Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur sentiments - Page 10 sur 16
L' appartement
Je visite un appartement, c’est le premier, et ... le coup de foudre.
L’homme qui me le fait visiter me touche, mais, sans plus... pourtant, je le trouve attirant.
- " Mais qui? " me dit Delphine... je la regarde, elle me connait... je décide toujours.
Quelques semaines plus tard, l’ appart est mon Home, je revois l’homme ... et, bizarrement, me sens toute chose... (Pas facile à admettre pour une femme qui reprend enfin sa liberté!)... Quoique...
Il habite dans ma rue; à cette époque, je ne veux penser qu’à moi, ..., mais, le sais déjà là.
Je me " bats ", l’entend me demander " pourquoi as tu peur de moi ??? " ,
...................... ma voix intérieure :
" je ne vais quand même pas te dire à l’ instant que tu n’es pas celui qui m’aimera pour notre moment. "
Mais il m’invite. Et, comme une femme qui croit décider, je laisse flancher ma nuque contre son torse avant de lui dire " au revoir "... si seulement je n’avais pas ressenti ce qu’il avait en lui!!!... belle âme!
Nous nous sommes un peu rencontrés, à partir de cet instant.
Je n’ai que rarement vécu un rapport aussi libre, sans frontière, rencontre de son regard, quand il aimait je ne sais qui de par sa muse, tout en m’emmenant dans mes contrées qu’ils ne pouvait soupçonner. Le sentir endormi, près de moi, l’aimer. Et être réveillée en plein sommeil par des mains caressantes, un corps brûlant mouvant, un homme qui veut me faire l’amour, sans qu’il en ai conscience...
Cet espèce d’Olibrius est à tomber par terre, ... , blindé de défauts, mais si honnête; généreux avant tout parce que capable de paroles sincères, même si elles ne sont pas tendres, il veut être ce qu’ il veut bien donner ... à une connaissance, une maîtresse, son amour.
J’ai dormi quelques nuits dans ses draps, souvenirs aussi perçants dans le plaisir et la force de mes sentiments, que pourraient être mes sourires en retour, ou mes regards durs lorsqu’ il est en danger dans la rue de Draveil.
Et là... Je ne le regarde pas tendrement.
L’homme qui me le fait visiter me touche, mais, sans plus... pourtant, je le trouve attirant.
- " Mais qui? " me dit Delphine... je la regarde, elle me connait... je décide toujours.
Quelques semaines plus tard, l’ appart est mon Home, je revois l’homme ... et, bizarrement, me sens toute chose... (Pas facile à admettre pour une femme qui reprend enfin sa liberté!)... Quoique...
Il habite dans ma rue; à cette époque, je ne veux penser qu’à moi, ..., mais, le sais déjà là.
Je me " bats ", l’entend me demander " pourquoi as tu peur de moi ??? " ,
...................... ma voix intérieure :
" je ne vais quand même pas te dire à l’ instant que tu n’es pas celui qui m’aimera pour notre moment. "
Mais il m’invite. Et, comme une femme qui croit décider, je laisse flancher ma nuque contre son torse avant de lui dire " au revoir "... si seulement je n’avais pas ressenti ce qu’il avait en lui!!!... belle âme!
Nous nous sommes un peu rencontrés, à partir de cet instant.
Je n’ai que rarement vécu un rapport aussi libre, sans frontière, rencontre de son regard, quand il aimait je ne sais qui de par sa muse, tout en m’emmenant dans mes contrées qu’ils ne pouvait soupçonner. Le sentir endormi, près de moi, l’aimer. Et être réveillée en plein sommeil par des mains caressantes, un corps brûlant mouvant, un homme qui veut me faire l’amour, sans qu’il en ai conscience...
Cet espèce d’Olibrius est à tomber par terre, ... , blindé de défauts, mais si honnête; généreux avant tout parce que capable de paroles sincères, même si elles ne sont pas tendres, il veut être ce qu’ il veut bien donner ... à une connaissance, une maîtresse, son amour.
J’ai dormi quelques nuits dans ses draps, souvenirs aussi perçants dans le plaisir et la force de mes sentiments, que pourraient être mes sourires en retour, ou mes regards durs lorsqu’ il est en danger dans la rue de Draveil.
Et là... Je ne le regarde pas tendrement.
Jeu 12 Oct 2006, 23:31 par
Chogokinette sur Le grimoire d'amour
Je l'aimais
Bon ben c’est mon premier texte enjoy it or not.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
C’est en marchant sur les quais de Seine que je l’ai rencontrée. La chevelure brune dans le vent, la peau matte, les yeux verts, elle était belle. Le soleil couchant teintait l’eau d’un reflet doré, un léger vent faisait voler les feuilles d’automne. Je me décide à lui parler, je demande une cigarette mais elle ne fume pas. Je ne sais pas pourquoi je perds mes moyens, je souris bêtement, je bafouille, je regarde mes pieds n’osant affronter son regard. Elle se demande ce que j’attends mais elle sourit finalement. Ce sourire, ô ce sourire, cette sorte de sourire que sont parfois les fleurs au milieu d’herbes graves, cette sorte de sourire qui font que le temps s’arrête, cette sorte de sourire qui vous fait perdre la tête. Je m’assoie timidement à ses côtés et nous parlons. Nous parlons encore et encore, de tout et de rien, du beau temps de la pluie, des amours, des ennemis, suis je lucide ou atteint de folie, je tombe amoureux, ô funeste ennemie !Comment pourrais-je la quitter, celle que j’aime, ma destinnée ? J’ose alors lui demander un numéro où je peux la rappeler. Elle accepte, je suis heureux, je pourrais peut-être la revoir, et ce tout petit espoir, rend ce monde merveilleux.
Arrive, plus tard, la concrétisation de mes espoirs, enfin je vais la revoir. Le premier rendez-vous, celui qui te fait à la fois si peur et si plaisir, celui qui fait battre ton coeur si fort, si fort. Celui qui accélère ta respiration et rend tes mains moites, celui que tu attends et redoutes à la fois. La place St michel - où veille l’ange Gabriel, où le bruit de la fontaine berce les artistes - est le lieu où je la reverrai. Je la vois, elle me voit, elle sourit, je flamboie, elle s’avance, mon coeur bat, je l’aime et je ne sais pas. Je ne sais pas si c’est réciproque, je ne sais pas si elle m’aime ou pas, ô amour tu me tueras, ô toi comble de l’union de la folie et de la sagesse. Je lui fais la bise, sa peau est si douce, son parfum ô son parfum, les parfums sont les sentiments des fleurs et le sien fait battre mon coeur, mais comment décrire le monde des odeurs? Je ne le sais pas. Je suis amoureux, étrange bonheur malheureux. Nous marchons, nous parlons, nous dînons et nous remarchons. Je sens des goutes de pluie sur mon visage, elle ouvre son parapluie, je me rapproche. Je me perds dans l’océan de ses yeux, elle les ferme, je me rapproche encore, j’ai mal aux côtes à cause de mon coeur, je sens son souffle chaud puis doucement nos lèvres se touchent, humides et douces nos langues se frolent puis s’unissent, unissant de même les deux êtres, les deux coeurs, les deux âmes que nous sommes. Je l’aime. Le sablier s’est arrêté, la terre ne tourne plus, les étoiles ne brillent plus il n’y a qu’elle. Je la regarde, les moindres petits défauts de son visage ou de ce qu’elle représente sont devenus des qualités. Je dois la quitter ce soir mais j’ai hâte de la revoir. Sentiment de bonheur indescriptible, joie inextinguibe, je l’aime, je l’aime, je l’aime.
Je la revois souvent maintenant, je lui consacre mon temps, ce que je suis, ma vie. Je l’acceuille ce soir dans mon humble demeure. De jour en jour, sa beauté grandit, elle est belle, elle m’éblouit. Nous buvons, nous parlons, je l’embrasse, je l’aime. Elle me prend par la main et m’enmène vers le lit. La lumière d’un lampadaire tamise la pièce, je tremble comme une feuille, elle s’allonge. Je me sens mal, je vais exploser. Je m’allonge à ses cotés, elle passe sa main dans mes cheveux, je sens le désir brulant dans mes veines. Mes tempes boudonnent, je brule.Nos langues s’unissent, je passe ma main sur son corps, j’ai des frissons.Je passe ma main sous son chemisier, elle gémit. Elle me caresse le ventre puis descend lentement. Son souffle chaud sur ma nuque, son parfum m’ennivrent. J’ai du mal à respirer. J’ai chaud et poutant je frisonne. Je déboutonne son jean, et doucement, doucement je glisse ma main vers son bas ventre. Je la caresse, elle gémit encore. Je sens son sexe humide et chaud. Je l’embrasse encore et encore. J’embrasse sa nuque, ses seins, son sexe, je l’aime, je l’aime, je l’aime. Nous sommes nus à présent, je sens ses seins contre mon torse. Mon sexe contre le sien, je la pénétre lentement. Mes bras tremblent, je tremble, elle me sert contre elle si fort. Je vais et reviens en elle au rythme lent d’une mélodie depuis longtemps oubliée. Je l’embrasse. Je respire vite, très vite, le plaisir monte, monte, encore et encore, et c’est l’explosion, le loup hurle, la mélodie culmine, moment si bref et si fort pourtant, union sacrée à son paroxisme. Union ultime de nos êtres, de nos âmes, de nos vies. Je m’allonge à ses côtés, je la regarde, elle me sourit. On ne dit rien les mots sont inutiles. Après un long moment, elle s’endort. Je la regarde toujours, je l’aimerais toujours. Merci.
Un mois passe, puis deux, arriva alors ce jour maudit par les dieux. Hermes m’apporta le message malheureux : elle me quitte. Son coeur bat pour un autre ; le mien s’est arrêté. Ah douleur non encore éprouvée, poignardé de l’intérieur, je meurs. Je souffre, je hurle à la mort pourquoi, pourquoi? Pourquoi elle, source de tant d’amour me cause tant de souffrance? Tourments indescriptibles, rage innexprimable, désespoir insurmontable. Je revois son visage, son souvenir me hante : comment vivre après une telle souffrance et cette soufrance est sans partage. Je noie mon malheur dans l’alcool dans une pièce autrefois joyeuse et aujourd’hui si triste. J’allume la radio et entends "What a wonderful world" de Louis Amstrong. Ironie du sort, les dieux me maudissent et je les maudis. Une lame de rasoir entre les mains je pense à elle. Une gorgée d’absynthe pour ne pas souffrir.
I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself what a wonderful world.
Une autre gorgée, ma trachée brule, je fais un essai, la lame pénétre la chair de mon poignet. Le sang coule, j’hurle, je pleure. Une autre gorgée encore une.
I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself what a wonderful world.
Ma vision se brouille à cause des larmes et de l’alcool. Je réenfonce l’acier dans ma chair, j’ai coupé une veine cette fois, le sang gicle sur ma chemise. Je contemple mon poignet posé sur la table au milieu de mon sang. Une autre gorgée encore une.
The colors of the rainbow so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shaking hands saying how do you do
They’re really saying I love you.
Je n’ai plus de force, je ne vois presque plus. J’ai perdu trop de sang, je crois. Ma tête devenue trop lourde commence à pencher, puis tombe sur la table dans le sang, je pleure. Un dernier effort, je reprends la lame mais cette fois je coupe un tandon puis je rencontre l’os. J’ai du sang dans la bouche. Un dernier effort pour une dernière gorgée je meurs. Adieu je t’aimais.
I hear babies crying, I watch them grow
They’ll learn much more than I’ll never know
And I think to myself what a wonderful world
Yes I think to myself what a wonderful world.
Mar 10 Oct 2006, 20:50 par
Evidance sur Histoires d'amour
L'amour, c'est quoi ? ( 2 )
IL la dit jolie
Il la dit séduisante.
Il la dit sensuelle.
Il la dit douce.
Il la dit tendre.
Il la dit sensible.
Il la dit intelligente..
Il la dit aimante.
Trop...
Est-elle tout cela, réellement ?
Oui, sans aucun doute.
Alors, qui est-elle ?
Une femme
Absolument
Une femme aimée...
Non.
Pourquoi ?
Il lui attribue pourtant
Des qualités incontestables.
Alors pourquoi ?
Pourquoi ne l’aime-t-il pas ?
Oui.
Pourquoi ?
Elle ne sait pas
Mais cela, elle le sait...
Alors ce soir, elle ira s’endormir
En sachant.
Quoi alors ?
Qu’elle est juste une femme désirée.
Et cela ne lui suffit pas ?
Non.
Pourquoi ?
Parce que elle a une âme et un coeur
Qu’elle n’a pas su contrôler.
Elle s’est laissée prendre au piège,
Celui des sentiments.
Elle ne sait pas pourquoi
Mais cela , elle le sait....
Alors ce soir elle ira s’endormir
En sachant
Quoi alors ?
Qu’elle a mal...
Marie
Il la dit séduisante.
Il la dit sensuelle.
Il la dit douce.
Il la dit tendre.
Il la dit sensible.
Il la dit intelligente..
Il la dit aimante.
Trop...
Est-elle tout cela, réellement ?
Oui, sans aucun doute.
Alors, qui est-elle ?
Une femme
Absolument
Une femme aimée...
Non.
Pourquoi ?
Il lui attribue pourtant
Des qualités incontestables.
Alors pourquoi ?
Pourquoi ne l’aime-t-il pas ?
Oui.
Pourquoi ?
Elle ne sait pas
Mais cela, elle le sait...
Alors ce soir, elle ira s’endormir
En sachant.
Quoi alors ?
Qu’elle est juste une femme désirée.
Et cela ne lui suffit pas ?
Non.
Pourquoi ?
Parce que elle a une âme et un coeur
Qu’elle n’a pas su contrôler.
Elle s’est laissée prendre au piège,
Celui des sentiments.
Elle ne sait pas pourquoi
Mais cela , elle le sait....
Alors ce soir elle ira s’endormir
En sachant
Quoi alors ?
Qu’elle a mal...
Marie
Jeu 05 Oct 2006, 18:54 par
Satine sur Histoires d'amour
L'amour, c'est quoi ?
Tomber amoureux cela signifie quoi ?
On peut regarder dans le dictionnaire.
Bien entendu, on aura une défiition
Celle du dictionnaire :
Une relation amoureuse est une relation entre deux
personnes (de sexe différent ou non), en général basée sur une
attirance physique, intellectuelle, et/ou émotionnelle.
Bien sûr, on pourrait dire qu’elle est juste, appropriée,
précise, conforme à ce que l’on s"en fait...
Mais une définiton est-elle universelle ?
Peut -on avoir sa propre défintion du sentiment amoureux ?
Certainement...puisque chaque histoire est unqiue...alors une définiton universelle n’a pas sa place..ou du moins pas pour moi...
Et doit-on dire à quelqu’un pourquoi on a des sentiments ?
Non
Quand on aime, on ne sait jamais pourquoi.
Le reste n’est que bagatelle...
Marie
On peut regarder dans le dictionnaire.
Bien entendu, on aura une défiition
Celle du dictionnaire :
Une relation amoureuse est une relation entre deux
personnes (de sexe différent ou non), en général basée sur une
attirance physique, intellectuelle, et/ou émotionnelle.
Bien sûr, on pourrait dire qu’elle est juste, appropriée,
précise, conforme à ce que l’on s"en fait...
Mais une définiton est-elle universelle ?
Peut -on avoir sa propre défintion du sentiment amoureux ?
Certainement...puisque chaque histoire est unqiue...alors une définiton universelle n’a pas sa place..ou du moins pas pour moi...
Et doit-on dire à quelqu’un pourquoi on a des sentiments ?
Non
Quand on aime, on ne sait jamais pourquoi.
Le reste n’est que bagatelle...
Marie
Jeu 05 Oct 2006, 18:09 par
Satine sur Histoires d'amour
Ton coeur est si beau
Ton coeur est si beau,
Que j’ai peur de lui faire du mal,
Des que je le vois de son velours ardant,
Il me rend éperdument folle de toi,
Car en lui je perçois des milliers d’étoiles,
Des sentiments, pleins de joie, d’espoirs,
Mais bientôt je vais voir,
Ton corps prés de moi,
Je lui donnerais se qu’il attend de moi,
Depuis un bon moment déjà,
Car se sera pour nous tu vois,
Le moment le plus doux crois moi,
Et puis qui sait après neuf mois,
Nous serons tous les deux des parents,
Et grasse à ce petit bout de choux,
Nous tous nous formerons un tout,
Nous les aimerons tous tendrement,
C’est se qui attendent de nous,
Ils seront heureux parmie nous,
La tu vois c’est un rêve parfait,
On verra avec la réalité,
Pour toi mon amour adoré.
Que j’ai peur de lui faire du mal,
Des que je le vois de son velours ardant,
Il me rend éperdument folle de toi,
Car en lui je perçois des milliers d’étoiles,
Des sentiments, pleins de joie, d’espoirs,
Mais bientôt je vais voir,
Ton corps prés de moi,
Je lui donnerais se qu’il attend de moi,
Depuis un bon moment déjà,
Car se sera pour nous tu vois,
Le moment le plus doux crois moi,
Et puis qui sait après neuf mois,
Nous serons tous les deux des parents,
Et grasse à ce petit bout de choux,
Nous tous nous formerons un tout,
Nous les aimerons tous tendrement,
C’est se qui attendent de nous,
Ils seront heureux parmie nous,
La tu vois c’est un rêve parfait,
On verra avec la réalité,
Pour toi mon amour adoré.
Sam 23 Sep 2006, 03:37 par
joullia sur Parler d'amour
Ils se sont trouvés
Il était extraverti, fou et sensible.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Elle était mystérieuse, réservée et sensible...
Vous me direz que cette histoire était impossible ?!
Pas tant que ça, croyez moi !
Elle osa subitement le premier pas.
Son regard l’intriguait, la déstabilisait
Mais par dessus tout, il l’obsédait.
Quand cette idylle naquit
Ce jour-là, personne n’y crut
« Ils sont trop différents pour être de vrais amants »
Voilà ce Que disaient les gens.
Mais peu-à-peu, leur amour s’enflamma
Cette flamme, si fragile autrefois, s’embrasa.
Des bisous sur la joue
Aux caresses dans le cou,
Des regards échangés
Aux baisers passionnés,
Ils devinrent vite accros
Sans avoir pu dire un mot !
Lentement, de cette liaison
Naquit une véritable passion
Ou s’emmêlaient désir et sentiments
Amour de toujours et peur de l’engagement.
Cet amour est toujours présent aujourd’hui
Au fond du cœur de ces jeunes gens.
Jamais séparés, toujours ensemble,
Voilà les mots auxquels ils ressemblent
Ils s’aiment à la folie,
Se foutant des préavis,
Vivant le moment présent,
Ne se souciant guère des gens.
A ce stade de la passion
Il n’existe plus de guérison :
L’un sans l’autre rien n’est possible,
L’un sans l’autre tout est inaccessible.
La force de leur amour
Nécessiterait de trop long discours
Mais pour faire un simple résumé :
Ils se sont trouvés.
Lun 18 Sep 2006, 00:44 par
joullia sur Parler d'amour
Leçons de séduction selon aubade...
" Lui donner un peu d’ivresse "
" Le prendre par les sentiments "
" Placer quelques obstacles sur son chemin "
" Lui rappeler combien vous êtes fragile "
" Feindre l’indifférence "
" S’il résiste, pratiquez l’hypnose "
" Jeter le trouble dans son esprit "
" Mettre à l’épreuve son self-control "
" Détourner la conversation "
" Poser le piège et attendre "
" Neutraliser toute concurrence "
" S’il s’évanouit, composer le 15 "
" Créer une zone de turbulences "
" Lui tendre une embuscade "
" Lui présenter votre meilleur profil "
" Lui remonter le moral "
" Lui révéler un secret "
" L’inciter à méditer "
" Provoquer son envol "
" Jouer avec ses nerfs "
" Stimuler la timidité "
" Arrondir les angles "
" Arrêter de l’énerver "
" Lui poser un problème métaphysique ..."
" ...Puis l’allonger sur le divan "
" Jouer avec le feu "
" Pratiquer la magie noire "
" Créer vertiges et palpitations "
" Tester ses résistances "
" S’amuser d’un rien "
" Lui offrir votre coeur "
" Avoir tant de choses à lui dire "
" Jouer sur la corde sensible "
" Eclairer son humeur ténébreuse "
" Prolonger la magie du premier regard "
" Lui rappeler votre générosité "
" Le renverser d’un souffle "
" Resserrer les liens "
" L’entraîner dans votre chute "
" Gérer son stress "
" Créer de nouveaux frissons "
" Le ficeler tendrement "
" Déconcentrer l’adversaire "
" Le déshabiller du regard "
" L’apprivoiser sans le brusquer "
" L’initier au Tango "
" Le faire chavirer "
" Éveiller son 6ème sens "
" Lui décrocher la lune "
" L’épreuve des sens "
" Cultiver le mystère "
" Déchaîner les passions "
" Succomber à la tentation "
" Agacer ses copines "
" Lui faire tourner la tête "
" Jouer carte sur table "
" Badiner avec l’amour "
" Frôler l’indécence "
" Lui révéler l’usage de ses sens "
" Stimuler sa créativité "
" L’inciter au renoncement "
" Lui donner des ailes "
" Le kidnapper pour l’hiver "
" Le prendre par les sentiments "
" Placer quelques obstacles sur son chemin "
" Lui rappeler combien vous êtes fragile "
" Feindre l’indifférence "
" S’il résiste, pratiquez l’hypnose "
" Jeter le trouble dans son esprit "
" Mettre à l’épreuve son self-control "
" Détourner la conversation "
" Poser le piège et attendre "
" Neutraliser toute concurrence "
" S’il s’évanouit, composer le 15 "
" Créer une zone de turbulences "
" Lui tendre une embuscade "
" Lui présenter votre meilleur profil "
" Lui remonter le moral "
" Lui révéler un secret "
" L’inciter à méditer "
" Provoquer son envol "
" Jouer avec ses nerfs "
" Stimuler la timidité "
" Arrondir les angles "
" Arrêter de l’énerver "
" Lui poser un problème métaphysique ..."
" ...Puis l’allonger sur le divan "
" Jouer avec le feu "
" Pratiquer la magie noire "
" Créer vertiges et palpitations "
" Tester ses résistances "
" S’amuser d’un rien "
" Lui offrir votre coeur "
" Avoir tant de choses à lui dire "
" Jouer sur la corde sensible "
" Eclairer son humeur ténébreuse "
" Prolonger la magie du premier regard "
" Lui rappeler votre générosité "
" Le renverser d’un souffle "
" Resserrer les liens "
" L’entraîner dans votre chute "
" Gérer son stress "
" Créer de nouveaux frissons "
" Le ficeler tendrement "
" Déconcentrer l’adversaire "
" Le déshabiller du regard "
" L’apprivoiser sans le brusquer "
" L’initier au Tango "
" Le faire chavirer "
" Éveiller son 6ème sens "
" Lui décrocher la lune "
" L’épreuve des sens "
" Cultiver le mystère "
" Déchaîner les passions "
" Succomber à la tentation "
" Agacer ses copines "
" Lui faire tourner la tête "
" Jouer carte sur table "
" Badiner avec l’amour "
" Frôler l’indécence "
" Lui révéler l’usage de ses sens "
" Stimuler sa créativité "
" L’inciter au renoncement "
" Lui donner des ailes "
" Le kidnapper pour l’hiver "

Dim 27 Août 2006, 18:06 par
Satine sur La séduction
Pourquoi ?
Pourquoi suis-je si malheureuse sans toi ?
Pourquoi mes yeux se sont illuminés en te voyant ?
Pourquoi j’ai si mal quand je pense à toi ?
Pourquoi un jour tu me parlais et le lendemain je n’existais plus pour toi ?
Pourquoi tu ne m’aimes pas ?
Pourquoi tu ne parles plus ?
Pourquoi je n’existe plus pour toi ?
Pourquoi ne pas vouloir mon amitié si tu refuses mon amour ?
Pourquoi tu me manques alors qu’on ne se parle plus ?
Pourquoi ai-je envie de te revoir ?
Pourquoi quand je te vois, mon cœur hurle de douleurs ?
Pourquoi quand je pleure d’espoir déchu c’est à cause de toi ?
Pourquoi c’est toi que j’aime ?
Pourquoi mon coeur s’est réveillé en te parlant ?
Pourquoi tu me laisses pas du temps ?
Pourquoi ?
Je n’en sais rien, mais mon coeur et mon âme sont d’accord pour une fois sur leurs sentiments envers toi.
Ces sentiments se sont révélés qu’une fois lors de mon premier amour, celui qui est si beau à mes yeux ....
Pourquoi mes yeux se sont illuminés en te voyant ?
Pourquoi j’ai si mal quand je pense à toi ?
Pourquoi un jour tu me parlais et le lendemain je n’existais plus pour toi ?
Pourquoi tu ne m’aimes pas ?
Pourquoi tu ne parles plus ?
Pourquoi je n’existe plus pour toi ?
Pourquoi ne pas vouloir mon amitié si tu refuses mon amour ?
Pourquoi tu me manques alors qu’on ne se parle plus ?
Pourquoi ai-je envie de te revoir ?
Pourquoi quand je te vois, mon cœur hurle de douleurs ?
Pourquoi quand je pleure d’espoir déchu c’est à cause de toi ?
Pourquoi c’est toi que j’aime ?
Pourquoi mon coeur s’est réveillé en te parlant ?
Pourquoi tu me laisses pas du temps ?
Pourquoi ?
Je n’en sais rien, mais mon coeur et mon âme sont d’accord pour une fois sur leurs sentiments envers toi.
Ces sentiments se sont révélés qu’une fois lors de mon premier amour, celui qui est si beau à mes yeux ....
Sam 26 Août 2006, 14:32 par
joullia sur L'amour en vrac
Mon cœur est à présent de diamant
Venant de mon cœur, venu de mon âme,
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.
J’écris d’une main qui tremble un peu de peur,
Ce poème d’amour en faibles lueurs,
En t’exprimant simplement la grandeur,
De l’amour qui crée mon bonheur,
De mes sentiments remplis de douceur…
Je te crie mon amour,
Un chant est là pour te le faire entendre,
Je t’envoie ce rossignol pour
Qu’il te chuchote mon amour,
Hélas le rossignol s’est envolé…
Laissant derrière lui les secrets
Des sentiments inachevés.
Mais pendant son envol il a laissé tomber,
Dans la paume de ta main ces morceaux de poèmes…
Tu resteras de marbre ou muet,
Me laissant dans le silence et l’ignorance,
Face à ce poème qui n’a qu’une place,
A ce jour celle de mon amour
Qui pour toujours surpasse la normalité…
Mon cœur m’a ouvert les yeux un beau jour,
Et qu’y avait-il à voir ?
Quelque chose ou quelqu’un ?
Peut-être rien aux yeux de beaucoup.
Pourtant me suis-je dit un matin :
Que mon cœur était malade,
Il n’en est rien, il est de jade,
Je continue mon chemin, je continue ma ballade,
Et tout d’un coup, pendant ma promenade solitaire…
J’avais enfin compris mes sentiments,
Mon cœur est à présent de diamant,
Mon cœur a retrouvé la fougue de ma jeunesse.
Puis je t’ai aperçu à nouveau à une soirée,
Parlé par curiosité,
Des liens se sont tissés
Aujourd’hui éloignés, hélas distancés,
Je t’avais espéré, sans cesse imaginé,
Ne change pas, préserve toi, prends soin de toi,
Ce « toi » délicat dont les aléas ont le droit de porter leur choix envers moi,
Cette aura qui m’orientera vers ton habit de soie pour couvrir le froid de ton désarroi,
Oui, il ne tient qu’à toi de demander après moi pour te tenir dans mes bras et te donner de la joie.
Sur ton chemin le pire comme le meilleur,
Agrémenteront ta vie de jours en heures,
Mais je serai près de toi pour t’éviter les malheurs,
Je parsèmerai sous tes pieds des pétales de bonheur,
Pour que ton destin s’épanouisse comme le font les fleurs.
Et que ton chemin ne subisse ni les pleurs ni les douleurs.
Je prendrai soin de te tendre la main,
Au petit matin où tu en ressentiras le besoin.
Je te donnerai les ailes de la liberté,
Et je garderai un oeil attentionné,
Je ne suis pas là pour t’espionner, te coller ou t’enfermer,
Mais pour te protéger, te préserver et te garder.
Tu es un enchantement à mes yeux,
Pas un idéalisme malheureux,
Fais de ton mieux pour rester pur,
Pour ne jamais foncer dans le mur.
Ce n’est vraiment pas facile de te dire de ma voix tremblante,
Par mes maladroits mots l’amour qui m’enchante;
Inexpliqués, compliqués et osés,
Sont les seuls mots que j’ai trouvés.
Pourtant ici les termes sont clairs,
Il n’y a rien de plus sincère,
Que ce que mon coeur te crie à s’en arracher,
Pour que tu l’entendes.
Je t’aime.

Jeu 24 Août 2006, 22:58 par
joullia sur Parler d'amour
Mon avis n’a d'importance que si mes mots te vont au coeur
A travers cet hymne où mes mots te seront exprimés,
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
A travers mes phrases où sincérité te sera déclarée,
Je désire mettre fin au silence de la réalité,
Et te dire une fois pour toute la pure vérité.
Souvent les mots me manquent, l’inspiration s’évade et la peur des mots m’envahit;
Parfois les phrases surgissent avec le regret de les avoir prononcées et sur mes lèvres
Pire encore, parler pour rien, ne pas me faire comprendre sont les sentiments qui s’emparent de ma vie.
Oui, j’ai besoin de te le dire de tout mon coeur
Que seul ton bien-être peut faire mon bonheur.
Permets-moi de te représenter
L’importance que mon coeur peut te porter,
Ta valeur à mes yeux dépassant
Le plus charmant de sentiments.
Comme un soleil sans lumière, une lune sans ombre,
Une terre sans fleurs, un ciel sans couleurs,
Une fraise sans goût, un repas sans saveur,
Une voix sans paroles, un regard sans vision,
Une existence sans destin, une vie en dérision...
J’aimerai éprouver un jour le sentiment d’avoir fait quelque chose de bien,
J’aimerai croire que le véritable amour existera encore demain,
Pouvoir un jour recevoir autant que je puisse donner,
Pouvoir ressentir l’intérêt de vivre et d’exister.
Et cela je le trouve dans le pourquoi de mes actes et de mes pensées vis à vis de ta personne
Dans mes faits et gestes qui m’amènent vers toi, à être telle que je suis, telle que je résonne.
Je souhaiterais te rendre heureux à chaque instant où tu vas mal,
Je souhaiterais que tu comprennes mon attitude,
Redonner le sourire à tes lèvres quand il n’est pas présent,
Te redonner aussi la liberté de vivre quand je me dois d’être distante.
S’il faudrait traverser à pied le désert,
S’il fallait nager le long d’une grande mer,
Rien que pour te sauver
Je le ferais sans hésiter.
Quand tu te seras éloigné
Et que le destin aura voulu nous séparer,
Je continuerai à chaque instant de penser a toi,
Avec l’espoir que tu n’auras pas changé.
Oui je penserai à tous ses moments passés avec toi,
A toutes les conversations que l’on a pu avoir,
Sur ton tchat.
Mon rêve serait de pouvoir te garder
A mes cotés, tout près de moi;
Mais dans mon coeur tu resteras
A tout jamais, pour l’éternité.
S’il n’est pas faux que mon coeur t’aime encore,
Je ne peux lui dire de se taire et de mourir.
Ma seule force pour pouvoir le faire survivre,
Est de donner son amour.
Comme les étoiles dans le ciel,
Comme les grains de sables du désert;
Même si je ne suis qu’une particule de sel
Parmi les eaux des plus vastes mers,
J’apprécierai tes qualités
Sans jamais les sous-estimer.
Mon avis n’a d’importance que si mes mots te vont au coeur,
Mes vers n’ont pas de raisons d’être si pour toi ils n’ont pas de valeur.
Et tes autres amies qui t’aiment, je n’en serai plus jalouse,
Et ta future petite amie sera à mes yeux bien plus douce.
Je ne peux me mentir à moi-même sans que tu y perçois la vérité,,
Je ne peux que comprendre en regardant ton douloureux passé.
Je ne peux m’empêcher de décrire sur un tas de feuille ce qui m’entoure
Et d’écrire mes faits et gestes pour un soulagement en retour;
Mais quand mes petits doigts pensent faire quelque chose de sage,
Quand sans cesse je me relis en tournant peu à peu les pages,
Je fini par avoir de nombreux remords,
Pour enfin m’apitoyer sur mon triste sort.
Il est dit dans des proverbes:
Qui sème l’amour récolte le bonheur;
Ou bien encore:
Ton amour est la plus belle fleur dans le jardin de mon petit coeur.
Bien que ces paroles ne proviennent pas de mon inspiration,
Ils semblent avoir été écrits avec beaucoup de raisons.
Sont-ils vrais, sont-ils faux?
Après tout ce ne sont que des mots...
Tu es un homme si magnifique
Par tes couleurs tu es le plus beau;
Tu es pour moi autant symbolique
De la paix qu’évoque une hirondelle.
Tu me fais penser à un jolie fleuve,
Si fougueux mais plein de coeur.
Une absence d’une longue minute,
Une courte seconde sans ta présence,
Et la vie devient comme un arbre en Octobre,
Tout retombe comme une feuille devenue sobre.
Ta franchise toujours sincère
M’as souvent remis les pieds sur terre;
Bien qu’elle m’a souvent blessée
Au point de sans cesse pleurée.
Je suis comme un vase brisée
Mais c’est une chance que tu sois là
Pour me dire tout mes faux pas
Je ne le répèterai jamais assez, tu es l’homme pour qui j’ai le plus de respect,
Tu es l’homme en qui sans peur je porterai ma confiance,
Car il existe entre nous des ressemblances.
Oui ce poème ne devrait pas exister,
Je voulais dire, te redire que je t’aime non pas pour une apparence;
C’était pour partager avec quelqu’un de bien une belle histoire,
Considérer et être considérer comme un don de l’existence,
Profiter de la vie à deux.
Mon coeur s’est exprimé sans doute pour la dernière fois,
Et il est temps d’en arrêter là;
Mais avant de terminer ce poème,
Je voulais simplement te dire: Je t’aime.
Mer 23 Août 2006, 01:24 par
joullia sur Parler d'amour
Qu'est ce que j'ai tatoué dans ton coeur ?
Tu as tatoué mon coeur de ton doux prénom,
Tu as tatoué mon coeur de merveilleux rêves,
Tu as tatoué mon coeur d’un désir intense et envoûtant,
Tu as tatoué mon coeur d’espoirs et d’étoiles,
Tu as tatoué mon coeur de ton coeur,
Tu as tatoué mon coeur de bonheur,
Tu as tatoué mon coeur à l’encre rouge de l’amour,
Tu as tatoué mon coeur à l’encre pourpre de la passion ennivrante,
Tu as tatoué mon coeur avec ton sourire charmeur,
Tu as tatoué mon coeur à l’espoir de ta vie,
Tu as tatoué mon coeur de ta façon d’être,
Tu as tatoué mon coeur de la raison de vie,
Tu as tatoué mon coeur par des sentiments longtemps oublés,
Que j’ai encore du mal à décrire et contrôler,
Tu as tatoué mon coeur d’un sorte d’ Amour,
Dont je ne peux pas me défaire.
Mais moi,
Qu’est ce que j’ai tatoué dans ton coeur ?
julia
Tu as tatoué mon coeur de merveilleux rêves,
Tu as tatoué mon coeur d’un désir intense et envoûtant,
Tu as tatoué mon coeur d’espoirs et d’étoiles,
Tu as tatoué mon coeur de ton coeur,
Tu as tatoué mon coeur de bonheur,
Tu as tatoué mon coeur à l’encre rouge de l’amour,
Tu as tatoué mon coeur à l’encre pourpre de la passion ennivrante,
Tu as tatoué mon coeur avec ton sourire charmeur,
Tu as tatoué mon coeur à l’espoir de ta vie,
Tu as tatoué mon coeur de ta façon d’être,
Tu as tatoué mon coeur de la raison de vie,
Tu as tatoué mon coeur par des sentiments longtemps oublés,
Que j’ai encore du mal à décrire et contrôler,
Tu as tatoué mon coeur d’un sorte d’ Amour,
Dont je ne peux pas me défaire.
Mais moi,
Qu’est ce que j’ai tatoué dans ton coeur ?

julia

Lun 21 Août 2006, 11:44 par
joullia sur Histoires d'amour
Une photo
Une photo ? C’est l’instant qui s’arrête,
les sentiments qui demeurent et la vie qui s’en va.
Jérôme Touzalin
Extrait de " Futur intérieur "
les sentiments qui demeurent et la vie qui s’en va.
Jérôme Touzalin
Extrait de " Futur intérieur "
Décompte avant le jour J
Quand l’ombre d’un cadran solaire disparaît.
La nuit est la douleur des amours séparés.
Lorsque nos corps n’ont aucun moyen de se voir.
L’âme est là et peut embrasser notre vouloir.
Le soir, je cherche dans ton absence un calmant.
Mon coeur dont l’espoir se meurt si il n’est pas ardent.
L’écho solitaire qui transporte ton prénom,
Que la distance voudrait en affaiblir le son.
J’ai envie des sentiments, que tu as fait naître.
Et prolonger ma vie pour enfin te connaître.
A trente ans, on est plus amoureux qu’à vingt.
Je puiserai en toi un futur azurin.
Le jour est la douceur des passions adultères ;
Pour regagner ensemble nos lieux, faits de mystères.
Les gouttes de joie sont le rayon de tes yeux ;
Elles déversent sur mon coeur un baume précieux.
Lorsque l’on se retrouve, la tristesse s’envole
Pour que nos âmes mutinées enfin se consolent.
Tu m’offres une bouche de fruit gorgée de nectar.
Chair pulpeuse, dont les dieux m’ont cédé leur part.
Dans ton arrogante vénusté, je chancelle.
Et son éclat parfumé d’amour, étincelle.
Je pare de baisers, tes secrets masculins
D’où, jailli le flot nacré, du plaisir divin.
Lorsque, mon sang embrase tes sens et ton corps ;
Et que nos désirs s’enflamment, d’un seul accord.
Nos coeurs sont imprégnés d’amour et de passion.
Dans leurs battements, nos vies deviennent fusion.
Miroir, qui donne vie aux amours interdites!
Reflets des passions, dans celui qui les abrite
Lui seul peut protéger notre image en secret
Et rendre à nos sentiments un éclat diapré.
Dans l’attente de te rencontrer jeudi,
Mon coeur est en émoi et dans le doute que tu viennes pas.
Je suis sur Paris demain dans la soirée,
Pour attendre patiemment dans ma chambre d’hôtel,
Je me louerais mon film fétiche,
Celui où le primate aime l’humaine ....
Et je pleurerais comme à chaque fois,
devant tant d’amour, ce si bel amour .....
celui dont beaucoup recherchent ....
La nuit est la douleur des amours séparés.
Lorsque nos corps n’ont aucun moyen de se voir.
L’âme est là et peut embrasser notre vouloir.
Le soir, je cherche dans ton absence un calmant.
Mon coeur dont l’espoir se meurt si il n’est pas ardent.
L’écho solitaire qui transporte ton prénom,
Que la distance voudrait en affaiblir le son.
J’ai envie des sentiments, que tu as fait naître.
Et prolonger ma vie pour enfin te connaître.
A trente ans, on est plus amoureux qu’à vingt.
Je puiserai en toi un futur azurin.
Le jour est la douceur des passions adultères ;
Pour regagner ensemble nos lieux, faits de mystères.
Les gouttes de joie sont le rayon de tes yeux ;
Elles déversent sur mon coeur un baume précieux.
Lorsque l’on se retrouve, la tristesse s’envole
Pour que nos âmes mutinées enfin se consolent.
Tu m’offres une bouche de fruit gorgée de nectar.
Chair pulpeuse, dont les dieux m’ont cédé leur part.
Dans ton arrogante vénusté, je chancelle.
Et son éclat parfumé d’amour, étincelle.
Je pare de baisers, tes secrets masculins
D’où, jailli le flot nacré, du plaisir divin.
Lorsque, mon sang embrase tes sens et ton corps ;
Et que nos désirs s’enflamment, d’un seul accord.
Nos coeurs sont imprégnés d’amour et de passion.
Dans leurs battements, nos vies deviennent fusion.
Miroir, qui donne vie aux amours interdites!
Reflets des passions, dans celui qui les abrite
Lui seul peut protéger notre image en secret
Et rendre à nos sentiments un éclat diapré.
Dans l’attente de te rencontrer jeudi,
Mon coeur est en émoi et dans le doute que tu viennes pas.
Je suis sur Paris demain dans la soirée,
Pour attendre patiemment dans ma chambre d’hôtel,
Je me louerais mon film fétiche,
Celui où le primate aime l’humaine ....
Et je pleurerais comme à chaque fois,
devant tant d’amour, ce si bel amour .....
celui dont beaucoup recherchent ....
Mar 08 Août 2006, 11:16 par
joullia sur L'amour en vrac
Le zéphyr porte mon coeur
Je t’aime si fort, que je t’ai toujours connu.
Dans ma vie, ton écho m’est enfin parvenu.
Ta rencontre existait, avant que je ne te vois,
Puisque le vent poussait ton parfum jusqu’à moi.
Mes yeux percent l’horizon, pour voir ton image.
Je souhaite tant caresser ton doux visage.
Le zéphyr porte mon coeur, pour l’unir au tien.
Accueille-le, pour lier tes sentiments aux miens !
L’amour resplendit, sur ton visage que j’aime.
Tu es mon bel homme, ma plus belle fleur.
Tu rends tous les soleils jaloux, par tes couleurs.
Désirant ton amour, en qui dort mon espoir!
Chaque nuit, je rêve au jour; où je vais te voir.
Tu es, comme un rêve sculpté dans le diamant.
Mon amour te fera vivre éternellement.
Mon poème exprime, ce que mon coeur n’ose dire ;
Une folle passion, que je ne peux décrire.
C’est à travers l’encre, que transparaît l’amour!
Je ne veux qu’écrire ton prénom, dans mes jours.
Dans ma vie, ton écho m’est enfin parvenu.
Ta rencontre existait, avant que je ne te vois,
Puisque le vent poussait ton parfum jusqu’à moi.
Mes yeux percent l’horizon, pour voir ton image.
Je souhaite tant caresser ton doux visage.
Le zéphyr porte mon coeur, pour l’unir au tien.
Accueille-le, pour lier tes sentiments aux miens !
L’amour resplendit, sur ton visage que j’aime.
Tu es mon bel homme, ma plus belle fleur.
Tu rends tous les soleils jaloux, par tes couleurs.
Désirant ton amour, en qui dort mon espoir!
Chaque nuit, je rêve au jour; où je vais te voir.
Tu es, comme un rêve sculpté dans le diamant.
Mon amour te fera vivre éternellement.
Mon poème exprime, ce que mon coeur n’ose dire ;
Une folle passion, que je ne peux décrire.
C’est à travers l’encre, que transparaît l’amour!
Je ne veux qu’écrire ton prénom, dans mes jours.
Lun 07 Août 2006, 23:19 par
joullia sur Parler d'amour
Miroir caché
ô miroir caché qui transforme cet horyzon
d’une lumiere aveuglante qui scintille sur le monde
frustre les hommes d’une mélancolie certaine
et les femmes de passion malsaine
ô lumiere de ma vie, je te vois à l’horyzon,
te reclamant en ton nom miroir facile de tant d’ambition
ou peut etre d’autre humiliation
dechiré ses émois sans opinions,
sur ce pont qui traverse ce monde en perdition.
quel vision mélancolique, a je ne perderai espoir
de nourir de nouveau reve par des soirs étoilé
de myriade d’astre fantastique pour trouver un jour
le bonheur anesthésique amnésique et atypique,
a pathetique idée que de vouloir oublier ce monde en torpeur
qui ne fait rien pour s’ebranler fatidique senteur de la puanteur,
de la betisse humaine qui inonde ici bas
un jour peut etre je trouverai l’elue
qui fera de moi un être epanoui et dans un bonheur certain,
je serai la plume qui parcours ton corps
au grés du souffle de ce vent qui vole,
de passion sur ta peau chaleureuse, qui frole
et tombe dans l’abyme de tes seins,
pour finir se nourir d’un fruit qui n’est pas le mien,
plume qui vole au vent ,de la passion des sentiments,
brulant mon corps d’une passion intense d’un amour eternel
qui benira mon existence pardonnes moi d’être egoiste ce soir
mais je perd patience parfois, en esperant un jour te voir
je te dedicaces mes bons sentiments attachant
d’un coeur meurtri par les choses de la vie
d’une lumiere aveuglante qui scintille sur le monde
frustre les hommes d’une mélancolie certaine
et les femmes de passion malsaine
ô lumiere de ma vie, je te vois à l’horyzon,
te reclamant en ton nom miroir facile de tant d’ambition
ou peut etre d’autre humiliation
dechiré ses émois sans opinions,
sur ce pont qui traverse ce monde en perdition.
quel vision mélancolique, a je ne perderai espoir
de nourir de nouveau reve par des soirs étoilé
de myriade d’astre fantastique pour trouver un jour
le bonheur anesthésique amnésique et atypique,
a pathetique idée que de vouloir oublier ce monde en torpeur
qui ne fait rien pour s’ebranler fatidique senteur de la puanteur,
de la betisse humaine qui inonde ici bas
un jour peut etre je trouverai l’elue
qui fera de moi un être epanoui et dans un bonheur certain,
je serai la plume qui parcours ton corps
au grés du souffle de ce vent qui vole,
de passion sur ta peau chaleureuse, qui frole
et tombe dans l’abyme de tes seins,
pour finir se nourir d’un fruit qui n’est pas le mien,
plume qui vole au vent ,de la passion des sentiments,
brulant mon corps d’une passion intense d’un amour eternel
qui benira mon existence pardonnes moi d’être egoiste ce soir
mais je perd patience parfois, en esperant un jour te voir
je te dedicaces mes bons sentiments attachant
d’un coeur meurtri par les choses de la vie

Ven 04 Août 2006, 13:33 par
kick sur L'amour en vrac
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Il y a 239 textes utilisant le mot sentiments. Ces pages présentent les textes correspondant.
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