Un site d'écriture sur l'amour: séduction, tendresse, et façon de le dire, la délicatesse de l'expression mêlée à la violence des pulsions - Ecrire sur songes - Page 2 sur 3
Grâce
Grâce à toi, je me suis ouvert une nouvelle veine.
S’en écoule un sang vermeil qui scintille de nos nuits écourtées d’amour.
Sang des songes perlés en rubis sertis d’ombres complices.
Rivière de gouttelettes à température de peaux jointes.
Flots tendres et impétueux, doucement puis vigoureusement, vigoureusement puis doucement offerts.
Miroitements opalins des cieux qui emplissent les paupières des amoureux essoufflés.
S’en écoule un sang vermeil qui scintille de nos nuits écourtées d’amour.
Sang des songes perlés en rubis sertis d’ombres complices.
Rivière de gouttelettes à température de peaux jointes.
Flots tendres et impétueux, doucement puis vigoureusement, vigoureusement puis doucement offerts.
Miroitements opalins des cieux qui emplissent les paupières des amoureux essoufflés.
Mer 16 Mai 2007, 18:31 par
René Cendre sur Parler d'amour
Un rêve parfumé (poème érotique)
Un rêve parfumé
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
Continuez sur le thème du parfum et de l’érotisme sur www.poesie-erotique.net
Après une folle soirée
De stupre et de luxure
Passée à vive allure,
C’est divinement fatigué
Que nous nous sommes assoupis
Dans le théâtre de nos ébats : le lit...
J’ai fermé les yeux
Entre tes seins chaleureux
Et, doucement, venant chatouiller mes sens,
J’ai senti la volupteuse et paresseuse essence
Du parfum de tes douces mamelles,
Du souffle de ma bouche sur elles,
Raviver en mes inconscientes narines
Un ressac d’ardeurs sous-marines
Ouvrant la voie de rêves aphrodisiaques
En des rivages paradisiaques...
Sous mes yeux fermés et frémissants
Des songes allument des feux d’illusions
Qui se consument lentement
Telle une fumée de tison,
Son corps surgit alors du brouillard
Gonflé d’un désir charnel
Qui fait s’élever au ciel
Mon phallus fier étandard !
Mes envies laissent libres leur cours
Elle m’enlace - Je la possède
Je me prélasse - Elle m’obsède
Maintes fois nous faisons l’amour
Sexes ou bouches - Enchevêtrés
Sueurs et frissons - Embaumés
Au solstice de la nuit
Dans l’odeur chaude des ombres
Où toujours plus je sombre,
M’agitant dans le lit
Savourant cet échange,
Se produit soudain un évènement étrange...
Dans la moiteur de mes rêves
Je sens monter un vent de fièvres
Jusqu’au bord de mes lèvres
Mon membre semble proche d’exploser
Telle une bouteille de champagne
Trop agitée avant de servir
Et de mon gland vient couler
Sur la cuisse de ma compagne
Quelques gouttes de plaisir...
La fragance poivrée
Animale
De ce précieux miel
Parvient jusqu’au nez
De ma belle
Et distille moultes phéromones mâles
En ces sens qui bientôt s’éveillent !
L’essence masculine et virile
Se difuse en elle avec force
La rendant soudain si fébrile
Qu’elle se redresse,
Bombe le torse
Cambre les fesses
Et vient s’empâler dans un râle
Sur mon sexe boréal !
Tandis que l’aurore soudain illumine
Mon rêve qui se termine...
© Cyr
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Lun 07 Mai 2007, 18:24 par
cyrpoete sur Les liaisons sulfureuses
Pensées fugaces
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
la lune en ascendance
pensées focalisées
sur le doute et l’absence
Je pense à toi toujours
tu es là dans mes cieux
dans mes rêves d’Amour
mes songes inharmonieux
Je ne resterai pas
dans cet indéfini
je guiderai mes pas
je dois rester en vie
Je vais partir sûrement
t’échapper pour de vrai
m’éloigner tendrement
effacer cet attrait
Qui nous lie maintenant
depuis longtemps déjà
semblant nier le temps
se nourrir de combats.
Je veux rester sereine
éternelle et vivante
ou bien partir sans peine
heureuse et dilétante
Tu resteras pour moi
cet espoir de promesse
cette brume, cet émoi
cet élan de tendresse.
Je t’aime encore bien sûr
je te désire toujours
je pars vers d’autre azur
sans espoir de retour
Ces mots sont là pour toi
qu’ils te nourrissent enfin
qu’ils rencontrent ta foi
qu’ils te fassent être bien
Dans tes incertitudes
ta peur d’aimer vraiment
sache que ma solitude
s’inscrit comme un aimant
Le ciel d’un bleu foncé
la lune en ascendance
je renie le passé
et poursuis ma sentence
La vie est ainsi faite
que les choses essentielles
se cachent et se répètent
sous l’aval du ciel.
Lun 26 Mars 2007, 17:36 par
jatea sur L'amour en vrac
Sentiment coupable
Encore une journée d’ennui
Et je me laisse aller à la mélancolie
Pour rien au monde je ne changerais de vie
A croire que j’aime sombrer dans la folie.
Les yeux mouillés je suis debout dans les ténèbres
Je me prépare à mon destin funèbre
Mais au loin je vois une apparition, un ange,
Qui seul pourra me sortir de cette fange !
Devant toi, ô sublime créature, je suis à genoux !
Tu ne t’en doutes pas et ne songes pas à nous
Tu me fais accepter la vie, le temps et l’ennui
Reste simplement dans l’ombre et la nuit.
Je me sens coupable de trahison
Mais je t’aime à en perdre la raison !
Et je me laisse aller à la mélancolie
Pour rien au monde je ne changerais de vie
A croire que j’aime sombrer dans la folie.
Les yeux mouillés je suis debout dans les ténèbres
Je me prépare à mon destin funèbre
Mais au loin je vois une apparition, un ange,
Qui seul pourra me sortir de cette fange !
Devant toi, ô sublime créature, je suis à genoux !
Tu ne t’en doutes pas et ne songes pas à nous
Tu me fais accepter la vie, le temps et l’ennui
Reste simplement dans l’ombre et la nuit.
Je me sens coupable de trahison
Mais je t’aime à en perdre la raison !
Sam 06 Jan 2007, 18:55 par
obsession sur L'amour en vrac
Sourire à la vie.
La montagne, crépite de gaîté, explose de lumière. Des torrents de larmes de bonheur jaillissent, éclaboussent les prés. Des perles nacrées câlinent les crocus, les pâquerettes, les myosotis qui s’éveillent peu à peu à la galanterie native du printemps . Les nouvelles pousses des pâturages chassent la poussière de l’hivers. Bientôt des chevrettes, sottes de pirouettes viendront tailler cette étendue vert clair, mouchetée de vert plus sombre, où des tapis, de fleurs, de mousses sauvages s’allongent tout à leur aise Au loin, un pic-epêiche éternue sa mélodie...
Petit caillou magique. Petit point dans l’immensité d’un paysage fleuri. Long, gris, plat et lisse. Petit galet. Une rivière insouciante, couleur bonbon à la menthe, cours et chante au pied de la montagne. Une passerelle de bois, entre les deux les rives, se balance paisiblement. Elle offre aux promeneurs une page blanche et les invite à écrire une poésie galbé de bouton d’or. Sur la berge, Adeline se tient debout provoquant le soleil levant, le galet du destin serré dans la paume de la main. Elle se penche, et le lance . Celui-ci lâché, ricoche, ricoche. Des ondes dentelées et éphémères apparaissent à la surface de l’eau. Deux , puis trois, de plus en plus infimes. Galet léger, galet évadé. Au troisième rebond, il plonge, s’enfonce dans le miroir opaque et lointain. Adeline contemple le vide. De jolis yeux sans âme, sans coloriage_ Elle n’entend pas le bruissement des feuilles des bouleaux qui bordent la rivière. Elle regarde, accroupie, les yeux dans ses songes. Elle n’entend pas les clochettes des digitales, ballottées par la brise du vent, tintiner joyeusement dans toute la montagne, oasis de douceur.
Le galet, jeté au hasard, a éveillé les poissons endormi dans la mémoire d’Adeline à la triste saison. Des familles de saumons malicieux sautent éparpillés . Les saumons esquivent quelques cabrioles maladroites, pour se parfaire dans des sauts périlleux frétillants et capricieux. Apeurés mais libres. Dociles mais sauvages. Adeline regarde. Aucune étincelle dans ses yeux égarés. Elle regarde sans saisir ce spectacle de lumière aux teintes orangés. Éclats de liberté, de pépites diamantées se déroule sous ses yeux en transhumance.
Tandis que les ailes du soleil déploient ses rayons sur la montagne, les yeux d’Adeline s’entrouvrent légèrement sur une verte vallée voilée d’ une cascade de couleur. Lentement, elle réagit et revient peu à peu dans un monde imaginaire d’arôme, de sons. La vie se joue devant elle.
Elle sourit devant ces images, main tendue à elle. Elle sourit à la vie. Elle sourit en regardant la berge où repose tant de galets. Elle imagine, alors tous les galets rebondir sur les draps de ce lit, couleur bonbon à la menthe. Elle sourit à la pensée de milliers de sphères sur ce miroir au ton incertain. Elle sourit à la valse de tous les saumons, invitants les carpes, les libellules, les têtards à se joindre dans cette ronde de plaisir. Elle sourit et s’imagine ballerine en jupon de mousseline blanche au coeur de ce ballet. Elle s’imagine toupie bras tendus vers le ciel happant tous les nuages pour les sentir se couler le long de son corps meurtri.
Un simple galet jeté au hasard, serré dans une main à réveillé un sourire.
Fille du peuple.
Petit caillou magique. Petit point dans l’immensité d’un paysage fleuri. Long, gris, plat et lisse. Petit galet. Une rivière insouciante, couleur bonbon à la menthe, cours et chante au pied de la montagne. Une passerelle de bois, entre les deux les rives, se balance paisiblement. Elle offre aux promeneurs une page blanche et les invite à écrire une poésie galbé de bouton d’or. Sur la berge, Adeline se tient debout provoquant le soleil levant, le galet du destin serré dans la paume de la main. Elle se penche, et le lance . Celui-ci lâché, ricoche, ricoche. Des ondes dentelées et éphémères apparaissent à la surface de l’eau. Deux , puis trois, de plus en plus infimes. Galet léger, galet évadé. Au troisième rebond, il plonge, s’enfonce dans le miroir opaque et lointain. Adeline contemple le vide. De jolis yeux sans âme, sans coloriage_ Elle n’entend pas le bruissement des feuilles des bouleaux qui bordent la rivière. Elle regarde, accroupie, les yeux dans ses songes. Elle n’entend pas les clochettes des digitales, ballottées par la brise du vent, tintiner joyeusement dans toute la montagne, oasis de douceur.
Le galet, jeté au hasard, a éveillé les poissons endormi dans la mémoire d’Adeline à la triste saison. Des familles de saumons malicieux sautent éparpillés . Les saumons esquivent quelques cabrioles maladroites, pour se parfaire dans des sauts périlleux frétillants et capricieux. Apeurés mais libres. Dociles mais sauvages. Adeline regarde. Aucune étincelle dans ses yeux égarés. Elle regarde sans saisir ce spectacle de lumière aux teintes orangés. Éclats de liberté, de pépites diamantées se déroule sous ses yeux en transhumance.
Tandis que les ailes du soleil déploient ses rayons sur la montagne, les yeux d’Adeline s’entrouvrent légèrement sur une verte vallée voilée d’ une cascade de couleur. Lentement, elle réagit et revient peu à peu dans un monde imaginaire d’arôme, de sons. La vie se joue devant elle.
Elle sourit devant ces images, main tendue à elle. Elle sourit à la vie. Elle sourit en regardant la berge où repose tant de galets. Elle imagine, alors tous les galets rebondir sur les draps de ce lit, couleur bonbon à la menthe. Elle sourit à la pensée de milliers de sphères sur ce miroir au ton incertain. Elle sourit à la valse de tous les saumons, invitants les carpes, les libellules, les têtards à se joindre dans cette ronde de plaisir. Elle sourit et s’imagine ballerine en jupon de mousseline blanche au coeur de ce ballet. Elle s’imagine toupie bras tendus vers le ciel happant tous les nuages pour les sentir se couler le long de son corps meurtri.
Un simple galet jeté au hasard, serré dans une main à réveillé un sourire.
Fille du peuple.
Jeu 04 Jan 2007, 10:30 par
Fille du peuple sur Mille choses
Corps désirant
Par mes yeux, par ma voix, le désir se fourvoie
J’imprime une étincelle et reprends mon chemin
Qui se nourrit sans cesse de ce premier matin
Ce jour où je renais à l’idée d’être moi
Et ce feu qui me brûle, autonome et ardent
Fait le lit de mes songes, équilibre mes pas
Je le vis empereur, gouvernant mes émois
Il s’expand en douceur, insécure et prudent
Faudrait-il sceller l’âtre, étouffer la fumée
Garder en souvenir un espoir embrumé
Et s’accorder ailleurs vers de nouveaux délices
Où faudrait-il braver les braises rougeoyantes
Accueillir et guider, l’expression éclatante
Le feu de vie joyeux exultant du supplice
J’imprime une étincelle et reprends mon chemin
Qui se nourrit sans cesse de ce premier matin
Ce jour où je renais à l’idée d’être moi
Et ce feu qui me brûle, autonome et ardent
Fait le lit de mes songes, équilibre mes pas
Je le vis empereur, gouvernant mes émois
Il s’expand en douceur, insécure et prudent
Faudrait-il sceller l’âtre, étouffer la fumée
Garder en souvenir un espoir embrumé
Et s’accorder ailleurs vers de nouveaux délices
Où faudrait-il braver les braises rougeoyantes
Accueillir et guider, l’expression éclatante
Le feu de vie joyeux exultant du supplice
Jeu 16 Nov 2006, 04:22 par
jatea sur La séduction
A la découvert des trésors cachés
Je t’attends dans la nuit, assise sur le banc,
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia
De mes rivières de songes,
Rien ne peut me réchauffer le coeur autant,
Que mes rêveries de Toi,
De Nous,
Comme avant.
Dans le calme de la nuit,
Caressée par ces douces brises voluptueuses,
Les yeux fermés,
Je peux entendre tes pas et ressentir ton doux parfum,
Et tu arrives....
Tes douces et belles lèvres
Humidifie ma peau tout en émoi,
La douceur extrême de ta peau,
Réveille en moi, des passions et des désirs extrêmes,
Quand tes belles mains parcourent mon corps,
A la découvert des trésors cachés,
Qui n’appartiennent qu’à Toi.
J’entends alors ton doux coeur,
Battre dans des rythmes envoûtants,
Seule moi peux entendre cette douce mélodie.
Et mon âme se blottit contre ton âme,
Juste là, contre nos deux coeurs.
Ton sourire si beau,
Et tes yeux ! Ô tes yeux !
Je les perçois comme des étoiles,
Ils brillent tant que par mis,
Les constellations, les cieux,
Je ne peux pas me tromper.
Je savoure ce spectacle étoilé.
Et là, apaisée, heureuse, je m’endors,
Avec ton beau sourire en mémoire,
La dernière image,
Tes rires complices,
Le dernier son,
Dans ma nuit.
Ainsi enveloppée et protégée
Dans tes bras d’Amour,
Je m’endors en sécurité.
julia


Dim 27 Août 2006, 14:57 par
joullia sur Parler d'amour
Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin?
Quelle est cette femme, seule sur ce pénible chemin ?
A-t-elle perdu sa famille en ce beau matin?
Elle semble perdue dans ses pensées sombres
Dont elle est la seule à détenir les clés.
Qui pourrait, à ces yeux rêveurs d’un bleu envoûtant ?
Soudain je sens qu’il y manque l’étincelle du printemps.
Où est passé le feu qui les faisait briller d’un éclat sans pareil ?
Et cette chaleur bienfaisante qui animait son corps la veille?
À présent elle marche, errant sans but, toujours rêvant
À ce passé balayé par un simple coup de vent dévastateur.
Ses lèvres, ses hanches portent encore la trace de ces moments d’abandon et de souffrance.
Mais cet espoir s’est noyé dans un flot de haine
Sans ses anges, elle n’a plus de rêves, plus de songes.
Alors, elle plonge
Plonge dans une mer hostile et ballottée
Où personne maintenant ne veut me sauver.
Par peur de sombrer avec mon radeau de fortune.
Pour m’aider à revenir sur la plage de sable blanc.
Et songer à nouveau à fonder une autre famille.
A-t-elle perdu sa famille en ce beau matin?
Elle semble perdue dans ses pensées sombres
Dont elle est la seule à détenir les clés.
Qui pourrait, à ces yeux rêveurs d’un bleu envoûtant ?
Soudain je sens qu’il y manque l’étincelle du printemps.
Où est passé le feu qui les faisait briller d’un éclat sans pareil ?
Et cette chaleur bienfaisante qui animait son corps la veille?
À présent elle marche, errant sans but, toujours rêvant
À ce passé balayé par un simple coup de vent dévastateur.
Ses lèvres, ses hanches portent encore la trace de ces moments d’abandon et de souffrance.
Mais cet espoir s’est noyé dans un flot de haine
Sans ses anges, elle n’a plus de rêves, plus de songes.
Alors, elle plonge
Plonge dans une mer hostile et ballottée
Où personne maintenant ne veut me sauver.
Par peur de sombrer avec mon radeau de fortune.
Pour m’aider à revenir sur la plage de sable blanc.
Et songer à nouveau à fonder une autre famille.
Sam 26 Août 2006, 14:04 par
joullia sur Mille choses
Melodie d'amour
Une tres douce mélodie intense s’ecoule au fon de mon moi,
Elle prend source dans mon coeur,
Mes pensées affluent vers cette rive vide,
Ou mon être impatient n’attend que toi ...beny
Ame soeur, viendras tu ?
Me sauveras tu de ces deboires
de ces desillusion tenaces,
dont ma vie est paralysée ?
J’absorde une douce musique en sourdine
Qui entre en moi par tous les pores
De ma peau a la fois delicate et fanee,
De mon coeur si souple et dechiré...
Est ce ta voix que j’entend au loin,
Mon prince du desert, mon karim, mirage de tous mes songes ?
Est ce l’une de tes simples caresses
Qui pour quelques instants m’envahit d’ivresse?
Ame soeur, un jour tu comprendras,
Que mes pensées se nourissent de toi...
Que c’est uniquement parce que tu vis en moi,
Que mon coeur se vide, sur cette feuille la.
Pour enfin laisser la palce,
A l’amour suprême celui dont les mots ne suffisent pas à décrire
PS: Pardon Ben d’envahir ce forum
mais c’est mon seul espoire,
ma seul chance que tu vois que je t’aime reelement
ma seul facon de te parler...
Elle prend source dans mon coeur,
Mes pensées affluent vers cette rive vide,
Ou mon être impatient n’attend que toi ...beny
Ame soeur, viendras tu ?
Me sauveras tu de ces deboires
de ces desillusion tenaces,
dont ma vie est paralysée ?
J’absorde une douce musique en sourdine
Qui entre en moi par tous les pores
De ma peau a la fois delicate et fanee,
De mon coeur si souple et dechiré...
Est ce ta voix que j’entend au loin,
Mon prince du desert, mon karim, mirage de tous mes songes ?
Est ce l’une de tes simples caresses
Qui pour quelques instants m’envahit d’ivresse?
Ame soeur, un jour tu comprendras,
Que mes pensées se nourissent de toi...
Que c’est uniquement parce que tu vis en moi,
Que mon coeur se vide, sur cette feuille la.
Pour enfin laisser la palce,
A l’amour suprême celui dont les mots ne suffisent pas à décrire
PS: Pardon Ben d’envahir ce forum
mais c’est mon seul espoire,
ma seul chance que tu vois que je t’aime reelement
ma seul facon de te parler...
Jeu 03 Août 2006, 09:39 par
joullia sur L'amour en vrac
Mon toi, mon toi et l'erotisme
Sur ton cou lentement mes doux baisers affluent
Partant de ton oreille finissant à tes seins
Je te fais de l’amour le plus glorieux dessins
Quand ma langue amusée recherche l’inconnu
Ton corps est là couché sur des pensées lascives
Tu regardes mes songes et mes gestes éperdus
Je n’ai jamais connue de chaleur plus cossue
Quand ton coeur palpite la mort me captive
Mourir dans tes bras c’est renaitre en ton coeur
Le prix de mes tracas est l’espoir de mes peurs
Des mots rien que des mots richesses de nos âmes
Allongée et soumise l’amour de nos maux
Mots passant ... langoureux loins de tes oripeaux
Dans une symbiose parfaite nos corps au loin s’alarment
je t’aime mon toi, mon autre, mon âme soeur, ma raison de me battre et de vivre.
Partant de ton oreille finissant à tes seins
Je te fais de l’amour le plus glorieux dessins
Quand ma langue amusée recherche l’inconnu
Ton corps est là couché sur des pensées lascives
Tu regardes mes songes et mes gestes éperdus
Je n’ai jamais connue de chaleur plus cossue
Quand ton coeur palpite la mort me captive
Mourir dans tes bras c’est renaitre en ton coeur
Le prix de mes tracas est l’espoir de mes peurs
Des mots rien que des mots richesses de nos âmes
Allongée et soumise l’amour de nos maux
Mots passant ... langoureux loins de tes oripeaux
Dans une symbiose parfaite nos corps au loin s’alarment
je t’aime mon toi, mon autre, mon âme soeur, ma raison de me battre et de vivre.
Ven 28 Juil 2006, 16:57 par
joullia sur Parler d'amour
Entre réel et virtuel
Quand je suis trop seule j’écris... J’écris beaucoup. J’écris aussi par nécessité. Mais c’est une autre histoire. Lorsque je suis trop seule, j’invente ou plutôt je devine. Je devine ces nous deux qui ne sont pas, qui ne sont plus et qui ne seront peut-être jamais ailleurs que sur du papier virtuel, bleus sur fond blanc, cet amour infini... Lorsque j’ai envie de te dire : « viens » et que je reste seule, pour ne pas crier, pour ne pas pleurer, pour ne pas désespérer, je nous dessine. Parfois sous une lumière aveuglante d’autres fois en demi-teinte. Mais c’est toujours de nous dont il s’agit. Toujours nous par, avec et en amour. Une fois de plus, je te parle mais tu ne réponds pas. Je t’espère et je ne te vois pas... A ces illusions de nous deux auxquelles j’aurais tant voulu croire et qui me blessent je voudrais donner congé. Pour elles, pour toi, pour moi. A cette vie d’amour qui me fuit ou que je fuis peut-être sans trop bien le savoir, je voudrais aussi dire au revoir. De ces trop longues rêveries je voudrais me séparer et poursuivre ma route pas à pas. Mais la fantasmagorie s’est emparée de ma vie et je suis devenue un écrivain virtuel dont les songes sont bien réels...
Mar 28 Mars 2006, 20:37 par
dolce vita sur Amour internet
A toi, petite âme tendre...
Puisque tu me lis, laisse-moi te souhaiter pour cette année et celles qui suivent,
L’amour qui a conduit ta main puis tes yeux sur ces lignes.
L’amour qui te soutient et auquel tu aspires.
L’amour que tu liras dans ses yeux
Que l’autre lira dans les tiens sans que tu n’aies rien à dire.
Si tu pleures, songes que tu riras !
Si tu fais l’expérience de la solitude tu feras celle du cœur à cœur,
Si tu rêves à l’amour, tu le vivras !
Si tu as peur, tu t’abandonneras à l’amour comme on se jette à l’océan...
Et ton âme sera unie à la sienne tout simplement.
Mais quoiqu’il advienne n’oublie pas que l’amour que tu vivras est celui que tu feras grandir ou pas en toi.
Alors, du plus profond de mon cœur, laisse-moi te souhaiter une très douce,
bonne et tendre année 2006.
L’amour qui a conduit ta main puis tes yeux sur ces lignes.
L’amour qui te soutient et auquel tu aspires.
L’amour que tu liras dans ses yeux
Que l’autre lira dans les tiens sans que tu n’aies rien à dire.
Si tu pleures, songes que tu riras !
Si tu fais l’expérience de la solitude tu feras celle du cœur à cœur,
Si tu rêves à l’amour, tu le vivras !
Si tu as peur, tu t’abandonneras à l’amour comme on se jette à l’océan...
Et ton âme sera unie à la sienne tout simplement.
Mais quoiqu’il advienne n’oublie pas que l’amour que tu vivras est celui que tu feras grandir ou pas en toi.
Alors, du plus profond de mon cœur, laisse-moi te souhaiter une très douce,
bonne et tendre année 2006.
Mar 03 Jan 2006, 10:59 par
dolce vita sur L'amour en vrac
Ma chère plume
Ma chère plume,
D’où je suis, je t’écris ces mots, pour te dire ce que sans toi, je ne sais penser.
Me voici à l’orée de mon jardin secret. Mon ami est tout près de moi, mais voilà, alors que je suis si proche de lui, je ne peux lui parler de mon jardin.
Vois-tu, ma plume, je ne sais comment faire, aucun mot ne se forme dans mon cœur ! Mon jardin, vu d’ici, où je suis, me semble bien aride. Il me fait l’effet, à vrai dire, d’un terrain vague. Je n’y aperçois que de grossières ébauches à peine esquissées, d’indéfinis avant-goûts, de vagues pressentiments, de furtives espérances, d’éphémères songes, des commencements inachevés, des élans jamais pris, tout n’est qu’à l’état de graine. Je ne cesse de prendre dans ma main ces semences sèches et les regarde s’écouler entre mes doigts mais ne sais ni comment ni où les faire germer. Je me sens seule et désemparée, prisonnière de mon incapacité.
C’est pour cela, ma plume bien aimée, que je te supplie !
Sois mon guide, prends-moi par la main, et conduis-moi à travers mon jardin !
Je ne sais encore où nous irons ensemble, quels chemins encore inconnus nous prendrons, quels paysages nous traverserons et quels mystères nous sonderons. Mais je sais que tu seras là, avec moi, et que, patiente, tu recueilleras toutes les graines qui jonchent le sol de mon esprit et sauras les faire germer.
Les chemins que nous découvrirons ensemble nous mèneront dans les sous-bois de mes désirs, de mon passé, de mes rêves, je ne le sais encore, mais avec toi, quels qu’ils soient, je ne me perdrai pas. Ces chemins n’auront pas de fin, jamais ils ne nous mèneront à l’impasse, tu sauras toujours où inventer une issue, un petit sentier caché à mon regard dans les herbes folles, et je te suivrai avec confiance.
Je te prends entre mes doigts et sens ton invite à te suivre…
Où allons-nous donc ? Je suis prête, et nous ne partons pas encore ? Pourquoi me faire attendre ?
Pardonne-moi, plume bien-aimée, si je suis impatiente.
J’ai tellement hâte de pénétrer cette terre qui me semble si nue et d’y voir pousser une prairie ondoyante, une forêt luxuriante, ou qui sait, peut-être un champ de blé doré, de délicates ramures fleuries, un potager chargé de lourds fruits colorés !
Et ensuite, je pourrai y inviter mon ami ! Je le prendrai par la main et le conduirai là où il me plaira, dans mon jardin, puis je partagerai avec lui l’ombre bienfaisante d’un cèdre, ou l’odeur du jasmin, qui sait…
Allons-y, ma belle plume, partons à la découverte.
Ton amie qui t’attend avec impatience.
D’où je suis, je t’écris ces mots, pour te dire ce que sans toi, je ne sais penser.
Me voici à l’orée de mon jardin secret. Mon ami est tout près de moi, mais voilà, alors que je suis si proche de lui, je ne peux lui parler de mon jardin.
Vois-tu, ma plume, je ne sais comment faire, aucun mot ne se forme dans mon cœur ! Mon jardin, vu d’ici, où je suis, me semble bien aride. Il me fait l’effet, à vrai dire, d’un terrain vague. Je n’y aperçois que de grossières ébauches à peine esquissées, d’indéfinis avant-goûts, de vagues pressentiments, de furtives espérances, d’éphémères songes, des commencements inachevés, des élans jamais pris, tout n’est qu’à l’état de graine. Je ne cesse de prendre dans ma main ces semences sèches et les regarde s’écouler entre mes doigts mais ne sais ni comment ni où les faire germer. Je me sens seule et désemparée, prisonnière de mon incapacité.
C’est pour cela, ma plume bien aimée, que je te supplie !
Sois mon guide, prends-moi par la main, et conduis-moi à travers mon jardin !
Je ne sais encore où nous irons ensemble, quels chemins encore inconnus nous prendrons, quels paysages nous traverserons et quels mystères nous sonderons. Mais je sais que tu seras là, avec moi, et que, patiente, tu recueilleras toutes les graines qui jonchent le sol de mon esprit et sauras les faire germer.
Les chemins que nous découvrirons ensemble nous mèneront dans les sous-bois de mes désirs, de mon passé, de mes rêves, je ne le sais encore, mais avec toi, quels qu’ils soient, je ne me perdrai pas. Ces chemins n’auront pas de fin, jamais ils ne nous mèneront à l’impasse, tu sauras toujours où inventer une issue, un petit sentier caché à mon regard dans les herbes folles, et je te suivrai avec confiance.
Je te prends entre mes doigts et sens ton invite à te suivre…
Où allons-nous donc ? Je suis prête, et nous ne partons pas encore ? Pourquoi me faire attendre ?
Pardonne-moi, plume bien-aimée, si je suis impatiente.
J’ai tellement hâte de pénétrer cette terre qui me semble si nue et d’y voir pousser une prairie ondoyante, une forêt luxuriante, ou qui sait, peut-être un champ de blé doré, de délicates ramures fleuries, un potager chargé de lourds fruits colorés !
Et ensuite, je pourrai y inviter mon ami ! Je le prendrai par la main et le conduirai là où il me plaira, dans mon jardin, puis je partagerai avec lui l’ombre bienfaisante d’un cèdre, ou l’odeur du jasmin, qui sait…
Allons-y, ma belle plume, partons à la découverte.
Ton amie qui t’attend avec impatience.
Mar 20 Déc 2005, 16:42 par
SilaU sur Mille choses
Amoureuse
Il est différent, très différent de tous les hommes dont elle a pu croiser le chemin. Différent parce qu’elle ne s’habitue pas à son absence, parce qu’elle n’apprivoise pas les distances entre eux, parce que parfois, elle a peur qu’il ne soit que virtuel. Est-ce pour cela qu’elle ressent un tel besoin de le toucher quand elle le voit? C’est pourtant le souvenir de ses caresses qui entretient si intensément son désir...Longtemps après leurs rencontres, elle reste dans un état second où elle le veut toujours plus. Elle ne se rassasie pas de lui, même lorsqu’elle vient de trembler sous ses doigts, même après s’être collée à sa peau, même après être toute imprégnée de son odeur. Elle s’étonne à ressentir parfois sa présence dans la solitude qu’elle recherche pourtant et comme il lui plait à remplir ses silences avec l’écho de sa voix. Les yeux fermés, cent fois, elle revit leurs minutes intenses, jusqu’à s’ennivrer à nouveau de son goût, jusqu’à ressentir la caresse de sa langue sur la sienne. Elle l’emmène alors dans ses songes les plus fous. Elle l’imagine au bout de ses doigts quand elle tente de s’apaiser. Elle rêve de ses yeux transparents, de son sourire à fossettes et de ses mains si parfaites pour elle...et ça la fait décoller, si violemment parfois! Quel risque elle prend, à l’aimer ainsi, mais elle a tant souhaité un vrai coup de coeur qu’elle n’oserait s’en plaindre. Et tant pis, si elle se laisse entraîner au-delà des limites fixées, tant pis si elle s’abîme, si elle se perd. Elle l’a tant cherché, Lui, qu’elle ne veut pas s’enfuir même si elle ne sait pas où elle va. Il lui reste à gérer tous les manques qu’il suscite, et ils sont nombreux. Mais elle apprendra à savourer la moindre parcelle de son corps, à emmagasiner les sensations nées de leurs instants volés, pour se rappeler, qu’il est bel et bien là, même en pointillés, même quand elle ne le voit pas...Savoir au fond, qu’il existe un peu à travers elle...
Sam 03 Déc 2005, 19:01 par
syolann sur Histoires d'amour
S'il suffisait d'aimer
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer.
Céline Dion
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les cœurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer.
Céline Dion
Sam 08 Oct 2005, 22:22 par
Satine sur Mille choses
Ecrire sur songes

Il y a 38 textes utilisant le mot songes. Ces pages présentent les textes correspondant.
Bonne lecture !
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A. de Musset.
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