos corps trouvés
En do majeur je descends jusque tes reins
tandis qu’ en ré mineur tu pizzicates sur mes seins
Tu jazzies sur mon ventre dans le mi tant du lit
Le fa sonne sa blue note
Le sol nous étourdi
et à l’unissons nous chantons la.. la.. là
Mais si mais si dans cet accord tant dû
c’est la mélodie du bonheur
do le do il a bon dos
ré rayon de soleil d’or
mi t’es la moitié de mon tout
fa tu retiens la mélodie mon amour
sol cette terre ou nous marchons ensemble pour de bon
la c’est là ou nous allons
toi et moi amour samba
si ... Dommage qu’il y ait un si
pourtant la gamme était si jolie
mais juste après cette note bémol
toujours il y a le do qui revient tu me tient
dans son accord tendu vers ce désir absolu
Harmonie inimitable
nos corps se sont trouvés
et c’est une symphonie pas pathétique pas héroïque
c’est la notre en là ... Majeur
avec voix diphoniques
deux notes pour une seule voix
Nos corps tendus
Nos corps trouvés
Mar 04 Avril 2006, 08:09 par
Tanit sur Mille choses
Erotissimo
Duo virtuel...
Qu’il serait délicieux, de s’étendre dans un bain,
Quoi de plus merveilleux, que mon corps sous tes mains,
Seul ornement des Nymphes, de ce feu dévorant,
Je m’offre telle une Naïade, au jeu de mon amant.
Je vois tes yeux qui brillent et ta bouche me sourit
Mes lèvres la rejoignent, ma langue s’y enfouit
Mes mains jouent du piano sur ton dos à l’envie
Nos corps se sont rejoints, passion jamais tarie…
Ta lance menaçante, tel un spectre en ma main,
De mes lèvres brûlantes, en t’offrant cet écrin,
Oh que de volupté, impatience prodigieuse,
Du jeu de mes caresses, de cette bouche joueuse.
Tes lèvres sur ma poitrine ont posé des baisers
Et ta main descendue est venue s’emparer
D’une flèche d’Eros qui sur son arc bandée
S’offre à une caresse par ta bouche sublimée
Naît alors un plaisir, d’une ardeur dévorante,
Tu aiguises mes désirs, je m’offre consentante,
Sensations délicieuses, tu t’empares de mes seins,
De tes mains enjôleuses, dont ils avaient si faim
Ma bouche c’est bien son tour a rejoint ton tétin
Ma main elle, ose déjà recouvrir ton écrin
Petit bouton de rose et divine rosée
De longs frémissements te voilà secouée
De nos corps enlacés, á l’entrée de mon temple,
Avec quelle âpreté, oh.. je te contemple,
Une chaleur violente, et tes coups répétés
De cette semence, nos corps en sont comblés.
Nous voilà alanguis et toujours enlacés
Ma bouche dans tes cheveux, je murmure extasié :
Mon amour…mon amour ! et te mordille l’oreille
Une félicité à nulle autre pareille…
Eve & Jan
Qu’il serait délicieux, de s’étendre dans un bain,
Quoi de plus merveilleux, que mon corps sous tes mains,
Seul ornement des Nymphes, de ce feu dévorant,
Je m’offre telle une Naïade, au jeu de mon amant.
Je vois tes yeux qui brillent et ta bouche me sourit
Mes lèvres la rejoignent, ma langue s’y enfouit
Mes mains jouent du piano sur ton dos à l’envie
Nos corps se sont rejoints, passion jamais tarie…
Ta lance menaçante, tel un spectre en ma main,
De mes lèvres brûlantes, en t’offrant cet écrin,
Oh que de volupté, impatience prodigieuse,
Du jeu de mes caresses, de cette bouche joueuse.
Tes lèvres sur ma poitrine ont posé des baisers
Et ta main descendue est venue s’emparer
D’une flèche d’Eros qui sur son arc bandée
S’offre à une caresse par ta bouche sublimée
Naît alors un plaisir, d’une ardeur dévorante,
Tu aiguises mes désirs, je m’offre consentante,
Sensations délicieuses, tu t’empares de mes seins,
De tes mains enjôleuses, dont ils avaient si faim
Ma bouche c’est bien son tour a rejoint ton tétin
Ma main elle, ose déjà recouvrir ton écrin
Petit bouton de rose et divine rosée
De longs frémissements te voilà secouée
De nos corps enlacés, á l’entrée de mon temple,
Avec quelle âpreté, oh.. je te contemple,
Une chaleur violente, et tes coups répétés
De cette semence, nos corps en sont comblés.
Nous voilà alanguis et toujours enlacés
Ma bouche dans tes cheveux, je murmure extasié :
Mon amour…mon amour ! et te mordille l’oreille
Une félicité à nulle autre pareille…
Eve & Jan

Ven 10 Mars 2006, 11:46 par
jan goure sur Les liaisons sulfureuses
L'Amour tarifé...
Au docteur qui me disait que l’abstinence sexuelle était préjudiciable à la santé, quel que soit notre âge, j’ai répondu vertement et sans réfléchir :
-Vous ne voulez pas que j’aille aux ‘putes’…
Terme si péjoratif qu’avec un peu de réflexion, j’aurais employé : « avoir recours à la prostitution ! »
En remontant le temps, péripatéticiennes, hétaïres, ribaudes, prostituées et…’putains’ s’est appliqué aux professionnelles de l’amour tarifié…et courtisanes, demi-mondaines, femmes entretenues à celles qui gravitent dans des zones moins franches et plus troubles. Celles qui font ‘semblant’ d’aimer mais utilisent en fait, un ou plusieurs hommes, en fonction de ce que cela leur rapporte, à elles !
Moi, cela n’a jamais été ma tasse de thé, cet amour tarifié chez les pros du sexe. J’ai entendu mille et une histoires à leur sujet, mais : « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son… »
Elles, je ne les ai jamais entendu réellement plaider leur cause où expliquer ce qui les a amené à faire ce métier. Car pour elles, c’est un métier, contrairement aux autres qui vendent leur ‘cul’ au plus offrant en se la jouant à la grande dame !
Mais « d’aventure, en aventure… » comme l’a chanté S. Lama, j’ai utilisé les services (sic) de trois de ces Dames que je ne sais trop où classer !
La première fois : Renée, pour sauver sa famille…
Ouargla en 19... : une ville de garnison du Sahara Français de l’époque. Nous étions plusieurs radiotélégraphistes civils envoyés en renfort pour cause de rupture des contrats de radios militaires. D’entrée j’ai été remplacer le chef de station émission pour le remplacer provisoirement avant l’arrivée d’un titulaire. Un caporal chef, chef de quart régleur avec qui j’ai sympathisé m’a dit que l’épouse d’un adjudant chef du génie militaire, un ivrogne invétéré, en était réduite à recevoir des messieurs, contre 150 fr l’heure passée chez elle, sur rendez-vous. Uniquement sur recommandation d’un habitué…
Elle avait deux enfants scolarisés à Batna dans le nord. Et une belle-mère à sa charge, pauvre vieille complice de sa belle fille. Elle avait commencé par se faire ‘dépanner’ par des copains de son mari, sous officiers comme lui. Puis le bouche à oreille avait élargi le cercle de ce qu’il fallait bien nommer ses ‘clients’ ! J’avais dix huit ans et en état d’abstinence provisoire, je l’espérais ! J’étais curieux aussi et un peu sceptique…Il m’a procuré un rendez-vous !
En début d’après midi, il m’a donc accompagné à cette maison sise à l’orée de la ville.
Une dame est venue nous ouvrir la porte de derrière qui donnait dans une ruelle déserte. Une grande femme mince, on peut dire ‘maigre’ . Son visage régulier aurait pu être beau sans les plis amers de la bouche et son air sombre. Les yeux par contre, noirs, brillants étaient la partie vivante de ce visage, sous des cheveux noirs avec une demi frange sur le front.
Le copain m’a présenté et est reparti illico. Sans un mot, elle m’a fait signe de la suivre, et derrière elle je suis arrivé dans la grande chambre du bas où elle officiait. Elle s’est retournée vers moi, main ouverte, j’y ai mis les billets que j’avais préparés. Dans un coin de la pièce, il y avait une tringle et un rideau qu’elle a tiré, révélant ce qui était censé représenter une salle de bains. Un robinet et un évier… à côté une table basse de sous laquelle elle a tiré un bidet amovible en plastique qu’elle a rempli d’eau. En même temps, elle a enfin parlé :
-Déshabilles-toi et poses tes affaires là… tu peux te faire une ‘petite toilette’ directement à l’évier…
[ Donc elle tutoyait… mais sa voix était monocorde et aussi triste que tout ce qui se dégageait d’elle ]
Elle a enlevé sa jupe sous laquelle… elle n’avait pas de culotte ! Et elle s’est accroupie sur son bidet. Plus que gêné, j’ai enlevé le short et le slip, puis au robinet je me suis savonné et rincé le sexe…me disant que d’après tout ce qu’on m’avait raconté sur les ‘bordels’ européens, c’était la dame qui procédait à la toilette du monsieur ?
Séché, toujours mal à l’aise, je me suis retourné et avancé vers le lit où elle était déjà installée ! Elle avait conservé son chemisier. Allongée à plat dos, les yeux fermés, visage crispé. Elle avait les genoux élevés, mais écartés… Face à moi, j’ai vu son pubis orné de poils noirs frisés, et au dessous la fente du sexe, grandes lèvres un peu apparentes !
Quelque chose s’est passé en moi, et je n’ai même pas réfléchi pour dire :
-Madame, j’ai honte. Je sais que vous êtes obligée par la vie d’en arriver
là, mais moi comme ça, je ne peux pas ! Gardez les billets et
excusez-moi… je m’en vais !
Elle a rouvert les yeux et je me souviens de sa voix froide, furieuse :
-Il te faut quoi ? mes ‘figues sèches’ ( seins ) à caresser ? où te ‘sucer’ …
( fellation ) d’abord comme les vieux ‘cons’ ? alors c’est cinquante francs de plus…
Sans répondre, j’ai commencé à me rhabiller, mais soudain, pétrifié, je l’ai entendu pleurer… et bredouiller :
-Toi, au moins tu m’as parlé comme à une dame, pas comme à une ‘pute’… viens !
allez viens prés de moi, on va s’arranger…
Elle a enlevé son chemisier, et moi, allongé à ses côtés, nous avons d’abord parlé… Elle m’a raconté ce que je savais déjà. Les enfants en pension qui coûtaient cher. L’annexe du génie qui ne faisait rien pour obliger son mari à lui donner plus que le minimum imposé chaque mois. Et pourquoi on ne les avait pas virés du territoire ni cherché d’histoires malgré que … leur histoire soit connue ! Ses rencontres extra conjugales qui avaient commencé avec des collègues de son mari, mais le cercle s’était élargi ( si je puis dire ! ) avec des militaires seulement. Elle m’a précisé :
-Ces vieux ‘cochons’ d’officiers, même de très haut gradés viennent ici pour faire ce qu’ils ne font pas avec leur ‘bobonne’… cinquante francs de plus pour se faire ‘sucer’, et trois cent francs au lieu de cent cinquante pour tu devines quoi…
Naïvement, j’ai demandé :
-Oui, pourquoi ?
-Pour… l’autre ‘trou’ pardi ! Ils aiment la merde ces ‘fumiers’ qui ensuite se la jouent au grand seigneur dans leur société fermée !
Pendant ce temps, comme j’étais jeune, et mes mains pas inactives pendant tous ces monologues, qu’elle était ‘réceptive’ et détendue, les yeux ouverts cette fois : il y a eu… deux assauts !
Ce qui lui a fait dire :
-Eh ! ben, pour quelqu’un qui disait ne pas pouvoir… Mais tu as des égards, toi. Et tu as les mains douces, tiens, ça n’a pas été une corvée avec toi !
Quelques jours après, un remplaçant militaire étant arrivé à la station d’émission, j’ai rejoint le Centre. J’ai raconté à mes ‘potes’ : Dédé et Guy…
Il y avait un numéro à appeler, à certaines heures, un code pour prendre rendez-vous…
L’excuse de la curiosité pour eux aussi, ils y sont allés tour à tour ! A ma connaissance, d’autres encore on fini par utiliser la… filière : Les ‘gonades’ ça nous travaille tous !
Moi, je n’y suis retourné qu’une fois avant de faire ami-ami avec Lydia, puis plus encore car affinités !
Exit Renée, ‘pute’ de par la vie…
Et de par son ‘homme’ !!
-Vous ne voulez pas que j’aille aux ‘putes’…
Terme si péjoratif qu’avec un peu de réflexion, j’aurais employé : « avoir recours à la prostitution ! »
En remontant le temps, péripatéticiennes, hétaïres, ribaudes, prostituées et…’putains’ s’est appliqué aux professionnelles de l’amour tarifié…et courtisanes, demi-mondaines, femmes entretenues à celles qui gravitent dans des zones moins franches et plus troubles. Celles qui font ‘semblant’ d’aimer mais utilisent en fait, un ou plusieurs hommes, en fonction de ce que cela leur rapporte, à elles !
Moi, cela n’a jamais été ma tasse de thé, cet amour tarifié chez les pros du sexe. J’ai entendu mille et une histoires à leur sujet, mais : « qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son… »
Elles, je ne les ai jamais entendu réellement plaider leur cause où expliquer ce qui les a amené à faire ce métier. Car pour elles, c’est un métier, contrairement aux autres qui vendent leur ‘cul’ au plus offrant en se la jouant à la grande dame !
Mais « d’aventure, en aventure… » comme l’a chanté S. Lama, j’ai utilisé les services (sic) de trois de ces Dames que je ne sais trop où classer !
La première fois : Renée, pour sauver sa famille…
Ouargla en 19... : une ville de garnison du Sahara Français de l’époque. Nous étions plusieurs radiotélégraphistes civils envoyés en renfort pour cause de rupture des contrats de radios militaires. D’entrée j’ai été remplacer le chef de station émission pour le remplacer provisoirement avant l’arrivée d’un titulaire. Un caporal chef, chef de quart régleur avec qui j’ai sympathisé m’a dit que l’épouse d’un adjudant chef du génie militaire, un ivrogne invétéré, en était réduite à recevoir des messieurs, contre 150 fr l’heure passée chez elle, sur rendez-vous. Uniquement sur recommandation d’un habitué…
Elle avait deux enfants scolarisés à Batna dans le nord. Et une belle-mère à sa charge, pauvre vieille complice de sa belle fille. Elle avait commencé par se faire ‘dépanner’ par des copains de son mari, sous officiers comme lui. Puis le bouche à oreille avait élargi le cercle de ce qu’il fallait bien nommer ses ‘clients’ ! J’avais dix huit ans et en état d’abstinence provisoire, je l’espérais ! J’étais curieux aussi et un peu sceptique…Il m’a procuré un rendez-vous !
En début d’après midi, il m’a donc accompagné à cette maison sise à l’orée de la ville.
Une dame est venue nous ouvrir la porte de derrière qui donnait dans une ruelle déserte. Une grande femme mince, on peut dire ‘maigre’ . Son visage régulier aurait pu être beau sans les plis amers de la bouche et son air sombre. Les yeux par contre, noirs, brillants étaient la partie vivante de ce visage, sous des cheveux noirs avec une demi frange sur le front.
Le copain m’a présenté et est reparti illico. Sans un mot, elle m’a fait signe de la suivre, et derrière elle je suis arrivé dans la grande chambre du bas où elle officiait. Elle s’est retournée vers moi, main ouverte, j’y ai mis les billets que j’avais préparés. Dans un coin de la pièce, il y avait une tringle et un rideau qu’elle a tiré, révélant ce qui était censé représenter une salle de bains. Un robinet et un évier… à côté une table basse de sous laquelle elle a tiré un bidet amovible en plastique qu’elle a rempli d’eau. En même temps, elle a enfin parlé :
-Déshabilles-toi et poses tes affaires là… tu peux te faire une ‘petite toilette’ directement à l’évier…
[ Donc elle tutoyait… mais sa voix était monocorde et aussi triste que tout ce qui se dégageait d’elle ]
Elle a enlevé sa jupe sous laquelle… elle n’avait pas de culotte ! Et elle s’est accroupie sur son bidet. Plus que gêné, j’ai enlevé le short et le slip, puis au robinet je me suis savonné et rincé le sexe…me disant que d’après tout ce qu’on m’avait raconté sur les ‘bordels’ européens, c’était la dame qui procédait à la toilette du monsieur ?
Séché, toujours mal à l’aise, je me suis retourné et avancé vers le lit où elle était déjà installée ! Elle avait conservé son chemisier. Allongée à plat dos, les yeux fermés, visage crispé. Elle avait les genoux élevés, mais écartés… Face à moi, j’ai vu son pubis orné de poils noirs frisés, et au dessous la fente du sexe, grandes lèvres un peu apparentes !
Quelque chose s’est passé en moi, et je n’ai même pas réfléchi pour dire :
-Madame, j’ai honte. Je sais que vous êtes obligée par la vie d’en arriver
là, mais moi comme ça, je ne peux pas ! Gardez les billets et
excusez-moi… je m’en vais !
Elle a rouvert les yeux et je me souviens de sa voix froide, furieuse :
-Il te faut quoi ? mes ‘figues sèches’ ( seins ) à caresser ? où te ‘sucer’ …
( fellation ) d’abord comme les vieux ‘cons’ ? alors c’est cinquante francs de plus…
Sans répondre, j’ai commencé à me rhabiller, mais soudain, pétrifié, je l’ai entendu pleurer… et bredouiller :
-Toi, au moins tu m’as parlé comme à une dame, pas comme à une ‘pute’… viens !
allez viens prés de moi, on va s’arranger…
Elle a enlevé son chemisier, et moi, allongé à ses côtés, nous avons d’abord parlé… Elle m’a raconté ce que je savais déjà. Les enfants en pension qui coûtaient cher. L’annexe du génie qui ne faisait rien pour obliger son mari à lui donner plus que le minimum imposé chaque mois. Et pourquoi on ne les avait pas virés du territoire ni cherché d’histoires malgré que … leur histoire soit connue ! Ses rencontres extra conjugales qui avaient commencé avec des collègues de son mari, mais le cercle s’était élargi ( si je puis dire ! ) avec des militaires seulement. Elle m’a précisé :
-Ces vieux ‘cochons’ d’officiers, même de très haut gradés viennent ici pour faire ce qu’ils ne font pas avec leur ‘bobonne’… cinquante francs de plus pour se faire ‘sucer’, et trois cent francs au lieu de cent cinquante pour tu devines quoi…
Naïvement, j’ai demandé :
-Oui, pourquoi ?
-Pour… l’autre ‘trou’ pardi ! Ils aiment la merde ces ‘fumiers’ qui ensuite se la jouent au grand seigneur dans leur société fermée !
Pendant ce temps, comme j’étais jeune, et mes mains pas inactives pendant tous ces monologues, qu’elle était ‘réceptive’ et détendue, les yeux ouverts cette fois : il y a eu… deux assauts !
Ce qui lui a fait dire :
-Eh ! ben, pour quelqu’un qui disait ne pas pouvoir… Mais tu as des égards, toi. Et tu as les mains douces, tiens, ça n’a pas été une corvée avec toi !
Quelques jours après, un remplaçant militaire étant arrivé à la station d’émission, j’ai rejoint le Centre. J’ai raconté à mes ‘potes’ : Dédé et Guy…
Il y avait un numéro à appeler, à certaines heures, un code pour prendre rendez-vous…
L’excuse de la curiosité pour eux aussi, ils y sont allés tour à tour ! A ma connaissance, d’autres encore on fini par utiliser la… filière : Les ‘gonades’ ça nous travaille tous !
Moi, je n’y suis retourné qu’une fois avant de faire ami-ami avec Lydia, puis plus encore car affinités !
Exit Renée, ‘pute’ de par la vie…
Et de par son ‘homme’ !!
Sam 04 Mars 2006, 14:34 par
jan goure sur Les liaisons sulfureuses
Entre nous soit dit:
Tu es terriblement touche-à-tout
- Touche-moi, touche-moi encore
Tu es corset autour de ma taille
- Embrasse-moi, embrasse-moi encore
Tu es soie sur mes seins
- Caresse-moi, caresse-moi encore
Tu es désir chaud ardent dans mon ventre
- Trouble-moi, trouble-moi encore
Tu es frôlement qui coupe le souffle
- Effleure-moi, effleure-moi encore
Tu es je-veux-tout-de-toi et le reste
Tu es je t’aime dans nos nuits, dans nos jours
Tu es j’ai en moi chacun de tes gestes
Tu es terriblement mon amour.
- Touche-moi, touche-moi encore
Tu es corset autour de ma taille
- Embrasse-moi, embrasse-moi encore
Tu es soie sur mes seins
- Caresse-moi, caresse-moi encore
Tu es désir chaud ardent dans mon ventre
- Trouble-moi, trouble-moi encore
Tu es frôlement qui coupe le souffle
- Effleure-moi, effleure-moi encore
Tu es je-veux-tout-de-toi et le reste
Tu es je t’aime dans nos nuits, dans nos jours
Tu es j’ai en moi chacun de tes gestes
Tu es terriblement mon amour.
Sam 18 Fév 2006, 07:05 par
Lou sur Un monde parfait
Premier rendez-vous
Je vis la préparation pour un premier rendez-vous en amoureux, comme un rituel, telles les geishas attendant la visite de leur époux. L’avant fait partie intégrante de la rencontre en elle-même, la conditionne. J’aime avoir mon esprit concentré pendant quelques heures sur lui, sur la réussite de ces premiers instants pour qu’ils soient magiques.
Quels bijoux ? Quelle coiffure ? Et le soin du corps pour que je sois soyeuse sous ses mains, l’épilation, totale pour être lisse sous sa bouche, et toute à lui. Quel repas ? Quelle ambiance ? Quelle tenue pour m’offrir à lui, pour le surprendre, pour qu’il m’effeuille facilement ? Quelle lingerie ?
Ce moment de préparation est une délectation. Je me sens sereine, légèrement excitée, joyeuse. Ses quelques mots m’avaient déjà mise en transe. Je le sens, je le sais : cela va très bien fonctionner entre nous.
L’interphone sonne. Il est là.
Je sors le champagne rosé.
Je lui ouvre ma porte. Il entre. Il pénètre dans une ambiance feutrée. Chandelles, encens, lumière tamisée, musique douce. Un ou deux baisers légers. Tout dans la juste mesure. Il ne me saute pas dessus.
Une coupe de champagne et un baiser un peu plus appuyé.
Et son émerveillement, tel un regard d’enfant qui me fait craquer...J’aime sa lenteur, sa délectation à me découvrir, centimètre carré par centimètre carré. Il s’intéresse à mon décolleté assez profond. Pose son visage dessus, l’embrasse délicatement, ses doigts parcourant doucement mes seins. Comme s’il prenait maintes précautions à ne pas abîmer l’amante qu’il désire, et qu’il découvre dans la sublimité. Il veut savourer chaque moment pleinement. Il est totalement présent, là dans l’instant. Il a toujours ce regard émerveillé, tout en vérifiant où j’en suis, si j’apprécie ce qu’il me fait, si je m’abandonne à lui…
Il dégage légèrement mes seins opulents emprisonnés, pour embrasser mes tétons. Là encore il est comme subjugué comme s’il découvrait des merveilles.
Ses mains se baladent sous ma jupe, découvrent mes jarretelles sur mes cuisses, mes bas noirs en nylon, qui crissent. Je porte une culotte en dentelle fine noire. Une culotte coquine, fendue. Ses doigts parcourent légèrement et caressent mes lèvres lisses qui apparaissent parmi les dentelles. Ce tableau, cette sensation le ravit. Moi aussi. Avec toute cette douceur, ma tête part en arrière. Il ne résiste pas à venir embrasser mon sexe offert à lui tel une fleur épanouie, doucement, puis plus vigoureusement, puis doucement, de surprise en surprise…
Il est complètement en empathie, s’adapte totalement à moi, en fonction de mes réactions, de mes désirs. Il se donne entièrement à moi. Seul mon plaisir semble compter pour lui. Il me suce divinement. Je ressens qu’il adore le faire.
Je ne l’ai pas encore touché. Nous nous embrassons profondément.
La banquette n’était pas très confortable, nous poursuivons dans ma chambre, je me débarrasse de quelques vêtements et lui aussi. Je viens sur lui en masturbant mon sexe lisse avec son gland si doux. Puis l’inévitable se produit : il me pénètre, sa queue est idéale pour moi, je la ressens bien en moi sans qu’elle ne me fasse mal.
Il aime scruter mon plaisir dans mes yeux, me voir chavirer, et me demande, quand je pars : « regarde-moi », pendant qu’il me fait jouir amoureusement. Il m’envahi alors de son regard plein, brillant, d’aimant-amant…
Alors mon amant, jusqu’alors très féminin reprend sa virilité, sa puissance. Je n’ai de cesse d’embrasser de goûter ce beau sexe, mélangé à mes propres saveurs, et de m’amuser avec, jusqu’à ce qu’il jouisse au bord de ma bouche.
Nous nous embrassons tendrement, ravis. Il me caresse le visage. Il a toujours ses yeux plongés dans les miens, nous nous entendons si bien.
Nous nous restaurons un peu, discutons. Puis nous reprenons nos ébats cette fois un peu plus sauvages : il prend la place de mon rosebud rouge (le bijou anal que je porte spécialement pour lui, pour qu’il en découvre les délices), et me possède ainsi longuement, délicieusement et dans plusieurs positions. J’aime alors être sienne, chienne, à lui.
Nous nous endormons ensuite affectueusement.
Dans la nuit, ses mains douces et câlines me cherchent, comme pour vérifier que je suis bien là. Parfois, il s’emboîte derrière moi, tout contre moi, son sexe entre mes fesses, et il me fait un bisou dans le dos, croyant que je dors.
Je n’ai presque pas dormi. A chaque première rencontre, je n’arrive pas à dormir, malgré la fatigue. Je suis toute excitée de ces nouveautés partagées avec l’élu. Je récapitule ce qu’on s’est dit, ce qu’on a fait. J’ai rarement connu un homme aussi sensuel, aussi câlin et autant dans le don de soi. Tant d’hommes craignent de montrer leur affection, par peur de s’engager ensuite. Il m’a honorée comme si j’étais une reine. Je plane un peu et savoure mon bonheur.
Au petit matin, un dernier moment de plaisir avant de se dire au revoir. Cela réveille et met en forme. Je prépare le petit-déjeuner pendant qu’il se douche.
Il est temps de se quitter, baisers doux d’au revoir.
Il est à peine sorti que j’ai déjà hâte de me retrouver ses bras…
Lorely
Quels bijoux ? Quelle coiffure ? Et le soin du corps pour que je sois soyeuse sous ses mains, l’épilation, totale pour être lisse sous sa bouche, et toute à lui. Quel repas ? Quelle ambiance ? Quelle tenue pour m’offrir à lui, pour le surprendre, pour qu’il m’effeuille facilement ? Quelle lingerie ?
Ce moment de préparation est une délectation. Je me sens sereine, légèrement excitée, joyeuse. Ses quelques mots m’avaient déjà mise en transe. Je le sens, je le sais : cela va très bien fonctionner entre nous.
L’interphone sonne. Il est là.
Je sors le champagne rosé.
Je lui ouvre ma porte. Il entre. Il pénètre dans une ambiance feutrée. Chandelles, encens, lumière tamisée, musique douce. Un ou deux baisers légers. Tout dans la juste mesure. Il ne me saute pas dessus.
Une coupe de champagne et un baiser un peu plus appuyé.
Et son émerveillement, tel un regard d’enfant qui me fait craquer...J’aime sa lenteur, sa délectation à me découvrir, centimètre carré par centimètre carré. Il s’intéresse à mon décolleté assez profond. Pose son visage dessus, l’embrasse délicatement, ses doigts parcourant doucement mes seins. Comme s’il prenait maintes précautions à ne pas abîmer l’amante qu’il désire, et qu’il découvre dans la sublimité. Il veut savourer chaque moment pleinement. Il est totalement présent, là dans l’instant. Il a toujours ce regard émerveillé, tout en vérifiant où j’en suis, si j’apprécie ce qu’il me fait, si je m’abandonne à lui…
Il dégage légèrement mes seins opulents emprisonnés, pour embrasser mes tétons. Là encore il est comme subjugué comme s’il découvrait des merveilles.
Ses mains se baladent sous ma jupe, découvrent mes jarretelles sur mes cuisses, mes bas noirs en nylon, qui crissent. Je porte une culotte en dentelle fine noire. Une culotte coquine, fendue. Ses doigts parcourent légèrement et caressent mes lèvres lisses qui apparaissent parmi les dentelles. Ce tableau, cette sensation le ravit. Moi aussi. Avec toute cette douceur, ma tête part en arrière. Il ne résiste pas à venir embrasser mon sexe offert à lui tel une fleur épanouie, doucement, puis plus vigoureusement, puis doucement, de surprise en surprise…
Il est complètement en empathie, s’adapte totalement à moi, en fonction de mes réactions, de mes désirs. Il se donne entièrement à moi. Seul mon plaisir semble compter pour lui. Il me suce divinement. Je ressens qu’il adore le faire.
Je ne l’ai pas encore touché. Nous nous embrassons profondément.
La banquette n’était pas très confortable, nous poursuivons dans ma chambre, je me débarrasse de quelques vêtements et lui aussi. Je viens sur lui en masturbant mon sexe lisse avec son gland si doux. Puis l’inévitable se produit : il me pénètre, sa queue est idéale pour moi, je la ressens bien en moi sans qu’elle ne me fasse mal.
Il aime scruter mon plaisir dans mes yeux, me voir chavirer, et me demande, quand je pars : « regarde-moi », pendant qu’il me fait jouir amoureusement. Il m’envahi alors de son regard plein, brillant, d’aimant-amant…
Alors mon amant, jusqu’alors très féminin reprend sa virilité, sa puissance. Je n’ai de cesse d’embrasser de goûter ce beau sexe, mélangé à mes propres saveurs, et de m’amuser avec, jusqu’à ce qu’il jouisse au bord de ma bouche.
Nous nous embrassons tendrement, ravis. Il me caresse le visage. Il a toujours ses yeux plongés dans les miens, nous nous entendons si bien.
Nous nous restaurons un peu, discutons. Puis nous reprenons nos ébats cette fois un peu plus sauvages : il prend la place de mon rosebud rouge (le bijou anal que je porte spécialement pour lui, pour qu’il en découvre les délices), et me possède ainsi longuement, délicieusement et dans plusieurs positions. J’aime alors être sienne, chienne, à lui.
Nous nous endormons ensuite affectueusement.
Dans la nuit, ses mains douces et câlines me cherchent, comme pour vérifier que je suis bien là. Parfois, il s’emboîte derrière moi, tout contre moi, son sexe entre mes fesses, et il me fait un bisou dans le dos, croyant que je dors.
Je n’ai presque pas dormi. A chaque première rencontre, je n’arrive pas à dormir, malgré la fatigue. Je suis toute excitée de ces nouveautés partagées avec l’élu. Je récapitule ce qu’on s’est dit, ce qu’on a fait. J’ai rarement connu un homme aussi sensuel, aussi câlin et autant dans le don de soi. Tant d’hommes craignent de montrer leur affection, par peur de s’engager ensuite. Il m’a honorée comme si j’étais une reine. Je plane un peu et savoure mon bonheur.
Au petit matin, un dernier moment de plaisir avant de se dire au revoir. Cela réveille et met en forme. Je prépare le petit-déjeuner pendant qu’il se douche.
Il est temps de se quitter, baisers doux d’au revoir.
Il est à peine sorti que j’ai déjà hâte de me retrouver ses bras…
Lorely
Lun 06 Fév 2006, 00:15 par
Lorely sur Les liaisons sulfureuses
Passion
La passion que nous avons l’Un pour l’Autre s’exprime...
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Cette Passion qui ne se soumet à rien, et à qui,
au contraire, toutes choses se soumettent.
Notre désir est à fleur de peau et
chaque caresse offerte amène nos corps
vers une excitation grandissante.
Mes seins durcis par le plaisir du toucher,
le torse de l’Etre aimé bombé par l’Envie
font que nos corps commencent
à entrer en totale communion prêts
à recevoir des caresses plus intimes.
Nos corps s’entrelacent et les caresses deviennent si intenses...
Que nous nous aventurons vers un chemin plus intime de nos corps.
Ma main s’aventure à caresser son ventre
Pendant que la sienne continue à découvrir les formes de mon corps.
Les effleurements de nos doigts nous procurent un plaisir immense,
Celui du désir pas encore consommé,
Ces préliminaires qui nous préparent à ressentir d’autant plus fort
Le plaisir, puisqu’il nous envahit
Lentement, doucement, intensément..
Ma main descend encore et encore,
prête à offrir de tendres caressses
à cet organe de son corps
qui représente la masculinité
au plus profond de son sens.
Je vois l’Etre aimé réceptif à mes offrandes de plaisir
Et lentement seul le plaisir est Notre communion.
Sa main tente d’approcher ce jardin si secret
Qu’est celui d’une femme,
Là où les plaisirs sont cachés.
A cet instant présent, nous sommes en parfaite osmose
Où ce n’est plus la raison qui commande nos actes mais la passion....
Il découvre lentement la douceur de mon désir
Pendant que je m’attarde tendrement
Sur cette partie si intime de lui
Et qui à elle seule me montre son Envie.
Mer 01 Fév 2006, 16:50 par
Satine sur Les liaisons sulfureuses
Caresse , offrande de plaisir
Mon corps près de celui de l’Etre aimé s’ose
à de douces caresses, tendres et sensuelles,
où le temps n’est pas compté.
Seul l’éveil au Désir prend son importance.
De nos mains, nous échangeons des caresses
qui sont le message de notre émoi.
J’effleure le torse de l’Etre aimé
pendant que celui ci s’aventure à me caresser les seins,
à leur offrir des baisers du bout des lèvres .
Au toucher de sa main, ils se durcissent envahis
par une sensation étrange de bien être...
à de douces caresses, tendres et sensuelles,
où le temps n’est pas compté.
Seul l’éveil au Désir prend son importance.
De nos mains, nous échangeons des caresses
qui sont le message de notre émoi.
J’effleure le torse de l’Etre aimé
pendant que celui ci s’aventure à me caresser les seins,
à leur offrir des baisers du bout des lèvres .
Au toucher de sa main, ils se durcissent envahis
par une sensation étrange de bien être...
Mer 01 Fév 2006, 16:40 par
Satine sur Parler d'amour
Paula, la toute, toute première fois...
En ce début d’août, j’avais 13 ans : on m’en donnait 15 et plus ! Je mesurais déjà un mètre soixante quinze, et mes soixante cinq kilos n’étaient qu’os et muscles ! J’avais tout fait pour çà : Pour vaincre ma peur des coups à l’école, un cousin m’avait donné des leçons de ‘savatte’ la boxe française, en m’indiquant toute la préparation physique qui va avec. Je m’y livrais quotidiennement depuis des années…
Transformé physiquement, j’avais un air décidé, mais qui cachait ma timidité naturelle et mes incertitudes face à la vie. J’étais travaillé par une libido précoce, exacerbée par certaines approches avec Gina, mon premier ‘flirt’. Et aussi par l’écoute des rodomontades de Copains d’école, plus âgés, qui se disaient très avertis, je n’avais qu’une idée : concrétiser moi aussi…
Pendant ces vacances d’été, en plus de l’aide que j’apportais à l’entretien de notre jardin, mon père m’avait obtenu d’arroser trois jardins voisins en plus du nôtre : De quoi m’acheter un vélo neuf pour ma rentrée scolaire.
Et dans l’un d’eux en août, sont arrivés les propriétaires et… Paula !
Paula, c’était une petite bonne comme on les appelait alors ! elle s’est mise à venir ‘me tenir la jambe’, expression imagée de l’époque, et je l’ai d’abord trouvée‘casse-pieds’ ! A mon corps défendant j’ai appris qu’elle avait 31 ans ( Une femme ‘mûre’ pour moi ! ) Qu’elle était Tchèque, arrivée là du fait de circonstances extraordinaires, et malgré ses efforts, elle se faisait comprendre en Français même si elle était encore fâchée avec la grammaire et les nuances de notre langue !
Ce n’était pas une beauté de catalogue, mais si j’avais eu son âge ou plus, je l’aurais trouvée ‘pas mal’ ! Petite, assez… dodue ( ! ) Le visage assez rond et un peu poupin. Des yeux noirs, très vifs. Une bouche pulpeuse, et des petites dents très blanches qui m’a fait apprécier ses sourires… Cheveux noirs et lisses, soigneusement nattés. Une peau laiteuse qu’elle n’avait pas le temps d’exposer au soleil ! Une poitrine que je jugeais conséquente et appétissante car visiblement pas enfermée dans un soutien gorge sous la blouse fine de travail, qui plaquait aussi des fesses rebondies qui m’ont fait loucher plus d’une fois…
« Petite cause grands effets » pendant ses créneaux de repos, elle ne sortait pas, le justifiant pas :
-Dehors, des sales types pas respecter Paula…
Et ensuite :
-Patronne prête son vélo, toi m’apprendre à quatre (16) heures ?
Dés lors, vous pouvez imaginer la scène : Elle en perdition, comme ‘une poule qui a trouvé un couteau’ perchée sur ce vieux ‘tacot’, dans les allées cimentées du jardin. Moi, tenant le guidon d’une main, et l’autre sous la selle. Elle, collée à moi en gloussant, alors que j’essayais de l’équilibrer…
Après midi brûlant, phéromones de son corps en sueur ? j’étais bien sûr en érection quasi douloureuse !
Je m’étais lancé ce défi d’en ‘niquer’ une ( mots de là bas ! ) à la première occasion. J’ai commencé par me dire :
-T’es pas cap…
Me collant encore plus à elle, la main quittant la selle pour devenir baladeuse…et l’instant d’après, lui faisant des bisous, sur la joue, cherchant une bouche qu’elle dérobait en se tournant sur le côté. Je me suis alors rabattu sur le cou ! Qui a justement dit : « C’est fou, les baisers dans l’cou… »
Elle était rouge, elle avait chaud, sa blouse était collée par la transpiration… ses seins un peu lourds, sans soutien gorge tressautaient, les pointes assombrissaient la blouse sous laquelle elles dansaient… Pari de plus en plus osé, ma main a quitté le guidon et est venue en caresser un…par-dessus la blouse ! Et l’autre main, lui ‘pelotait’ carrément les fesses…
Elle piaillait, se fâchait :
-Petit cochon…pas bien çà…
Mais s’affolait dés que je la lâchais pour la laisser rouler seule :
-Non ! Tenir moi…toi ‘reprendre moi’ (sic)
Et je la reprenais…dans mes bras !
Tout cela par épisodes, entre deux changements de place du tuyau d’arrosage. A la fin, elle est partie, fâchée, en maugréant dans sa langue !
Je m’en suis voulu, après coup. Physiologiquement elle aurait pu être ma Mère…Et, je n’avais aucun scrupule ni retenue avec elle, je me suis dit :
-C’est parce que c’est une ‘Bonne’ que je fais çà ? Elle mérite mon respect autant qu’une autre…
Serments qui volent, et qui s’envolent… dés que revient la tentation !
Le lendemain après midi, elle m’a hélé du grillage qui séparait les deux jardins :
-Tout à l’heure, tu apprends à moi ? Si toi gentil, moi progrès, et Paula t’embrasse…après !
Au lieu de descendre à la plage après l’arrosage, je suis allé la retrouver. Toujours pas ‘gentil’ je l’ai encore plus cajolée, serrée de prés, l’embrassant…où je pouvais poser mes lèvres, et ma main a encore plus osé…
Elle s’est insinuée dans la blouse pour pétrir son gros ‘Néné’… ce qui l’a fait piailler encore plus, car on tanguait. Des zigs et des zags qui lui faisaient dire :
-Arrêtes, petit cochon…moi, jamais apprendre comme çà !
A l’arrêt, au fond du jardin, juste derrière la cabane à outils, je l’ai prise dans mes bras :
-Donnes moi le baiser promis ?
-Toi pas mériter…
Mais elle n’a pu en dire plus, mes lèvres étaient sur sa bouche qui ne s’est pas dérobée…Elle a dit après :
-Oh ! Toi, tu sais…déjà fait, hein ? Petit cochon !
Elle était molle dans mes bras maintenant, un défi terrible m’a traversé l’esprit. Je lui ai dit, la voix rauque, à la fois comminatoire et pas très assurée :
-Viens dans la cabane avec moi !
J’ai ouvert la porte, main sur ses reins, je l’y ai poussée : Elle savait bien ce que je voulais... Elle avait du y penser, car ses patrons étaient à un bridge, ce soir là !
Je savais qu’il y avait une grosse bâche pliée en quatre sur l’étagère du fond. La porte refermée, il a d’abord fait sombre mais mes yeux se sont vite fait à cette demi obscurité. De plus, il y avait un rai de lumière qui tombait du haut de la porte, mal jointée .J’ai posé la bâche au sol, l’ai dépliée…et sans un mot, on s’est allongés !
Je l’ai encore embrassée longuement, mettant la langue cette fois, comme avec Gina…ma main baladeuse s’est promenée, a relevé la blouse. Elle s’est un peu dégagée, a dégrafé les boutons…J’ai enlevé mon short et mon tricot. Elle a aidé ma main à faire glisser sa culotte, et elle m’a aidé à enlever mon slip : nous étions nus et mon sexe collé à sa chair brûlante !
Je retrouve en moi, tout ce que j’ai pensé durant toute la corrida :
-‘P’.. ! Çà y est…elle veut bien : j’vais la ’niquer’…’p’… ! Ses ‘nichons’ qu’est-ce qu’y sont gros… un peu mous ? C’est pas Gina ! mais çà fait rien, j’vais lui ‘bouffer’ !
J’entendais sa respiration mais comme moi, elle se taisait. J’ai encore pensé :
-‘P…’ ! J’ai la main dessus ( son sexe !) C’est chaud et mouillé…comme Gina, mais plus écarté ( mon doigt s’y était glissé !)…’P…’ ! Maintenant c’est le ‘Zob’ que j’vais y rentrer !
Je me suis mis sur elle : elle n’avait plus le même visage…dans ce rai de lumière qui l’éclairait en plein, çà m’a fait presque peur (!) mais j’étais déjà entre ses cuisses, ma main a guidé mon sexe, il est entré comme dans du beurre : J’étais en elle !
Elle a eu un gros soupir, moi j’ai pensé :
-Facile…’P’… ! C’est chaud, c’est bon…
Mais je ne bougeais pas, et elle a dit, voix rauque :
-Il faut toi, bouger…çà, toi pas encore fait, hein ?
[ Çà devait encore plus l’exciter !]
M’est revenu à l’esprit, les ‘conneries’ des deux Dadais de mon école : « Tu rentres, tu sors, çà fait ressort… »
J’ai failli sortir à tout de bon en reculant trop, follement excité…Ah ! Ce va et vient !
Ses mains crispées sur mes reins, elle retenait mes élans, exagérés, mais déjà je…jouissais en éructant tout en pensant :
-C’est autre chose que maillot contre maillot
[ Le frotti frotta, avec Gina ! ]
Et une joie indescriptible, mêlée de fierté m’a fait murmurer :
-Qu’est-ce que c’est bon !
Et penser :
-‘P…’ ! J’ai déchargé dans le ventre d’une femme…
Satisfait, sexe encore durci, je me suis laissé aller sur elle, osant penser encore :
-‘P…’ ! Avec Gigi, çà aurait été encore meilleur, j’en suis sûr !
[ Ingratitude humaine ! ]
C’est alors qu’elle m’a dit de cette voix que je ne connaissais pas encore :
-Toi, content, hein ! petit cochon…mais à Paula maintenant : Toi mettre sur ton dos, moi dessus…
Et les gestes aidant, je me suis retrouvé dessous, et elle toujours embrochée, au-dessus de moi. Relevée sur les coudes elle a commencé à se tortiller, marmonnant, la voix rauque :
-Toi, toujours raide, c’est bon pour Paula…
Je voyais son visage crispé, les yeux un peu retournés : j’ai encore évoqué celui de Gina ! Elle s’est mise à danser de façon désordonnée, et avec un recul trop grand, mon sexe est sorti ; elle l’a remis avec sa main, disant :
-Toi, mets les mains sur mes fesses, empêches ‘le’ sortir !
Puis elle s’est mise à gémir, à crier presque, dans sa langue…J’étais tellement sidéré que j’ai failli ‘débander’… mais pour la première fois, et depuis il en a été toujours ainsi, j’ai pensé :
-Restes raide, ‘p…’ ! Qu’elle prenne son plaisir…après tu la retourneras, pour toi !
Ce que j’ai fait, quand elle s’est abattue sur moi, disant :
-Bon ! … bon ! pour Paula…
Cela a vraiment duré cette fois, et j’ai pris conscience de tout ce qu’il y a d’exaltant à besogner une femme…être en elle, dominateur ( on le croit !) La possédant à sa guise, à son rythme : lent, rapide, à grands coups pour s’enfoncer, puis en se retirant lentement, et en s’enfonçant avec un bruit de gorge et cette pensée:
-‘P’ ! Qu’est-ce que c’est bon’ !
A la fin, une chevauchée à cru, qu’on ne domine plus : Le rut d’une bête qui jouit bruyamment…suivi d’un abattement :
« Seuls la Femme et le coq chantent après le coït… »
Et comme pour Gina ( quand çà ‘partait’ dans le slip ou le maillot !) qui se demandait ce qui m’arrivait, j’ai embrassé Paula, sur les yeux, sur le bout du nez, puis la bouche, langues mêlées…Elle a apprécié, disant essoufflée :
-Toi, gentil…bon coq aussi…Paula pas pris plaisir comme çà, depuis Jan ! deux ans déjà, l’autre, Hans, gros cochon pensé qu’à lui !
Avec elle, il y avait beaucoup de nuances de Petit à … gros cochon !
Et moi, comme Gabin, je me suis dit : « Maintenant, je sais… »
Mais comme lui, je ne savais … presque rien ! Ce soir là, j’ai été dans la ‘lune’… au propre et au figuré !
………………………………………………………………………………………………………………….
Avec Paula déjà, il y a eu d’autres péripéties contées dans une autre épisode…
Jan Goure
Transformé physiquement, j’avais un air décidé, mais qui cachait ma timidité naturelle et mes incertitudes face à la vie. J’étais travaillé par une libido précoce, exacerbée par certaines approches avec Gina, mon premier ‘flirt’. Et aussi par l’écoute des rodomontades de Copains d’école, plus âgés, qui se disaient très avertis, je n’avais qu’une idée : concrétiser moi aussi…
Pendant ces vacances d’été, en plus de l’aide que j’apportais à l’entretien de notre jardin, mon père m’avait obtenu d’arroser trois jardins voisins en plus du nôtre : De quoi m’acheter un vélo neuf pour ma rentrée scolaire.
Et dans l’un d’eux en août, sont arrivés les propriétaires et… Paula !
Paula, c’était une petite bonne comme on les appelait alors ! elle s’est mise à venir ‘me tenir la jambe’, expression imagée de l’époque, et je l’ai d’abord trouvée‘casse-pieds’ ! A mon corps défendant j’ai appris qu’elle avait 31 ans ( Une femme ‘mûre’ pour moi ! ) Qu’elle était Tchèque, arrivée là du fait de circonstances extraordinaires, et malgré ses efforts, elle se faisait comprendre en Français même si elle était encore fâchée avec la grammaire et les nuances de notre langue !
Ce n’était pas une beauté de catalogue, mais si j’avais eu son âge ou plus, je l’aurais trouvée ‘pas mal’ ! Petite, assez… dodue ( ! ) Le visage assez rond et un peu poupin. Des yeux noirs, très vifs. Une bouche pulpeuse, et des petites dents très blanches qui m’a fait apprécier ses sourires… Cheveux noirs et lisses, soigneusement nattés. Une peau laiteuse qu’elle n’avait pas le temps d’exposer au soleil ! Une poitrine que je jugeais conséquente et appétissante car visiblement pas enfermée dans un soutien gorge sous la blouse fine de travail, qui plaquait aussi des fesses rebondies qui m’ont fait loucher plus d’une fois…
« Petite cause grands effets » pendant ses créneaux de repos, elle ne sortait pas, le justifiant pas :
-Dehors, des sales types pas respecter Paula…
Et ensuite :
-Patronne prête son vélo, toi m’apprendre à quatre (16) heures ?
Dés lors, vous pouvez imaginer la scène : Elle en perdition, comme ‘une poule qui a trouvé un couteau’ perchée sur ce vieux ‘tacot’, dans les allées cimentées du jardin. Moi, tenant le guidon d’une main, et l’autre sous la selle. Elle, collée à moi en gloussant, alors que j’essayais de l’équilibrer…
Après midi brûlant, phéromones de son corps en sueur ? j’étais bien sûr en érection quasi douloureuse !
Je m’étais lancé ce défi d’en ‘niquer’ une ( mots de là bas ! ) à la première occasion. J’ai commencé par me dire :
-T’es pas cap…
Me collant encore plus à elle, la main quittant la selle pour devenir baladeuse…et l’instant d’après, lui faisant des bisous, sur la joue, cherchant une bouche qu’elle dérobait en se tournant sur le côté. Je me suis alors rabattu sur le cou ! Qui a justement dit : « C’est fou, les baisers dans l’cou… »
Elle était rouge, elle avait chaud, sa blouse était collée par la transpiration… ses seins un peu lourds, sans soutien gorge tressautaient, les pointes assombrissaient la blouse sous laquelle elles dansaient… Pari de plus en plus osé, ma main a quitté le guidon et est venue en caresser un…par-dessus la blouse ! Et l’autre main, lui ‘pelotait’ carrément les fesses…
Elle piaillait, se fâchait :
-Petit cochon…pas bien çà…
Mais s’affolait dés que je la lâchais pour la laisser rouler seule :
-Non ! Tenir moi…toi ‘reprendre moi’ (sic)
Et je la reprenais…dans mes bras !
Tout cela par épisodes, entre deux changements de place du tuyau d’arrosage. A la fin, elle est partie, fâchée, en maugréant dans sa langue !
Je m’en suis voulu, après coup. Physiologiquement elle aurait pu être ma Mère…Et, je n’avais aucun scrupule ni retenue avec elle, je me suis dit :
-C’est parce que c’est une ‘Bonne’ que je fais çà ? Elle mérite mon respect autant qu’une autre…
Serments qui volent, et qui s’envolent… dés que revient la tentation !
Le lendemain après midi, elle m’a hélé du grillage qui séparait les deux jardins :
-Tout à l’heure, tu apprends à moi ? Si toi gentil, moi progrès, et Paula t’embrasse…après !
Au lieu de descendre à la plage après l’arrosage, je suis allé la retrouver. Toujours pas ‘gentil’ je l’ai encore plus cajolée, serrée de prés, l’embrassant…où je pouvais poser mes lèvres, et ma main a encore plus osé…
Elle s’est insinuée dans la blouse pour pétrir son gros ‘Néné’… ce qui l’a fait piailler encore plus, car on tanguait. Des zigs et des zags qui lui faisaient dire :
-Arrêtes, petit cochon…moi, jamais apprendre comme çà !
A l’arrêt, au fond du jardin, juste derrière la cabane à outils, je l’ai prise dans mes bras :
-Donnes moi le baiser promis ?
-Toi pas mériter…
Mais elle n’a pu en dire plus, mes lèvres étaient sur sa bouche qui ne s’est pas dérobée…Elle a dit après :
-Oh ! Toi, tu sais…déjà fait, hein ? Petit cochon !
Elle était molle dans mes bras maintenant, un défi terrible m’a traversé l’esprit. Je lui ai dit, la voix rauque, à la fois comminatoire et pas très assurée :
-Viens dans la cabane avec moi !
J’ai ouvert la porte, main sur ses reins, je l’y ai poussée : Elle savait bien ce que je voulais... Elle avait du y penser, car ses patrons étaient à un bridge, ce soir là !
Je savais qu’il y avait une grosse bâche pliée en quatre sur l’étagère du fond. La porte refermée, il a d’abord fait sombre mais mes yeux se sont vite fait à cette demi obscurité. De plus, il y avait un rai de lumière qui tombait du haut de la porte, mal jointée .J’ai posé la bâche au sol, l’ai dépliée…et sans un mot, on s’est allongés !
Je l’ai encore embrassée longuement, mettant la langue cette fois, comme avec Gina…ma main baladeuse s’est promenée, a relevé la blouse. Elle s’est un peu dégagée, a dégrafé les boutons…J’ai enlevé mon short et mon tricot. Elle a aidé ma main à faire glisser sa culotte, et elle m’a aidé à enlever mon slip : nous étions nus et mon sexe collé à sa chair brûlante !
Je retrouve en moi, tout ce que j’ai pensé durant toute la corrida :
-‘P’.. ! Çà y est…elle veut bien : j’vais la ’niquer’…’p’… ! Ses ‘nichons’ qu’est-ce qu’y sont gros… un peu mous ? C’est pas Gina ! mais çà fait rien, j’vais lui ‘bouffer’ !
J’entendais sa respiration mais comme moi, elle se taisait. J’ai encore pensé :
-‘P…’ ! J’ai la main dessus ( son sexe !) C’est chaud et mouillé…comme Gina, mais plus écarté ( mon doigt s’y était glissé !)…’P…’ ! Maintenant c’est le ‘Zob’ que j’vais y rentrer !
Je me suis mis sur elle : elle n’avait plus le même visage…dans ce rai de lumière qui l’éclairait en plein, çà m’a fait presque peur (!) mais j’étais déjà entre ses cuisses, ma main a guidé mon sexe, il est entré comme dans du beurre : J’étais en elle !
Elle a eu un gros soupir, moi j’ai pensé :
-Facile…’P’… ! C’est chaud, c’est bon…
Mais je ne bougeais pas, et elle a dit, voix rauque :
-Il faut toi, bouger…çà, toi pas encore fait, hein ?
[ Çà devait encore plus l’exciter !]
M’est revenu à l’esprit, les ‘conneries’ des deux Dadais de mon école : « Tu rentres, tu sors, çà fait ressort… »
J’ai failli sortir à tout de bon en reculant trop, follement excité…Ah ! Ce va et vient !
Ses mains crispées sur mes reins, elle retenait mes élans, exagérés, mais déjà je…jouissais en éructant tout en pensant :
-C’est autre chose que maillot contre maillot
[ Le frotti frotta, avec Gina ! ]
Et une joie indescriptible, mêlée de fierté m’a fait murmurer :
-Qu’est-ce que c’est bon !
Et penser :
-‘P…’ ! J’ai déchargé dans le ventre d’une femme…
Satisfait, sexe encore durci, je me suis laissé aller sur elle, osant penser encore :
-‘P…’ ! Avec Gigi, çà aurait été encore meilleur, j’en suis sûr !
[ Ingratitude humaine ! ]
C’est alors qu’elle m’a dit de cette voix que je ne connaissais pas encore :
-Toi, content, hein ! petit cochon…mais à Paula maintenant : Toi mettre sur ton dos, moi dessus…
Et les gestes aidant, je me suis retrouvé dessous, et elle toujours embrochée, au-dessus de moi. Relevée sur les coudes elle a commencé à se tortiller, marmonnant, la voix rauque :
-Toi, toujours raide, c’est bon pour Paula…
Je voyais son visage crispé, les yeux un peu retournés : j’ai encore évoqué celui de Gina ! Elle s’est mise à danser de façon désordonnée, et avec un recul trop grand, mon sexe est sorti ; elle l’a remis avec sa main, disant :
-Toi, mets les mains sur mes fesses, empêches ‘le’ sortir !
Puis elle s’est mise à gémir, à crier presque, dans sa langue…J’étais tellement sidéré que j’ai failli ‘débander’… mais pour la première fois, et depuis il en a été toujours ainsi, j’ai pensé :
-Restes raide, ‘p…’ ! Qu’elle prenne son plaisir…après tu la retourneras, pour toi !
Ce que j’ai fait, quand elle s’est abattue sur moi, disant :
-Bon ! … bon ! pour Paula…
Cela a vraiment duré cette fois, et j’ai pris conscience de tout ce qu’il y a d’exaltant à besogner une femme…être en elle, dominateur ( on le croit !) La possédant à sa guise, à son rythme : lent, rapide, à grands coups pour s’enfoncer, puis en se retirant lentement, et en s’enfonçant avec un bruit de gorge et cette pensée:
-‘P’ ! Qu’est-ce que c’est bon’ !
A la fin, une chevauchée à cru, qu’on ne domine plus : Le rut d’une bête qui jouit bruyamment…suivi d’un abattement :
« Seuls la Femme et le coq chantent après le coït… »
Et comme pour Gina ( quand çà ‘partait’ dans le slip ou le maillot !) qui se demandait ce qui m’arrivait, j’ai embrassé Paula, sur les yeux, sur le bout du nez, puis la bouche, langues mêlées…Elle a apprécié, disant essoufflée :
-Toi, gentil…bon coq aussi…Paula pas pris plaisir comme çà, depuis Jan ! deux ans déjà, l’autre, Hans, gros cochon pensé qu’à lui !
Avec elle, il y avait beaucoup de nuances de Petit à … gros cochon !
Et moi, comme Gabin, je me suis dit : « Maintenant, je sais… »
Mais comme lui, je ne savais … presque rien ! Ce soir là, j’ai été dans la ‘lune’… au propre et au figuré !
………………………………………………………………………………………………………………….
Avec Paula déjà, il y a eu d’autres péripéties contées dans une autre épisode…
Jan Goure

Ven 13 Jan 2006, 18:15 par
jan goure sur Les liaisons sulfureuses
"volare... "
Elle était face à la mer. Face au large. Elle parcourut des yeux l’horizon. Elle était seule et la crique déserte l’invitait dans un souffle. Ses cheveux volaient doucement, une mèche de sa chevelure courte lui caressa le visage. Elle était nus pieds. Elle sourit. Elle s’assit et contempla les flots bleus. Infiniment. Le soleil se levait à peine et éclairait d’une lumière nacrée la mer, le ciel, le sable. Le lointain était perdu dans la clarté bleutée... Rien ne troublait ce silence que le souffle léger qui conviait à la paix. Un nouveau soupir plus profond du ventre vers la gorge et la bouche entrouverte jouait avec l’air salé. Elle goûta le sel déposé sur sa bouche. Elle s’allongea. Les yeux clos, elle laissait l’infini l’habiter... Ses doigts s’amusaient des grains dorés. Une éternité. Elle communia au beau. Elle eu envie de marcher vers les flots. Elle ôta un à un les vêtements qu’elle portait ce jour-là. En prenant le temps de goûter à l’instant qu’elle s’offrait. Un jean et chandail noir, ses dessous... Elle se redressa et senti la caresse du vent sur sa peau. Le sable sous ses pieds était tiède et elle appréciait ce massage nouveau. Lentement, elle marcha vers l’onde claire. Elle redouta le froid contact mais l’heure était à la douceur. L’eau tiède la fit frissonner. Les pieds. Elle respira plus vite... Imperceptiblement elle progressait, droite, sans raideur, les genoux, les hanches, la taille, et toujours cette indicible liberté... Elle se laissa glisser dans cette caresse liquide, sans effort et sans heurt. Puis, elle prit une grande inspiration et plongea... Une gerbe de lumière accueillit son sourire lorsqu’elle se décida à prolonger la nuit écourtée... Le ventre, les seins, le visage caressés par le soleil timide et doux... Une nouvelle fois, elle ferma les yeux.
[...]
Au volant de sa voiture, elle chantonnait et les oiseaux de mer emportaient vers le ciel des bribes de mélodie : « Volare, oh, oh, cantare, oh, oh, oh »...
[...]
Au volant de sa voiture, elle chantonnait et les oiseaux de mer emportaient vers le ciel des bribes de mélodie : « Volare, oh, oh, cantare, oh, oh, oh »...
Lun 09 Jan 2006, 14:14 par
dolce vita sur Histoires d'amour
Horaire discordant
Je travaille de soir, lui, de jour....
Je laisse durant la semaine qui nous sépare la braise envahir mon ventre. Cette braise de plus en plus chaude en devient presque insupportable, brûlante.
Laissant échapper quelques gouttes de sève, tel un volcan jaillissant de sa lave, ma fente opprimée dans sa petite culotte ne demande qu’à être délivrée par ton membre chaud. Je suis là à travailler à installer cet harnais électrique, à fantasmer à l’idée de frotter délicieusement mes jolis petits seins sur ton visage, pour ensuite les passer sur ton pénis en érection. Je veux tes mains douces et baladeuses sur mes fesses rebondies et sa rosette timide, bien logée entre les deux beignets frais , j’imagine ta langue et ton souffle chaud l’effleurer tout en laissant ton index pénétrer mon vagin.
Toutes ces idées se bousculent dans ma tête. Quand sont passées ces pulsions génitales, je repense à ton sourire. Tu as des yeux si amoureux quand tu me regardes ! Tes longs cils noirs, ton iris bleu minuit, tout ce mystère dans ton regard ! Je vois
toutes ces petites attentions qui font de toi un homme charmant.
Je m’ennuie !
Hélas !quand je m’ennuie de toi, même si je reviens à notre amour qui grandit de jour en jour, mes pulsions animales me font repenser, toujours, à ce four qui brûle dans mon ventre.
Je laisse durant la semaine qui nous sépare la braise envahir mon ventre. Cette braise de plus en plus chaude en devient presque insupportable, brûlante.
Laissant échapper quelques gouttes de sève, tel un volcan jaillissant de sa lave, ma fente opprimée dans sa petite culotte ne demande qu’à être délivrée par ton membre chaud. Je suis là à travailler à installer cet harnais électrique, à fantasmer à l’idée de frotter délicieusement mes jolis petits seins sur ton visage, pour ensuite les passer sur ton pénis en érection. Je veux tes mains douces et baladeuses sur mes fesses rebondies et sa rosette timide, bien logée entre les deux beignets frais , j’imagine ta langue et ton souffle chaud l’effleurer tout en laissant ton index pénétrer mon vagin.
Toutes ces idées se bousculent dans ma tête. Quand sont passées ces pulsions génitales, je repense à ton sourire. Tu as des yeux si amoureux quand tu me regardes ! Tes longs cils noirs, ton iris bleu minuit, tout ce mystère dans ton regard ! Je vois
toutes ces petites attentions qui font de toi un homme charmant.
Je m’ennuie !
Hélas !quand je m’ennuie de toi, même si je reviens à notre amour qui grandit de jour en jour, mes pulsions animales me font repenser, toujours, à ce four qui brûle dans mon ventre.
Jeu 29 Déc 2005, 09:50 par
mistelle sur Les liaisons sulfureuses
Lieu de perdition
Te voila mon amour....
Je ai rêvé de ce moment toute la journée.
Pouvoir enfin te serrer dans mes bras etr plonger ma tête dans mon cou où le reste du monde n’a plus de valeur. Me noyer dans les vapeurs de ton parfum, et parcourir ta peau si douce qu’elle me fait dire encore...
Nous revoilà seuls au monde, entre tes bras, entre tes mains plus rien ne compte que ta douceur qui me fait chavirer vers des horizons extrêmes de plaisirs et bien être. Là, enfin, j’existe!
Brûlant de désir, de te voir, de te redécouvrir comme chaque soir, je parcours ton corps, tantôt carressant, tantôt déshabillant. Pour pouvoir à nouveau toucher cette douceur de pétale dont tu es faites. Je ne veux que te combler de tendresse, te courvrir de caresses, te redessiner de mes mains toutes tremblantes rien que dans l’espoir de pouvoir à nouveau te donner tout ce que je serais capable d’inventer pour ton bonheur!
Nue , enfin! Le plus simple costume mais celui qui me séduit le plus. L’observer est un supplice si je ne puis le parcourir... Chercher une pause, un moment de ralentit ou je peux oublier qui je suis pour me sentir à toi... Ton ventre, doux et chaud, où je viens poser ma tête. ecouter ton coeur qui bat, tes mains caressant mes cheveux... Je me calme un instant sachant ton corps présent et offert tout que comme je me donne à toi. D’un côté, ton visage où je peux litre enfin confiance et repos, puis ton cou, refuge de tout momment et enfin tes seins, courbes irrationnelles, où l’exquis toucher viens se mêler au désir de les gouter. De l’autre, tes petits pieds, tes jambes fuselées qui ne demandent qu’à les remonter pour arriver à ton triangle d’or où je me perds...
Tu es mon lieu de perdition...
Tout en étant ma raison...
D’être...
Je ai rêvé de ce moment toute la journée.
Pouvoir enfin te serrer dans mes bras etr plonger ma tête dans mon cou où le reste du monde n’a plus de valeur. Me noyer dans les vapeurs de ton parfum, et parcourir ta peau si douce qu’elle me fait dire encore...
Nous revoilà seuls au monde, entre tes bras, entre tes mains plus rien ne compte que ta douceur qui me fait chavirer vers des horizons extrêmes de plaisirs et bien être. Là, enfin, j’existe!
Brûlant de désir, de te voir, de te redécouvrir comme chaque soir, je parcours ton corps, tantôt carressant, tantôt déshabillant. Pour pouvoir à nouveau toucher cette douceur de pétale dont tu es faites. Je ne veux que te combler de tendresse, te courvrir de caresses, te redessiner de mes mains toutes tremblantes rien que dans l’espoir de pouvoir à nouveau te donner tout ce que je serais capable d’inventer pour ton bonheur!
Nue , enfin! Le plus simple costume mais celui qui me séduit le plus. L’observer est un supplice si je ne puis le parcourir... Chercher une pause, un moment de ralentit ou je peux oublier qui je suis pour me sentir à toi... Ton ventre, doux et chaud, où je viens poser ma tête. ecouter ton coeur qui bat, tes mains caressant mes cheveux... Je me calme un instant sachant ton corps présent et offert tout que comme je me donne à toi. D’un côté, ton visage où je peux litre enfin confiance et repos, puis ton cou, refuge de tout momment et enfin tes seins, courbes irrationnelles, où l’exquis toucher viens se mêler au désir de les gouter. De l’autre, tes petits pieds, tes jambes fuselées qui ne demandent qu’à les remonter pour arriver à ton triangle d’or où je me perds...
Tu es mon lieu de perdition...
Tout en étant ma raison...
D’être...
Dim 09 Oct 2005, 01:01 par
Loyd sur Les liaisons sulfureuses
Ecrire sur seins

Il y a 165 textes utilisant le mot seins. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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